Les nuages budgétaires se dissipent
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- Thomas Marier
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1 Regard prospectif sur les économies du et des États-Unis janvier Les nuages budgétaires se dissipent États-Unis Le récent compromis sur le mur budgétaire écarte la menace d une récession mais amputera la croissance du PIB d environ,5 % sur. Ses répercussions étaient essentiellement attendues et nous ne modifions pas nos s. Au terme de l entente, les allégements fiscaux temporaires de l administration Bush deviennent permanents saufs pour les plus hauts revenus (plus de $ pour un contribuable seul, 5 $ pour un couple), les prestations d assurance-chômage sont prolongées cette année pour environ millions de personnes, l impôt minimum de remplacement ne touchera pas la plupart des ménages à revenus moyens et les réductions automatiques de dépenses publiques sont reportées d au moins deux mois. Cependant le relèvement du taux des charges salariales reste fixé à deux points de pourcentage et l imposition des gains en capital et des dividendes passera de 5 % à % pour les ménages à hauts revenus. Les mesures d austérité ramèneront la croissance sous la barre des % au premier trimestre et la maintiendront à, % en, à peine plus élevée qu en. D ici quelques mois, le Congrès devra relever le plafond légal de la dette, valider les réductions de dépenses mises en attente et approuver le financement du fonctionnement des services publics tout en élaborant un programme crédible de réduction du déficit à moyen terme. Dans la mesure où le train budgétaire reste sur ses rails, la croissance du PIB devrait dépasser % au deuxième semestre de l année. Le marché domiciliaire a pris la relève des investissements des entreprises pour soutenir la croissance. Nous prévoyons à nouveau des gains de plus de % de la construction résidentielle cette année, compte tenu de l accroissement de la formation des ménages et de la faiblesse des stocks de logements. Entre-temps, les investissements des entreprises (et l embauche) devraient progresser, vu le moindre risque de récession. Une hausse de l emploi favorisera les dépenses des consommateurs qui disposeront des ressources nécessaires pour satisfaire une demande retenue. La hausse récente des ventes de véhicules vers un sommet de cinq ans témoigne de ces facteurs, alors que l endettement des ménages est revenu aux niveaux antérieurs à la bulle du crédit et que les patrimoines ont regagné /5 des pertes imputables à la récession. Après un freinage abrupt l année dernière, les exportations devraient se raffermir avec le redressement des économies émergentes. À l échelle des États et des localités, les pouvoirs publics accroîtront également leurs dépenses après trois années d austérité. L étau de la crise financière relâche son emprise sur l économie. ÉTUDES ÉCONOMIQUES Sal Guatieri, économiste principal sal.guatieri@bmo.com FAITS SAILLANTS L économie des distance légèrement l économie canadienne, avec des tendances divergentes sur le marché domiciliaire et celui du crédit. Le compromis du mur budgétaire évite la récession. Les deux économies devraient progresser modérément en, mais l austérité budgétaire des États-Unis pèsera dans la balance. Face à la hausse du chômage, la Fed restera accommodante, ce qui retiendra la Banque du d intervenir avant le début de. Le risque d un alourdissement des mesures d austérité budgétaire aux États-Unis présente un danger modéré pour les perspectives de croissance cette année. La crise de l euro s est calmée mais reste une menace pour l économie mondiale. Au, l endettement élevé des ménages reste légèrement préoccupant. Une publication du Service des études économiques de BMO Marchés des capitaux Sherry Cooper, Ph. D., économiste en chef, BMO Groupe financier
