Plan de présentation

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Plan de présentation"

Transcription

1 L influence du réseau social sur la de substances psychoactives chez une clientèle présentant des troubles concomitants Didier Acier, Ph.D. Psychologue chercheur Centre Dollard-Cormier Institut universitaire sur les dépendances Plan de présentation Le réseau social L étude qualitative Les résultats Conclusion 2

2 Le réseau social Le réseau social fait référence aux liens qu entretiennent entre eux un ensemble d individus. Il se compose du réseau familial, du réseau des relations et des pairs, et du réseau des acteurs des services de santé. Le réseau familial fait référence aux personnes liées entre elles par le mariage et la filiation, incluant principalement le conjoint, les enfants et la famille élargie. Le réseau des relations et des pairs fait référence aux relations de travail, d amitié ou aux personnes vivant des conditions semblables. Le réseau des acteurs de la santé fait référence aux individus oeuvrant au soutien des personnes présentant des troubles concomitants. 3 Le réseau familial L implication du réseau familial auprès d usagers est associé à une diminution de la mais n a pas d effet sur les symptômes de santé mentale (Clark, 2001); L implication du réseau familial est associé à une plus grande utilisation de substances et des risques de rechute (Fitcher et al., 1997); Il a aussi été associée à un impact positif au niveau de la poursuite de l abstinence, de la réduction des rechutes, des symptômes psychiatriques et du fonctionnement général (Mueser et al., 2003). 4

3 Le réseau des relations et des pairs Le réseau des pairs consommateurs continuent d être présents dans le réseau des personnes présentant des troubles concomitants en rémission (Tracy & Biegel, 2006); Il y a une association positive entre un nombre élevé de contact avec les groupes d entraide et des pairs non consommateurs et une amélioration globale du fonctionnement (Trumbetta et al, 1999). 5 Le réseau des acteurs de la santé Les contacts avec le personnel clinique des centres de traitement sont une forme aussi importante de soutien social que les contacts avec les pairs non-consommateurs (MacDonald et al., 2004); Une relation constructive et établie avec des rendez-vous réguliers avec un intervenant du milieu professionnel est un élément de rémission (recherche qualitative de Alverson, et al., 2000). 6

4 Le réseau social en bref Le réseau social est un élément explicatif - à la fois positif et négatif - des symptômes en santé mentale et en dépendances, c'est-à-dire que le réseau social peut autant soutenir que nuire à la réadaptation (Tracy & Biegel, 2006). 7 Ce que disent les usagers Les raisons données par les personnes pour expliquer une problématique ou une rechute sont : 1) des raisons d ordre social, c'est-à-dire afin de faciliter les relations interpersonnelles et d avoir l impression d appartenir au groupe (Mueser, et al., 1998; Laudet, et al., 2004; Walton, et al., 2003); 2) pour soulager des symptômes dépressifs, anxieux, une mauvaise image de soi, pour échapper à l ennui et à la réalité (Havassy, et al., 2004; Bradizza & Stasiewick, 2003; Gearon, et al., 2001). 8

5 Plan de présentation Le réseau social L étude qualitative Les résultats Conclusion 9 Caractéristiques de l échantillon Usagers du Centre Dollard-Cormier Institut universitaire sur les dépendances N= 22 (13 et 9 ); Age moyen = 49 ans (30 à 70) Revenu moyen : $/an 17 participants vivent seuls, 5 vivent avec un conjoint(e) Usage problématique de SPA: Alcool uniquement (9), Alcool et cocaïne (7), Alcool et cannabis (5), Alcool, cocaïne et cannabis (1); Psychopathologie: troubles de l humeur (16); troubles anxieux (6); troubles de la personnalité (6); psychose & schizophrénie (5). 10

6 Les personnes présentant des troubles concomitants Dépendance ++ Santé mentale -- Dépendance ++ Santé mentale ++ Gravité de la dépendance Dépendance -- Santé mentale -- Dépendance -- Santé mentale ++ Gravité des troubles mentaux 11 Méthodologie qualitative Entrevue centrée (90mn environ) Question ouverte: «Je voudrais que vous me parliez de vos moments de diminution de. Que s est-il passé pour que votre d alcool (et de drogue, si applicable) diminue?» 12

7 La méthodologie et les analyses qualitatives Enregistrement numérique Transcription des verbatim Création d une liste de codes Codage (Logiciel N vivo) Contre-codage (n=6, taux d accord de 77,77%) 13 Plan de présentation Le réseau social L étude qualitative Les résultats Conclusion 14

8 Résultats qualitatifs 1) Les éléments de diminution de la de SPA 2) Les éléments de progression de la de SPA 15 Éléments de diminution de Quatre situations du réseau familial sont décrites pour expliquer une diminution de : (1) un soutien positif (7/22) : (P3) «ma mère m encourageait» (505), (P12) «mon entourage m a aidé, les gens autour de moi étaient contents que je ne consomme plus» (345), (2) les responsabilités familiales du participant (4/22): (P23) «Si mon fils n avait pas été là j aurais sans doute consommé encore plus, mais là je ne pouvais pas parce que j avais une responsabilité» (362), (3) les réactions négatives de la famille (3/22): (P6) «Qu est-ce qui m a fait vraiment arrêté, c est de voir le malheur que je causais à ma famille et puis surtout à ma sœur» (218); (4) le besoin de cacher la à la famille (2/22) : (P2) «Ma mère est venue pour les fêtes. J ai arrêté pour elle, mais je shakais comme une feuille et ça n allait pas bien. Si tôt qu elle est repartie, je suis retombé.» (652). 16

9 Éléments de diminution de Trois situations du réseau familial (relation de couple) sont décrites pour expliquer une diminution de : (1) un(e) conjoint(e) sobre (7/22); (2) des conflits de couple (4/22) : (P21) «Oui, ça a joué sur la en ce sens que quand elle avait la certitude que je consommais, moi, j arrêtais, parce que je voulais pas me faire mettre dehors» ( 713); (3) un nouveau conjoint(e) (2/22) : (P2) «Le fait d être en amour ça fait disparaître toutes les envies de boire» (412). 17 Éléments de diminution de Au niveau des acteurs du réseau de la santé, les usagers font référence aux suivis cliniques: P(3) «Elle m'apporte pas des réponses, mais elle m'aide a les trouver. C est juste le fait de parler, des fois on trouve des solutions. Alors c'est encore aidant pour moi, étant donné que je bois plus peut-être qu'on va se perdre et qu'on ne se verra plus, mais j'aimerais ça que le dossier ne soit pas fermé tout à fait.» (715) 18

