D E L A P R O D U C T I O N À LA CONSOMMATION

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "D E L A P R O D U C T I O N À LA CONSOMMATION"

Transcription

1 D E L A P R O D U C T I O N À LA CONSOMMATION F R A N C E E U R O P E M O N D E STATISTIQUES DES OLÉAGINEUX ET PROTÉAGINEUX H U I L E S E T P R O T É I N E S V É G É T A L E S 28-29

2 29 Ouvrage réalisé par Proléa-Documentation 12, avenue George V Paris Maquette, mise en page : Duplilog, Paris Impression : Imprimerie Corlet, Condé-sur-Noireau - N 2

3 Observations L édition du recueil de statistiques Proléa vous propose la mise-à-jour des principales données de production, d échanges et d utilisations des produits de la filière des oléagineux et protéagineux. Les dates Les années de référence choisies correspondent aux évènements majeurs de la formation de la Communauté Economique Européenne et concourrent à expliquer les évolutions de notre secteur : 1973 = CEE à 9 : adhésion du Danemark, du Royaume Uni et de l lrlande; Embargo soja des Etats-Unis; 1981 = CEE à 1 : adhésion de la Grèce; 1986 = CEE à 12 : adhésion de l Espagne et du Portugal; 1995 = UE à 15 : adhésion de l Autriche, de la Finlande et de la Suède; 25 = UE à 25 : adhésion de la République Tchèque, l Estonie, la Hongrie, la Lettonie, le Lituanie, la Pologne, la Slovénie, la Slovaquie, Chypre et Malte; 27 = UE à 27 : adhésion de la Bulgarie et de la Roumanie; (L ex-rda a été intégrée par la Commission de la CEE dans les statistiques en 199/91 (partie UE) et dès 1989/9 par Oil world (partie Monde) ; l Autriche, la Finlande et la Suède ont été intégrées par la Commission de l UE dans ses statistiques en 95/96 (partie UE) et dès 1993 par Oil World (partie Monde)). Les sources des données statistiques Nous avons retenu les sources qui nous ont paru les plus pertinentes ou les plus complètes dans leurs domaines respectifs à savoir : OLÉAGINEUX : France ONIGC Huileries de France (huiles et tourteaux) Douanes (importations-exportations) UE Eurostat, DG Agri de la commission européenne, COPA/COGECA et COCERAL (production, surfaces et rendements de graines) FEDIOL (huiles et tourteaux, importations et exportations) Monde Oil World (production, importations-exportations) PROTÉAGINEUX : France UNIP, SCEES, ONIOL, GNIS, SNDF (production, surfaces et rendements) Douanes (importations-exportations) UE UNIP, Commission UE, CIDE (production et utilisations) Nimexe (importations-exportations) Monde FAO, STAT Publishing, Abare JACHERE INDUSTRIELLE : France ONIGC UE Commission UE, COPA/COGECA Les unités Les productions, échanges et utilisations sont exprimés en mille tonnes (1 tonnes); Les surfaces sont exprimées en mille hectares (1 ha) Les rendements sont exprimés en quintaux/hectare (q/ha) Tout complément d information peut être obtenu auprès du Service Documentation de Proléa. 3

4 S O M M A I R E OLÉAGINEUX Réglementation communautaire Réglementation non alimentaire FRANCE UE Graines oléagineuses Production, surfaces et rendements Surfaces oléagineuses non alimentaires cultivées sur jachère ou bénéficiant de l ACE Carte de répartition des surfaces de colza alimentaire Carte de répartition des surfaces de tournesol alimentaire Carte de répartition des surfaces de soja Carte de répartition des surfaces de colza non alimentaire Prix de marché Importations et exportations Transformation des graines Carte de l implantation des unités de trituration Huiles végétales Production Importations et exportations Consommation Tourteaux Production Importations Consommation Graines oléagineuses Surfaces par pays Production par pays Importations et exportations Trituration par pays Huiles végétales Production par pays Consommation par pays Bilan d approvisionnement d huilerie Tourteaux Production par pays Consommation par pays Bilan matières riches en protéines

5 MONDE Graines oléagineuses Production Huiles végétales Production Consommation Tourteaux Production PROTÉAGINEUX Réglementation communautaire FRANCE UE MONDE Production, surfaces et rendements Carte de répartition des surfaces de pois Carte de répartition des surfaces de féveroles Carte de répartition des surfaces de lupins Comparaison des prix du pois, de la féverole et du blé meunier Comparaison des prix du pois, du blé fourrager et du tourteau de soja Bilans pois et féveroles Production, surfaces et rendements de protéagineux Production, surfaces et rendements en pois par pays Production, surfaces et rendements en féveroles par pays Bilans pois et féveroles Consommation de pois et féveroles Production de fourrages déshydratés et séchés Surfaces de légumes secs (Pois chiches - Lentilles) Production de pois secs Production de fèves et féveroles Production de lupins Production de pois chiches Production de lentilles

6

7 OLÉAGINEUX COLZA-NAVETTE TOURNESOL SOJA LIN NON TEXTILE 7

8 RÉGLEMENTATION COMMUNAUTAIRE La réglementation mise en place en 1966 par la Communauté pour favoriser le développement des productions d oléagineux avait défini des prix institutionnels (intervention et indicatif) fixés par campagne. Pour faire suite aux conclusions du Panel oléagineux USA/CEE, l UE a mis en place, en 1992, un régime transitoire (1) pour les productions d oléagineux, préfigurant la réforme générale des productions végétales (2) de Ainsi, le soutien communautaire aux prix des oléagineux, institué en 1966, a été remplacé par un système d indemnité compensatoire par hectare d oléagineux semé dans la Communauté. Pour faire suite aux dispositions d Agenda 2 le régime oléagineux est démantelé à partir de 2 en 3 étapes par alignement sur les aides céréales (63 /t à partir de 22) Pour la récolte 1992, l indemnité compensatoire fixée à 384 Ecus par hectare a été calculée à partir : - d un prix communautaire des céréales de 155 Ecus/t - d un rapport de prix de 2,1 entre oléagineux et céréales en vue d assurer l équilibre entre ces cultures - des rendements communautaires moyens de 46 q pour les céréales et 23,6 q pour les oléagineux - d un prix de référence prévisionnel mondial de 163 Ecus/t pour les trois graines (colza/tournesol/soja) soit 129 F/q. L indemnité compensatoire moyenne communautaire est modulée dans chaque Etat membre en fonction des références de rendement retenues par région agricole. Les Etats membres ensuite ont défini des plans de régionalisation. Ainsi, les Pouvoirs Publics français ont établi un découpage en trois zones aboutissant à trois niveaux d indemnité tenant compte des rendements de référence. Le calcul de l indemnité se fait en deux temps : - un montant prévisionnel en début de campagne - un montant définitif après observation des prix de marchédes graines au cours des six premiers mois de la campagne de commercialisation. Pour la campagne 1993/1994, le plan de régionalisation 92 a été globalement maintenu mais des dispositions nouvelles sont venues s appliquer : baisse de l aide de référence de 384 à 359 Ecus/ha ramenant ainsi le ratio entre céréales et oléagineux à 2,3 prise en compte de la solidarité nationale pour 1/3 dans le rendement servant de calcul à l aide obligation de gel des terres à hauteur de 15 % de la SCOP (céréales/oléagineux/protéagineux) instauration du régime des petits producteurs ( de 92 t). De plus, la zone 2 a bénéficié d une indemnité spécifique soja sec/soja irrigué. Pour la campagne 95/96, les Pouvoirs Publics français ont revu le découpage de la régionalisation à 2 zones (cf. carte). De plus, le gel rotationnel obligatoire est réduit de 15 à 12 % non compris le gel extraordinaire. Les superficies autorisées, pour l U.E. à 12, (5,128 Mha avant gel) par le mémorandum d accord sur les oléagineux négocié le 8 juin 1993 passent à 5,484 Mha du fait de l entrée de 3 nouveaux pays : Autriche, Suède et Finlande au 1 er janvier Pour la campagne 96/97, le taux de jachère a été réduit à 1 % et l obligation de gel rotationnel a été supprimée. Pour la campagne 97/98, le taux de jachère a été abaissé à 5 %. Cependant, pour les oléagineux les accords de Blair House imposent 1 %. Pour la campagne 98/99, le taux de jachère a été fixé à 1 %. Pour faire suite aux dispositions d Agenda 2 le régime oléagineux, à partir de la récolte 2, est démantelé en 3 étapes (3), de façon à aligner les aides oléagineux sur les aides céréales (63 euros par tonne) pour 22. L ajustement des aides oléagineux en fonction du prix de référence, qui était le seul filet de sécurité face aux aléas du marché mondial est supprimé dès la récolte 2, alors que le régime SMG (surface maximale garantie) est maintenu pour les récoltes 2 et 21. Le paiement des aides s effectue désormais comme pour les autres grandes cultures, entre le 16 novembre et le 31 janvier suivant la récolte. Le plan de régionalisation spécifique aux oléagineux a été maintenu pour 2, par contre l aide spécifique au soja irrigué a été supprimée. L année 22 est celle de la disparition du paiement spécifique pour les oléagineux. De même, le plan de régionalisation spécifique aux oléagineux est supprimé. Les aides oléagineux sont maintenant identiques aux aides céréales, calculées sur la base de 63 par tonne de rendement de référence. De ce fait, le soja irrigué peut à nouveau bénéficier d une aide basée sur un rendement de référence irrrigué. 8

