GUIDE DES BONNES PRATIQUES. Fédération Nationale des Centres Mémoire de Ressources et de Recherche F CMRR
|
|
- Sarah Girard
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 GUIDE DES BONNES PRATIQUES Fédération Nationale des Centres Mémoire de Ressources et de Recherche F CMRR Ce guide répond à l information mentionnée dans le paragraphe 1 de la circulaire du 20 octobre 2011 relative à l organisation de l offre diagnostique et de suivi pour les personnes atteintes de la maladie d Alzheimer ou de maladies apparentées. Il est rédigé par la Fédération Nationale des Centres Mémoire de Ressources et de Recherche avec pour objectif d être diffusé aux structures impliquées dans le diagnostic de la maladie d Alzheimer et des maladies apparentées. Ce guide est composé de trois parties. La première est centrée autour du rappel des droits des personnes malades tout au long du parcours d une maladie d Alzheimer ou apparentée. La deuxième partie recense les conditions qui peuvent faciliter la mise en œuvre des droits des personnes. La troisième partie est composée comme un glossaire permettant de compléter certains termes ou propositions énoncées dans la circulaire. Ce guide a été réalisé par un groupe de travail de la Fédération composé des personnes suivantes : Groupe de travail : Assémat Eric (CM Gap), Ceccaldi Mathieu (CMRR Marseille), Dasriaux Michel (MG Dijon), Godefroy Olivier (CMRR Amiens), Krolac Salmon Pierre (CMRR Lyon), Ménard Joël (FCS Paris), Novella Jean (CMRR Reims), Poncet Michel (CMRR Marseille), Robert Philippe (CMRR Nice), Sellal François (CMRR Strasbourg), Touchon Jacques (CMRR Montpellier) 1
2 I - Les droits de la personne malade tout au long du parcours d une maladie d Alzheimer ou d une maladie apparentée Le présent document à été élaboré par un groupe de médecins travaillant en Centre Mémoire de Ressources et de Recherche, Centre Mémoire, ou en cabinet libéral dans le cadre du travail préliminaire de réflexion sur l élaboration de la nouvelle circulaire relative à l organisation de l offre de diagnostic et de suivi pour les personnes atteintes de la maladie d Alzheimer ou de maladie apparentées. Le texte se compose de paragraphes courts qui ont pour objectif de souligner des points clés de la rencontre entre le patient, sa famille et les professionnels de santé. 1. Les droits auprès du médecin traitant a) Trouver auprès du médecin référent le temps d écoute nécessaire pour évaluer la réalité et l intensité d une plainte cognitive (essentiellement mémoire ou changement pouvant faire évoquer une origine cognitive dont les erreurs répétées dans la prise de médicaments) ou comportementale. Cette plainte peut-être formulée par la personne malade elle-même ou par son accompagnant, avec parfois une méconnaissance du trouble par la personne malade. b) Bénéficier d un temps spécifique du médecin référent pour repérer et analyser plus en détail le symptôme, qui, lorsqu il est confirmé, doit déclencher une évaluation plus spécialisé. c) Préparer d un point de vue médical et administratif la consultation spécialisée. Cette demande et les renseignements pertinents sont formulés dans un document écrit, confié à la personne malade et à sa famille, et/ou transmis par fax ou par au spécialiste contacté. d) Lorsque le diagnostic de trouble cognitif ou maladie d Alzheimer ou apparentée a été confirmé par le spécialiste : bénéficier d une poursuite de l annonce diagnostique, du traitement, de l ALD 15 et avoir accès, avec l aide du médecin référent et du spécialiste, aux structures et aides, médicales, paramédicales, sociales, intégrées au sein d une MAIA aux associations, ce qui assurera l adaptation ultérieure des aides à l évolutivité des troubles. e) Avoir un accès régulier auprès du médecin référent pour permettre la réalisation du traitement le plus adapté, prévenir les complications conseiller un aménagement le meilleur possible du cadre de vie (cadre de vie d une manière optimale) et bénéficier d explications sur les traitements médicamenteux et non médicamenteux. f) Bénéficier pour l'aidant d'un appui médical renforcé. La surveillance périodique de l'état de santé de l'accompagnant ainsi que les conseils médico sociaux sont indispensables pour une meilleure prise en soins de celui ci. L'aidant est en effet exposé à des facteurs de risque santé importants induits par l'attention portée au malade dont les besoins d'aide sont croissants 2