10 Éléments de diminution de L'utilisation des groupes d entraide (A.A., C.A., N.A.) (8/22) est nommée comme élément de diminution de la. 1) l importance d'être en groupe et d avoir des échanges avec les autres participants (8/22): P10: «( ) Là je comprends l'utilité, peut-être pas nécessairement du meeting mais l'utilité d'être dans une communauté et de m'y identifier. Fait que souvent, je vais retourner à la clinique, je vois des gens, j'ai un port d'attache, déjà là, ça m'aide.» (508). P18: «Parce que la première année que j'ai été là, dans le temps des Fêtes, ils ont fait un party. J'ai jamais vu ça, avoir du fun sans boire. C'était extraordinaire, on a fait des jeux, on a fait des folies. C'est pas du monde qui me connaissait depuis longtemps. C'est comme beaucoup d'entraide.» (487). 19 Éléments de diminution de Le réseau des relations et des pairs (6/22) réfère à trois situations: (1) une présence soutenante (4/22) : (P5) «Qu est-ce qui m a le plus aidé? Mes amis, d avoir mes amis, ça m a aidé. Mes vrais amis [ ] j ai parlé énormément avec Nancy. J y ai raconté ma vie. Juste de parler ça m a fait du bien, puis elle m écoutait, elle m a écouté pendant une semaine» (606); (2) des conflits ou des confrontations (2/22) : (P5) «J étais gelé sur l acide et puis elle m a dit "Ça fait deux ans que je te connais puis ça fait deux ans que tu dis ça [je vais arrêter de consommer et faire des études].» Elle a dit : «Ferme donc ta gueule! Quand tu feras quelque chose pour de vrai tu nous en reparleras.» (292); (3) l évitement des pairs consommateurs (2/22) : (P13) «Ça fait que pour toi c est que ces gens-là deviennent un peu plates, désagréables même à certains moments. Pis pour eux t es pas sur la même longueur d ondes. Cela fait qu à un moment donné les chemins se séparent» (608). 20

11 Résultats qualitatifs 1) Les éléments de diminution de la de SPA 2) Les éléments de progression de la de SPA 21 Éléments de progression de la Trois situations du réseau familial (relations de couple) (12/22) sont décrites pour expliquer une augmentation de la : (1) le partenaire comme incitateur (6/22) : (P2) «Elle fumait une couple de joints par jour. C est là que j ai recommencé à fumer parce que j fumais pas avant. Ça faisait 20 ans que j fumais pas" (79); (2) une rupture amoureuse (5/22) (P12) «Le déclencheur là j dirais que ça été la rupture avec le conjoint» (287); (3) la SPA comme moyen pour favoriser la relation (3/22) : (P16) «Elle venait au meeting A.A. mais elle avait bu avant, elle avait bu après Fait que j ai dit je vais me mettre au niveau à son niveau. C est grave pour aller chercher une femme: je me suis mis au niveau de sa boisson» (1007). 22

12 Éléments de progression de la Deux situations du réseau des relations et des pairs sont décrites pour expliquer une augmentation de la : (1) la SPA comme élément de socialisation (8/22) : (P5) «C était une gang de trippeux, on se tenait ensemble parce que tout le monde consommait pis on allait dans les raves pis on était tout le temps gelé» (237). Ces relations sont parfois les seules personnes à être présentes dans l entourage : (P14) «Moi, c était de me départir des gens qui m entouraient, pis qui étaient soi-disant amis. Ça je dois dire honnêtement, ce n est pas facile! Et puis c est que tu te retrouves toute seule après. Je veux dire t en as plus de personne autour de toi là.» (747); (2) les pairs comme incitateur (5/22) : (P13) «Ça m a quasiment fait retomber dedans parce que c était trop fort, elle insistait: «Awowe, prend un verre, c est pas plus grave que ça!» (171) ou qui passe par l apprentissage d un nouveau produit ou d une nouvelle technique de : (P6) «J étais dans les appartements supervisés, y en a qui les prenaient pis qui les sniffaient. Y les écrasaient, pis les sniffaient. Moi j ai essayé ça avec le kemadrin, ça donnait un buzz [ ]. " (489). 23 Éléments de progression de la Le réseau familial (11/22) réfère à trois situations: (1) le décès d un membre de la famille (4/22) : (P4) «J étais dans une période d abstinence, quand ma grand-mère est décédée, j ai recommencé à boire» (801); (2) un conflit avec un membre de la famille (4/22) : (P5) «Mon père, c est une des raisons aussi pourquoi j ai commencé à me geler comme ça, parce que dans le temps ma sœur m a dit que mon père avait abusé d elle. Cela fait que ça m a décrissé complètement là, c était ce même soir-là, j suis parti sur un trip d acide pis ça a duré jusqu au moment j ai été gelé jusqu au moment où je rentre en désintox» (296); (3) la de SPA qui se déroule en famille (3/22) : (P16) «Les party [de famille], c est quand que y avait des caisses de bière. C est facile quand y avait de la bière, on parlait, pis on chantait mais quand que y avait plus de bière, tout le monde s en allait (433). 24

13 Éléments de progression de la Au niveau du réseau des acteurs de la santé (7/22), cinq situations sont rapportés pour expliquer une augmentation de la : (1) un arrêt prématuré de psychothérapie (3/22) : "[ ] parce que aussitôt que j ai lâché Dollard-Cormier je voyais plus ma thérapeute j ai recommencé à boire et là il n y avait plus de limites. " (P23, 258); (2) une intoxication à l alcool juste avant l entrée en désintoxication (2/22) : "J avais pris quatre bouteilles la veille d aller [en traitement] parce que je savais que j allais me faire désintoxiquer. Ça ne faisait pas mon affaire. J ai fait un méchant black-out." (P18, 23); (3) sortir d un milieu interne protégé (1/22) : "Tout le monde est de bonne humeur. Il n y a pas personne qui a soif là-dedans, mais plus la date de la sortie approche et plus les gens deviennent anxieux. [ ] on sortait le vendredi et ils nous reconvoquaient le lundi matin. Sur 12, il y en avait 11 qui avaient bu." (P1, 255); (4) de la recommandation de l approche du «boire contrôlé» par un intervenant (1/22); (5) la prescription d un antidépresseur qui permet au participant de consommer encore plus d alcool car il se sent de bonne humeur (1/22). 25 Plan de présentation Le réseau social L étude qualitative Les résultats Conclusion 26

