ASSURANCE AUTOMOBILE ÉTUDES ACTUARIELLES ET POLITIQUE TARIFAIRE EN 2001 (x)

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "ASSURANCE AUTOMOBILE ÉTUDES ACTUARIELLES ET POLITIQUE TARIFAIRE EN 2001 (x)"

Transcription

1 ÉTUDES ACTUARIELLES ET POLITIQUE TARIFAIRE EN 2001 (x) Gilbert THIRY Membre d'honneur de l'iaf E.S.R.A. - Paris Dans toutes les sociétés d'assurances, le rôle de l'actuaire est incontournable pour optimiser les tarifs, rationaliser la gestion et maîtriser le coût des sinistres. Il faut savoir maintenir les marges tout en serrant les prix. Le pilotage à vue est passé de mode et la mise en place de techniques d'analyse précise est devenue indispensable pour toujours faire mieux que la concurrence. LE PASSE Jusqu'en 1970, les sociétés d'assurances se sont peu intéressées aux études actuarielles : elles faisaient entièrement confiance à l'organisation professionnelle de l'époque pour disposer de toutes les données nécessaires à la gestion et à l'analyse du risque automobile. Les résultats vus à la liquidation des exercices étaient toujours bénéficiaires. Les sociétés appliquaient à quelques festons près, le tarif établi par l'organisation professionnelle et entériné par la Direction des Assurances. Le marché était porteur, le parc progressait de près de 10% par an et la concurrence des mutuelles sans intermédiaires n'était pas encore très agressive ; presque toutes les sociétés traditionnelles continuaient d'observer une progression sensible de leur parc même si elle était déjà légèrement inférieure à la moyenne nationale. Les sociétés transmettaient leurs données sans crainte ni appréhension à l'organisation professionnelle qui les exploitait techniquement et politiquement au mieux des intérêts de tous ses adhérents. Cette structure technique solide a notamment permis de repousser toute tentative d'étatisation de l'assurance automobile. LA SITUATION PRESENTE Depuis, la situation a bien changé ; la liberté tarifaire s'est progressivement installée en France comme dans tous les pays de l'union Européenne. La clientèle, aidée par les unions de consommateurs, est de mieux en mieux informée pour rechercher le prix le plus (x) Cet article n'a pour but que de livrer des réflexions pratiques sans aborder les études indispensables liées aux lois de survenance des sinistres. BULLETIN FRANÇAIS D ACTUARIAT, Vol. 4, N 7, 2000, pp

2 62 G. THIRY bas, le meilleur service et les garanties les plus complètes. La transparence des prix est presque totale : un consommateur vigilant est capable de trouver le meilleur rapport qualité/prix et Internet favorisera cette démarche. Trop de sur-tarifications ou de sous-tarifications déséquilibrent les portefeuilles des sociétés d'assurances : les bons risques sur-tarifés s'en vont ; les mauvais risques soustarifés restent et leur part dans le portefeuille progresse. Ce phénomène conduit certaines sociétés au déséquilibre technique et parfois à la faillite si elles n'ont pas un suivi en continu de leurs résultats qui doit permettre de prendre rapidement les mesures de redressement. Le presse bouton tarifaire qui a un effet immédiat de redressement ne fera qu'aggraver la situation à moyen et long termes puisque les bons risques déjà surévalués deviendront encore plus chers et seront une proie plus facile pour la concurrence. LA CONFIDENTIALITE DES DONNEES L'analyse globale de l'organisation professionnelle est insuffisante pour les prises de décision des sociétés d'assurances qui ont compris désormais toute la nécessité de procéder à leurs propres études statistiques bien adaptées à leurs besoins. L'émergence de groupes européens importants, la forte concentration du marché national entre quelques groupes puissants, le développement de nouvelles formes de vente, le rapprochement de sociétés ayant des intérêts communs poussent à une plus grande confidentialité des données. Chacune des entités qui se crée développe ses propres études statistiques, garde jalousement le fruit de ses recherches et ne permet plus de mettre en commun des données sensibles qui pourraient être exploitées par la concurrence nationale et internationale. Pour survivre dans un marché très concurrentiel, il faut : organiser l'analyse des données pour obtenir une connaissance très détaillée des prix de revient comprenant à la fois le coût du risque et les charges de gestion réduire les coûts et améliorer les services se démarquer des conditions habituelles du marché par la qualité des produits vendus au plus juste prix Comment parvenir à ces objectifs? LA DETERMINATION DU PRIX DE REVIENT Pour être compétitive et vendre au meilleur prix tout en réalisant des bénéfices, une société d'assurances, comme une entreprise industrielle, doit calculer son prix de revient avec précision. Dans l'industrie, l'analyse des coûts repose sur les prix connus des matières