3 g) Obtenir pour l ensemble de la famille des conseils de prévention renforcés pour contribuer, en lien avec la consultation spécialisée, à répondre aux interrogations diverses concernant le risque familial mais aussi à donner des conseils de prévention. h) Obtenir dans les délais recommandés (et donc parfois rapidement), une consultation supplémentaire pour toute aggravation de la condition médicale psychologique ou sociale apparaissant durant le suivi d une maladie d Alzheimer ou apparentée. Cette notion de consultation supplémentaire se surajoute au suivi régulier réalisé en partenariat avec le spécialiste et est particulièrement importante en cas de survenue de troubles du comportement. 2. Les droits auprès des spécialistes Bénéficier d un avis de proximité proposé par le médecin référent auprès de l un des deux points de contact initiaux suivants, selon les circonstances : un spécialiste libéral ou une consultation mémoire. L avis du Centre Mémoire de Ressources et Recherche est envisagé en première ligne par le médecin référent lorsqu il s agit de la consultation mémoire la plus proche ou dans les cas d emblée complexes ; le Centre Mémoire de Ressources et Recherche peut être sollicité en 2 ligne par le 1 spécialiste consulté. b) Informer/renseigner précisément pour préparer d un point de vue médical et administratif la consultation de réponse à la question posée par le médecin référent. Celle-ci est formulée dans un document écrit, confié à la personne malade et à sa famille, et/ou transmis par fax ou par au médecin référent. c) Etre accueilli sur le lieu de consultation spécialisée dans des locaux qui soient adaptés aux particularités de la maladie, que sont : - la présence le plus souvent nécessaire de deux personnes : la personne malade et celle qui l aide - la pratique d un examen clinique qui nécessite des explorations de la mobilité et de la marche - la nécessité fréquente de plusieurs intervenants : médecins (gériatre, et/ou neurologue et/ou psychiatre), et personnels de soins et d accompagnement (infirmière, neuropsychologue, psychologue, assistante sociale, diététicienne ). Ces contacts successifs exigent une forte privatisation des dialogues, et souvent plusieurs contacts de la personne malade et son accompagnant, dans un intervalle de temps d une à trois heures - la nécessité d un environnement d accès facile (accueil, espaces, couleurs, personnes, accessibilité des toilettes) qui ne soit pas perçu comme agressif, bruyant ou déroutant, afin de ne pas déclencher ou aggraver des troubles du comportement - la possibilité d avoir en une demi-journée deux avis médicaux si nécessaire : neurologique et psychiatrique, psychiatrique et gériatrique, gériatrique et neurologique. En cas de nécessité les mêmes principes de fonctionnement s appliquent à l exercice libéral des neurologues, gériatres et 3
4 psychiatres. d) Avoir accès aux examens complémentaires recommandés, selon la présentation clinique analysée avant toute prescription d examens supplémentaires, en particulier tests neuropsychologiques extensifs, imagerie cérébrale (IRM, PET) et biologie (PL), tout en rencontrant les conditions de qualité, de confort et de sécurité maximales et en évitant les déplacements multiples et les trop longues attentes en situation d incertitude après l évocation du diagnostic (éviter une attente trop importante des résultats). e) Bénéficier le moment venu d une consultation d annonce, après retour des résultats des examens supplémentaires recommandés. Celle-ci vise à présenter les résultats de l ensemble des examens réalisés, partager un diagnostic de probabilité, négocier un projet thérapeutique global et répondre en priorité aux questions posées par la personne malade et par son accompagnant, et à anticiper les questions qui ne sont pas formulées explicitement. De contenu très variable d une personne malade à l autre, cette consultation médicale peut être adossée à un entretien avec un psychologue. Cette consultation peut initier, selon les questions spécifiques à chaque personne malade et à chaque famille, l information sur l accès aux ressources médicales, paramédicales et administratives susceptibles d être utiles à court et moyen terme. Cette consultation conduit la personne et son accompagnant vers le système local d intégration des soins dans les structures qui interagissent au sein d une MAIA. Elle indique très tôt l appui que peuvent donner les associations de malades et en particulier l Association France-Alzheimer départementale, par exemple pour les programmes de sensibilisation à la maladie et le soutien psychologique. Elle commence ainsi à préparer la mobilisation des ressources médicales, paramédicales et sociales prévisibles autour de la personne malade et de sa famille, pour la première année de suivi après l annonce du diagnostic. f) Avoir accès avec l accompagnant, le moment venu, à une information précise, complète, objective, sur les recherches cliniques en cours. Si l état clinique est susceptible de permettre de participer à l une des études d observation ou d intervention autorisées par les Comités de Protection des Personnes et l Agence Française de Sécurité des Produits de Santé, tout doit être organisé pour que le patient et son aidant en soient informés et orientés vers le spécialiste ou centre participant à cette étude. En pratique, cela nécessite qu un personnel entraîné informe le patient et son aidant de la ou des recherches auxquelles il pourrait participer, et qu il recueille, le cas échéant, par étapes parfois, le consentement informé de participation volontaire à la recherche. Des documents écrits d information générale sont utilement mis à la disposition de tous les consultants, mais ils ne remplacent pas une information longue et personnalisée, selon les critères des études de recherche en cours. g) En dehors du suivi annuel programmé, avoir la possibilité d un accès prioritaire à l équipe médicale initialement concernée par le médecin référent, quand il estime avoir besoin d une nouvelle évaluation de la situation clinique de la personne malade ou de son environnement 4
