LES DIFFERENTS MODES DE GARDE DES JEUNES ENFANTS ET LEURS IMPACTS RESPECTIFS Notes d après l intervention d Agnès Florin (avec accord de l auteur)

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "LES DIFFERENTS MODES DE GARDE DES JEUNES ENFANTS ET LEURS IMPACTS RESPECTIFS Notes d après l intervention d Agnès Florin (avec accord de l auteur)"

Transcription

1 Agnès FLORIN Professeur de psychologie - Université de Nantes LES DIFFERENTS MODES DE GARDE DES JEUNES ENFANTS ET LEURS IMPACTS RESPECTIFS Notes d après l intervention d Agnès Florin (avec accord de l auteur) Je voudrais rappeler que depuis les années 90, la recherche, sur ce qu'on appelle «l'éducation préscolaire» 1 dans le contexte international s'est considérablement développée et organisée. Il existe encore aujourd'hui, un décalage important entre l'offre de structures d'accueil préscolaire et la demande des parents dans de nombreux pays, y compris en France. L'enjeu de la question c'est évidemment la conviction pour les parents, les professionnels et les chercheurs, que l'expérience du début de la vie joue un grand rôle pour le développement ultérieur des enfants. En France la quasi-totalité des enfants est scolarisée à l'école maternelle dès l'âge de 3 ans et ceci depuis 1990, bien que l'école maternelle ne soit pas obligatoire. La scolarisation massive a commencé dans les années 60. Actuellement près de 25% des enfants de 2 à 3 ans sont scolarisés (soit 40% de ceux ayant deux ans révolus), avec de grandes disparités selon les régions. Il s'agit principalement d'enfants de 2 ans ½ à 3 ans. Je vais examiner 3 points : - les effets de la scolarisation avant 3 ans sur la suite de la scolarité ; - des comparaisons entre mode d'accueil dans le contexte français ; - des comparaisons dans le domaine international. Les effets de la scolarisation avant 3 ans La France, avec la Belgique, offre la possibilité d une scolarisation pour les moins de 3 ans (ce sont les deux seuls pays dans le monde). L'école est chez nous, depuis la fin du 19 ème siècle, un pilier de la République, on trouve des écoles maternelles sur tout le territoire, elles sont gratuites dans le secteur public. Elles sont accessibles à tous les enfants quelles que soient les caractéristiques des familles c'est-à-dire de langue, de conditions de ressources ou de travail. La scolarisation avant 3 ans a été développée car, d'après les statistiques de l'éducation nationale, elle réduit les risques de redoublement. Cette scolarisation avant 3 ans s'est infléchie récemment, en raison de la démographie. Les 2 ans servent souvent de variable d'ajustement, on leur trouve des places dans la mesure où on n'a pas trop de plus grands à scolariser. Des données récentes de la DEPP (Direction de l'évaluation, de la prospective et de la performance, MEN) en 2003 montrent un effet sur les parcours scolaires des enfants scolarisés avant 3 ans : l'accès au CE2 sans redoublement et particulièrement pour les milieux défavorisés. Toutefois, on peut noter que la scolarisation à 2 ans accroît, mais faiblement, l'accès au CE2 sans redoublement 1 Ce qui précède l école élémentaire, appelée «école primaire» dans la plupart des pays, et qui correspond en France aux structures de la petite enfance et à l école maternelle. 1

2 d'environ 3% alors que la scolarisation après 3 ans est pénalisante, c'est-à-dire qu'elle réduit d'environ 11% les chances d'accéder au CE2 sans redoublement. Globalement l'effet apparaît donc relativement limité, surtout si on le compare d'un point de vue statistique ("toutes choses étant égales par ailleurs"), l'effet apparaît limité quand on le compare à l'effet du milieu social qui explique les plus grands écarts et quand on le compare à l impact des trimestres de naissance. Donc, l'accès au CE2 sans redoublement augmente de 3% grâce à une scolarisation avant 3 ans. On retrouve les mêmes écarts pour les acquis des élèves à l'entrée au CP, c'est-à-dire que toute choses étant égales par ailleurs, on trouve pour les scolarisés avant 3 ans des avantages dans les domaines de la compréhension orale, de la familiarité avec l'écrit, en vocabulaire, pré-lecture, pour les concepts de temps et d'espace et les compétences numériques. En analysant les résultats plus finement et selon des méthodologies diverses, en suivant des cohortes d'élèves pendant plusieurs années, on note que les plus grands bénéficiaires sont les enfants de milieu social défavorisé et que les effets sont plus sensibles en ZEP qu'hors ZEP. On trouve aussi des effets positifs chez les enfants de milieux très favorisés, cadres supérieurs, professions libérales, enseignants. Mais probablement, pour ces parents, le choix de la scolarisation avant 3 ans se révèle être une stratégie éducative de réussite. Pour autant, la scolarisation précoce ne convient pas à tous les enfants de moins de 3 ans et ne peut être développée dans toutes les écoles lorsque les conditions d'accueil, les locaux, l'encadrement, la pédagogie ne sont pas adaptés. Différences et similitudes des modes d'accueil en France Depuis une dizaine d'année, nous avons conduit une recherche comparative sur les modes d'accueil des jeunes enfants, en considérant les crèches, les écoles maternelles et les assistantes maternelles agréées. Deux aspects du fonctionnement sont comparés : la gestion du temps (l organisation de la journée et des activités proposées par les adultes d une part, réalisées par les enfants d autre part) ; la tutelle de l adulte (le guidage de l action de l enfant lors d activités similaires). Du point de vue de la gestion du temps, on trouve une certaine spécificité de l'école : davantage d'activités pédagogiques comme le graphisme, les activités logiques, le langage, les explications, de repères spatio-temporels. Les jeux libres sont plus représentés en crèche et les temps d'attente davantage à l'école. L'école sait, moins bien que la crèche, proposer des moments de jeux libres qui pourraient avantageusement remplacer une part des temps quotidiens d'attente. Ceci même si je défends l'idée que l'attente a aussi des vertus éducatives : accepter qu'une réponse ne soit pas immédiate, prendre le temps de rêver, d'observer pour imiter, planifier une action à venir Les activités liées à la maîtrise de la langue sont un peu moins présentes chez les assistantes maternelles agréées que dans les écoles et les crèches, mais les échanges individualisés y sont favorisés. Dans les interactions de tutelle portant sur des activités similaires, le guidage de l'action par le professionnel n'est pas exactement le même : - Les assistantes maternelles prennent une place importante dans la réalisation de la tâche pour conduire à la réussite. - Les éducatrices de crèche présentent une grande régularité de participation quel que soit l'enfant, la tâche et les difficultés, 50% de leurs interventions sont de l'ordre de ce que nous appelons du «métacognitif» (explications, analyse de la tâche...). - Les enseignants sont les professionnels qui s'ajustent le plus à la tâche, à l'enfant, à ses difficultés, c'est-à-dire qu'ils varient leur mode d'interaction et qu ils favorisent davantage la participation des enfants aux activités métacognitives dont on sait combien elles sont utiles dans la suite des apprentissages. En revanche, il se dégage bien des similitudes entre écoles et crèches dans la gestion du temps et la tutelle de l'adulte. Ces similitudes sont probablement liées à certains objectifs généraux d'éducation qui sont en partie similaires à la dimension collective de l'accueil et à l'âge de la population accueillie. 2

