APERÇU STATISTIQUE DE LA BELGIQUE. Chiffres clés. Statistics Belgium. Direction générale Statistique

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1 Chiffres clés APERÇU STATISTIQUE DE LA BELGIQUE 2014 Direction générale Statistique Statistics Belgium

2 Chers lecteurs, La mission première de la Direction générale Statistique - Statistics Belgium du SPF Économie est de répondre aux besoins d informations non seulement des pouvoirs publics, mais aussi des entreprises et des citoyens, en leur fournissant des données constamment actualisées sur la situation du pays. Pour chacun de ces groupes cibles, il est essentiel de disposer de chiffres pertinents pour pouvoir mener un débat constructif et étayé ainsi que pour pouvoir lancer des actions à la fois ciblées et efficaces. Par ailleurs, les étudiants, les chercheurs et toutes les personnes intéressées par une vue globale et détaillée du pays, ont eux aussi besoin de chiffres et de statistiques. La présente brochure dresse un aperçu des données disponibles et situe également la Belgique dans une perspective européenne. L information fournie ci-après couvre de nombreux domaines : la population, l emploi, l économie, les finances, l agriculture, l industrie, le transport, les services et l immobilier. Cette énumération démontre à elle seule à quel point l éventail de statistiques proposées est étendu. Sachez cependant qu il existe bien plus de données disponibles pour chacun des sujets traités. Ainsi, vous découvrirez sur notre site Internet, une vaste sélection de données ainsi que toutes nos publications dans un format téléchargeable. Vous y trouverez également tous les points de contact si vous souhaitez obtenir de plus amples informations. Vous pouvez également consulter notre application dynamique en ligne, be.stat, qui vous permet d effectuer des recherches directement dans notre data warehouse. Nous vous souhaitons une passionnante découverte de notre pays au gré des chiffres! Nico Waeyaert Directeur général Direction générale Statistique - Statistics Belgium

3 Statistics Belgium La Direction générale Statistique - Statistics Belgium fait partie du Service Public Fédéral Économie. Au travers d une multitude de canaux et de produits, nous donnons une image chiffrée de la réalité belge. Sauf mention contraire en bas de tableau ou de graphique, les données ont été récoltées et calculées par la Direction générale Statistique du S.P.F. Économie. Les comparaisons internationales viennent d Eurostat. IL est permis de citer tout ou partie de l ouvrage, moyennant indication claire et précise de la source. Direction générale Statistique - Statistics Belgium Bd Albert II 16, B-1000 Bruxelles tél statbel@economie.fgov.be Éditeur responsable: Nico Waeyaert

4 Population Territoire et environnement Economie Immobilier et construction Mobilité et transport Société Table des matières A I Population au 1 er janvier B I Evolution démographique...8 C I Vieillissement et structure de la population par âge...11 D I Population étrangère...15 A I Superficie et utilisation du sol...22 B I Agriculture...24 C I Déchets...28 A I Produit intérieur brut...32 B I Prix à la consommation...38 C I Indice des prix à la production...45 D I Démographie des entreprises...52 E I Faillites...58 F I Structure des entreprises...66 A I Prix de l immobilier...74 B I Permis de bâtir...76 C I Inventaire des bâtiments en Belgique...78 A I Véhicules...82 B I Transport de marchandises...87 C I Transport maritime...92 D I Accidents de la route...93 A I Emploi et taux d emploi B I Salaire C I Chômage et taux de chômage D I Population inactive E I Pauvreté F I Revenus G I Dépenses des ménages H I Enseignement...122

5 Chiffres clés 2014

6 Population

7 Chiffres clés 2014 A I Population au 1 er janvier 2014 Depuis 2011, la Belgique a dépassé le cap des 11 millions d habitants. Au 1 er janvier 2014, elle comptait officiellement habitants, dont 57,5 % habitaient en Flandre, 32,1 % en Wallonie et 10,4 % en Région de Bruxelles-Capitale. Enfin, un peu moins de 1 % de la population résidait en Communauté germanophone. 6 Au cours de l année 2013, la population de la Région de Bruxelles-Capitale a de nouveau augmenté à un rythme légèrement plus rapide que celui des deux autres régions. De ce fait, sa part dans l ensemble du pays continue de progresser, comme c est le cas depuis quelques années. Population totale de la Belgique et de ses Régions au 1 er janvier 1991, 2001 et % 2001 % 2014 % Belgique % % % Région de Bruxelles-Capitale ,6% ,4% ,4% Région flamande ,8% ,0% ,5% Région wallonne ,6% ,6% ,1% dont Communauté germanophone ,7% ,7% ,7% Population

8 Au 1 er janvier 2014, la population de l Union européenne (UE28) était estimée à 507,4 millions d habitants. Avec un poids démographique non négligeable, la Belgique se classe en neuvième position et représente 2,2 % de la population totale de l Union. Cette position tend d ailleurs à se renforcer ces dernières années, grâce à une dynamique démographique supérieure à la moyenne européenne. Chiffres clés millions d'habitants Union Européenne: habitants au 1er janvier 2014 Allemagne France Royaume-Uni Italie Espagne Pologne Roumanie Pays-Bas Belgique Grèce Tchéquie Portugal Hongrie Suede Autriche Bulgarie Danemark Finlande Slovaquie Irlande Croatie Lituanie Slovenie Lettonie Estonie Chypre Luxembourg Malte Population

9 Chiffres clés B I Évolution démographique Au cours de l année 2013, la population résidant en Belgique a augmenté de personnes. Cette croissance est due en majeure partie au solde migratoire international. Alors que celui-ci avait fortement progressé depuis 2000, il connaît un recul sensible depuis trois ans. En 2013, il s établissait à personnes, contre personnes en Quant à l excédent des naissances sur les décès, il est passé de unités en 2010 à en Le nombre de décès a sensiblement progressé depuis 2011, notamment du fait du vieillissement de la population, tandis que le nombre de naissances diminue depuis Accroissement annuel de la population Année Population au 1 er janvier Mouvement naturel Naissances Décès Excédent des naissances Mouvement migratoire Immigration Emigration Solde migratoire Croissance totale (y compris l ajustement statistique) Taux de croissance 0,24% 0,63% 0,46% Population au 31 décembre Population

