Plan de présentation
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- François-Xavier Roux
- il y a 8 ans
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1 L influence du réseau social sur la de substances psychoactives chez une clientèle présentant des troubles concomitants Didier Acier, Ph.D. Psychologue chercheur Centre Dollard-Cormier Institut universitaire sur les dépendances Plan de présentation Le réseau social L étude qualitative Les résultats Conclusion 2
2 Le réseau social Le réseau social fait référence aux liens qu entretiennent entre eux un ensemble d individus. Il se compose du réseau familial, du réseau des relations et des pairs, et du réseau des acteurs des services de santé. Le réseau familial fait référence aux personnes liées entre elles par le mariage et la filiation, incluant principalement le conjoint, les enfants et la famille élargie. Le réseau des relations et des pairs fait référence aux relations de travail, d amitié ou aux personnes vivant des conditions semblables. Le réseau des acteurs de la santé fait référence aux individus oeuvrant au soutien des personnes présentant des troubles concomitants. 3 Le réseau familial L implication du réseau familial auprès d usagers est associé à une diminution de la mais n a pas d effet sur les symptômes de santé mentale (Clark, 2001); L implication du réseau familial est associé à une plus grande utilisation de substances et des risques de rechute (Fitcher et al., 1997); Il a aussi été associée à un impact positif au niveau de la poursuite de l abstinence, de la réduction des rechutes, des symptômes psychiatriques et du fonctionnement général (Mueser et al., 2003). 4
3 Le réseau des relations et des pairs Le réseau des pairs consommateurs continuent d être présents dans le réseau des personnes présentant des troubles concomitants en rémission (Tracy & Biegel, 2006); Il y a une association positive entre un nombre élevé de contact avec les groupes d entraide et des pairs non consommateurs et une amélioration globale du fonctionnement (Trumbetta et al, 1999). 5 Le réseau des acteurs de la santé Les contacts avec le personnel clinique des centres de traitement sont une forme aussi importante de soutien social que les contacts avec les pairs non-consommateurs (MacDonald et al., 2004); Une relation constructive et établie avec des rendez-vous réguliers avec un intervenant du milieu professionnel est un élément de rémission (recherche qualitative de Alverson, et al., 2000). 6
4 Le réseau social en bref Le réseau social est un élément explicatif - à la fois positif et négatif - des symptômes en santé mentale et en dépendances, c'est-à-dire que le réseau social peut autant soutenir que nuire à la réadaptation (Tracy & Biegel, 2006). 7 Ce que disent les usagers Les raisons données par les personnes pour expliquer une problématique ou une rechute sont : 1) des raisons d ordre social, c'est-à-dire afin de faciliter les relations interpersonnelles et d avoir l impression d appartenir au groupe (Mueser, et al., 1998; Laudet, et al., 2004; Walton, et al., 2003); 2) pour soulager des symptômes dépressifs, anxieux, une mauvaise image de soi, pour échapper à l ennui et à la réalité (Havassy, et al., 2004; Bradizza & Stasiewick, 2003; Gearon, et al., 2001). 8
5 Plan de présentation Le réseau social L étude qualitative Les résultats Conclusion 9 Caractéristiques de l échantillon Usagers du Centre Dollard-Cormier Institut universitaire sur les dépendances N= 22 (13 et 9 ); Age moyen = 49 ans (30 à 70) Revenu moyen : $/an 17 participants vivent seuls, 5 vivent avec un conjoint(e) Usage problématique de SPA: Alcool uniquement (9), Alcool et cocaïne (7), Alcool et cannabis (5), Alcool, cocaïne et cannabis (1); Psychopathologie: troubles de l humeur (16); troubles anxieux (6); troubles de la personnalité (6); psychose & schizophrénie (5). 10
6 Les personnes présentant des troubles concomitants Dépendance ++ Santé mentale -- Dépendance ++ Santé mentale ++ Gravité de la dépendance Dépendance -- Santé mentale -- Dépendance -- Santé mentale ++ Gravité des troubles mentaux 11 Méthodologie qualitative Entrevue centrée (90mn environ) Question ouverte: «Je voudrais que vous me parliez de vos moments de diminution de. Que s est-il passé pour que votre d alcool (et de drogue, si applicable) diminue?» 12
7 La méthodologie et les analyses qualitatives Enregistrement numérique Transcription des verbatim Création d une liste de codes Codage (Logiciel N vivo) Contre-codage (n=6, taux d accord de 77,77%) 13 Plan de présentation Le réseau social L étude qualitative Les résultats Conclusion 14
