Mesure et analyse de l étalement urbain en région Centre. Tranche conditionnelle 4

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1 Mesure et analyse de l étalement urbain en région Centre Tranche conditionnelle 4

2 Notion de l étalement urbain : L étalement urbain est l objet d une forte attention en raison de ses impacts, essentiellement négatifs, sur l agriculture, l environnement, le paysage et l Homme lui-même. Plusieurs approches et définitions en existent. Il a été décidé, dans cette étude, de définir l étalement urbain à partir de deux principaux critères (définition proche de celle de l Agence Européenne) : l extension des surfaces urbanisées, l efficacité foncière dans les nouveaux espaces urbanisés. Aucune source de données n est spécialement constituée pour mesurer les espaces urbanisés et leur évolution dans le temps dans une perspective d évaluation de l étalement urbain. Plusieurs sources sont donc utilisées ici en fonction de leur disponibilité. Bourgogne 0.056% Champagne-A 0.060% Bretagne Auvergne Pays 0.069% de la Loire Corse Nord-Pas-de-Calais 0.071% Franche-Com 0.071% Alsace Picardie Languedoc-Roussillon 0.084% Lorraine Île-de-France 0.084% Limousin Basse-Normandie 0.098% Haute-Norman Midi-Pyrénées 0.098% Poitou-Charen 0.100% Centre Provence-Alpe Rhône-Alpes 0.104% Aquitaine 0.112% Aquitaine Rhône-Alpes Provence-Alpes-Côte 0.113% d'azur Centre Poitou-Charentes 0.116% Midi-Pyrénées Haute-Normandie 0.116% Basse-Norma 0.123% Limousin Île-de-France 0.128% Lorraine Languedoc-Ro 0.139% Picardie Alsace Franche-Comté 0.140% Nord-Pas-de-C 0.153% Corse Pays de la Loi 0.154% Auvergne Bretagne Champagne-Ardenne 0.211% France Bourgogne 0.110% transformés afin d y permettre une utilisation urbaine (0.11% du territoire national). Ainsi, en dix ans, l équivalent d un département moyen, comme l Indre-et-Loire, est urbanisé % 0.050% 0.100% 0.150% 0.200% Part du territoire consommée chaque année en France métropolitaine (TERUTI, ) La région Centre, en fonction des différentes sources, consomme entre et hectares par an à des fins d urbanisation (0.11 % à 0.15 % de son territoire), soit environ la superficie de 3 communes moyennes! Elle fait ainsi partie des dix régions françaises les plus touchées par le phénomène de l étalement urbain. Environ cinq mille hectares urbanisés chaque année en région Centre : Une consommation foncière en forte progression: 0.00% 0.50% 1.00% 1.50% 2.00% 2.50% Croissance des surfaces urbanisées en France métropolitaine (TERUTI, ) 2 En France, selon la source de données TERU- TI, plus de hectares sont chaque année Corse Languedoc-Roussillon Bretagne Midi-Pyrénées Limousin Centre Pays de la Loire Basse-Normandie Provence-Alpes-Côte d'azur Rhône-Alpes Aquitaine Alsace Lorraine Poitou-Charentes Auvergne Champagne-Ardenne Franche-Comté Picardie Nord-Pas-de-Calais Bourgogne Haute-Normandie Île-de-France Actuellement, la région Centre voit ses surfaces urbanisées croître plus vite que la majorité des régions françaises, si cette dynamique reste stable les surfaces urbanisées de la région auront doublées en moins d une cinquantaine d années. D après la base de données SITA- DEL, environ ha. par an, ces dix dernières années, ont été consacrés à la construction de logements. La consommation de l espace liée au logement s est fortement accrue puisque elle a été multipliée par 1,5 entre les deux dernières décennies.