2 Page de 8 janvier En décembre, la Réserve fédérale a fait savoir qu elle entendait reprendre son programme de rachat direct de valeurs du Trésor, pour succéder à l Opération Twist et compléter son programme actuel de rachat de titres hypothécaires. À moins d une détérioration des perspectives inflationnistes, les autorités entendent maintenir le taux des fonds fédéraux proche de zéro jusqu à ce que le chômage tombe au moins à,5 %. À notre avis, ce chiffre ne sera pas atteint avant la fin de, et même avant le milieu de 5 selon la Fed. Nous pensons donc que les taux resteront stables jusqu en 5 et que le programme de rachats d actifs sera maintenu sur l essentiel de, ajoutant environ un billion de dollars au bilan de la Fed et à la masse monétaire. Bien que les taux des valeurs du Trésor aient atteint des sommets de huit mois après l adoption du compromis budgétaire, le maintien de nombreuses incertitudes, la modicité de la croissance, la faiblesse de l inflation et l AQ devraient être favorables au marché des titres de dette au cours des prochains mois. À partir du deuxième semestre, le raffermissement de l économie pourrait exercer des pressions continues sur les rendements. Une croissance sous la barre des % semble être la nouvelle norme pour le, vu la faiblesse des exportations, l endettement des consommateurs, le freinage du marché du logement et les effets secondaires du lock-out de la LNH. De leur côté, les secteurs des mines et de l énergie se sont contractés face à la baisse desprix des métaux de base et à l augmentation de la décote du brut albertain visà-vis des cours mondiaux du pétrole. À l exception des ventes d automobiles (qui, stimulées par un financement à % sur des durées prolongées, affichent leur deuxième meilleure année record), les ventes au détail n ont progressé que d un peu plus de, % a/a jusqu en octobre, excluant les voitures et l essence. La croissance du crédit personnel est à son plus bas niveau depuis ans vu le poids de l endettement actuel. Le PIB aura du mal à progresser de % au quatrième trimestre, à peine mieux que le taux médiocre de, % du troisième trimestre. Malgré tout, les entreprises ayant une forte trésorerie continueront d investir dans les structures commerciales dans un contexte de faiblesse des taux d inoccupation pour les bureaux et le commerce de détail. La croissance de l emploi reste décente et le taux de chômage atteignait un creux de quatre ans de 7, % en décembre. L économie canadienne perdant son élan, elle est à la merci de l humeur variable des autorités américaines. La morosité de la demande aux États-Unis et la vigueur du dollar canadien, combinées au freinage du marché domiciliaire et à l endettement des ménages et
3 Page de 8 janvier des gouvernements, devraient limiter le taux de l expansion à,8 % au premier trimestre. Il faudra que la croissance progresse aux États- Unis, ce que nous croyons, pour que l économie canadienne s affirme au deuxième semestre. Le bénéficiera également d une relance des investissements des entreprises lorsque l accélération de la demande mondiale (surtout en Chine) poussera les prix des produits de base. Cependant, la capacité disponible et la demande insatisfaite étant moins prononcées au qu aux États-Unis, ces derniers prendront probablement l avantage, ne serait-ce que pour rattraper leur retard sur les niveaux d activité enregistrés au. Les ventes de logements ont faibli en raison du fort endettement des ménages et du relèvement des critères d admissibilité hypothécaire. Dans la plupart des régions, les ventes sont revenues aux chiffres de la décennie précédente. La croissance des prix est moins rapide mais positive. Seule exception, la Colombie-Britannique où les ventes sont en deçà des normes de la décennie et où les prix se tassent. À l opposé, l Alberta voit un accroissement de la demande et des prix sur fond d évaluations raisonnables et de croissance robuste des revenus et de la population. À Toronto, malgré une baisse des ventes et un marché de la copropriété plus calme, les prix n ont baissé que modestement par rapport aux records récents. En, les prix devraient se stabiliser dans la plupart des régions, sauf en Alberta et en Saskatchewan où ils monteront, et à Vancouver et à Toronto où ils baisseront modérément. Bien que la Banque du maintienne ses mises en garde quant à un relèvement éventuel des taux, elle ne semble pas devoir agir à court terme. La croissance modeste, l inflation en deçà des cibles, l encadrement du crédit, les allégements de la Fed et la vigueur de la monnaie rendent une hausse de taux peu probable. À l opposé, la faiblesse des taux actuels et l endettement problématique des ménages