5 familial, tout particulièrement dans le cas des trouble du comportement. Ceci doit pouvoir faciliter l accès aux structures adaptées. h) Pouvoir faire bénéficier sa famille, le cas échéant, d une consultation de génétique II - Il existe certaines conditions qui peuvent faciliter la mise en œuvre pratique des droits des personnes susceptibles d avoir ou ayant une maladie d Alzheimer ou une pathologie apparentée dans les hôpitaux publics. Cette mise en pratique repose sur les conditions suivantes : Un effort spécifique d organisation (personnels et locaux) des consultations de mémoire, des centres de mémoire de ressources et de recherche et de l ensemble des structures hospitalières, est nécessaire pour s adapter aux spécificités de ces maladies tant chez la personne malade que l accompagnant. La présence de troubles du comportement, allant de l apathie à l agitation, peuvent rendre la prise en charge particulièrement complexe. Ces conditions de fonctionnement sont de la responsabilité du directeur d établissement et du responsable médical de la structure de Consultation de Mémoire ou de Consultation de Mémoire et de Recherche. a) Le poste de prise en compte des rendez-vous est tenu par un personnel paramédical ou administratif spécifiquement entraîné pour ces maladies. Cela concerne les rendez-vous initiaux ou ultérieurs. L utilisation de l Internet et des mails est appelée à se développer à côté des rendez-vous téléphoniques usuels, et les équipements appropriés doivent être disponibles, en particulier dans chacune des pièces de consultation. b) Les locaux d attente des consultations et des examens doivent au minimum permettre l accueil de deux personnes par consultation, avec la file d attente la moins longue possible. Ces locaux doivent êtres accessibles aux fauteuils roulants et brancards. c) Les bureaux situés dans les consultations doivent être disposés de telle sorte qu au moins deux médecins et un neuropsychologue, ou un médecin et deux infirmières, ou un médecin, un neuropsychologue et une assistante sociale, puissent exercer simultanément dix demi-journées par semaine. Un bureau libre, au moins, doit permettre, à la demande, l accès de la personne malade et de son accompagnant à d autres professionnels du soin ou de l accompagnement social venus sur demande face à un problème inattendu. Un bureau supplémentaire, au minimum, est destiné à la recherche clinique, tandis que le stockage des documents réglementaires doit être organisé, au niveau de l établissement hospitalier (documents sources et biothèques entre autres). Idéalement, un site de prélèvement sanguin, voire de prélèvement de liquide céphalo-rachidien peut être 5
6 organisé dans les sites qui privilégient une activité de consultation de longue durée à une activité d hospitalisation de jour. d) Chaque bureau de consultation doit être pourvu d un téléphone, d un ordinateur (ou permettre l utilisation d un ordinateur personnel), et d un accès direct à l Internet. Les conditions d examen clinique nécessitent de donner la possibilité d étudier la marche de la personne malade, et de faire un examen clinique en position allongée. Le site de déshabillage de la personne malade doit pouvoir assurer le confort nécessaire à des personnes âgées et handicapées. L accès direct à l Internet est indispensable sur le site de la consultation (accès logiciels soins, imagerie, bases pharmacologiques, tests informatisés, études cliniques, essais thérapeutiques et saisie des données qui alimentent la Banque Nationale Alzheimer). e) Une hospitalisation de jour peut être le moyen le plus pratique de regrouper des avis multiples et des examens multiples, conformément à l instruction N DGOS/R/2010/201 du 15 Juin 2010 relative aux conditions de facturation d un groupe homogène de séjour (GHS) pour les prises en charge hospitalières de moins d une journée. L hospitalisation de jour est susceptible de simplifier la démarche diagnostique et thérapeutique, d autant plus utilement que (1) le nombre d examens indispensables au diagnostic précis, au pronostic et à la prise en compte des comorbidités est grand, (2) que les partenaires nécessaires à prise en soin sont multiples, (3) que le patient réside à distance des sites d examens complémentaires et qu il présente des difficultés de déplacement (liés à des troubles moteurs, cognitifs ou comportementaux) pour effectuer les examens ou les soins, (4) que la réalisation de ce bilan chez un patient fragilisé, requiert un environnement adapté, avec des périodes de repos. L hospitalisation de jour peut bénéficier, selon les cas, de structures existantes d hospitalisation de jour de gériatrie, neurologie ou psychiatrie ou être autonome. Elle est destinée à éviter l hospitalisation de longue durée comme la répétition de consultations externes en série et les déplacements de la personne malade