PAYS LES PLUS PAUVRES

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "PAYS LES PLUS PAUVRES"

Transcription

1 LE FONDS DE la Banque mondiale POUR LES PAYS LES PLUS PAUVRES L ASSOCIATION INTERNATIONALE DE DÉVELOPPEMENT

2 Cette publication a été produite par Concessional Finance & Global Partnerships Vice Presidency of the World Bank 1818 H Street, N.W. Washington, D.C Juin 2013 Photographie : Couverture, Arne Hoel/World Bank,, Marche à l école, Ghana. p.3, World Bank Photos «avant» et «après» montrant l impact du Projet d assainissement environnemental des villes côtières au Vietnam. p.4, Simone D. McCourtie/World Bank Réunion communautaire à Aurangabad, Inde. p.5, Stephan Bachenheimer/World Bank Des enfants reçoivent des repas scolaires au Liberia dans le cadre du Programme d intervention en réponse à la crise alimentaire mondiale de la Banque mondiale. p.6, Arne Hoel/World Bank Au Bangladesh des panneaux solaires permettent aux enfants Shati et Towhid d étudier la nuit. p.7, Bill Lyons/World Bank Élèves passant leurs examens de fin d année à l école Kardi de Sana a, Yémen. p.8, Jonathan Ernst/World Bank Winston Mills-Compton donne un cours de mathématiques à l école de garçons Mfantsipim à Cape Coast, Ghana. p.9, Dang Thanh Lan Au Vietnam des ouvriers luttent contre l érosion en construisant un corridor sécurisé sur la plage de Mui Ne dans la province de Binh Thuan. p.10, UNICEF Des Somaliens qui ont fui la sécheresse reçoivent un enseignement, des vaccinations et de la nourriture dans les camps de réfugiés de Dadaab, Kenya. p.12, Jonathan Ernst/World Bank Des ouvriers entretiennent la centrale électrique géothermique de Takoradi, Ghana. Quatrième de couverture, Arne Hoel/The World Bank Centrale hydro-électrique au Ghana; Simone D. McCourtie/World Bank Agricultrice mettant en valeur les produits de sa ferme à Maharashtra, Inde.

3 Qui nous sommes L Association internationale de développement (IDA) est l institution de la Banque mondiale qui aide les pays les plus pauvres de la planète. Fondée en 1960, l IDA vise à réduire la pauvreté en accordant des prêts (appelés «crédits») et des dons destinés à des programmes de nature à stimuler la croissance économique, à réduire les inégalités et à améliorer la vie des plus démunis. L action de l IDA complète celle de l autre guichet de prêt de la Banque mondiale, la Banque internationale pour la reconstruction et le développement (BIRD). La BIRD, qui a été créée sous forme d entreprise autofinancée, accorde des prêts et fournit des conseils aux pays à revenus intermédiaires solvables. La BIRD et l IDA partagent le même personnel et le même siège, et mettent en œuvre et évaluent les projets suivant les mêmes normes rigoureuses. L IDA figure parmi les principaux bailleurs de fonds des 82 pays les plus pauvres de la planète, dont 40 se trouvent en Afrique, et représente la plus importante source de fonds contribués par des donateurs aux services sociaux de base dans ces pays. Les interventions financées par l IDA apportent un changement positif dans la vie de 2,5 milliards de personnes, dont la plupart vivent avec moins de 2 dollars par jour. Quelques chiffres Principales réalisations de l IDA depuis ,5 millions d enseignants recrutés et/ou formés soit plus de quatre fois le nombre des enseignants du primaire et du secondaire en France. 496 millions+ d enfants vaccinés soit six fois et demie le nombre des enfants des États-Unis. 123 millions de personnes bénéficiant d un accès à une source d eau améliorée. Chaque dollar investi dans l eau et l assainissement en produit 8 en retour. IDA LE FONDS DE LA BANQUE MONDIALE POUR LES PAYS LES PLUS PAUVRES 1

4 Quelques chiffres Principales réalisations de l IDA depuis millions de moustiquaires achetées et/ ou distribuées pour prévenir la malaria. 2 millions+ de salles de classe construites ou remises en état, au profit de plus de 105 millions d enfants chaque année. L IDA prête des fonds à des conditions concessionnelles. Cela signifie que les crédits de I IDA portent un intérêt très faible ou nul et que les remboursements sont étalés sur 25 à 40 ans, dont un différé d amortissement de 5 à 10 ans. L IDA accorde également des dons à des États fragiles ou sortant d un conflit, ainsi qu à d autres pays menacés de surendettement. Outre les prêts concessionnels et les dons, l IDA apporte des allégements de dette substantiels dans le cadre de l Initiative en faveur des pays pauvres très endettés (Initiative PPTE) et de l Initiative pour l allégement de la dette multilatérale (IADM). Depuis sa création, l IDA a soutenu des activités dans 108 pays. Le volume annuel des engagements s est élevé en moyenne à 15 milliards de dollars au cours des trois dernières années, 50 % de ce montant étant destiné à l Afrique. Pour l exercice budgétaire achevé le 30 juin 2012, les engagements de l IDA ont atteint 14,8 milliards de dollars répartis entre 160 nouvelles opérations. Quinze pour cent de ce total a été engagé sous forme de dons. Ce que nous faisons Les pays les plus pauvres du monde sont souvent dans l incapacité d attirer des capitaux suffisants pour appuyer leurs besoins de dévelop pement les plus urgents et dépendent donc des flux d aide officielle, une source de financement cruciale pour eux. L IDA soutient toutes sortes d activités de développement, comme l enseignement primaire, les services de santé de base, l approvisionnement en eau potable et l assainissement, la protection de l environnement, l agriculture, l amélioration du climat des affaires, l infrastructure et les réformes institutionnelles. Ces projets ouvrent la voie vers l égalité, la croissance économique, la création d emplois, le relèvement des revenus et l amélioration des conditions de vie. Pour la période comprise entre le 1er juillet 2011 et le 30 juin 2014 (IDA 16), les interventions de l IDA mettent l accent sur quatre domaines thématiques : la parité hommes-femmes, le changement climatique, les États fragiles ou touchés par un conflit et la réponse aux crises. Nombre des problèmes auxquels font face les pays en développement ne connaissent pas de frontières. En aidant à les résoudre, l IDA répond aux problèmes de sécurité, de protection de l environnement et de santé et aide à prévenir la propagation de ces risques au niveau mondial. Les contributions des donateurs l IDA étant mises en commun, l IDA est en mesure de mobiliser une vaste base de capitaux pour répondre aux besoins fondamentaux des pays, en particulier en période de crise et dans des environnements fragiles et difficiles. Les activités opérationnelles de l IDA sont complétées par des études analytiques qui informent la conception des politiques de réduction de la pauvreté. L IDA conseille les gouvernements sur les moyens à mettre en œuvre pour diversifier la croissance économique et protéger les plus démunis des chocs économiques. L IDA coordonne l aide des bailleurs de fonds pour alléger le fardeau des pays pauvres qui ne sont pas en mesure d assurer le service de leur dette, et a mis au point une formule d allocation de dons aux pays menacés de surendettement, conçue pour aider ces derniers à revenir à un niveau d endettement tolérable. L impact de son action sur le développement constitue une priorité pour l institution et celle-ci est considérée comme une plate-forme permettant d obtenir des résultats dans la transparence et d une manière efficace pour leur coût (voir ci-après la rubrique consacrée à la mesure des résultats). Pendant la décennie , par exemple, le financement de l IDA a permis de vacciner plus de 496 millions d enfants; fourni un accès à des sources d eau de meilleure qualité à 123 millions de personnes ; procuré des services de santé générale, nutritionnelle ou reproductrice à près de 65 millions de personnes ; et aidé 188 millions de femmes à recevoir des soins prénataux. Pour en savoir plus sur nos activités et connaître les commentaires de nos donateurs, rendez-vous sur facebook.com/ida.wbg, et 2 IDA LE FONDS DE LA BANQUE MONDIALE POUR LES PAYS LES PLUS PAUVRES

