LES DIFFERENTS MODES DE GARDE DES JEUNES ENFANTS ET LEURS IMPACTS RESPECTIFS Notes d après l intervention d Agnès Florin (avec accord de l auteur)
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- Simone Sylvain
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1 Agnès FLORIN Professeur de psychologie - Université de Nantes LES DIFFERENTS MODES DE GARDE DES JEUNES ENFANTS ET LEURS IMPACTS RESPECTIFS Notes d après l intervention d Agnès Florin (avec accord de l auteur) Je voudrais rappeler que depuis les années 90, la recherche, sur ce qu'on appelle «l'éducation préscolaire» 1 dans le contexte international s'est considérablement développée et organisée. Il existe encore aujourd'hui, un décalage important entre l'offre de structures d'accueil préscolaire et la demande des parents dans de nombreux pays, y compris en France. L'enjeu de la question c'est évidemment la conviction pour les parents, les professionnels et les chercheurs, que l'expérience du début de la vie joue un grand rôle pour le développement ultérieur des enfants. En France la quasi-totalité des enfants est scolarisée à l'école maternelle dès l'âge de 3 ans et ceci depuis 1990, bien que l'école maternelle ne soit pas obligatoire. La scolarisation massive a commencé dans les années 60. Actuellement près de 25% des enfants de 2 à 3 ans sont scolarisés (soit 40% de ceux ayant deux ans révolus), avec de grandes disparités selon les régions. Il s'agit principalement d'enfants de 2 ans ½ à 3 ans. Je vais examiner 3 points : - les effets de la scolarisation avant 3 ans sur la suite de la scolarité ; - des comparaisons entre mode d'accueil dans le contexte français ; - des comparaisons dans le domaine international. Les effets de la scolarisation avant 3 ans La France, avec la Belgique, offre la possibilité d une scolarisation pour les moins de 3 ans (ce sont les deux seuls pays dans le monde). L'école est chez nous, depuis la fin du 19 ème siècle, un pilier de la République, on trouve des écoles maternelles sur tout le territoire, elles sont gratuites dans le secteur public. Elles sont accessibles à tous les enfants quelles que soient les caractéristiques des familles c'est-à-dire de langue, de conditions de ressources ou de travail. La scolarisation avant 3 ans a été développée car, d'après les statistiques de l'éducation nationale, elle réduit les risques de redoublement. Cette scolarisation avant 3 ans s'est infléchie récemment, en raison de la démographie. Les 2 ans servent souvent de variable d'ajustement, on leur trouve des places dans la mesure où on n'a pas trop de plus grands à scolariser. Des données récentes de la DEPP (Direction de l'évaluation, de la prospective et de la performance, MEN) en 2003 montrent un effet sur les parcours scolaires des enfants scolarisés avant 3 ans : l'accès au CE2 sans redoublement et particulièrement pour les milieux défavorisés. Toutefois, on peut noter que la scolarisation à 2 ans accroît, mais faiblement, l'accès au CE2 sans redoublement 1 Ce qui précède l école élémentaire, appelée «école primaire» dans la plupart des pays, et qui correspond en France aux structures de la petite enfance et à l école maternelle. 1
2 d'environ 3% alors que la scolarisation après 3 ans est pénalisante, c'est-à-dire qu'elle réduit d'environ 11% les chances d'accéder au CE2 sans redoublement. Globalement l'effet apparaît donc relativement limité, surtout si on le compare d'un point de vue statistique ("toutes choses étant égales par ailleurs"), l'effet apparaît limité quand on le compare à l'effet du milieu social qui explique les plus grands écarts et quand on le compare à l impact des trimestres de naissance. Donc, l'accès au CE2 sans redoublement augmente de 3% grâce à une scolarisation avant 3 ans. On retrouve les mêmes écarts pour les acquis des élèves à l'entrée au CP, c'est-à-dire que toute choses étant égales par ailleurs, on trouve pour les scolarisés avant 3 ans des avantages dans les domaines de la compréhension orale, de la familiarité avec l'écrit, en vocabulaire, pré-lecture, pour les concepts de temps et d'espace et les compétences numériques. En analysant les résultats plus finement et selon des méthodologies diverses, en suivant des cohortes d'élèves pendant plusieurs années, on note que les plus grands bénéficiaires sont les enfants de milieu social défavorisé et que les effets sont plus sensibles en ZEP qu'hors ZEP. On trouve aussi des effets positifs chez les enfants de milieux très favorisés, cadres supérieurs, professions libérales, enseignants. Mais probablement, pour ces parents, le choix de la scolarisation avant 3 ans se révèle être une stratégie éducative de réussite. Pour autant, la scolarisation précoce ne convient pas à tous les enfants de moins de 3 ans et ne peut être développée dans toutes les écoles lorsque les conditions d'accueil, les locaux, l'encadrement, la pédagogie ne sont pas adaptés. Différences et similitudes des modes d'accueil en