Mesure et analyse de l étalement urbain en région Centre. Tranche conditionnelle 4
|
|
- Paul Dupont
- il y a 5 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Mesure et analyse de l étalement urbain en région Centre Tranche conditionnelle 4
2 Notion de l étalement urbain : L étalement urbain est l objet d une forte attention en raison de ses impacts, essentiellement négatifs, sur l agriculture, l environnement, le paysage et l Homme lui-même. Plusieurs approches et définitions en existent. Il a été décidé, dans cette étude, de définir l étalement urbain à partir de deux principaux critères (définition proche de celle de l Agence Européenne) : l extension des surfaces urbanisées, l efficacité foncière dans les nouveaux espaces urbanisés. Aucune source de données n est spécialement constituée pour mesurer les espaces urbanisés et leur évolution dans le temps dans une perspective d évaluation de l étalement urbain. Plusieurs sources sont donc utilisées ici en fonction de leur disponibilité. Bourgogne 0.056% Champagne-A 0.060% Bretagne Auvergne Pays 0.069% de la Loire Corse Nord-Pas-de-Calais 0.071% Franche-Com 0.071% Alsace Picardie Languedoc-Roussillon 0.084% Lorraine Île-de-France 0.084% Limousin Basse-Normandie 0.098% Haute-Norman Midi-Pyrénées 0.098% Poitou-Charen 0.100% Centre Provence-Alpe Rhône-Alpes 0.104% Aquitaine 0.112% Aquitaine Rhône-Alpes Provence-Alpes-Côte 0.113% d'azur Centre Poitou-Charentes 0.116% Midi-Pyrénées Haute-Normandie 0.116% Basse-Norma 0.123% Limousin Île-de-France 0.128% Lorraine Languedoc-Ro 0.139% Picardie Alsace Franche-Comté 0.140% Nord-Pas-de-C 0.153% Corse Pays de la Loi 0.154% Auvergne Bretagne Champagne-Ardenne 0.211% France Bourgogne 0.110% transformés afin d y permettre une utilisation urbaine (0.11% du territoire national). Ainsi, en dix ans, l équivalent d un département moyen, comme l Indre-et-Loire, est urbanisé % 0.050% 0.100% 0.150% 0.200% Part du territoire consommée chaque année en France métropolitaine (TERUTI, ) La région Centre, en fonction des différentes sources, consomme entre et hectares par an à des fins d urbanisation (0.11 % à 0.15 % de son territoire), soit environ la superficie de 3 communes moyennes! Elle fait ainsi partie des dix régions françaises les plus touchées par le phénomène de l étalement urbain. Environ cinq mille hectares urbanisés chaque année en région Centre : Une consommation foncière en forte progression: 0.00% 0.50% 1.00% 1.50% 2.00% 2.50% Croissance des surfaces urbanisées en France métropolitaine (TERUTI, ) 2 En France, selon la source de données TERU- TI, plus de hectares sont chaque année Corse Languedoc-Roussillon Bretagne Midi-Pyrénées Limousin Centre Pays de la Loire Basse-Normandie Provence-Alpes-Côte d'azur Rhône-Alpes Aquitaine Alsace Lorraine Poitou-Charentes Auvergne Champagne-Ardenne Franche-Comté Picardie Nord-Pas-de-Calais Bourgogne Haute-Normandie Île-de-France Actuellement, la région Centre voit ses surfaces urbanisées croître plus vite que la majorité des régions françaises, si cette dynamique reste stable les surfaces urbanisées de la région auront doublées en moins d une cinquantaine d années. D après la base de données SITA- DEL, environ ha. par an, ces dix dernières années, ont été consacrés à la construction de logements. La consommation de l espace liée au logement s est fortement accrue puisque elle a été multipliée par 1,5 entre les deux dernières décennies.
3 Contribution importante des bâtiments d activités et des voies de communications à l étalement urbain 1 Alors que la composition des espaces urbanisés est relativement similaire dans les différents espaces de la région, les espaces récemment urbanisés (2000 à 2005) se démarquent sensiblement : Les bâtiments d activités (industriels, commerciaux et agricoles) y occupent plus de la moitié de l espace bâti alors qu ils ne constituent qu un seul quart de l ensemble de l enveloppe urbanisée. En effet, l implantation des ces bâtiments, grands consommateurs de surface, ne peut se faire qu en périphérie des zones déjà bâties. A l inverse les bâtiments «indifférenciés» (principalement du logement) occupent deux fois moins de surface dans les espaces nouvellement urbanisés. Totalité espace urbanisé 1.16% 2.15% 10.38% 100% 80% 60% 40% 20% 0% Alors que les bâtiments d activités contribuent principalement à l étalement de la tache urbaine, les bâtiments voués au logement ont souvent la possibilité de se construire dans la tache urbaine existante ; il s agit ici de la densification du tissu urbain et non de son extension. Ainsi, près de 55 % des nouveaux bâtiments indifférenciés se construisent dans la tache urbaine existante, contre seulement 12.5 % pour les bâtiments d activités. La densification du tissu urbain est beaucoup plus marquée dans les zones les plus urbaines (45 % de la totalité des nouveaux bâtiments), alors que les plus mauvais élèves sont les territoires périurbains et les territoires ruraux (respectivement 28% et 26%). Pôles urbains Couronnes urbaines Espace à dominante rurale 22.82% 63.49% Bâti indifférencié Extension de la tache urbaine Tache urbaine existante Proportion (en surface) de bâtiments contruits dans la tache urbaine existante et dans son extension (BDTOPO, Loiret et Cher). Espace nouvellement urbanisé 0.47% 8.16% 21.26% 34.63% 35.48% Bâti industriel et commercial Installations agricoles Bâti remarquable Autres bâtiments Composition en bâtiments de l'espace urbanisé (BDTOPO, Loiret et Cher, ) La part des voies de communication dans l urbanisation totale est assez importante : près de 50 % des extensions de la tache urbaine sont liées au développement du réseau de communication. Ce poids est évidemment d autant plus important que les espaces récemment urbanisés sont faibles. La contribution des voies de communication aux surfaces urbanisées est donc plus forte dans les territoires ruraux. 1 Compte tenu de la disponibilité de la source utilisée pour cette analyse (BDTOPO), seuls les départements du Cher et du Loiret sont traités dans ces analyses. 3
4 Un fort développement de la consom- mation foncière liée au logement en dehors des pôles urbains alors que l efficacité foncière y est médiocre La consommation d espaces pour le logement est 4 fois plus intense dans les pôles urbains que dans l ensemble de la région (consommation annuelle de 0,15 % du territoire des pôles urbains pour moins de 0,04 % en moyenne dans la région). Elle touche notamment fortement les principales agglomérations régio- 4 nales que sont Tours, Orléans, Montargis, Bourges ainsi que les principales vallées et infrastructures de transport. Néanmoins, certains secteurs à dominante rurale sont plus particulièrement touchés : le cœur du triangle formé par les pôles de Tours, Blois et Romorantin-Lanthenay, l interface des pôles d Orléans, Montargis Pithiviers et Gien.