5 @BanqueMondiale: Les projets financés par l IDA apportent un changement positif à 2,5 milliards de personnes, dont la plupart vivent avec moins de 2 dollars par jour. Discutez sur Twitter: #Efficacité de l aide IDA LE FONDS DE LA BANQUE MONDIALE POUR LES PAYS LES PLUS PAUVRES 3

6 Comment fonctionne l IDA? Financement et voix. L IDA est supervisée par ses 172 pays actionnaires, qui composent le Conseil des Gouverneurs. Les activités quotidiennes de développement de l IDA sont administrées par le personnel opérationnel de la Banque, et par les États et les organes d exécution dans les pays participant aux programmes. Tandis que la BIRD lève la plupart de ses fonds sur les marchés financiers internationaux, l IDA est principalement financée par les contributions des gouvernements de ses pays membres. Les fonds additionnels fournis par la BIRD et par la Société financière internationale (SFI) (3 milliards de dollars dans le cadre d IDA-16), ainsi que les remboursements par les emprunteurs des crédits précédemment accordés par l IDA (14,6 milliards de dollars dans le cadre d IDA-16) constituent une source de financement supplémentaire pour l Association. La reconstitution la plus récente des ressources de l IDA (IDA-16) qui s est achevée en décembre 2010 a réuni un montant record de 49,3 milliards de dollars pour financer des projets sur une période de trois ans. Les contributions des donateurs représentent la plus grande part du financement de l IDA et ont assuré près de 65 % d IDA-16 (31,7 milliards de dollars). Les représentants des donateurs et des pays emprunteurs se réunissent tous les trois ans en conférence de reconstitution pour décider de l orientation stratégique, du financement et des règles d allocation de l IDA, par un processus ouvert et transparent. La capacité d apprentissage, d adaptation et d innovation de l IDA est fondée sur ce processus de gouvernance sans pareil. La procédure de reconstitution des ressources consiste habituellement en quatre conférences officielles qui se déroulent sur une année. Outre les représentants des États bailleurs de fonds (appelés «délégués à l IDA») qui sont à présent plus d une cinquantaine, des représentants des pays membres emprunteurs sont invités à y participer afin que le cadre d action de l IDA réponde bien aux besoins des pays. Les documents d orientation débattus au cours des négociations de reconstitution sont communiqués au public, et le projet d accord de reconstitution est publié sur internet pour inviter le public à faire connaître ses commentaires avant la dernière conférence. Le personnel de l IDA dialogue aussi en permanence avec des organisations de la société civile du monde entier. À l automne 2012, les bailleurs de fonds et les représentants des États emprunteurs se sont réunis en une conférence d examen à mi-parcours pour étudier les progrès de la mise en œuvre d IDA-16. Cet examen a montré que les résultats des pays emprunteurs sont bons et qu ils utilisent efficacement les ressources de l IDA pour une réduction efficace de la pauvreté. Le processus de reconstitution des ressources de l IDA pour la période 1er juillet juin 2017 (IDA-17), est en cours et sera achevé en décembre Emprunteurs de l IDA L accès aux ressources de l IDA est soumis essentiellement au critère de la pauvreté relative, le revenu national brut (RNB) par habitant du pays devant être inférieur à un seuil établi et actualisé chaque année. L IDA soutient aussi certains pays, notamment plusieurs petites économies insulaires, dont le RNB par habitant est supérieur au seuil mais qui ne présentent pas la solvabilité nécessaire pour emprunter à la BIRD. Certains pays, comme l Inde et le Pakistan, sont à la fois admis à bénéficier de l IDA sur la base du niveau de leur revenu par habitant, mais aussi suffisamment solvables pour pouvoir emprunter à la BIRD. Ils ont désignés sous le nom de pays «à financement mixte». Quatre-vingt-deux pays, représentant ensemble 2,5 milliards d habitants, soit la moitié de la population totale du monde en développement, sont actuellement admis à bénéficier des fonds de l IDA. On estime à 1,8 milliard le nombre de leurs citoyens qui survivent avec deux dollars par jour, ou moins. La liste des emprunteurs actuels de l IDA est disponible sur IDA/borrowers. 4 IDA LE FONDS DE LA BANQUE MONDIALE POUR LES PAYS LES PLUS PAUVRES

7 Comment sont alloués les fonds de l IDA? Les 82 pays admis à bénéficier de l IDA ont des besoins de financement concessionnel tout à fait considérables. Mais le montant des fonds disponibles, qui est fixé après l annonce par les États bailleurs de fonds du montant de leurs contributions, est inférieur aux besoins des pays. L IDA doit donc décider comment répartir les ressources limitées disponibles entre les pays admissibles (voir l encadré consacré aux pays emprunteurs). Les décisions de financement s appuient sur un ensemble de critères convenus, notamment les niveaux de revenu des pays et leurs antécédents dans la gestion de leur économie et des projets de l IDA en cours de réalisation. Pour pouvoir obtenir des ressources de l IDA, un pays doit tout d abord satisfaire aux conditions suivantes : Un degré relatif de pauvreté, le revenu national brut par habitant du pays devant être L IDA est en mesure de mobiliser une large base de capital pour répondre aux besoins des pays en temps de crise #Crise alimentaire #Crise financière #Riposte aux catastrophes inférieur à un seuil établi (actualisé chaque année). Pour l exercice 2013, ce montant était de dollars. Une capacité d emprunt insuffisante pour pouvoir emprunter aux conditions du marché. Les pays sont ensuite évalués pour déterminer dans quelle mesure ils mettent en œuvre des politiques qui favorisent la croissance économique et la réduction de la pauvreté. Il s agit de l Évaluation de la politique et des institutions IDA LE FONDS DE LA BANQUE MONDIALE POUR LES PAYS LES PLUS PAUVRES 5

8 En 2012, l IDA a été saluée comme un leader mondial de la transparence de l aide par Publish What You Fund #OpenDev #Efficacité de l aide #IATI nationales (CPIA). Cette évaluation et les résultats du portefeuille de projets du pays constituent ensemble la notation IDA de la performance du pays. Outre cette notation, la population et le revenu par habitant déterminent également l allocation de ressources. Cette notation est disponible sur le site web de l IDA : Dans l accord d IDA-16 les donateurs de l IDA et la Banque mondiale ont également recommandé que les pays d Afrique sub-saharienne demeurent prioritaires et reçoivent au moins 50 % de ses financements, sous réserve de leurs performances. Conditions de prêt. Les conditions de prêt varient pour les différents membres de l IDA, en fonction du niveau de leurs revenus et de leur situation d endettement. À la suite des débats et des examens menés au cours d IDA-16, l IDA a ajusté les conditions d emprunt de ses emprunteurs économiquement les plus développés, ce qui a abouti à un «durcissement» des conditions qui leur sont applicables (raccourcissement de l échéance et addition d un taux d intérêt), tout en maintenant un certain degré de concessionnalité. 6 IDA LE FONDS DE LA BANQUE MONDIALE POUR LES PAYS LES PLUS PAUVRES

9 Au Yémen, filles ont pu aller à l école grâce à des régimes de transferts conditionnels en numéraire introduits par l IDA en 2008 et en 2009 #Education pour les filles #ThinkEqual IDA LE FONDS DE LA BANQUE MONDIALE POUR LES PAYS LES PLUS PAUVRES 7