8 Résultats qualitatifs 1) Les éléments de diminution de la de SPA 2) Les éléments de progression de la de SPA 15 Éléments de diminution de Quatre situations du réseau familial sont décrites pour expliquer une diminution de : (1) un soutien positif (7/22) : (P3) «ma mère m encourageait» (505), (P12) «mon entourage m a aidé, les gens autour de moi étaient contents que je ne consomme plus» (345), (2) les responsabilités familiales du participant (4/22): (P23) «Si mon fils n avait pas été là j aurais sans doute consommé encore plus, mais là je ne pouvais pas parce que j avais une responsabilité» (362), (3) les réactions négatives de la famille (3/22): (P6) «Qu est-ce qui m a fait vraiment arrêté, c est de voir le malheur que je causais à ma famille et puis surtout à ma sœur» (218); (4) le besoin de cacher la à la famille (2/22) : (P2) «Ma mère est venue pour les fêtes. J ai arrêté pour elle, mais je shakais comme une feuille et ça n allait pas bien. Si tôt qu elle est repartie, je suis retombé.» (652). 16
9 Éléments de diminution de Trois situations du réseau familial (relation de couple) sont décrites pour expliquer une diminution de : (1) un(e) conjoint(e) sobre (7/22); (2) des conflits de couple (4/22) : (P21) «Oui, ça a joué sur la en ce sens que quand elle avait la certitude que je consommais, moi, j arrêtais, parce que je voulais pas me faire mettre dehors» ( 713); (3) un nouveau conjoint(e) (2/22) : (P2) «Le fait d être en amour ça fait disparaître toutes les envies de boire» (412). 17 Éléments de diminution de Au niveau des acteurs du réseau de la santé, les usagers font référence aux suivis cliniques: P(3) «Elle m'apporte pas des réponses, mais elle m'aide a les trouver. C est juste le fait de parler, des fois on trouve des solutions. Alors c'est encore aidant pour moi, étant donné que je bois plus peut-être qu'on va se perdre et qu'on ne se verra plus, mais j'aimerais ça que le dossier ne soit pas fermé tout à fait.» (715) 18
10 Éléments de diminution de L'utilisation des groupes d entraide (A.A., C.A., N.A.) (8/22) est nommée comme élément de diminution de la. 1) l importance d'être en groupe et d avoir des échanges avec les autres participants (8/22): P10: «( ) Là je comprends l'utilité, peut-être pas nécessairement du meeting mais l'utilité d'être dans une communauté et de m'y identifier. Fait que souvent, je vais retourner à la clinique, je vois des gens, j'ai un port d'attache, déjà là, ça m'aide.» (508). P18: «Parce que la première année que j'ai été là, dans le temps des Fêtes, ils ont fait un party. J'ai jamais vu ça, avoir du fun sans boire. C'était extraordinaire, on a fait des jeux, on a fait des folies. C'est pas du monde qui me connaissait depuis longtemps. C'est comme beaucoup d'entraide.» (487). 19 Éléments de diminution de Le réseau des relations et des pairs (6/22) réfère à trois situations: (1) une présence soutenante (4/22) : (P5) «Qu est-ce qui m a le plus aidé? Mes amis, d avoir mes amis, ça m a aidé. Mes vrais amis [ ] j ai parlé énormément avec Nancy. J y ai raconté ma vie. Juste de parler ça m a fait du bien, puis elle m écoutait, elle m a écouté pendant une semaine» (606); (2) des conflits ou des confrontations (2/22) : (P5) «J étais gelé sur l acide et puis elle m a dit "Ça fait deux ans que je te connais puis ça fait deux ans que tu dis ça [je vais arrêter de consommer et faire des études].» Elle a dit : «Ferme donc ta gueule! Quand tu feras quelque chose pour de vrai tu nous en reparleras.» (292); (3) l évitement des pairs consommateurs (2/22) : (P13) «Ça fait que pour toi c est que ces gens-là deviennent un peu plates, désagréables même à certains moments. Pis pour eux t es pas sur la même longueur d ondes. Cela fait qu à un moment donné les chemins se séparent» (608). 20
11 Résultats qualitatifs 1) Les éléments de diminution de la de SPA 2) Les éléments de progression de la de SPA 21 Éléments de progression de la Trois situations du réseau familial (relations de couple) (12/22) sont décrites pour expliquer une augmentation de la : (1) le partenaire comme incitateur (6/22) : (P2) «Elle fumait une couple de joints par jour. C est là que j ai recommencé à fumer parce que j fumais pas avant. Ça faisait 20 ans que j fumais pas" (79); (2) une rupture amoureuse (5/22) (P12) «Le déclencheur là j dirais que ça été la rupture avec le conjoint» (287); (3) la SPA comme moyen pour favoriser la relation (3/22) : (P16) «Elle venait au meeting A.A. mais elle avait bu avant, elle avait bu après Fait que j ai dit je vais me mettre au niveau à son niveau. C est grave pour aller chercher une femme: je me suis mis au niveau de sa boisson» (1007). 22