5 En revanche, la consommation foncière liée au logement n augmente pas dans les pôles urbains entre les deux dernières décennies alors qu elle est multipliée par 1,5 à 2 dans tous les autres types d espace. Or, c est dans les pôles urbains que l efficacité foncière du logement est la meilleure : la consommation foncière des logements individuels diffus est y moins élevée, quoiqu importante : environ 1000 m2 par logement dans les pôles urbains, mais près de 2000 dans le rural (hors pôles ruraux) ; les logements individuels y représentent moins de la moitié des logements construits entre 2000 et 2009 pour des proportions dépassant 80 %, voire 90 % dans les autres types d espace ; par suite, l efficacité foncière des résidences principales, c est-à-dire le nombre de m2 qu il a fallu artificialiser pour gagner une nouvelle résidence principale s y élève à environ 600 m2 par résidence principale dans les pôles urbains alors qu il est au moins deux fois plus élevé dans tous les autres types d espaces. Les trois cent communes les plus touchées par l étalement urbain résidentiel sont majoritairement situées à la périphérie des agglomérations En croisant des critères d intensité de la consommation foncière au bénéfice du logement et d efficacité foncière, l étude a identifié les quelque 300 communes les plus touchées par l étalement urbain ces 10 dernières années. Il ressort que ces communes sont majoritairement situées en dehors des pôles urbains, voire en dehors des aires urbaines, en fonction de l étendue de celle-ci et plus particulièrement à l interface des principales agglomérations. Echantillon des communes les plus concernées par l étalement urbain, selon le zonage en aires urbaines et espaces ruraux. 5
6 Des impacts sociaux et urbains plus sévères dans les espaces ruraux : Dans les grandes agglomérations, bien que la consommation foncière soit importante en proportion du territoire, les nouveaux espaces urbanisés restent modérés si on les rapporte aux espaces déjà urbanisés et se traduisent donc par des impacts plus faibles, tant en termes d image et de paysage que de fonctionnement urbain et besoins en équipement. Au contraire, les zones périurbaines ainsi que certains espaces ruraux touchés par l étalement urbain peuvent voir leurs surfaces urbanisées croître très fortement ; pour exemple, entre 2000 et 2005, soit en 5 ans, certaines communes rurales ou périurbaines (Cercottes, La Chapelle-Saint-Ursin) voient leur emprise urbaine augmenter de 15 à 40 % (BDTOPO). Les impacts paysagers sont par ailleurs d autant plus faibles dans les pôles urbains que les nouvelles extensions urbaines s y concentrent à la périphérie immédiate des zones déjà artificialisées. En outre, le niveau de service à la population (commerces, équipements et services) est sans commune mesure dans les pôles urbains à celui du reste du territoire. Les communes des pôles urbains proposent ainsi en moyenne environ 280 services et commerces à leurs habitants. Ce chiffre tombe à 100 environ dans les pôles d emploi ruraux et est inférieur à 20 dans tous les autres types d espaces (y compris le périurbain). Les quelque 300 communes qui ont été identifiées comme les plus concernées par l étalement urbain en région Centre ces 10 dernières années proposent en moyenne moins de 30 services, soit un niveau particuliè- Evolution des surfaces urbanisées de la commune de Cercottes (Loiret) entre 2001 et 2006 (BDTOPO). 6
7 rement médiocre au regard de celui des pôles urbains. Enfin, l analyse des catégories socioprofessionnelles montre que, parmi les nouveaux habitants des communes, les ouvriers ont tendance à être surreprésentés dans des communes éloignées des centres des agglomérations, où les prix de l immobilier sont moins élevés, en proportions inverses de celles des cadres, confirmant s il en était besoin un phénomène d éviction des centres urbains. Les catégories sociales les moins favorisées subissent ainsi un cumul de peines : éloignement du lieu de travail mais aussi moindre accès aux services, commerces et équipements, auxquels on pourrait ajouter, même si cela n était pas l objet de l étude, coût des transports (et risque financier tant il est montré que ces coûts sont mal anticipés par les ménages), compression du temps familial et social, fort risque patrimonial, moindre accès aux zones d emploi en cas de perte d emploi, etc. L étalement urbain : extension des zones artificialisées existantes sur des terres majoritairement agricoles, notamment en secteur rural : D une manière assez générale, la progression des terres artificialisées se fait principalement au détriment des terres agricoles (72 à 95 % selon les bases utilisées). Ce phénomène est logiquement plus marqué dans les départements à forte activité agricole (Eure-et-Loir ou Loiret). Dans les zones sous une forte influence urbaine, il apparaît que la quasi-totalité des nouvelles surfaces constitue le prolongement d une ou plusieurs taches urbaines existantes (99.5 %). Dans l espace à dominante rurale, cette valeur est légèrement plus faible (93.7%). Ainsi, les terres consommées par ces nouvelles surfaces urbanisées se situent majoritairement en continuité des villes et des bourgs existants. Or, historiquement, les villes et villages se sont développés sur les terres les plus fertiles