entre différents sites. Elle ne doit pas, sauf exception, remplacer la consultation simple, quand celle-ci peut suffire à orienter très simplement la démarche diagnostique et thérapeutique, selon les particularités de chaque personne malade pour ce qui concerne sa pathologie, son lieu de vie, sa condition socioculturelle et ses possibilités d être accompagnée. En général, l hospitalisation de jour est précédée d une première consultation, suivie d une consultation de synthèse et d annonce. Une bonne organisation locale peut éventuellement permettre de faire dans un CMRR une programmation efficiente de l hospitalisation de jour par un partenaire extérieur (neurologue libéral ou consultation mémoire) travaillant en réseau et partagent, par des réunions périodiques, l analyse des dossiers des personnes malades et la lecture critique de la littérature médicale. La même possibilité peut exister entre neurologues libéraux ou médecins généralistes d un côté, et consultation de mémoire de l autre, quand les actions de formation nécessaires ont été validées, et le travail en réseau organisé. Dans tous les cas, l'hospitalisation de jour doit faire l'objet d'un compte-rendu détaillé, émanant d'une réunion de synthèse, effectuée au décours de sa tenue, et réunissant les différents intervenants impliqués. Ce compte-rendu ne peut être limité à une reproduction standardisée et brute des résultats des bilans psychométriques et des divers examens 6
7 pratiqués. Son contenu doit être adapté à la singularité du cas de chaque patient et inclure une conclusion claire, compréhensible par tous les médecins impliqués (notamment le médecin référent) et utile pour le plan de prise en soins. f) Un cahier de bonnes pratiques cliniques est rédigé par l ensemble du personnel médical et paramédical de la consultation de mémoire ou de mémoire de ressources et de recherches, sous la responsabilité du coordinateur du Centre de Mémoire ou du Centre de Mémoire de Ressources et de Recherches. Outre la description détaillée des parcours possibles de la personne malade et de son accompagnant, et la circulation de l information dans l établissement hospitalier et en dehors de lui, ce document de référence inclut le détail des procédures cliniques tels que la ponction lombaire et le traitement des échantillons de liquide biologique, urines, sang, liquide céphalo-rachidien. g) Le retour des examens complémentaires pratiqués dans l établissement hospitalier et en dehors de lui doit être organisé et responsabilisé, en particulier, éventuellement, en liaison avec le poste chargé des rendez-vous de première consultation et de suivi, en veillant à la circulation immédiate des nouvelles informations collectées, en particulier auprès de médecin référent de la personne malade. h) Le secrétariat médical peut avoir des fonctions variables selon l organisation d ensemble, en prenant en compte les organisations locales et l attention portée au poste d orientation des personnes malades et des familles. Il est responsable de la circulation rapide et de la fiabilité des informations indispensables aux multiples partenaires concernés, dont le nombre et les caractéristiques varient selon l avancement de la maladie, les pathologies associées, les conditions de vie, en particulier le médecin référent ou le médecin qui a conduit la personne malade à ce contact hospitalier et la MAIA. i) Chaque centre de mémoire et chaque centre de mémoire de ressources et de recherche doit s inscrire dans une démarche qualité, de préférence en collaboration entre plusieurs sites. Elle détermine annuellement ses objectifs et choisit des indicateurs. La démarche qualité peut porter sur les échanges entre les intervenants, l efficience des méthodes de diagnostic, l annonce ou l information sur la recherche et d autres sujets choisis collectivement avec les professionnels de santé et d aide sociale hospitaliers et extrahospitaliers et les associations France Alzheimer. 7
Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailL hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines
L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau
Plus en détailDélivrance de l information à la personne sur son état de santé
Délivrance de l information à la personne sur son état de santé Mai 2012 Préambule Le contenu et les qualités de l information Les modalités de la délivrance de l information L information du mineur, du
Plus en détailProjet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale :
Projet de santé Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Adresse du siège social : Téléphone : Mail : Version : Etablie en date
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailAnnexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient
Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble
Plus en détailLa prise en charge de votre épilepsie
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre épilepsie Vivre avec une épilepsie sévère Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailLa prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin
Plus en détailprise en charge paramédicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailadmission directe du patient en UNV ou en USINV
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détailLe référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique
A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme
Plus en détailL ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES
L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé
Plus en détailLES PROFESSIONNELS DE LA SANTE
AD'PROSANTE : DES FORMATIONS POUR LES PROFESSIONNELS DE LA SANTE AD'PROSANTE - GROUPE SOFT FORMATION 84, Boulevard de la Corderie 13007 Marseille Tél : 04.91.15.71.03 Fax : 04.91.81.52.62 1 NOTRE OFFRE
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailL articulation Hôpital de jour Accueil de jour
les hôpitaux de jour dans les filières de soin : un dispositif en marche L articulation Hôpital de jour Accueil de jour Dr Nathalie SCHMITT Dr Jacques HILD CH Colmar L articulation Hôpital de jour Accueil
Plus en détailPlan «Alzheimer et maladies apparentées» 2008-2012
Plan «Alzheimer et maladies apparentées» 2008-2012 1 er février 2008 Sommaire 10 MESURES PHARES 6 RESUME DES FINANCEMENTS 7 SYNTHESE DES FINANCEMENTS PAR MESURE 8 AXE I. AMELIORER LA QUALITE DE VIE DES
Plus en détailRéseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge Pôle de santé du Canton d Aulnay de Saintonge MSP Aulnay et Néré PROJET D AULNAY PSP
Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge PROJET D AULNAY MSP PSP Réseau de santé de proximité Historique Objectifs Particularités Avenir Réseau de Santé du Pays des Vals de Saintonge MAISON DE SANTE
Plus en détailSUPPLEMENT AU DIPLÔME
SUPPLEMENT AU DIPLÔME Le présent supplément au diplôme (annexe descriptive) suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l'europe et l'unesco/cepes. Le supplément vise à fournir des
Plus en détailMaisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers
Maisons de Santé Pluridisciplinaires Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Les maisons de santé pluridisciplinaires (MSP) visent à offrir à la population, sur un même lieu, un ensemble de
Plus en détailCompte-rendu de la Réunion CMRR Du 21 Octobre 2004 Les présentations des intervenants sont disponibles sur le site : www.cmrr.vermeil.
Compte-rendu de la Réunion CMRR Du 21 Octobre 2004 Les présentations des intervenants sont disponibles sur le site : www.cmrr.vermeil.org I. Informations diverses présentées par AS. Rigaud & B. Dubois
Plus en détailadmission aux urgences
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailDiabète de type 1 de l enfant et de l adolescent
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailProjet de communication
PROJET D'ETABLISSEMENT 2012 / 2016 - TOME 6 - Projet de communication 1 Sommaire INTRODUCTION... 4 RECAPITULATIF DES FICHES ACTIONS... 5 Communication Interne... 6 FICHE N COM INT 01 A... 7 Communication
Plus en détail1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale!
Plan «Urgences» 1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Fiche 1.1 La permanence des médecins généralistes Mesure 1 Assurer la permanence de soins Mesure
Plus en détailLa prise en charge d un trouble bipolaire
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge d un trouble bipolaire Vivre avec un trouble bipolaire Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer
Plus en détailLA DOULEUR INDUITE C EST PAS SOIGNANT!
LA DOULEUR INDUITE C EST PAS SOIGNANT! Douleur induite Douleur induite Douleur de courte durée, causée par le soignant ou une thérapeutique dans des circonstances de survenue prévisibles et susceptibles
Plus en détailNouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Position adoptée par Conseil national de l Ordre des infirmiers le 14 septembre 2010 Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Plus en détailComplément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile
http://www.sante.gouv.fr/adm/dagpb/bo/2001/01-01/a0010017.htm Bulletin Officiel n 2001-1 Direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins Page 1 sur 6 Complément à la circulaire DH/EO 2 n
Plus en détailDémence et fin de vie chez la personne âgée
Démence et fin de vie chez la personne âgée Dr C le Provost Gériatre C.H.B.A Vannes Dr M Michel Gériatre C.H.U Rennes Démence et fin de vie Sujet grave: la mort la «de mens» = être privé de son esprit
Plus en détailCalendrier des formations INTER en 2011
Calendrier des formations INTER en 2011 THEMES Liste des formations INTER MOTIVEZ ET DYNAMISEZ VOS EQUIPES 98 % de participants satisfaits et se sentant reconnus à la sortie de nos formations! L environnement
Plus en détailApplication DCC Réseau ONCOLIE --- Application DMI Réseau Gérontologique de Baumes Les Dames ---- Application RAPID Réseau RAPIDFR-NAT
ATELIER PROJETS REGIONAUX DEMONSTRATION Application DCC Réseau ONCOLIE --- Application DMI Réseau Gérontologique de Baumes Les Dames ---- Application RAPID Réseau RAPIDFR-NAT 1 I. CONTEXTE L Agence Régionale
Plus en détailDON DE SANG. Label Don de Soi
DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7
Plus en détailEpilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire?
Epilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire? L épilepsie concerne plus de 500 000 personnes en France, dont la moitié sont des enfants ou des adolescents.
Plus en détailCAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne
CAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne Les patients ont besoin d une réponse de proximité et d une prise en charge globale qui nécessite une
Plus en détailQuel avenir pour les équipes mobiles de soins palliatifs?
Quel avenir pour les équipes mobiles de soins palliatifs? Aude Le Divenah Praticien hospitalier, chargée de mission, Direction de l hospitalisation et de l organisation des soins Les soins palliatifs se
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détailInfirmieres libérales
Détail des programmes- Feuillets complémentaires à la plaquette générale Infirmieres libérales Stages courts 2012 Durées et dates disponibles sur un calendrier en annexe Santé formation Formations gratuites
Plus en détailL impact des avis des usagers sur l amélioration de la prise en charge du patient dans un CHU
L impact des avis des usagers sur l amélioration de la prise en charge du patient dans un CHU Michèle WOLF, MCU-PH, Direction de la qualité, de la coordination des risques et des relations avec les usagers,
Plus en détailCOMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE
COMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE Chemin de la Bretèque 76230 BOIS-GUILLAUME Mois de juin 2001 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE
Plus en détailWHA63.12 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins 4,5
WHA63/200/REC/ WHA63.2 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins... 9 WHA63.2 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins 4,5 La Soixante-Troisième Assemblée mondiale de la
Plus en détailMigraine et mal de tête : des "casse-tête"
Migraine et mal de tête : des "casse-tête" Tous concernés! De quoi s agit-il? Les migraines ne doivent pas être confondues avec les céphalées de tension, communément appelées les "maux de tête". En effet,
Plus en détailLa prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre
La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre Avril 2011 La longue expérience de la Mutualité Française dans la mise en œuvre d actions de prévention,
Plus en détailSTACCINI Pascal UFR Médecine Nice Université Nice-Sophia Antipolis
3.2 : S initier à l organisation, la mise en œuvre et l utilisation d un système d information Chapitre 3 : Systèmes d information Systèmes d information hospitaliers (S.I.H.) STACCINI Pascal UFR Médecine
Plus en détailHospitalisation à Temps Partiel Soins de Suite et Réadaptation Affections cardio-vasculaires et Affections respiratoires Livret de séjour
CENTRE HOSPITALIER de BOURG-EN-BRESSE CS 90401 900 route de Paris 01012 BOURG-EN-BRESSE CEDEX 04 74 45 44 08 Hospitalisation à Temps Partiel Soins de Suite et Réadaptation Affections cardio-vasculaires
Plus en détailUn projet multi-établissements de territoire en Franche-Comté
Un projet multi-établissements de territoire en Franche-Comté Dr Denis BABORIER CH LONS-LE-SAUNIER 31 Août 2009 La géographie du projet ISYS Projet d informatisation du système de soins Franche-Comté EMOSIST-fc
Plus en détailI La conservation des dossiers médicaux répond à un triple intérêt :
mai 2009 DOSSIERS MEDICAUX CONSERVATION ARCHIVAGE Article 45 (article R.4127-45 du code de la santé publique) «, le médecin doit tenir pour chaque patient une fiche d'observation qui lui est personnelle
Plus en détailLE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT
LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE Prof. G. DURANT La Belgique (11 millions d habitants) est un pays fédéral. Le financement est organisé au niveau national sauf le financement des infrastructures
Plus en détailStratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés
Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés IEN/CTR ASH 2011-2012 Comportements inappropriés / Troubles de la conduite et du comportement
Plus en détailOrganiser une permanence d accès aux soins de santé PASS
Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout
Plus en détail3 e symposium international
3 e symposium international de l Association internationale des Acheteurs et Approvisionneurs publics et privés de la Santé Bruxelles, les 18 et 19 octobre 2012 Les Achats: Du support à la coordination
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détailGuide de rédaction d un protocole de recherche clinique à. l intention des chercheurs évoluant en recherche fondamentale
V E R S I O N A V R I L 2 0 1 2 C E N T R E D E R E C H E R C H E C L I N I Q U E É T I E N N E - L E B E L D U C H U S Guide de rédaction d un protocole de recherche clinique à l intention des chercheurs
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détailASSOCIATION MEDICALE MONDIALE DECLARATION D HELSINKI Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains
ASSOCIATION MEDICALE MONDIALE DECLARATION D HELSINKI Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains Adoptée par la 18e Assemblée générale de l AMM, Helsinki, Finlande,
Plus en détailL hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon
L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon Colloque Santé et Société Quels déterminants de santé et quel système de soins pour la santé de toute
Plus en détailprise en charge médicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailLa raison d être des systèmes d information
La raison d être des systèmes d information 23 ème Séminaire en sciences pharmaceutiques Pourrait-on vivre sans? 1 Enjeux Processus de soins très complexes et fortement basés sur la fiabilité humaine Suivi
Plus en détailtestez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité!