10 L IDA dispose depuis plus de 10 ans d un système rigoureux de mesure des résultats #Efficacité de l aide #Coût-efficacité 8 IDA LE FONDS DE LA BANQUE MONDIALE POUR LES PAYS LES PLUS PAUVRES

11 Comment savoir si l IDA est efficace? Pendant plus d une décennie, l IDA a mesuré l effet de son assistance aux pays sur la croissance économique et la réduction de la pauvreté et tenu les donateurs informés de l efficacité de leurs contributions. Le système de mesure des résultats (RMS) pour IDA-16 est destiné à présenter les résultats agrégés de l ensemble des pays IDA. Il évalue la contribution de l IDA aux résultats de développement et est articulé avec le cadre des objectifs du Millénaire pour le développement. Il montre également si l IDA gère efficacement ses interventions et ses services et fonctionne de manière efficiente. Le cadre du RMS regroupe les indicateurs en quatre sous-ensembles. Les deux premiers sous-ensembles enregistrent les résultats globaux de développement du pays et la contribution de l IDA à ces résultats de développement. Les deux autres comparent les composantes des résultats avec les normes de résultats convenues dans le cadre d IDA-16 et établissent une sorte de «carnet de notes IDA». Les quatre sous-ensembles sont : 1) progrès des pays IDA; 2) résultats de développement appuyés par l IDA; 3) efficacité opérationnelle de l IDA; et 4) efficacité organisationnelle de l IDA. Le RMS complète par des données plus détaillées les résultats mesurés par projet, par pays et par secteur qui étaient déjà disponibles, ainsi que les rapports de synthèse qualitatifs réalisés au niveau des pays, des secteurs, des thèmes et des projets. L avenir de l IDA Le contexte budgétaire actuel présente des difficultés pour tous ceux qui sont actifs dans le développement, qu il s agisse des pays emprunteurs, des bailleurs de fonds ou des organisations de la société civile. Il faut également s attaquer à des difficultés supplémentaires, notamment en ce qui concerne le changement climatique, les États fragiles, la parité hommes-femmes et la nécessité pour les pays de veiller à ce que tous bénéficient des fruits de la croissance. Et bien qu on s attende à ce que de nombreux pays excèdent le seuil du revenu par habitant fixé par l IDA au cours de la prochaine décennie, il n en reste pas moins que ces pays continueront à demeurer le foyer de millions de pauvres qui auront encore besoin d un appui extensif. Le thème général proposé pour IDA-17 «Optimiser l impact sur le développement» appelle l IDA à faire davantage pour apporter des solutions intégrées aux pays IDA en mobilisant l investissement privé, les ressources publiques et les savoirs d une manière plus efficace pour leur coût et davantage orientée vers les résultats. Les thèmes particuliers retenus pour IDA-17 croissance solidaire, parité hommes-femmes, changement climatique et États fragiles ou touchés par un conflit portent sur les principaux goulets d étranglement qui font obstacle à une croissance diversifiée et aux facteurs fondamentaux à long terme d un développement vigoureux et durable. Quelques chiffres Principales réalisations de l IDA depuis millions De livres scolaires achetés et/ou distribués 15 fois le nombre des livres de la Bibliothèque publique de New York. IDA LE FONDS DE LA BANQUE MONDIALE POUR LES PAYS LES PLUS PAUVRES 9

12 Face aux problèmes d un monde et de pays en évolution, l IDA poursuit sa rénovation en profondeur. Nous dialoguons en permanence avec les donateurs et les pays emprunteurs pour explorer les moyens de résoudre des problèmes tels que la viabilité financière de l IDA, les États fragiles et les résultats. Le défi consiste à maintenir le monde engagé dans la lutte générale pour mettre un terme à l extrême pauvreté et faire en sorte que les fonds de l aide soient utilisés le plus efficacement possible. L IDA apporte des services de nutrition, de santé et d assainissement à plus d un demi-million de réfugiés de la sécheresse qui vivent dans des camps de réfugiés le long de la frontière somalie au Kenya et en Éthiopie #Riposte aux crises #Dispositif de protection sociale 10 IDA LE FONDS DE LA BANQUE MONDIALE POUR LES PAYS LES PLUS PAUVRES

13 L IDA, pourquoi? La Banque internationale pour la reconstruction et le développement, plus connue sous le nom de Banque mondiale, a été fondée en 1944 pour aider l Europe à se remettre des dévastations de la Seconde Guerre mondiale. L IDA a été créée en 1960 pour fournir aux pays en développement les plus pauvres un financement dont ils avaient grand besoin, mais à des conditions plus souples que celles que pouvait alors offrir la Banque. Aujourd hui, l IDA est reconnue comme une institution mondiale capable de changer les règles du jeu dans le domaine du développement, et qui, dans les situations les plus difficiles et les plus complexes, ouvre la voie à d autres acteurs pour aider des centaines de millions de personnes à échapper au cycle de la misère. L IDA est chef de file dans la lutte contre les grands problèmes planétaires. De l appui à l adaptation au changement climatique, à la création d emplois pour réinsérer d anciens combattants dans la société, l IDA rassemble les énergies de tous pour gérer les problèmes difficiles dans l intérêt général et contribuer à rendre le monde plus sûr. L IDA exerce un rôle transformationnel. L IDA aide les pays à développer des solutions qui ont littéralement redessiné le paysage du développement depuis l introduction historique de solutions agricoles dans les années 1970 en Asie du Sud pour des millions d habitants menacés de famine, à son action de pionnier dans les domaines de l allégement de dette et de l élimination des additifs au plomb dans l essence. L IDA s engage sur le long terme. L IDA reste dans le pays après le départ des caméras, en privilégiant la croissance à long terme et la capacité à faire durer les résultats. Lorsque les plus pauvres sont ignorés parce que les servir n est pas rentable, l IDA peut faire la différence. L IDA offre dignité et qualité de vie, en apportant eau potable, électricité et toilettes à des centaines de millions de pauvres. L IDA rend le monde plus accueillant pour les jeunes filles et les femmes. L IDA œuvre à inverser des millénaires de discrimination sexuelle en scolarisant les filles, en aidant les femmes à accéder au crédit pour créer de petites entreprises, et contribue en définitive à améliorer les perspectives économiques de familles et de communautés entières. En coopération avec le Groupe de la Banque mondiale, l IDA met en œuvre une approche intégrée du développement. L IDA aide à créer des environnements propices à faire naître le changement et où le secteur privé peut stimuler l investissement. L IDA est également un chef de file mondial sur le plan de la transparence, et les évaluations indépendantes dont elle fait l objet sont d une rigueur inégalée parmi les organisations internationales. En 2012 par exemple, l IDA a été saluée comme un leader mondial en matière de transparence de l aide par l organisation Publish What You Fund, un regroupement d organisations de la société civile basé au Royaume-Uni et actif sur les questions de gouvernance, d efficacité de l aide et d accès à l information; l IDA était classée n 2 parmi les 58 bailleurs de fonds évalués. De même, une évaluation de la qualité de l aide des pays donateurs et des organisations d aide effectuée en 2011 par le Center for Global Development a montré que l IDA, ainsi que quelques autres institutions multilatérales, dépensent les fonds d aide «plus intelligemment» que la plupart des agences bilatérales, et utilisent leurs ressources de façon bien plus productive en faveur de l édification d un système mondial plus stable, sûr et prospère. En 2012 une évaluation des organisations multilatérales conduite par AusAID, l agence de développement de l Australie, a cité la Banque mondiale/ida parmi 13 organisations, sur 42 étudiées, ayant obtenu une note élevée ou très élevée sur au moins six des sept caractéristiques examinées. Selon le rapport, «le gouvernement australien peut être assuré que les augmentations du financement de base produiront des résultats de développement tangibles conformes aux objectifs de développement de l Australie, et que l investissement s avérera très productif pour son coût.» Dans un environnement qui limite sévèrement les finances des bailleurs de fonds, ceux-ci doivent intensifier et améliorer encore leur utilisation des filières multilatérales et, parmi celles-ci, l IDA fait figure de leader. Quelques chiffres Principales réalisations de l IDA depuis millions de personnes l équivalent de la population du Royaume-Uni ont pu accéder à des soins de santé de base, des services de nutrition ou de santé reproductrice. 52 millions + de femmes et de jeunes enfants vulnérables ont bénéficié des services de nutrition susceptibles de changer leur vie ou de la sauver. IDA LE FONDS DE LA BANQUE MONDIALE POUR LES PAYS LES PLUS PAUVRES 11