dont l urbanisation récente poursuit la consommation à un rythme accéléré. Elle se traduit, à une échelle plus importante,. Par une intensification de la production agricole notamment par une plus forte proportion d intrants dans les zones moins fertiles. Ces terres fertiles, dont le prix augmente, génèrent également des comportements spéculatifs. Des terrains périurbains peuvent rester en friche dans l attente d un changement de nature et d une opportunité de vente au prix fort. Même si une proportion plus faible d espaces naturels est consommée par l étalement urbain, les impacts concernent non seulement les sols mais aussi l eau, en particulier par l imperméabilisation. Les sols artificialisés amplifient les phénomènes de ruissellement et donc perturbent le régime des eaux et affecte fortement leur qualité. Le recul des espaces naturels lié à la progression de l artificialisation s accompagne également d une fragmentation des milieux naturels, considérée par beaucoup d auteurs comme une des causes majeures de l érosion de la biodiversité (Fahrig 2003 ; Julliard et al ; Hanski 2005). L étalement urbain en région Centre: La région Centre n est pas épargnée par l étalement urbain, elle se trouve même dans les dix régions les plus touchées par le phénomène. Ce dernier est plus grave dans les régions périurbaines et certaines zones rurales ; qui subissent de profonds changements d identité. Même si le phénomène semble progresser lentement (+ 0.15% de territoire consommé chaque année), la dynamique va en s accélérant et les impacts causés par l artificialisation des sols sont quasiment irréversibles. 7
Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE
Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat PRESENTATION GENERALE Le Fonds spécial des pensions des ouvriers des établissements industriels de l Etat (FSPOEIE) constitue
Plus en détailBILANS REGIONAUX DE L EMPLOI
BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI DANS L ECONOMIE SOCIALE EN 2013 Cécile BAZIN Marie DUROS Amadou BA Jacques MALET Octobre 2014 INTRODUCTION Pour la septième année consécutive, l Association des Régions de
Plus en détailETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE. Atelier de 14h30 16h00
ETAT DES LIEUX DE LA FORMATION INITIALE EN METALLERIE Atelier de 14h30 16h00 Objectifs Identifier les zones en difficultés afin d éviter des fermetures De maintenir des effectifs suffisants dans les CFA
Plus en détailISF et intermédiation : Collecte 2009
ISF et intermédiation : Collecte 2009 juillet 2009 1 Contexte et méthodologie Contexte: L AFIC et l AFG ont conduit une enquête pour suivre l impact des mesures dites «ISF PME», et en particulier, pour
Plus en détailPrésentation du Programme PHARE. Direction générale de l offre de soins - DGOS
Présentation du Programme PHARE Les achats hospitaliers, levier majeur de performance pour les établissements Achats hospitaliers : 18 Milliards d euros en 2009 Non médicaux 42% Achats Hospitaliers Médicaux
Plus en détailEvolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR
Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR Vanina BOUSQUET InVS St MAURICE 20 Mai 2014 Journée plénière de la FEDORU SOMMAIRE Etat des lieux des remontée de RPU Etat des lieux des structures régionales
Plus en détailBovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013. Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4
Bovins viande Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013 Chif Régions Nbre de Nbre de Nbre de troupeaux troupeaux troupeaux adhérents adhérents suivis en en VA4 en VA0 engraissement Nbre de troupeaux
Plus en détailLa Caisse d Epargne, acteur de référence du capital investissement en région. - Juillet 2010 -
La Caisse d Epargne, acteur de référence du capital investissement en région - Juillet 2010 - Votre besoin en Capital Vous êtes dirigeant (ou futur dirigeant) d entreprise et vous souhaitez : Créer ou
Plus en détailObservatoire de l Eolien
Observatoire de l Eolien Analyse du marché et des emplois éoliens en France Colloque France Energie Eolienne 2 octobre 2014 Editorial France Energie Eolienne, porte-parole de l éolien, regroupe les professionnels
Plus en détail21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com. C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5
21 ème Observatoire des Taux meilleurtaux.com C O N F É R E N C E D E P R E S S E 3 f é v r i e r 2 0 1 5 I TAUX AU PLUS BAS : et si ça continuait? II RENEGOCIATION DE CREDITS : les règles du jeu changent
Plus en détailBienvenue à Loire-Centre. Présentation de La Caisse d Epargne Loire-Centre
Bienvenue à Loire-Centre Présentation de La Caisse d Epargne Loire-Centre Présentation Le Groupe BPCE 2 Un groupe puissant et solide Les groupes Banque Populaire et Caisse d Epargne se sont unis pour créer
Plus en détailENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires
ENQUETE DE BRANCHE Prothésistes dentaires Données 2012 Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47 20 30 33 http://www.iplusc.com Octobre 2013 1/52 UNIVERS ETUDIE ET RAPPELS METHODOLOGIQUES
Plus en détailLe marché des logiciels en France Perspectives d évolution pour le channel
Le marché des logiciels en France Perspectives d évolution pour le channel Le nouveau paradigme de l IT IDC Visit us at IDC.com and follow us on Twitter: @IDC 2 L arrivée de nouvelles technologies insuffle