3 Par ailleurs, la vie dans les structures collectives, que ce soit la crèche ou l'école maternelle, n'entraîne pas plus d'agressivité qu'un accueil individualisé, comme le montre de nombreux travaux de la littérature internationale. Pour notre part, nous avons comparé la qualité de l'attachement des enfants en crèche et à l'école, nous avons pu montrer que les enfants sont aussi sécurisés dans les deux institutions, (c'est-à-dire l'attachement à l'enseignante comparé à l'attachement à l'éducatrice de crèche). La qualité de cet attachement est surtout liée à la sécurité de l'attachement aux parents. Une autre de nos recherches montre que l'expérience de la collectivité avant 3 ans favorise la participation verbale et la théorie de l'esprit, c'est-à-dire la prise en compte du point de vue d'autrui, et là encore, il n'y a pas d'effet sur l'agressivité. Comparaisons dans le domaine international Du point de vue du contexte international, l'évaluation de la qualité a souvent été faite selon des critères définis a priori. Aujourd'hui les effets sont analysés en considérant les liens entre certaines caractéristiques de l'accueil d'une part, et les différents aspects du développement des enfants d'autre part (aspect cognitif, social, affectif et émotionnel). Quelles sont les variables qui modulent les effets d'un accueil préscolaire? Tout d'abord la qualité de la structure : le taux d'encadrement, la taille des groupes (moins souvent prise en compte). Il ne suffit pas d'étudier le ratio adulte/enfants. Le programme éducatif ou pédagogique, la formation et l'expérience des professionnels, la stabilité du personnel, l'adéquation des locaux sont importants. La qualité des relations avec l'adulte ne se réduit pas au ratio adulte/enfants, mais n'est, bien sûr pas indépendante. La durée de fréquentation en nombre de mois a un impact sur le développement social, sur les compétences cognitives et sur la réussite scolaire. Concernant la "quantité " hebdomadaire de garde non parentale, il semble qu'il existe un optimum entre 10h et 30h par semaine. S'agissant des caractéristiques familiales on constate qu'un accueil non parental peut avoir un effet bénéfique dans des milieux non favorisés ou moins favorable comparé à une garde par une mère diplômée et stimulante, par exemple. Il faut aussi souligner la complémentarité des contextes familiaux et extra familiaux, la nécessité d'équilibrer la vie de l'enfant à la maison et dans le lieu d'accueil ; l'intérêt pour l'enfant des interactions entre parents et professionnels, bien sûr dans le respect des différences entre les deux lieux de vie. Je voudrais également insister sur les effets négatifs des horaires décalés des parents, horaires de travail dont les femmes sont les principales victimes : l'enfant est alors réveillé trop tôt, rentre à la maison tardivement, est gardé selon des horaires très irréguliers. Un consensus dans la littérature se dégage pour considérer comme élément de qualité nécessaire à un bon développement cognitif, social et affectif des enfants, l'attention qui leur est portée, l'adéquation aux besoins individuels, la stabilité du personnel. Ces variables sont liées à la formation et à l'expérience des professionnels, au ratio adulte/enfant, elles n'expliquent pas tout. Il semble que des relations de faibles qualités ont une incidence plus forte sur le développement social (agression, non respect des règles), que sur les autres aspects du développement. Lorsque des effets positifs du mode d'accueil sont trouvés, ils perdurent sur plusieurs années. Lorsque des effets négatifs sont observés, il apparaît que les enfants les plus touchés ont par ailleurs d'autres difficultés. Selon plusieurs études, les enfants considérés "à risques", par leurs caractéristiques sociales ou familiales, sont plus sensibles aux effets positifs ou négatifs des modes d'accueil. Ceci conduit à 3

4 plaider pour un développement des recherches différentielles sur cette question en considérant non seulement les indicateurs classiques du développement mais également la notion du bien-être des enfants. Cette notion n'est pas facile à évaluer. En conclusion, faire progresser la qualité de vie des jeunes enfants et leur bien-être devrait se faire en tenant compte des interactions complexes entre la qualité des modes d'accueil, les caractéristiques personnelles de l'enfant, les variables familiales et sociales (composition de la famille, pratiques éducatives, conditions de ressources, prestations familiales) et leurs incidences sur le rythme de vie de l'enfant. N'oublions pas que les conditions de vie des enfants dépendent aussi de celles de leurs parents. Le bien-être des enfants, leur développement optimal supposent une attention particulière aux gestes professionnels de soin et d'éducation et aux échanges entre professionnels des différents structures de la petite enfance (crèches, assistantes maternelles, école ) Je voudrais évoquer la durée des effets positifs ou négatifs des modes d'accueil de la petite enfance. L'impact des expériences des premières années pour le développement des enfants et leurs apprentissages devrait inciter les responsables politiques, y compris dans l'éducation nationale, à accorder plus d'importance à l'éducation dans la petite enfance et à son rôle dans la prévention des difficultés d'apprentissage et de développement. Je vais prendre deux exemples. La maîtrise de la langue écrite est ancrée dans celle de l'oral, lequel se construit dans les premières années de la vie. Les liens sociaux, le respect des règles sociales et d'autrui se tissent dans les relations de la petite enfance, le sentiment de sécurité avec des adultes également. Est-ce un hasard si les pays d'europe du Nord qui ont les meilleurs résultats dans les comparaisons internationales au sujet du niveau des élèves, sont aussi les pays qui ont le plus investi dans l'éducation de la petite enfance et qui le subventionnent le plus? La qualité de l'éducation des touts petits, avec le respect que la société leur doit, est certainement un investissement pour l'avenir. Agnès Florin a également précisé : Les connaissances sur le développement du jeune enfant ont considérablement évolué au cours des 20 dernières années. On a survalorisé les relations avec la mère pour que celle-ci devienne absolument indispensable pour s'occuper, seule de préférence, de l'enfant et que cette action ne soit pas à la charge de la société. Or, tous les travaux des 20 dernières années sur l'attachement montrent que les jeunes enfants développent très tôt des attachements multiples, au papa quand il est présent dans la vie de l'enfant, à la fratrie quand il y en a une, aux autres adultes qui s'occupent de l'enfant. L'enfant distingue très tôt et très vite les différents partenaires humains avec lesquels il est en contact. Ces différents partenaires et les liens créés avec eux sont aussi indispensables les uns que les autres. On a voulu étudier la qualité du lien parce que nous étions confrontés à ces discours qui n'étaient pas étayés. Nous connaissons tous un enfant qui se développe mal dans une crèche, dans une école maternelle, qui ne sont pas ce qu'elles devraient être, ou une assistante maternelle "insuffisante". Ce n'est pas une administration de la preuve, même si toute expérience est par ailleurs respectable. Au niveau de l'attachement, toute la recherche montre qu'une structure en tant que telle n'a pas d'incidence particulière. C'est sa qualité qui fait la différence. Dans l'étude que j'évoque, nous avons effectué des observations dans les lieux d'accueil. Nous avons utilisé différentes techniques d'évaluation de l'attachement selon l'âge des enfants. Nous avons également évalué la qualité de l'attachement aux parents et la qualité de l'attachement aux professionnels. Pour ceux qui sont en crèche, c'est l'éducatrice. Pour ceux qui sont à l'école maternelle c'est l'enseignante. Nous avons vu que la majorité des enfants sont autant sécurisés à la crèche qu'à l'école. On peut faire le lien entre l'attachement aux parents et l'attachement aux 4

