MEDEF Actu-Eco. Semaine du 28 mai au 1 er juin 2012 SOMMAIRE. 1. Situation des entreprises en 2011 : dégradation encore plus marquée que prévu
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- Norbert Turgeon
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1 MEDEF Actu-Eco Semaine du 28 mai au 1 er juin 212 SOMMAIRE FRANCE 1. Situation des entreprises en 211 : dégradation encore plus marquée que prévu 2. Conditions de financement des grandes entreprises en mai 212 : dégradation des trésoreries, tensions persistantes sur les délais de paiement 3. Climat des affaires en mai 212 : pessimisme pour les mois à venir 4. Commandes à l industrie en mars 212 : -,1% (-1,3% pour les seules commandes à l exportation) 5. Dépenses de consommation des ménages en avril 212 : recul hors énergie pour le deuxième mois consécutif 6. Moral des ménages en mai 212 : nouvelle amélioration EUROPE 7. Climat des affaires en Allemagne en mai 212 : retournement des indices INTERNATIONAL 8. Marchés financiers au printemps 212 : pessimisme accru par les turbulences qui affectent les banques européennes 9. Tendances récentes des marchés * * * 1 MEDEF Actu-Eco semaine du 28 mai au 1 er juin 212
2 1 Situation des entreprises en 211 : dégradation encore plus marquée que prévu L INSEE vient de publier les Comptes annuels de la Nation pour 211. Ils apportent sur la situation des entreprises une tonalité encore plus défavorable que celle résultant des comptes trimestriels. Contraction des marges en niveau absolu, taux de marge au plus bas depuis 1985 * En 211, la valeur ajoutée des sociétés non financières a augmenté de +2,8% et les rémunérations de +4,4% (+3,8% pour les seuls salaires bruts versés). Dans le même temps, les marges ont baissé de -2,2% (-,7% pour les profits distribuables après impôts). Par rapport à leur niveau d avant crise, c est-à-dire 27, les marges sont en repli de -6,3%, la masse des salaires versés est en progression de +8,8%, deux fois plus que la valeur ajoutée. * En 211, le taux de marge est ainsi tombé à 28,6% de la valeur ajoutée (3,1% en 21, et 31,7% en 27). C est le plus bas niveau depuis 1985, contrepartie d une montée des rémunérations dans la valeur ajoutée (+1 point entre 21 et 211, et + 3,2 points depuis 27). La part des seuls salaires bruts versés dépasse désormais 51% de la valeur ajoutée (48,9% en 27). % valeur ajoutée (sociétés non financières) Masse salariale (y compris cotisations employeurs) dont salaires et traitements bruts versés Marge brute (EBE) Profits bruts (1) Profits nets distribuables (2) 2 65,1 48,5 3,7 26,5 22, ,6 48,9 31,7 28,7 24, ,9 49,3 31,5 26,9 22, ,8 5,8 29,1 24, 22, ,8 5,7 3,1 26, 23, ,8 51,2 28,6 25,8 22,5 Source : INSEE Comptes de la Nation 211 / (1) Autofinancement + Distribution + Impôts directs / (2) Autofinancement + Distribution Effort accru d investissement, chute du taux d autofinancement * L effort d investissement a continué de se redresser en 211, pour atteindre 2,1% de la valeur ajoutée, davantage qu en 27 et même qu en 2, où les ratios financiers étaient meilleurs. 2 MEDEF Actu-Eco semaine du 28 mai au 1 er juin 212
3 Autofinancement (A) (% VA) Investissement (B) (% VA) Taux d'autofinancement (A/B) 2 16,6 18,9 87, ,5 19,7 83, , 2,2 69, ,8 18,3 75, ,7 19,2 81, ,5 2,1 67,2 Source : INSEE Comptes de la Nation 211 * Compte tenu de la baisse de l épargne brute (autofinancement) de 15,7% en 21 à 13,5% en 211, le taux d autofinancement a chuté de 14,6 points entre 21 et 211. Avec 67,2%, il est inférieur de 16,6 points à son niveau de 27 et de 2,7 points à celui de 2 * La baisse de l autofinancement tient notamment à la remontée de la fiscalité directe, de caractère «mécanique» après sa forte baisse de 29 (plan de relance). Ce mouvement de rattrapage devrait se poursuivre en 212. Impôts directs / VA (%) Impôts directs / profits bruts (taux effectif de pression fiscale, %) 2 4, 15,3 27 4,5 15,6 28 4,6 17,1 29 1,8 7,6 21 2,7 1, ,3 12,7 Source : INSEE Comptes de la Nation MEDEF Actu-Eco semaine du 28 mai au 1 er juin 212
