MEDEF Actu-Eco - n 207 Semaine du 1 er au 5 juin 2015

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1 + MEDEF Actu-Eco - n 207 Semaine du 1 er au 5 juin 2015 FRANCE SOMMAIRE 1. Consommation des ménages en biens en avril 2015 : +0,1% sur un mois, +0,5% en moyenne sur trois mois 2. Demandes d emploi en avril 2015 : personnes sur un mois, sur un an 3. Constructions de logement en avril 2015 : baisse de -7,6% des mises en chantier ( ) en glissement sur douze mois, et de -4,9% pour les permis de construire ( ) 4. Enquête EY sur les implantations étrangères en France en 2014 : plus de projets mais moins d emplois, manque d attractivité pour les fonctions stratégiques et les investisseurs émergents INTERNATIONAL 5. Climat des affaires aux Etats-Unis en mai 2015 : accélération dans le secteur manufacturier mais décélération dans le non manufacturier 6. Tendances récentes des marchés : remontée des taux des obligations d Etat à 10 ans MEDEF Actu-Eco semaine du 1 er au 5 juin

2 avr Consommation des ménages en biens en avril 2015 : +0,1% sur un mois, +0,5% en moyenne sur trois mois * Les dépenses de consommation des ménages en biens (représentant environ 50% de la totalité de la consommation en biens et services) ont augmenté de +0,1% en avril 2015 en volume, après une baisse de -0,7% en mars. Cette légère hausse recouvre des évolutions contrastées : - repli des dépenses en équipement du logement (-0,2%, comme en mars) et des dépenses énergétiques (-0,3%, après -3,3%). «Une hausse de la consommation de carburants est en effet presqu entièrement compensée par un recul des dépenses de gaz et d électricité» ; - quasi-stagnation des achats d automobiles (+0,1%, après +1,5%) ; - progression des dépenses alimentaires (+0,4%, après +0,5%), «notamment du fait des dépenses en produits à base de viande» et, plus encore, des dépenses en textile-cuir (+1,3%, après -5,1%) Consommation des ménages en biens (moyenne mobile sur trois mois, millions d'euros constants) Source : INSEE * En moyenne mobile sur les trois derniers mois connus (février, mars, avril 2015), les achats des ménages se sont accrus de +0,5% par rapport aux trois mois précédents (+2,2% sur un an). Cette hausse se retrouve dans toutes les catégories de biens, à l exception des achats en textile-cuir (-1,8%) :. +0,2% pour les dépenses alimentaires (+1% sur un an) ;. +0,5% pour les dépenses énergétiques (+3,9% sur un an), dont -0,6% pour les seuls produits pétroliers ;. +0,7% pour les achats en équipement du logement (+7,7% sur un an) ;. +2,5% pour les achats d automobiles (+0,3% sur un an). MEDEF Actu-Eco semaine du 1 er au 5 juin

3 avr.-08 avr.-08 avr.-08 avr.-08 avr Consommation des ménages en biens alimentaires (moyenne mobile sur trois mois, millions d'euros constants) Consommation des ménages en automobiles (moyenne mobile sur trois mois, millions d'euros constants) Consommation des ménages en équipements du logement(moyenne mobile sur trois mois, millions d'euros constants) Consommation des ménages en textile-cuir (moyenne mobile sur trois mois, millions d'euros constants) Consommation des ménages en biens énergétiques (moyenne mobile sur trois mois, millions d'euros constants) Source : INSEE MEDEF Actu-Eco semaine du 1 er au 5 juin