9 En 22, la modulation des aides à la surface, instaurée en 2, a été supprimée. Par contre, une mesure agro-environnementale en faveur de la diversification des cultures dans l assolement, dite «MAE rotationnelle», a été introduite à titre expérimental dans 7 régions. Pour la récolte 23, le montant des paiements compensatoires aux oléagineux ne varie pas : 63 euros par tonne de rendement de référence céréales. Pour la récolte 24, l aide oléagineux reste à 63 euros par tonne de référence céréales. Le taux de jachère a, par dérogation, été abaissé à 5 %. Une aide spécifique aux cultures énergétiques hors jachère (ACE) de 45 /ha, est instaurée à partir de la récolte 24. Cette aide est attribuée à toutes les cultures de colza ou tournesol destinées à la production d énergie. La mesure agri-environnementale a été élargie à d autres régions. L année 25 est une année de transition avant la mise en place de la nouvelle réforme de la PAC (4). Les paiements restent liés aux surfaces cultivées, mais le prélèvement au titre de la modulation (3% en 25) et la conditionnalité, qui subordonne le paiement des soutiens au respect de critères de nature environnementale (les BCAE «bonnes conditions agricoles environnementales»), s appliquent déjà. 26 est l année de la mise en place de la réforme de la PAC qui s appuie sur le découplage des aides c est-à-dire la suppression du lien direct entre l aide et la production. Le paiement aux cultures arables est désormais partiellement découplé. Il est constitué : - à 75% d une partie découplée, les DPU (droits à paiement unique), non liée à la production effective et basée sur un historique des aides versées pendant la période de référence 2 à à 25% d une partie couplée, constituée d aides directement liée à la production La modulation entraîne une réduction des aides de 4% en 26 et de 5 % en 27 et en 28. Le prélèvement initial servant à alimenter la réserve nationale vient aussi amputer les soutiens versés en 25. Son montant s élève à 2,2 %. L ACE, aide aux cultures énergétiques, reste identique : 45 /ha. Jusqu en 26, le dispositif ne s applique que dans l UE-15, avec une superficie maximale de 1,5 Mnha. A partir de 27, il s applique aux nouveaux membres, avec une superficie maximale de 2 Mnha. Pour la récolte 28, le taux de jachère obligatoire a été abaissé à %. Le Bilan de santé de la PAC, prévu par la réforme de 24, a donné lieu a une véritable réforme, qui s appliquera entre 21 et 212. Les principales mesures concernant les grandes cultures sont les suivantes : - La jachère obligatoire est supprimée dès Les soutiens accordés aux céréales et oléoprotéagineux sont totalement découplés*. La part de 25 % des aides restées couplée jusqu en 29 est intégrée pour 11 % dans les DPU ; les 14 % restants sont consacrés à des dispositifs d aide à d autres secteurs - En outre, 4,55 % du montant de l ensemble des aides sont prélevés pour être réorientés vers des mesures de soutien spécifiques à certains types d agriculture, et vers des dispositifs de gestion des risques (dont l assurance récolte, à hauteur de 1 millions d euros). - Afin de renforcer le second pilier (destiné à soutenir le développement rural) le prélèvement au titre de la modulation est augmenté progressivement de 5 % en 28 à 1 % en Ces prélèvements ne seront que très partiellement compensés par des mesures d accompagnement aux producteurs de céréales et d oléoprotéagineux, consistant en une aide à la diversification des assolements pour la seule année 21 (d un montant maximum de 25 /ha), et par une nouvelle MAE rotationnelle, plafonnée à 1,8 Mha (32 /ha), dont l accès est limité aux exploitations des départements dont le rendement de référence est inférieur à 6 /ha. * Les aides aux éleveurs bovins restent partiellement couplées. Certaines primes spécifiques, dont la prime aux protéagineux, restent couplées; (1) Règ. Conseil 3766/91 - Commission 615/92 (2) Règ. Conseil 1765/92 - Commission 2294/92 (3) Règ. Conseil 1251/99 Commission 2316/99 (4) Règ. Conseil 1782/3 Commission 2237/3-795/24-796/24 (5) Règ. Conseil 79/29 Commission 1122/29 9

10 Réglementation non alimentaire La réforme de la PAC de 1992 a offert aux agriculteurs la possibilité de cultiver, à des fins non alimentaires, les terres mises en jachère. Ce dispositif a été conservé lors de la réforme de 23, qui a prévu, en plus, une aide spécifique aux cultures energétiques hors jachère, de 45 euros par hectare (Règlements 334/ / /24). En vigueur jusqu en 29, ces règlements imposent un cadre strict aux cultures industrielles ou énergétiques : Ies matières premières et leur utilisation finale doivent figurer dans les deux listes annexées au réglement ; «la valorisation économique des produits non alimentaires ou énergétiques issus de la transformation des matières doit être supérieure à celle de tous les autres produits destinés à la consommation humaine ou animale issus de la même transformation» ; Ia transformation en produit final autorisé doit être effectuée au 31 juillet de la deuxième année qui suit l année de récolte. Les réglements imposent également un strict suivi des cultures jusqu à l utilisation finale du produit par : I obligation de passer un contrat de culture et d achat ; I obligation de cautionnement par le premier transformateur pour le compte du collecteur délégué, devant garantir la transformation en produit final non alimentaire (25 /ha pour la jachère industrielle, 6 /ha pour les cultures énergétiques); I obligation de communication aux principaux stades de la filière: récolte, livraison, réception. En outre, l AUP exerce l ensemble des contrôles prévus par le règlement : contrôle de validité du contrat ; contrôle du respect des délais de communication ; contrôle du respect de la règle de valorisation économique ; contrôle du respect des engagements pris par les transformateurs. Avec la suppression de la jachère à partir de 29, et de l ACE à partir de 21, les conditions de la contractualisation des surfaces oléagineuses destinées au débouché non alimentaire sont profondément modifées. Pour faire face à ce nouveau contexte, les membres de l interprofession des oléagineux préparent un accord qui incitera l ensemble des maillons de la filière biodiesel à contractualiser sur une base pluriannuelle. Ceci afin d assurer la régularité d approvisionnement des différents débouchés des huiles de colza et de tournesol, et de permettre aux producteurs d oléagineux de valoriser au mieux leur production. Cet accord prévoit deux types de contrats : les premiers proposés par les transformateurs aux organismes de collecte, en vue d approvisionner les outils industriels, les seconds proposés par les organismes de collecte aux producteurs d oléagineux pour assurer l approvisionnement en graines. Enfin, le fait générateur du paiement de la compensation de la jachère ou de l aide aux cultures énergétiques est la livraison de la quantité de matière première sous contrat au collecteur délégué ou, selon le cas, au premier transformateur, sous réserve du respect de toutes les obligations prévues en la matière. 1

11 OLÉAGINEUX France GRAINES 11

12 FRANCE Production, surfaces et rendements de graines oléagineuses Entre 1973 et 199, la sole oléagineuse française a plus que quintuplé, atteignant presque 2 millions d hectares. Conséquence de la mise en place de la réforme de la PAC en 1992, les surfaces oléagineuses ont diminué, entraînant une importante diminution de la production de graines. Dès la campagne 1994/95, les surfaces et la production d oléagineux sont reparties à la hausse. Mais elles marquent le pas entre 2 et 24, à la suite de l agenda 2. La progression de la production reprend depuis 25 grâce à la progression des cultures non alimentaires. Pour la campagne 29-1 la production de colza est en hausse de 3% par rapport à celle de 28 grâce à une progression des surfaces et des rendements. La production de tournesol progresse de 1%, sur une superficie en hausse de 15%. Enfin, la sole de soja a doublé entre 28 et 29, après 3 années de forte baisse, et retrouve son niveau de 26. En 29-1, on observe une hausse de 8% des surfaces oléagineuses. En 1 ha 16 Évolution des surfaces françaises de graines oléagineuses depuis Tournesol Colza Soja Évolution de la production française de graines oléagineuses depuis 1996 En 1 t Colza Tournesol Soja Sources : Sido/ONIOL et Commission UE

13 OLÉAGINEUX GRAINES Par année de récolte, y compris jachère industrielle Production : en 1 tonnes Surfaces : en 1 ha. Rendement : en quintaux/ha. Estimations FranceAgriMer pour 28 et COLZA Surfaces dont jachère et ACE Production Rendement ,1 26,5 32,1 31,3 35,2 36,6 29,3 28, ,5 TOURNESOL Surfaces dont jachère et ACE Production Rendement ,5 22,4 24,3 21,6 23,5 23,8 22,5 25,5 25, 24 SOJA Surfaces Nd Production Nd Rendement Nd ,2 25, ,2 24,6 24,8 27,3 28, 29, 27 SOUS-TOTAL Surfaces dont jachère et ACE Production LIN non textile Surfaces dont jachère ,9 1,3 1 1,3,9 1,1,1 - - Sources : Commission UE de 1988 à 1992, SIDO/ONIOL/ONIGC, FranceAgriMer et ONIDOL 13