: t i u t a r g t i Extra testez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité! Enoncé Un fan de casino Vous êtes praticien dans la belle ville d Enghien (célèbre pour son casino ). Vous recevez Joël 43
Plus en détailLa prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre maladie, l accident vasculaire cérébral Vivre avec un accident vasculaire cérébral Octobre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailIMR PEC-5.51 IM V2 19/05/2015. Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES
DOSSIER D ADMISSION 1/6 Date d'admission souhaitée : Date de la demande : Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES Renseignements administratifs
Plus en détailPolitique de déplacement des bénéficiaires 2011-09-22. La présente politique inclut entre autres les deux documents suivants :
POLITIQUE TITRE : NUMÉRO : AD 001-001 REMPLACE DOCUMENT(S) SUIVANT(S), S IL Y A LIEU : Politique de déplacement des bénéficiaires PERSONNEL VISÉ : gestionnaires personnel de soutien soins aux patients
Plus en détailLa prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde Vivre avec une polyarthrite rhumatoïde Décembre 2008 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailDésignation/mise en place des points focaux nationaux RSI
1 GUIDE DES POINTS FOCAUX NATIONAUX RSI Désignation/mise en place des points focaux nationaux RSI 1. Introduction Le Règlement sanitaire international (2005) (RSI(2005)) définit un point focal national
Plus en détailEVALUATION DU PLAN ALZHEIMER 2008-2012
EVALUATION DU PLAN ALZHEIMER 2008-2012 RAPPORT Établi par Professeur Joël ANKRI Professeure Christine VAN BROECKHOVEN Avec la participation de Catherine HESSE Armand RENUCCI Membre de l Inspection générale
Plus en détailLe service public hospitalier et la vulnérabilité : Les équipes mobiles de gériatrie. Pr Nathalie Salles Pôle de Gérontologie CHU Bordeaux
Le service public hospitalier et la vulnérabilité : Les équipes mobiles de gériatrie Pr Nathalie Salles Pôle de Gérontologie CHU Bordeaux Plan Vulnérabilité et fragilité de la personne âgée Filière de
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailsociales (pour information) CIRCULAIRE DGS(SD6/A)/DGAS/DSS/2002/551 / du 30 octobre 2002 relative aux appartements de coordination thérapeutique (ACT)
Le Ministre de la Santé, de la Famille Et des personnes Handicapées A Mesdames et Messieurs les Préfets de région Direction régionales des affaires sanitaires et sociales Mesdames et Messieurs les Préfets
Plus en détailDéclarations européennes de la pharmacie hospitalière
Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Les pages qui suivent constituent les Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière. Elles représentent l expression consensuelle de ce que
Plus en détailRèglement de Fonctionnement
FONDATION ROGUET Etablissement Public de Santé 58 rue Georges BOISSEAU 92110 CLICHY Règlement de Fonctionnement Accueil de Jour Secrétariat médical Accueil de Jour Téléphone : 01-41-40-46-42 Fax : 01-41-40-47-47
Plus en détailLa prise en charge de votre maladie de Parkinson
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre maladie de Parkinson Vivre avec une maladie de Parkinson Octobre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous
Plus en détailQualité et gestion des risques
formation 2007 Qualité et gestion des risques Qualité et certification HAS Démarche qualité Qualité et certification ISO Qualité en imagerie Qualité au laboratoire Management des risques Risques spécifiques
Plus en détailHôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle
Hôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle possible? 18 octobre 2012 Professeur Philippe KOLH CIO, Directeur du Service des Informations Médico-Economiques CHU de LIEGE Plan
Plus en détailUN PROGRAMME POUR LA GERIATRIE
UN PROGRAMME POUR LA GERIATRIE 5 objectifs, 20 recommandations, 45 mesures pour atténuer l impact du choc démographique gériatrique sur le fonctionnement des hôpitaux dans les 15 ans à venir Rapport rédigé
Plus en détail«Politique des ARS pour les seniors»
«Politique des ARS pour les seniors» Claude EVIN, Directeur Général de l Agence Régionale de Santé d Ile-de-France XX/XX/XX L ARS, acteur majeur de la politique de santé et d accompagnement au service
Plus en détailRésidence MBV Les FIGUERES -Capendu-
Résidence MBV Les FIGUERES -Capendu- Accompagnement de fin de vie: un travail d équipe Fin de vie en EHPAD Quel que soit le lieu de la «toute fin de vie» et du décès des résidents d Ehpad, l accompagnement
Plus en détailHôpitaux de Jour. Accueils de Jour. Hôpitaux de Jour et Accueils de Jour. «Un programme pour la Gériatrie»
Hôpitaux de Jour Accueils de Jour B. Durand-Gasselin Capacité de Gériatrie Janvier 2007 Hôpitaux de Jour et Accueils de Jour Hôpitaux de Jour Historique Définition Les HJ en France : l AP HJ PA Preuves
Plus en détailEXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE
EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation
Plus en détailRévision des descriptions génériques Comment monter un dossier?