France Depuis une dizaine d'année, nous avons conduit une recherche comparative sur les modes d'accueil des jeunes enfants, en considérant les crèches, les écoles maternelles et les assistantes maternelles agréées. Deux aspects du fonctionnement sont comparés : la gestion du temps (l organisation de la journée et des activités proposées par les adultes d une part, réalisées par les enfants d autre part) ; la tutelle de l adulte (le guidage de l action de l enfant lors d activités similaires). Du point de vue de la gestion du temps, on trouve une certaine spécificité de l'école : davantage d'activités pédagogiques comme le graphisme, les activités logiques, le langage, les explications, de repères spatio-temporels. Les jeux libres sont plus représentés en crèche et les temps d'attente davantage à l'école. L'école sait, moins bien que la crèche, proposer des moments de jeux libres qui pourraient avantageusement remplacer une part des temps quotidiens d'attente. Ceci même si je défends l'idée que l'attente a aussi des vertus éducatives : accepter qu'une réponse ne soit pas immédiate, prendre le temps de rêver, d'observer pour imiter, planifier une action à venir Les activités liées à la maîtrise de la langue sont un peu moins présentes chez les assistantes maternelles agréées que dans les écoles et les crèches, mais les échanges individualisés y sont favorisés. Dans les interactions de tutelle portant sur des activités similaires, le guidage de l'action par le professionnel n'est pas exactement le même : - Les assistantes maternelles prennent une place importante dans la réalisation de la tâche pour conduire à la réussite. - Les éducatrices de crèche présentent une grande régularité de participation quel que soit l'enfant, la tâche et les difficultés, 50% de leurs interventions sont de l'ordre de ce que nous appelons du «métacognitif» (explications, analyse de la tâche...). - Les enseignants sont les professionnels qui s'ajustent le plus à la tâche, à l'enfant, à ses difficultés, c'est-à-dire qu'ils varient leur mode d'interaction et qu ils favorisent davantage la participation des enfants aux activités métacognitives dont on sait combien elles sont utiles dans la suite des apprentissages. En revanche, il se dégage bien des similitudes entre écoles et crèches dans la gestion du temps et la tutelle de l'adulte. Ces similitudes sont probablement liées à certains objectifs généraux d'éducation qui sont en partie similaires à la dimension collective de l'accueil et à l'âge de la population accueillie. 2
3 Par ailleurs, la vie dans les structures collectives, que ce soit la crèche ou l'école maternelle, n'entraîne pas plus d'agressivité qu'un accueil individualisé, comme le montre de nombreux travaux de la littérature internationale. Pour notre part, nous avons comparé la qualité de l'attachement des enfants en crèche et à l'école, nous avons pu montrer que les enfants sont aussi sécurisés dans les deux institutions, (c'est-à-dire l'attachement à l'enseignante comparé à l'attachement à l'éducatrice de crèche). La qualité de cet attachement est surtout liée à la sécurité de l'attachement aux parents. Une autre de nos recherches montre que l'expérience de la collectivité avant 3 ans favorise la participation verbale et la théorie de l'esprit, c'est-à-dire la prise en compte du point de vue d'autrui, et là encore, il n'y a pas d'effet sur l'agressivité. Comparaisons dans le domaine international Du point de vue du contexte international, l'évaluation de la qualité a souvent été faite selon des critères définis a priori. Aujourd'hui les effets sont analysés en considérant les liens entre certaines caractéristiques de l'accueil d'une part, et les différents aspects du développement des enfants d'autre part (aspect cognitif, social, affectif et émotionnel). Quelles sont les variables qui modulent les effets d'un accueil préscolaire? Tout d'abord la qualité de la structure : le taux d'encadrement, la taille des groupes (moins souvent prise en compte). Il ne suffit pas d'étudier le ratio adulte/enfants. Le programme éducatif ou pédagogique, la formation et l'expérience des professionnels, la stabilité du personnel, l'adéquation des locaux sont importants. La qualité des relations avec l'adulte ne se réduit pas au ratio adulte/enfants, mais n'est, bien sûr pas indépendante. La durée de fréquentation en nombre de mois a un impact sur le développement social, sur les compétences cognitives et sur la réussite scolaire. Concernant la "quantité " hebdomadaire de garde non parentale, il semble qu'il existe un optimum entre 10h et 30h par semaine. S'agissant des caractéristiques familiales on constate qu'un accueil non parental peut avoir un effet bénéfique dans des milieux non favorisés ou moins favorable comparé à une garde par une mère diplômée et stimulante, par exemple. Il faut aussi souligner la complémentarité des contextes familiaux et extra familiaux, la nécessité d'équilibrer