14 L IDA a plus que doublé ses investissements dans les énergies renouvelables et les économies d énergie sur la période #Adaptation au changement climatique 12 IDA LE FONDS DE LA BANQUE MONDIALE POUR LES PAYS LES PLUS PAUVRES

15

16 The World Bank s Fund for the Poorest I IDA 1818 H Street, N.W. Washington, D.C USA

ANNULATION DE LA DETTE EXTÉRIEURE POUR LES PAYS TOUCHÉS PAR LA MALADIE À VIRUS EBOLA

ANNULATION DE LA DETTE EXTÉRIEURE POUR LES PAYS TOUCHÉS PAR LA MALADIE À VIRUS EBOLA ANNULATION DE LA DETTE EXTÉRIEURE POUR LES PAYS TOUCHÉS PAR LA MALADIE À VIRUS EBOLA Janvier 2015 Annulation de la dette extérieure pour les pays touchés par la maladie à virus Ébola ANNULATION DE LA

Plus en détail

L AIDE AU DÉVELOPPEMENT FRANÇAISE

L AIDE AU DÉVELOPPEMENT FRANÇAISE L AIDE AU DÉVELOPPEMENT FRANÇAISE L Aide publique au développement (APD) désigne les dépenses publiques au bénéfice des pays en développement dont le but essentiel est de favoriser le développement économique

Plus en détail

Organisation des Nations Unies pour le développement industriel

Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Distr. générale 14 octobre 2014 Français Original: anglais Conseil du développement industriel Quarante-deuxième session Vienne, 25-27 novembre

Plus en détail

DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT

DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT Mise à jour avec rétroinformation technique de décembre 2012 Chaque jour, près de 800 femmes meurent durant la grossesse ou l accouchement

Plus en détail

Réunion mondiale sur l Éducation pour tous UNESCO, Mascate, Oman 12-14 mai 2014

Réunion mondiale sur l Éducation pour tous UNESCO, Mascate, Oman 12-14 mai 2014 Réunion mondiale sur l Éducation pour tous UNESCO, Mascate, Oman 12-14 mai 2014 Déclaration finale de la Réunion mondiale sur l EPT 2014 Accord de Mascate Préambule 1. Nous, ministres, chefs de délégations,

Plus en détail

Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre?

Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre? Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre? Les trois dernières décennies ont été marquées par des progrès impressionnants

Plus en détail

Conseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL

Conseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL GB.277/ESP/4 (Add.1) 277 e session Conseil d administration Genève, mars 2000 Commission de l'emploi et de la politique sociale ESP QUATRIÈME QUESTION À L ORDRE DU JOUR

Plus en détail

FACTSHEET HAITI DEUX ANS APRES

FACTSHEET HAITI DEUX ANS APRES HAITI DEUX ANS APRES Les actions de la Commission européenne pour reconstruire le pays Janvier 2012 Table of contents 1 L aide de l UE en bref 3 2 L aide humanitaire de la Commission européenne à Haïti.

Plus en détail

UNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT

UNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT UNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT The New Climate Economy Report EXECUTIVE SUMMARY La Commission Mondiale sur l Économie et le Climat a été établie pour déterminer s il est possible de parvenir

Plus en détail

résumé un développement riche en emplois

résumé un développement riche en emplois ne pas publier avant 00:01 Gmt le mardi 27 mai 2014 résumé un développement riche en emplois Rapport sur le Travail dans le Monde 2014 Un développement riche en emplois Résumé ORGANISATION INTERNATIONALE

Plus en détail

Le HCR est pleinement conscient. Le budget du HCR pour l exercice 2013. Le processus de planification

Le HCR est pleinement conscient. Le budget du HCR pour l exercice 2013. Le processus de planification Identification des be Le HCR est pleinement conscient de la nécessité de travailler en étroit partenariat avec ses principaux bailleurs de fonds pour rassembler les ressources dont il doit disposer pour

Plus en détail

Les progrès vers l éducation pour tous stagnent, mais certains pays montrent la voie à suivre

Les progrès vers l éducation pour tous stagnent, mais certains pays montrent la voie à suivre Les progrès vers l éducation pour tous stagnent, mais certains pays montrent la voie à suivre Document d orientation 14 / Fiche d information 28 Juin 214 Publié conjointement par le Rapport mondial de

Plus en détail

Qu est-ce que l adaptation au changement climatique?

Qu est-ce que l adaptation au changement climatique? Note de position de CARE sur le changement climatique Qu est-ce que l adaptation au changement climatique? Le changement climatique représente une menace sans précédent pour les populations des pays en

Plus en détail

Ce chapitre offre un aperçu du processus de

Ce chapitre offre un aperçu du processus de Identification des be Introduction Ce chapitre offre un aperçu du processus de planification qui sert à déterminer les besoins des réfugiés, des apatrides et des autres personnes relevant de la compétence

Plus en détail

Le financement de l apprentissage informel

Le financement de l apprentissage informel Études de cas Financial arrangements in informal apprenticeships: Determinants and effects. Findings from urban Ghana, Working Paper n o 49, ILO, 2007. Financement de l apprentissage informel : zoom sur

Plus en détail

S engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée

S engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée S engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée Rapport de situation 2013 RÉSUMÉ L UNICEF s est engagé à publier des rapports annuels de situation relatifs à la survie de l enfant en soutien

Plus en détail

CHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT)

CHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT) CHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT) FACONNER ENSEMBLE L OIT DU FUTUR «Pour tout ce qui a été, merci. Pour tout ce qui sera, oui.» (Dag

Plus en détail

ACTED. Bien que les guerres soient officiellement terminées, il persiste des conflits localisés à l Est du territoire.

ACTED. Bien que les guerres soient officiellement terminées, il persiste des conflits localisés à l Est du territoire. Chargé de Logistique RDC Closing date: 04 Sep 2015 I. ACTED ACTED ACTED est une association de solidarité internationale française qui a pour vocation de soutenir les populations vulnérables de par le

Plus en détail

& Melinda Gates et Gavi, qui permettra d améliorer la santé des populations des six pays ciblés et de contribuer à la sécurité sanitaire régionale.