3 ETUDES ACTUARIELLES ET POLITIQUE TARIFAIRE EN premières et de la main d'œuvre nécessaires à la fabrication d'un produit ; en assurance, les coûts réels dépendent du comportement futur de l'assuré et l'analyse statistique des facteurs explicatifs de la survenance des sinistres permet de déterminer le coût du risque le plus probable. Pour tarifer de façon satisfaisante une population donnée, l'assureur commence par faire l'inventaire général des différents éléments qui interviennent dans la détermination du prix de revient : la charge des sinistres les frais de vente et d'acquisition (marketing, réseau de distribution, implantation, etc..) les frais de règlements des sinistres (régleurs, experts, contrôleurs divers) les frais d'administration générale les effets de la réassurance le décalage entre l'encaissement des cotisations et le règlement définitif de tous les sinistres. L'ANALYSE DU RISQUE Une bonne approche du calcul des provisions pour sinistres restant à régler conditionne la mesure exacte de la charge de sinistres d'un exercice donné quand tous les sinistres seront réglés et influe sur les produits financiers qui pourront être pris en compte pour atténuer le prix de revient. Ensuite, l'assureur tente de répartir la charge des sinistres de façon équitable entre chaque preneur d'assurance. C'est ce qu'on appelle l'analyse du risque. Le coût individuel du risque de chaque assuré n'est connu qu'a posteriori. L'assureur doit faire un pari sur la sinistralité la plus probable de chaque individu. Pour cela, il faut disposer de l'expérience du passé le plus récent possible observée sur une population comparable à celle visée par la souscription immédiate de la Société. A travers cette population, il est procédé à une recherche minutieuse de tous les critères disponibles et susceptibles d'expliquer le risque. LES DONNEES La base de données retiendra les critères facilement utilisables pour la tarification. Il faut faire choix d'une période d'observation de référence. La Société dispose d'un inventaire permanent de tous les sinistres déclarés avec le montant des règlements et le restant à régler correctement évalué.

4 64 G. THIRY Au mieux, selon les sociétés, il faut attendre entre 18 et 36 mois pour avoir l'exhaustivité des déclarations de sinistres et une bonne connaissance du coût des sinistres. Des méthodes rationnelles peuvent être utilisées pour évaluer les provisions notamment celles liées aux dommages corporels graves. L'idéal est de retenir 18 mois de recul pour avoir à la fois une bonne connaissance du passé sans être trop éloigné de la réalité présente. Pour une prise d'effet d'un tarif au 1 er janvier 2001, la période d'observation à retenir porte sur l'année 1998 vue à la mi Les groupes importants qui globalisent des parcs d'origines diverses sont avantagés par la taille et la représentativité du portefeuille. Pour eux, une période d'observation d'un an est suffisante. Les sociétés qui ont moins de véhicules ne peuvent pas se livrer de façon satisfaisante à une analyse du risque sur leurs seules données. Elles doivent se regrouper pour disposer d'une banque de données suffisante. Pour accroître les volumes, il est toujours possible d'étendre à 2 ou 3 ans la période d'observation, mais cela oblige à des actualisations de fréquence et de coût plus délicates pour cadrer sur une période annuelle. Les critères explicatifs du risque a priori les plus discriminants sont actuellement dans l'ordre: les antécédents (débutant sans antécédent, nombre d'années d'assurance, nombre de sinistres et d'infractions au cours d'une période donnée) les critères liés au véhicule : modèle/version, année de première mise en circulation, mode d'acquisition la zone de circulation (zone rurale à faible densité de circulation, zone urbaine à forte densité de circulation) les critères liés aux conducteurs : intensité de circulation caractérisée par le kilométrage moyen annuel ou l'usage, année de naissance, expérience de conduite, sexe du ou des conducteurs les packages de garanties la forme de distribution : les techniques de vente ne sont pas sans effet sur la sélection des conducteurs. Par le passé, il a été constaté qu'entre deux populations homogènes caractérisées par les mêmes critères de tarification, l'une assurée dans une mutuelle sans intermédiaires et l'autre dans un réseau traditionnel, la première avait une fréquence de sinistres inférieure de 16 % à la deuxième. La sélection naturelle des risques est très différente selon la forme de vente.