14 Réflexions sur les interventions cliniques (1/2) 1) le personnel clinique comme partie prenante du réseau social Le personnel clinique offre des services et des suivis qui peuvent être vécus par les usagers comme des relations substitutives. Ce transfert est peut être exacerbé car les usagers présentent souvent un réseau social réduit ou déficitaire. On peut penser que les participants qui utilisent les services et viennent chercher des informations, outils et techniques ont aussi besoin d investir une relation humaine dans un monde relationnel difficile. Il est peut être pertinent de s interroger sur la nécessité clinique de mettre une fin définitive à une période de consultation pour une personne présentant des troubles concomitants. Des alternatives sont possibles, comme des suivis aux 6 mois ou un suivi téléphonique. 27 Réflexions sur les interventions cliniques (2/2) 2) Les interventions sur les compétences interpersonnelles et le réseau social Le développement des compétences sociales peut jouer un rôle important dans la construction d un réseau social. Il s agit de compétences au niveau de la capacité à créer des contacts et engager la discussion, demander de l aide, résister aux pressions des pairs, gérer les limites relationnelles. L évaluation du réseau social, en termes de structures, interactions et fonctions peut aider à la fois le clinicien et le patient à identifier des sources de support et des sources de tensions qui peuvent avoir un impact sur les variations de (pratique basée sur des données probantes, Drake et al., 2001). 28

Ma vie Mon plan. Cette brochure appartient à :

Ma vie Mon plan. Cette brochure appartient à : Ma vie Mon plan Cette brochure est pour les adolescents(es). Elle t aidera à penser à la façon dont tes décisions actuelles peuvent t aider à mener une vie saine et heureuse, aujourd hui et demain. Cette

Plus en détail

Conseil Diocésain de Solidarité et de la Diaconie. 27 juin 2015. «Partager l essentiel» Le partage est un élément vital.

Conseil Diocésain de Solidarité et de la Diaconie. 27 juin 2015. «Partager l essentiel» Le partage est un élément vital. 27 juin 2015 Le partage est un élément vital. Notre démarche Notre chemin Dans un premier temps, nous sommes partis de mots qui expriment ce qui est essentiel pour nous, indispensable pour bien vivre.

Plus en détail

Parent avant tout Parent malgré tout. Comment aider votre enfant si vous avez un problème d alcool dans votre famille.

Parent avant tout Parent malgré tout. Comment aider votre enfant si vous avez un problème d alcool dans votre famille. Parent avant tout Parent malgré tout Comment aider votre enfant si vous avez un problème d alcool dans votre famille. Edition: Addiction Suisse, Lausanne 2012 Que vous soyez directement concerné-e ou que

Plus en détail

La transition école travail et les réseaux sociaux Monica Del Percio

La transition école travail et les réseaux sociaux Monica Del Percio Institut de psychologie et éducation Faculté des lettres et sciences humaines Espace Louis-Agassiz 1 CH-2000 Neuchâtel La transition école travail et les réseaux sociaux Monica Del Percio Institut de psychologie

Plus en détail

Pour réduire sa consommation Ouvrons le dialogue

Pour réduire sa consommation Ouvrons le dialogue Alcool Pour réduire sa consommation Ouvrons le dialogue Pour réduire sa consommation Alcool Vous envisagez de réduire votre consommation de boissons alcoolisées, mais vous vous posez des questions : vous

Plus en détail

Programme internet de traitement du jeu excessif Partie cognitivo-comportementale

Programme internet de traitement du jeu excessif Partie cognitivo-comportementale 19 juin 2008 Programme internet de traitement du jeu excessif Partie cognitivo-comportementale Dr. Ariane Zermatten Dr. Christian Osiek Dr. Françoise Jermann Dr. Yasser Khazaal Dr. Guido Bondolfi Pourquoi

Plus en détail

9.11 Les jeux de hasard et d argent

9.11 Les jeux de hasard et d argent 9.11 Les jeux de hasard et d argent Maud Pousset, Marie-Line Tovar 288 Les jeux de hasard et d argent (JHA) constituent une activité ancienne et répandue, mais longtemps interdite. Leur offre s est étoffée,

Plus en détail

Inventaire Symptomatique de la Dépression et du Trouble Affectif Saisonnier Auto-évaluation (IDTAS-AE)

Inventaire Symptomatique de la Dépression et du Trouble Affectif Saisonnier Auto-évaluation (IDTAS-AE) Inventaire Symptomatique de la Dépression et du Trouble Affectif Saisonnier Auto-évaluation (IDTAS-AE) Ce questionnaire vous aidera à juger si vous devez consulter un clinicien pour votre dépression, si

Plus en détail

Les représentations sociales des juges et des experts concernant le meilleur intérêt de l enfant dont la garde est contestée

Les représentations sociales des juges et des experts concernant le meilleur intérêt de l enfant dont la garde est contestée Les représentations sociales des juges et des experts concernant le meilleur intérêt de l enfant dont la garde est contestée Elisabeth Godbout Doctorante en service social Université Laval Colloque Autour

Plus en détail

Louise, elle est folle

Louise, elle est folle Leslie Kaplan Louise, elle est folle suivi de Renversement contre une civilisation du cliché la ligne Copi-Buñuel-Beckett P.O.L 33, rue Saint-André-des-Arts, Paris 6 e pour Élise et Fred tu m as trahie

Plus en détail

GROUPE DE SPECIALISTES SUR UNE JUSTICE ADAPTEE AUX ENFANTS (CJ-S-CH) QUESTIONNAIRE POUR LES ENFANTS ET LES JEUNES SUR UNE JUSTICE ADAPTEE AUX ENFANTS

GROUPE DE SPECIALISTES SUR UNE JUSTICE ADAPTEE AUX ENFANTS (CJ-S-CH) QUESTIONNAIRE POUR LES ENFANTS ET LES JEUNES SUR UNE JUSTICE ADAPTEE AUX ENFANTS Strasbourg, 17 février 2010 [cdcj/cdcj et comités subordonnés/ documents de travail/cj-s-ch (2010) 4F final] CJ-S-CH (2010) 4F FINAL GROUPE DE SPECIALISTES SUR UNE JUSTICE ADAPTEE AUX ENFANTS (CJ-S-CH)

Plus en détail

Comment résister à l influence du groupe? (notamment en matière de tabac, d alcool et de drogues) Le point de vue d Infor-Drogues

Comment résister à l influence du groupe? (notamment en matière de tabac, d alcool et de drogues) Le point de vue d Infor-Drogues Comment résister à l influence du groupe? (notamment en matière de tabac, d alcool et de drogues) Le point de vue d Infor-Drogues INFOR-DROGUES ASBL Rue du Marteau, 19 B-1000 Bruxelles Aide & information

Plus en détail

AVERTISSEMENT. Ce texte a été téléchargé depuis le site http://www.leproscenium.com

AVERTISSEMENT. Ce texte a été téléchargé depuis le site http://www.leproscenium.com AVERTISSEMENT Ce texte a été téléchargé depuis le site http://www.leproscenium.com Ce texte est protégé par les droits d auteur. En conséquence avant son exploitation vous devez obtenir l autorisation

Plus en détail

TÉMOIGNAGES de participantes et de participants dans des groupes d alphabétisation populaire

TÉMOIGNAGES de participantes et de participants dans des groupes d alphabétisation populaire TÉMOIGNAGES de participantes et de participants dans des groupes d alphabétisation populaire Démarche sur l aide financière aux participantes Marie-Lourdes Pas beaucoup d argent pour tout ce qu il faut

Plus en détail

L utilisation de l approche systémique dans la prévention et le traitement du jeu compulsif

L utilisation de l approche systémique dans la prévention et le traitement du jeu compulsif L utilisation de l approche systémique dans la prévention et le traitement du jeu compulsif Isabelle Cyr, B.sc. Psychologie. B.sc. Service social. T.s. Thérapeute Josée Dostie, B.A. Psychologie. Thérapeute

Plus en détail

Archivistes en herbe!

Archivistes en herbe! Les archives c est quoi? Un archiviste travaille avec des archives. Oui, mais les archives c est quoi? As-tu déjà entendu ce mot? D après toi, qu est-ce qu une archive? 1. Les archives ce sont des documents

Plus en détail

L intolérance à l incertitude et le trouble d anxiété généralisée

L intolérance à l incertitude et le trouble d anxiété généralisée 1 L intolérance à l incertitude et le trouble d anxiété généralisée Dans notre compréhension actuelle du trouble d anxiété généralisée (TAG), nous estimons que l intolérance à l incertitude joue un rôle

Plus en détail

ISBN 979-10-91524-03-2

ISBN 979-10-91524-03-2 ISBN 979-10-91524-03-2 Quelques mots de l'auteur Gourmand le petit ours est une petite pièce de théâtre pour enfants. *** Gourmand le petit ours ne veut pas aller à l'école. Mais lorsque Poilmou veut le

Plus en détail

Edition : Addiction Suisse, Lausanne 2011

Edition : Addiction Suisse, Lausanne 2011 Alcool (auc)un problème? Informations à l'intention des personnes qui s'interrogent sur leur consommation d'alcool Est-ce que je bois trop? Qu'est-ce qu'un problème d'alcool? Quand est-on dépendant de

Plus en détail

Les p'tites femmes de Paris

Les p'tites femmes de Paris Les p'tites femmes de Paris De Géraldine Feuillien D'après une idée de Stéphanie Bouquerel Episode 2: Ménage à trois 1 APPARTEMENT DE - BUREAU- INT - JOUR 1 Mais enfin Julien! Qu est ce qui t as pris de

Plus en détail

L expérience du patient partenaire au suivi intensif dans la communauté à Sherbrooke. Daniel Boleira Guimarães; Luce Côté

L expérience du patient partenaire au suivi intensif dans la communauté à Sherbrooke. Daniel Boleira Guimarães; Luce Côté L expérience du patient partenaire au suivi intensif dans la communauté à Sherbrooke Daniel Boleira Guimarães; Luce Côté 27e Entretiens Jacques Cartier Sherbroke, le 6 octobre 2014 Le suivi intensif dans

Plus en détail

AVERTISSEMENT. Ce texte a été téléchargé depuis le site. http://www.leproscenium.com. Ce texte est protégé par les droits d auteur.

AVERTISSEMENT. Ce texte a été téléchargé depuis le site. http://www.leproscenium.com. Ce texte est protégé par les droits d auteur. AVERTISSEMENT Ce texte a été téléchargé depuis le site http://www.leproscenium.com Ce texte est protégé par les droits d auteur. En conséquence avant son exploitation vous devez obtenir l autorisation

Plus en détail

Problèmes de rejet, de confiance, d intimité et de loyauté

Problèmes de rejet, de confiance, d intimité et de loyauté Chapitre 7 Problèmes de rejet, de confiance, d intimité et de loyauté Il y a en moi un désir profond d avoir une relation longue et pleine de sens avec quelqu un, mais cela me fait peur, parce que si vous

Plus en détail

Paroisses réformées de la Prévôté - Tramelan. Album de baptême

Paroisses réformées de la Prévôté - Tramelan. Album de baptême Paroisses réformées de la Prévôté - Tramelan Album de baptême L'album de mon baptême Cet album est celui de:... Né(e) le:... à:... 1 Quoi de neuf? Il est tout petit, mais... il a déjà sa personnalité,

Plus en détail

La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant

La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin

Plus en détail

Un autre signe est de blâmer «une colère ouverte qui débute par le mot TU».

Un autre signe est de blâmer «une colère ouverte qui débute par le mot TU». Le besoin de contrôler Le comportement compulsif de tout vouloir contrôler n est pas mauvais ou honteux, c est souvent un besoin d avoir plus de pouvoir. Il s agit aussi d un signe de détresse; les choses

Plus en détail

Avec un nouveau bébé, la vie n est pas toujours rose

Avec un nouveau bébé, la vie n est pas toujours rose Avec un nouveau bébé, la vie n est pas toujours rose Le «blues du post-partum» est FRÉQUENT chez les nouvelles mères. Quatre mères sur cinq auront le blues du post-partum. LE «BLUES DU POST-PARTUM» La

Plus en détail

Étude de cas 11. Il fut un temps où nous étions amis. Apprentissage Professionnel Continu

Étude de cas 11. Il fut un temps où nous étions amis. Apprentissage Professionnel Continu Étude de cas 11 Il fut un temps où nous étions amis Apprentissage Professionnel Continu Introduction Le cas dans cette publication fut écrit par un membre inscrit de l Ordre des éducatrices et des éducateurs

Plus en détail

La carte de mon réseau social

La carte de mon réseau social La carte de mon réseau social Avant de commencer Un réseau social, c est quoi? Dans ta vie, tu es entouré de plusieurs personnes. Certaines personnes sont très proches de toi, d autres le sont moins. Toutes

Plus en détail

LE SUCCÈS EN TOUTE SIMPLICITÉ 7 JOURS POUR ORGANISER VOTRE PREMIÈRE DÉMONSTRATION LIFEWAVE CORSENTIALS

LE SUCCÈS EN TOUTE SIMPLICITÉ 7 JOURS POUR ORGANISER VOTRE PREMIÈRE DÉMONSTRATION LIFEWAVE CORSENTIALS LE SUCCÈS EN TOUTE SIMPLICITÉ 7 JOURS POUR ORGANISER VOTRE PREMIÈRE DÉMONSTRATION LIFEWAVE CORSENTIALS 7 jours pour organiser votre première démonstration LifeWave CORSENTIALS Lancez votre propre activité

Plus en détail

Se libérer de la drogue

Se libérer de la drogue Chacun doit savoir qu il peut se libérer de la drogue à tout moment. Se libérer de la drogue Je ne maîtrise plus la situation Longtemps encore après la première prise de drogue, le toxicomane croit pouvoir

Plus en détail

Ne vas pas en enfer!

