La compliance à la substitution hormonale après la ménopause

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "La compliance à la substitution hormonale après la ménopause"

Transcription

1 La compliance à la substitution hormonale après la ménopause C. Robyn Dans le contexte de ce symposium, le mot "compliance" devrait être évité : il implique une notion d'obéissance à un traitement, qui est quasi unanimement rejetée aujourd'hui, tout au moins si on veut évité d'être taxé de sexiste (Sarel et Sarel 1994). Le terme "acceptabilité" me paraît plus approprié. Il met l'accent sur l'importance de convaincre, d'entraîner une participation active des femmes concernées. Aujourd'hui, l'accent est de plus en plus mis sur les aspects préventifs de la substitution hormonale post-ménopausique. Il me parait dés lors utile de rappeler les critères de qualité en matière de contraception hormonale : la méthode doit être efficace, sûre, réversible et acceptable. En dehors de la réversibilité de la fertilité, ces critères s'appliquent parfaitement bien à la substitution hormonale post-ménopausique. Si on veut insister sur les aspects préventifs, il est aussi indiqué d'éviter les mots "traitement" et "patientes". Des trois critères repris ci-dessus, l'acceptabilité est très certainement celui qui interpelle le plus. L'acceptabilité de la substitution hormonale ne concerne pas que la femme qui consulte mais aussi et plus largement les gynécologues, les généralistes, les média, le cercle familial et l'entourage (amies, collègues de travail, etc.). Les média constituent aujourd'hui une importante source d'information concernant la substitution hormonale et ses effets secondaires. Et le scoop met souvent plus l'accent sur les effets secondaires nuisibles que sur les apports bénéfiques. De nombreuses publications rapportent, d'une manière générale, une très faible acceptabilité de la substitution hormonale (Nachtigall 1994, Lopes et Mensier 1996). Avant d'en donner quelques exemples, il est important de souligner la grande difficulté d'évaluer correctement ce paramètre en dehors d'études ponctuelles réalisées dans ce but. Et dans ces cas divers biais viennent compliquer l'analyse des données recueillies. En Belgique en 1993, si on se base sur le nombre de prescriptions, quelle qu'en soit la nature ou l'efficacité des produits, on estime à 13% le pourcentage des femmes de plus de 50 ans qui étaient "traitées". En 1990, il n'était que de 7%. Si on se limite à la tranche d'âge de 50 à 75 ans, le pourcentage de 1993 monte à 19%. Mais il s'agit là d'une surestimation. En effet, toutes les femmes qui se procurent un "traitement" ne le prennent pas. Et parmi celles qui le commencent beaucoup l'abandonnent plus ou moins rapidement. Ces chiffres ne donnent donc aucune idée sur la qualité du suivi d'une substitution hormonale. Pour certains, la durée moyenne d'utilisation ne dépasse pas 3 ans (Lopes et Mensier 1996). Ravnikar (1987) dans une étude faite sur 2500 femmes rapporte que 20 à 30% d'entre elles ne s'étaient pas procuré le traitement prescrit, 10% ne l'avaient jamais pris, 10% ne l'avaient pris qu'épisodiquement et que 20% l'avait stoppé dans les neuf mois. Pour Wren et Brown (1991), 61% des femmes étaient toujours sous traitement après un an. Dans une étude plus récente (Cano 1995) ayant porté sur 331 femmes suivies entre 1 et 5 ans dans une clinique de la ménopause, 29 (9%) n'avaient pas acheté le traitement, 50 (15%) avaient abandonné le traitement dès la 1/6

2 première année et 46 (14%) l'avaient suivi irrégulièrement. Pour l'auteur, l'association d'un progestatif et la voie orale ont influencé négativement le suivi de la substitution hormonale. L'analyse des raison invoquées pour ne pas commencer ou ne pas continuer la prise d'hormones devrait permettre d'orienter les efforts devant viser à une meilleure acceptabilité. Il ressort d'une étude ayant porté sur 220 femmes post ménopausées de classe moyenne (43-62 ans) convaincues du rapport favorable bénéfices/risques de la substitution hormonale, que seulement 7% d'entre elles avaient abandonné après un an (Nachtigall 1994). Parmi celles-ci la moitié invoquait les saignements réguliers ou non, comme motif d'abandon. Une proportion d'abandon pour le même motif se retrouve dans l'analyse multivariée d'une population de 1330 femmes traitées par oestrogènes transdermiques associés à un progestatif. Les conclusions qui semblent se dégager de ces deux études sont que l'observance est excellente lorsque les femmes sont convaincues et qu'en cas d'abandon ce sont les saignements qui sont le plus souvent avancés comme justification. Lorsque la femme ne désire plus saigner, il existe également des adaptations de l'association oestro-progestative qui permettent de répondre à son souhait. Parmi les effets secondaires, il faut faire la distinction entre ceux qui sont désagréables et ceux qui sont nuisibles. Parmi les effets secondaires désagréables invoqués pour interrompre une substitution hormonale (Nachtigall 1994, Lopes et Mensier 1996), sont cités : les pertes de sang (régulières ou non) le gain de poids la tension mammaire le gonflement abdominal (ballonnement) un syndrome prémenstruel des nausées des céphalées (migraines) Après les pertes de sang, c'est bien souvent la crainte de prendre du poids qui est invoquée pour ne pas prendre ou pour arrêter une substitution hormonale : l'idée que les hormones font grossir est encore solidement répandue dans notre population. La prise de poids à l'âge de la ménopause est considérée comme très fréquente : c'est une réalité mal vécue. Les auteurs sont cependant unanimes pour considérer que cette prise de poids n'a rien à voir avec la ménopause proprement dite et donc avec la carence oestrogénique qui en est la conséquence (Schleinger et Pradignac 1993, Wing 1996). En fait, les femmes prennent en moyenne régulièrement du poids à partir de ans et ceci jusqu'à ans. Le gain moyen est de 2 kg par période de 6 ans. Il se réduit même à 1 kg par 6 ans à partir de 45 ans. Cette évolution pondérale est exactement la même sur le plan quantitatif chez la femme et chez l'homme (Scleinger et Pradignac 1993). L'exercice physique a un effet plutôt bénéfique : les femmes qui en font régulièrement maîtrisent mieux cette tendance à grossir (Schleinger et Pradignac 1993). Il existe cependant une différence majeure entre hommes et femmes : la graisse s'accumule au niveau abdominal (omental, mésentérique) chez les hommes et au niveau pelvien (cuisses et fesses) chez les femmes. Cette différence sexuelle est bien évidemment sous 2/6

3 contrôle hormonal : les stéroïdes sexuels ont des récepteurs spécifiques au niveau des adipocytes (Schleinger et Pradignac 1993). Ces adipocytes ont des localisations différentes suivant qu'il s'agit d'oestrogènes ou d'androgènes. Après la ménopause, les femmes continuent de gagner du poids comme avant, ni plus ni moins. Mais à tous les âges, les variations individuelles sont considérables : ceci sous-entend vraisemblablement l'existence de populations différentes dont le poids corporel est influencé par des conditions particulières. A l'analyse des données de l'université de Pittsburgh rapportée par Wing et coll. (1991), à la ménopause le gain de poids était de 2,25 kg en trois ans. Mais 20% des femmes prenaient plus de 4,5 kg et 3% des femmes perdaient plus de 4,5 kg, pendant la même période. La seule évolution réellement liée à la ménopause et à la carence en oestrogènes, concerne la répartition des graisses : la distribution de gynécoïde devient androïde (Schleinger et Pradignac 1993, Wing 1996). La plupart des auteurs n'observent aucune augmentation significative de poids pendant la prise d'oestrogènes associés ou non à un progestatif et ceci même dans des études avec placebo (Schleinger et Pradignac 1993). Mais, ici également les variations individuelles sont énormes. Dans le futur, il s'agira de découvrir les causes d'une telle hétérogénéité : certaines femmes pourraient présenter des dispositions particulières à la prise de poids sous l'influence des oestrogènes. Quoi qu'il en soit la prescription d'oestrogènes exogènes n'est indiquée qu'en cas de carence en oestrogènes ovariens. Il faut rappeler à ce sujet que les bouffées de chaleur ne sont qu'un très mauvais marqueur d'une carence oestrogénique définitive. Ils représentent plutôt une manifestation de la pré-ménopause caractérisée par une forte instabilité de la sécrétion des oestrogènes. Certes, en pré- ménopause, la prise d'oestrogènes va faire disparaître les bouffées. Mais, si cette prise est maintenue de manière intempestive, les hormones exogènes s'ajoutant aux oestrogènes provenant d'une reprise d'activité ovarienne vont souvent donner des effets secondaires tout aussi mal vécus si pas plus que les bouffées de chaleur : mastodynie, bouffissure du visage, prise de poids, sensation de gonflement, céphalées, syndrome prémenstruel. Ces expériences négatives influencent très défavorablement l'acceptabilité. Le syndrome prémenstruel est également invoqué comme raison pour interrompre une association oestro-progestative en post ménopause (Nachtigall 1994, Lobes et Mensier 1996). Mais dans ce cas, la plupart du temps, une solution peut être trouvée en changeant le type, la dose, la durée ou les modalités d'administration (continue ou séquentielle) du progestatif. Le message simpliste, parfois amplifié par certains médias, de la substitution hormonale généralisée et dépourvue de tout désagrément est in fine lui aussi très nuisible à l'acceptabilité. L'information en cette matière doit toujours être bien équilibrée et porter sur tous les aspects aussi bien positifs que négatifs. Les effets secondaires nuisibles avérés de la substitution hormonale post-ménopausique concernent l'endomètre et dans une moindre mesure le système veineux. Les oestrogènes seuls augmentent environ huit fois le risque de cancer de l'endomètre (Nachtigall 1994). Cet effet secondaire nuisible est totalement aboli lorsqu'on associe aux oestrogènes un progestatif à une dose et pendant une durée adéquate (10-14 jours). Néanmoins, la simple allusion au cancer dans l'argumentation exprimée par le médecin peut suffire à orienter le choix vers le renoncement à une substitution hormonale. Des études récentes mentionnent une augmentation significative du risque thromboembolique (veineux) sous substitution hormonale (Daly et coll. 1996) : mais cette augmentation est extrêmement faible en valeur absolue (1/5000 femmes par an). Enfin, l'impact de la substitution hormonale post ménopausique sur l'incidence du cancer du sein reste aujourd'hui encore très imprécise. Si l'augmentation du risque est significative (Colditz et al. 1995), en valeur absolue, l'augmentation de l'incidence reste faible (Dupont et Page 1991). Néanmoins, cette incertitude est alimentée par des informations qui paraissent dans les médias chaque fois qu'un article sur le sujet est publié dans un journal scientifique en vogue. Ce battage médiatique influence d'une manière très négative l'acceptabilité de la substitution hormonale 3/6

4 post-ménopausique et ceci d'autant plus que la population féminine concernée est à un âge où l'incidence du cancer du sein est en plein essor. Il convient d'insister sur l'intérêt du dépistage du cancer du sein qui sera d'autant plus facilement réalisé que la femme est prise en charge pour le suivi d'une substitution hormonale. Si l'on désire améliorer l'acceptabilité de la substitution hormonale après la ménopause, il convient de : Informer l'ensemble du corps médical et les femmes sur les bénéfices/risques et sur les modalités de la substitution hormonale. Etablir un consensus en matière de bénéfices et de risques Collaborer avec les médias de manière à ce qu'ils soient bien informé de l'évolution de ce consensus. Tenir compte des effets désagréables et adapter la substitution hormonale en conséquence Simplifier au mieux les modalités pratiques Simplifier et rendre plus attrayants les conditionnements En conclusion, si les progrès des connaissances en matière de ménopause et les progrès en matière de produits efficaces et sûrs ont été importants et rapides au cours de ces dernières années, les avancées en matière d'acceptabilité sont restées particulièrement médiocres. Connaître les raisons de cette discordance et en tenir compte est essentiel si on veut espère faire évoluer le choix des femmes. Bibliographie 1. CANO A. "Compliance to hormone replacement therapy". Maturitas 1995:, 20, SOLDIEZ G.A., HANKINSON S.E., HUNTER D.J., WILLETT W.C., MANSON J.E., STAMPFER M.J., HENNEKENS C., ROSNER B. et SPEIZER F.E. "The use of estrogens and progestins and the risk of breast cancer in postmenopausal women". N. Engl. J. Med., 1995: 332, DALY E., VESSEY M.P., HAWKINS M.M., CARSON J.L., GOUGH P. et MARSH S., "Risk of venous tromboembolism in users of hormone replacement therapy". Lancet, 1996: 348, DUPONT W.D. et PAGE D.L. "Menopausal estrogen replacement therapy and breast cancer". Arch. Int. Med., 1991: 151, LOPES P. et MENSIER A., "Evaluation de l'équilibre risque-bénéfice du traitement hormonal substitutif de la ménopause et éléments susceptibles de maximiser l'observance". J. Gyn. Obst. Biol. Reprod., 1996: 25, NACHTIGALL L.E. "Compliance with hormone replacement therapy : where we stand today". In The modern management of the menopause, BERG G. et HAMMAR M. (ed), The Parthenon Publishing Group, New York-London, 1994: pp RAVNIKAR V.A. "Compliance with hormone therapy". Am. J. Obstet. Gynecol., 1987 : 156, /6

5 8. SARREL L. et SARREL P.M. "Helping women to decide about hormone replacement therapy : approaches to counselling and medical pratices". In The modern management of the menopause, BERG G. et HAMMAR M. (ed), The Parthenon Publishing Group, New York-London, 1994: pp SCHLIENGER J.L. et PRADIGNAC A. "Relations entre poids et ménopause". Rev. Fr. Gynécol. Obstet. 1993: 88, WING R. "Prevention of obesity in adults". In Progress in obesity research, Angel A., Anderson H., Bouchard C., Lau D., Leiter L. et Mendelson R. (ed), John Libbey & Company Ltd., London, 1996: pp WREN B.G. et BROWN L. "Compliance with hormone replacement therapy". Maturitas 1991: 13, Questions de type QCM. 1. Quelle est la raison le plus souvent invoquée pour l'arret d'une substitution hormonale après la ménopause : a) Les saignements b) Le gain de poids c) Tension mammaire d) Nausées e)céphalées. 2. Après la ménopause a) Le poids corporel augmente nettement en raison de la carence oestrogénique b) Le poids corporel diminue c) Le poids corporel moyen augmente de manière considérable lors de la prise d'une association oestroprogestative d) Le poids corporel se redistribue avec accumulation de graisse au niveau abdominal e) Le poids corporel se redistribue avec accumulation au niveau pelvien (fesses, cuisses) 3. Sur quel tissu ou système, les effets secondaires de la substitution hormonale post ménopausique, sont-ils bénéfiques? a) le sein b) l'endomètre c) le système veineux 5/6

6 d) le système cardio-vasculaire (artériel) e) les adipolyses 4. Parmi les modalités suivantes, quelle est celle qui donne le moins de saignements (pseudo-règles)? a) Progestatif en fin d'une période de prise d'oestrogènes per os suivie d'une période sans traitement. b) Oestrogènes en continu avec un progestatif administré de manière séquentielle. c) Association oestroprogestative en continu. d) Séquences comprenant une période avec oestrogènes suivie d'une période avec progestatif. e) Progestatif en fin d'une période de prise d'oestrogènes par voie transdermique suivi d'une période sans traitement. Laboratoire de Recherche sur la Reproduction, Faculté de Médecine, Université Libre de Bruxelles, 180 route de Lennik, 1070 Bruxelles. 6/6

Contraception après 40 ans

Contraception après 40 ans Contraception après 40 ans Stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme. Recommandations pour la pratique clinique Décembre 2004. ANAES/AFSSAPS Un vaste choix contraceptif Contraception

Plus en détail

Rapport Traitement hormonal substitutif de la ménopause

Rapport Traitement hormonal substitutif de la ménopause Rapport Traitement hormonal substitutif de la ménopause Caractéristiques de l utilisation en France Effets sur la survenue de cancers du sein et d évènements cardiovasculaires en France Propositions d

Plus en détail

COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE

COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE D APRES «THROMBOTIC COMPLICATIONS OF MYELOPROLIFERATIVE NEOPLASMS : RISK ASSESSMENT AND RISK-GUIDED MANAGEMENT

Plus en détail

Contraception hormonale en périménopause l antidote à bien des maux

Contraception hormonale en périménopause l antidote à bien des maux L A C O N T R A C E P T I O N E N É V O L U T I O N Contraception hormonale en périménopause l antidote à bien des maux par Chantal Marquis «J ai 48 ans, j ai des chaleurs, je dors peu et j ai des saignements

Plus en détail

La CCM vous remercie de lui offrir la possibilité de donner son avis sur la révision partielle de la LA Mal.

La CCM vous remercie de lui offrir la possibilité de donner son avis sur la révision partielle de la LA Mal. Par courriel Abteilung Leistungen@bag.admin.ch Office fédéral de la santé publique OFSP Division Prestations Schwarzenburgstrasse 165 3003 Berne Zurich, 3 octobre 2014 Consultation sur la révision partielle

Plus en détail

Pour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir.

Pour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir. Dépistage Pour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir. Par contre, nous pouvons tenter de le dépister plus tôt afin d'avoir plus de chances de

Plus en détail

T. Chevallier*, J.-P. Daurès*, M.-C. Micheletti**, J.-Y. Reginster*** et le groupe MISSION****

T. Chevallier*, J.-P. Daurès*, M.-C. Micheletti**, J.-Y. Reginster*** et le groupe MISSION**** J Gynecol Obstet Biol Reprod 2005 ; 34 (cahier 1) : 658-665. Travail original Méthodologie de l enquête MISSION (Ménopause, risque de cancer du SeIn, morbidité et prévalence) T. Chevallier*, J.-P. Daurès*,

Plus en détail

Prise en charge de la ménopause

Prise en charge de la ménopause N 311, septembre 2014 (remplace n 222, janvier 2009) Prise en charge de la ménopause La présente directive clinique a été rédigée par le groupe de travail sur la ménopause et l ostéoporose, analysée par

Plus en détail

Utilisation des médicaments au niveau des soins primaires dans les pays en développement et en transition

Utilisation des médicaments au niveau des soins primaires dans les pays en développement et en transition 09-0749 1 WHO/EMP/MAR/2009.3 Utilisation des médicaments au niveau des soins primaires dans les pays en développement et en transition Synthèse des résultats des études publiées entre 1990 et 2006 Organisation

Plus en détail

TRAITEMENT HORMONAL SUBSTITUTIF DE LA MENOPAUSE. RISQUES ET BENEFICES SFAR Rachida.

TRAITEMENT HORMONAL SUBSTITUTIF DE LA MENOPAUSE. RISQUES ET BENEFICES SFAR Rachida. TRAITEMENT HORMONAL SUBSTITUTIF DE LA MENOPAUSE. RISQUES ET BENEFICES SFAR Rachida. Malgré une prescription qui date maintenant de quelques dizaines d années, le traitement hormonal substitutif de la ménopause

Plus en détail

PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS

PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION

Plus en détail

phase de destruction et d'élimination de débris

phase de destruction et d'élimination de débris LE POST PARTUM I ) Définition : c'est une période de 6 semaines allant de l'accouchement jusqu'au retour de couches (= règles). Pendant ce temps il est nécessaire d'effectuer une surveillance médicale

Plus en détail

Etablissement et dépôt des comptes consolidés et du rapport de gestion consolidé

Etablissement et dépôt des comptes consolidés et du rapport de gestion consolidé Département Informations micro-économiques Service Centrale des bilans boulevard de Berlaimont 14 - BE-1000 Bruxelles tél. 02 221 30 01 - fax 02 221 32 66 e-mail: centraledesbilans@nbb.be - site Internet:

Plus en détail

Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC)

Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Dr Jean-Marie Vailloud Cardiologue libéral/ salarié (CHU/clinique) Pas de lien d'intérêt avec une entreprise pharmaceutique Adhérent à l'association Mieux Prescrire

Plus en détail

POUR CONFIRMER LA SOUSCRIPTION DE VOTRE CONTRAT, TRES VITE! AUTO

POUR CONFIRMER LA SOUSCRIPTION DE VOTRE CONTRAT, TRES VITE! AUTO Contact : www.direct-assurance.fr Tél. : 09 70 80 80 02 (Appel local selon opérateurs) Proposition de contrat auto n 5 629 624 566 Référence courrier : L20/30J Identifiant client : 1 654 178 466 MADAME

Plus en détail

LA CONTRACEPTION SUR L INFORMATION REÇUE EN

LA CONTRACEPTION SUR L INFORMATION REÇUE EN LA CONTRACEPTION 1 SATISFACTION DES PATENTES SUR L INFORMATION REÇUE EN POST PARTUM INTRODUCTION Contexte : 2 Élargissement des compétences de SF (contraception & gynécologie de prévention) (1) Rôle dans

Plus en détail

Introduction. I Étude rapide du réseau - Apprentissage. II Application à la reconnaissance des notes.

Introduction. I Étude rapide du réseau - Apprentissage. II Application à la reconnaissance des notes. Introduction L'objectif de mon TIPE est la reconnaissance de sons ou de notes de musique à l'aide d'un réseau de neurones. Ce réseau doit être capable d'apprendre à distinguer les exemples présentés puis

Plus en détail

Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014

Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes

Plus en détail

3 Les premiers résultats des plans d'actions

3 Les premiers résultats des plans d'actions 3 Les premiers résultats des plans d'actions Les résultats que nous avons obtenus en ce qui concerne les plans d'action, résultent de l'analyse de 48 entreprises seulement. Revenons sur notre échantillon.

Plus en détail

ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité

ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Hôpitaux Universitaires de Genève ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Introduction (1) L IVG chirurgicale est

Plus en détail

modélisation solide et dessin technique

modélisation solide et dessin technique CHAPITRE 1 modélisation solide et dessin technique Les sciences graphiques regroupent un ensemble de techniques graphiques utilisées quotidiennement par les ingénieurs pour exprimer des idées, concevoir

Plus en détail

UNIVERSITE DE TOULON UFR FACULTE DE DROIT REGLEMENT D EXAMEN ANNEE 2012/2017 LICENCE DROIT MENTION DROIT GENERAL

UNIVERSITE DE TOULON UFR FACULTE DE DROIT REGLEMENT D EXAMEN ANNEE 2012/2017 LICENCE DROIT MENTION DROIT GENERAL UNIVERSITE DE TOULON UFR FACULTE DE DROIT REGLEMENT D EXAMEN ANNEE 01/017 LICENCE DROIT MENTION DROIT GENERAL Les présentes règles s inscrivent dans le cadre réglementaire national défini par les tetes

Plus en détail

PRISE EN CHARGE DES LESIONS SPINCTERIENNES ANALES DU POST-PARTUM : DU CURATIF AU PREVENTIF

PRISE EN CHARGE DES LESIONS SPINCTERIENNES ANALES DU POST-PARTUM : DU CURATIF AU PREVENTIF PRISE EN CHARGE DES LESIONS SPINCTERIENNES ANALES DU POST-PARTUM : DU CURATIF AU PREVENTIF Laurent ABRAMOWITZ Unité de proctologie médico-chirurgicale Hôpital Bichat Claude Bernard 95, Rue de Passy 75016

Plus en détail

Extrait des Mises à jour en Gynécologie et Obstétrique

Extrait des Mises à jour en Gynécologie et Obstétrique COLLÈGE NATIONAL DES GYNÉCOLOGUES ET OBSTÉTRICIENS FRANÇAIS Président : Professeur M. Bruhat Extrait des Mises à jour en Gynécologie et Obstétrique Tome XIX publié le 1 er.12.1995 DIX-NEUVIÈMES JOURNÉES

Plus en détail

La stratégie de la SWX Swiss Exchange pour la place financière suisse

La stratégie de la SWX Swiss Exchange pour la place financière suisse La stratégie de la SWX Swiss Exchange pour la place financière suisse par Robert Wyss, SWX Swiss Exchange Auprès des bourses internationales, l'euphorie de la dernière décennie a disparu et les participants

Plus en détail

_GUIDE À L ATTENTION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ_

_GUIDE À L ATTENTION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ_ _GUIDE À L ATTENTION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ_ INTRODUCTION L accès à la contraception, sans autorisation parentale, est un droit pour les mineur(e)s. Néanmoins, dans la réalité, les jeunes ayant besoin

Plus en détail

Montréal, 24 mars 2015. David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting. DL Consulting Strategies in Healthcare

Montréal, 24 mars 2015. David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting. DL Consulting Strategies in Healthcare Montréal, 24 mars 2015 David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting 1 RSSPQ, 2013 2 MÉDECINE INDIVIDUALISÉE Médecine personnalisée Médecine de précision Biomarqueurs Génomique

Plus en détail

Cours 3 : Python, les conditions

Cours 3 : Python, les conditions Cours 3 : Python, les conditions Conditions Permet d'exécuter des ordres dans certaines conditions : if condition1: code exécuté si condition1 est vraie code exécuté si condition1 est vraie... elif condition2:

Plus en détail

L Incontinence Urinaire au FEMININ. Examen paraclinique. Résidu Post Mictionnel. Examen pelvien

L Incontinence Urinaire au FEMININ. Examen paraclinique. Résidu Post Mictionnel. Examen pelvien L Incontinence Urinaire au FEMININ Dr Isabelle Kaelin-Gambirasio Erika Vögele Dr Johanna Sommer Examen pelvien Inspection : Atrophie vulvovaginale Inflammation vaginale Pertes d urines à la toux Prolapsus

Plus en détail

Maternité et activités sportives

Maternité et activités sportives Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations

Plus en détail

Migraines, céphalées et statut hormonal

Migraines, céphalées et statut hormonal Migraines, céphalées et statut hormonal Vincent Cahagne, service de neurologie et équipe mobile d accompagnement et de soins palliatifs, Chu Rennes Migraine et puberté Le début de la migraine Le début

Plus en détail

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais

Plus en détail

Présenté par Mélanie Dessureault, inf. clin. et Caroline Fortin, AIC radio-oncologie

Présenté par Mélanie Dessureault, inf. clin. et Caroline Fortin, AIC radio-oncologie Présenté par Mélanie Dessureault, inf. clin. et Caroline Fortin, AIC radio-oncologie Quiz de la radio-oncologie Rôle de l infirmière en radio-oncologie Mise en contexte (création des outils) Premier outils:

Plus en détail

InfoPOEMs. CHAQUE MOIS, Le Médecin du Québec publie une sélection de résumés d articles de recherche provenant de la banque

InfoPOEMs. CHAQUE MOIS, Le Médecin du Québec publie une sélection de résumés d articles de recherche provenant de la banque Fédération des médecins omnipraticiens du Québec The Clinical Awareness System TM CHAQUE MOIS, Le Médecin du Québec publie une sélection de résumés d articles de recherche provenant de la banque d articles

Plus en détail

Quand le stress nous rend malade

Quand le stress nous rend malade Yuri Arcurs Quand le stress nous rend malade Tous concernés! De quoi s agit-il? Le stress stimule notre organisme pour qu'il s'adapte à une nouvelle situation, bonne ou mauvaise. Deux hormones sont alors

Plus en détail

Ordonnance du 27 juin 1995 sur l'assurance-maladie (OAMal)

Ordonnance du 27 juin 1995 sur l'assurance-maladie (OAMal) Ordonnance du 27 juin 1995 sur l'assurance-maladie (OAMal) Entrée en vigueur prévue le 1 er janvier 2017 Teneur des modifications et commentaire Berne, août 2015 1 Table des matières 1 Contexte 3 2 Dispositions

Plus en détail

L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon

L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît

Plus en détail

Les défibrillateurs cardiaques implantables

Les défibrillateurs cardiaques implantables Les défibrillateurs cardiaques implantables Etudes d'évaluation économique Etudes d'évaluation technologique Avant-propos Cette étude a été réalisée, à la demande de la Caisse Nationale de l'assurance

Plus en détail

Jouve, 18, rue Saint-Denis, 75001 PARIS

Jouve, 18, rue Saint-Denis, 75001 PARIS 19 à Europâisches Patentamt European Patent Office Office européen des brevets Numéro de publication : 0 645 740 A1 12 DEMANDE DE BREVET EUROPEEN @ Numéro de dépôt : 94402079.1 @ Int. ci.6: G07B 17/04,

Plus en détail

Service Public Fédéral FINANCES ---------------------------------------- Expertise et support stratégique. Bruxelles, le 11 décembre 2012

Service Public Fédéral FINANCES ---------------------------------------- Expertise et support stratégique. Bruxelles, le 11 décembre 2012 Service Public Fédéral FINANCES ---------------------------------------- Expertise et support stratégique Bruxelles, le 11 décembre 2012 Administration des Affaires Fiscales ----------------------------------------

Plus en détail

ENQUETE SUR LES AIDES TECHNIQUES CHEZ LES SOURDS ET MALENTENDANTS

ENQUETE SUR LES AIDES TECHNIQUES CHEZ LES SOURDS ET MALENTENDANTS ENQUETE SUR LES AIDES TECHNIQUES CHEZ LES SOURDS ET MALENTENDANTS Monsieur R. MAZELIER BUDOCES - 40, rue du Mont-Valérien - 92210 Saint-Cloud Lancée en février 1988 à travers les deux périodiques de la

Plus en détail

Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions.

Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Exemple d une étude prospective sur la place d un test de détection rapide du SGB. HONORAT Raphaële 1, ASSOULINE Corinne 1,

Plus en détail

Octroi de crédit : la minimisation des risques de défaillance n'a pas le dernier mot

Octroi de crédit : la minimisation des risques de défaillance n'a pas le dernier mot Octroi de crédit : la minimisation des risques de défaillance n'a pas le dernier mot Aucun prêteur, c'est entendu, n'octroie de crédit à une personne qu'il ne considérerait pas comme potentiellement solvable.

Plus en détail

La déchirure. Les risques. Troubles périnéaux du post-partum. La déchirure

La déchirure. Les risques. Troubles périnéaux du post-partum. La déchirure Troubles périnéaux du post-partum La déchirure T. Linet La déchirure Les risques Entre 2 et 6 % de périnée complet mais TRES sous diagnostiqué car ± rupture du sphincter interne sur périnée semblant intact

Plus en détail

Effets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux

Effets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux Effets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux PF Plouin, ESH Hypertension Excellence Center, Hôpital Européen Georges Pompidou, Paris La prise en charge de l hypertendu l concerne

Plus en détail

P.S.E. 1 ère situation d évaluation

P.S.E. 1 ère situation d évaluation Lycée X Ville Session 201 P.S.E. 1 ère situation d évaluation Première Bac Professionnel Spécialité du diplôme Académie de Nancy-Metz Durée : 55 minutes NOM :. Prénom :. NOTE : / 18 NOTE : / 09 FOLIO :

Plus en détail

Prise en charge de l embolie pulmonaire

Prise en charge de l embolie pulmonaire Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix

Plus en détail

AVANT-PROPOS CREATIVITE, FEMMES ET DEVELOPPEMENT L'EXEMPLE QUI VIENT DES AUTRES...

AVANT-PROPOS CREATIVITE, FEMMES ET DEVELOPPEMENT L'EXEMPLE QUI VIENT DES AUTRES... AVANT-PROPOS CREATIVITE, FEMMES ET DEVELOPPEMENT L'EXEMPLE QUI VIENT DES AUTRES... Tellement à la mode depuis quelques années, le mot de créativité est peut-être déjà démodé. La publicité, la médiatisation,

Plus en détail

Annexe A de la norme 110

Annexe A de la norme 110 Annexe A de la norme 110 RAPPORTS D ÉVALUATION PRÉPARÉS AUX FINS DES TEXTES LÉGAUX OU RÉGLEMENTAIRES OU DES INSTRUCTIONS GÉNÉRALES CONCERNANT LES VALEURS MOBILIÈRES Introduction 1. L'annexe A a pour objet

Plus en détail

Les Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est

Plus en détail

Assurance Crédit-Invalidité Trousse «Demande De Règlement»

Assurance Crédit-Invalidité Trousse «Demande De Règlement» Assurance Crédit-Invalidité Trousse «Demande De Règlement» La trousse «Demande de règlement» comprend : un feuillet d instructions, les formulaires à remplir pour demander des indemnités d invalidité et

Plus en détail

Des soins après avortement : Amis des Jeunes. Cartes à conseils 1-6

Des soins après avortement : Amis des Jeunes. Cartes à conseils 1-6 Des soins après avortement : Amis des Jeunes Cartes à conseils 1-6 SAA: Avant l intervention Accueillir cordialement la cliente et la mettre à l aise Garantir la confidentialité et l intimité Prendre les

Plus en détail

PRISE DE POSTE. Les signaux d alerte. (...à ne pas manquer) David BERNARD (AssessFirst)

PRISE DE POSTE. Les signaux d alerte. (...à ne pas manquer) David BERNARD (AssessFirst) PRIE DE POTE 5 Les signaux d alerte (...à ne pas manquer) David BERNARD (AssessFirst) Vous avez décroché le candidat en or. Vous l'avez convaincu de signer pour votre client (interne ou externe). Le client

Plus en détail

LECTURE CRITIQUE 1 ER PAS

LECTURE CRITIQUE 1 ER PAS 1 LECTURE CRITIQUE D UN ARTICLE SCIENTIFIQUE 1 ER PAS FORUM PCI 20,05,14 MJ Thévenin / Inf. EPIAS/ SMPH BUTS ET ORGANISATION DE LA PRÉSENTATION Utiliser une grille de lecture critique d un article Comprendre

Plus en détail

POLITIQUE SUR LE SOMMEIL ET LA SIESTE

POLITIQUE SUR LE SOMMEIL ET LA SIESTE POLITIQUE SUR LE SOMMEIL ET LA SIESTE Table des matières INTRODUCTION... 2 POURQUOI UNE POLITIQUE SUR LE SOMMEIL ET LA SIESTE... 3 L'IMPORTANCE DE LA SIESTE ET DU RESPECT DES RYTHMES BIOLOGIQUES... 3 À

Plus en détail

TEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE

TEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE TEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE 14 TÉTANOS ET LA ROUGEOLE 14.1 INTRODUCTION Soumaïla MARIKO Comme on l a déjà précisé au chapitre 1, des tests de dépistage de l immunité contre le tétanos et

Plus en détail

Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence

Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en

Plus en détail

Avis sur «Priorité jeunesse : évolution de la carte Région pour la rentrée 2014-2015 et mise en place du Pass Région Santé»

Avis sur «Priorité jeunesse : évolution de la carte Région pour la rentrée 2014-2015 et mise en place du Pass Région Santé» Juin 2014 Avis sur «Priorité jeunesse : évolution de la carte Région pour la rentrée 2014-2015 et mise en place du Pass Région Santé» Résultat du vote : 73 POUR 1 ABSTENTION Rapporteur : M. Gérard GRANIER

Plus en détail

Une épargne toujours importante, objectif prioritaire pour les collectivités locales

Une épargne toujours importante, objectif prioritaire pour les collectivités locales Une épargne toujours importante, objectif prioritaire pour les collectivités locales Depuis maintenant plusieurs années, les collectivités locales s'efforcent d'augmenter leur épargne afin d'autofinancer

Plus en détail

Florent Vaubourdolle Vendredi 27 mai 2011

Florent Vaubourdolle Vendredi 27 mai 2011 STOCKAGE TRAÇABILITÉ PARTAGE ASPECTS JURIDIQUES Florent Vaubourdolle Vendredi 27 mai 2011 STOCKAGE TRAÇABILITÉ PARTAGE ASPECTS JURIDIQUES 1/ Quelles données? 2/ Problématiques juridiques vues par / pour

Plus en détail

Ecole Préparatoire SNV Université d Oran Semestre 02 2014/2015 Matière : Travaux d Initiative Personnelle Encadrés (TIPE) Prof. M. Z.

Ecole Préparatoire SNV Université d Oran Semestre 02 2014/2015 Matière : Travaux d Initiative Personnelle Encadrés (TIPE) Prof. M. Z. Ecole Préparatoire SNV Université d Oran Semestre 02 2014/2015 Matière : Travaux d Initiative Personnelle Encadrés (TIPE) Prof. M. Z. TALEB Avec quel outil? Comment? Trouvez-vous facilement l information?

Plus en détail

Pseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).

Pseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR). Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».

Plus en détail

SUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES

SUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES SUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES M. BERLAND Université Claude Bernard Lyon 1 Faculté de Médecine et de Maïeutique Lyon Sud Charles Mérieux 1 METHODES

Plus en détail

Modalités de candidature et de certification. Niveau 1. Certification de personnes Expert méthode HACCP/SMSDA

Modalités de candidature et de certification. Niveau 1. Certification de personnes Expert méthode HACCP/SMSDA Modalités de candidature et de certification Niveau 1 Certification de personnes Expert méthode HACCP/SMSDA La certification d'expert méthode HACCP/SMSDA s adresse à des professionnels confirmés qui veulent

Plus en détail

Changements au régime d'assurance collective au 1 er janvier 2015 qui s appliquent aux retraités du Mouvement Desjardins. Questions et réponses

Changements au régime d'assurance collective au 1 er janvier 2015 qui s appliquent aux retraités du Mouvement Desjardins. Questions et réponses Changements au régime d'assurance collective au 1 er janvier 2015 qui s appliquent aux retraités du Mouvement Desjardins Questions et réponses Q-1 Pourquoi modifier à nouveau le régime d'assurance collective

Plus en détail

Conclusions du Conseil sur le financement pour la croissance et le financement à long terme de l'économie européenne

Conclusions du Conseil sur le financement pour la croissance et le financement à long terme de l'économie européenne Conseil de l'union Européenne PRESSE FR CONCLUSIONS DU CONSEIL Bruxelles, le 9 décembre 2014 Conclusions du Conseil sur le financement pour la croissance et le financement à long terme de l'économie européenne

Plus en détail

Les Jeudis de l'europe

Les Jeudis de l'europe LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER

Plus en détail

Migraine et Abus de Médicaments

Migraine et Abus de Médicaments Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive

Plus en détail

LE CHEMINEMENT COMPLEXE D UN VACCIN

LE CHEMINEMENT COMPLEXE D UN VACCIN LE CHEMINEMENT COMPLEXE D UN VACCIN Chaîne de production, exigences réglementaires et accès aux vaccins International Federation of Pharmaceutical Manufacturers & Associations LE CHEMINEMENT COMPLEXE D

Plus en détail

La FNSF est membre de la Fédération Mondiale des Sourds (FMS), de l Union Européenne des Sourds

La FNSF est membre de la Fédération Mondiale des Sourds (FMS), de l Union Européenne des Sourds Fédération Nationale des Sourds de France Siège Administratif : 41, rue Joseph Python 75020 PARIS Fax : 01 40 30 18 21 - E-mail : contact@fnsf.org Reconnue d'utilité Publique - décret du 24 septembre 1982

Plus en détail

Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire

Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire Dr Florence Parent Service de Pneumologie et Soins Intensifs de Pneumologie Hôpital Bicêtre, AP-HP Inserm U999. Université Paris-Sud Traitement anticoagulant

Plus en détail

Césarienne pour toutes

Césarienne pour toutes Césarienne pour toutes Méthodologie Revue de la littérature : - PUBMED de 2003 à nos jours - Mots clefs: urinary incontinence AND cesarean section (210 publications) fecal incontinence AND cesarean section

Plus en détail

Incontinence urinaire. DR.L.PEYRAT C.H.U. Tenon, Paris

Incontinence urinaire. DR.L.PEYRAT C.H.U. Tenon, Paris Incontinence urinaire DR.L.PEYRAT C.H.U. Tenon, Paris INCONTINENCE URINAIRE : DEFINITION 2002 ICS (Internationnal Contience Society) : perte involontaire d urine, on distingue Symptôme : élément décrit

Plus en détail

Conclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients

Conclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients Conseil de l'union Européenne PRESSE FR CONCLUSIONS DU CONSEIL Bruxelles, le 1 décembre 2014 Conclusions du Conseil sur l'innovation dans l'intérêt des patients Session du Conseil Emploi, politique sociale,

Plus en détail

Editions Mamamélis. c/o EFI 2, rue de la Tannerie - 1227 Carouge-Genève / Suisse Tél. 022 300 26 27 www.mamamélis.com

Editions Mamamélis. c/o EFI 2, rue de la Tannerie - 1227 Carouge-Genève / Suisse Tél. 022 300 26 27 www.mamamélis.com Catalogue Editions Mamamélis c/o EFI 2, rue de la Tannerie - 1227 Carouge-Genève / Suisse Tél. 022 300 26 27 www.mamamélis.com Les éditions Mamamélis ont vu le jour avec et pour des livres sur la santé

Plus en détail

N 518 SÉNAT QUATRIÈME SESSION EXTRAORDINAIRE DE 1991-1992

N 518 SÉNAT QUATRIÈME SESSION EXTRAORDINAIRE DE 1991-1992 N 518 SÉNAT QUATRIÈME SESSION EXTRAORDINAIRE DE 1991-1992 Rattache pour ordre au procès-verbal de la séance du 8 juillet 1992. Enregistre a la Présidence du Senat le 28 septembre 1992. PROPOSITION DE LOI

Plus en détail

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases

Plus en détail

Principales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus

Principales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées

Plus en détail

Assurance maladie grave

Assurance maladie grave ASSURANCE COLLECTIVE Le complément idéal à votre assurance collective Assurance maladie grave Votre partenaire de confiance. Assurance maladie grave La tranquillité d esprit à votre portée Les progrès

Plus en détail

Lecture critique et pratique de la médecine

Lecture critique et pratique de la médecine 1-00.qxp 24/04/2006 11:23 Page 13 Lecture critique appliquée à la médecine vasculaireecture critique et pratique de la médecine Lecture critique et pratique de la médecine Introduction Si la médecine ne

Plus en détail

APPLICATION DU SCN A L'EVALUATION DES REVENUS NON DECLARES DES MENAGES

APPLICATION DU SCN A L'EVALUATION DES REVENUS NON DECLARES DES MENAGES 4 mars 1996 FRANCAIS Original : RUSSE COMMISSION DE STATISTIQUE et COMMISSION ECONOMIQUE POUR L'EUROPE CONFERENCE DES STATISTICIENS EUROPEENS OFFICE STATISTIQUE DES COMMUNAUTES EUROPEENNES (EUROSTAT) ORGANISATION

Plus en détail

COMMISSION DES NORMES COMPTABLES. Avis CNC 2012/13 Le traitement comptable des immobilisations incorporelles. Avis du 10 octobre 2012

COMMISSION DES NORMES COMPTABLES. Avis CNC 2012/13 Le traitement comptable des immobilisations incorporelles. Avis du 10 octobre 2012 COMMISSION DES NORMES COMPTABLES Avis CNC 2012/13 Le traitement comptable des immobilisations incorporelles Introduction Avis du 10 octobre 2012 1. Tant le schéma complet que le schéma abrégé des comptes

Plus en détail

La question de recherche

La question de recherche TOUR-F-414 : Méthodes de recherche en tourisme TOUR-F-401 et TOUR-F-500 : Mémoire de fin d'études La question de recherche Année académique 2014-15 LES ETAPES DE LA DEMARCHE SCIENTIFIQUE Etape 1 La question

Plus en détail

MODALITES de CANDIDATURE CERTIFICATION de PERSONNES en HACCP

MODALITES de CANDIDATURE CERTIFICATION de PERSONNES en HACCP p. 1/7 MODALITES de CANDIDATURE CERTIFICATION de PERSONNES en HACCP 1. Préalable L examen de certification de personnes en HACCP s adresse à des professionnels confirmés qui maîtrisent l HACCP dans un

Plus en détail

Assises Nationales du Maintien à Domicile 14 17 juin 2000 La douleur Les soins palliatifs. EXPERIENCE DE SOINS D'UNE EQUIPE A DOMICILE Dr AVEROUS

Assises Nationales du Maintien à Domicile 14 17 juin 2000 La douleur Les soins palliatifs. EXPERIENCE DE SOINS D'UNE EQUIPE A DOMICILE Dr AVEROUS EXPERIENCE DE SOINS D'UNE EQUIPE A DOMICILE Dr AVEROUS INTRODUCTION (Présentation de l'association François-Xavier Bagnoud) L'Association L'association qui porte le nom de François-Xavier Bagnoud est une

Plus en détail

Présentation 2007. pour. Observatoire Vieillissement et Société

Présentation 2007. pour. Observatoire Vieillissement et Société Présentation 2007 pour Observatoire Vieillissement et Société Stéphane Tremblay Directeur de Territoire Région de l Est Qu est-ce que Lifeline? Argus? Philips? Lifeline est un service de télésurveillance

Plus en détail

ASSURANCE-LITIGE EN MATIÈRE DE BREVETS

ASSURANCE-LITIGE EN MATIÈRE DE BREVETS Étude concernant l assurance-litige en matière de brevets, par CJA Consultants Ltd Janvier 2003 V4a.fin ASSURANCE-LITIGE EN MATIÈRE DE BREVETS Étude réalisée pour la Commission européenne concernant la

Plus en détail

Après chirurgie bariatrique, quel type de tissu adipeux est perdu? Dr Emilie Montastier Hôpital Larrey, Toulouse

Après chirurgie bariatrique, quel type de tissu adipeux est perdu? Dr Emilie Montastier Hôpital Larrey, Toulouse Après chirurgie bariatrique, quel type de tissu adipeux est perdu? Dr Emilie Montastier Hôpital Larrey, Toulouse Généralités / Contexte La chirurgie bariatrique: pas de relation quantitative claire entre

Plus en détail

2 Grad Info Soir Langage C++ Juin 2007. Projet BANQUE

2 Grad Info Soir Langage C++ Juin 2007. Projet BANQUE 2 Grad Info Soir Langage C++ Juin 2007 Projet BANQUE 1. Explications L'examen comprend un projet à réaliser à domicile et à documenter : - structure des données, - objets utilisés, - relations de dépendance

Plus en détail

Principes de management de la qualité

Principes de management de la qualité Principes de management de la qualité Introduction Ce document est une introduction aux huit principes de management sur lesquels sont fondées les normes relatives au système de management de la série

Plus en détail

Cécile Bergeron, B. Sc. inf. cécile.bergeron@rrsss16.gouv.qc.ca. Anne Plante, M.Sc. Inf., CSIO, CSIP anne.plante@rrsss16.gouv.qc.

Cécile Bergeron, B. Sc. inf. cécile.bergeron@rrsss16.gouv.qc.ca. Anne Plante, M.Sc. Inf., CSIO, CSIP anne.plante@rrsss16.gouv.qc. Direction québécoise de cancérologie Les pratiques exemplaires en cancérologie Session d information aux nouveaux patients recevant de la chimiothérapie (version abrégée) 30 novembre 2012 Cécile Bergeron,

Plus en détail

Accord sur l égalité professionnelles entre les femmes et les hommes

Accord sur l égalité professionnelles entre les femmes et les hommes Accord sur l égalité professionnelles entre les femmes et les hommes PREAMBULE Dans le but de concrétiser les dispositions légales visant à instaurer l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes,

Plus en détail

INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper

INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction

Plus en détail

A - Nomenclature des préjudices de la victime directe

A - Nomenclature des préjudices de la victime directe ANNEXE NOMENCLATURE DES PREJUDICES RESULTANT D UNE ATTEINTE A LA PERSONNE A - Nomenclature des préjudices de la victime directe 1 ) Préjudices patrimoniaux a) Préjudices patrimoniaux temporaires (avant

Plus en détail

Chapitre 2 : Détermination de l'ensemble consolidé

Chapitre 2 : Détermination de l'ensemble consolidé Chapitre 2 : Détermination de l'ensemble consolidé Introduction I - Degrés de dépendance : Critères d'appréciation du contrôle A Droits de vote B Eléments de fait TD1 - Pourcentage de droits de vote II

Plus en détail

Uniboard: optimiser votre enseignement à l'aide du tableau noir électronique

Uniboard: optimiser votre enseignement à l'aide du tableau noir électronique Qu'est-ce qu'uniboard? Uniboard: optimiser votre enseignement à l'aide du tableau noir électronique Thèmes abordés : Qu'est-ce qu'uniboard L'apport des visuels dans l'enseignement Exemples d'utilisation

Plus en détail

exigences des standards ISO 9001: 2008 OHSAS 18001:2007 et sa mise en place dans une entreprise de la catégorie des petites et moyennes entreprises.

exigences des standards ISO 9001: 2008 OHSAS 18001:2007 et sa mise en place dans une entreprise de la catégorie des petites et moyennes entreprises. R E S U M E de la Thése de doctorat Perfectionnement du systemé de management intégré qualité-responsabilité sociale-santé et sécurité occupationnelle élaborée par Monsieur le thésard Denuntzio C. Romeo,

Plus en détail

FDS/RDDH CHARTE DE NOMMAGE

FDS/RDDH CHARTE DE NOMMAGE FDS/RDDH CHARTE DE NOMMAGE Mai 2004 Table des matières I - DISPOSITIONS GENERALES 1 1.1. PREAMBULE 1 1.2. CONDITIONS D'ACCES AU ".ht" 1 II - PRINCIPES DIRECTEURS DU NOMMAGE 3 2.1. REPARTITION DE LA ZONE

Plus en détail