3 Contribution importante des bâtiments d activités et des voies de communications à l étalement urbain 1 Alors que la composition des espaces urbanisés est relativement similaire dans les différents espaces de la région, les espaces récemment urbanisés (2000 à 2005) se démarquent sensiblement : Les bâtiments d activités (industriels, commerciaux et agricoles) y occupent plus de la moitié de l espace bâti alors qu ils ne constituent qu un seul quart de l ensemble de l enveloppe urbanisée. En effet, l implantation des ces bâtiments, grands consommateurs de surface, ne peut se faire qu en périphérie des zones déjà bâties. A l inverse les bâtiments «indifférenciés» (principalement du logement) occupent deux fois moins de surface dans les espaces nouvellement urbanisés. Totalité espace urbanisé 1.16% 2.15% 10.38% 100% 80% 60% 40% 20% 0% Alors que les bâtiments d activités contribuent principalement à l étalement de la tache urbaine, les bâtiments voués au logement ont souvent la possibilité de se construire dans la tache urbaine existante ; il s agit ici de la densification du tissu urbain et non de son extension. Ainsi, près de 55 % des nouveaux bâtiments indifférenciés se construisent dans la tache urbaine existante, contre seulement 12.5 % pour les bâtiments d activités. La densification du tissu urbain est beaucoup plus marquée dans les zones les plus urbaines (45 % de la totalité des nouveaux bâtiments), alors que les plus mauvais élèves sont les territoires périurbains et les territoires ruraux (respectivement 28% et 26%). Pôles urbains Couronnes urbaines Espace à dominante rurale 22.82% 63.49% Bâti indifférencié Extension de la tache urbaine Tache urbaine existante Proportion (en surface) de bâtiments contruits dans la tache urbaine existante et dans son extension (BDTOPO, Loiret et Cher). Espace nouvellement urbanisé 0.47% 8.16% 21.26% 34.63% 35.48% Bâti industriel et commercial Installations agricoles Bâti remarquable Autres bâtiments Composition en bâtiments de l'espace urbanisé (BDTOPO, Loiret et Cher, ) La part des voies de communication dans l urbanisation totale est assez importante : près de 50 % des extensions de la tache urbaine sont liées au développement du réseau de communication. Ce poids est évidemment d autant plus important que les espaces récemment urbanisés sont faibles. La contribution des voies de communication aux surfaces urbanisées est donc plus forte dans les territoires ruraux. 1 Compte tenu de la disponibilité de la source utilisée pour cette analyse (BDTOPO), seuls les départements du Cher et du Loiret sont traités dans ces analyses. 3

4 Un fort développement de la consom- mation foncière liée au logement en dehors des pôles urbains alors que l efficacité foncière y est médiocre La consommation d espaces pour le logement est 4 fois plus intense dans les pôles urbains que dans l ensemble de la région (consommation annuelle de 0,15 % du territoire des pôles urbains pour moins de 0,04 % en moyenne dans la région). Elle touche notamment fortement les principales agglomérations régio- 4 nales que sont Tours, Orléans, Montargis, Bourges ainsi que les principales vallées et infrastructures de transport. Néanmoins, certains secteurs à dominante rurale sont plus particulièrement touchés : le cœur du triangle formé par les pôles de Tours, Blois et Romorantin-Lanthenay, l interface des pôles d Orléans, Montargis Pithiviers et Gien.

5 En revanche, la consommation foncière liée au logement n augmente pas dans les pôles urbains entre les deux dernières décennies alors qu elle est multipliée par 1,5 à 2 dans tous les autres types d espace. Or, c est dans les pôles urbains que l efficacité foncière du logement est la meilleure : la consommation foncière des logements individuels diffus est y moins élevée, quoiqu importante : environ 1000 m2 par logement dans les pôles urbains, mais près de 2000 dans le rural (hors pôles ruraux) ; les logements individuels y représentent moins de la moitié des logements construits entre 2000 et 2009 pour des proportions dépassant 80 %, voire 90 % dans les autres types d espace ; par suite, l efficacité foncière des résidences principales, c est-à-dire le nombre de m2 qu il a fallu artificialiser pour gagner une nouvelle résidence principale s y élève à environ 600 m2 par résidence principale dans les pôles urbains alors qu il est au moins deux fois plus élevé dans tous les autres types d espaces. Les trois cent communes les plus touchées par l étalement urbain résidentiel sont majoritairement situées à la périphérie des agglomérations En croisant des critères d intensité de la consommation foncière au bénéfice du logement et d efficacité foncière, l étude a identifié les quelque 300 communes les plus touchées par l étalement urbain ces 10 dernières années. Il ressort que ces communes sont majoritairement situées en dehors des pôles urbains, voire en dehors des aires urbaines, en fonction de l étendue de celle-ci et plus particulièrement à l interface des principales agglomérations. Echantillon des communes les plus concernées par l étalement urbain, selon le zonage en aires urbaines et espaces ruraux. 5