5 ETUDES ACTUARIELLES ET POLITIQUE TARIFAIRE EN L'ensemble de ces critères bien choisis est susceptible d'expliquer les 3/4 de la variance mais il reste toujours une part de risque non expliquée par des critères objectifs. Une tarification a posteriori techniquement adaptée aux lois de survenance des sinistres devrait permettre d'atténuer les injustices de la tarification a priori. Certaines corrélations entre critères apparaissent : par exemple, entre l'âge du véhicule et le kilométrage annuel ; plus le véhicule vieillit, moins il est utilisé et plus le risque décroît. Si la tarification prend en compte l'âge du véhicule, le kilométrage aura peu d'influence et inversement si le kilométrage est retenu, l'ancienneté du véhicule aura moins d'importance. L'unité statistique de la base de données est le véhicule assuré avec des dates d'entrée et de sortie qui définissent une période de garantie restée sans aucun changement susceptible de modifier le risque. A cette unité statistique doivent être associés les sinistres correspondants. La définition des sinistres à prendre en compte est importante. Chaque sinistre lié à un véhicule comprend: la date de survenance obligatoirement située dans la période de garantie sans changement la nature du sinistre (matériel, corporel ou mixte) le taux de responsabilité (s'il y a lieu) le coût du sinistre pour la société rapporté à chacune des garanties sinistrées le montant réel des dommages: dommages matériels, dommages corporels (s'il y a lieu), frais divers autres que les frais de gestion les franchises réellement déduites le montant payé pour compte de tiers et réellement récupéré Tous les sinistres qui, à coup sûr, n'entraînent pas de débours ne sont pas toujours connus du siège de la société. Par souci d'homogénéité, il vaut mieux les ignorer car ils n'affectent pas le coût du risque. Néanmoins ils peuvent avoir une incidence sur les frais de gestion. L'ECRETEMENT DES SINISTRES Si les critères tarifaires sont susceptibles d'expliquer en grande partie la survenance des sinistres, en revanche ils ne peuvent pas à eux seuls suffire pour prévoir la gravité la plus probable. Pour des critères identiques dans des circonstances semblables, la dispersion des coûts peut être très grande d'où la nécessité d'écrêter les montants de sinistres pour

6 66 G. THIRY éliminer la partie entièrement aléatoire non explicable par les critères de tarification : par exemple à gravité égale, le coût des dommages corporels graves dépend essentiellement de la qualité de la victime. L'écrêtement peut être fixe ou variable. Pour plus d'équité tarifaire, il est préférable de mettre au point une méthode d'écrêtement variable; plus le risque considéré a une probabilité forte d'entraîner des sinistres graves plus la crête sera élevée : une circulation en zone rurale entraîne une probabilité de sinistres graves plus importante qu'en zone urbaine; en conséquence la crête sera plus élevée en zone rurale qu'en zone urbaine. La partie aléatoire, au-delà de l'écrêtement, doit être supportée par l'ensemble de la mutualité des assurés proportionnellement au risque probable vu après écrêtement. LES CLASSES DE RISQUE Le moment est venu de constituer des classes de risque homogènes en examinant marginalement de façon empirique chacun des critères. Le choix et la constitution des cases se font sur la base des effectifs, des fréquences moyennes, des coûts moyens et des primes moyennes de risque. Les sinistres ont été écrêtés selon une méthode statistique propre à isoler le mieux possible la partie aléatoire des coûts, la partie écrêtée étant réinjectée comme indiquée ci-dessus. Il est souhaitable que les effectifs d'une case exprimés en véhicules-années (nombre de jours de garantie/365) ne soit pas inférieur à 0,1 % du parc étudié. L'expérience statistique conduit à regrouper des cases soit à l'intérieur d'un même critère soit par croisement entre différents critères si le risque observé dans les cases à réunir présente des similitudes notoires. LA MODELISATION Les critères et les classes de risque étant empiriquement bien choisis, la société disposera d'une base de données prête à être utilisée pour une analyse multidimensionnelle. Quelle que soit la modélisation utilisée, le statisticien doit pouvoir mesurer l'influence des différents critères et obtenir pour chaque case l'estimation la plus probable de la fréquence, du coût moyen et donc du produit des deux qui correspond à la prime pure. