Vaccins et aluminium. La Santé Publique doit prendre le pas sur la logique financière. Dossier pour le ministère de la Santé

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1 Association E ntraide aux M alades de M yofasciite à M acrophages Agrément National du Ministère de la Santé Arrêté du 6 mars 2007 JO du 22 mars 2007 Vaccins et aluminium La Santé Publique doit prendre le pas sur la logique financière Dossier pour le ministère de la Santé Juillet 2012 Siège social : 5 rue Breuillac Laydet NIORT Présidente : Sophie Chevry Contact : Didier Lambert didierlamberte3m@free.fr /

2 La question de l aluminium utilisé comme adjuvant vaccinal est une problématique essentielle, mais complexe. Car cela interroge à la fois les connaissances scientifiques, l éthique médicale, la vigilance sanitaire et la responsabilité politique, mais aussi l économie, les processus de production et les acteurs de cette production. C est un sujet qu il est très difficile d aborder, tant les débats sont parasités par les propos caricaturaux et les enjeux économiques. Généralement, toute critique d un produit vaccinal est assimilée à de l obscurantisme. Cette fermeture d esprit a un coût. Un coût en santé humaine, car les personnes atteintes de pathologies diverses du fait de l aluminium utilisé dans les vaccins se comptent par milliers. Un coût en Santé Publique, notamment pour les comptes sociaux qui doivent assumer les frais médicaux et les pensions d invalidité. Nous remettons au Ministère de la Santé ce document établi sous forme de questions / réponses, en cherchant à la fois clarté et concision. Tous les éléments abordés dans ce dossier sont détaillés dans des rapports spécifiques annexés à ce document et disponibles sur notre site Internet. 2

3 Pour y voir clair 1. L aluminium est-il un produit toxique? Oui, c est un fait reconnu depuis longtemps. En témoigne le rapport 2003 de l InVS : «de nombreuses études montrent à présent que l aluminium peut être toxique pour les plantes, les animaux et l homme» 1. L Académie nationale de médecine le confirme dans son récent rapport sur les adjuvants vaccinaux 2 : «il existe un consensus pour considérer l aluminium comme un produit neurotoxique de façon aiguë.». 2. Quand et pourquoi l a-t-on utilisé comme adjuvant dans les vaccins? Le principe de l utilisation d adjuvants pour stimuler la réponse immunitaire et accroitre le niveau d anticorps circulants a été découvert par Ramon (Institut Pasteur) en Le choix des sels d aluminium (Glenny - Welcome, devenu GSK ) s est fait sur des critères d efficacité («Le seuil de 15 mg d alun ou de 0,85 mg d aluminium par dose a été sélectionné empiriquement à partir des données qui ont démontré que cette quantité d aluminium renforçait l antigénicité et l efficacité du vaccin» Food and Drug Administration ). 3. Des études de toxicité spécifiques à l aluminium ont-elles été menées? Non. A ce jour, la communauté médicale part du postulat simple que les bébés excrètent la totalité de l aluminium par les reins. Mais cette affirmation n a fait l objet d aucune étude 5. Ce que confirme l OMS en 2004: «L innocuité des adjuvants est un domaine important et négligé. Dans la mesure où les adjuvants ont leurs propres propriétés pharmacologiques, susceptibles de modifier l immunogénicité et la sécurité des vaccins, l évaluation de leur innocuité est indispensable» Depuis quand les sels d aluminium utilisés dans les vaccins sont-ils mis en cause? Dès les années 1970, de nombreux auteurs associent l augmentation de la fréquence d apparition des maladies allergiques avec les programmes intensifs de vaccination de masse. L injection régulière de vaccins contenant des composants aluminiques est suspectée d être un des facteurs à l origine du développement observé des maladies allergiques, du fait de la stimulation de la réponse IgE spécifique par les sels d aluminium 7 (les Immunoglobulines E sont capables de déclencher des réactions rares mais sévères, de type allergiques immunitaires). Pour cette raison, au début des années 1970, l Institut Pasteur remplace dans ses vaccins les sels d aluminium par le phosphate de calcium, composant naturel de l organisme humain. Le 21 août 1987, la FDA (Food and Drug Administration) présente un rapport sur les questions de sécurité concernant les composés d aluminium utilisé dans les extraits allergéniques. Le texte est explicite : «l'augmentation signalée des cas d Alzheimer et de SLA endémiques peut être en relation avec un empoisonnement par une lente accumulation d'aluminium ( ) les niveaux d absorption Relyveld (1995) - Congrès international sur l histoire de la vaccinologie 4 GlaxoSmithKline Robert W. SEARS, pédiatre nord-américain réputé, auteur de plusieurs livres de pédiatrie (cité par Virginie Belle, auteure de «quand l aluminium nous empoisonne») Vassilev (1978) Aluminium phosphate but not calcium phosphate stimulates the specific IgE response in guinea pigs to tetanus toxoid. 3

4 d'aluminium signalés dans certaines de ces études sur les maladies osseuses peuvent être atteints avec des extraits allergéniques adsorbés sur aluminium ( ) Certains vaccins adsorbés sur aluminium ( ) sont donnés comme mettant la vie en danger et ajoutent à cette charge». 5. Quel est l état actuel des connaissances scientifiques? La question de la toxicité de l aluminium vaccinal fait aujourd hui l objet de nombreuses publications scientifiques internationales (cf rapport annexé). L Académie de médecine reconnait que l aluminium vaccinal peut atteindre le cerveau : «la concentration d Al 26 va en décroissant : rein> rate> foie> cœur> ganglions> cerveau» 8. Le Pr Montagnier, prix Nobel de Médecine, vient récemment (en 2012) d émettre ce jugement 9 : «ce sont souvent les adjuvants qui créent ces problèmes de réactions anormales aux vaccins. ( ) J enrage de voir que ce problème est totalement nié pour des intérêts pharmaceutiques, des intérêts politiques.» 6. Quelles sont les conséquences de cette toxicité de l adjuvant aluminique? La Myofasciite à Macrophages (MFM) 10 est une pathologie très invalidante (douleurs articulaires et musculaires, épuisement) liée à l adjuvant aluminique des vaccins. Les troubles neurocognitifs associés attestent d une lésion organique du cerveau. Cette lésion est imputée à l'aluminium vaccinal, au vu des travaux scientifiques les plus récents. La MFM est maintenant intégrée dans le «syndrome des adjuvants (ASIA)» 11, tel que défini par le Pr Shoenfeld, éminent spécialiste international dans le domaine de l auto-immunité. Plusieurs autres pathologies pourraient être déclenchées par les vaccins aluminiques (cas de SEP, SLA, ). 7. Les autorités sanitaires françaises ont-elles été alertées? Oui : - En 1987, par le Dr Léry (Institut Pasteur), suite au projet de suppression des vaccins adsorbés sur phosphate de calcium par l Institut Mérieux, nouveau propriétaire de l Institut Pasteur (copie de cette lettre dans notre dossier sur le changement d adjuvants, annexé au présent document). - Le 4 décembre 2007, par notre association «Entraide aux Malades de Myofasciite à Macrophages» (E3M) et le Pr Gherardi, lors d un rendez-vous avec Mme Muriel Dahan, membre du cabinet de la Ministre de la Santé. - Depuis juillet 2011, plus de 50 parlementaires ont posé des questions écrites au Ministère. Des courriers ont aussi été envoyés par plusieurs députés aux autorités sanitaires, dont celui de Michèle Delaunay (actuelle ministre chargée des personnes âgées et de la dépendance) En mars 2012, le Groupe d Études sur la Vaccination (mis en place par l Assemblée Nationale) a recommandé la mise en place d un moratoire sur les adjuvants aluminiques. 13 De nombreux courriers ont aussi été envoyés par E3M depuis 10 ans (à l Afssaps, au Ministère, à la Présidence de la République). Des réunions se sont tenues à plusieurs reprises à l Afssaps Interview du Pr Luc Montagnier, médecin, virologue, prix Nobel de Médecine, sur RCF le 2 mai ASIA - Autoimmune/inflammatory Syndrome Induced by Adjuvants

5 8. Que s est-il passé suite à ces alertes? Rien On continue d injecter des vaccins aluminiques à de nombreux enfants et adultes. Et les diagnostics de MFM ne décroissent pas (voir question 12). Pire, l industrie pharmaceutique retire les vaccins sans aluminium correspondant à l obligation vaccinale, sans réaction des pouvoirs publics (voir question 14). 9. Si l on reconnait la toxicité de l aluminium vaccinal, la population ne va-t-elle pas se détourner de la vaccination? A l heure d Internet, il est illusoire de penser que les connaissances restent confinées à un petit nombre de personnes initiées. La population se détourne déjà de la vaccination, malgré les campagnes de communication régulières en sa faveur! Comment s étonner de cette baisse de confiance, alors que les autorités sanitaires ont choisi l opacité et non la transparence, et que l on retire les vaccins sans aluminium? 10. Les chercheurs français bénéficient-ils de financements spécifiques sur la MFM? Non, aucun financement ou encouragement n est octroyé. Bien que le directeur de l Afssaps ait écrit (2010) «Vos travaux expérimentaux ont été présentés le 30 janvier 2008 à l Afssaps, qui a considéré que leur poursuite permettrait de mieux caractériser la distribution de l aluminium vaccinal administré par voie intramusculaire. Une translocation au niveau cérébral de particules injectées au niveau musculaire, via les macrophages, est possible», l équipe de l hôpital Henri Mondor (Créteil) ne dispose pas de financement dédié à la MFM, hormis une subvention en 2011 dans le cadre du PICRI 14 («Le risque neurotoxique lié à l'exposition à l'aluminium : recherche de facteurs de susceptibilité individuelle»). L association E3M apporte son soutien financier, bien sûr limité. 11. Quelle est la conséquence de cette absence de financements dédiés? L équipe de l hôpital Henri Mondor est à la pointe de la recherche mondiale sur le sujet. L absence de financement dédié ralentit considérablement le déroulement de leurs recherches. Or il est urgent de comprendre la pharmaco-dynamique de l aluminium injecté, ainsi que les mécanismes impliqués. D autant que leurs travaux apporteront des informations extrêmement importantes sur le devenir de certaines autres nanoparticules introduites dans l organisme. Le processus sera de toute façon élucidé dans les années à venir, compte tenu des recherches qui s engagent sur le plan international. Mais avec beaucoup de retard, et sans que l équipe française ne récolte les fruits de son travail. 12. Y a-t-il urgence à comprendre le mécanisme de survenue de la MFM? Chaque semaine, 2 à 3 nouveaux cas sont diagnostiqués à l hôpital Henri Mondor (nombre profondément sous-estimé, dans la mesure où la maladie n est pas encore enseignée dans les facultés de médecine et où une vraie campagne de désinformation est menée auprès du corps médical qui ne sait pas repérer et diagnostiquer la MFM). Tous les vaccins aluminiques sont en cause, y compris les vaccins contre le papillomavirus humain (HPV), qui sont sous surveillance renforcée de l Afssaps. Les personnes atteintes par la MFM voient leur vie profondément affectée. 78 % des personnes atteintes de MFM doivent cesser toute activité professionnelle. Des jeunes qui débutent leurs études doivent brutalement les interrompre, se fermant tout avenir. 14 Partenariat institutions-citoyens pour la recherche et l innovation 5