10 Malgré ces soldes (migratoire international et naturel) en baisse, la population a néanmoins augmenté de 0,46 % durant l année 2013, maintenant la Belgique parmi les pays européens à forte croissance démographique. Le Luxembourg (2,33 %) et l Italie (1,82 %) arrivent en tête de ce classement, avec des taux de croissance bien supérieurs à celui de la Belgique. Néanmoins, plusieurs pays européens connaissent aujourd hui des croissances négatives (Espagne, Grèce, Portugal, mais aussi parmi les nouveaux pays membres, Bulgarie, Chypre, Lettonie ). Si la majorité des 589 communes du pays ont enregistré une croissance démographique positive en 2013, 130 d entre elles ont vu leur population diminuer. Les hausses les plus sensibles ont été à nouveau recensées dans l agglomération bruxelloise ainsi qu à Anvers, à Gand, à Mons, à Alost et à La Louvière. Les croissances relatives les plus rapides s observent dans de petites communes (moins de habitants), avec les cas particuliers de Messines (+6,1 %) et de Gembloux (près de habitants, +2,2 %). Chiffres clés Population

11 Chiffres clés 2014 Evolution de la population par commune en % Population

12 C I Vieillissement et structure de la population par âge La population résidant en Belgique au 1 er janvier 2014 vieillit sensiblement. Jamais les personnes (très) âgées n ont été aussi nombreuses. La structure par âge et par sexe, représentée graphiquement par une pyramide des âges, illustre clairement cette évolution. Chiffres clés 2014 Les classes d âge de plus de 80 ans sont en nette augmentation par rapport à la situation de Si les classes d âge nées du baby-boom restent importantes, le poids de ce groupe s est quelque peu réduit au cours de la décennie écoulée. Le nombre de très jeunes enfants ne progresse plus, contrairement à ce qui se passait au cours des années précédentes. Il y a plus de jeunes hommes que de jeunes femmes, car il naît systématiquement plus de garçons que de filles (entre 104 et 106 garçons pour 100 filles dans notre pays). Ce rapport s inverse toutefois à l âge de 54 ans en raison d un taux de mortalité plus élevé chez les hommes que chez les femmes à tous les âges de la vie. 11 Pyramide des âges de la Belgique au 1 er janvier 2001 Pyramide des âges de la Belgique au 1er janvier Hommes Femmes Hommes Femmes Population

13 Chiffres clés 2014 Il en découle un déséquilibre entre les sexes de plus en plus marqué avec l âge. Ainsi, parmi les octogénaires, on recense près de deux fois plus de femmes que d hommes. Parmi les nonagénaires, les femmes sont près de trois fois plus nombreuses que les hommes. 12 La pyramide des âges n est pas homogène en Belgique. En effet, la Région de Bruxelles-Capitale est clairement plus jeune que les deux autres régions, avec une proportion plus importante de jeunes (22,7 %) et moindre de personnes âgées (13,3 %). Si la Région wallonne se rapproche de la moyenne nationale, la Région flamande s en éloigne plus fortement, en raison d un vieillissement plus prononcé. On y recense, en effet, moins de jeunes (19,5 %) et plus de personnes âgées (19,1 %). Au cours des dernières années, ces différences de structure d âge entre les régions se sont plutôt accentuées. La proportion de personnes âgées fournit une indication du vieillissement au niveau local. On constate d importantes disparités dans ce domaine au niveau du territoire belge. Ainsi, les communes du littoral abritent entre 25 et 30 % de 65 ans et plus (contre seulement 17,9 % pour l ensemble de la Belgique). C est également le cas de plusieurs communes wallonnes des vallées de la Semois et de l Ourthe et de la ville de Spa qui accueillent également de nombreux retraités. On observe également des disparités importantes entre les communes de périurbanisation ancienne et celles où ce phénomène est plus récent. Les premières (comme Montignies-le-Tilleul, Chaudfontaine et Sint-Martens-Latem) ne sont pas abordables pour la plupart des jeunes et ont une population vieillissante. Les communes de la seconde catégorie (axe élargi de Bruxelles-Namur-Luxembourg et nord de la province d Anvers) sont très dynamiques sur le plan démographique et abritent relativement peu de personnes âgées. Population

14 Ventilation par classe d'âge au 1er janvier 2014 selon les régions 0-17 ans % ans % 65 ans et plus % Belgique ,3% ,8% ,9% Région de Bruxelles-Capitale ,7% ,0% ,3% Région flamande ,5% ,5% ,1% Région wallonne ,2% ,6% ,3% Chiffres clés La Région de Bruxelles-Capitale présente une image contrastée avec, d une part, des communes subissant profondément le vieillissement (Uccle, Watermael-Boitsfort, Ganshoren et Woluwe-Saint-Pierre) et, d autre part, les communes plus centrales où l on enregistre les plus faibles proportions de personnes âgées. Espérance de vie à la naissance (en années) Années Hommes 74,6 77,4 77,9 Femmes 80,9 82,7 82,9 Total 77,8 80,1 80,5 Parallèlement au vieillissement de la population, l espérance de vie à la naissance poursuit son augmentation en Belgique. Depuis 2000, elle a crû de 2,7 années pour passer de 77,8 à 80,5 ans. Cette évolution est plus favorable aux hommes (+3,3 années) qu aux femmes (+2 années), ce qui leur a permis de rattraper partiellement leur retard sur ces dernières. Population

15 Chiffres clés 2014 Les plus de 64 ans par commune au 1 er janvier % Population

16 D I Population étrangère Au 1 er janvier 2014, la Belgique comptait personnes de nationalité étrangère, soit 10,9 % de la population résidente totale. Treize ans plus tôt, les ressortissants étrangers représentaient 8,4 % de la population du Royaume, soit personnes. Chiffres clés 2014 À titre de comparaison, la France comptait 5,8 % d habitants de nationalité étrangère au 1er janvier 2008 et les Pays-Bas 5,6 % au 1er janvier Le cap du million d étrangers vivant en Belgique a été franchi fin Au 1er janvier 2014, 68,2 % de la population étrangère était composée de ressortissants d un pays de l Union européenne. 15 Principaux pays de nationalité des ressortissants étrangers résidant en Belgique Pays de nationalité Nombre % Place Nombre % Place Italie ,7% ,9% 1 France ,7% ,8% 2 Pays-Bas ,4% ,0% 3 Maroc ,3% ,6% 4 Pologne ,8% ,4% 5 Espagne ,3% ,7% 6 Roumanie ,3% ,7% 7 Allemagne % ,4% 8 Turquie ,5% ,3% 9 Portugal % % 10 Autres ,1% ,2% - Tous les pays % % - Population

17 Chiffres clés Les principaux pays de nationalité de ces résidents étrangers sont l Italie, la France, les Pays-Bas, le Maroc et la Pologne. Les citoyens de ces pays représentent la moitié (49,8 %) de la population étrangère en Belgique. Il y a treize ans, ces pays, sauf la Pologne, figuraient déjà et dans cet ordre en tête du classement des pays d origine des habitants de nationalité étrangère. La Pologne et la Roumanie sont les pays dont le nombre de ressortissants s est accru le plus rapidement au cours de ces années dans notre pays. Le nombre de Polonais a été presque décuplé en treize ans (+939 %), tandis que le nombre de Roumains a été multiplié par 24. La part des résidents originaires de ces deux pays est passée de moins de 1 % en 2001 à respectivement 5,4 % pour les Polonais et 4,7 % pour les Roumains. Parmi les autres pays importants, seuls le Maroc (de 10,3 à 6,6 %) et la Turquie (de 6,5 à 3 %) ont vu leur importance relative diminuer sensiblement. Ces diminutions ont été de pair avec un mouvement important d acquisitions de la nationalité belge. La répartition de la population de nationalité étrangère est très variable dans le pays. De nombreux ressortissants étrangers résident dans l agglomération bruxelloise, où ils font presque part égale avec les citoyens belges dans certaines communes. C est notamment le cas à Saint-Gilles (46,9 %), à Ixelles (45,8 %) et à Etterbeek (43,2 %). Le pourcentage d habitants de nationalité étrangère reste élevé en dehors des limites de la Région de Bruxelles-Capitale. C est notamment le cas de toutes les communes jouxtant la Forêt de Soignes, de Tervuren à Waterloo, où de nombreux ressortissants américains et britanniques se sont établis. De nombreux ressortissants étrangers vivent également dans une série de communes frontalières qui bordent les agglomérations de Lille (France), d Aix-la-Chapelle (Allemagne), de Maastricht (Pays-Bas) et de Luxembourg, dont ils sont souvent originaires. Les principaux centres urbains du pays (Anvers, Liège et Gand) et les villes universitaires (Louvain, Ottignies-Louvain-la-Neuve) accueillent aussi des proportions importantes de ressortissants étrangers. Population

18 Enfin, ceux-ci sont également nombreux le long de l ancien axe industriel wallon, où l implantation étrangère peut être qualifiée d historique. C est le cas des Italiens dans les communes du Borinage et du Centre (autour de La Louvière). Chiffres clés 2014 Nationalité antérieure des personnes ayant acquis la nationalité belge Pays de la nationalité antérieure Nombre % Place Nombre % Place Maroc ,3% ,4% 1 Italie ,6% ,3% 2 Turquie ,4% ,5% 3 Congo (Rep. dém.) ,1% ,0% 4 Russie 297 0,9% ,7% 5 France 772 2,4% ,5% 6 Cameroun ,4% 7 Algérie 739 2,3% ,3% 8 Pays-Bas 672 2,1% ,2% 9 Pakistan 306 1,0% ,0% 10 Autres ,7% ,6% - Ensemble des pays % % - 17 Population

19 Chiffres clés 2014 Au cours de l année 2013, personnes ont acquis la nationalité belge. Le taux de naturalisation s élève donc à 2,9 % de la population étrangère. Les principaux pays d origine des personnes naturalisées belges en 2013 sont le Maroc, la Turquie, l Italie, la République démocratique du Congo et la Russie. 18 Près d une personne sur cinq ayant acquis la nationalité belge en 2013 était d origine marocaine et une personne sur cinq était originaire de l un des quatre autres pays. Il y a cinq ans, le Maroc, la Turquie et l Italie constituaient déjà les trois premières nationalités antérieures des nouveaux Belges. La Russie, la Roumanie, la Guinée et le Cameroun ne faisaient alors pas partie du top dix. La Russie et la Guinée sont les pays ayant connu la plus forte augmentation : la Russie est passée de moins de 1 % en 2005 à 4,4 % en Enfin, la Guinée fait son entrée dans le top dix alors qu en 2005, elle était à peine représentée parmi les pays de nationalité antérieure des nouveaux Belges. Population

20 Etrangers par commune au 1 er janvier 2014 Chiffres clés % Population

21 Chiffres clés 2014

22 Territoire et environnement

23 Chiffres clés A I Superficie et utilisation du sol La Belgique s étend sur une superficie terrestre de km² et couvre km² de la mer du Nord. La Wallonie représente 55,2% de cette superficie globale, soit un peu plus que la Flandre avec 44,3%. Toutefois, la densité de population en Flandre est deux fois plus élevée qu en Wallonie. Les Ardennes surtout sont relativement peu peuplées. Les terres agricoles occupent la majeure partie de cette superficie terrestre, viennent ensuite les forêts et les terrains bâtis. La superficie bâtie croît d année en année, essentiellement au détriment des terres agricoles. Par contre, les forêts et les autres zones naturelles restent relativement stables. 26% 5% 7% 8% Bâti Non bâti Utilisation du sol en Belgique (2012) 17% 23% 14% Terres labourables Terres consacrées aux prairies et pâturages permanents Total des forêts et autres terres boisés Autres (non-bâti) Terrains résidentiels Terrains utilisés pour les transports et les communications Autres (bâti) Territoire et environnement