Plus en détailBilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011. Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie
Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011 Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie Préambule : Les Groupes d Entraide Mutuelle (GEM), régis par les articles L. 114-1-1 et
Plus en détailLes enjeux du quotidien
Les enjeux du quotidien LES FRANCAIS ET LES JEUX D ARGENT EN LIGNE Sondage réalisé pour : La Presse quotidienne Nationale, Régionale, Urbaine Gratuite et la Presse Hebdomadaire Régionale ATTENTION EMBARGO
Plus en détailTARIFICATION BANCAIRE :
TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux Vivre Votre Argent 25 janvier 2013 Pour ce palmarès 2013, la CLCV et Mieux Vivre Votre Argent ont passé en revue les tarifs applicables au 1er février
Plus en détailQuelles sont les banques de détail françaises les plus performantes? 110 établissements à la loupe. Octobre 2013
Quelles sont les banques de détail françaises les plus performantes? 110 établissements à la loupe. Octobre 2013 Sommaire Le Top 15.... 3 Les évolutions récentes... 7 Evolution du PNB... 12 Les résultats
Plus en détailRéseau CAI Bpifrance L EQUIPE DES CHARGES D AFFAIRES INTERNATIONAUX UBIFRANCE
L EQUIPE DES CHARGES D AFFAIRES INTERNATIONAUX UBIFRANCE [Mise à jour : 10 mai 2014] 1 L équipe Siège UBIFRANCE Paris Michel Bauza Chef de Département UBIFRANCE siège, Paris Téléphone fixe 01 40 73 35
Plus en détailBaromètre Ventes et cessions de commerces et d industries en France du 1er janvier 2008 au 31 décembre 2010
Baromètre Ventes et cessions de commerces et d industries en France du 1er janvier 2008 au 31 décembre 2010 Opportunités de croissance ou créations d entreprise, plus de 44 000 commerces ou industries
Plus en détailEVOLUTION SPATIO-TEMPORELLE DE L OCCUPATION DES ESPACES SUR LE TRIANGLE MARNAIS
EVOLUTION SPATIO-TEMPORELLE DE L OCCUPATION DES ESPACES SUR LE TRIANGLE MARNAIS MARTIN S. *, DELAHAYE F. ** Bureau d études E3C 2 rue Léon Patoux CS 50001 51664 REIMS CEDEX * Mr Stéphane MARTIN, Directeur
Plus en détailLES INSUFFISANCES EN MATIERE D EQUIPEMENTS D IMAGERIE MEDICALE EN FRANCE : ETUDE SUR LES DELAIS D ATTENTE POUR UN RENDEZ-VOUS IRM EN 2013
LES INSUFFISANCES EN MATIERE D EQUIPEMENTS D IMAGERIE MEDICALE EN FRANCE : ETUDE SUR LES DELAIS D ATTENTE POUR UN RENDEZ-VOUS IRM EN 2013 Étude réalisée pour Imagerie Santé Avenir 2013 CEMKA-E VAL 43,
Plus en détailLes prélèvements d eau en France en 2009 et leurs évolutions depuis dix ans
COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 29 Février 212 Les prélèvements d eau en France en 29 et leurs évolutions depuis dix ans OBSERVATION ET STATISTIQUES ENVIRONNEMENT En 29, 33,4 milliards
Plus en détailLES MASTERS 2 DANS LE DOMAINE DES STAPS EN FRANCE 2012/2013 NORD-PAS-DE-CALAIS. Université Lille 2
LES MASTERS 2 DANS LE DOMAINE DES STAPS EN FRANCE 2012/2013 NORD-PAS-DE-CALAIS Université Lille 2 Master STAPS «Grand Nord» - Entraînement et Optimisation de la Performance Sportive _ option Préparations
Plus en détailTARIFICATION BANCAIRE 15 janvier 2015 L ENQUETE ANNUELLE
TARIFICATION BANCAIRE 15 janvier 2015 L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux Vivre Votre Pour ce palmarès 2015, 140 banques de métropole et d outre-mer ont été passées à la loupe. Les tarifs analysés? Ceux en
Plus en détailListe des référents AERAS des établissements de crédit Version du 10 juillet 2013
12/07/2013 1 Liste des référents AERAS des établissements de crédit Version du 10 juillet 2013 AXA BANQUE 01 55 12 83 67/82 68 BAIL ENTREPRISES 02 98 34 43 37 BANCO BPI - Succursale France 01 44 50 33
Plus en détailLa preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013
La preuve par Principaux enseignements du bilan des PRT et du recensement des projets télémédecine 2013 Le recensement Télémédecine 2013 01 Synthèse du recensement Télémédecine 2013 02 Répartition et maturité
Plus en détailListe des référents AERAS des établissements de crédit Mise à jour au 28 août 2015
02/09/2015 1 Liste des référents AERAS des établissements de crédit Mise à jour au 28 août 2015 AXA BANQUE 01 55 12 83 67/82 68 BAIL ENTREPRISES 02 98 34 43 37 BANCO BPI - Succursale France 01 44 50 33
Plus en détailTARIFICATION BANCAIRE :
TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux vivre votre argent 27 janvier 2012 Pour ce palmarès 2012, la CLCV et Mieux vivre votre argent ont passé en revue les tarifs applicables au 1er février
Plus en détailInformatisation des données transfusionnelles
Informatisation des données transfusionnelles Dr Marie-France Angelini Tibert Coordonnateure régionale d hémovigilance Réunion - Mayotte Objectifs Optimiser et sécuriser les circuits Optimiser et sécuriser
Plus en détailRapport d activité. Rhône-Alpes Active Une finance solidaire au service de l emploi et des territoires
Rapport d activité 2014 Une finance solidaire au service de l emploi et des territoires EN En 2014 3 668 emplois créés ou consolidés 907 projets accompagnés et 20,9 M mobilisés en Jean Jacques Martin Président
Plus en détail5 Avril 2013. Evolution de la construction neuve dans l espace Rhône Avignon Vaucluse AURAV LES PUBLICATIONS DE L AGENCE