& Melinda Gates et Gavi, qui permettra d améliorer la santé des populations des six pays ciblés et de contribuer à la sécurité sanitaire régionale. Communiqué Santé au Sahel : l AFD, la Fondation Bill & Melinda Gates et Gavi s engagent ensemble pour renforcer la vaccination dans six pays de la région du Sahel Paris, le 26 juin 2015 - L Agence Française

Plus en détail

INTÉGRATION DES SERVICES FINANCIERS DANS LES STRATÉGIES DE LUTTE CONTRE LA PAUVRETÉ Un aperçu Général --------

INTÉGRATION DES SERVICES FINANCIERS DANS LES STRATÉGIES DE LUTTE CONTRE LA PAUVRETÉ Un aperçu Général -------- INTÉGRATION DES SERVICES FINANCIERS DANS LES STRATÉGIES DE LUTTE CONTRE LA PAUVRETÉ Un aperçu Général -------- Colloque UEMOA-CRDI, du 08-10 Décembre 2009, Ouagadougou Samuel T. KABORE; Dieudonné OUEDRAOGO,

Plus en détail

Comité monétaire et financier international

Comité monétaire et financier international Comité monétaire et financier international Vingt-neuvième réunion Le 12 avril 2014 Déclaration de M. Akagha-Mba, Ministre de l Économie et de la Prospective, Gabon Représentant les pays suivants : Bénin,

Plus en détail

Réforme du crédit à la consommation. Statut des enseignants chercheurs. Point sur les États généraux de l outre-mer

Réforme du crédit à la consommation. Statut des enseignants chercheurs. Point sur les États généraux de l outre-mer LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE A REUNI LE CONSEIL DES MINISTRES AU PALAIS DE L ÉLYSÉE LE MERCREDI 22 AVRIL 2009 A L ISSUE DU CONSEIL, LE SERVICE DE PRESSE DE LA PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE A DIFFUSÉ LE

Plus en détail

Comité monétaire et financier international

Comité monétaire et financier international Comité monétaire et financier international Trente-et-unième réunion 18 avril 2015 Déclaration de Mr. Regis Immongault Ministre de l économie, de la promotion des investissements et de la prospective Gabon

Plus en détail

E/CN.6/2010/CRP.9. Compte-rendu de l animateur de la réunion. Distr. limitée 11 mars 2010 Français Original : anglais

E/CN.6/2010/CRP.9. Compte-rendu de l animateur de la réunion. Distr. limitée 11 mars 2010 Français Original : anglais Distr. limitée 11 mars 2010 Français Original : anglais Commission de la condition de la femme Cinquante-quatrième session 1 er -12 mars 2010 Point 3 a) de l ordre du jour Suivi de la quatrième Conférence

Plus en détail

Conférence mondiale sur les déterminants sociaux de la santé. Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé

Conférence mondiale sur les déterminants sociaux de la santé. Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé Rio de Janeiro (Brésil), 21 octobre 2011 1. À l invitation de l Organisation mondiale de la Santé, nous, Chefs de Gouvernement, Ministres

Plus en détail

Plan d orientations stratégiques 2012-2016

Plan d orientations stratégiques 2012-2016 Plan d orientations stratégiques 2012-2016 Agence Française de Développement Établissement public, l Agence Française de Développement (AFD) agit depuis soixante-dix ans pour combattre la pauvreté et favoriser

Plus en détail

Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008)

Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008) Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008) Excellences, Chers collègues, Mesdames et Messieurs, Chers amis, Quelles méthodes, quels instruments pour

Plus en détail

Négociation ministérielle pour un prêt de la Banque mondiale

Négociation ministérielle pour un prêt de la Banque mondiale PROGRAMME DE FORMATION AUX POLITIQUES DE LA FAO Programme de renforcement des capacités sur les politiques et les stratégies relatives à l'agriculture et au développement rural Ressources en ligne pour

Plus en détail

INVESTIR POUR UN MONDE SANS PALUDISME

INVESTIR POUR UN MONDE SANS PALUDISME INVESTIR POUR UN MONDE SANS PALUDISME Des progrès extrêmement importants ont été réalisés ces dernières années dans la lutte contre le paludisme, mais ces avancées sont fragiles et réparties de façon inégale.

Plus en détail

Résumé du Cadre stratégique anti-pauvreté des TNO

Résumé du Cadre stratégique anti-pauvreté des TNO Résumé du Cadre stratégique anti-pauvreté des TNO Novembre 2013 Résumé du Cadre stratégique anti-pauvreté des TNO 1 Résumé du Cadre stratégique anti-pauvreté des TNO Le présent document est un résumé

Plus en détail

LOI LAGARDE DU 1ER JUILLET 2010

LOI LAGARDE DU 1ER JUILLET 2010 LOI LAGARDE DU 1ER JUILLET 2010 PORTANT REFORME DU CREDIT A LA CONSOMMATION DOSSIER DE PRESSE FICHE 1 Les principales mesures de la loi LAGARDE FICHE 2 Le point sur l entrée en vigueur des principales

Plus en détail

AFD Danielle Segui. Financer les petites et très petites entreprises des pays du Sud

AFD Danielle Segui. Financer les petites et très petites entreprises des pays du Sud L AFD et la mésofinance AFD Danielle Segui Financer les petites et très petites entreprises des pays du Sud Besoins de financements 100 000 Grandes PME Banque traditionnelle TPE/PE {Chaînon manquant Les

Plus en détail

Les critères d identification des pays les moins avancés

Les critères d identification des pays les moins avancés Les critères d identification des pays les moins avancés Vue d ensemble Ce document reprend les éléments présentés sur le site du Comité des politiques de développement http://www.un.org/en/development/desa/policy/cdp/ldc/ldc_criteria.shtml

Plus en détail

Les foyers pauvres considèrent généralement que le terrain et la propriété sont

Les foyers pauvres considèrent généralement que le terrain et la propriété sont L IDA EN ACTION Politique foncière : garantir les droits pour réduire la pauvreté et favoriser la croissance Les foyers pauvres considèrent généralement que le terrain et la propriété sont leurs biens

Plus en détail

Pompes à eau potable solaires pour les communautés

Pompes à eau potable solaires pour les communautés Étude de cas 6, 03 2013 Pompes à eau potable solaires pour les communautés Sujet Camp de réfugiés IFO-II de Dadaab Lieu Comté de Garissa, au nord-est du Kenya Application Surface Eau potable et eau d'assainissement

Plus en détail

Stratégie de partenariat du GFDRR 2009 2012. Prévenir les risques de catastrophes pour un développement durable

Stratégie de partenariat du GFDRR 2009 2012. Prévenir les risques de catastrophes pour un développement durable Global Facility for Disaster Reduction and Recovery (GFDRR) Stratégie de partenariat du GFDRR 2009 2012 Prévenir les risques de catastrophes pour un développement durable Les partenaires du GFDRR Allemagne

Plus en détail

Le FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc

Le FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008

Plus en détail

Qu est-ce que le commerce équitable?

Qu est-ce que le commerce équitable? FAIR TRADE RULES! Position du mouvement international du commerce équitable en vue de la VI e Conférence Ministérielle de l OMC à Hong Kong Octobre 2005 «Nous, les membres du mouvement international du

Plus en détail

Rapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde

Rapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde Rapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde Résumé d orientation La tuberculose reste l une des maladies transmissibles causant le plus de décès dans le monde. En 2013, selon les estimations,

Plus en détail

La couverture universelle des soins de santé

La couverture universelle des soins de santé La couverture universelle des soins de santé CTB Addendum à la Note stratégique «Le droit à la santé et aux soins de santé» DGCD - Direction générale de la Coopération au Développement La couverture universelle

Plus en détail

Perspectives économiques régionales Afrique subsaharienne. FMI Département Afrique Mai 2010

Perspectives économiques régionales Afrique subsaharienne. FMI Département Afrique Mai 2010 Perspectives économiques régionales Afrique subsaharienne FMI Département Afrique Mai 21 Introduction Avant la crise financière mondiale Vint la grande récession La riposte politique pendant le ralentissement

Plus en détail

Fiche 7: Privatisation et eau

Fiche 7: Privatisation et eau De nos jours, la sauvegarde et le contrôle de l eau sont des enjeux qui donnent lieu à de multiples débats à l échelle planétaire. Maintenant que la ressource diminue, on se demande à qui elle appartient,

Plus en détail

Groupe de la Banque mondiale. Œuvrer pour un Monde sans pauvreté

Groupe de la Banque mondiale. Œuvrer pour un Monde sans pauvreté Groupe de la Banque mondiale Œuvrer pour un Monde sans pauvreté Les débutsd buts La Banque Internationale pour la Reconstruction et le Développement (BIRD) a été créé éée e en juillet 1944 à Bretton Woods,,

Plus en détail

Développement de la microassurance au Vietnam : quelques expériences intéressantes. Grégoire Chauvière Le Drian Adjoint au directeur ADETEF Vietnam

Développement de la microassurance au Vietnam : quelques expériences intéressantes. Grégoire Chauvière Le Drian Adjoint au directeur ADETEF Vietnam Développement de la microassurance au Vietnam : quelques expériences intéressantes Grégoire Chauvière Le Drian Adjoint au directeur ADETEF Vietnam Atelier du Forum économique et financier Hanoï, 10 et

Plus en détail

La transition énergétique L Energiewende allemande. 7 Conclusions clés. Une initiative de la Fondation Heinrich Böll Publié le 28 novembre 2012

La transition énergétique L Energiewende allemande. 7 Conclusions clés. Une initiative de la Fondation Heinrich Böll Publié le 28 novembre 2012 7 Conclusions clés La transition énergétique L Energiewende allemande Par Craig Morris et Martin Pehnt Une initiative de la Fondation Heinrich Böll Publié le 28 novembre 2012 www. 7 Conclusions clés La

Plus en détail

CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE

CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE Exploiter le Potentiel de la Science, de la Technologie et de l Innovation dans les chaînes Agro-alimentaires en Afrique : Créer emplois et richesse

Plus en détail

Harmonisation pour la santé en Afrique (HHA) Cadre d action

Harmonisation pour la santé en Afrique (HHA) Cadre d action Bureau régional pour l Afrique Harmonisation pour la santé en Afrique (HHA) Cadre d action - 2 - Historique 1.1 En Afrique, sous l effet conjugué de la pauvreté et des faibles investissements dans la santé,

Plus en détail

LES FEMMES SONT EN PREMIÈRE LIGNE

LES FEMMES SONT EN PREMIÈRE LIGNE PNUE LES FEMMES SONT EN PREMIÈRE LIGNE SEXOSPÉCIDU CHANGEMENT CLIMATIQUE RISQUES FIQUES ET ESPOIRS ÉVALUATION RAPIDE DE LA SITUATION 2 AVANT-PROPOS Les femmes tiennent un rôle beaucoup plus important que

Plus en détail

YouthStart ÉTUDE DE CAS PEACE

YouthStart ÉTUDE DE CAS PEACE Par Laura Muñoz Conception, test pilote et commercialisation à grande échelle d un produit destiné aux jeunes Cet article présente les principales réalisations et difficultés rencontrées par PEACE (partenaire

Plus en détail

Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés

Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés POUR DIFFUSION : À Washington : 9h00, le 9 juillet 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À DIFFUSION Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés La croissance

Plus en détail

POLITIQUE DU GROUPE DE LA BAD RELATIVE À L'ACCUMULATION DE LA DETTE NON CONCESSIONNELLE

POLITIQUE DU GROUPE DE LA BAD RELATIVE À L'ACCUMULATION DE LA DETTE NON CONCESSIONNELLE POLITIQUE DU GROUPE DE LA BAD RELATIVE À L'ACCUMULATION DE LA DETTE NON CONCESSIONNELLE Résumé TABLE DES MATIÈRES Pages ii-iii I. Introduction 1 II. Enjeux conceptuels de la concessionnalité des nouveaux

Plus en détail

Lettre de mission. Services de consultant pour une évaluation à mi-parcours de la Stratégie de l UIP 2012-2017

Lettre de mission. Services de consultant pour une évaluation à mi-parcours de la Stratégie de l UIP 2012-2017 UNION INTERPARLEMENTAIRE INTER-PARLIAMENTARY UNION 5, CHEMIN DU POMMIER CASE POSTALE 330 1218 LE GRAND-SACONNEX / GENÈVE (SUISSE) Lettre de mission Services de consultant pour une évaluation à mi-parcours

Plus en détail

August 2014. ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances

August 2014. ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances August 2014 ASSOCIATION CANADIENNE DE LA CONSTRUCTION MÉMOIRE PRÉBUDGÉTAIRE 2015 Comité permanent des finances Résumé L Association canadienne de la construction (ACC) représente 20 000 entreprises membres

Plus en détail

Développement rural 2007-2013. Document d orientation

Développement rural 2007-2013. Document d orientation Développement rural 2007-2013 MANUEL RELATIF AU CADRE COMMUN DE SUIVI ET D EVALUATION Document d orientation Septembre 2006 Direction générale de l agriculture et du développement rural TABLE DES MATIÈRES

Plus en détail

Le système de protection sociale en santé en RDC

Le système de protection sociale en santé en RDC REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO MINISTERE DE L EMPLOI, DU TRAVAIL ET DE LA PREVOYANCE SOCIALE Le système de protection sociale en santé en RDC 13/09/2013 1 I. Contexte national Plan II. Mesures de protection

Plus en détail

Modélisation de la réforme des pensions

Modélisation de la réforme des pensions Modèle PROST de la Banque Mondiale Modélisation de la réforme des pensions Mécanisme de simulation des options de réforme des retraites, de la Banque Mondiale L es politiques de pension d aujourd hui peuvent

Plus en détail

Communiqués de presse du Comité intérimaire, du Comité monétaire et financier international et du Comité du développement

Communiqués de presse du Comité intérimaire, du Comité monétaire et financier international et du Comité du développement A P P E N D I C E V I Communiqués de presse du Comité intérimaire, du Comité monétaire et financier international et du Comité du développement Comité intérimaire du Conseil des gouverneurs du système

Plus en détail

CONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A

CONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A CONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A ONUSIDA/CCP (36)/15.12 Date de publication : 24 juin 2015 TRENTE-SIXIÈME RÉUNION Date : 30 juin - 2 juillet 2015 Lieu : Salle du conseil exécutif,

Plus en détail

Promouvoir des synergies entre la protection des enfants et la protection sociale en Afrique de l Ouest et du Centre

Promouvoir des synergies entre la protection des enfants et la protection sociale en Afrique de l Ouest et du Centre inégalité Note de Synthèse Protection sociale pour les Enfants Réduction de la pauvreté q protection sociale Février 2009 exclusion sociale Politiques Sociales atteindre les OMD sécurité stratégies politiques

Plus en détail

Dans une liberté plus grande : développement, sécurité et respect des droits de l homme pour tous

Dans une liberté plus grande : développement, sécurité et respect des droits de l homme pour tous Nations Unies A/59/2005* Assemblée générale Distr. générale 24 mars 2005 Français Original: anglais Cinquante-neuvième session Points 45 et 55 de l ordre du jour Application et suivi intégrés et coordonnés

Plus en détail

Les perspectives économiques

Les perspectives économiques Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois

Plus en détail

Les grandes réalisations sont la somme de toutes les petites

Les grandes réalisations sont la somme de toutes les petites ÉPARGNE SALARIALE SOLIDAIRE Les grandes réalisations sont la somme de toutes les petites BANQUE DE FINANCEMENT & D INVESTISSEMENT / ÉPARGNE / SERVICES FINANCIERS SPÉCIALISÉS Avec un encours de 3,15 milliards

Plus en détail

3 The Millennium Development Goals: Report 2010. Objectifs du Millénaire pour le développement Rapport 2014. asdf NATIONS UNIES

3 The Millennium Development Goals: Report 2010. Objectifs du Millénaire pour le développement Rapport 2014. asdf NATIONS UNIES 3 The Millennium Development Goals: Report 2010 Objectifs du Millénaire pour le développement Rapport 2014 asdf NATIONS UNIES Le présent rapport est fondé sur un ensemble de données compilées par le Groupe