12 Éléments de progression de la Deux situations du réseau des relations et des pairs sont décrites pour expliquer une augmentation de la : (1) la SPA comme élément de socialisation (8/22) : (P5) «C était une gang de trippeux, on se tenait ensemble parce que tout le monde consommait pis on allait dans les raves pis on était tout le temps gelé» (237). Ces relations sont parfois les seules personnes à être présentes dans l entourage : (P14) «Moi, c était de me départir des gens qui m entouraient, pis qui étaient soi-disant amis. Ça je dois dire honnêtement, ce n est pas facile! Et puis c est que tu te retrouves toute seule après. Je veux dire t en as plus de personne autour de toi là.» (747); (2) les pairs comme incitateur (5/22) : (P13) «Ça m a quasiment fait retomber dedans parce que c était trop fort, elle insistait: «Awowe, prend un verre, c est pas plus grave que ça!» (171) ou qui passe par l apprentissage d un nouveau produit ou d une nouvelle technique de : (P6) «J étais dans les appartements supervisés, y en a qui les prenaient pis qui les sniffaient. Y les écrasaient, pis les sniffaient. Moi j ai essayé ça avec le kemadrin, ça donnait un buzz [ ]. " (489). 23 Éléments de progression de la Le réseau familial (11/22) réfère à trois situations: (1) le décès d un membre de la famille (4/22) : (P4) «J étais dans une période d abstinence, quand ma grand-mère est décédée, j ai recommencé à boire» (801); (2) un conflit avec un membre de la famille (4/22) : (P5) «Mon père, c est une des raisons aussi pourquoi j ai commencé à me geler comme ça, parce que dans le temps ma sœur m a dit que mon père avait abusé d elle. Cela fait que ça m a décrissé complètement là, c était ce même soir-là, j suis parti sur un trip d acide pis ça a duré jusqu au moment j ai été gelé jusqu au moment où je rentre en désintox» (296); (3) la de SPA qui se déroule en famille (3/22) : (P16) «Les party [de famille], c est quand que y avait des caisses de bière. C est facile quand y avait de la bière, on parlait, pis on chantait mais quand que y avait plus de bière, tout le monde s en allait (433). 24
13 Éléments de progression de la Au niveau du réseau des acteurs de la santé (7/22), cinq situations sont rapportés pour expliquer une augmentation de la : (1) un arrêt prématuré de psychothérapie (3/22) : "[ ] parce que aussitôt que j ai lâché Dollard-Cormier je voyais plus ma thérapeute j ai recommencé à boire et là il n y avait plus de limites. " (P23, 258); (2) une intoxication à l alcool juste avant l entrée en désintoxication (2/22) : "J avais pris quatre bouteilles la veille d aller [en traitement] parce que je savais que j allais me faire désintoxiquer. Ça ne faisait pas mon affaire. J ai fait un méchant black-out." (P18, 23); (3) sortir d un milieu interne protégé (1/22) : "Tout le monde est de bonne humeur. Il n y a pas personne qui a soif là-dedans, mais plus la date de la sortie approche et plus les gens deviennent anxieux. [ ] on sortait le vendredi et ils nous reconvoquaient le lundi matin. Sur 12, il y en avait 11 qui avaient bu." (P1, 255); (4) de la recommandation de l approche du «boire contrôlé» par un intervenant (1/22); (5) la prescription d un antidépresseur qui permet au participant de consommer encore plus d alcool car il se sent de bonne humeur (1/22). 25 Plan de présentation Le réseau social L étude qualitative Les résultats Conclusion 26
14 Réflexions sur les interventions cliniques (1/2) 1) le personnel clinique comme partie prenante du réseau social Le personnel clinique offre des services et des suivis qui peuvent être vécus par les usagers comme des relations substitutives. Ce transfert est peut être exacerbé car les usagers présentent souvent un réseau social réduit ou déficitaire. On peut penser que les participants qui utilisent les services et viennent chercher des informations, outils et techniques ont aussi besoin d investir une relation humaine dans un monde relationnel difficile. Il est peut être pertinent de s interroger sur la nécessité clinique de mettre une fin définitive à une période de consultation pour une personne présentant des troubles concomitants. Des alternatives sont possibles, comme des suivis aux 6 mois ou un suivi téléphonique. 27 Réflexions sur les interventions cliniques (2/2) 2) Les interventions sur les compétences interpersonnelles et le réseau social Le développement des compétences sociales peut jouer un rôle important dans la construction d un réseau social. Il s agit de compétences au niveau de la capacité à créer des contacts et engager la discussion, demander de l aide, résister aux pressions des pairs, gérer les limites relationnelles. L évaluation du réseau social, en termes de structures, interactions et fonctions peut aider à la fois le clinicien et le patient à identifier des sources de support et des sources de tensions qui peuvent avoir un impact sur les variations de (pratique basée sur des données probantes, Drake et al., 2001). 28
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