Ne vas pas en enfer! Ne vas pas en enfer! Une artiste de Corée du Sud emmenée en enfer www.divinerevelations.info/pit En 2009, une jeune artiste de Corée du Sud qui participait à une nuit de prière a été visitée par JésusChrist.

Plus en détail

Devoirs, leçons et TDA/H1 Gaëtan Langlois, psychologue scolaire

Devoirs, leçons et TDA/H1 Gaëtan Langlois, psychologue scolaire Devoirs, leçons et TDA/H1 Gaëtan Langlois, psychologue scolaire Pourquoi traiter des devoirs et leçons avec les TDA/H? Parce que c est un des problèmes le plus souvent rencontrés avec les enfants hyperactifs

Plus en détail

La prise en charge d un trouble bipolaire

La prise en charge d un trouble bipolaire GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge d un trouble bipolaire Vivre avec un trouble bipolaire Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer

Plus en détail

que dois-tu savoir sur le diabète?

que dois-tu savoir sur le diabète? INVENTIV HEALTH COMMUNICATIONS - TERRE NEUVE - FRHMG00277 - Avril 2013 - Lilly - Tous droits de reproduction réservés. que dois-tu savoir sur le diabète? Lilly France 24 boulevard Vital Bouhot CS 50004-92521

Plus en détail

Christina 1994 - Quelqu'un m'attendait quelque part...

Christina 1994 - Quelqu'un m'attendait quelque part... Christina 1994 - Quelqu'un m'attendait quelque part... - Collection Littérature humoristique - Retrouvez cette oeuvre et beaucoup d'autres sur http://www.atramenta.net 1994 - Quelqu'un m'attendait quelque

Plus en détail

COUPLE ET PROBLÈMES SEXUELS

COUPLE ET PROBLÈMES SEXUELS COUPLE ET PROBLÈMES SEXUELS Introduction Christine Reynaert et Pierre Collart ont tous deux activement participé à l ouverture de centres spécialisés dans le traitement de troubles sexuels (voir analyse

Plus en détail

Origines possibles et solutions

Origines possibles et solutions Ne plus avoir peur de vieillir «Prends soin de ton corps comme si tu allais vivre éternellement, Prends soin de ton âme comme si tu allais mourir demain.» Introduction Ce petit document est la résultante

Plus en détail

1. La famille d accueil de Nadja est composée de combien de personnes? 2. Un membre de la famille de Mme Millet n est pas Français. Qui est-ce?

1. La famille d accueil de Nadja est composée de combien de personnes? 2. Un membre de la famille de Mme Millet n est pas Français. Qui est-ce? 1 LA FAMILLE 1.1 Lecture premier texte Nadja va passer quatre mois de la prochaine année scolaire en France. Aujourd hui, elle a reçu cette lettre de sa famille d accueil. Chère Nadja, Je m appelle Martine

Plus en détail

MÉDECINE PSYCHANALYSE DROIT JURISPRUDENCE QUESTIONS À FRANÇOIS-RÉGIS DUPOND MUZART. première partie

MÉDECINE PSYCHANALYSE DROIT JURISPRUDENCE QUESTIONS À FRANÇOIS-RÉGIS DUPOND MUZART. première partie MÉDECINE PSYCHANALYSE DROIT JURISPRUDENCE QUESTIONS À FRANÇOIS-RÉGIS DUPOND MUZART première partie Alessandra Guerra En France il y a des jugements sur la question psychothérapiepsychanalyse J ai entendu

Plus en détail

JE NE SUIS PAS PSYCHOTIQUE!

JE NE SUIS PAS PSYCHOTIQUE! rétablissement et psychose / Fiche 1 JE NE SUIS PAS PSYCHOTIQUE! JJérôme s énerve : «Je ne suis pas psychotique! Vous ne dites que des conneries! Je suis moi, Jérôme, et je ne vois pas le monde comme vous,

Plus en détail

PORTRAIT D UN RÉSEAU PUBLIC SPÉCIALISÉ, AUX PRATIQUES ÉPROUVÉES

PORTRAIT D UN RÉSEAU PUBLIC SPÉCIALISÉ, AUX PRATIQUES ÉPROUVÉES PORTRAIT D UN RÉSEAU PUBLIC SPÉCIALISÉ, AUX PRATIQUES ÉPROUVÉES Ce document est produit par l Association des centres de réadaptation en dépendance du Québec Dépôt légal Novembre 2014 Version imprimée

Plus en détail

Checkliste pour une interview radio Auteur: Ulrike Werner / traduit par Lars Jung et Aurore Visée

Checkliste pour une interview radio Auteur: Ulrike Werner / traduit par Lars Jung et Aurore Visée Checkliste pour une interview radio Auteur: Ulrike Werner / traduit par Lars Jung et Aurore Visée Lors d une interview radio, incite ton interlocuteur à répondre de manière intéressante. Il faut savoir

Plus en détail

Quelqu un qui t attend

Quelqu un qui t attend Quelqu un qui t attend (Hervé Paul Kent Cokenstock / Hervé Paul Jacques Bastello) Seul au monde Au milieu De la foule Si tu veux Délaissé Incompris Aujourd hui tout te rends malheureux Si tu l dis Pourtant

Plus en détail

Ce que vous pouvez faire et ne pouvez faire pour l aider

Ce que vous pouvez faire et ne pouvez faire pour l aider Ce que vous pouvez faire et ne pouvez faire pour l aider Quoi faire ou ne pas faire? Voilà souvent la question que se posent les parents et ami(e)s proches d une personne souffrant d anorexie et de boulimie.

Plus en détail

Toi seul peux répondre à cette question.

Toi seul peux répondre à cette question. Suis-je dépendant ou dépendante? Traduction de littérature approuvée par la fraternité de NA. Copyright 1991 by Narcotics Anonymous World Services, Inc. Tous droits réservés. Toi seul peux répondre à cette

Plus en détail

QUI ES-TU MON AMOUR?

QUI ES-TU MON AMOUR? QUI ES-TU MON AMOUR? 200 questions à se poser pour mieux se connaître. Un livre jeu créé par Mon Couple Heureux 1 Sommaire 1. Informations importantes à propos de ce livre... 3 2. Présentation... 4 3.

Plus en détail

UN AN EN FRANCE par Isabella Thinsz

UN AN EN FRANCE par Isabella Thinsz UN AN EN FRANCE par Isabella Thinsz Musique On entend toujours l anglais mais le français, ça peut passer des semaines ou même des mois avant qu on entende le français à la radio ou à la télé, donc j ai

Plus en détail

Les approches de réduction des méfaits trouvent un certain appui dans la population québécoise*

Les approches de réduction des méfaits trouvent un certain appui dans la population québécoise* INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC Les approches de réduction des méfaits trouvent un certain appui dans la population québécoise* Denis Hamel, statisticien Unité Connaissance-surveillance MISE

Plus en détail

Comment vas-tu? Quand tu réponds, essaie de penser à la semaine dernière, c est à dire aux sept derniers jours.

Comment vas-tu? Quand tu réponds, essaie de penser à la semaine dernière, c est à dire aux sept derniers jours. Les ID Comment vas-tu? Questionnaire pour les enfants Bonjour! Ce questionnaire est composé de plusieurs parties. Tes réponses nous sont nécessaires pour mieux comprendre ce qui, à ton avis, est important

Plus en détail

Mieux vivre avec votre asthme

Mieux vivre avec votre asthme Mieux vivre avec votre asthme L éducation thérapeutique pour bien gérer votre asthme au quotidien Bien gérer sa maladie permet de reconnaître et maîtriser les symptômes afin de limiter la gêne respiratoire.

Plus en détail

Mon mémento Page 3. 1/ Pourquoi ce mémento? Page 4. 2/ Pourquoi s évaluer? Page 4. 3/ Comment utiliser ce mémento? Page 5

Mon mémento Page 3. 1/ Pourquoi ce mémento? Page 4. 2/ Pourquoi s évaluer? Page 4. 3/ Comment utiliser ce mémento? Page 5 «STAJ PRATIC BAFA» KIT PEDAGOGIQUE «STAJ PRATIC BAFA» MEMENTO ANIMATEUR Sommaire : Mon mémento Page 3 1/ Pourquoi ce mémento? Page 4 2/ Pourquoi s évaluer? Page 4 3/ Comment utiliser ce mémento? Page 5

Plus en détail

Indications pédagogiques E2 / 42

Indications pédagogiques E2 / 42 à la Communication Objectif général Indications pédagogiques E2 / 42 E : APPRECIER UN MESSAGE Degré de difficulté 2 Objectif intermédiaire 4 : PORTER UN JUGEMENT SUR UN MESSAGE SIMPLE Objectif opérationnel

Plus en détail

Joël Tremblay, Ph.D Nadine Blanchette-Martin, M. Serv. Soc. Pascal Garceau, étudiant en sociologie

Joël Tremblay, Ph.D Nadine Blanchette-Martin, M. Serv. Soc. Pascal Garceau, étudiant en sociologie Portrait de consommation de substances psychoactives de jeunes consultant en centre spécialisé en toxicomanie (PAJT) et provenant du Centre jeunesse de Québec Joël Tremblay, Ph.D Nadine Blanchette-Martin,

Plus en détail

Les ateliers de pratique réflexive lieu d intégration des données probantes, moteur de changement de la pratique

Les ateliers de pratique réflexive lieu d intégration des données probantes, moteur de changement de la pratique Les ateliers de pratique réflexive lieu d intégration des données probantes, moteur de changement de la pratique Préparé par: Rose-Anne Buteau, Inf. Ph D. (c) Sylvie Garand-Rochette, M.Sc.. Monique Thibault,

Plus en détail

NOUVEAU TEST DE PLACEMENT. Niveau A1

NOUVEAU TEST DE PLACEMENT. Niveau A1 NOUVEAU TEST DE PLACEMENT Compréhension écrite et structure de la langue Pour chaque question, choisissez la bonne réponse parmi les lettres A, B, C et D. Ne répondez pas au hasard ; passez à la question

Plus en détail

Une échelle d évaluation semistructurée. B. Gravier

Une échelle d évaluation semistructurée. B. Gravier Une échelle d évaluation semistructurée : la HCR-20 B. Gravier Exemple de jugement clinique structuré: The Historical Clinical Risk Management 20 item scale HCR - 20 Echelle utilisée par les cliniciens

Plus en détail

D où viennent nos émotions

D où viennent nos émotions D où viennent nos émotions Il y a des émotions qui sont vraiment désagréables : l anxiété, la culpabilité, la colère, les grosses rages qui nous réveillent la nuit, la dépression, la tristesse, la peur,

Plus en détail

Quelqu un de votre entourage a-t-il commis un suicide?

Quelqu un de votre entourage a-t-il commis un suicide? Quelqu un de votre entourage a-t-il commis un suicide? Soutien après le suicide d un jeune À la mémoire de Adam Cashen Quelqu un de votre entourage a-t-il commis un suicide? Si une personne de votre entourage

Plus en détail

ACTIVITÉ 1 : LES ADJECTIFS POSSESSIFS

ACTIVITÉ 1 : LES ADJECTIFS POSSESSIFS ACTIVITÉ 1 : LES ADJECTIFS POSSESSIFS 1. Choisis et entoure l adjectif possessif qui convient. a Je ne trouve pas mon / ma / mes lunettes. b Tu veux venir à son / sa / ses fête d anniversaire? c Nous n

Plus en détail

Les usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction

Les usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction Les usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction OFDT Note n 2010-12 Saint-Denis, le 09/08/2010 Introduction Les premières structures

Plus en détail

QUATRE CAS DE BLOCAGES ET CONFLITS LORS D ENTRETIENS PROFESSIONNELS JEU DE ROLE

QUATRE CAS DE BLOCAGES ET CONFLITS LORS D ENTRETIENS PROFESSIONNELS JEU DE ROLE http://mastermop.unblog.fr http://sciencespomanagement.unblog.fr Auteur : Lionel Honoré Professeur des Universités en Management Institut d Etupes Politiques de Rennes lionel.honore@sciencespo-rennes.fr

Plus en détail

Le carnaval des oiseaux

Le carnaval des oiseaux Le carnaval des oiseaux Marie-Jane Pinettes et Jacques Laban Juillet 2001 1 Le carnaval des oiseaux A Camille, Margot et Théo 2 LE CARNAVAL DES OISEAUX Il y a longtemps, mais très, très longtemps, tous

Plus en détail

Guide de l'acheteur. Jean-Philippe Loiselle inc. Courtier immobilier. Tél : 514-766-1000. www.venduparloiselle.com www.remax-quebec.