Plus en détail

la voie bilatérale reste la meilleure option

la voie bilatérale reste la meilleure option WWW.ELECTIONS.CH FICHE THEMATIQUE : SUISSE-UE la voie bilatérale reste la meilleure option L UE est un des principaux partenaires commerciaux de la Suisse. A l inverse, la Suisse est le deuxième partenaire

Plus en détail

INTEGREE DES RESSOURCES EN EAU

INTEGREE DES RESSOURCES EN EAU Forum de l eau de Kyoto Contribution à la session du RIOB «Les progrès réalisés dans le monde dans la gestion intégrée des ressources en eau par bassin» GESTION INTEGREE DES RESSOURCES EN EAU Par M. Jean-Michel

Plus en détail

Un parcours non encore achevé : La réforme de l éducation au Moyen-Orient et en Afrique du Nord

Un parcours non encore achevé : La réforme de l éducation au Moyen-Orient et en Afrique du Nord RAPPORTS SUR LE DÉVELOPPEMENT DE LA RÉGION MENA Un parcours non encore achevé : La réforme de l éducation au Moyen-Orient et en Afrique du Nord Résumé analytique BANQUE MONDIALE Washington 2007 The International

Plus en détail

Personne-ressource : Geoff Smith Directeur des Relations gouvernementales Tél. : 613-688-2064 Téléc. : 613-852-9696 smith@electricity.

Personne-ressource : Geoff Smith Directeur des Relations gouvernementales Tél. : 613-688-2064 Téléc. : 613-852-9696 smith@electricity. Proposition prébudgétaire 2015 de l Association canadienne de l électricité (ACÉ) présentée au Comité permanent des finances de la Chambre des communes Personne-ressource : Geoff Smith Directeur des Relations

Plus en détail

Editorial. Chère lectrice, cher lecteur,

Editorial. Chère lectrice, cher lecteur, Version de : juillet 2013 Le point sur... Informations fournies par le ministère fédéral des Finances Les mécanismes européens de stabilité Sur la voie de l Union de la stabilité 1 2 3 4 ème volet Editorial

Plus en détail

Evaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo

Evaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo Evaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo Numéro WHH du projet: AF 1519 / COD 1063-07 Numéro KfW du projet : KfW 2007 65 537

Plus en détail

Le ministre Oliver dépose un budget équilibré et un plan axé sur des impôts bas pour favoriser l emploi, la croissance et la sécurité

Le ministre Oliver dépose un budget équilibré et un plan axé sur des impôts bas pour favoriser l emploi, la croissance et la sécurité Ministère des Finances Communiqué Le ministre Oliver dépose un budget équilibré et un plan axé sur des impôts bas pour favoriser l emploi, la croissance et la sécurité Le Plan d action économique de 2015

Plus en détail

BETTERTHANCASH. La mise en œuvre d une aide alimentaire sous forme de paiements électroniques au Kenya : Étude de cas : le Kenya HIGHLIGHTS

BETTERTHANCASH. La mise en œuvre d une aide alimentaire sous forme de paiements électroniques au Kenya : Étude de cas : le Kenya HIGHLIGHTS BETTERTHANCASH A L L I A N C E Empowering People Through Electronic Payments Étude de cas : le Kenya HIGHLIGHTS Mars 2014 La mise en œuvre d une aide alimentaire sous forme de paiements électroniques au

Plus en détail

Le Québec en meilleure situation économique et financière pour faire la souveraineté

Le Québec en meilleure situation économique et financière pour faire la souveraineté 18 ans après le référendum de 1995 Le Québec en meilleure situation économique et financière pour faire la souveraineté présenté par Marcel Leblanc, économiste pour le comité de travail sur la souveraineté

Plus en détail

Info Finance. et Prévoyance. En 2013 aussi, les clients profitent d une rémunération globale attractive!

Info Finance. et Prévoyance. En 2013 aussi, les clients profitent d une rémunération globale attractive! Allianz Suisse Case postale 8010 Zurich www.allianz-suisse.ch Info Finance 01 YDPPR267F et Prévoyance Édition 01, mars 2013 EXCÉDENTS LPP En 2013 aussi, les clients profitent d une rémunération globale

Plus en détail

Un monde sans faim Brève présentation de l'initiative spéciale

Un monde sans faim Brève présentation de l'initiative spéciale 1 Un monde sans faim Brève présentation de l'initiative spéciale Version de mars 2015 Les enjeux En lançant l'initiative spéciale «Un seul monde sans faim», le ministère fédéral allemand de la Coopération

Plus en détail

BOAD en Bref. Edition 2014 BANQUE OUEST AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT

BOAD en Bref. Edition 2014 BANQUE OUEST AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT BOAD en Bref Edition 2014 BANQUE OUEST AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT LA BANQUE OUEST AFRICAINE DE DEVELOPPEMENT EN BREF 1. CRÉATION ET OBJET La Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD) est l institution

Plus en détail

Notre approche pour les investissements en bourse

Notre approche pour les investissements en bourse TlB Notre approche pour les investissements en bourse Introduction Ce document présente la stratégie d investissement dans les entreprises cotées en bourse adoptée par Triodos Investment Management B.V.*

Plus en détail

Environment and more GTZ Conference Funding and Financing Issues Casablanca, May 18th, 2010 Dr. Joachim Richter

Environment and more GTZ Conference Funding and Financing Issues Casablanca, May 18th, 2010 Dr. Joachim Richter Environment and more GTZ Conference Funding and Financing Issues Casablanca, May 18th, 2010 Dr. Joachim Richter 28.04.2010 0 Profile de l entreprise Project Finance International Entreprise de conseil

Plus en détail

UPEC - AEI M2 AMITER Action humanitaire internationale et ONG Soiio-Economie de la mondialisation - D. Glaymann 2011 1

UPEC - AEI M2 AMITER Action humanitaire internationale et ONG Soiio-Economie de la mondialisation - D. Glaymann 2011 1 Les fonctions d un système monétaire international Les crises et la réforme du SMI fondé à Bretton Woods. La nature du système né dans les années 1970 Soiio-Economie de la mondialisation - D. Glaymann

Plus en détail

Programme du Forum National sur la Nutrition et l Alimentation à l Hôtel KEMPINSKI N Djamena. 28-30 avril 2015

Programme du Forum National sur la Nutrition et l Alimentation à l Hôtel KEMPINSKI N Djamena. 28-30 avril 2015 Deuxi ème jour Premier jour Jour 0 Programme du Forum National sur la Nutrition et l Alimentation à l Hôtel KEMPINSKI N Djamena 28-30 avril 2015 Date Heure Activité Veille du forum (Hôtel KEMPINSKI) Arrivée

Plus en détail

REFORME DU CREDIT A LA CONSOMMATION DECRET SUR LE REMBOURSEMENT MINIMAL DU CAPITAL POUR LES CREDITS RENOUVELABLES

REFORME DU CREDIT A LA CONSOMMATION DECRET SUR LE REMBOURSEMENT MINIMAL DU CAPITAL POUR LES CREDITS RENOUVELABLES REFORME DU CREDIT A LA CONSOMMATION DECRET SUR LE REMBOURSEMENT MINIMAL DU CAPITAL POUR LES CREDITS RENOUVELABLES DOSSIER DE PRESSE FICHE 1 Une réforme pour réduire le coût des crédits renouvelables et

Plus en détail

La culture du résultat au sein des systèmes statistiques nationaux des Etats membres d AFRISTAT

La culture du résultat au sein des systèmes statistiques nationaux des Etats membres d AFRISTAT La culture du résultat au sein des systèmes statistiques nationaux des Etats membres d AFRISTAT SOMMAIRE Introduction... 2 I. Aperçu sur le fondement de la gestion axée sur les résultats... 3 1.1. De nouveaux

Plus en détail

Créateur d opportunités

Créateur d opportunités Créateur d opportunités Climat, énergie & ressources naturelles Agriculture & développement rural Marchés de l emploi & développement du secteur privé Systèmes financiers Commerce & intégration régionale

Plus en détail

Le FMI et son rôle en Afrique

Le FMI et son rôle en Afrique Le FMI et son rôle en Afrique M a r k P l a n t, V a l e r i a F i c h e r a, N o r b e r t F u n k e D a k a r, l e 3 n o v e m b r e 2 0 1 0 Sommaire Comment fonctionne le FMI? Comment l Afrique a-t-elle

Plus en détail

Volet thématique «Prévention des crises et consolidation de la paix»

Volet thématique «Prévention des crises et consolidation de la paix» Volet thématique «Prévention des crises et consolidation de la paix» Résumé des résultats clés et réalisations Problématique Prévention des crises et consolidation de la paix : les défis Quelque 1,5 milliard

Plus en détail

LE REFINANCEMENT PAR LE MARCHE HYPOTHECAIRE

LE REFINANCEMENT PAR LE MARCHE HYPOTHECAIRE LE REFINANCEMENT PAR LE MARCHE HYPOTHECAIRE J O U R N É E S A J B E F N I A M E Y M A I 2 0 1 2 P R É S E N T É P A R M R D A O B A B A ( F G H M. S A / M A L I ) Préambule L objectif de la présente communication

Plus en détail

Cent huitième session. Rome, 10 14 octobre 2011 FINANCEMENT DES ÉVALUATIONS - MISE EN ŒUVRE DES DÉCISIONS DU CONSEIL

Cent huitième session. Rome, 10 14 octobre 2011 FINANCEMENT DES ÉVALUATIONS - MISE EN ŒUVRE DES DÉCISIONS DU CONSEIL Août 2011 F COMITÉ DU PROGRAMME Cent huitième session Rome, 10 14 octobre 2011 FINANCEMENT DES ÉVALUATIONS - MISE EN ŒUVRE DES DÉCISIONS DU CONSEIL Résumé Le présent document fait suite à une demande formulée

Plus en détail

APPEL A COMMUNICATIONS

APPEL A COMMUNICATIONS APPEL A COMMUNICATIONS Colloque régional UEMOA-CRDI sur Intégration régionale et stratégies régionales de réduction de la pauvreté 8-10 décembre 2009, Ouagadougou, Burkina Faso Délai de soumission de résumé

Plus en détail

Bien vivre, dans les limites de notre planète

Bien vivre, dans les limites de notre planète isstock Bien vivre, dans les limites de notre planète 7e PAE le programme d action général de l Union pour l environnement à l horizon 2020 Depuis le milieu des années 70, la politique environnementale

Plus en détail

LES ORGANISMES DE BIENFAISANCE, LES CITOYENS ET LE GOUVERNEMENT FÉDÉRAL :

LES ORGANISMES DE BIENFAISANCE, LES CITOYENS ET LE GOUVERNEMENT FÉDÉRAL : LES ORGANISMES DE BIENFAISANCE, LES CITOYENS ET LE GOUVERNEMENT FÉDÉRAL : UN PARTENARIAT POUR BÂTIR DES COLLECTIVITÉS PLUS FORTES, PLUS PROSPÈRES ET PLUS DYNAMIQUES Mémoire prébudgétaire présenté par Imagine

Plus en détail

Année internationale de la jeunesse. 12 août 2010-11 août 2011. asdf. Dialogue et compréhension mutuelle. Nations Unies

Année internationale de la jeunesse. 12 août 2010-11 août 2011. asdf. Dialogue et compréhension mutuelle. Nations Unies Année internationale de la jeunesse 12 août 2010-11 août 2011 Dialogue et compréhension mutuelle asdf Nations Unies «Nous devons nous engager sans réserve pour que les jeunes aient accès à l éducation,

Plus en détail

Le jeu «Si le monde était un village» Source : Afric Impact

Le jeu «Si le monde était un village» Source : Afric Impact Le jeu «Si le monde était un village» Source : Afric Impact Niveau / âge des participants Enfants (à partir de 12 ans), adolescents et adultes. Temps/durée d animation Environ ¼ d heure. Nombre d animateurs

Plus en détail

Oeuvrer pour que les populations rurales pauvres se libèrent de la pauvreté aux Comores

Oeuvrer pour que les populations rurales pauvres se libèrent de la pauvreté aux Comores Oeuvrer pour que les populations rurales pauvres se libèrent de la pauvreté aux Comores La pauvreté rurale aux Comores Depuis leur indépendance en 1975, les Comoriens ont souffert de l instabilité politique

Plus en détail

Recommandation de RECOMMANDATION DU CONSEIL. concernant le programme national de réforme du Luxembourg pour 2015

Recommandation de RECOMMANDATION DU CONSEIL. concernant le programme national de réforme du Luxembourg pour 2015 COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 13.5.2015 COM(2015) 265 final Recommandation de RECOMMANDATION DU CONSEIL concernant le programme national de réforme du Luxembourg pour 2015 et portant avis du Conseil

Plus en détail

Le contexte : l'agenda post-2015 sur le développement global

Le contexte : l'agenda post-2015 sur le développement global Les Nations Unies et leurs partenaires se sont associés pour rédiger et diffuser un sondage innovant et global, sous le nom de MY WORLD, pour que les citoyens puissent participer au processus d'après -2015,

Plus en détail

Comité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS.

Comité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS. Comité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS 28 mai 2012 Madame la Représentante permanente adjointe de Sri Lanka, Présidente

Plus en détail

demain Aujourd hui ACDIC A. PRESENTATION DE L ACDIC B. 10 ANS D ACTIONS. Des actes concrets, des effets, des impacts C. DES ACQUIS ET ATOUTS CERTAINS

demain Aujourd hui ACDIC A. PRESENTATION DE L ACDIC B. 10 ANS D ACTIONS. Des actes concrets, des effets, des impacts C. DES ACQUIS ET ATOUTS CERTAINS ACDIC Aujourd hui & demain A. PRESENTATION DE L ACDIC B. 10 ANS D ACTIONS. Des actes concrets, des effets, des impacts C. DES ACQUIS ET ATOUTS CERTAINS D. QUATRE THEMES D ACTIONS PRIORITAIRES E. NOS AMBITIONS

Plus en détail

Réforme du Code des assurances :

Réforme du Code des assurances : Réforme du Code des assurances : orienter l épargne des Français vers les entreprises Pierre Moscovici, ministre de l économie et des finances «Une des priorités de mon action est de réconcilier l épargne

Plus en détail

Le nouveau modèle de financement du Fonds mondial

Le nouveau modèle de financement du Fonds mondial Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme Quatrième reconstitution des ressources (2014-2016) Le nouveau modèle de financement du Fonds mondial Avril 2013 Introduction 1. Fin

Plus en détail

Programme d appui aux investissements des PME

Programme d appui aux investissements des PME Programme d appui aux investissements des PME MIGA : apporter aux clients des atouts sans pareil L Agence multilatérale de garantie des investissements (MIGA) a pour mission de promouvoir l investissement

Plus en détail

Le cycle de projet à la Banque Africaine de Développement

Le cycle de projet à la Banque Africaine de Développement Fiche Technique n 3 Le cycle de projet à la Banque Africaine de Développement Cycle du projet De manière générale, depuis l identification jusqu à l approbation d un projet, il existe un dialogue constant

Plus en détail