14 FRANCE Surfaces oléagineuses non alimentaires cultivées sur jachère ou bénéficiant de l ACE En campagne En ha. 22/3 23/4 24/5 25/6 26/7 27/8 28/9 29/21 Colza EMC (1) ou chimique sur jachère Colza érucique sur jachère Colza hors jachère bénéficiant de l ACE (2) Total colza non alimentaire Tournesol sur jachère Tournesol hors jachère utilisé à des fins énergétiques Total tournesol non alimentaire Lin oléagineux sur jachère (1) EMC = Ester Méthylique de Colza (2) ACE = Aide aux cultures énergétiques Source : ONIGC 14

15 OLÉAGINEUX Colza hors jachère/ace : carte de répartition des surfaces en 28 GRAINES Récolte 28 Total : hectares 8665 Carte de répartition du colza industriel, voir chapitre jachère industrielle Surfaces en hectares 1 Surface en hectares et et plus Source : SCEES et ONIOL 15

16 Tournesol hors jachère/ace : carte de répartition des surfaces en 28 Récolte 28 Total : hectares Surfaces en hectares Source : SCEES et ONIOL 16

17 OLÉAGINEUX Soja : carte de répartition des surfaces en 28 GRAINES Récolte 28 Total : hectares Surfaces en hectares et plus Source : SCEES 17

18 FRANCE Carte de répartition des surfaces de colza jachère/ace - 28 Récolte 28 Total : hectares Surfaces en hectares et plus Source : ONIOL 18

19 19

20 Prix de marché de la graine de colza (Rendu Rouen) Sources : FOP, Dépêche Agricole 2

21 OLÉAGINEUX GRAINES 21

22 Prix de marché de la graine de tournesol (R. portuaire/usine) /T Campagne 1/2 Campagne 2/3 Campagne 3/4 Campagne 4/5 Camp 5 juil-1 oct-1 jan-2 avr-2 juil-2 oct-2 jan-3 avr-3 juil-3 jan-4 juil-4 oct-3 avr-4 oct-4 jan-5 juil-5 avr-5 oct-5 j Sources : FOP, Dépêche Agricole 22

23 OLÉAGINEUX GRAINES /T Campagne 5/6 Campagne 6/7 Campagne 7/8 Campagne 8/ juil-5 vr-5 oct-5 jan-6 avr-6 juil-6 oct-6 jan-7 juil-7 avr-7 oct-7 jan-8 juil-8 avr-8 jan-9 oct-8 juil-9 avr-9 oct

24 Prix de marché de la graine de soja (CAF Rotterdam) Sources : FOP, Dépêche Agricole 24

25 OLÉAGINEUX GRAINES 25

26 FRANCE Importations de graines oléagineuses En année civile En 1 tonnes UE à 15 de 1995 à 23 - UE à 25 depuis 24 - UE à 27 depuis COLZA Intra UE Extra UE TOURNESOL Intra UE Extra UE SOJA Intra UE Extra UE TOTAL C + T + S Intra UE Extra UE Source : Douanes 26

27 OLÉAGINEUX FRANCE Exportations de graines oléagineuses GRAINES En année civile En 1 tonnes UE à 15 de 1995 à 23 - UE à 25 depuis 24 - UE à 27 depuis COLZA Intra UE Extra UE Nd TOURNESOL Intra UE Extra UE SOJA Intra UE Extra UE TOTAL C + T + S Intra UE Extra UE Source : Douanes 27

28 FRANCE Solde du commerce extérieur des graines oléagineuses La France exporte essentiellement du colza et importe du soja. En ce qui concerne le colza, la France est nettement exportatrice, essentiellement vers les pays de l UE. Mais, depuis 27, le développement des biocarburants fait sensiblement baisser l excédent de la balance commerciale en colza. En soja, la France importe des graines des pays tiers. À la suite de l interdiction des farines animales dans l alimentation animale, les importations de graines de soja ont doublé entre 2 et 21. Elles diminuent depuis 23. Cependant, la plus grosse part du soja importé arrive sous forme de tourteau (cf p. 45). 28

29 OLÉAGINEUX France Transformation des graines 29

30 FRANCE Transformation des graines oléagineuses La trituration française est en augmentation depuis 1992, tirée par une demande mondiale en huiles très soutenue. L incorporation des graines entières en alimentation animale suit le cours des graines (si les graines sont chères, leur utilisation directe diminue). Aujourd hui, la France ne triture plus que des graines de colza, tournesol et soja. Le colza représente 7 % de la trituration, le tournesol 24 % et le soja 6 % en 28. La part du colza progresse nettement, puisqu elle est passée de 4% en 1999 à 7 % en 27, en raison du développement des biocarburants. Évolution de la trituration 3 Source : Huileries de France

31 OLÉAGINEUX GRAINES Trituration de graines et fruits oléagineux En année civile En 1 tonnes ARACHIDE SOJA COLZA TOURNESOL TOTAL Source : Huileries de France Utilisation de graines entières en alimentation animale En campagne En 1 tonnes Provisoire pour 29/21 86/87 91/92 96/97 1/2 4/5 5/6 6/7 7/8 8/9 9/1 SOJA COLZA Nd TOURNESOL Nd TOTAL Source : ONIOL 31

32 FRANCE Situation des unités de triturations, de raffinage, de conditionnement et d estérification Coudekerque Dieppe Rouen Tourcoing Brest Montoir St Nazaire Château Gontier Verdun Compiègne Le Mériot Lapalisse Lezoux Bordeaux Aix Trituration Boussens Béziers Sète Vitrolles Raffinage/ Conditionnement Estérification Source : SOFIPROTEOL 32

33 OLÉAGINEUX France H U I L E S 33

34 FRANCE Production d huiles végétales brutes et raffinées (contre-valeur des graines) La production française d huiles végétales a augmenté de 7 % de 1981 à 1988 et s est stabilisée jusqu'en 1994 aux alentours de 9 tonnes. En 1993, la chute des emblavements en colza et tournesol (Réforme de la PAC) a entraîné la baisse de la production d huile (-15 %, dont -31 % en colza et -13 % en tournesol). Depuis 2, la production d huile progresse, pour répondre aux besoins du marché des biocarburants. Les huiles de colza et de tournesol constituent la quasi-totalité de la production française d huiles végétales. Depuis 1986, la production d huile d arachide a disparu, celle de tournesol a progressé de 5%, et celle de colza a été multipliée par 6, tandis que la production d huile de soja est restée à peu près stable. Evolution de la production d huiles végétales en France Source : Huileries de France 34

35 OLÉAGINEUX HUILES En année civile En 1 tonnes ARACHIDE SOJA COLZA TOURNESOL LIN COPRAH/PALMISTE (1) 4 12 AUTRES (2) TOTAL (1) = Valeur huile brute uniquement (2) = Huiles de maïs et de pépins de raisin Source : Huileries de France 35

36 FRANCE Echanges d huiles végétales La France a progressivement amélioré son auto-approvisionnement global en huiles végétales. Le bilan global (imports/exports) était presque équilibré jusqu en 2. En 28, le bilan est équilibré en tournesol et en colza, mais les importations d huile de palme et de soja s élèvent à près de 9 t. Les huiles concrètes (palme, palmiste et coprah), ainsi que les huiles d arachide et de ricin sont importées en totalité. 36

37 OLÉAGINEUX H U I L E S IMPORTATIONS (Intra et extra UE, brutes et raffinées) En année civile En 1 tonnes ARACHIDE SOJA COLZA TOURNESOL PALME AUTRES (1) TOTAL EXPORTATIONS (Intra et extra UE, brutes et raffinées) En année civile En 1 tonnes SOJA COLZA TOURNESOL AUTRES (1) TOTAL (1) = Huiles de maïs, de pépins de raisin, de coprah, palmiste, de lin et de ricin. Source : Huileries de France 37

38 FRANCE Consommation potentielle d huiles végétales brutes et raffinées (contre-valeur des graines + importations d huiles exportations d huiles) Entre 1981 et 25, la consommation apparente en huiles végétales, a largement doublé, et a dépassé, depuis 21, le million et demi de tonnes. Elle atteint presque 3 millions de tonnes en 28. La consommation d huile d arachide a, sur la même période, été divisée par 5 (baisse au profit du tournesol, du colza et du palme). La part de l huile de tournesol, bien que déjà importante en alimentation humaine depuis la fin des années 197, a progressé de 3% par an, de 1986 à Depuis cette date, elle oscille autour de 4 t. L huile de colza a connu une augmentation de 2% par an de 1986 à 1993, soit une importante progression de sa consommation, particulièrement dans les industries agro-alimentaires et les usages non alimentaires. Depuis 1999, elle est la première huile consommée en France, et sa part de marché continue à progresser. Autres 3% 1% Arachide Palme 12% Soja 19% Répartition de la Coprah/Palmiste 2% consommation française en huiles végétales en 28 Tournesol 16% Colza 46% En 1 T. 13 Évolution de la consommation 5 française en huiles végétales Arachide Soja Colza Tournesol Coprah/Palmiste Palme Lin Source : Huileries de France