Guide de l'acheteur. Jean-Philippe Loiselle inc. Courtier immobilier. Tél : 514-766-1000. www.venduparloiselle.com www.remax-quebec. Guide de l'acheteur www.venduparloiselle.com www.remax-quebec.com Tél : 514-766-1000 Merci de me faire confiance! «Dans tout type de marché, la stratégie adaptée à la réalité d'aujourd'hui me permet toujours

Plus en détail

Est-ce que les parents ont toujours raison? Épisode 49

Est-ce que les parents ont toujours raison? Épisode 49 Est-ce que les parents ont toujours raison? Épisode 49 Fiche pédagogique Le thème du 49 e épisode dirige l attention sur une question fondamentale lorsqu il s agit de développer la pensée des enfants,

Plus en détail

Les défis du mandat d une Équipe itinérante : prévenir les glissements

Les défis du mandat d une Équipe itinérante : prévenir les glissements Résumé Les défis du mandat d une Équipe itinérante : prévenir les glissements Ce texte fait partie d une banque de 50 récits de pratiques d intervention en itinérance qui ont été réalisés avec quatre Équipes

Plus en détail

Kerberos mis en scène

Kerberos mis en scène Sébastien Gambs Autour de l authentification : cours 5 1 Kerberos mis en scène Sébastien Gambs (d après un cours de Frédéric Tronel) sgambs@irisa.fr 12 janvier 2015 Sébastien Gambs Autour de l authentification

Plus en détail

www.cyberactionjeunesse.ca

www.cyberactionjeunesse.ca www.cyberactionjeunesse.ca CyberAction Jeunesse Canada 2011 Présentation de l organisme Projet pilote Prévention (approche en amont) Mission Objectif CyberAction Jeunesse Canada 2011 Plan de la présentation

Plus en détail

Le guide s articule autour de quatre thèmes, qui sont incontournables pour bien documenter une situation d aliénation parentale ou de risque:

Le guide s articule autour de quatre thèmes, qui sont incontournables pour bien documenter une situation d aliénation parentale ou de risque: GUIDE D ENTREVUE TROUSSE DE SOUTIEN À L ÉVALUATION DU RISQUE D ALIÉNATION PARENTALE Véronique Lachance Marie-Hélène Gagné Ce guide d entrevue a été conçu pour vous aider à documenter les situations familiales

Plus en détail

Compte rendu : Bourse Explora Sup

Compte rendu : Bourse Explora Sup Compte rendu : Bourse Explora Sup J ai effectué un stage d un mois et demi passionnant au sein de l école de langue anglaise LTC à Brighton. J ai eu par la suite la chance d être embauchée durant un mois

Plus en détail

«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.»

«Tout le monde devrait faire une psychothérapie.» «Tout le monde devrait faire une psychothérapie.» Moins je me connais, mieux je me porte. Clément Rosset, Loin de moi, 1999 Faut-il tout «psychiatriser»? Tout événement de vie difficile tel qu une rupture

Plus en détail

Enseignement des habiletés sociales au secondaire

Enseignement des habiletés sociales au secondaire 1 Enseignement des habiletés sociales au secondaire Groupe 1 : Habiletés sociales de base Habileté 1 : Se présenter Par Sandra Beaulac Fiche de planification Habileté sociale : SE PRÉSENTER Type d atelier

Plus en détail

Épreuve de Compréhension orale

Épreuve de Compréhension orale 60 questions (4 sections) 40 minutes L épreuve de compréhension orale rassemble 4 sections comprenant 60 questions (questions 51 à 110). SECTION A SECTION B 8 questions Associer des illustrations à des

Plus en détail

Prendre des risques : besoin? danger?

Prendre des risques : besoin? danger? LA LETTRE AUX PARENTS N o 6 Prendre des risques : besoin? danger? Cher-s parent-s, Nous avons sous les yeux tous les jours des images de jeunes qui prennent des risques : en faisant du sport, en surfant

Plus en détail

Unité 10. Vers la vie active

Unité 10. Vers la vie active Nom Unité 10 Vers la vie active PARTIE 1 WRITING ACTIVITIES A 1 Les études Les lycéens pensent à leurs professions futures Dites à vos amis ce qu ils devront étudier pour faire le métier dont ils rêvent

Plus en détail

Sondage auprès des employés du réseau de la santé et des services sociaux du Québec - Rapport sommaire -

Sondage auprès des employés du réseau de la santé et des services sociaux du Québec - Rapport sommaire - Sondage auprès des employés du réseau de la santé et des services sociaux du Québec - Rapport sommaire - Juin 2009 1 Objectifs Réalisée par CROP pour le compte de l Association québécoise d établissements

Plus en détail

Différents facteurs impliqués dans l addiction

Différents facteurs impliqués dans l addiction Différents facteurs impliqués dans l addiction Facteurs génétiques Neurobiologiques Circuits, métabolisme, neuroadaptation Développement Puberté Maturation cérébrale Sexe Comportement Tempérament Personnalité

Plus en détail

Le TDAH, c est quoi?

Le TDAH, c est quoi? Le TDAH, c est quoi? Brochure d information pour les enfants atteints du TDAH LE TDAH, C EST QUOI? L abréviation TDAH veut dire «Trouble déficitaire de l attention avec hyperactivité». On l'appelle aussi

Plus en détail

Que fait l Église pour le monde?

Que fait l Église pour le monde? Leçon 7 Que fait l Église pour le monde? Dans notre dernière leçon, nous avons vu que les croyants ont des responsabilités vis-à-vis des autres croyants. Tous font partie de la famille de Dieu. Les chrétiens

Plus en détail

NOM:.. PRENOM:... CLASSE:.. STAGE EN ENTREPRISE. des élèves de...ème Du../../.. au./../.. Collège...

NOM:.. PRENOM:... CLASSE:.. STAGE EN ENTREPRISE. des élèves de...ème Du../../.. au./../.. Collège... NOM:.. PRENOM:... CLASSE:.. STAGE EN ENTREPRISE des élèves de...ème Du../../.. au./../.. Collège......... SOMMAIRE Avant le stage Le cahier de stage. 2 Conseil au stagiaire. 3 Fiche d identité de l élève

Plus en détail

Mon boss ne délègue pas

Mon boss ne délègue pas Situation 3 Mon boss ne délègue pas L importance d une rhétorique soignée Les situations de pur rapport de force Autonomie et contrôle La délégation Explication/justification La situation Pierre, notre

Plus en détail

PAR VOTRE MEDECIN! «FUN», LES CIGARETTES RECOMMANDÉES NOUVELLE PERCÉE MÉDICALE!

PAR VOTRE MEDECIN! «FUN», LES CIGARETTES RECOMMANDÉES NOUVELLE PERCÉE MÉDICALE! «FUN», LES CIGARETTES RECOMMANDÉES PAR VOTRE MEDECIN! OUAH, DOC! JE ME SENS DÉJÀ MIEUX! C EST parce QUE FUN utilise le MEILleur DES TAbacs!! NOUVELLE PERCÉE MÉDICALE! VÉRIDIQUE! On a découvert que les

Plus en détail

LEARNING BY EAR. «Les personnes handicapées en Afrique» EPISODE 10 : «L histoire d Oluanda»

LEARNING BY EAR. «Les personnes handicapées en Afrique» EPISODE 10 : «L histoire d Oluanda» AUTEUR : Chrispin Mwakideu LEARNING BY EAR «Les personnes handicapées en Afrique» EPISODE 10 : «L histoire d Oluanda» EDITEURS : Andrea Schmidt, Susanne Fuchs TRADUCTION : Aude Gensbittel Liste des personnages

Plus en détail

TROP, C EST COMBIEN? Chaque verre compte

TROP, C EST COMBIEN? Chaque verre compte Votre consommation d alcool TROP, C EST COMBIEN? Chaque verre compte Cette brochure explique les effets de l alcool sur votre santé ainsi que sur votre vie sociale, familiale et professionnelle. Elle vous

Plus en détail

Revalorisation de la pratique et rehaussement de la compétence en soins de longue durée

Revalorisation de la pratique et rehaussement de la compétence en soins de longue durée Revalorisation de la pratique et rehaussement de la compétence en soins de longue durée Marie-Josée Béliveau, inf. Gaétane Boucher, inf. B. Sc. Monique Bourque, inf. M.A. Carole Brousseau, inf. B. Sc.