la vie de l'enfant à la maison et dans le lieu d'accueil ; l'intérêt pour l'enfant des interactions entre parents et professionnels, bien sûr dans le respect des différences entre les deux lieux de vie. Je voudrais également insister sur les effets négatifs des horaires décalés des parents, horaires de travail dont les femmes sont les principales victimes : l'enfant est alors réveillé trop tôt, rentre à la maison tardivement, est gardé selon des horaires très irréguliers. Un consensus dans la littérature se dégage pour considérer comme élément de qualité nécessaire à un bon développement cognitif, social et affectif des enfants, l'attention qui leur est portée, l'adéquation aux besoins individuels, la stabilité du personnel. Ces variables sont liées à la formation et à l'expérience des professionnels, au ratio adulte/enfant, elles n'expliquent pas tout. Il semble que des relations de faibles qualités ont une incidence plus forte sur le développement social (agression, non respect des règles), que sur les autres aspects du développement. Lorsque des effets positifs du mode d'accueil sont trouvés, ils perdurent sur plusieurs années. Lorsque des effets négatifs sont observés, il apparaît que les enfants les plus touchés ont par ailleurs d'autres difficultés. Selon plusieurs études, les enfants considérés "à risques", par leurs caractéristiques sociales ou familiales, sont plus sensibles aux effets positifs ou négatifs des modes d'accueil. Ceci conduit à 3
4 plaider pour un développement des recherches différentielles sur cette question en considérant non seulement les indicateurs classiques du développement mais également la notion du bien-être des enfants. Cette notion n'est pas facile à évaluer. En conclusion, faire progresser la qualité de vie des jeunes enfants et leur bien-être devrait se faire en tenant compte des interactions complexes entre la qualité des modes d'accueil, les caractéristiques personnelles de l'enfant, les variables familiales et sociales (composition de la famille, pratiques éducatives, conditions de ressources, prestations familiales) et leurs incidences sur le rythme de vie de l'enfant. N'oublions pas que les conditions de vie des enfants dépendent aussi de celles de leurs parents. Le bien-être des enfants, leur développement optimal supposent une attention particulière aux gestes professionnels de soin et d'éducation et aux échanges entre professionnels des différents structures de la petite enfance (crèches, assistantes maternelles, école ) Je voudrais évoquer la durée des effets positifs ou négatifs des modes d'accueil de la petite enfance. L'impact des expériences des premières années pour le développement des enfants et leurs apprentissages devrait inciter les responsables politiques, y compris dans l'éducation nationale, à accorder plus d'importance à l'éducation dans la petite enfance et à son rôle dans la prévention des difficultés d'apprentissage et de développement. Je vais prendre deux exemples. La maîtrise de la langue écrite est ancrée dans celle de l'oral, lequel se construit dans les premières années de la vie. Les liens sociaux, le respect des règles sociales et d'autrui se tissent dans les relations de la petite enfance, le sentiment de sécurité avec des adultes également. Est-ce un hasard si les pays d'europe du Nord qui ont les meilleurs résultats dans les comparaisons internationales au sujet du niveau des élèves, sont aussi les pays qui ont le plus investi dans l'éducation de la petite enfance et qui le subventionnent le plus? La qualité de l'éducation des touts petits, avec le respect que la société leur doit, est certainement un investissement pour l'avenir. Agnès Florin a également précisé : Les connaissances sur le développement du jeune enfant ont considérablement évolué au cours des 20 dernières années. On a survalorisé les relations avec la mère pour que celle-ci devienne absolument indispensable pour s'occuper, seule de préférence, de l'enfant et que cette action ne soit pas à la charge de la société. Or, tous les travaux des 20 dernières années sur l'attachement montrent que les jeunes enfants développent très tôt des attachements multiples, au papa quand il est présent dans la vie de l'enfant, à la fratrie quand il y en a une, aux autres adultes qui s'occupent de l'enfant. L'enfant distingue très tôt et très vite les différents partenaires humains avec lesquels il est en contact. Ces différents partenaires et les liens créés avec eux sont aussi indispensables les uns que les autres. On a voulu étudier la qualité du lien parce que nous étions confrontés à ces discours qui n'étaient pas étayés. Nous connaissons tous un enfant qui se développe mal dans une crèche, dans une école maternelle, qui ne sont pas ce qu'elles devraient être, ou une assistante maternelle "insuffisante". Ce n'est pas une administration de la preuve, même si toute expérience est par ailleurs respectable. Au niveau de l'attachement, toute la recherche montre qu'une structure en tant que telle n'a pas d'incidence particulière. C'est sa qualité qui fait la différence. Dans l'étude que j'évoque, nous avons effectué des observations dans les lieux d'accueil. Nous avons utilisé différentes techniques d'évaluation de l'attachement selon l'âge des enfants. Nous avons également évalué la qualité de l'attachement aux parents et la qualité de l'attachement aux professionnels. Pour ceux qui sont en crèche, c'est l'éducatrice. Pour ceux qui sont à l'école maternelle c'est l'enseignante. Nous avons vu que la majorité des enfants sont autant sécurisés à la crèche qu'à l'école. On peut faire le lien entre l'attachement aux parents et l'attachement aux 4