39 OLÉAGINEUX H U I L E S En année civile En 1 tonnes ARACHIDE SOJA COLZA TOURNESOL COPRAH/PALMISTE PALME LIN AUTRES (1) TOTAL (1) = Huiles de maïs, de pépins de raisin et de ricin Source : Huileries de France 39

40

41 OLÉAGINEUX France TOURTEAUX 41

42 FRANCE Production de tourteaux Jusqu en 1992, on peut noter une augmentation constante de la production de tourteaux de colza et de tournesol, tout particulièrement en tournesol (55,5% de la production totale en 1992 contre 13% en 1981), parallèlement à une baisse de celle des tourteaux de soja (13% de la production totale en 1992 contre 43% en 1981). La production de tourteaux se stabilise autour de 1,7 million de tonnes entre 1995 et 2, puis repart à la hausse en 21 et 22, à la suite de l interdiction des farines de viande dans l alimentation des animaux. La hausse reprend en 25, en raison de la progression du tourteau de colza, co-produit du biodiesel. En 1 t Evolution de la production française de tourteaux Colza 9 8 Tournesol Soja Source : Huileries de France 42

43 OLÉAGINEUX TOURTEAUX En année civile En 1 tonnes SOJA COLZA TOURNESOL SOUS-TOTAL ARACHIDE COPRAH/PALMISTE 25 6 LIN TOTAL Source : Huileries de France 43

44 FRANCE Importations de tourteaux (Intra et extra UE) La France demeure fortement importatrice de tourteaux : 5,6 MT en 28 dont 8% en tourteaux de soja. De 1989 à 1992 ses importations croissent au rythme de 3 à 4% par an. En 1993, elles marquent le pas mais repartent de plus belle en 1994 pour atteindre un niveau record. Entre 1995 et 1997, du fait d une disponibilité accrue de graines et d une trituration nationale à la hausse, les importations totales sont relativement stables, autour de 4,4 MT. En 1998, les importations de tourteaux ont progressé de 15% par rapport au niveau de Entre 21 et 23, à la suite de l interdiction des farines animales dans l alimentation des animaux, les importations de tourteau de soja augmentent. Elles ont légèrement diminué en 24 et restent sous le niveau de 23 depuis. 44

45 OLÉAGINEUX TOURTEAUX En année civile En 1 tonnes ARACHIDE SOJA COLZA TOURNESOL AUTRES (1) TOTAL (1) = tourteaux de coton, lin coprah, palmiste, ricin et coton Source : Huileries de France 45

46 46 FRANCE Consommation apparente de tourteaux (Production + importations exportations) Le tourteau de soja, riche en protéines et en énergie reste, bien qu en recul, largement prédominant : 6 % de la consommation totale de tourteaux en 28, contre 86% en Entre 2 et 22, la part du tourteau de soja est passée de 65 à 71%, avant de reculer de 1 % entre 23 et 28, au profit du tourteau de colza. La part du tourteau de colza s est fortement accrue, grâce au développement du colza. Elle est passée de 5% en 1981 à 28 % en 28. L utilisation du tournesol s est développée aussi, passant de 3 % à 8 %. La production nationale de tourteaux couvrait, en 26/27, 28 % de la demande globale. Ce taux était proche de 4% entre 1965 et Il est inférieur à 3% depuis 198. Tournesol 3% Colza 5% Lin 2% Autres 2% Arachide 2% Lin 2% Tournesol 8% Coprah/ palmiste 2% Soja 86% Colza 28% Soja 6% Source : Huileries de France

47 OLÉAGINEUX TOURTEAUX En année civile En 1 tonnes SOJA COLZA TOURNESOL SOUS-TOTAL ARACHIDE COPRAH/PALMISTE LIN AUTRES TOTAL Source : Huileries de France 47

48 48

49 OLÉAGINEUX U E GRAINES 49

50 UE Surfaces de graines oléagineuses Par année de récolte, y compris jachère non-alimentaire En 1 ha. CEE à 1 en 1981, à 12 en 1986, y compris ex-rda depuis 199, à 15 en 1995, à 25 depuis 24, à 27 depuis 27 Estimations pour SOJA Autriche Espagne France Italie Rep. Tchèque Hongrie Slovaquie Roumanie Total UE COLZA Allemagne Autriche Benelux Danemark Espagne Finlande France Italie Royaume-Uni+Irl Suède Rep. Tchèque Estonie Hongrie Lettonie Lituanie Pologne Slovaquie Slovenie Roumanie Bulgarie Total UE Sources : Eurostat et Commission UE - COCERAL

51 OLÉAGINEUX GRAINES TOURNESOL Allemagne Autriche Espagne France Grèce Italie Portugal Rep. Tchèque Hongrie Pologne Slovaquie Roumanie Bulgarie Total UE TOTAL Allemagne Autriche Benelux Danemark Espagne Finlande France Grèce Italie Portugal Royaume-Uni+Irl Suède Rép. Tchèque Estonie Hongrie Lettonie Lituanie Pologne Slovaquie Slovenie Roumanie Bulgarie Total UE Sources : Eurostat et Commission UE - COCERAL 51

52 UE Surfaces de graines oléagineuses Entre 198 et 199, la sole européenne en oléagineux a plus que triplé, passant de 1,7 Mio ha en 198 à 5,4 Mio ha en 199. Mais depuis le début des années199 et jusqu'en 1997/98, suite aux changements de réglementation cette croissance spectaculaire s est arrêtée ; les surfaces en oléagineux oscillaient entre 5,4 et 5,7 Mio ha. Une nette diminution des surfaces s est amorcée avec l entrée en vigueur de l agenda 2. Entre 24 et 27, les surfaces oléagineuses progressent sensiblement, en raison de l élargissement de l UE, et de la demande de biocarburants. En 28 et 29, on observe une baisse de la sole en oléagineux, due à la moindre rentabilité relative de cette culture. En 1 ha Évolution des surfaces de graines oléagineuses dans l UE (à 15 de 1995 à 23, à 25 depuis 24, à 27 depuis 27) Colza Tournesol Soja Sources : Eurostat, Commission UE et COCERAL

53 UE Production de graines oléagineuses OLÉAGINEUX GRAINES Résultant de l essor spectaculaire des surfaces et de la progression des rendements moyens, la production européenne d oléagineux est passée de 3 Mio T en 198 à 16 Mio T en L entrée en vigueur de l agenda 2 a entraîné une diminution sensible de la production oléagineuse entre 2 et 23, mais en 24 l entrée de 1 nouveaux pays dans l Union, et la reprise de la production dans l UE-15 provoquent un bond de la production communautaire de 61%. Le bond observé en 27 est dû en partie à l entrée dans l UE de la Roumanie et de la Bulgarie, et en partie à la forte progression du colza, liée à l essor des biocarburants dans l UE. Evolution de la production de graines oléagineuses dans l UE (à 15 de 1995 à 23, à 25 depuis 24 à 27 depuis 27) En 1 t Colza Tournesol Soja Production de graines oléagineuses par pays de l UE à 27 en 29 Source : Coceral

54 UE Production de graines oléagineuses Par année de récolte y compris jachère non-alimentaire En 1 tonnes. CEE à 1 en 1981, à 12 en 1986, y compris ex-rda depuis 199, UE à 15 en 1995, UE à 25 depuis 24, UE à 27 depuis 27 Estimations pour SOJA Autriche Nd Espagne France Italie Rép. Tchèque Hongrie Slovaquie Roumanie Total UE COLZA Allemagne Autriche Nd Bénélux Danemark Espagne Finlande France Italie Royaume-Uni+Irl Suède Rep. Tchèque Estonie Hongrie Lettonie Lituanie Pologne Slovaquie Slovenie Roumanie Bulgarie Total UE

55 OLÉAGINEUX GRAINES TOURNESOL Allemagne Autriche Nd Espagne France Grèce Italie Portugal Rép. Tchèque Hongrie Pologne Slovaquie Roumanie Bulgarie Total UE TOTAL Allemagne Autriche Nd Bénélux Danemark Espagne Finlande France Grèce Italie Portugal Royaume-Uni+Irl Suède Rép. Tchèque Estonie Hongrie Lettonie Lituanie Pologne Slovaqui Slovenie Roumanie Bulgarie Total UE Sources : Eurostat et Commission UE - COCERAL 55

56 UE Echanges de graines oléagineuses Importations extra-communautaires de graines oléagineuses en 27 Echanges intra-communautaires de graines oléagineuses en 27 Colza 3% Tournesol 3% Soja 22% Colza 6% Soja 94% Tournesol 18% Source : FÉDIOL 56

57 OLÉAGINEUX GRAINES En année civile En 1 tonnes UE à 9 en 1973, à 1 en 1981, à 12 en 1986, à 15 à partir de 1995, à 25 à partir de 24, à 27 à partir de 26 Importations COLZA Intra UE Extra UE TOURNESOL Intra UE Extra UE SOJA Intra UE Extra UE TOTAL Intra UE Extra UE Exportations COLZA Intra UE Extra UE TOURNESOL Intra UE Extra UE SOJA Intra UE Extra UE TOTAL Intra UE Extra UE Source : FÉDIOL 57