DISPOSITIFS MEDICAUX Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier? Guide pour le dossier déposé par les fabricants/distributeurs Adopté en séance de la CEPP* le 13 juillet 2005 *CEPP
Plus en détailJournées de formation DMP
Journées de formation DMP Le DMP dans l écosystème Chantal Coru, Bureau Etudes, ASIP Santé Mardi 26 juin 2012 Processus de coordination au centre des prises en charge Quelques exemples Maisons de santé
Plus en détailLa prise en charge de votre insuffisance cardiaque
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre insuffisance cardiaque Vivre avec une insuffisance cardiaque Décembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailProcédures d achat en milieu public et privé
Procédures d achat en milieu public et privé Introduction et généralités La pratique en milieu libéral La pratique en milieu hospitalier D Sirinelli JL Dehaene L objectif de «l achat» Disposer d un outil
Plus en détailLa Télémédecine dans le cadre de la Plateforme Régionale Santé de Martinique
+ La Télémédecine dans le cadre de la Plateforme Régionale Santé de Martinique 15 ème Conférence des Fédérations Hospitalières des Antilles et de la Guyane Y. MARIE-SAINTE Directeur 28/04/2011 V1.0 + #
Plus en détailCéphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris
Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité
Plus en détailCOMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE. Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc
COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc Avril 2003 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE-RENDU D ACCREDITATION»... p.3 PARTIE 1 PRESENTATION
Plus en détailLa prise en charge. de votre affection de longue durée
La prise en charge de votre affection de longue durée Comment fonctionne la prise en charge à 100 %? Quels sont les avantages pour vous? À quoi vous engagez-vous? Comment êtes-vous remboursé? Votre médecin
Plus en détailDocument de travail «Conduite de l évaluation interne dans les établissements hébergeant des personnes âgées dépendantes» Mars 2011
Document de travail «Conduite de l évaluation interne dans les établissements hébergeant des personnes âgées dépendantes» Mars 2011 DOCUMENT DE TRAVAIL Anesm-MARS 2011 1 Sommaire 1. Introduction... 3 Qu
Plus en détail2011-01-18. Quels sont, pour le soignant, les enjeux soulevés lorsqu il donne un soin à un allophone? Enjeu de communication
Distance linguistique et soins de qualité dans une perspective d équité: Concilier une diversité d enjeux Bilkis Vissandjee *, Université de Montréal Alex Battaglini, CSSS Bordeaux-CartiervilleSaint-Laurent
Plus en détailUn de vos proches ou vous-même avez été diagnostiqué malade d Alzheimer, ce guide peut vous aider
Guide d aide à l orientation des malades et des familles Un de vos proches ou vous-même avez été diagnostiqué malade d Alzheimer, ce guide peut vous aider La maladie d Alzheimer et les maladies apparentées
Plus en détailLe décret du 2 mars 2006 a institué le Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique de niveau V.
Siège social : 9 bis, rue Armand Chabrier 47400 TONNEINS Tél. : 05.53.64.61.57 Fax : 05.53.64.63.12 e-mail : adestonneins@yahoo.fr Site : www.adesformations.fr Antenne de Bazas 7 chemin Larriou 33430 BAZAS
Plus en détailL enjeu de la reconnaissance des pharmaciens comme éducateur de santé
L enjeu de la reconnaissance des pharmaciens comme éducateur de santé 3 e conférence sur les traitements de la dépendance aux opioïdes Genève, 19 octobre 2012 Nicolas Bonnet, directeur du Respadd Anne
Plus en détailLES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS
LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION
Plus en détailEVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines
EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet
Plus en détailCRITERES DE REMPLACEMENT
ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES - 7 semestres dans des services agréés pour le DES d anatomie et cytologie pathologiques, dont au moins 5 doivent être accomplis dans des services hospitalouniversitaires
Plus en détailLe délai de conservation
Stéphanie SÉGUI Consultante au Centre de droit JuriSanté (CNEH) MOTS-CLÉS archives hospitalières conservation dossiers de consultations externes dossiers de pédiatrie dossiers de stomatologie dossiers
Plus en détail