5 personnels du lieu d'accueil et en même temps avec les relations amicales que l'enfant développe avec ses pairs. Nous travaillons actuellement sur la relation entre ces différents attachements. Est-ce qu'un enfant qui a un attachement insécurisé dans la famille peut trouver une compensation à l'école? Quelle est la place de la relation avec les autres enfants? On dit souvent que l expérience en collectivité est favorable au développement des enfants, mais chez le bébé c'est différent. Ce n'est pas parce que votre bébé n'a pas de place en crèche qu'il va avoir obligatoirement des difficultés de socialisation. Il a surtout besoin d'un contact sécurisé avec un adulte qui répond à ses besoins. J'ai évoqué des temps d'attente en faisant la comparaison crèche-école : il y en a davantage à l'école, trop à mon sens par rapport aux besoins des enfants, mais les moments d'inactivité sont aussi nécessaires aux enfants. Il ne faut effectivement pas qu ils soient toujours en activité. L'activité essentielle de l'enfant, c'est le jeu et celui-ci doit avoir toute sa place à l'école maternelle, qu'il s'agisse des jeux structurés ou des jeux libres. Ces derniers ont une importance fondamentale car c'est à travers eux que l'enfant va se représenter le monde, va explorer le monde, les relations avec les objets, les relations avec autrui. Ils sont vraiment indispensables. On peut proposer des jeux structurés, mais il faut savoir que l'enfant a besoin d'observer, de regarder, de rêver, et il a aussi besoin de s'ennuyer pour aller lui-même chercher d'autres activités, d'autres partenaires. L'évaluation est un élément essentiel du processus d'enseignement et de l'éducation d'une manière générale. Il s'agit de savoir où en sont les enfants, pour aider à développer d'autres apprentissages et d'autres possibilités de savoir faire. Dans ce sens-là, cela me paraît essentiel. Il me semble aussi tout à fait essentiel de prendre en compte les enfants qui souffrent, traiter leurs difficultés qui, pour une part, ne sont pas strictement personnelles mais sont liées à des facteurs économiques, sociaux ou familiaux. Il faut les aider à savoir contrôler des émotions, gérer des conflits pour ne pas laisser ces difficultés se cristalliser et devenir beaucoup plus résistantes et devoir par la suite s'interroger sur les mesures spéciales à mettre en place. Je plaide pour aider au développement et au bien être des enfants. L'évaluation est un des éléments de ce processus. L'école maternelle a des programmes. Je ne vois pas dans ceux-ci matière à s'inquiéter par rapport à la prise en compte des enfants tels qu'ils sont, aux âges où ils sont accueillis. A travers les évolutions de l'école maternelle au cours des dernières dizaines d'années, il s'agit toujours d'éduquer, de socialiser et d'apprendre. Il me semble parfaitement légitime qu'on se soucie, non pas de la performance scolaire à l'école maternelle, mais plutôt du développement de l'enfant et de la manière dont on le prépare à son devenir à l'école élémentaire et dans la vie en général. On a beaucoup parlé de l'école maternelle et de la crèche, je voudrais rendre justice aux assistantes maternelles agréées. Je voudrais aussi plaider pour les réseaux d'assistantes maternelles qui font un travail remarquable avec l'aide d'autres professionnels, et je pense que ces structures-là sont aussi de nature à se développer et qu'un certain nombre d'enfants relèvent davantage de cette prise en charge que d'autres lieux plus collectifs. Quand on parle de service public de la petite enfance, on ne sait pas très bien à quoi cela correspond. Je voudrais qu'on prenne en compte aussi les besoins des familles qui ont des horaires décalés, les familles monoparentales avec des mamans isolées qui doivent se battre pour, à la fois, garder leur emploi et élever au mieux leurs enfants, et qu'on puisse prendre en compte les besoins des petits. Une chose est de trouver le mode d'accueil qui réponde aux besoins des familles, mais il faut considérer aussi les besoins des enfants. Les besoins des enfants c'est d abord, au quotidien, de se réveiller à une heure décente, et de ne pas passer trop de temps en dehors de sa famille. 5

Faut-il développer la scolarisation à deux ans?

Faut-il développer la scolarisation à deux ans? Faut-il développer la scolarisation à deux ans? 01 L école maternelle française est fréquemment citée comme l un des points forts de notre système éducatif et la pression de certaines familles est aujourd'hui

Plus en détail

L'EPS à l'école primaire aucune modification des programmes

L'EPS à l'école primaire aucune modification des programmes L'EPS à l'école primaire aucune modification des programmes Les 3 objectifs sont poursuivis aussi bien à l'école maternelle, qu'à l école primaire MATERNELLE * Favoriser la construction des actions motrices

Plus en détail

3-La théorie de Vygotsky Lev S. VYGOTSKY (1896-1934)

3-La théorie de Vygotsky Lev S. VYGOTSKY (1896-1934) 3-La théorie de Vygotsky Lev S. VYGOTSKY (1896-1934) Psychologue russe contemporain de Piaget, a également élaboré une théorie interactionniste de l'apprentissage, sage, mais qui insiste sur tout sur la

Plus en détail

Charte départementale Accueil et scolarisation des enfants de moins de trois ans

Charte départementale Accueil et scolarisation des enfants de moins de trois ans Charte départementale Accueil et scolarisation des enfants de moins de trois ans Page 1 Charte départementale Accueil et scolarisation des enfants de moins de trois ans Sommaire 1. Cadre institutionnel

Plus en détail

L'EXEMPLE BELGE. Comme le note Valérie Létard, dans son rapport sur l'évaluation du plan autisme 2008-2010 remis au Gouvernement en décembre dernier1:

L'EXEMPLE BELGE. Comme le note Valérie Létard, dans son rapport sur l'évaluation du plan autisme 2008-2010 remis au Gouvernement en décembre dernier1: L'EXEMPLE BELGE La scolarisation des enfants autistes en Belgique Grande Cause Nationale 2012, l'autisme touche près de 440 000 personnes en France. Chaque année, ce sont 5 000 à 8 000 enfants qui naissent

Plus en détail

psychologique Quels enfants entrent dans le système scolaire européen?

psychologique Quels enfants entrent dans le système scolaire européen? L'environnement social et psychologique THIERRY QUERE Quels enfants entrent dans le système scolaire européen? Un enfant à l'école européenne est souvent un enfant qui vit à l'étranger, dans un autre pays

Plus en détail

QUELS SONT LES MOTIFS DE CONSULTATTIONS? Quelle est votre demande?

QUELS SONT LES MOTIFS DE CONSULTATTIONS? Quelle est votre demande? L IDENTITÉ DE VOTRE ENFANT Son nom : Son prénom : Sa date de naissance : Sa classe actuelle? At il redoublé ou sauté une classe? LA SITUATION FAMILIALE Quel est le contexte familial? Votre enfant at il

Plus en détail

Finlande : chaque élève est important

Finlande : chaque élève est important Finlande : chaque élève est important PHOVOIR Introduction «Chaque élève est important. 1» La Finlande est un petit pays de cinq millions d'habitants fortement engagé dans l'europe. Son école mérite le

Plus en détail

Enquête sur les pratiques et préférences familiales en matière d'accueil de la petite enfance dans le canton de Genève QUESTIONNAIRE

Enquête sur les pratiques et préférences familiales en matière d'accueil de la petite enfance dans le canton de Genève QUESTIONNAIRE REPUBLIQUE ET CANTON DE GENEVE Département de l'instruction publique, de la culture et du sport Service de la recherche en éducation Observatoire cantonal de la petite enfance Enquête sur les pratiques

Plus en détail

POLITIQUE SUR LE SOMMEIL ET LA SIESTE

POLITIQUE SUR LE SOMMEIL ET LA SIESTE POLITIQUE SUR LE SOMMEIL ET LA SIESTE Table des matières INTRODUCTION... 2 POURQUOI UNE POLITIQUE SUR LE SOMMEIL ET LA SIESTE... 3 L'IMPORTANCE DE LA SIESTE ET DU RESPECT DES RYTHMES BIOLOGIQUES... 3 À