58 UE Trituration de graines oléagineuses - Soja En année civile En 1 tonnes UE à 9 en 1973, à 1 en 1981, à 12 en 1986, à 15 à partir de 1995, à 25 à partir de 24, à 27 à partir de SOJA Allemagne Autriche 8 17 Bel-Lux Danemark Espagne Finlande France Grèce Nd Italie Pays-Bas Portugal Royaume-Uni+Irl Tchéquie Hongrie Lituanie 8 14 Pologne Slovaquie Bulgarie 1 Roumanie Lettonie Total UE

59 UE Trituration de graines oléagineuses - Colza OLÉAGINEUX GRAINES COLZA Allemagne Autriche Bel-Lux Danemark Espagne Finlande France Italie Pays-Bas Portugal Royaume-Uni+Irl Suède Tchéquie Estonie Hongrie Lettonie Lituanie Pologne Slovénie Slovaquie Bulgarie 6 13 Roumanie Total UE Source : FEDIOL 59

Premières estimations pour 2014 Le revenu agricole réel par actif en baisse de 1,7% dans l UE28

Premières estimations pour 2014 Le revenu agricole réel par actif en baisse de 1,7% dans l UE28 194/2014-15 décembre 2014 Premières estimations pour 2014 Le revenu agricole réel par actif en baisse de 1,7% dans l UE28 Par rapport à 2013, le revenu agricole réel par actif 1 a diminué de 1,7% dans

Plus en détail

Principaux partenaires commerciaux de l UE, 2002-2014 (Part dans le total des échanges de biens extra-ue, sur la base de la valeur commerciale)

Principaux partenaires commerciaux de l UE, 2002-2014 (Part dans le total des échanges de biens extra-ue, sur la base de la valeur commerciale) 55/2015-27 mars 2015 Commerce international de biens en 2014 Principaux partenaires commerciaux de l UE en 2014: les États-Unis pour les exportations, la Chine pour les importations Le commerce entre États

Plus en détail

Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005. Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005.

Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005. Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005. Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005 Summary in French Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005 Résumé Le soutien accordé aux producteurs

Plus en détail

Prix du gaz et de l électricité dans l Union européenne en 2011

Prix du gaz et de l électricité dans l Union européenne en 2011 COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 366 Novembre 2012 Prix du gaz et de l électricité dans l Union européenne en 2011 OBRVATION ET STATISTIQU ÉNERG En 2011, le prix du gaz a augmenté dans tous

Plus en détail

Prix de l énergie dans l Union européenne en 2010

Prix de l énergie dans l Union européenne en 2010 COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 249 Septembre 2011 Prix de l énergie dans l Union européenne en 2010 OBRVATION ET STATISTIQU ÉNERG En 2010, le prix du gaz a diminué dans l Union européenne

Plus en détail

OBSERVATION ET STATISTIQUES

OBSERVATION ET STATISTIQUES COMMISSARI GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 461 Novembre 2013 Prix du gaz et de l électricité en France et dans l Union européenne en 2012 OBRVION ET STISTIQU ÉNERG En 2012, le prix du gaz a augmenté

Plus en détail

Prix et coûts de production de six grandes cultures : blé, maïs, colza, tournesol, betterave et pomme de terre

Prix et coûts de production de six grandes cultures : blé, maïs, colza, tournesol, betterave et pomme de terre Prix et coûts de production de six grandes cultures : blé, maïs, colza, tournesol, betterave et pomme de terre Dominique Desbois, Bernard Legris* Les prix à la production des principaux produits agricoles

Plus en détail

Panorama des bioénergies en Europe. Colloque Bioénergies

Panorama des bioénergies en Europe. Colloque Bioénergies Panorama des bioénergies en Europe Panorama des bioénergies en Europe Synthèse des informations existantes sur le sujet des bioénergies en Europe Sources : législation : Europa, portail de l Union européenne

Plus en détail

Taux de risque de pauvreté ou d exclusion sociale le plus élevé en Bulgarie, le plus faible en République tchèque

Taux de risque de pauvreté ou d exclusion sociale le plus élevé en Bulgarie, le plus faible en République tchèque 168/2014-4 Novembre 2014 Risque de pauvreté ou d'exclusion sociale dans l'ue28 Plus de 120 millions de personnes menacées de pauvreté ou d exclusion sociale en 2013 Soit près d une personne sur quatre

Plus en détail

Prix et marges dans la distribution des carburants

Prix et marges dans la distribution des carburants Prix et marges dans la distribution des carburants Rapport d étape au Ministre de l Économie et des Finances (24 août 2012) Anne BOLLIET Inspectrice générale des Finances Boris RAVIGNON Inspecteur des

Plus en détail

Le marché de l assurance de protection juridique en Europe. Octobre 2013

Le marché de l assurance de protection juridique en Europe. Octobre 2013 Le marché de l assurance de protection juridique en Europe Octobre 2013 Le marché de l assurance de protection juridique en Europe Octobre 2013 Dans sa dernière publication, RIAD, l Association internationale

Plus en détail

Les comptes nationaux et le SEC 2010

Les comptes nationaux et le SEC 2010 Les comptes nationaux et le SEC 2010 7 ème séminaire de la Banque nationale de Belgique pour enseignants en économie du secondaire Bruxelles, le 22 octobre 2014 Catherine RIGO Plan de l exposé Introduction

Plus en détail

PAC. ce qui change. vraiment

PAC. ce qui change. vraiment PAC 2014 2020 ce qui change vraiment Dotée d un budget préservé de l ordre de 9,1 milliards par an, la nouvelle pac entrera pleinement en application en 2015 et sera le cadre commun de l agriculture européenne

Plus en détail

Kit Demande de Bourse Etude Erasmus 2014-2016

Kit Demande de Bourse Etude Erasmus 2014-2016 CESI-ERA- 1415 - Informations Programme Erasmus ERASMUS 2014-2016 Période d Etude Note d information aux élèves Les élèves de l ei.cesi et d exia.cesi peuvent bénéficier d une bourse Erasmus : - pour une

Plus en détail

Les réformes de la PAC

Les réformes de la PAC www.supagro.fr Les réformes de la PAC Sophie Thoyer thoyer@supagro.inra.fr Centre international d études supérieures en sciences agronomiques La PAC d aujourd hui (2006 2014) En 2014, comment sont attribuées

Plus en détail

Revenu agricole 2013 : une année délicate pour les productions céréalières

Revenu agricole 2013 : une année délicate pour les productions céréalières Agreste Champagne-Ardenne n 4 - Juillet 2015 Réseau d information comptable agricole En 2013, le Résultat Courant Avant Impôt (RCAI) moyen des exploitations agricoles champardennaises couvertes par le

Plus en détail

L IMMIGRATION AU SEIN DE L UE

L IMMIGRATION AU SEIN DE L UE L IMMIGRATION AU SEIN DE L UE Source: Eurostat, 2014, sauf indication contraire Les données se rapportent aux ressortissants de pays tiers, dont le lieu de résidence habituel se trouvait dans un pays hors

Plus en détail

Mobilité de l enseignement supérieur

Mobilité de l enseignement supérieur Mobilité de l enseignement supérieur Guide financier 2014 1 SOMMAIRE Introduction... 3 Le calcul de la subvention par l agence... 4 Utilisation de la subvention par l établissement... 7 Exemple d allocation

Plus en détail

Bénéficiaires du droit d asile dans l UE, par nationalités, 2014. Irak 5% Afghanistan

Bénéficiaires du droit d asile dans l UE, par nationalités, 2014. Irak 5% Afghanistan 82/2015-12 mai 2015 Décisions sur les demandes d asile dans l UE Les États membres de l UE ont accordé la protection à plus de 185 000 demandeurs d asile en 2014 Les Syriens demeurent les premiers bénéficiaires

Plus en détail

Le coût du rachat de trimestres pour carrière à l étranger multiplié par 4 au plus tard le 1 er janvier 2011

Le coût du rachat de trimestres pour carrière à l étranger multiplié par 4 au plus tard le 1 er janvier 2011 Le coût du rachat de trimestres pour carrière à l étranger multiplié par 4 au plus tard le 1 er janvier 2011 Un article de la loi de financement de la sécurité sociale 2010 aligne le coût de ce rachat

Plus en détail

Fiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008

Fiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008 Fiche Technique Production Peu Développée en Languedoc-Roussillon Filière Maraichage Mais doux Septembre 2008 Rédigée par : Julien GARCIA Chambre Régionale d Agriculture du Languedoc-Roussillon Potentiel

Plus en détail

Prendre sa retraite en France Droits, conditions et formalités de résidence. Natasha Lavy-Upsdale Service des Relations avec les Pays-hôtes

Prendre sa retraite en France Droits, conditions et formalités de résidence. Natasha Lavy-Upsdale Service des Relations avec les Pays-hôtes Prendre sa retraite en France Droits, conditions et formalités de résidence Natasha Lavy-Upsdale Service des Relations avec les Pays-hôtes Novembre 2011 Droit de libre circulation et de séjour des citoyens

Plus en détail

Pourquoi est-il important pour une banque de sécuriser le chiffre d affaires des entreprises agricoles?