excluent toute baisse. La Banque devrait maintenir son taux à un jour à % jusqu au premier trimestre, avant de le ramener graduellement à un niveau neutre de,5 % d ici. À,8 %, le affiche le taux d inflation (ICP) le plus faible des pays du G7 (à l exception du Japon). La robustesse du dollar canadien et la langueur persistante de l économie limitent la hausse des prix au détail et des coûts de la main-d œuvre. Si la demande se redresse, l inflation pourrait progresser graduellement jusqu à,7 % en. Risques La politique budgétaire américaine peut toujours influer sur les perspectives économiques. En premier lieu, si le Congrès ne prolonge pas le report des réductions de dépenses au-delà des deux prochains mois, la croissance économique pourrait perdre un demi-point de
4 Page de 8 janvier pourcentage supplémentaire en. Deuxièmement, toute réaction partisane du Congrès sur le relèvement du plafond de la dette (qui sera d actualité fin février lorsque le Trésor n aura plus de marge de manœuvre financière) pourrait provoquer une nouvelle baisse de la note de crédit des États-Unis, ce qui pousserait le coût des emprunts à la hausse et affecterait les marchés boursiers. Troisièmement, et d ici le 7 mars, le Congrès devra adopter une résolution pour financer les dépenses de fonctionnement du gouvernement et éviter le risque d un arrêt partiel des services publics. La baisse sensible du coût des emprunts des pays périphériques de la zone euro, à la suite de l engagement de la BCE à racheter des titres d emprunts publics et à accroître l aide financière à la Grèce, a réduit le risque aigu d une flambée financière. Cependant, la crise européenne reste une menace pour l expansion nord-américaine. La tenue d élections en Italie et en Allemagne cette année ainsi que le développement apparent des forces récessionnistes dans la périphérie de l Europe laissent penser que cette crise continuera de présenter un risque en. Les signes manifestes d une reprise de l économie chinoise ont réduit le risque d un atterrissage brutal, ce qui améliore les perspectives d évolution des prix des produits de base, et donc celles de la croissance des provinces productrices de ressources du. Le ralentissement graduel du marché domiciliaire canadien (objectif visé par le resserrement des règles hypothécaires) a limité le risque d une correction brutale en cas de hausse des taux d intérêt. Également, la croissance du crédit à la consommation se modère, pour s aligner de façon plus durable sur la croissance des revenus, réduisant ainsi le risque d un freinage brutal des dépenses de consommation.
5 Page 5 de 8 janvier Prévisions CANADA ANNUEL I II III IV I II III IV PIB réel (var. trim. en % : taux annuel),7,7,,,8,,5,5,,,8 Dépenses de consommation,,,8,,9,,,,,, Investissement des entreprises (non résid.),9 8,8 -,5,8,,, 8,, 5,9 7,9 Indice des prix à la consommation (var. annuelle en %),,,,,,,,,9,5,7 Taux de chômage (%) 7, 7, 7, 7, 7, 7, 7, 7, 7,5 7, 7, Mises en chantier (milliers, taux annualisé) Balance des opérations courantes (milliards de dollars, taux annualisé) -, -7,5-75, -, -8, -9,5-9,7-8, -5, -7, -9, Taux d'intérêt (moyenne du trimestre, %) Taux du financement à un jour,,,,,,,,,,, Bons du Trésor à mois,88,95,97,9,9,9,9,9,9,9,9 Obligations à ans,,9,78,77,85,95,,8,78,87,5 Écarts des taux d'intérêt entre le et les États-Unis (moyenne du trimestre, points de base) 9 jours ans ÉTATS-UNIS PIB réel (var. trim. en %, taux annuel),,,,7,8,8,,,8,, Dépenses de consommation,,5,,,5,,7,,5,9, Investissement des entreprises (non résid.) 7,5, -,8,7,5,5 7,5 8,5 8, 7,, Indice des prix à la consommation (var. annuelle en %),8,9,7,9,,,,,,,9 Taux de chômage (%) 8, 8, 8, 7,8 7,8 7,7 7,5 7, 8,9 8, 7, Mises en chantier (millions, taux annualisé),7,7,77,87,9,9,95,97,,77,9 Balance des opérations courantes (milliards de dollars, taux annualisé) Taux d'intérêt (moyenne du trimestre, %) Taux cible des fonds fédéraux,,,,,,,,,,, Bons du Trésor à mois,7,9,,9,7,7,7,7,5,9,7 Obligations à ans,,8,,7,8,9,5,,79,8,99 TAUX DE CHANGE (moyenne du trimestre) US/$ CA 99,9 99,,5,9,,,,8,,,8 $ CA/$ US,,,995,99,,99,989,98,989,999,99 /$ US $ US/euro,,8,5,,,9,7,,9,9,8 $ US/,57,58,58,,,,59,58,,59, Remarque : Les cellules ombrées représentent les s de BMO Marchés des capitaux.