6 La compréhension de la survenue de la MFM aiderait aussi à mieux appréhender de nombreuses autres pathologies auto-immunes. 13. Ces conséquences dramatiques auraient-elles pu être évitées? Oui. Mais un mur de silence ou d opprobre s élève dès que la sécurité vaccinale est questionnée. 14. Existe-t-il des vaccins sans aluminium? Très peu. Prenons l exemple de la vaccination obligatoire pour les enfants en âge scolaire. Jusqu en juin 2008, il existait un vaccin DTP sans aluminium. Mais le 12 juin 2008, sa commercialisation a été suspendue. Cette suspension n est justifiée par aucune raison d ordre médical. Depuis 1987, nous assistons au retrait progressif de tous les vaccins sans aluminium. A l heure actuelle, il n existe plus que le vaccin contre la polio (Imovax) qui soit sans aluminium (hors vaccins contre la grippe, etc.). La politique de Santé Publique a progressivement cédé devant les intérêts financiers de l industrie pharmaceutique. Nous le démontrons dans les rapports annexés. L absence du vaccin DTP sans aluminium génère à elle seule un coût important pour l assurance maladie : 3 à 4 Millions d Euros a minima chaque année. 15. Existe-t-il un adjuvant efficace, sans risque et reconnu? Oui, le phosphate de calcium. Il est fiable, efficace et présente toutes les garanties de sécurité, puisqu il est un composant de l organisme humain. Il est actuellement l objet de dépôts de brevets de la part de l industrie pharmaceutique (par ex. pour un vaccin contre l anthrax, ou pour un vaccin contre le HIV cf. rapport annexé). La recherche de nouveaux adjuvants est longue, onéreuse et aléatoire. Peut-être sera-t-elle aussi très rentable à terme, par la prise en compte des coûts de développement dans les prix des nouveaux vaccins que l Assurance Maladie devra prendre en charge. Le phosphate de calcium dispose de toutes les autorisations administratives. Et son prix est «très compétitif» pour l Assurance Maladie. 16. La substitution d'un adjuvant vers un autre adjuvant est-elle envisageable de façon simple et rapide? Oui, contrairement aux affirmations du Ministère dans ses réponses aux parlementaires. Jusqu en 1987, les vaccins de l Institut Pasteur étaient adjuvantés sur phosphate de calcium, qui ne présente pas la toxicité de l aluminium et dont l utilisation ne génère aucune polémique (voir question 15). En 1987, ils ont été modifiés «par souci de rentabilité» (propos de la direction de l Institut Mérieux, nouveau propriétaire de l Institut Pasteur). Certains sont devenus des vaccins sans adjuvant. D autres ont été adjuvantés sur des sels d aluminium, sans changement d AMM. Il serait donc possible de revenir au phosphate de calcium : ce qui s est fait dans un sens devrait pouvoir se faire dans l autre, sans trop de difficultés. C est d ailleurs ce que permettent les textes européens (voir rapport «Le Phosphate de Calcium comme adjuvant, c est possible dès maintenant»). 6

7 En conclusion? Tout ce qui précède montre clairement que nous sommes face à un nouveau scandale de Santé Publique. Il ne pourra plus être étouffé très longtemps. Depuis (au moins) 1987, les choix de Santé Publique (dans le domaine de la vaccination) sont dictés par l industrie pharmaceutique. Il est temps que l intérêt général soit le centre de toute décision. La primauté d une politique de Santé Publique désintéressée et respectueuse de l humain est une ardente nécessité. Nous attendons de toute urgence : - la mise en œuvre du processus de retrait de l aluminium des vaccins ; - le financement de la recherche sur les effets de l aluminium injecté dans le corps humain ; - la remise à disposition du DTPolio ou équivalent, sans aluminium. 7

8 Rapports annexés L état actuel des connaissances sur la toxicité de l aluminium vaccinal Le changement d adjuvant, c est possible dès maintenant Observations détaillées de l association E3M sur le rapport de l Académie de Médecine (Les adjuvants vaccinaux : quelle actualité - juin 2012) DT Polio - des autorités sanitaires sous influence La Myofasciite à Macrophages au quotidien Conseil Scientifique de l Afssaps : les conflits d intérêts 8

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