Pourquoi est-il important pour une banque de sécuriser le chiffre d affaires des entreprises agricoles? Pourquoi est-il important pour une banque de sécuriser le chiffre d affaires des entreprises agricoles? Pourquoi est-il important pour une banque de sécuriser le chiffre d affaires des entreprises agricoles?

Plus en détail

Les prestations servies dans la zone UE-EEE-Suisse entre 2004 et 2013

Les prestations servies dans la zone UE-EEE-Suisse entre 2004 et 2013 R EGARD SUR... Les prestations servies dans la zone UE-EEE-Suisse entre 24 et 213 (application des règlements (CEE) n 148/71 puis (CE) n 883/24) Chaque année, les paiements effectués par la France en application

Plus en détail

Quel est le temps de travail des enseignants?

Quel est le temps de travail des enseignants? Quel est le temps de travail des enseignants? Dans les établissements publics, les enseignants donnent, en moyenne et par an, 779 heures de cours dans l enseignement primaire, 701 heures de cours dans

Plus en détail

Guide SEPA Paramétrage Experts Solutions SAGE depuis 24 ans

Guide SEPA Paramétrage Experts Solutions SAGE depuis 24 ans Guide SEPA Paramétrage Axe Informatique Experts Solutions SAGE depuis 24 ans Installation Paramétrage Développement Formation Support Téléphonique Maintenance SEPA Vérification du paramétrage des applications

Plus en détail

En 2011, l investissement corporel brut

En 2011, l investissement corporel brut 4.1 Investissement En 211, l investissement corporel brut hors apport des entreprises des secteurs principalement marchands non financiers et non agricoles s élève à 196 milliards d euros. Il s est redressé

Plus en détail

Institut des comptes nationaux. Statistique du commerce extérieur. Bulletin mensuel 2015-01

Institut des comptes nationaux. Statistique du commerce extérieur. Bulletin mensuel 2015-01 Institut des comptes nationaux Statistique du commerce extérieur Bulletin mensuel 2015-01 Contenu de la publication Les règlements européens cités dans la notice méthodologique en fin de publication prescrivent

Plus en détail

Saint-Marin Allemagne. Monaco. Saint-Siège Andorre. Norvège. Slovaquie Autriche. Pays-Bas. Slovénie Belgique. Pologne. Suède Bulgarie.

Saint-Marin Allemagne. Monaco. Saint-Siège Andorre. Norvège. Slovaquie Autriche. Pays-Bas. Slovénie Belgique. Pologne. Suède Bulgarie. Jeunes demandeurs d asile tchétchènes jouant au centre d accueil de BialaPodlaska(Pologne). Albanie France Monaco Saint-Marin Allemagne Grèce Norvège Saint-Siège Andorre Hongrie Pays-Bas Slovaquie Autriche

Plus en détail

Veufs MARS 2015. Veuvage, vos droits. B Retraite de réversion. B Allocation de veuvage. B Autres prestations

Veufs MARS 2015. Veuvage, vos droits. B Retraite de réversion. B Allocation de veuvage. B Autres prestations Veufs MARS 2015 Veuvage, vos droits B Retraite de réversion B Allocation de veuvage B Autres prestations Veuvage, vos droits À la perte de votre conjoint, de nombreuses démarches sont à accomplir. L Assurance

Plus en détail

Association nationale de la meunerie française

Association nationale de la meunerie française Association nationale de la meunerie française LA MEUNERIE FRANCAISE : ses entreprises, ses marchés t tla t structure des entreprises de la meunerie française La meunerie française est composée de 373

Plus en détail

COMMENT PAYEZ-VOUS? COMMENT VOUDRIEZ-VOUS PAYER?

COMMENT PAYEZ-VOUS? COMMENT VOUDRIEZ-VOUS PAYER? COMMENT PAYEZ-VOUS? COMMENT VOUDRIEZ-VOUS PAYER? 2/09/2008-22/10/2008 329 réponses PARTICIPATION Pays DE - Allemagne 55 (16.7%) PL - Pologne 41 (12.5%) DK - Danemark 20 (6.1%) NL - Pays-Bas 18 (5.5%) BE

Plus en détail

Le commerce de détail en Europe : la diversité des tissus commerciaux

Le commerce de détail en Europe : la diversité des tissus commerciaux Le commerce de détail en Europe : la diversité des tissus commerciaux Claire de Kermadec* Les habitudes culturelles, la taille et la dynamique des marchés modèlent le paysage du commerce de détail en Europe.

Plus en détail

Vous avez eu ou élevé des enfants Vos droits

Vous avez eu ou élevé des enfants Vos droits Salariés FÉVRIER 2014 Vous avez eu ou élevé des enfants Vos droits B Les majorations de durée d assurance B Le congé parental B La majoration pour 3 enfants Vous avez eu ou élevé des enfants Vous avez

Plus en détail

NOTE DE SYNTHÈSE DU REM (INFORM)

NOTE DE SYNTHÈSE DU REM (INFORM) NOTE DE SYNTHÈSE DU REM (INFORM) Politiques, pratiques et données statistiques sur les mineurs isolés étrangers (MIE) dans les États membres de l UE et en Norvège 1. INTRODUCTION Cette note de synthèse

Plus en détail

Livre blanc Compta Le SEPA : Comment bien préparer sa migration?

Livre blanc Compta Le SEPA : Comment bien préparer sa migration? Livre blanc Compta Le SEPA : Comment bien préparer sa migration? Notre expertise en logiciels de gestion et rédaction de livres blancs Compta Audit. Conseils. Cahier des charges. Sélection des solutions.

Plus en détail

RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010

RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU RAD Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 Les essentiels du Réseau agriculture durable RÉSULTATS DE L OBSERVATOIRE TECHNICO-ÉCONOMIQUE DU Synthèse 2011 - Exercice comptable 2010 Réseau d information comptable agricole du Ministère de l Agriculture,

Plus en détail

Vous avez du talent, nous protégeons votre indépendance. Demande de pension d invalidité Notice explicative

Vous avez du talent, nous protégeons votre indépendance. Demande de pension d invalidité Notice explicative Vous avez du talent, nous protégeons votre indépendance Demande de pension d invalidité Nature des pensions PENSION POUR INCAPACITE AU METIER (seulement les professions artisanales) Il s agit d une pension

Plus en détail

La couverture des risques agricoles

La couverture des risques agricoles PACIFICA - ASSURANCES DOMMAGES La couverture des risques agricoles Patrick Degiovanni Directeur Général Adjoint Page 1 Marrakech, Jeudi 28 octobre 2010 Sommaire Le contexte Les risques du métier en Agriculture

Plus en détail

Nom. les. autres États. n de l aviation. Organisation. ATConf/6-WP/49 14/2/12. Point 2 : 2.2. Examen de. des accords bilatéraux. consultées.

Nom. les. autres États. n de l aviation. Organisation. ATConf/6-WP/49 14/2/12. Point 2 : 2.2. Examen de. des accords bilatéraux. consultées. Nom Organisation n de l aviation civile internationale NOTE DE TRAVAIL ATConf/6-WP/49 14/2/12 SIXIÈME CONFÉRENCE MONDIALE DE TRANSPORT AÉRIEN Montréal, 18 22 mars 2013 Point 2 : 2.2 Examen de questions

Plus en détail

PROGRAMME ERASMUS+ Toute mobilité Erasmus+, financée ou non par la bourse, doit faire l objet de justification sur la base des documents suivants

PROGRAMME ERASMUS+ Toute mobilité Erasmus+, financée ou non par la bourse, doit faire l objet de justification sur la base des documents suivants PROGRAMME ERASMUS+ Le programme Erasmus+ concerne les mobilités réalisées dans le cadre d un des accords Erasmus de Sciences Po Grenoble dans les pays suivants : 27 Etats membres de l Union Européenne

Plus en détail

AVANT-PROPOS. Directeur de la Division de la statistique de la FAO

AVANT-PROPOS. Directeur de la Division de la statistique de la FAO AVANT-PROPOS L Annuaire statistique de la FAO fournit une sélection d indicateurs par pays sur l alimentation et l agriculture. Les données proviennent de FAOSTAT, la base de données statistique de l Organisation

Plus en détail

Pension AOW pour les assurés hors des Pays-Bas

Pension AOW pour les assurés hors des Pays-Bas Pension AOW pour les assurés hors des Pays-Bas Sommaire Qu est-ce que la pension AOW? 2 A qui est destinée la pension AOW? 2 Quand aurez-vous droit à la pension AOW? 4 Résider dans un pays et travailler

Plus en détail

Document d information 1. Principaux aspects de la proposition de la Commission COM (2000) 716 du point de vue de l alimentation animale

Document d information 1. Principaux aspects de la proposition de la Commission COM (2000) 716 du point de vue de l alimentation animale Proposition de la Commission COM (2000) 716 établissant les principes généraux et les prescriptions générales du droit alimentaire, instituant l Autorité Alimentaire Européenne et fixant des procédures

Plus en détail

Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres

Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres LE POINT SUR LES INÉGALITÉS DE REVENU Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres Résultats issus de la Base de données de l OCDE sur la distribution des revenus