6 Des impacts sociaux et urbains plus sévères dans les espaces ruraux : Dans les grandes agglomérations, bien que la consommation foncière soit importante en proportion du territoire, les nouveaux espaces urbanisés restent modérés si on les rapporte aux espaces déjà urbanisés et se traduisent donc par des impacts plus faibles, tant en termes d image et de paysage que de fonctionnement urbain et besoins en équipement. Au contraire, les zones périurbaines ainsi que certains espaces ruraux touchés par l étalement urbain peuvent voir leurs surfaces urbanisées croître très fortement ; pour exemple, entre 2000 et 2005, soit en 5 ans, certaines communes rurales ou périurbaines (Cercottes, La Chapelle-Saint-Ursin) voient leur emprise urbaine augmenter de 15 à 40 % (BDTOPO). Les impacts paysagers sont par ailleurs d autant plus faibles dans les pôles urbains que les nouvelles extensions urbaines s y concentrent à la périphérie immédiate des zones déjà artificialisées. En outre, le niveau de service à la population (commerces, équipements et services) est sans commune mesure dans les pôles urbains à celui du reste du territoire. Les communes des pôles urbains proposent ainsi en moyenne environ 280 services et commerces à leurs habitants. Ce chiffre tombe à 100 environ dans les pôles d emploi ruraux et est inférieur à 20 dans tous les autres types d espaces (y compris le périurbain). Les quelque 300 communes qui ont été identifiées comme les plus concernées par l étalement urbain en région Centre ces 10 dernières années proposent en moyenne moins de 30 services, soit un niveau particuliè- Evolution des surfaces urbanisées de la commune de Cercottes (Loiret) entre 2001 et 2006 (BDTOPO). 6

7 rement médiocre au regard de celui des pôles urbains. Enfin, l analyse des catégories socioprofessionnelles montre que, parmi les nouveaux habitants des communes, les ouvriers ont tendance à être surreprésentés dans des communes éloignées des centres des agglomérations, où les prix de l immobilier sont moins élevés, en proportions inverses de celles des cadres, confirmant s il en était besoin un phénomène d éviction des centres urbains. Les catégories sociales les moins favorisées subissent ainsi un cumul de peines : éloignement du lieu de travail mais aussi moindre accès aux services, commerces et équipements, auxquels on pourrait ajouter, même si cela n était pas l objet de l étude, coût des transports (et risque financier tant il est montré que ces coûts sont mal anticipés par les ménages), compression du temps familial et social, fort risque patrimonial, moindre accès aux zones d emploi en cas de perte d emploi, etc. L étalement urbain : extension des zones artificialisées existantes sur des terres majoritairement agricoles, notamment en secteur rural : D une manière assez générale, la progression des terres artificialisées se fait principalement au détriment des terres agricoles (72 à 95 % selon les bases utilisées). Ce phénomène est logiquement plus marqué dans les départements à forte activité agricole (Eure-et-Loir ou Loiret). Dans les zones sous une forte influence urbaine, il apparaît que la quasi-totalité des nouvelles surfaces constitue le prolongement d une ou plusieurs taches urbaines existantes (99.5 %). Dans l espace à dominante rurale, cette valeur est légèrement plus faible (93.7%). Ainsi, les terres consommées par ces nouvelles surfaces urbanisées se situent majoritairement en continuité des villes et des bourgs existants. Or, historiquement, les villes et villages se sont développés sur les terres les plus fertiles dont l urbanisation récente poursuit la consommation à un rythme accéléré. Elle se traduit, à une échelle plus importante,. Par une intensification de la production agricole notamment par une plus forte proportion d intrants dans les zones moins fertiles. Ces terres fertiles, dont le prix augmente, génèrent également des comportements spéculatifs. Des terrains périurbains peuvent rester en friche dans l attente d un changement de nature et d une opportunité de vente au prix fort. Même si une proportion plus faible d espaces naturels est consommée par l étalement urbain, les impacts concernent non seulement les sols mais aussi l eau, en particulier par l imperméabilisation. Les sols artificialisés amplifient les phénomènes de ruissellement et donc perturbent le régime des eaux et affecte fortement leur qualité. Le recul des espaces naturels lié à la progression de l artificialisation s accompagne également d une fragmentation des milieux naturels, considérée par beaucoup d auteurs comme une des causes majeures de l érosion de la biodiversité (Fahrig 2003 ; Julliard et al ; Hanski 2005). L étalement urbain en région Centre: La région Centre n est pas épargnée par l étalement urbain, elle se trouve même dans les dix régions les plus touchées par le phénomène. Ce dernier est plus grave dans les régions périurbaines et certaines zones rurales ; qui subissent de profonds changements d identité. Même si le phénomène semble progresser lentement (+ 0.15% de territoire consommé chaque année), la dynamique va en s accélérant et les impacts causés par l artificialisation des sols sont quasiment irréversibles. 7

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