LES PUBLICATIONS DE L AGENCE Evolution de la construction neuve dans l espace Rhône-Avignon-Vaucluse La n de l «âge d or» de la maison individuelle? aurav agence d'urbanisme Rhône Avignon Vaucluse 5 Avril
Plus en détailMICROCREDIT CCOMPAGNEMENT RAPPORT D ACTIVITÉ SOCIAL
ÉDUCATION FORMATION UDGET INSERTION ORMATION MICROCREDIT CCOMPAGNEMENT RAPPORT D ACTIVITÉ 2012 EDUCATION INSERTION SOCIAL MESSAGE DE LA PRÉSIDENTE Florence RAINEIX Directrice générale de la Fédération
Plus en détailArtiscope. Les chiffres clés de l emploi dans l Artisanat en Région Centre Au 31 décembre 2013 (2ème Semestre 2013 - Année 2013)
Observatoire des Métiers et de l Artisanat Région Centre Juin 214 Artiscope Les chiffres clés de l emploi dans l Artisanat en Région Centre Au 31 décembre 213 (2ème Semestre 213 - Année 213) La révision
Plus en détail"La santé des étudiants en 2009"
Dossier de Presse "La santé des étudiants en 2009" 6ème Enquête Nationale Communiqué de presse. p 2 L USEM et les mutuelles étudiantes régionales.......... p 4 Présentation de l enquête santé... p 5 Méthodologie
Plus en détailq u estions santé d économie de la analyse Repères Les primes des contrats individuels des couvertures complémentaires en 1998
Bulletin d information en économie de la santée q u estions d économie de la santé analyse Repères Depuis plusieurs années, l IRDES étudie le marché de la couverture complémentaire et a élaboré, en 1998,
Plus en détailPour renforcer la politique foncière d aménagement rural et d installations agricoles : le partenariat Région Safer
Pour renforcer la politique foncière d aménagement rural et d installations agricoles : le partenariat Région Safer Ce document est issu d une concertation entre la Fédération Nationale des Sociétés d
Plus en détailLes exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures?
Les exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures? Benoît Pagès 1, Valérie Leveau 1 1 ARVALIS Institut du
Plus en détailla création d entreprise en nord-pas de calais
Nord-Pas de Calais N 184 SEPTEMBRE 2014 la création d entreprise en nord-pas de calais Près de 24 000 créations d entreprise en 2013 en Nord-Pas de Calais En 2013, les créations ont légèrement baissé en
Plus en détail30 concours de saut d obstacles Pro sont filmés et diffusés en direct. Ils servent de support aux paris sportifs en ligne.
Un nouveau circuit de saut d obstacles Au format très télévisuel Support de paris sportifs en ligne 30 concours de saut d obstacles Pro sont filmés et diffusés en direct. Ils servent de support aux paris
Plus en détailPlus de 600 associations 30 000 membres adultes 1100 jeunes, 1500 scolaires
Plus de 600 associations 30 000 membres adultes 1100 jeunes, 1500 scolaires I / Ile de France Gaphil II / Nord-Pas de Calais IIA / Picardie III/ Champagne Ardenne IV / Lorraine VI / Alsace Belfort VII
Plus en détailAssurances de biens et de responsabilité. Etude Mars 2014
Assurances de biens et de responsabilité Etude Mars 2014 Tempêtes, grêle et neige : Résultats de l année 2012 Ce document est la propriété exclusive de la FFSA et du GEMA et est protégé par le droit d'auteur.
Plus en détailENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité
Observatoire des Métiers de la Prévention et de la Sécurité ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité Données 2013 Version définitive Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47
Plus en détailSITUATIONS CONTRASTÉES POUR LES ENTREPRISES LORS DU PASSAGE AUX ALLÉGEMENTS DE LA LOI FILLON
ACO S S STA T SITUATIONS CONTRASTÉES POUR LES ENTREPRISES LORS DU PASSAGE AUX ALLÉGEMENTS DE LA LOI FILLON N - JANVIER 5 Le 1er juillet 3, une réduction unique des cotisations patronales de Sécurité sociale
Plus en détailIdentification : ERDF-NOI-RAC-02E Version : V.3.0 Nombre de pages :14
3. ACCES RACCORDEMENT D Identification : -NOI-RAC-02E Version : V.3.0 Nombre de pages :14 Version Date Nature de la modification Annule et remplace V.1.0 17/10/2013 Version initiale -NOI-RAC-02E V.2.7
Plus en détailListe des centres du sommeil homologués par la Société Française de Recherche et Médecine du Sommeil
Liste des centres du sommeil homologués par la Société Française de Recherche et Médecine du Sommeil Cette liste n est pas exhaustive. Le classement est effectué par ordre alphabétique de région (Alsace,
Plus en détailDéveloppement des compétences, construction des parcours, prévention de la pénibilité et de l usure professionnelle, égalité professionnelle,
Des secteurs professionnels et des territoires investis sur les conditions de travail et la qualité de vie au travail L Serge DELTOR Directeur de l ARACT LR Délégué régional de l ANACT Aider les secteurs
Plus en détailACTION 1 L utilisation des chevaux de trait pour les travaux communaux. Rapport d étude 3
ACTION 1 L utilisation des chevaux de trait pour les travaux communaux Rapport d étude 3 LES DIFFERENTES UTILISATIONS DU CHEVAL DE TRAIT DANS LES COMMUNES FRANÇAISES Le cheval apparait aujourd hui comme
Plus en détailForm. tion. Magazine. spécial emploi. Le magazine de la formation de la chambre régionale de métiers et de l'artisanat de haute-normandie
Form tion Magazine Le magazine de la formation de la chambre régionale de métiers et de l'artisanat de haute-normandie spécial emploi Région Haute-Normandie Édito P 3 P 4 P 6 P 7 P 8 P 10 P 11 Engagé dans