Plus en détail

LIVRET DE SUIVI DE PROFESSIONNALISATION

LIVRET DE SUIVI DE PROFESSIONNALISATION LIVRET DE SUIVI DE PROFESSIONNALISATION 1 MASTER 2 MEEF en ALTERNANCE PRESENTATION GENERALE 2 La professionnalisation en alternance que vous allez vivre cette année vous permettra d entrer dans le métier

Plus en détail

Le graphisme et l écriture, en lien avec les apprentissages en maternelle

Le graphisme et l écriture, en lien avec les apprentissages en maternelle Le graphisme et l écriture, en lien avec les apprentissages en maternelle Conférence de Marie-Thérèse Zerbato-Poudou : Les apprentissages à l école maternelle 12 novembre 2008, St Etienne de St Geoirs

Plus en détail

L ACQUISITION DU LANGAGE CHEZ LE TOUT PETIT EN VIE COLLECTIVE INSTITUTIONNELLE

L ACQUISITION DU LANGAGE CHEZ LE TOUT PETIT EN VIE COLLECTIVE INSTITUTIONNELLE N 220 - ROUFIDOU Irini L ACQUISITION DU LANGAGE CHEZ LE TOUT PETIT EN VIE COLLECTIVE INSTITUTIONNELLE Pendant notre recherche du D.E.A., nous avons étudié l acquisition du langage chez le tout petit en

Plus en détail

Depuis 2009, l'éducation nationale s'est déjà mobilisée pour développer des banques de stages et des outils associés.

Depuis 2009, l'éducation nationale s'est déjà mobilisée pour développer des banques de stages et des outils associés. Pôles de stages Mise en place dans les académies de pôles de stages NOR : MENE1505070C circulaire n 2015-035 du 25-2-2015 MENESR - DGESCO A2-2 Texte adressé aux rectrices et recteurs d'académie Que ce

Plus en détail

P R E S E N T A T I O N E T E V A L U A T I O N P R O G R A M M E D E P R E V E N T I O N «P A R L E R»

P R E S E N T A T I O N E T E V A L U A T I O N P R O G R A M M E D E P R E V E N T I O N «P A R L E R» P R E S E N T A T I O N E T E V A L U A T I O N P R O G R A M M E D E P R E V E N T I O N «P A R L E R» Parler Apprendre Réfléchir Lire Ensemble pour Réussir Pascal BRESSOUX et Michel ZORMAN Laboratoire

Plus en détail

Organisation des enseignements au semestre 7

Organisation des enseignements au semestre 7 Organisation des enseignements au semestre 7 UE1 : Pratiques pédagogiques différenciées et adaptées aux besoins éducatifs particuliers (responsable : J. Divry) Transmettre des connaissances et des références

Plus en détail

ANIMATEUR PERISCOLAIRE

ANIMATEUR PERISCOLAIRE ANIMATEUR PERISCOLAIRE Missions du poste : Participer à l animation des temps de garderie des élèves de maternelle. Participer aux missions de distribution, de service, d accompagnement des enfants pendant

Plus en détail

Ressources pour l'école maternelle. Les modes de garde à deux ans Qu'en dit la recherche?

Ressources pour l'école maternelle. Les modes de garde à deux ans Qu'en dit la recherche? éduscol Ressources pour la scolarisation des enfants de moins de trois ans en maternelle Ressources pour l'école maternelle Les modes de garde à deux ans Qu'en dit la recherche? Rapport de synthèse Ce

Plus en détail

L École réduit-elle les inégalités sociales?

L École réduit-elle les inégalités sociales? L École réduit-elle les inégalités sociales? 16 Chacun sait que le niveau de qualification et les diplômes obtenus au cours de la scolarité déterminent, en grande partie, la position sociale future. On

Plus en détail

PRÉSENTATION DU PROGRAMME. Le cœur à l école. PROGRAMME DE PRÉVENTION DE L ÉCHEC SCOLAIRE ET SOCIAL Volets préscolaire et 1 er cycle du primaire

PRÉSENTATION DU PROGRAMME. Le cœur à l école. PROGRAMME DE PRÉVENTION DE L ÉCHEC SCOLAIRE ET SOCIAL Volets préscolaire et 1 er cycle du primaire PRÉSENTATION DU PROGRAMME Le cœur à l école PROGRAMME DE PRÉVENTION DE L ÉCHEC SCOLAIRE ET SOCIAL Volets préscolaire et 1 er cycle du primaire Le programme Le coeur à l école s adresse aux parents d enfants

Plus en détail

Ensemble des mécanismes de prévoyance collective pour faire face aux conséquences financières des risques sociaux.

Ensemble des mécanismes de prévoyance collective pour faire face aux conséquences financières des risques sociaux. R4 = SÉCURITÉ SOCIALE, CMU, ABUS ET FRAUDES R4 = SÉCURITÉ SOCIALE, CMU, ABUS ET FRAUDES DÉFINITION : Ensemble des mécanismes de prévoyance collective pour faire face aux conséquences financières des risques

Plus en détail

Organiser des séquences pédagogiques différenciées. Exemples produits en stage Besançon, Juillet 2002.

Organiser des séquences pédagogiques différenciées. Exemples produits en stage Besançon, Juillet 2002. Cycle 3 3 ème année PRODUCTION D'ECRIT Compétence : Ecrire un compte rendu Faire le compte rendu d'une visite (par exemple pour l'intégrer au journal de l'école ) - Production individuelle Précédée d'un

Plus en détail

Une école adaptée à tous ses élèves

Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS Une école adaptée à tous ses élèves PLAN D'ACTION EN MATIÈRE D'ADAPTATION SCOLAIRE Québec Ministère de l'éducation Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS

Plus en détail

Charte européenne pour la qualité des stages et des apprentissages

Charte européenne pour la qualité des stages et des apprentissages Charte européenne pour la qualité des stages et des apprentissages www.qualityinternships.eu Préambule Etant donné que:! la passage des jeunes des études au marché de l'emploi devient de plus en plus compliqué

Plus en détail

Aperçu et raison d être du programme d études

Aperçu et raison d être du programme d études Section I Section I - Aperçu et raison d être du programme Aperçu et raison d être du programme d études Contexte Le cours Carrière et vie 2231 s inspire, du point de vue conceptuel, philosophique et pratique,

Plus en détail

REGLEMENT INTERIEUR PREAMBULE GENERALITES. Article 1 : Objet. Article 2 : Responsabilité. Article 3 : Organisation. Article 4 : Taux d'encadrement

REGLEMENT INTERIEUR PREAMBULE GENERALITES. Article 1 : Objet. Article 2 : Responsabilité. Article 3 : Organisation. Article 4 : Taux d'encadrement REGLEMENT INTERIEUR PREAMBULE La restauration scolaire est un service public confié à un délégataire. Différentes catégories de personnels interviennent sur le temps de repas. Bien que relevant de statuts

Plus en détail

Recueil des réponses au questionnaire confié aux Professeurs de Ecoles Stagiaires (PES) lors de leur stage de janvier à l'iufm

Recueil des réponses au questionnaire confié aux Professeurs de Ecoles Stagiaires (PES) lors de leur stage de janvier à l'iufm Recueil des réponses au questionnaire confié aux Professeurs de Ecoles Stagiaires (PES) lors de leur stage de janvier à l'iufm - Contenu de la formation à l'iufm Quels contenus vous ont servi pendant ces