24 Densité de la population par commune au 1 er janvier 2014 Chiffres clés Hab/km 2 Territoire et environnement

25 Chiffres clés 2014 B I Agriculture Le nombre d exploitations agricoles et horticoles baisse chaque année en Belgique. Toutefois, la superficie totale de l ensemble des exploitations recule moins vite. En moyenne, les exploitations ne cessent donc de s agrandir. En 30 ans, la superficie moyenne des exploitations a plus que doublé, tant en Flandre (de 8,4 ha en 1980 à 25,0 ha en 2013) qu en Wallonie (de 20,8 ha à 55,6 ha). 24 Superficie moyenne des exploitations agricoles en 2013 (en ha) Superficie agricole utilisée (ha) Territoire et environnement

26 Agriculture et horticulture Moyens de production /2012 Nombre d exploitations ,1% Main-d oeuvre ,4% dont temps plein ,6% Superficie agricole utilisée (en ha) ,3% Main-d œuvre/exploitation 1,96 1,97 - Chiffres clés Animaux (x 1000) Bovins ,1% dont vaches laitières et allaitantes ,1% Porcins ,3% Volailles ,4% dont poules ,3% dont poulets de chair ,6% Territoire et environnement

27 Chiffres clés Agriculture et horticulture (suite) Cultures (en ha) /2012 Céréales pour le grain ,1% Froment d'hiver ,4% Orge d hiver ,8% Maïs cultivé pour la graine ,0% Cultures industrielles ,8% Betteraves sucrières ,6% Pommes de terre ,5% Légumineuses ,4% Cultures fourragères ,7% Maïs fourrager ,1% Prairies temporaires ,8% Légumes en plein air ,4% Cultures permanentes ,2% Prairies permanentes ,8% Cultures sous serres ,5% Jachères ,2% Territoire et environnement

28 En 30 ans, le nombre de bovins par exploitation bovine est passé de 41 têtes à 108. Toutefois, c est dans l élevage hors sol que le mouvement de concentration est le plus spectaculaire. En 1982, on comptait en moyenne 141 porcins par exploitation porcine. Cette moyenne est aujourd hui de têtes, soit près de 9 fois plus qu en 1982! Pour la volaille, la taille moyenne des élevages est passée de 758 têtes en 1982 à têtes en 2012, soit une progression de près de 10% par an. Chiffres clés Evolution du nombre de bovins et de porcins en Belgique Nombre total de bovins Nombre total de porcins Nombre de têtes Territoire et environnement

29 Chiffres clés 2014 C I Déchets Alors que la quantité de déchets municipaux collectés avait diminué à la fin des années 2000, il était à nouveau question d une hausse limitée en 2011 et en La répartition entre les différents modes de traitement des déchets reste stable ces dernières années. 28 Les déchets municipaux englobent tous les déchets récoltés par les services communaux de collecte, les parcs à conteneurs, les balayeurs, etc. à l exclusion des matériaux de construction et de démolition. 600 Déchets municipaux: collecte, éliminiation et recyclage en kg/habitants kg/habitant Collecte Total incinération Compost et fermentation Mise en décharge (a) Recyclage Territoire et environnement

30 Déchets municipaux : collecte, traitement et recyclage ( ) en tonnes Collecte Décharge (a) Incinération Incinération avec récupération d énergie Incinération sans récupération d énergie Recyclage Compostage ou fermentation Chiffres clés par habitant (kg/habitant) (b) Collecte Décharge (a) Incinération Incinération avec récupération d énergie Incinération sans récupération d énergie Recyclage Compostage ou fermentation (a) Mâchefers d incinération y compris (b) Population au 1 er janvier À l exclusion des déchets municipaux de construction et de démolition. Territoire et environnement

31 Chiffres clés 2014

32 Economie

33 Chiffres clés 2014 A I Produit intérieur brut Le produit intérieur brut (PIB) de notre pays, soit la production totale de biens et de services en Belgique, s élevait à 395,3 milliards d euros en Bien que la population de la Belgique ne représente qu environ 2,2 % de la population européenne totale, son PIB aux prix du marché équivaut à 2,9 % de celui de l Union européenne et à 4 % de celui de la zone euro. 32 Les prix courants sont les prix d une année spécifique. Les prix constants sont des prix relatifs à une année de base. Ils s obtiennent en corrigeant les prix courants de l effet de l inflation. Produit intérieur brut aux prix courants (en millions d ) Union européenne Belgique Allemagne France Luxembourg Pays-Bas Royaume-Uni Etats-Unis Japon Source: EUROSTAT (version du ) Economie

34 À l instar des Pays-Bas, la Belgique a vu son PIB par habitant baisser en 2013, après correction de la parité de pouvoir d achat, par rapport à l année précédente. En 2012, l Allemagne a connu une légère hausse, tandis que la France a vu son PIB se stabiliser. Par ailleurs, la Belgique dépasse de 18 points le niveau moyen de l Union européenne. Chiffres clés 2014 Pour pouvoir comparer correctement le PIB de différents pays, il est nécessaire d ajuster le nombre d habitants et le niveau des prix. Le PIB par habitant en standards de pouvoir d achat permet de comparer les niveaux du produit intérieur brut des différents pays. 33 PIB par habitant en standard de pouvoir d'achat en 2013 Royaume-Uni (EU-27=100) Pays-Bas Luxembourg France Allemagne Belgique Union européenne Source: EUROSTAT (version du ) Economie