Plus en détailTARIFICATION BANCAIRE :
TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE CLCV - Mieux Vivre Votre Argent 30 janvier 2009 Des packages plus chers que les services à la carte dans plus de 50 % des banques, des prix globalement à la baisse
Plus en détailProtocole concernant l organisation des élections des délégués territoriaux au sein d Harmonie Mutuelle prévues au cours du 1er trimestre 2013
Protocole concernant l organisation des élections des délégués territoriaux au sein d Harmonie Mutuelle prévues au cours du 1er trimestre 2013 Harmonie Mutuelle, mutuelle soumise aux dispositions du livre
Plus en détailMédiation des relations inter-entreprises industrielles et de la sous-traitance
Médiation des relations inter-entreprises industrielles et de la sous-traitance Septembre 2010 1 SOMMAIRE 1. Présentation de la Médiation des relations inter-entreprises industrielles et de la soustraitance
Plus en détailLa Population des Exploitants agricoles en 2011
Direction des Etudes des Répertoires et des Statistiques Etude juin 2012 La Population des Exploitants agricoles en 2011 www.msa.fr JUIN 2012 LA POPULATION DES EXPLOITANTS AGRICOLES EN 2011 DIRECTION DES
Plus en détail1985 / 2009 : 25 ANS DE CONCOURS DU CREDIT-BAIL AU FINANCEMENT DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE
1985 / 2009 : 25 ANS DE CONCOURS DU CREDIT-BAIL AU FINANCEMENT DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE 2 1985 / 2009 : 25 ans de concours du crédit-bail au financement de l d entreprise* 1.Introduction : le crédit-bail,
Plus en détaill EmPloi CAdrE : une répartition très inégale sur le territoire
l EmPloi CAdrE : une répartition très inégale sur le territoire Les études de L emploi cadre n 2015-32 mars 2015 Cadres du privé et zones d emploi : une forte concentration. Les places fortes de l emploi
Plus en détailINSTRUCTION. N 11-002-D61 du 12 janvier 2011 NOR : BCR Z 11 00002 J
INSTRUCTION N 11-002-D61 du 12 janvier 2011 NOR : BCR Z 11 00002 J VERSEMENT AU PROFIT DE L'ÉTAT DES SOMMES DÉPOSÉES SUR DES PRODUITS D'ÉPARGNE RÉGLEMENTÉE ATTEINTES PAR LA PRESCRIPTION TRENTENAIRE ANALYSE
Plus en détailMutualité Fonction Publique 62 Rue Jeanne d Arc 75640 PARIS Cedex 13
62 Rue Jeanne d Arc 75640 PARIS Cedex 13 DIRECTION DE LA SANTE Département Relations avec les Professionnels de Santé Dossier suivi par : Monique LEFRANCOIS Réf. : 19/2005/ML/MPD Paris, le 22 décembre
Plus en détailENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité
Observatoire des Métiers de la Prévention et de la Sécurité ENQUÊTE DE BRANCHE Prévention - Sécurité Données 2012 Institut I+C 11 rue Christophe Colomb - 75008 Paris Tél.: 33 (0)1 47 20 30 33 http://www.iplusc.com
Plus en détailDOSSIER D'ADHESION BOURSE DES DEMENAGEMENTS http://votre-devis-demenagement.fr
COORDONNEES DE VOTRE SOCIETE DOSSIER D'ADHESION BOURSE DES DEMENAGEMENTS http://votre-devis-demenagement.fr Dossier d'adhésion à compléter et à retourner à : SAS La Bourse des Déménagements - 23-25 rue
Plus en détailrapport de l observatoire des TArifs bancaires
2013 rapport de l observatoire des TArifs bancaires 2013 rapport de l observatoire des tarifs bancaires Préambule La loi de régulation bancaire et financière du 22 octobre 2010 a confié au Comité consultatif
Plus en détailConstruction de logements
COMMISSARIAT GénéRAl au développement durable n 640 Mai 2015 Construction de logements Résultats à fin avril 2015 (France entière) OBSERVATION ET STATISTIQueS logement - CONSTRuCTION Rappel À compter des
Plus en détailLa mobilité. Au service des Outre-mer
La mobilité Au service des Outre-mer L Agence de l Outre-mer pour la Mobilité (LADOM) est une agence d Etat au service des originaires et résidents des collectivités d outre-mer. LADOM a pour mission première
Plus en détailLA RÉPARTITION DES PROFESSIONNELS DU RACHAT DE CRÉDIT EN FRANCE http://www.1rachat-crédit.com/
LA RÉPARTITION DES DU RACHAT DE CRÉDIT EN FRANCE http://www.1rachat-crédit.com/ Les tableaux suivants permettent de retrouver les données détaillées de la répartition des entreprises de rachat de crédits
Plus en détailLA RÉPARTITION DES SERRURIERS EN FRANCE http://www.1serrurier.fr/
LA RÉPARTITION S EN FRANCE http://www.1serrurier.fr/ Les tableaux suivants permettent de retrouver les données détaillées de la répartition des entreprises de serrurerie en France métropolitaine et en
Plus en détailPRÉSENTATION DU PROGRAMME DE SERVICE PUBLIC 2014 DE L IGN
PRÉSENTATION DU PROGRAMME DE SERVICE PUBLIC 2014 DE L IGN Commission Animation territoriale CNIG 28/01/2014 Marie-Louise ZAMBON IGN (chef du service des programmes à la direction des programmes civils
Plus en détailDossier de Premier Contact. Recherche Financement Business Booster
Dossier de Premier Contact Recherche Financement Business Booster Document non-contractuel Avril 2012 1 Pourquoi rechercher du financement? 2 En auto-financement depuis 2008 Entreprendre librement, l auto-financement
Plus en détailDe nouveaux indicateurs pour suivre la construction de logements
COMMISSARIAT GénéRAl au développement durable n spécial Février 2015 De nouveaux indicateurs pour suivre la construction de logements OBSERVATION ET STATISTIQueS logement - CONSTRuCTION Le SOeS diffuse
Plus en détailQuelles sont les motivations des Français qui font le choix de l investissement locatif en 2015?