Plus en détail

LA PROCEDURE D'EVALUATION A.NA.PSY.p.e. EST LE RESULTAT D'UNE RECHERCHE

LA PROCEDURE D'EVALUATION A.NA.PSY.p.e. EST LE RESULTAT D'UNE RECHERCHE LA PROCEDURE D'EVALUATION A.NA.PSY.p.e. EST LE RESULTAT D'UNE RECHERCHE CETTE RECHERCHE A ETE FINANCEE PAR Le Ministère des Affaires Sociales et de l'emploi, Direction Générale de la Santé,Sous- Direction

Plus en détail

Eléments de présentation du projet de socle commun de connaissances, de compétences et de culture par le Conseil supérieur des programmes

Eléments de présentation du projet de socle commun de connaissances, de compétences et de culture par le Conseil supérieur des programmes Eléments de présentation du projet de socle commun de connaissances, de compétences et de culture par le Conseil supérieur des programmes Le projet de socle de connaissances, de compétences et de culture,

Plus en détail

FORMULAIRE D'INSCRIPTION

FORMULAIRE D'INSCRIPTION FORMULAIRE D'INSCRIPTION Communauté des Tous Petits: Age du début de la marche à 3 ans Année scolaire: 20 / 20 Date d'entrée (jj/mm/aaaa): / / PARTIE 1: Nom de l'enfant: Nom Prénom 2ième prénom Date de

Plus en détail

Avant-projet CLEF Rennes

Avant-projet CLEF Rennes Avant-projet CLEF Rennes SOMMAIRE : AVANT-PROPOS AVANT-PROPOS 1/ L'ÉTAT DES LIEUX 2/ LES OBJECTIFS DU PROJET 3/ LA POURSUITE DE NOTRE TRAVAIL MIEUX NOUS CONNAÎTRE NOUS CONTACTER Interpellé par les résultats

Plus en détail

PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET

PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET 2/LES INTENTIONS EDUCATIVES 3/ LES VALEURS PRINCIPALES 4/ LES ACTEURS EDUCATIFS, LEUR CHAMPS D INTERVENTION ET LES

Plus en détail

S'intégrer à l'école maternelle: indicateurs affectifs et linguistiques pour des enfants allophones en classe ordinaire

S'intégrer à l'école maternelle: indicateurs affectifs et linguistiques pour des enfants allophones en classe ordinaire S'intégrer à l'école maternelle: indicateurs affectifs et linguistiques pour des enfants allophones en classe ordinaire Nathalie Gettliffe, Université de Strasbourg Hortense Rengade-Bouchard, Académie

Plus en détail

MASTER MEEF Mention Premier Degré. Livret de stage M2 étudiants. Année universitaire 2015/2016

MASTER MEEF Mention Premier Degré. Livret de stage M2 étudiants. Année universitaire 2015/2016 MASTER MEEF Mention Premier Degré Livret de stage M2 étudiants Année universitaire 2015/2016 Ce livret a pour objet de vous guider dans la réalisation et le suivi de votre stage en milieu professionnel

Plus en détail

Enseignement au cycle primaire (première partie)

Enseignement au cycle primaire (première partie) Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle Enseignement au cycle primaire (première partie) Annexe D Règlement 184/97 Qualifications requises pour enseigner Normes d exercice de

Plus en détail

UTILISATION DES FONDS ET DES BIENS DES COOPERATIVES ET DES FOYERS COOPERATIFS

UTILISATION DES FONDS ET DES BIENS DES COOPERATIVES ET DES FOYERS COOPERATIFS UTILISATION DES FONDS ET DES BIENS DES COOPERATIVES ET DES FOYERS COOPERATIFS 1) Les coopératives et les foyers ne sont pas des moyens de pallier certaines insuffisances financières ou matérielles : Ce

Plus en détail

Epilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire?

Epilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire? Epilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire? L épilepsie concerne plus de 500 000 personnes en France, dont la moitié sont des enfants ou des adolescents.

Plus en détail

Baccalauréat technologique

Baccalauréat technologique Baccalauréat technologique Épreuve relative aux enseignements technologiques transversaux, épreuve de projet en enseignement spécifique à la spécialité et épreuve d'enseignement technologique en langue

Plus en détail

Collège mag. Les droits et devoirs des enfants p3. L'identité p2. Ce magazine vous est proposé par la 6ème1. 4 avril 2014

Collège mag. Les droits et devoirs des enfants p3. L'identité p2. Ce magazine vous est proposé par la 6ème1. 4 avril 2014 Collège mag 4 avril 2014 Ce magazine vous est proposé par la 6ème1 Dossier La protection de l'enfance p1 Les droits et devoirs des enfants p3 L'identité p2 LES JOURNALISTES Oceane SOMMAIRE Angel La protection

Plus en détail

SOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE. alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT

SOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE. alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT SOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT SOCLE COMMUN ET PROGRAMMES La référence pour la rédaction

Plus en détail

VILLE D'ORANGE Direction AFFAIRES SCOLAIRES / ANIMATION SPORT LOISIRS. REGLEMENT INTERIEUR ACCUEILS DE LOISIRS PERISCOLAIRES et EXTRASCOLAIRES

VILLE D'ORANGE Direction AFFAIRES SCOLAIRES / ANIMATION SPORT LOISIRS. REGLEMENT INTERIEUR ACCUEILS DE LOISIRS PERISCOLAIRES et EXTRASCOLAIRES VILLE D'ORANGE Direction AFFAIRES SCOLAIRES / ANIMATION SPORT LOISIRS REGLEMENT INTERIEUR ACCUEILS DE LOISIRS PERISCOLAIRES et EXTRASCOLAIRES L'accueil des enfants en Loisirs périscolaires et extrascolaires

Plus en détail

MASTER MEÉF Mention Premier degré Livret de stage M 1. Année universitaire 2014/2015

MASTER MEÉF Mention Premier degré Livret de stage M 1. Année universitaire 2014/2015 MASTER MEÉF Mention Premier degré Livret de stage M 1 Année universitaire 2014/2015 Ce livret est un outil personnel et a pour objet de vous guider dans la réalisation et dans le suivi de votre stage en

Plus en détail

Utilisation des médicaments au niveau des soins primaires dans les pays en développement et en transition

Utilisation des médicaments au niveau des soins primaires dans les pays en développement et en transition 09-0749 1 WHO/EMP/MAR/2009.3 Utilisation des médicaments au niveau des soins primaires dans les pays en développement et en transition Synthèse des résultats des études publiées entre 1990 et 2006 Organisation

Plus en détail

A.T.S.E.M. -Note de service n 91-065 du 11 mars 1991 (BO no 1 2 du 21 mars 1991)

A.T.S.E.M. -Note de service n 91-065 du 11 mars 1991 (BO no 1 2 du 21 mars 1991) A.T.S.E.M. Le statut très particulier des ATSEM conduit les directrices(teurs) des écoles maternelles à travailler en étroite collaboration avec le service du personnel des communes. En effet, les ATSEM

Plus en détail

10 REPÈRES «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF

10 REPÈRES «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF 10 REPÈRES POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 MEN-DGESCO 2013 Sommaire 1. LES OBJECTIFS DU DISPOSITIF 2. LES ACQUISITIONS PRIORITAIREMENT VISÉES 3. LES LIEUX

Plus en détail

Pour un dialogue réussi enseignant parent parent enseignant

Pour un dialogue réussi enseignant parent parent enseignant Pour un dialogue réussi enseignant parent parent enseignant le mot du médiateur de l éducation nationale Madame, monsieur, Parent, enseignant, vous aurez l occasion, au long de l année scolaire, de vous