4 2 Conditions de financement des grandes entreprises en mai 212 : dégradation des trésoreries, tensions persistantes sur les délais de paiement La dernière enquête réalisée par l AFTE et Coe-Rexecode entre le 4 et le 16 mai 212 auprès des trésoriers des grandes entreprises (5 salariés et plus) met en évidence deux points préoccupants : - une dégradation de la situation de trésorerie d exploitation, confirmant ainsi la tendance globale à la détérioration depuis début 211. L influence sur les trésoreries du change euro-dollar est jugée négative (résistance de l euro à plus de 1,3 dollar jusqu à début mai, alors que depuis l euro est retombé à 1,25 dollar) ; - une nouvelle tension sur les délais de paiement, confirmant une tendance à Situation de la trésorerie d'exploitation (solde d'opinion, %) Moyenne la hausse de l indicateur depuis le début 211, s approchant de sa position extrême de la fin 28. En revanche, l enquête met également en évidence deux moindres tensions : - un nouveau repli des marges payées sur les crédits bancaires, avec un solde d opinion qui est au plus bas depuis septembre 211, mais qui reste toutefois nettement supérieur à sa moyenne de longue période ; - une recherche de financement moins difficile qu au cours des mois précédents. +7 Evolution des marges de crédits bancaires +6 (solde d'opinion, %) Moyenne Recherche de financement (solde d'opinion, %) Moyenne Délais de paiement (solde d'opinion, %) Moyenne Source : AFTE / Coe-Rexecode 4 MEDEF Actu-Eco semaine du 28 mai au 1 er juin 212
5 3 Climat des affaires en mai 212 : pessimisme pour les mois à venir * Selon l enquête mensuelle de l INSEE réalisée en mai 212 auprès des chefs d entreprise, le climat des affaires en France s est dégradé, ce qui n est pas de bon augure pour la croissance à venir. L indice synthétique s est en effet nettement replié, pour retrouver son niveau du début de l année, le plus bas depuis deux ans. 115 Indice synthétique du climat des affaires Source : INSEE * Cette baisse de l indice synthétique du climat des affaires se retrouve dans tous les secteurs d activité. - Industrie manufacturière : les stocks de produits finis s alourdissent, les carnets de commandes se dégarnissent nettement, les perspectives personnelles comme générales restent dégradées ; - Bâtiment : les entrepreneurs restent pessimistes pour l activité des prochains mois, l emploi est mal orienté, les carnets de commandes sont toujours jugés largement inférieurs à la moyenne de longue période ; - Commerce : chez les détaillants comme chez les grossistes, les perspectives générales comme les intentions de commandes se replient. L emploi devrait stagner chez les détaillants et se contracter chez les grossistes ; - Services : les anticipations d activité restent dégradées, l emploi, avec ou sans intérim, est mal orienté. 5 MEDEF Actu-Eco semaine du 28 mai au 1 er juin 212
6 4 Commandes à l industrie en mars 212 : -,1% (-1,3% pour les seules commandes à l exportation) * L indice de commandes totales en valeur reçues dans l industrie manufacturière (hors matériel de transport autres qu automobiles) s est légèrement replié en mars 212 : -,1%, après +,2% en février. Compte tenu de la nouvelle contraction des commandes à l exportation (-1,3% après -1,4%), le tassement des commandes totales suggère un certain maintien de la demande intérieure. Commandes dans l'industrie manufacturière (hors matériel de transport autres qu'autmobiles) 13 (indice base en 25, valeur) commandes étrangères commandes totales 7 Source : INSEE * Au 1 er trimestre 212, les commandes totales se sont inscrites en hausse de +1,6% par rapport au trimestre précédent (+,7% sur un an). Cette hausse recouvre des disparités entre et au sein des grandes familles de biens : +1% pour les biens intermédiaires (-3,4% dans le papier-carton, +2,9% dans la chimie), +3,2% pour les biens de consommation non durables (-2,9% dans l habillement, +2,7% dans la pharmacie) et -3% dans les biens d équipement. Les seules commandes étrangères se sont accrues de +1% (+,4% sur un an). 6 MEDEF Actu-Eco semaine du 28 mai au 1 er juin 212