Plus en détail

QU EST-CE QUI VOUS MÈNE: LA TÊTE OU LE COEUR?

QU EST-CE QUI VOUS MÈNE: LA TÊTE OU LE COEUR? QU EST-CE QUI VOUS MÈNE: LA TÊTE OU LE COEUR? Source: DUMONT, Nicole. Femmes d aujourd hui, Vol. 1 No. 8., janvier 1996. On dit de certaines personnes qu elles n ont pas de tête ou qu elles n ont pas de

Plus en détail

iceps 2015 Objectifs de la Présentation Efficacité des Thérapies Comportementales et Cognitives pour les Troubles Mentaux Swendsen

iceps 2015 Objectifs de la Présentation Efficacité des Thérapies Comportementales et Cognitives pour les Troubles Mentaux Swendsen iceps 2015 Efficacité des Thérapies Comportementales et Cognitives pour les Troubles Mentaux Joel Swendsen, Ph.D. CNRS 5287 CNRS / Université de Bordeaux / EPHE Sorbonne Objectifs de la Présentation Tapez

Plus en détail

Le menu du jour, un outil au service de la mise en mémoire

Le menu du jour, un outil au service de la mise en mémoire Le menu du jour, un outil au service de la mise en mémoire Type d outil : Outil pour favoriser la mise en mémoire et développer des démarches propres à la gestion mentale. Auteur(s) : Sarah Vercruysse,

Plus en détail

LE DISCOURS RAPPORTÉ

LE DISCOURS RAPPORTÉ LE DISCOURS RAPPORTÉ Le discours rapporté Le discours rapporté direct et indirect On parle de discours rapporté quand une personne rapporte les paroles d une autre personne ou bien ses propres paroles.

Plus en détail

L aide aux aidants. Psychologue clinicienne. Capacité de gériatrie mars 2009

L aide aux aidants. Psychologue clinicienne. Capacité de gériatrie mars 2009 L aide aux aidants Aude Comberieu Psychologue clinicienne Hôpital Émile Roux Capacité de gériatrie mars 2009 Définition L aidant naturel L aidant non professionnel L aidant familial «L aidant familial

Plus en détail

6Des lunettes pour ceux qui en ont besoin

6Des lunettes pour ceux qui en ont besoin 6Des lunettes pour ceux qui en ont besoin Des lunettes pour ceux qui en ont besoin De nombreuses personnes dans le monde sont atteintes d erreurs de réfraction. Cela signifie que leurs yeux ne voient pas

Plus en détail

OLIVER L ENFANT QUI ENTENDAIT MAL

OLIVER L ENFANT QUI ENTENDAIT MAL OLIVER L ENFANT QUI ENTENDAIT MAL «Oliver l enfant qui entendait mal» est dédié à mon frère, Patrick, qui est malentendant, à la famille, aux amis, et aux professionnels, qui s impliquèrent pour l aider.

Plus en détail

4720.5560.46 (septembre 2009) 30 %

4720.5560.46 (septembre 2009) 30 % 4720.5560.46 (septembre 2009) 30 % Prévenir le jeu excessif chez les adolescents C est toujours gagnant! Pourquoi ce dépliant? [ ] Le rôle des parents est déterminant dans la prévention du jeu excessif

Plus en détail

Sommaire DITES-MOI UN PEU

Sommaire DITES-MOI UN PEU 168 Sommaire L amour....................................page 5 Les superstitions...............................page 13 La gastronomie...............................page 23 L argent....................................page

Plus en détail

LEARNING BY EAR. «Les personnes handicapées en Afrique» EPISODE 4 : «Handicapé mais pas incapable»

LEARNING BY EAR. «Les personnes handicapées en Afrique» EPISODE 4 : «Handicapé mais pas incapable» LEARNING BY EAR «Les personnes handicapées en Afrique» EPISODE 4 : «Handicapé mais pas incapable» AUTEUR : Chrispin Mwakideu EDITEURS : Andrea Schmidt, Susanne Fuchs TRADUCTION : Aude Gensbittel Liste

Plus en détail

Rebecca Léo Thomas Gaspard

Rebecca Léo Thomas Gaspard Parfois on va à l'école parce que nos parents n'ont pas le temps, ou sinon nos parents ne savent pas tout. On va à l école pour avoir un bon métier et une belle maison, pour développer notre intelligence,

Plus en détail

La thérapie alternative : se (re)mettre en mouvement

La thérapie alternative : se (re)mettre en mouvement La thérapie alternative : se (re)mettre en mouvement Lourdes Rodriguez, Ellen Corin et Lorraine Guay C est du côté de la vie qu on guérit GERRY BOULET P arler d un regard alternatif sur le traitement en

Plus en détail

Je veux apprendre! Chansons pour les Droits de l enfant. Texte de la comédie musicale. Fabien Bouvier & les petits Serruriers Magiques

Je veux apprendre! Chansons pour les Droits de l enfant. Texte de la comédie musicale. Fabien Bouvier & les petits Serruriers Magiques Je veux apprendre! Chansons pour les Droits de l enfant Texte de la comédie musicale Fabien Bouvier & les petits Serruriers Magiques Les Serruriers Magiques 2013 2 Sommaire Intentions, adaptations, Droits

Plus en détail

testez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité!

testez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité! : t i u t a r g t i Extra testez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité! Enoncé Un fan de casino Vous êtes praticien dans la belle ville d Enghien (célèbre pour son casino ). Vous recevez Joël 43

Plus en détail

Auxiliaire avoir au présent + participe passé

Auxiliaire avoir au présent + participe passé LE PASSÉ COMPOSÉ 1 1. FORMATION DU PASSÉ COMPOSÉ Formation : Auxiliaire avoir au présent + participe passé PARLER MANGER REGARDER J ai parlé Tu as parlé Il/elle/on a parlé Nous avons parlé Vous avez parlé

Plus en détail