Plus en détail

POLITIQUE RELATIVE À L EMPLOI ET À LA QUALITÉ DE LA LANGUE FRANÇAISE

POLITIQUE RELATIVE À L EMPLOI ET À LA QUALITÉ DE LA LANGUE FRANÇAISE POLITIQUE RELATIVE À L EMPLOI ET À LA QUALITÉ DE LA LANGUE FRANÇAISE (Adoptée par le Conseil d administration lors de son assemblée régulière du 2 juin 2004) 1. PRINCIPE DIRECTEUR LE COLLÈGE, UN MILIEU

Plus en détail

MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents :

MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents : MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION Le moniteur-éducateur participe à l'action éducative, à l'animation et à l'organisation

Plus en détail

Programme de la formation. Écrit : 72hdepréparation aux épreuves d admissibilité au CRPE

Programme de la formation. Écrit : 72hdepréparation aux épreuves d admissibilité au CRPE Programme de la formation Écrit : 72hdepréparation aux épreuves d admissibilité au CRPE o 36 h pour la préparation à l'épreuve écrite de français Cette préparation comprend : - un travail sur la discipline

Plus en détail

Code de l'éducation. Article L131-1 En savoir plus sur cet article...

Code de l'éducation. Article L131-1 En savoir plus sur cet article... Page 1 sur 5 Code de l'éducation Version consolidée au 31 mars 2011 Partie législative Première partie : Dispositions générales et communes Livre Ier : Principes généraux de l'éducation Titre III : L'obligation

Plus en détail

Titre de l action : ACCUEILLIR DES ÉLÈVES DITS HANDICAPÉS EN COLLÈGE : UNE INTÉGRATION AU CARREFOUR DE L'AUTONOMIE ET DE LA SOLIDARITÉ

Titre de l action : ACCUEILLIR DES ÉLÈVES DITS HANDICAPÉS EN COLLÈGE : UNE INTÉGRATION AU CARREFOUR DE L'AUTONOMIE ET DE LA SOLIDARITÉ Titre de l action : ACCUEILLIR DES ÉLÈVES DITS HANDICAPÉS EN COLLÈGE : UNE INTÉGRATION AU CARREFOUR DE L'AUTONOMIE ET DE LA SOLIDARITÉ Action : Accueil d'élèves handicapés en collège Académie de Nice Collège

Plus en détail

La contribution des pères au développement de leur enfant

La contribution des pères au développement de leur enfant Activité 1 La contribution des pères au développement de leur enfant Le père: Un rôle en évolution Théorie de l évolution Question de survie! Homme Animaux Christine Gervais, Ph. D., Professeur au département

Plus en détail

Autodiagnostic des Organismes de formation du Languedoc-Roussillon

Autodiagnostic des Organismes de formation du Languedoc-Roussillon Carif Autodiagnostic des Organismes de formation du Languedoc-Roussillon Présentation de l'organisme 1. Nom de l'organisme 7. Ville La réponse est obligatoire. 2. Raison sociale (si différente du nom de

Plus en détail

Normes de référence. Comparaison. Commande cognitive Sentiments épistémiques Incarnés dépendants de l activité

Normes de référence. Comparaison. Commande cognitive Sentiments épistémiques Incarnés dépendants de l activité Séminaire Sciences Cognitives et Education 20 Novembre 2012 Collège de France L importance de la Métacognition: Joëlle Proust Institut Jean-Nicod, Paris jproust@ehess.fr http://joelleproust.org.fr Plan

Plus en détail

ARRÊTÉ du. Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de seconde générale et technologique

ARRÊTÉ du. Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de seconde générale et technologique RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l Éducation nationale NOR : MENE1007267A ARRÊTÉ du Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de générale et technologique Le Ministre

Plus en détail

LIVRE BLANC 9 SEMAINES POUR PREPARER UN PROJET DE CRECHE EN FRANCHISE AVEC LA PART DE REVE

LIVRE BLANC 9 SEMAINES POUR PREPARER UN PROJET DE CRECHE EN FRANCHISE AVEC LA PART DE REVE LIVRE BLANC LA PART DE REVE - 9 SEMAINES POUR PREPARER UN PROJET DE CRECHE EN FRANCHISE AVEC LA PART DE REVE INTRODUCTION «Parce que créer une franchise, au- delà du projet professionnel, c est aussi un

Plus en détail

Synthèse des travaux du Groupe n 2

Synthèse des travaux du Groupe n 2 COMMISSION DEPARTEMENTALE DE L ACCUEIL DES JEUNES ENFANTS DE L ISERE LES DIFFERENTS MODES D'ACCUEIL DES ENFANTS DE MOINS DE 6 ANS SCOLARISES Synthèse des travaux du Groupe n 2 Septembre 2004 Nicole CHATELAS

Plus en détail

... Questionnaire...

... Questionnaire... ...Préambule au questionnaire... Lexique PEDT : Projet EDucatif Territorial Le PEDT a pour objectif de mobiliser toutes les ressources d un territoire afin de garantir la continuité éducative entre les

Plus en détail

VILLE D'ORANGE RESTAURATION SCOLAIRE

VILLE D'ORANGE RESTAURATION SCOLAIRE VILLE D'ORANGE RESTAURATION SCOLAIRE REGLEMENT INTERIEUR DES RESTAURANTS SCOLAIRES DES ECOLES PUBLIQUES DE LA VILLE D'ORANGE L'accueil des enfants en restauration scolaire impose l'adhésion au présent

Plus en détail

Projet Pédagogique. - Favoriser la curiosité intellectuelle par le partage des connaissances, des cultures et des échanges.

Projet Pédagogique. - Favoriser la curiosité intellectuelle par le partage des connaissances, des cultures et des échanges. Projet Pédagogique La scolarité vise à aborder les apprentissages en prenant en compte les compétences de chacun afin de permettre l épanouissement de tous. La communauté éducative propose donc un enseignement

Plus en détail

Décret définissant la formation initiale des instituteurs et des régents D. 12-12-2000 M.B. 19-01-2001

Décret définissant la formation initiale des instituteurs et des régents D. 12-12-2000 M.B. 19-01-2001 Lois 25501 p.1 Décret définissant la formation initiale des instituteurs et des régents D. 12-12-2000 M.B. 19-01-2001 modifications : D. 20-12-01 (M.B. 31-01-02) D. 17-07-02 (M.B. 24-08-02) D. 27-02-03

Plus en détail

POSER DES QUESTIONS POUR FAIRE PARLER LES ELEVES? Par Catherine Cugnet, conseillère pédagogique

POSER DES QUESTIONS POUR FAIRE PARLER LES ELEVES? Par Catherine Cugnet, conseillère pédagogique POSER DES QUESTIONS POUR FAIRE PARLER LES ELEVES? Par Catherine Cugnet, conseillère pédagogique L'enseignant est traditionnellement représenté comme celui qui régule la vie de la classe et les apprentissages

Plus en détail

Mes parents, mon éducatrice, mon éducateur, partenaires de mon développement! Parce que chaque enfant est. unique. mfa.gouv.qc.ca

Mes parents, mon éducatrice, mon éducateur, partenaires de mon développement! Parce que chaque enfant est. unique. mfa.gouv.qc.ca Mes parents, mon éducatrice, mon éducateur, partenaires de mon développement! Parce que chaque enfant est unique mfa.gouv.qc.ca Les services de gardes éducatifs, un milieu de vie stimulant pour votre enfant

Plus en détail

2. CONSTRUIRE LE CONCEPT DE. la dialectique enseigner / apprendre

2. CONSTRUIRE LE CONCEPT DE. la dialectique enseigner / apprendre 2. CONSTRUIRE LE CONCEPT DE NOMBRE, OUI MAIS COMMENT? la dialectique enseigner / apprendre 1 un modèle d'apprentissage : Piaget psychologie du développement sujet milieu (d'apprentissage) équilibre élément