6 Page de 8 janvier LE STRESS FINANCIER RESTE MODÉRÉ États-Unis (au 9 janvier ) LE RISQUE DE CRÉDIT DIMINUE MALGRÉ LES CRAINTES LIÉES À LA DETTE EUROPÉENNE États-Unis (pp) Écart TED VIX Écarts des obligations de sociétés Taux des dépôts en eurodollars à mois moins taux des bons du Trésor à mois (pb) Indice de volatilité du marché du CBOE Taux de l indice des obligations de sociétés à 5 ans notées AA de BoA Merrill Lynch moins taux des obligations du Trésor à ans LE DOLLAR CANADIEN CONSERVE SA VIGUEUR ( US, au janvier ) Dollar canadien Parité, LES PRIX DES PRODUITS DE BASE ONT LÉGÈREMENT BAISSÉ Fourchette de prix depuis janvier 9 Aliments et matériels Métaux et énergie Bois d oeuvre ($ US/ 8, pi²) (au 9 janvier ) 7,5 [actuel] 9,5 Or ($ US/once) 8, (au 9 janvier ) 57,75 [actuel] 895, 9 Soja ($ US/boiss.) 8,5,99 7,9 Pétrole ($ US/baril),98 9,,9 8 7 Blé ($ US/boiss.), 7,8, Gaz naturel ($ US/Mbtu),9,, LA CROISSANCE DEVRAIT REPRENDRE AU E SEMESTRE DE (% de var. sur mois) Maïs ($ US/boiss.),7,9 8,9 Cuivre ($ US/livre),8 La relance du logement aux soutient les prix du bois d œuvre LES DÉPENSES DES CONSOMMATEURS SONT MODESTES (% de var. sur mois),, PIB réel Dépenses de consommation personnelles réelles - -,,,8,,8,,,
7 Page 7 de 8 janvier LES INVESTISSEMENTS DES ENTREPRISES CANADIENNES SONT SOUTENUS (% de var. sur mois) Investissement non résidentiel réel des entreprises mais la menace du mur budgétaire freine les investissements aux LE TAUX DE CHÔMAGE BAISSE LENTEMENT AUX ÉTATS- UNIS (%) LES VENTES ET LES PRIX DES LOGEMENTS RALENTISSENT AU CANADA Logements existants (% de var. sur mois, moy. mobile sur mois) Ventes Prix prix à la hausse aux - 8 L INFLATION EST FAIBLE Indice des prix à la consommation (% de var. sur mois) 8 Taux de chômage Creux de ans Ind. global Ind. de réf , %,8 % États-Unis Ind. global Ind. de réf ,9 %,8 % LA BANQUE DU CANADA NE BOUGERA PAS AVANT LE DÉBUT DE (%, au 9 janvier ) 7 5 Taux du financement à un jour %, % Creux de 5 ans %,5 % Le taux des fonds fédéraux sera stable jusqu à la mi-5 TAUX DES VALEURS DU TRÉSOR COMPRIMÉS PAR LES RACHATS DE LA FED (%, au janvier ) 5 Obligations à ans,95 %,9 % Écart - 5 pb,5 %,5 % (fin de ), %,8 % (fin de ) ils resteront faibles début pour remonter ensuite
8 Page 8 de 8 janvier Les informations, opinions, estimations, projections et autres données contenues dans ce document ont été établies à la date indiquée et sont sujettes à changement sans préavis. Certaines des informations, opinions, estimations, projections et autres données figurant ici ont été obtenues auprès de nombreuses sources, et la Banque de Montréal («BMO») et ses sociétés affiliées font tout leur possible pour assurer que le contenu du présent document est fondé sur des sources considérées comme fiables et que les données et les opinions sont complètes et précises. Cependant, BMO et ses sociétés affiliées n ont effectué aucune vérification indépendante, ne peuvent donner aucune garantie, expresse ou implicite, à cet égard et ne peuvent être tenues responsables des erreurs ou omissions éventuelles, ni des pertes découlant de l utilisation des informations, opinions, estimations, projections et autres données contenues dans ce document par le destinataire ou l utilisateur ou d autres tiers (y compris, non exclusivement, un client du destinataire ou de l utilisateur). BMO et/ou ses sociétés affiliées peuvent, en outre, disposer d information n y figurant pas. Les informations, opinions, estimations, projections et autres données contenues dans ce document ne constituent pas une offre de vente ou une sollicitation d achat des produits et services mentionnés ici, quels qu ils soient (y compris, non exclusivement, des marchandises, des titres et d autres instruments financiers), et ne devraient pas être considérées comme telles, pas plus que ces informations, opinions, estimations, projections et autres données ne devraient être considérées comme des conseils en placement ou comme une recommandation en faveur de la conclusion d une opération, quelle qu elle soit. Des renseignements supplémentaires peuvent être obtenus directement auprès de BMO ou de sa société affiliée concernée. BMO et/ou ses sociétés affiliées peuvent coter un marché ou effectuer une opération comme contrepartistes sur les produits mentionnés ici, quels qu ils soient (y compris, non exclusivement, des marchandises, des titres et d autres instruments financiers). BMO, ses sociétés affiliées et/ou leurs actionnaires, dirigeants, administrateurs ou employés respectifs peuvent à l occasion détenir une position en compte ou à découvert dans lesdits produits (y compris, non exclusivement, des marchandises, des titres et d autres instruments financiers). BMO Nesbitt Burns Inc. et/ou BMO Capital Markets Corp., filiales de BMO, peuvent par ailleurs assurer des services de conseils financiers ou de prise ferme pour certaines des sociétés mentionnées dans ce document et peuvent recevoir une rémunération à cet effet. BMO Marchés des capitaux est un nom commercial utilisé par BMO Groupe financier pour les services aux grandes entreprises de la Banque de Montréal, de BMO Harris Bank N.A. et de Bank of Montreal Ireland Plc et les services de courtage auprès des clients institutionnels de BMO Capital Markets Corp., de BMO Nesbitt Burns Trading Corp. S.A., de BMO Nesbitt Burns Securities Limited et de BMO Capital Markets GKST Inc. aux États-Unis, de BMO Nesbitt Burns Inc. au, en Europe et en Asie, de BMO Nesbitt Burns Ltée/Ltd. au, de BMO Capital Markets Limited en Europe, en Asie et en Australie, et de BMO Advisors Private Limited en Inde. AUX RÉSIDENTS DES ÉTATS-UNIS : BMO Capital Markets Corp. et/ou BMO Nesbitt Burns Securities Ltd., sociétés affiliées à BMO NB, fournissent ce document aux résidents des États-Unis et endossent la responsabilité de son contenu, à l exception de ce qui fait référence aux titres de la Banque de Montréal. Tout résident des États-Unis désirant effectuer une opération sur les titres mentionnés dans ce document doit le faire par l intermédiaire de BMO Capital Markets Corp. et/ou BMO Nesbitt Burns Securities Ltd. AUX RÉSIDENTS DU ROYAUME-UNI : Ce document ne s adresse pas aux investisseurs résidant au Royaume-Uni, à l exception des personnes décrites à la Partie VI de la loi intitulée Financial Services and Markets Act (Financial Promotion) Order. MD Marque de commerce déposée de la Banque de Montréal aux États-Unis, au et partout ailleurs. Banque de Montréal.
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