35 Chiffres clés 2014 En 2013, l économie belge a connu une reprise modérée. Après correction des variations de prix, l économie belge a en effet affiché une croissance de 0,3 %. Notre pays faisait ainsi mieux que la moyenne de l Union européenne, dont le pourcentage de croissance moyen s élevait à 0,0 %. 34 Le calcul du taux de croissance annuel du PIB en volume permet de comparer le développement économique à la fois à travers le temps et entre différents pays. Pour calculer le taux de croissance du PIB en volume, le PIB à prix constants est comparé avec les prix de l année précédente. L évolution du volume ainsi calculée est imputée à une année de référence. C est ce que l on appelle un indice en chaîne. Les variations de prix ne contribuent dès lors pas à augmenter le taux de croissance. Economie Taux de croissance du PIB en volume - variation en % par rapport à l année précédente Union européenne 2,1 1,7-0,4 0,0 Zone euro 2,0 1,6-0,7-0,5 Belgique 2,5 1,6 0,1 0,3 Allemagne 4,1 3,6 0,4 0,1 France 2,0 2,1 0,3 0,3 Luxembourg 5,1 2,6-0,2 2,0 Pays-Bas 1,1 1,7-1,6-0,7 Royaume-Uni 1,9 1,6 0,7 1,7 Etats-Unis 2,5 1,6 2,3 2,2 Japon 4,7-0,5 1,5 1,5 Source: Commission Européenne, novembre 2014

36 Il ressort de la ventilation du PIB belge que la croissance de l activité économique s explique principalement par une hausse dans le secteur des services. L activité industrielle a accusé un recul de 0,4 % en 2013 par rapport à l année précédente. Par conséquent, la part de l industrie dans le PIB est passée de 15,4 % en 2012 à 15,1 % en Chiffres clés 2014 Ventilation du produit intérieur brut ,5% 0,7% 68,6% 15,1% 5,0% Agriculture, chasse, sylviculture et pêche Industrie Construction Services Autres composantes Source: Institut des comptes nationaux Economie

37 Chiffres clés 2014 Par ailleurs, la Belgique a confirmé son statut d économie de services. La part du secteur tertiaire (services) dans le PIB a ainsi augmenté pour atteindre 68,6 % en 2013, contre 68,2 % en Au sein du secteur des services, la catégorie «commerce, transports et horeca» détenait la part la plus importante en 2013, soit 17,8 % de la production totale du secteur des services. Venaient ensuite les catégories «administration publique et enseignement» avec une part de 13,4 % et «services professionnels» avec une part de 11,9 %. Economie

38 Produit intérieur brut Valeur ajoutée brute par branche d activité, estimations à prix courants (en millions d, données brutes) Agriculture, sylviculture et pêche Croissance 2013/ / ,6% 8,2% Industrie ,5% -0,4% Construction ,3% -0,7% Services ,7% 2,5% Commerce, transports et horeca ,6% 1,5% Information et communication ,9% 1,5% Activités financières ,2% -0,3% Activités immobilières ,4% 1,4% Services aux entreprises ,5% 4,1% Administration publique et enseignement ,4% 3,6% Santé publique et bien-être social ,6% 4,4% Autres services ,1% 3,0% Autres composantes ,8% 1,2% Produit intérieur brut aux prix du marché ,7% 1,8% Chiffres clés Source: Institut des comptes nationaux Economie

39 Chiffres clés 2014 B I Prix à la consommation L indice des prix à la consommation harmonisé (IPCH) permet de comparer l inflation des prix à la consommation au niveau européen. L évolution de cet indice montre que les prix ont grimpé à un rythme moins soutenu en Belgique entre 2005 et 2013 que la moyenne européenne. La hausse était toutefois encore nettement moins prononcée dans nos pays voisins : les Pays-Bas, la France et l Allemagne. Le Luxembourg a, par contre, connu une progression plus significative que la Belgique. 38 En 2013, l inflation en Belgique atteignait un niveau inférieur à la moyenne européenne. À l inverse de la France, l Allemagne, les Pays-Bas et le Luxembourg ont enregistré un taux d inflation plus élevé en 2013 que la Belgique. IPCH indice annuel moyen (2005=100) Inflation 2013 Union Européenne ,5 111,8 115,2 118,3 120,1 1,5% Belgique ,9 111,4 115,1 118,2 119,6 1,2% Allemagne ,2 108,4 111,1 113,5 115,3 1,6% France ,9 108,8 111,3 113,8 114,9 1,0% Luxembourg ,0 113,1 117,3 120,7 122,8 1,7% Pays-bas ,6 107,6 110,2 113,3 116,2 2,6% Royaume-Uni ,8 114,5 119,6 123,0 126,1 2,5% Economie

40 Une comparaison des prix à la consommation révèle que la Belgique proposait des prix relativement élevés en Ainsi, l indice de la Belgique dépassait de 12,6 points la moyenne de l UE. Par rapport à nos pays voisins, à l exception du Luxembourg, la Belgique était également plus chère pour les dépenses de consommation. Chiffres clés 2014 Le rapport est exprimé sur la base de la moyenne de l Union européenne (UE27=100). Si l indice du niveau des prix comparés est supérieur (inférieur) à 100, le pays concerné est relativement cher (bon marché) par rapport à la moyenne de l UE. 39 Niveau des prix comparés de la consommation finale des ménages, y compris les taxes indirectes (UE-27=100) Union Européenne Belgique 111,7 114,0 110,8 111,4 110,7 112,6 Allemagne 103,8 107,5 104,3 103,4 103,2 104,2 France 112,8 114,4 112,2 112,1 111,8 112,4 Luxembourg 115,9 120,5 120,8 120,3 120,1 122,6 Pays-Bas 107,7 111,8 111,2 110,4 109,7 109,8 Royaume-Uni 104,5 97,8 105,5 106,7 113,1 108,8 Etats-Uni 87,0 95,6 98,8 95,4 101,4 100,1 Japon 98,0 118,1 125,7 128,6 133,7 106,0 Economie

41 Chiffres clés 2014 L indice national des prix à la consommation a progressé en 2013 pour atteindre 122,4. Sur base annuelle, l inflation accusait néanmoins un recul, passant de 2,8 % en 2012 à 1,1 % en Indices des prix à la consommation (base 2004=100) et inflation en Belgique Général (IPC) Inflation Produits alimentaires Produits non alimentaires Services Loyer Général sans produits pétroliers Général sans produits énergétiques Indice santé ,6 2,5 90,6 94,5 91,3 92,0 92,3 92,1 92, ,9 2,5 94,4 96,1 93,5 93,7 95,0 94,6 95, ,4 1,6 96,5 96,7 96,0 96,0 96,9 96,7 97, ,9 1,6 98,5 97,8 97,7 98,2 98,5 98,4 98, ,0 2,1 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100, ,8 2,8 101,9 103,6 102,3 102,0 101,8 101,7 102, ,6 1,8 104,2 105,2 103,9 105,6 103,9 105,6 104, ,5 1,8 108,0 106,3 105,8 107,4 105,9 107,3 105, ,3 4,5 114,2 112,6 107,9 109,5 109,4 107,9 110, ,3 0,0 115,5 109,5 111,0 111,7 110,9 109,9 110, ,7 2,2 117,2 113,0 112,6 112,9 112,4 111,4 112, ,7 3,5 120,1 119,0 115,1 114,1 115,3 113,4 116, ,1 2,8 123,7 122,2 118,8 115,9 118,2 116,1 119, ,4 1,1 128,1 121,2 121,5 117,3 119,9 118,3 120,8 Economie

42 En 2013, l indice santé se situait en deçà de l indice des prix à la consommation. Le calcul de cet indice n intègre en effet pas la baisse du prix des carburants. Il en va de même en cas de hausse des carburants. Toutefois, l inflation calculée sur la base de l indice santé et celle sur la base de l indice des prix à la consommation se situaient quasiment sur un pied d égalité à la fin de l année. Chiffres clés Inflation (%) Evolution de l'inflation 6% 5% 4,49% 4% 3,53% 3% 2% 1,82% 2,19% 1% 0% -0,04% -1% -2% 12/ / / / / / / / / / / / / / / / / / / / / /2013 Indice des prix à la consommation Indice santé IPC moyenne annuelle Economie

43 Chiffres clés 2014 Alors que les produits énergétiques pesaient pour moitié sur l inflation en 2011, ces produits ont vu leur contribution à l inflation dégringoler en En 2013, leur contribution était même négative. Contribution de l'énergie et d'autres produits à l'inflation 42 6% 5% 4% 3% 2% inflation 1% 0% -1% -2% -3% T12009 T22009 T32009 T42009 T12010 T22010 T32010 T42010 T12011 T22011 T32011 T42011 T12012 T22012 T32012 T42012 T12013 T22013 T32013 T42013 Produits pétroliers Électricité, gaz naturel, combustible solide Panier hors énergie IPC-2004 Economie

44 Que mesure exactement l indice des prix à la consommation? L indice des prix à la consommation reflète l évolution des prix des biens et services de consommation achetés par un ménage belge moyen. Cet indice ne mesure donc pas le prix moyen de ces produits, mais bien l évolution de leurs prix. Un simple exemple permet d illustrer cette différence. Partons de l hypothèse que des propriétaires de petites voitures citadines à bas prix optent pour des véhicules tout-terrain plus coûteux. Cette évolution se traduirait alors par une hausse du prix moyen par véhicule vendu, mais elle pourrait entraîner parallèlement un recul des valeurs mesurées dans le cas d une baisse de prix de ces deux types de véhicule. Panier de l indice Pour pouvoir mesurer l évolution des prix, il est nécessaire de suivre un ensemble représentatif de biens et de services, à savoir le panier de l indice. Certaines dépenses de consommation pèsent davantage dans le budget d un ménage que d autres. L indice des prix à la consommation doit dès lors en tenir compte. Ainsi, chaque catégorie de dépenses (p.ex. l alimentation ou l achat d une voiture) se voit attribuer un poids déterminé sur la base des dépenses annuelles moyennes d un ménage. Ensuite, ces catégories principales sont subdivisées en sous-groupes plus détaillés, qui bénéficient chacun d un poids propre (p.ex. «pain et céréales» pour l alimentation). Enfin, un certain nombre de produits ou de services représentatifs sont sélectionnés par catégorie, dont l évolution des prix est mesurée. Ces produits ou services représentatifs sont appelés «témoins». Chiffres clés Economie

45 Chiffres clés Quand ce panier est-il établi? Le panier utilisé en 2013 a été défini en 2004 (soit l année de base) et est entré en vigueur à partir de janvier Pour mesurer l évolution des prix, une comparaison est établie entre le niveau actuel de ces produits et celui de Pour que le panier de l indice reste représentatif, il est possible d ajouter ou de supprimer des témoins tous les deux ans. Par contre, le poids des différentes catégories n a pas changé depuis Une réforme plus vaste du panier de l indice (y compris des poids) survient actuellement tous les huit ans. Un nouveau panier est donc entré en vigueur à partir de janvier 2014 avec 2012 comme année de base. Où les relevés de prix sont-ils effectués? Des relevés de prix sont effectués dans 65 localités à travers la Belgique. Ces localités ont été sélectionnées de manière à dresser un aperçu le plus représentatif possible de la population belge. Chacune de ces 65 localités se voit dès lors attribuer un poids basé sur le nombre de personnes qu elle représente. Par localité, des enquêteurs sont chargés de relever les prix qui seront ensuite traités par le service central pour le calcul de l indice de la Belgique. Importance de l indice des prix à la consommation L indice santé est déduit de l indice des prix à la consommation, qui reflète l évolution des prix de tous les biens et services. La valeur de cet indice s obtient en retirant certains produits du panier de l indice des prix à la consommation, à savoir les boissons alcoolisées (achetées en magasin ou consommées dans un café), le tabac et les carburants, à l exception du LPG. L indice santé sert notamment à l indexation des loyers et constitue la base de l indice lissé (= la valeur moyenne de l indice santé des quatre derniers mois). L indice lissé sert, quant à lui, de base à l indexation des pensions, des allocations sociales et de certains salaires et traitements. Economie