Plus en détail

AVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION

AVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION AVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION NOVEMBRE 2014 La Fédération québécoise de l'autisme (FQA) est un regroupement

Plus en détail

Développement personnel

Développement personnel Développement personnel 50 REPÉRAGE DES TALENTS : COMPÉTENCES ET PERFORMANCE DE L'ENTREPRISE Repérer dans l'organisation les "talents" nécessaires à l'atteinte des objectifs de l'entreprise Construire

Plus en détail

L offre d accueil collectif des enfants de moins de six ans

L offre d accueil collectif des enfants de moins de six ans Mois AAAA En bref L objectif de cette fiche est de donner une vision chiffrée du nombre d établissements collectifs d accueil de jeunes enfants (les structures monoaccueil et multi-accueil) et de montrer

Plus en détail

Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré

Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré Référence : Circulaire n 2010-037 du 25 février 2010 relative au dispositif d'accueil, d'accompagnement et de formation des enseignants

Plus en détail

Nomination, en JUIN. Contacter l'équipe de l'école. Rencontre avec le futur ancien directeur

Nomination, en JUIN. Contacter l'équipe de l'école. Rencontre avec le futur ancien directeur o - bilan de l'année : évolution du projet d école, actions spécifiques. o - renseignements sur le fonctionnement de l'école, sur les modalités d'évaluation (Livrets...- 4è année de cycle - Enfants en

Plus en détail

FORMULAIRE D'INSCRIPTION Baccalauréat International

FORMULAIRE D'INSCRIPTION Baccalauréat International FORMULAIRE D'INSCRIPTION Baccalauréat International Education Secondaire Le Programme d'éducation intermédiaire (IB-PEI): Années 1 à 5 Année scolaire: 20 / 20 Date d'entrée (jj/mm/aaaa): / / PARTIE 1:

Plus en détail

FORMATIONS D'INITIATIVE DEPARTEMENTALE. hors R3

FORMATIONS D'INITIATIVE DEPARTEMENTALE. hors R3 FORMATIONS D'INITIATIVE DEPARTEMENTALE hors R3 Dispositifs avec candidature individuelle 7 DISPOSITIF : 09D0640014 - SCOLARISER UN ELEVE EN SITUATION DE HANDICAP EN MILIEU ORDINAIRE - BEARN Module : 1031

Plus en détail

Organisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive

Organisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive Organisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive Transcription et traduction de la communication de Verity DONNELLY colloque Éducation inclusive, la question

Plus en détail

Scolarisation et adaptations pour enfants dyspraxiques au collège

Scolarisation et adaptations pour enfants dyspraxiques au collège Scolarisation et adaptations pour enfants dyspraxiques au collège Brigitte BRUNEL, professeur de SVT, collège Delalande (Athis Mons, 91) Bénédicte PONCHON, ergothérapeute, cabinet CABEX Essonne (Brétigny,

Plus en détail

ARS et Conseils généraux de Bretagne Prestations d études et d analyses de l organisation de la prise en charge des personnes avec TED dans les ESSMS

ARS et Conseils généraux de Bretagne Prestations d études et d analyses de l organisation de la prise en charge des personnes avec TED dans les ESSMS ARS et Conseils généraux de Bretagne Prestations d études et d analyses de l organisation de la prise en charge des personnes avec TED dans les ESSMS Synthèse des questionnaires destinés aux établissements

Plus en détail

I. LE CAS CHOISI PROBLEMATIQUE

I. LE CAS CHOISI PROBLEMATIQUE I. LE CAS CHOISI Gloria est une élève en EB4. C est une fille brune, mince avec un visage triste. Elle est timide, peureuse et peu autonome mais elle est en même temps, sensible, serviable et attentive

Plus en détail

Les «devoirs à la maison», une question au cœur des pratiques pédagogiques

Les «devoirs à la maison», une question au cœur des pratiques pédagogiques Les «devoirs à la maison», une question au cœur des pratiques pédagogiques Parmi les trois domaines d activités proposés aux élèves volontaires dans le cadre de l accompagnement éducatif, «l aide aux devoirs

Plus en détail

S ONDAGE SUR LA SCOLARIS ATION E N MILIE U ORDINAIRE DES ENFANTS E N S ITUATION DE HANDICAP EN ELEMENTAIRE ET AU COLLEGE

S ONDAGE SUR LA SCOLARIS ATION E N MILIE U ORDINAIRE DES ENFANTS E N S ITUATION DE HANDICAP EN ELEMENTAIRE ET AU COLLEGE S ONDAGE SUR LA SCOLARIS ATION E N MILIE U ORDINAIRE DES ENFANTS E N S ITUATION DE HANDICAP EN ELEMENTAIRE ET AU COLLEGE - Sondage de l'institut CSA - - Note des principaux enseignements - N 1001198 Février

Plus en détail

Une passerelle pour votre avenir

Une passerelle pour votre avenir Une passerelle pour votre avenir Livret d accueil Jeunes de 14 à 20 ans Plusieurs structures pour des parcours individualisés Des équipes pluridisciplinaires pour un service de qualité Enfance et Adolescence

Plus en détail

BO hors-série n 3 du 19 juin 2008 «Horaires et programmes d enseignement de l école primaire»

BO hors-série n 3 du 19 juin 2008 «Horaires et programmes d enseignement de l école primaire» Horaires et Programmes EPS à l école primaire BO hors-série n 3 du 19 juin 2008 «Horaires et programmes d enseignement de l école primaire» Les programmes 2008 s appuient sur le Socle commun de connaissances

Plus en détail

LIVRET DE PRESENTATION DE LA FORMATION

LIVRET DE PRESENTATION DE LA FORMATION Règlement du diplôme Livret de présentation de la formation Livret de suivi de formation LIVRET DE PRESENTATION DE LA FORMATION ACCOMPAGNATEUR - ANIMATEUR MONITEUR Fédération Française de Vol Libre 2014

Plus en détail

L'art pour les tout-petits : expérience pilote au sein de différentes maisons d accueil et crèches

L'art pour les tout-petits : expérience pilote au sein de différentes maisons d accueil et crèches L'art pour les tout-petits : expérience pilote au sein de différentes maisons d accueil et crèches Par Annick Faniel Dans notre article précédent, nous avons tenté de définir l'art, avec ses codes d'évaluation

Plus en détail

Réformedes. rythmes, quel. temps pour. Rythmes scolaires : plus de 80% de participation au questionnaire diffusé par la Ville

Réformedes. rythmes, quel. temps pour. Rythmes scolaires : plus de 80% de participation au questionnaire diffusé par la Ville La réforme nationale des rythmes scolaires pour les enfants des écoles publiques maternelles et écoles publiques élémentaires entrera en vigueur à Seclin en septembre 2014. Afin de bâtir un Projet Éducatif

Plus en détail

4.12 Normes et modalités des services de garde

4.12 Normes et modalités des services de garde 4.12 Normes et modalités des services de garde (Résolution : C.C.2014-030) Page 1 sur 22 TABLE DES MATIÈRES 1. NATURE ET OBJECTIFS DES SERVICES DE GARDE 3 2. INSCRIPTION ET PRÉINSCRIPTION 3 2.1 Journée

Plus en détail

DIFFICULTES D'APPRENTISSAGE, ECHEC SCOLAIRE, RÉUSSITE... MAIS AU FOND, A QUOI CELA EST-IL DU?