5 personnels du lieu d'accueil et en même temps avec les relations amicales que l'enfant développe avec ses pairs. Nous travaillons actuellement sur la relation entre ces différents attachements. Est-ce qu'un enfant qui a un attachement insécurisé dans la famille peut trouver une compensation à l'école? Quelle est la place de la relation avec les autres enfants? On dit souvent que l expérience en collectivité est favorable au développement des enfants, mais chez le bébé c'est différent. Ce n'est pas parce que votre bébé n'a pas de place en crèche qu'il va avoir obligatoirement des difficultés de socialisation. Il a surtout besoin d'un contact sécurisé avec un adulte qui répond à ses besoins. J'ai évoqué des temps d'attente en faisant la comparaison crèche-école : il y en a davantage à l'école, trop à mon sens par rapport aux besoins des enfants, mais les moments d'inactivité sont aussi nécessaires aux enfants. Il ne faut effectivement pas qu ils soient toujours en activité. L'activité essentielle de l'enfant, c'est le jeu et celui-ci doit avoir toute sa place à l'école maternelle, qu'il s'agisse des jeux structurés ou des jeux libres. Ces derniers ont une importance fondamentale car c'est à travers eux que l'enfant va se représenter le monde, va explorer le monde, les relations avec les objets, les relations avec autrui. Ils sont vraiment indispensables. On peut proposer des jeux structurés, mais il faut savoir que l'enfant a besoin d'observer, de regarder, de rêver, et il a aussi besoin de s'ennuyer pour aller lui-même chercher d'autres activités, d'autres partenaires. L'évaluation est un élément essentiel du processus d'enseignement et de l'éducation d'une manière générale. Il s'agit de savoir où en sont les enfants, pour aider à développer d'autres apprentissages et d'autres possibilités de savoir faire. Dans ce sens-là, cela me paraît essentiel. Il me semble aussi tout à fait essentiel de prendre en compte les enfants qui souffrent, traiter leurs difficultés qui, pour une part, ne sont pas strictement personnelles mais sont liées à des facteurs économiques, sociaux ou familiaux. Il faut les aider à savoir contrôler des émotions, gérer des conflits pour ne pas laisser ces difficultés se cristalliser et devenir beaucoup plus résistantes et devoir par la suite s'interroger sur les mesures spéciales à mettre en place. Je plaide pour aider au développement et au bien être des enfants. L'évaluation est un des éléments de ce processus. L'école maternelle a des programmes. Je ne vois pas dans ceux-ci matière à s'inquiéter par rapport à la prise en compte des enfants tels qu'ils sont, aux âges où ils sont accueillis. A travers les évolutions de l'école maternelle au cours des dernières dizaines d'années, il s'agit toujours d'éduquer, de socialiser et d'apprendre. Il me semble parfaitement légitime qu'on se soucie, non pas de la performance scolaire à l'école maternelle, mais plutôt du développement de l'enfant et de la manière dont on le prépare à son devenir à l'école élémentaire et dans la vie en général. On a beaucoup parlé de l'école maternelle et de la crèche, je voudrais rendre justice aux assistantes maternelles agréées. Je voudrais aussi plaider pour les réseaux d'assistantes maternelles qui font un travail remarquable avec l'aide d'autres professionnels, et je pense que ces structures-là sont aussi de nature à se développer et qu'un certain nombre d'enfants relèvent davantage de cette prise en charge que d'autres lieux plus collectifs. Quand on parle de service public de la petite enfance, on ne sait pas très bien à quoi cela correspond. Je voudrais qu'on prenne en compte aussi les besoins des familles qui ont des horaires décalés, les familles monoparentales avec des mamans isolées qui doivent se battre pour, à la fois, garder leur emploi et élever au mieux leurs enfants, et qu'on puisse prendre en compte les besoins des petits. Une chose est de trouver le mode d'accueil qui réponde aux besoins des familles, mais il faut considérer aussi les besoins des enfants. Les besoins des enfants c'est d abord, au quotidien, de se réveiller à une heure décente, et de ne pas passer trop de temps en dehors de sa famille. 5
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