7 avr.-7 sept.-7 févr.-8 juil.-8 déc.-8 mai-9 oct.-9 mars-1 août-1 janv.-11 juin-11 nov.-11 avr.-12 avr.-7 août-7 déc.-7 avr.-8 août-8 déc.-8 avr.-9 août-9 déc.-9 avr.-1 août-1 déc.-1 avr.-11 août-11 déc.-11 avr Dépenses de consommation des ménages en avril 212 : recul hors énergie pour le deuxième mois consécutif * La consommation des ménages en biens a rebondi en avril 212 : +,6% en volume, après -2,6% en mars. Cette hausse est imputable aux dépenses d énergie (+1,2%, après -11,8% en mars), en raison des températures inférieures aux normales de saison soutenant les dépenses de chauffage (gaz, électricité, fioul). Hors énergie, les dépenses sont en baisse pour le deuxième mois consécutif (- 1,3% pour les produits manufacturés, -,5% pour les produits alimentaires) Consommation des ménages en biens (moyenne mobile sur trois mois, millions d'euros constants) Consommation des ménages en biens (moyenne mobile sur trois mois, millions d'euros constants) Equipement du logement Automobile Textile-cuir Source : INSEE * Au-delà des fluctuations mensuelles, la moyenne des dépenses de consommation des trois derniers mois connus (février, mars, avril) a progressé de +,3% par rapport aux trois mois précédents. Cette faible progression résulte d évolutions diverses : -5,3% pour les achats liés à l automobile, -3,7% dans le textile-cuir, -,4% dans l équipement du logement, +,2% pour les achats alimentaires et +6,9% pour les dépenses énergétiques. Cette consommation des trois derniers mois est en recul de -,4% sur un an, avec des disparités analogues selon les secteurs (de -7,1% pour les achats automobiles à +5,2% pour les dépenses énergétiques). 7 MEDEF Actu-Eco semaine du 28 mai au 1 er juin 212
8 mai-7 septembre-7 janvier-8 mai-8 septembre-8 janvier-9 mai-9 septembre-9 janvier-1 mai-1 septembre-1 janvier-11 mai-11 septembre-11 janvier-12 mai-12 mai-7 octobre-7 mars-8 août-8 janvier-9 juin-9 novembre-9 avril-1 septembre-1 février-11 juillet-11 décembre-11 mai-12 mai-7 septembre-7 janvier-8 mai-8 septembre-8 janvier-9 mai-9 septembre-9 janvier-1 mai-1 septembre-1 janvier-11 mai-11 septembre-11 janvier-12 mai-12 6 Moral des ménages en mai 212 : nouvelle amélioration * L indicateur synthétique de confiance des ménages s est redressé en mai 212, pour le troisième mois consécutif. Il a ainsi retrouvé son niveau de fin 21 mais reste inférieur à sa moyenne de longue période Indicateur synthétique de confiance des ménages Moyenne Source : INSEE * Le redressement de l indicateur de confiance des ménages résulte de celui de : - leur situation financière personnelle future, dont le solde d opinion se redresse, à un niveau qui n avait pas été atteint depuis fin 21. Néanmoins, la stagnation de l indicateur sur l opportunité de faire des «achats importants» atteste de la prudence persistante des ménages ; - leurs anticipations de chômage, dont l indicateur est en repli quasi-continu depuis fin 211, tout en restant à un niveau élevé Perspectives à 12 mois de la situation financière personnelle (solde d'opinion, points) + + Perspectives à 12 mois du chômage (solde d'opinion, points) Source : INSEE 8 MEDEF Actu-Eco semaine du 28 mai au 1 er juin 212
9 7 Climat des affaires en Allemagne en mai 212 : retournement des indices * L indice synthétique IFO du climat des affaires en Allemagne, dans le secteur de l industrie et du commerce, s est nettement contracté en mai 212. Il s agit de sa première baisse depuis octobre 211. Il reste néanmoins supérieur à sa moyenne des années Indice synthétique IFO du climat des affaires (25=) Indice IFO du climat des affaires (25=) Situation actuelle Situation future 7 Source : IFO Institute * Ce repli de l indice synthétique du climat des affaires en Allemagne se retrouve dans ses deux composantes : - l indice sur la situation actuelle a enregistré sa plus forte baisse depuis décembre 28, mais reste au-dessus de sa moyenne de longue période ; - l indice sur les perspectives à six mois a baissé pour la première fois depuis octobre 211, se retrouvant ainsi proche de sa moyenne de longue période. Cette dégradation des perspectives reflète très largement les incertitudes sur l évolution de la situation dans la zone euro. Ce retournement du climat des affaires en Allemagne laisse présager un net tassement de la croissance allemande au deuxième trimestre 212, après une croissance plus forte que prévu au premier trimestre (+,5%). 9 MEDEF Actu-Eco semaine du 28 mai au 1 er juin 212