Plus en détail

La retraite pour pénibilité

La retraite pour pénibilité Salariés MAI 2012 La retraite pour pénibilité Conditions Démarches La retraite pour pénibilité Un dispositif de retraite pour pénibilité a été créé par la réforme des retraites de 2010. Il permet aux assurés

Plus en détail

Guide de préparation au virement SEPA pour les PME

Guide de préparation au virement SEPA pour les PME Imprimé avec des encres végétales sur du papier PEFC par une imprimerie détentrice de la marque Imprim vert, label qui garantit la gestion des déchets dangereux dans les filières agréées. La certification

Plus en détail

Préparez-vous au virement SEPA

Préparez-vous au virement SEPA OCTOBRE 2012 ENTREPRENEURS N 6 PAIEMENT LES MINI-GUIDES BANCAIRES www.lesclesdelabanque.com Le site pédagogique sur la banque et l argent Préparez-vous au virement SEPA FBF - 18 rue La Fayette - 75009

Plus en détail

12. Le système monétaire

12. Le système monétaire 12. Le système monétaire Le rôle de la monnaie est fondamental. Imaginez une situation où aucun moyen de paiement ne ferait l unanimité : - Economie de «troc». - On échange des biens et services contre

Plus en détail

Préparez-vous au virement

Préparez-vous au virement octobre 2012 Entrepreneurs n 6 paiement Les mini-guides bancaires www.lesclesdelabanque.com Le site pédagogique sur la banque et l argent Préparez-vous au virement SEPA FBF - 18 rue La Fayette - 75009

Plus en détail

Définition des variables présentées dans le RICA

Définition des variables présentées dans le RICA Les termes en gras italique sont définis par ailleurs dans le lexique. Les termes en italique désignent des variables explicitement recueillies dans le Rica. A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V

Plus en détail

Les exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures?

Les exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures? Les exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures? Benoît Pagès 1, Valérie Leveau 1 1 ARVALIS Institut du

Plus en détail

Quelle garantie pour vos dépôts?

Quelle garantie pour vos dépôts? Imprimé www.lesclesdelabanque.com PEFC par une imprimerie détentrice avec des encres végétales sur du papier marque Imprim vert, label qui garantit la gestion des déchets dangereux dans les filières agréées.

Plus en détail

FORMALITES DOUANIERES

FORMALITES DOUANIERES FORMALITES DOUANIERES En France métropolitaine, pour les envois intra-métropole et vers les pays de l Union Européenne, toute vente de marchandise est soumise à la TVA. En revanche, les marchandises exportées

Plus en détail

Conditions tarifaires des principaux services financiers et bancaires au 1 er février 2015. intermédiaire en opérations de banque de Socram Banque

Conditions tarifaires des principaux services financiers et bancaires au 1 er février 2015. intermédiaire en opérations de banque de Socram Banque maif.fr Conditions tarifaires des principaux services financiers et bancaires au 1 er février 2015 intermédiaire en opérations de banque de Socram Banque Services financiers et bancaires La MAIF a fondé

Plus en détail

Épargner et investir au sein de l Union européenne La Directive européenne sur l épargne pour les non-résidents

Épargner et investir au sein de l Union européenne La Directive européenne sur l épargne pour les non-résidents Épargner et investir au sein de l Union européenne La Directive européenne sur l épargne pour les non-résidents Sommaire 3 LA DIRECTIVE EUROPÉENNE SUR L ÉPARGNE: UN CONTEXTE NOUVEAU POUR L ÉPARGNE CONSTITUÉE

Plus en détail

Qui sommes-nous? Motivation Factory propose des solutions web

Qui sommes-nous? Motivation Factory propose des solutions web Qui sommes-nous? Motivation Factory propose des solutions web La Motivation intangible : portails collaboratifs métiers, innovation collaborative, management des idées, brainstorming La Motivation tangible

Plus en détail

RETRAITES : Y A-T-IL UNE SOLUTION IDÉALE EN EUROPE POUR UN AVENIR?

RETRAITES : Y A-T-IL UNE SOLUTION IDÉALE EN EUROPE POUR UN AVENIR? RETRAITES : Y A-T-IL UNE SOLUTION IDÉALE EN EUROPE POUR UN AVENIR? Une question européenne mais traitée dans chaque Etat membre L avenir des systèmes de retraite et ses conséquences sur la zone euro, internationalise

Plus en détail

LES ASSURANCES DE BIENS ET DE RESPONSABILITÉ. Données clés 2012

LES ASSURANCES DE BIENS ET DE RESPONSABILITÉ. Données clés 2012 LES ASSURANCES DE BIENS ET DE RESPONSABILITÉ Données clés 2012 Sommaire Sauf indications contraires, toutes les données ont pour origine les enquêtes de la Direction des études et des statistiques FFSA-GEMA.

Plus en détail

Notes explicatives concernant le formulaire d opposition

Notes explicatives concernant le formulaire d opposition OFFICE DE L HARMONISATION DANS LE MARCHÉ INTÉRIEUR (OHMI) (marques, dessins et modèles) Notes explicatives concernant le formulaire d opposition 1. Remarques générales 1.1 Utilisation du formulaire Le

Plus en détail

Les concepts et définitions utilisés dans l enquête «Chaînes d activité mondiales»

Les concepts et définitions utilisés dans l enquête «Chaînes d activité mondiales» Les concepts et définitions utilisés dans l enquête «Chaînes d activité mondiales» Les chaînes d activité mondiales (CAM) Les chaînes d activité recouvrent la gamme complète des fonctions et des tâches

Plus en détail

Activités et résultats 2011

Activités et résultats 2011 Activités et résultats rci en bref RCI Banque est la captive financière de l Alliance Renault Nissan et assure à ce titre le financement des ventes des marques Renault, Renault Samsung Motors (RSM), Dacia,

Plus en détail

B o u r s e d e m o b i l i t é B E E p o u r l e s d é p a r t s e n 2 0 1 2 1

B o u r s e d e m o b i l i t é B E E p o u r l e s d é p a r t s e n 2 0 1 2 1 1 B o u r s e d e m o b i l i t é B E E p o u r l e s d é p a r t s e n 2 0 1 2 1 Objectif : Acquérir une expérience professionnelle en réalisant un stage en entreprise de 3 mois à temps plein à l étranger

Plus en détail

LA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE

LA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE LA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE par John P. Martin, Martine Durand et Anne Saint-Martin* Audition

Plus en détail

LES ASSURANCES DE PERSONNES. Données clés 2011

LES ASSURANCES DE PERSONNES. Données clés 2011 LES ASSURANCES DE PERSONNES Données clés 211 2 Sommaire Sauf indications contraires, toutes les données ont pour origine les enquêtes statistiques de la direction des études et des statistiques FFSA-GEMA

Plus en détail

Je suis sous procédure Dublin qu est-ce que cela signifie?

Je suis sous procédure Dublin qu est-ce que cela signifie? FR Je suis sous procédure Dublin qu est-ce que cela signifie? B Informations pour les demandeurs d une protection internationale dans le cadre d une procédure de Dublin en vertu de l article 4 du Règlement

Plus en détail

Financement du sport, crise économique et politique sportive

Financement du sport, crise économique et politique sportive Conférence SNEP: «Sport demain, enjeu citoyen», Créteil, 30-31 mars 2012 Financement du sport, crise économique et politique sportive Wladimir ANDREFF * * Professeur émérite à l Université de Paris 1 Panthéon

Plus en détail

apparentés), titulaires d un diplôme ou d un titre paramédical européen, souhaitant exercer en région Nord Pasde-Calais et délivrées par les DRJSCS*

apparentés), titulaires d un diplôme ou d un titre paramédical européen, souhaitant exercer en région Nord Pasde-Calais et délivrées par les DRJSCS* L équivalence Les autorisations des diplômes d exercice étrangers en France dans le pour les ressortissants secteur du paramédical européens (ou apparentés), titulaires d un diplôme ou d un titre paramédical

Plus en détail

La stabilité des prix : pourquoi est-elle importante pour vous? Brochure d information destinée aux élèves

La stabilité des prix : pourquoi est-elle importante pour vous? Brochure d information destinée aux élèves La stabilité des prix : pourquoi est-elle importante pour vous? Brochure d information destinée aux élèves Que peut-on acheter pour dix euros? Et si, avec cet argent, vous pouviez acheter deux maxi CD

Plus en détail

La coordination des soins de santé en Europe

La coordination des soins de santé en Europe La coordination des soins de santé en Europe Droits des personnes assurées et des membres de leur famille selon les règlements (CE) n 883/2004 et (CE) n 987/2009 La coordination des soins de santé en

Plus en détail

Bilan e-commercee. 24 janvier 2011 - Pershing Hall. En présence de M. Eric BESSON Ministre chargé de l'industrie, de l Energie l

Bilan e-commercee. 24 janvier 2011 - Pershing Hall. En présence de M. Eric BESSON Ministre chargé de l'industrie, de l Energie l Bilan e-commercee En présence de M. Eric BESSON Ministre chargé de l'industrie, de l Energie l et de l Economie l numérique 24 janvier 2011 - Pershing Hall Bilan e-commerce e Bilan du marché e-commerce