DIFFICULTES D'APPRENTISSAGE, ECHEC SCOLAIRE, RÉUSSITE... MAIS AU FOND, A QUOI CELA EST-IL DU? DIFFICULTES D'APPRENTISSAGE, ECHEC SCOLAIRE, RÉUSSITE... MAIS AU FOND, A QUOI CELA EST-IL DU? Marie-Louise ZIMMERMANN Docteure ès Sciences de l Éducation École Jean Piaget, LDES, Université de Genève MOTS-CLEFS

Plus en détail

I. Compte-rendu groupe 1 II. Compte-rendu groupe 2 III. Compte-rendu groupe 4

I. Compte-rendu groupe 1 II. Compte-rendu groupe 2 III. Compte-rendu groupe 4 JOURNEE D'ANIMATION SUR LA LIAISON BAC PRO/BTS DANS LE SECTEUR SANITAIRE ET SOCIAL MME GANDON IEN-ET SBSSA MME CAPRA IA-IPR SMS BSE MERCREDI 19 FEVRIER 2014 LYCEE VOLTAIRE ORLEANS LIAISON BAC PRO ASSP/BTS

Plus en détail

Règlement Intérieur. Restauration scolaire Centres de loisirs et d accueil périscolaire

Règlement Intérieur. Restauration scolaire Centres de loisirs et d accueil périscolaire Règlement Intérieur Restauration scolaire Centres de loisirs et d accueil périscolaire Service de la Restauration Scolaire Tél : 02 96 71 05 20 Restaurant Scolaire Règlement intérieur Pour la plupart des

Plus en détail

SCIENCES DE L ÉDUCATION

SCIENCES DE L ÉDUCATION UniDistance 1 Centre d Etudes Suisse Romande Formation universitaire SCIENCES DE L ÉDUCATION En collaboration avec L Université de Bourgogne à Dijon Centre de Formation Ouverte et A Distance CFOAD UniDistance

Plus en détail

Questionnaire sur les Antécédents Linguistiques. (Version 2.0, 2012)

Questionnaire sur les Antécédents Linguistiques. (Version 2.0, 2012) Questionnaire sur les Antécédents Linguistiques (Version 2.0, 2012) Voyez http://cogsci.psu.edu/ pour l usage et crédit en ligne Veuillez fournir vos coordonnées ci-dessous: Nom: Email: Téléphone: Veuillez

Plus en détail

Programme Opérationnel Européen Fonds social européen 2014-2020 FICHE ACTION

Programme Opérationnel Européen Fonds social européen 2014-2020 FICHE ACTION I. OBJECTIFS ET RÉSULTATS 1. Descriptif de l'objectif de l'action Par des stratégies diversifiées, le contrat local d'accompagnement à la scolarité (CLAS), les modules d'accueil en lycée (MODAL), les modules

Plus en détail

COMMENT AIDER UN ÉLÈVE QUI BÉGAIE?

COMMENT AIDER UN ÉLÈVE QUI BÉGAIE? 10 504, boulevard Saint-Laurent, local 1 Montréal, (Qc), H3L 2P4; 514.332.9593 www.cliniquebeausoleil.com COMMENT AIDER UN ÉLÈVE QUI BÉGAIE? QU'EST-CE QUE LE BÉGAIEMENT? à Trouble caractérisé par une fréquence

Plus en détail

NOS ENGAGEMENTS COMMUNS Programmation du mouvement ATD Quart Monde en Belgique 2013-2017

NOS ENGAGEMENTS COMMUNS Programmation du mouvement ATD Quart Monde en Belgique 2013-2017 NOS ENGAGEMENTS COMMUNS Programmation du mouvement ATD Quart Monde en Belgique 2013-2017 8 juin 2013 : 60 membres actifs se retrouvent pour une journée d'évaluation à la Maison Quart Monde de Bruxelles.

Plus en détail

ACTEURS DE LA DÉFENSE ET FACTEURS DE SÉCURITÉ

ACTEURS DE LA DÉFENSE ET FACTEURS DE SÉCURITÉ INSTITUT DE MANAGEMENT PUBLIC ET GOUVERNANCE TERRITORIALE 21 RUE GASTON DE SAPORTA 13100 AIX EN PROVENCE DIPLOME UNIVERSITAIRE (DU) ACTEURS DE LA DÉFENSE ET FACTEURS DE SÉCURITÉ OBJECTIFS Faire comprendre

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES. Thématique de l appel à projets 2014. Favoriser les liens entre les générations pour lutter contre les solitudes

CAHIER DES CHARGES. Thématique de l appel à projets 2014. Favoriser les liens entre les générations pour lutter contre les solitudes CAHIER DES CHARGES Thématique de l appel à projets 2014 Favoriser les liens entre les générations pour lutter contre les solitudes Fondation Alsace Personnes Agées 4 rue de la Houblonnière 68000 COLMAR

Plus en détail

L IMPACT DES N.T.I.C. DANS LA FORMATION PROFESSIONNELLE DES CADRES DE L INSTITUTION MILITAIRE

L IMPACT DES N.T.I.C. DANS LA FORMATION PROFESSIONNELLE DES CADRES DE L INSTITUTION MILITAIRE N 198 PETREIN Olivier L IMPACT DES N.T.I.C. DANS LA FORMATION PROFESSIONNELLE DES CADRES DE L INSTITUTION MILITAIRE Introduction L'emploi des Nouvelles Technologies de l'information et de la Communication

Plus en détail

B Le diplôme est-il un bon passeport pour l'emploi?

B Le diplôme est-il un bon passeport pour l'emploi? B Le diplôme est-il un bon passeport pour l'emploi? a) Le diplôme facilite l'accès à l'emploi typique 1. Les sortants du système éducatif sont de plus en plus diplômés. En 1979, sur 742 000 sortants du

Plus en détail

Culture scientifique et technologique

Culture scientifique et technologique Socle commun de connaissances et de compétences Collège Culture scientifique et technologique - Banque de situations d apprentissage et d évaluation - Ce document peut être utilisé librement dans le cadre

Plus en détail

Scolarité des enfants de moins de trois ans : une dynamique d accroissement des effectifs et d amélioration de la qualité à poursuivre

Scolarité des enfants de moins de trois ans : une dynamique d accroissement des effectifs et d amélioration de la qualité à poursuivre Rapport - n 2014-043 juin 2014 Inspection générale de l éducation nationale Inspection générale de l administration de l éducation nationale et de la recherche Scolarité des enfants de moins de trois ans

Plus en détail

Les textes officiels pour l École Primaire www.formapex.com LE NOUVEAU CONTRAT POUR L ÉCOLE 158 DÉCISIONS

Les textes officiels pour l École Primaire www.formapex.com LE NOUVEAU CONTRAT POUR L ÉCOLE 158 DÉCISIONS Les textes officiels pour l École Primaire www.formapex.com LE NOUVEAU CONTRAT POUR L ÉCOLE 158 DÉCISIONS 1994 2 Le Ministre de l'éducation Nationale 1 er septembre 1994 Madame, Mademoiselle, Monsieur,

Plus en détail

Entretien avec Jean-Paul Betbéze : chef économiste et directeur des études économiques du Crédit agricole, est membre du Conseil d'analyse économique

Entretien avec Jean-Paul Betbéze : chef économiste et directeur des études économiques du Crédit agricole, est membre du Conseil d'analyse économique Faut-il reculer l âge de la retraite? Entretien avec Jean-Paul Betbéze : chef économiste et directeur des études économiques du Crédit agricole, est membre du Conseil d'analyse économique Entretien avec

Plus en détail