10 8 Marchés financiers au printemps 212 : pessimisme accru par les turbulences qui affectent les banques européennes * La baisse des bourses depuis début mai (recul de l indice synthétique 39 principales places boursières, calculé par Coe-Rexecode) a effacé la hausse des trois premiers mois de l année. Elle affecte autant les places des pays émergents que celles des pays avancés. Mais le contraste est marqué de part et d autre de l Atlantique, avec un recul beaucoup plus sévère des bourses européennes (l Eurostoxx 5 a baissé de -18% entre mimars et fin mai, contre -7% pour Standard & Poor s). 11 indices boursiers ( =211) 15 pays développés Indices boursiers ( = 211) pays émergents 7 Standard and Poor's Eurostoxx 5 * Les banques de la zone euro traversent de fortes turbulences, dont témoigne la chute de leurs cours boursiers : après la bouffée d oxygène apporté par les deux opérations exceptionnelles de refinancement de la BCE fin 211 et début 212 (1 milliards d euros), l Eurostoxx pour le secteur bancaire rechute depuis mars (-34% entre mi-mars et fin mai, -% Indices boursiers ( = 211) depuis 27). La défiance reste fort vis-àvis et au sein du secteur bancaire européen, qui se grippe dès que des facteurs d incertitude réapparaissent : quasiment nuls à la mi-211, les dépôts des banques de la zone euro auprès de la BCE atteignent désormais milliards d euros (soit près de % des crédits octroyés par la BCE). Dépôts des établissements de crédit de la zone euro à la BCE (milliards d'euros) Eurostoxx banque Lehman Brothers Crise de la dette grecque 1 MEDEF Actu-Eco semaine du 28 mai au 1 er juin 212
11 * Mises à mal par la crise financière et confrontées à de nouvelles exigences règlementaires, les banques européennes doivent faire face à la crise des dettes souveraines. Le défaut partiel de la Grèce s est déjà traduit par des pertes sèches, et la crise continue (taux des obligations d Etat à 1 ans qui ne décroche pas des 3%). Au-delà de la crise grecque, la question cruciale est maintenant celle de l avenir du système financier espagnol mis à mal par la crise immobilière, mais aussi fragilisé par la récession et des comptes publics délabrés, ce qui explique un taux des obligations d Etat à 1 ans de 6,56%. Le taux italien nettement supérieur à 5% témoigne d une situation très préoccupante. En revanche, la tension est moins forte sur la dette française, avec un taux à 1 ans de 2,35%, niveau historiquement bas. Il reste que le différentiel avec l Allemagne est important (123,5 points de base), prime de risque élevé au regard de ce qu elle était avant la crise. En Allemagne, le taux à 1 ans continue de baisser à un niveau historiquement bas (1,12%), expression du rôle de valeur refuge de la dette allemande, comme c est le cas également de la dette américaine (1,56%), mais aussi suisse et japonaise (taux à 1 ans inférieurs à 1%). 7,5 7, 6,5 6, 5,5 5, 4,5 Taux de rendement des obligations d'etat à 1 ans (%) 6,56 5,85 Espagne Italie 3,5 Taux de rendement des obligations d'etat à 1 ans (%) 3, France 2,5 2,35 2, 1,5 Allemagne 1,12 1, 11 MEDEF Actu-Eco semaine du 28 mai au 1 er juin 212
12 9 Tendances récentes des marchés 2,5 Taux de rendement des obligations d'etat à 1 ans (%) 4 Taux de rendement des obligations d'etat à 1 ans de la Grèce (%) 2, Etats-Unis 35 31,16 1,5 1,56 3 1, Allemagne Japon 1,12, ,5 Suisse, ,36 1 euro =... dollar 1, Cours de l'once d'or (dollars) 1,32 1,3 1,28 1,26 1,24 1, , Cours des matières premières hors pétrole et métaux précieux ( = 1988) 13 Prix du baril de pétrole brut Mer du Nord (brent) 12 en dollars 11 dollars 14,55 euros en euros 84,3 7 Rédaction achevée le 1 er juin MEDEF Actu-Eco semaine du 28 mai au 1 er juin 212
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