46 C I Indice des prix à la production En 2013, l indice des prix à la production de l industrie (base 2010=100) a progressé pour atteindre 111,1. Sur base annuelle, il s agit d un taux d inflation de -0,5 % contre 3,8 % en 2012 et 8,9 % en La plus forte inflation de 2011 s explique par des hausses de prix au niveau des produits énergétiques et des biens intermédiaires au premier semestre de 2011, tandis que ces hausses ont été moins prononcées en En 2013, il était à nouveau question d un repli. Pour les produits énergétiques, ce repli atteignait même -3,9 %. En ce qui concerne les biens de consommation, l inflation s est stabilisée autour de 2,4 %. Chiffres clés L indice des prix à la production reflète l évolution des prix de la production commercialisée. Indice des prix à la production de l industrie totale, à l exclusion de la construction (2010=100) Marché total janvier février mars avril mai juin ,4 96,9 98,1 99,2 100,0 100, ,6 107,5 109,0 110,5 109,8 109, ,5 112,2 113,2 113,6 113,2 112, ,0 114,3 114,3 112,8 112,3 112,2 juillet août sept. oct. nov. déc. Moyenne annuelle ,3 100,8 101,3 101,4 101,9 103, ,6 108,8 109,4 109,1 109,0 109,2 108, ,2 113,2 113,8 113,8 113,7 113,9 113, ,6 111,9 111,7 111,0 110,8 111,1 112,4 Economie

47 Chiffres clés Indice des prix à la production de l industrie totale, à l exclusion de la construction (2010=100) Marché intérieur janvier février mars avril mai juin ,6 97,3 98,3 99,1 99,6 100, ,2 107,2 108,3 109,5 109,3 109, ,0 111,1 111,3 111,7 112,1 111, ,9 114,9 114,8 113,3 112,8 112,8 juillet août sept. oct. nov. déc. Moyenne annuelle ,1 100,7 101,5 101,7 102,0 103, ,6 107,9 108,5 108,0 107,8 107,9 108, ,5 111,5 111,9 112,8 113,5 114,8 111, ,2 111,7 110,8 110,3 110,3 110,7 109,3 Indice des prix à la production de l industrie totale, à l exclusion de la construction (2010=100) Marché extérieur janvier février mars avril mai juin ,2 96,6 97,9 99,4 100,4 100, ,8 107,7 109,6 111,2 110,2 110, ,9 113,2 114,8 115,2 114,2 112, ,3 113,9 113,9 112,3 111,9 111,6 juillet août sept. oct. nov. déc. Moyenne annuelle ,4 100,8 101,2 101,2 101,8 103, ,4 109,6 110,2 110,1 110,1 110,3 109, ,8 114,6 115,4 114,6 113,9 113,1 113, ,0 111,7 111,9 110,7 110,2 110,1 108,6 Economie

48 La ventilation de l indice général des prix à la production selon la destination montre une évolution similaire, soit une inflation de -2,3 %, contre 3,5 % en 2012 pour le marché intérieur et une inflation de -4,7 %, contre 3,9 % en 2012 pour le marché extérieur. Après une période marquée par l orientation à la hausse des indices de prix, la tendance semble désormais s inverser. Chiffres clés 2014 Le repli des indices de prix à la production à la mi-2012 s explique par un recul des prix de l énergie sur le marché international. Cette même raison justifie également l évolution divergente des indices pour les marchés intérieur et extérieur, parallèlement à une hausse de prix des produits ayant un poids limité sur le marché extérieur, comme l électricité et le gaz au deuxième semestre de Ensemble de l industrie, à l exclusion de la construction Indices Bruts (2010=100) / / / / / / / / / / / / / / / /2013 Marché domestique Marché global Marché extérieur Economie

49 Chiffres clés 2014 Le poids d une activité économique au sein de l indice des prix à la production est déterminé par la valeur de sa production et de son chiffre d affaires. Il ressort de la ventilation de l industrie totale (hors construction) que l énergie et les biens intermédiaires représentent la part la plus importante. 48 Sur le marché extérieur, le poids de l énergie est moins élevé, notamment en raison du poids moindre de l électricité. Inversement, la production des biens intermédiaires pèse davantage par rapport au marché intérieur. 100% 90% 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% Poids des activités économiques dans l'indice des prix à la production (2013) 32% 33% 44% 26% 18% 16% 2% 2% 15% 10% 22% 38% 20% 2% 19% Marché global Marché domestique Marché extérieur Biens d investissement Biens de consommation non durables Énergie Biens de consommation durables Biens intermédiaires Economie

50 Si l on dresse une comparaison des indices de prix à la production entre le marché intérieur et l Union européenne, on constate une évolution similaire. À l échelle européenne, l industrie totale hors construction connaît également une stabilisation de son inflation. Chiffres clés 2014 Par rapport à 2012, les biens de consommation et les produits énergétiques enregistrent respectivement une inflation de 1,8 % et de -1,4 %. L écart entre les indices en 2012 s explique principalement par une hausse moindre pour les produits énergétiques dans l ensemble de l Union européenne Industrie totale (hors construction) - marché intérieur UE (28 pays) Belgique / / / / / / / / / / / /2013 Economie