www.creditfoncier.com U N E É T U D E D U C R É D I T F O N C I E R Quelles sont les motivations des Français qui font le choix de l investissement locatif en 2015? SEPTEMBRE 2015 sommaire PAGE 02 PAGE
Plus en détailREGLEMENT CHALLENGE LEGRAND VDI Février 2014
REGLEMENT CHALLENGE LEGRAND VDI Février 2014 Article 1. ORGANISATEUR La société LEGRAND SNC, au capital social de 6 200 000, immatriculée au RCS de LIMOGES, sous le numéro 389 290 586, dont le siège social
Plus en détailObservatoire de l équipement audiovisuel des foyers
Observatoire de l équipement audiovisuel des foyers 1 er semestre 2013 Réalisé par 1 Édito L Observatoire de l équipement audiovisuel des foyers succède à l Observatoire de l équipement des foyers pour
Plus en détailPrésentation du Programme PHARE
Présentation du Programme PHARE Le programme PHARE : des gains pour la qualité de l offre de soins Le contexte du programme PHARE Les achats hospitaliers représentent 18 Md, second poste de dépenses des
Plus en détailPolitique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens
au 1er Juin 2015 Politique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens Sommaire Synthèse des objectifs Synthèse générale des programmes européens... 4 Synthèse générale
Plus en détailau 1er novembre 2013
au 1er novembre 2013 Politique européenne de cohésion 2007-2013 - Etat d avancement des programmes européens Sommaire Synthèse des objectifs Synthèse générale des programmes européens... 4 Synthèse générale
Plus en détailN 13 S É N A T. 30 octobre 2014 PROJET DE LOI
N 13 S É N A T SESSION ORDINAIRE DE 2014-2015 30 octobre 2014 PROJET DE LOI relatif à la délimitation des régions, aux élections régionales et départementales et modifiant le calendrier électoral. (procédure
Plus en détailDépendance et rayonnement. des établissements franciliens
ILE -DE- FRANCE études études Mai 2006 Dépendance et rayonnement des établissements franciliens Document réalisé dans le cadre du Schéma Directeur Régional de l'ile-de-france Julie Roy Insee Ile-de-France
Plus en détailL ARTISANAT EN REGION CENTRE
L ARTISANAT EN REGION CENTRE 1 842 communes 2 457 516 habitants (est. 1.1.2) 32 813 entreprises artisanales employant 9 113 salariés (eff. moyen : 2,7) Dreux Nogent le Rotrou CHARTRES Châteaudun Pithiviers
Plus en détailLe nombre de cotisants de solidarité agricoles diminue de 2 % entre 2010 et 2011.
Synthèses Mars 2012 L Observatoire Economique et Social Les cotisants de solidarité en 2011 Le nombre de cotisants solidaires s élève à 110 106 en 2011, en baisse de 2,3 % par rapport à 2010. Toutefois,
Plus en détailVous voilà aujourd hui personnel du CNRS. Une nouvelle vie commence, vous devez vous loger, vous voulez aménager votre intérieur?
CNRS_290708 19/08/08 9:34 Page 1 E, U N E V N E I B R I D N A R G S N O S I A F E L B M E S EN! S T E J O R P S VO Vous voilà aujourd hui personnel du CNRS. Une nouvelle vie commence, vous devez vous loger,
Plus en détailLE GUIDE DE L'AGENT IMMOBILIER DE FAMILLE. www.imogroup.com FINANCEMENT GESTION PROMOTION VENTE LOCATION ACHAT
RÉSEAU NATIONAL D'AGENCES IMMOBILIÈRES INDÉPENDANTES ACHAT VENTE GESTION LOCATION PROMOTION FINANCEMENT LE GUIDE DE L'AGENT IMMOBILIER DE FAMILLE N É O, L ' A G E N T I M M O B I L I E R D E F A M I L
Plus en détailAUDIT FRANCE LES FRANCAS FEDERATION NATIONALE LAIQUE DE STRUCTURES ET D ACTIVITES EDUCATIVES, SOCIALES ET CULTURELLES
AUDIT FRANCE LES FRANCAS FEDERATION NATIONALE LAIQUE DE STRUCTURES ET D ACTIVITES EDUCATIVES, SOCIALES ET CULTURELLES Association reconnue d utilité publique Siège social : 10/14 rue Tolain 75020 PARIS
Plus en détailExterne : changement de régime de sécurité sociale et autres dispositions
Externe : changement de régime de sécurité sociale et autres dispositions 18/08/2013 Rodolphe LEDIEU 0 Sommaire Introduction 1. Du DFSGM au DFASM : du Régime de Sécurité Sociale Etudiante au Régime Général
Plus en détailObservatoire de l équipement audiovisuel 2 ond semestre 2014. Département Télécom et Equipement Novembre 2014
Observatoire de l équipement audiovisuel 2 ond semestre 2014 Département Télécom et Equipement Novembre 2014 Rappel Méthodologique Modes de réception TV À partir de 2014 : Niveau national et régional Enquête
Plus en détailcafé, restaurant & salon de thé DOSSIER DE CANDIDATURE franchise
DOSSIER DE CANDIDATURE franchise 1. DEMANDEUR PHOTO ÉTAT CIVIL Nom Prénom Date de naissance Lieu de naissance / / Adresse Code postal Téléphone fixe Fax Ville tél portable: E-mail Situation familiale :
Plus en détailles évolutions récentes
DE L ADEUS les évolutions récentes dans le BAS-RHIN : des territoires plus spécialisés et plus interdépendants 92 DéCEMBRE 2012 TRANSVERSAL Illustration : ADEUS, 2012 Depuis le milieu des années 1970,
Plus en détailMAISONS FAMILIALES RURALES. Moniteur-Monitrice. Mieux connaître. les Maisons en Familiales Rurales