4 avr.-96 avr.-97 avr.-98 avr.-99 avr.-00 avr.-01 avr.-02 avr.-03 avr.-04 avr.-05 avr.-06 avr.-07 avr Demandes d emploi en avril 2015 : personnes sur un mois, sur un an * Le nombre de demandeurs d emploi inscrits à Pôle emploi en catégorie A (sans emploi) en France métropolitaine s est de nouveau accru en avril 2015 : +0,7%, soit personnes. Il s établit donc au niveau record de personnes. Cette progression se retrouve chez les hommes comme chez les femmes et dans toutes les tranches d âge. En y ajoutant les personnes en activité réduite (catégories B et C), le nombre de demandeurs d emploi a enregistré en avril 2015 sa plus forte hausse depuis septembre 2013 (+1%, soit personnes), pour atteindre personnes Demandeurs d'emploi inscrits à Pôle emploi en catégorie A (milliers) Source : Dares * Sur un an, entre avril 2014 et avril 2015, le nombre de demandeurs d emploi (catégorie A) a progressé de personnes, soit +5,1%. Dans le détail : - par sexe : accroissement plus important chez les hommes (+5,5%) que chez les femmes (+4,7%) ; - par tranche d âge : hausse de +8,7% chez les 50 ans ou plus, 4 fois plus importante que celle chez les moins de 25 ans (+2,2%, la plus forte hausse depuis septembre 2013) et près de 2 fois plus importante que celle chez les ans (+4,5%) ; - par région : accroissement dans toutes les régions de France, à l exception de la Martinique (-1,5%). Les hausses vont de +0,8% à la Réunion à +11,1% en Corse, en passant par +5% en Ile-de-France et +6,8% en Aquitaine. Demandeurs d emploi inscrits à Pôle emploi en catégorie A (avril 2015) Niveau Evolution sur un mois Evolution sur un an milliers milliers % milliers % Hommes 1 870,2 +12,2 +0,7 +96,8 +5,5 Femmes 1 665,8 +14,0 +0,8 +74,3 +4,7 Moins 25 ans 546,6 +4,3 +0,8 +11,9 +2,2 25 à 49 ans 2 149,3 +14,3 +0,7 +92,3 +4,5 50 ans ou plus 840,1 +7,6 +0,9 +66,9 +8,7 Ensemble 3 536,0 +26,2 +0,7 +171,1 +5,1 Source : Dares MEDEF Actu-Eco semaine du 1 er au 5 juin

5 avr.-08 avr.-08 * Concernant la durée d inscription à Pôle emploi, pour l ensemble des catégories A, B et C, l ancienneté moyenne a atteint un nouveau record, désormais à 548 jours, contre 522 jours un an plus tôt. Par ailleurs, le nombre de demandeurs d emploi de longue durée (un an ou plus) a continué de croître : +1,1% sur un mois, +10,2% sur un an ( personnes) pour atteindre personnes. Plus de la moitié de cette progression est imputable à celle des personnes au chômage depuis trois ans et plus (+18,5%, soit personnes,).ils représentent désormais près du tiers des chômeurs de longue durée. Le nombre de personnes au chômage depuis un ou deux ans a crû de +5,6%, et celles au chômage depuis deux ou trois ans de +8,9% Demandeurs d'emploi inscrits à Pôle emploi en catégories A, B, C (milliers) 1 068,7 1 à 2 ans 742,6 3 ans et plus 522,1 2 à 3 ans Ancienneté moyenne d'inscriptions à Pôle emploi (jours) 548 Source : Dares MEDEF Actu-Eco semaine du 1 er au 5 juin