51 Chiffres clés Economie Que représente l indice des prix à la production L indice des prix à la production de l industrie (à l exclusion de la construction) est un indicateur conjoncturel qui reflète l évolution mensuelle des prix des transactions de la production industrielle pour les différents secteurs économiques en Belgique. Cet indice peut non seulement révéler les signes précurseurs d une poussée inflationniste dans l économie, mais enregistre également l évolution des prix à plus long terme. Cet indice sert notamment de déflateur pour d autres indicateurs économiques et est également utilisé dans les contrats pour les clauses de révision des prix. L indice des prix à la production d une activité économique spécifique mesure l évolution moyenne des prix des biens produits en Belgique et des services connexes au cours des divers stades de transformation, et ce, pour les marchés intérieur et extérieur. Un indice de prix mesure la variation en pourcentage d un ensemble de prix au fil du temps. Les ventes se définissent comme la somme des revenus générés par la vente de biens ou la prestation de services au cours d une période donnée. La différence avec un indice des prix à la consommation L indice des prix à la consommation suit les prix payés par les ménages pour l achat de biens et de services représentatifs de leurs habitudes de consommation. L indice des prix à la production analyse les prix du point de vue du vendeur, soit les prix que les chefs d entreprise belges perçoivent pour les biens produits. Le calcul de l indice des prix à la production fait principalement appel à une enquête sur les prix menée auprès d entreprises qui produisent des biens industriels, mais il se base également sur quelques sources administratives. Le prix à l unité d un certain nombre de témoins représentatifs est suivi pour les différents secteurs. Pour déterminer un prix, il faut utiliser le prix de transaction réel (et non le prix catalogue), sans la TVA et autres impôts, y compris les subventions et les remises. Il faut également tenir compte de tous

52 les paramètres de fixation des prix, tels que le nombre de biens vendus et les variations de qualité. Un indice en chaîne L indice des prix à la production est calculé sous forme d un indice en chaîne mensuel. Contrairement à un indice direct (comme l indice des prix à la consommation), qui compare les prix actuels à une année de base, les prix sont ici comparés au niveau du mois précédent. Le calcul se base sur une moyenne pondérée des évolutions de prix moyennes par entreprise au sein des groupes de produits ou agrégats. Il tient compte également du poids de l entreprise dans l échantillon, qui est déterminé par la valeur de sa production et de son chiffre d affaires. Ces évolutions de prix sont alors ajoutées à l indice du mois précédent. On peut ainsi parler d un indice ayant 2010 comme année de base. Autrement dit, l indice exprime la différence entre le niveau actuel des prix et le niveau moyen de L utilisation d un indice en chaîne facilite le traitement des données lorsque des produits ou entreprises apparaissent ou disparaissent, lorsque des changements surviennent au niveau de la qualité ou encore lorsque des données sont manquantes. Chiffres clés Economie

53 Chiffres clés 2014 D I Démographie des entreprises Les cinq secteurs les plus représentés Ce chapitre porte sur les entreprises assujetties à la TVA et n inclut donc pas toutes les catégories d entreprises. Ces dernières sont classées selon les sections de la nomenclature NACE Rév Ces trois dernières années, le secteur «commerce et réparation d automobiles» occupe la position de tête. Arrivent ensuite les activités spécialisées, scientifiques et techniques, puis la construction. La plupart des intitulés des secteurs d activité sont relativement explicites, à l exception des sections M et S. La section M recouvre l ensemble des activités juridiques (notaires, huissiers de justice, conseillers juridiques) et comptables (experts comptables, fiscaux ), les activités de sièges sociaux et de conseil de gestion, les activités d architecture et d ingénierie, les activités de contrôle et d analyses techniques, la recherche et le développement scientifique, la publicité et les études de marché, la photographie ainsi que la traduction et l interprétation. La section S comprend notamment les activités des organisations associatives : les syndicats patronaux ou de salariés, les organisations ou associations professionnelles, philosophiques, politiques ou religieuses. Economie

54 Assujettis TVA Nombre d'enreprises actives des 5 secteurs les plus représentés annuellement en Belgique Chiffres clés G - Commerce; réparation d'automobiles et de motocycles 2 - M - Activités spécialisées, scientifiques et techniques 3 - F - Construction 4 - I - Hébergement et restauration 5 - A - Agriculture, sylviculture et pêche 5 - S - Autres activités de services 53 Economie

55 Chiffres clés 2014 Le graphique ci-après montre la différence par année entre les taux de création et de radiation d entreprises pour les cinq secteurs d activité comptant le plus d entreprises. Seule la différence entre ces taux est analysée et non l importance des taux de création ou de radiation Assujettis TVA Différence entre taux de création et de radiation des 5 secteurs les plus représentés annuellement en Belgique A - Agriculture, sylviculture et pêche F - Construction G - Commerce; réparation d'automobiles et de motocycles I - Hébergement et restauration M - Activités spécialisées, scientifiques et techniques S - Autres activités de services Economie

56 En 2011, l agriculture présentait un taux de radiation largement supérieur à son taux de création d entreprises (assujettissements ou ré-assujettissements à la TVA). En 2012, ce secteur quittait le top 5 et se voyait devancer par la catégorie des autres activités de services. Chiffres clés 2014 Les secteurs à forte croissance sont ceux des activités spécialisées, scientifiques et techniques et de la construction. En 2012, la construction connaissait toutefois un léger recul par rapport à En 2013, ce recul s accentuait davantage puisque sa croissance a diminué de près de 2 % en l espace de trois années. 55 L horeca présentait un solde positif en 2011 et en Si ce secteur a connu jusqu ici une diminution de sa population, généralement compensée par un taux de création plus important, cette tendance s inversait en 2013 pour la première fois en trois ans. Quant au secteur «commerce ; réparation d automobiles et de motocycles», il régresse également. En 2013, il passait même en pole position de notre top 5 en termes de décroissance (près de -1 % pour 2013), suivi de près par l horeca. Après avoir affiché un taux de croissance supérieur à 4 % durant deux ans, les activités spécialisées, scientifiques et techniques ont vu ce taux se réduire de moitié en Ce phénomène est comparable, dans une moindre mesure, à celui observé au niveau de la construction. Il semble donc que 2013 soit une année peu bénéfique en termes de croissance pour les cinq secteurs comptant le plus d entreprises. C est du reste une année significative pour l horeca et le secteur «commerce ; réparation d automobiles et de motocycles» puisque ces deux branches ont un taux de création inférieur à leur taux de radiation. Economie

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