MAISONS FAMILIALES RURALES Mieux connaître Moniteur-Monitrice les Maisons en Familiales Rurales UNMFREO Septembre 2007 >Sommaire > > > «Plus qu une profession, une carrière éducative» Les Maisons Familiales
Plus en détailjanvier 2010 Construire en zone agricole Ce qu il faut savoir PRÉFECTURE DU RHÔNE
janvier 2010 Construire en zone agricole Ce qu il faut savoir PRÉFECTURE DU RHÔNE Préambule Pourquoi ce guide? Avant propos Dans le département du Rhône, l étalement urbain grandissant et les grands projets
Plus en détailREGION HAUTE-NORMANDIE
Évaluation des effets d une fusion de la Région Haute-Normandie et de la Région Basse-Normandie REGION HAUTE-NORMANDIE Évaluation des effets d une fusion de la région Haute-Normandie et de la région Basse-Normandie
Plus en détailRapport final version définitive. 12 Février 2013 Elise PICON Dr Nadine SANNINO Béatrice MINET- Anne-Cécile HENOCQ Romain SEIGNEUR
DGCS EVALUATION DU DISPOSITIF LITS HALTES SOINS SANTE (LHSS) Rapport final version définitive 12 Février 2013 Elise PICON Dr Nadine SANNINO Béatrice MINET- Anne-Cécile HENOCQ Romain SEIGNEUR DGCS-1788-EVALUATION
Plus en détailLe réseau des CEL : 1er formateur national en langues Présentation générale Bretagne Basse Normandie Haute Normandie Picardie Nord Pas Calais
Le réseau des CEL :: 1 eerr fformatteur nattiionall en llangues Présenttattiion généralle Les CEL des CCI sont des départements linguistiques des centres de formation continue des Chambres de Commerce
Plus en détailTARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE DE LA CLCV
TARIFICATION BANCAIRE : L ENQUETE ANNUELLE DE LA CLCV L année 2005 sera-t-elle l année des grands changements dans les relations banques - clients? Les établissements bancaires veulent en convaincre les
Plus en détailSynthèse. Dynamique de l emploi. J0Z-Ouvriers non qualifiés de la manutention
J0Z-Ouvriers non qualifiés de la manutention Synthèse Les ouvriers non qualifiés de la manutention assurent le chargement, le déchargement, le tri, l emballage et l expédition de marchandises. Ils sont
Plus en détailEnquête Nationale sur le devenir des diplômés de
Enquête Nationale sur le devenir des diplômés de DUT 2010 Mesures Physiques Résultats de l IUT de Reims-Châlons-Charleville (Note de synthèse sur les diplômés de formation initiale hors alternance) Novembre
Plus en détailI. Les dossiers de prêt à la fin de l année 1995 : un premier bilan encourageant. II. Élargissement du public et fréquentation en hausse dans les ADIL
LA REFORME DE L AIDE A L ACCESSION Un premier bilan Résumé I. Les dossiers de prêt à la fin de l année 1995 : un premier bilan encourageant II. Élargissement du public et fréquentation en hausse dans les
Plus en détailLutte contre l étalement urbain
Lutte contre l étalement urbain L étalement urbain et la consommation d espace résultent de plusieurs causes cumulatives. Ces phénomènes s expliquent notamment par l insuffisance et l inadaptation de l
Plus en détailDétention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes?
1 Numéro 200, juin 2013 Détention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes? I) Un taux de détention en baisse La détention au plus bas historique A la fin de l année 2012, seulement 48,6%
Plus en détailORS Centre, Haute-Normandie, Languedoc-Roussillon, Picardie, Provence-Alpes-Côte d'azur. La santé au travail. les régions de France
Fédération nationale des observatoires régionaux de la santé ORS Centre, Haute-Normandie, Languedoc-Roussillon, Picardie, Provence-Alpes-Côte d'azur La santé au travail dans les régions de France Collection
Plus en détailRésultats du sondage
Résultats du sondage L agence française du programme européen «Jeunesse en action» (PEJA), dans le cadre de ses petits déjeuners «Prêt à l emploi!», a diffusé un questionnaire exclusif, réalisé en ligne
Plus en détailF.F.V. Réunions fédérales/réunions Aff.Générales/ Réunion 24/03/2000
F.F.V. Réunions fédérales/réunions Aff.Générales/ Réunion 24/03/2000 PARIS, le 11 Avril 2000 PROCES VERBAL REUNION AFFAIRES GENERALES DU 24 MARS 2000 Présents : MM. SIMON, MERIC, VILLEROT, MARLIOT, Mmes
Plus en détailLe P2D2. Réunion INSIS 24 mars 2014. Direction des comptes et de l information financière (DCIF) Bernard Adans Sandrine Loridan-Torchy Alain Dedenis
P. 1 Le P2D2 Réunion INSIS 24 mars 2014 Direction des comptes et de l information financière (DCIF) Bernard Adans Sandrine Loridan-Torchy Alain Dedenis Sommaire P. 2 1 - Contexte et enjeux du P2D2 2 -
Plus en détailEmploi et Formation Secteur Publicité
Rapport statistique Emploi et Formation Secteur Publicité 2009-2010 AFDAS / R&D - Septembre 2012 Sommaire 1. DONNEES SUR L EMPLOI 3 1.1. POINT METHODOLOGIQUE ET PRECAUTIONS D USAGE 4 1.2. LES ENTREPRISES
Plus en détailOpération d intérêt national Bordeaux Euratlantique. Point d étape
Opération d intérêt national Bordeaux Euratlantique Point d étape Une feuille de route initiale Un enjeu économique : - créer un centre d affaires européen (tertiaire supérieur) - faire un effet levier
Plus en détail