Plus en détail

Délégation Côte d Azur Formation Geslab 203 module dépenses 1

Délégation Côte d Azur Formation Geslab 203 module dépenses 1 Délégation Côte d Azur Formation Geslab 203 module dépenses 1 Déroulement de la journée Tiers Recherches et Couguar Créations et particularités Demandes d achats Principes et création Commandes Informations

Plus en détail

GUIDE TARIFAIRE Pour les particuliers carte SIM prépayée AfoneMobile (cartes et recharges par internet et/ou par téléphone)

GUIDE TARIFAIRE Pour les particuliers carte SIM prépayée AfoneMobile (cartes et recharges par internet et/ou par téléphone) Tarifs applicables au 31/10/2011 pour toute nouvelle souscription GUIDE TARIFAIRE Pour les particuliers carte SIM prépayée AfoneMobile (cartes et recharges par internet et/ou par téléphone) AfoneMobile

Plus en détail

Opérations bancaires avec l étranger *

Opérations bancaires avec l étranger * avec l étranger * Extrait des conditions bancaires au 1 er juillet 2012 Opérations à destination de l étranger Virements émis vers l étranger : virements en euros (4) vers l Espace économique européen

Plus en détail

Vente de prestations de services et TVA intracommunautaire

Vente de prestations de services et TVA intracommunautaire Vente de prestations de services et TVA intracommunautaire 7 juillet 2011 Isabelle BASTIDE BUTELOT Avocat 1 Plan de l intervention Introduction 1. Rappel des notions générales de la TVA et dérogations

Plus en détail

RECUEIL DE LEGISLATION. S o m m a i r e

RECUEIL DE LEGISLATION. S o m m a i r e MEMORIAL Journal Officiel du Grand-Duché de Luxembourg 3767 1623 MEMORIAL Amtsblatt des Großherzogtums Luxemburg RECUEIL DE LEGISLATION A N 192 110 14 octobre 22 mai 2009 2014 S o m m a i r e Règlement

Plus en détail

Étude de marché. Critères de qualification Travaux de génie civil et construction de bâtiments industriels au CERN

Étude de marché. Critères de qualification Travaux de génie civil et construction de bâtiments industriels au CERN Étude de marché Critères de qualification Travaux de génie civil et construction de bâtiments industriels au CERN EDMS N : 1382269 MS-4034/GS Afin d être pris en considération en tant que soumissionnaire

Plus en détail

Aide pour une complémentaire santé

Aide pour une complémentaire santé Aide pour une complémentaire santé Vous trouverez dans ce dossier tout ce dont vous avez besoin pour obtenir l Aide pour une complémentaire santé, une présentation du dispositif, une demande à compléter,

Plus en détail

Le Marché du à la consommation en Europe à fin 2007

Le Marché du à la consommation en Europe à fin 2007 Le Marché du Crédit à la consommation en Europe à fin 7 Une étude de SOFINCO Evry, le juin 8 Nicolas Pécourt Le crédit à la consommation en Europe Synthèse (/) Cette étude porte sur le marché du crédit

Plus en détail

CAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS

CAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS CLBV AQMP02 CAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS 2 UMO sur 39 ha avec 200 chèvres produisant 160 000 litres de lait et engraissement de 40 génisses Ce système se rencontre principalement dans

Plus en détail

Le prélèvement SEPA Quels impacts pour votre entreprise?

Le prélèvement SEPA Quels impacts pour votre entreprise? Vous êtes chef d entreprise, profession libérale, professionnel, expert comptable, Directeur Administratif et Financier. L harmonisation de Moyens de Paiement vous concerne Le prélèvement SEPA Quels impacts

Plus en détail

Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve publics

Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve publics Extrait de : Panorama des pensions 2013 Les indicateurs de l'ocde et du G20 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/pension_glance-2013-fr Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve

Plus en détail

SOUSCRIPTION DU CONTRAT : TERRITORIALITE

SOUSCRIPTION DU CONTRAT : TERRITORIALITE SOUSCRIPTION DU CONTRAT : TERRITORIALITE AVERTISSEMENT : La souscription réalisée par une personne domiciliée hors de France ou par un ressortissant d un Etat autre que la France sur le territoire national

Plus en détail

Le point sur les marchés des pensions. des pays de l OCDE OCDE

Le point sur les marchés des pensions. des pays de l OCDE OCDE CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 17 décembre 2013 à 14h30 «Etat des lieux sur l épargne en prévision de la retraite» Document N 13 Document de travail, n engage pas le Conseil Le

Plus en détail

Brochure Tarifaire AliceBox au 12/11/2012

Brochure Tarifaire AliceBox au 12/11/2012 Brochure Tarifaire AliceBox au 12/11/2012 Tarifs en TTC Offres Abonnement (euros TTC/mois) 9,99 euros 29,99 euros 29,99 euros pendant 12 mois puis 39,99 euros 34,95 euros Durée de l'abonnement Engagement

Plus en détail

Marc VARCHAVSKY Conseil National CER FRANCE Olivier BOUCHONNEAU Président de CER FRANCE 49

Marc VARCHAVSKY Conseil National CER FRANCE Olivier BOUCHONNEAU Président de CER FRANCE 49 Impact de la variabilité des prix des produits agricoles et des intrants sur les exploitations en France Marc VARCHAVSKY Conseil National CER FRANCE Olivier BOUCHONNEAU Président de CER FRANCE 49 Colloque

Plus en détail

Réforme de la PAC 2015. Réunion d information Septembre 2014

Réforme de la PAC 2015. Réunion d information Septembre 2014 Réforme de la PAC 2015 Réunion d information Septembre 2014 DE NOMBREUX DEFIS POUR LA PAC : LES PROPOS DE D. CIOLOS Juillet 2010 Le contexte : -> fin de la programmation 2007-2013 -> contexte de crise

Plus en détail

PNEUS HIVER EN EUROPE

PNEUS HIVER EN EUROPE PNEUS HIVER EN EUROPE En période hivernale, difficile de savoir si l équipement en pneus neige des voitures est obligatoire dans le(s) pays européen(s) que vous allez traverser pendant vos vacances ou

Plus en détail

BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE

BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE 1 La crise actuelle est caractéris risée e par le grand nombre de marchés affectés s et par la diversité des canaux de contagion Les principaux canaux de contagion pour l ECE: Canal informationnel (sentiment

Plus en détail

Comité Coproduits. Situation des marchés (V e quartier) 30 juin 2015. Montreuil

Comité Coproduits. Situation des marchés (V e quartier) 30 juin 2015. Montreuil Comité Coproduits Situation des marchés (V e quartier) juin 21 Montreuil LE MARCHE DES PRODUITS TRIPIERS Production de produits tripiers tonnes Evolution sur mois 21/21 Abats de bovins : + 2,2 % Abats

Plus en détail

SOLUTIONS ET MOYENS DE PAIEMENT DU E-COMMERCE : RETOUR D EXPÉRIENCE SUR LES ÉVOLUTIONS DE LA RÉGLEMENTATION EUROPÉENNE ET LES PERSPECTIVES MAROCAINES

SOLUTIONS ET MOYENS DE PAIEMENT DU E-COMMERCE : RETOUR D EXPÉRIENCE SUR LES ÉVOLUTIONS DE LA RÉGLEMENTATION EUROPÉENNE ET LES PERSPECTIVES MAROCAINES SALON E-COMMERCE.MA DU 30 MAI AU 1 ER JUIN 2012 OFFICE DES CHANGES SOLUTIONS ET MOYENS DE PAIEMENT DU E-COMMERCE : RETOUR D EXPÉRIENCE SUR LES ÉVOLUTIONS DE LA RÉGLEMENTATION EUROPÉENNE ET LES PERSPECTIVES

Plus en détail

MON COMPTE AU QUOTIDIEN EXTRAIT DES CONDITIONS TARIFAIRES APPLICABLES AUX PARTICULIERS CONVENTION

MON COMPTE AU QUOTIDIEN EXTRAIT DES CONDITIONS TARIFAIRES APPLICABLES AUX PARTICULIERS CONVENTION MON COMPTE AU QUOTIDIEN EXTRAIT DES CONDITIONS TARIFAIRES APPLICABLES AUX PARTICULIERS CONVENTION Juillet 2013 LA VOLONTÉ DU CRÉDIT MUTUEL : AMÉLIORER SANS CESSE L INFORMATION TRANSMISE. et nous vous en

Plus en détail

DIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable

DIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable DIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable Guide de l utilisateur 2010 Si vous êtes amenés à utiliser cet outil, merci d indiquer votre source. Réseau agriculture durable - Inpact Bretagne

Plus en détail

Catalogues des offres mobiles

Catalogues des offres mobiles Catalogues des offres mobiles Coriolis Télécom Coriolis Télécom, société française pionnière des communications mobiles, est devenue un pilier sur le marché des télécommunications avec 60 000 entreprises

Plus en détail

Âge effectif de sortie du marché du travail

Âge effectif de sortie du marché du travail Extrait de : Panorama des pensions 2013 Les indicateurs de l'ocde et du G20 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/pension_glance-2013-fr Âge effectif de sortie du marché du travail Merci

Plus en détail