6 3. Constructions de logement en avril 2015 : baisse de -7,6% des mises en chantier ( )en glissement sur douze mois, et de -4,9% pour les permis de construire ( ) * Le marché de la construction résidentielle en France reste déprimé. En moyenne mobile sur les trois derniers mois connus (février, mars, avril 2015), les mises en chantier de logements se sont repliées de -2,8% par rapport aux trois mois précédents. Dans le même temps, les permis de construire ont progressé de +1,8% Constructions de logements (glissement sur douze mois, milliers, données CVS, date de prise en compte) Permis de construire Mises en chantier 364,6 347,7 Source : SOeS / Coe-Rexecode * En glissement sur douze mois, les mises en chantier se sont contractées de -7,6% entre avril 2014 et avril 2015, soit logements nouveaux en moins. Elles se sont ainsi établies à unités, soit le plus bas niveau depuis avril Elles sont inférieures de -12,6% à leur moyenne des années Dans le détail, ce repli des mises en chantier en France se retrouve dans toutes les régions de la métropole, à l exception de l Alsace (+20,6%). Toutefois, les contractions sont d ampleurs disparates : de -27,4% dans le Limousin à -2,1% en Midi-Pyrénées, en passant par -10% en Bretagne et -7,6% en Ile-de-France. Dans les Départements et Régions d Outre-Mer, les mises en chantier se sont repliées de -12,2%. Dans le même temps, les permis de construire ont baissé de -4,9% par rapport à avril 2014, soit Ils s établissent ainsi au nombre de , niveau inférieur de -20,9% à leur moyenne de longue période. * Selon la Fédération Française du Bâtiment (FFB), «si l on ajoute [à la mise en place du dispositif Pinel et à l amélioration du PTZ+] l ensemble des éléments du Plan de relance d août 2014 et le retour, faible mais réel, de la croissance économique, on peut augurer d un début de reprise des mises en chantier fin 2015, début 2016» (intervention du Président de la FFB en mars 2015). MEDEF Actu-Eco semaine du 1 er au 5 juin

7 Evolution des mises en chantier de logements (avril 2015, glissement sur douze mois, %) Nord-Pas-de-Calais -9,1% Haute Normandie -9,5% Picardie -7,1% Bretagne -10% Basse Normandie -19,4% Ile-de-France -7,6% Champagne Ardenne -13,4% Lorraine -7,9% Alsace +20,6% Pays de la Loire -2,4% Centre -7,7% Bourgogne -15% Franche-Comté -19,8% Poitou-Charentes -21,7% Limousin -27,4% Auvergne -12,7% Rhône-Alpes -6,9% Aquitaine -6,1% Midi-Pyrénées -2,1% Languedoc- Roussillon -5,5% Provence-Alpes-Côte d Azur -5,1% >0 de 0 à -10 de -10 à -20 <-20 Corse -19,6% Source : SOeS MEDEF Actu-Eco semaine du 1 er au 5 juin

8 4. Enquête EY sur les implantations étrangères en France en 2014: plus de projets mais moins d emplois, manque d attractivité pour les fonctions stratégiques et les investisseurs émergents Le Baromètre de l attractivité 2015 que vient de publier EY mesure l attractivité du territoire français en Europe à partir de deux types d indicateurs : d une part, le nombre de projets d investissements directs étrangers en France et le nombre des emplois induits ; d autre part, la perception qu ont les décideurs internationaux de l attractivité de la France et leurs attentes. * Les investisseurs étrangers ont retrouvé le chemin de l Europe en 2014 (augmentation des implantations de +10%). L attractivité du site France s inscrit sur la tendance : 608 décisions d investissement direct étranger ont été prises en faveur de notre territoire (+18%). Ce nombre est supérieur à la moyenne des années (539 implantations). Plusieurs facteurs peuvent expliquer cette embellie : poids économique et position géographique de la France dans une Europe un peu plus porteuse, nouvelle orientation de la politique économique favorable à la compétitivité coût (CICE), contexte général plus favorable (baisse de l euro et du coût de l énergie) Nombre de projets d'investissements étrangers en France moyenne moyenne Source : Le grand Ecart, Baromètre d l attractivité 2015 (EY, mai 2015) Sectoriellement, le numérique et les services aux entreprises sont en tête des activités les plus attractives, avec près d un quart du nombre total de projets, mais plusieurs industries ont fortement contribué à la hausse des investissements annoncés en 2014 (équipement, agroalimentaire, chimie, automobile). Par fonction, les activités commerciales et tertiaires représentent 42% des projets, la production 38%, la logistique 8%, les centres de R&D 4%, les sièges sociaux 2%. Géographiquement, la moitié des projets d investissement vient de l ensemble Etats-Unis (25%), Allemagne (17%) et Royaume-Uni (6%). Leur nombre ont augmenté de 24% en 2014, dont 34% pour ceux en provenance d Allemagne (unités industrielles). En revanche, la France peine à attirer les investisseurs émergents : 17 implantations chinoises en 2014 (aucun centre de décision), contre 40 au Royaume-Uni et 79 en Allemagne. MEDEF Actu-Eco semaine du 1 er au 5 juin

9 *Parmi les zones d ombre identifiées derrière l embellie de 2014, trois peuvent être soulignées : i/ la reprise de l investissement étranger n entraîne pas l emploi : -11% en 2014 à , et -20% entre la moyenne et la moyenne Le nombre moyen d emplois par implantation nouvelle ne cesse de baisser : 21 salariés en 2014, contre 27 en 2013 et 24 en moyenne (30 en ). ii/ La France est au 3 ème rang européen en nombre d implantations étrangères, loin derrière le Royaume-Uni (force du «Grand Londres», spécialisation dans le tertiaire supérieur finances, centres de décision, services aux entreprises-, flexibilité du marché du travail), et l Allemagne (fonctions industrielles, base d expansion pour les pays émergents d Asie vers l Europe de l Est et la Russie) Nombre de projets d'investissements étrangers Royaume-Uni Allemagne France Source : Le grand Ecart, Baromètre d l attractivité 2015 (EY, mai 2015) La France reste la première destination en Europe pour les implantations industrielles (231 en 2014), mais il s agit essentiellement (80%) de projets d extension d activités existantes, et de taille réduite, donc peu créatrices d emplois. iii/ le site France continue de perdre de l attractivité pour les fonctions stratégiques (QG, centres de R&D): 38 implantations en 2014 (58 en 2013), contre 67 en Allemagne et 129 au Royaume-Uni Nombre de projets d'implantation 57 de sièges sociaux Nombre de projets d'implantation 72 de centres de R&D Source : Le grand Ecart, Baromètre d l attractivité 2015 (EY, mai 2015) MEDEF Actu-Eco semaine du 1 er au 5 juin

10 En 5 ème position européenne, la France a vu le nombre de sièges sociaux implantés sur son sol divisé par 2 en deux ans, alors que ceux implantés au Royaume-Uni (1 ère place européenne) a doublé. En 2014, il y en a eu 5 fois moins en France qu Outre-Manche, et 2 fois moins qu en Allemagne (2 ème place). De même, le Crédit d impôt Recherche ne suffit pas à faire la différence pour l implantation de centres de R&D dont le nombre en 2014 reste très inférieur à celui des deux locomotives européennes. *L affaiblissement de l attractivité de la France en Europe trouve largement son explication dans ses handicaps structurels. Sans surprise, les décideurs internationaux interrogés mentionnent quatre mesures prioritaires pour que la France soit un «leader de l attractivité au niveau mondial» : alléger le coût du travail, alléger la fiscalité sur les entreprises, assouplir l environnement réglementaire et législatif, soutenir la recherche et à l innovation. Fait notable, 33% de ces décideurs jugent l Allemagne plus attractive que la France pour son environnement politique, juridique et fiscal Priorités pour améliorer l'attractivité de la France (% des décideurs internationaux interrogés) alléger le coût du travail assouplir l'environnement administratif et juridique alléger la fiscalité des entreprises soutenir la recherche et l'innovation * En même temps, aux yeux des investisseurs étrangers, la France ne manque pas d atouts pour renforcer son rôle dans l économie mondiale : capacité d innovation (42%), capacité à former et à attirer des talents (37%), ce qui prouve que notre pays est bien identifié par les investisseurs sur la carte du monde de l économie de la connaissance. * Si les décideurs internationaux interrogés considèrent le numérique, l énergie et les «utilities» (traitement de l eau et des déchets), et la santé (industrie pharmaceutique, biotechnologies) comme les trois secteurs phares de l attractivité de la France pour 2015 et 2016, cette perspective ne se concrétise pas encore : en 2014, ces secteurs moteurs ne représentent que 16% des implantations étrangères en France (96), contre 20% en Allemagne (156) et 28% au Royaume-Uni (244). * Si 68% des investisseurs estiment que la France reste une «localisation satisfaisante» (64% dans le Baromètre 2014), seuls 45% de ceux non implantés en France partagent ce point de vue (contre 80% de ceux déjà présents en France). D où la conclusion de EY : convaincre de nouveaux investisseurs «rend nécessaire une politique de promotion de la France mieux structurée et plus agressive», puisque seulement 33% des investisseurs jugent efficace la politique de promotion des atouts de la France à l étranger. La marque France a des perspectives : se prévaloir du «Made in France» est en effet considéré comme un atout par 39% d entre eux (30% dans le Baromètre 2014). * Investissements d ajustement plutôt que stratégiques, dynamique des projets qui ne se traduit pas en emplois, difficulté à convaincre de futurs investisseurs : c est la preuve d une attractivité de la France mise à l épreuve ces dernières années qui impose une stratégie globale pour répondre à l attente de cohérence et de lisibilité des investisseurs. MEDEF Actu-Eco semaine du 1 er au 5 juin

11 5. Climat des affaires aux Etats-Unis en mai 2015 : accélération dans le secteur manufacturier mais décélération dans le non manufacturier * Selon la dernière enquête réalisée auprès des directeurs d achat, le climat des affaires aux Etats-Unis s est amélioré en mai 2015 dans le secteur manufacturier. L indicateur synthétique s est en effet redressé, après avoir stagné en avril et s être replié au cours des cinq mois précédents. Dans le détail, cette évolution se retrouve dans sa composante «carnets de commandes globaux», grâce à la demande intérieure, et dans sa composante «emploi», dont l indice repasse au-dessus de sa moyenne de longue période ( ). En revanche, l indice relatif à la production s est replié après deux mois consécutifs de hausse. Les entreprises interrogées ont un ton assez positif notamment avec l amélioration de l économie et la croissance de la demande. En revanche, précise l institut ISM, des inquiétudes persistent concernant le prix du dollar et les défis affectant les marchés liés aux industries pétrolières et gazières Indice synthétique ISM (solde d'opinion des chefs d'entreprise, %) Expansion de l'activité Contraction de l'activité non manufacturier manufacturier Source : Institute for Supply Management Parallèlement, dans le secteur non manufacturier, l indice synthétique s est replié en mai 2015, retombant à son plus bas niveau depuis avril Il reste cependant supérieur à sa moyenne de longue période. Dans le détail, cette évolution recouvre : - un repli de la composante «production» et de la composante «emploi» ; - une baisse également de la composante «carnets de commandes totales», alors que la composante «carnets de commandes à l exportation» a nettement rebondi. MEDEF Actu-Eco semaine du 1 er au 5 juin

12 6. Tendances récentes des marchés : remontée des taux des obligations d Etat à 10 ans 1,2 Taux de rendement des obligations d'etat à 101,16 ans (%) 1,0 0,8 France 0,86 0,6 0,4 Allemagne 0,2 0,0 2,2 2,0 1,8 1,6 1,4 1,2 1,0 Taux de rendement des obligations d'etat à 10 ans (%) 2,18 2,10 Italie Espagne 1,15 1 euro =... dollar 1,13 1,11 1,09 1,07 1,05 1, Indice boursier CAC 40 (100 = 2008) Indice boursier Eurostoxx 50 (100 = 2008) Indice boursier Standard and Poor's(100 = 2008) MEDEF Actu-Eco semaine du 1 er au 5 juin

13 Cours des matières premières hors pétrole et métaux précieux (100 = 1988) Prix du baril de pétrole brut Mer du Nord (brent) 190 euros dollars 64, , euros dollars Cours des matières premières alimentaires (1988 = 100) dollars euros Cours des matières premières industrielles (1988=100) euros dollars 225 Cours des matières premières métaux communs (1988=100) euros dollars 1300 Cours de l'once d'or (en dollars) Contact : cdefleuriau@medef.fr Rédaction achevée le 4 juin 2015 MEDEF Actu-Eco semaine du 3 au 7 novembre 2014

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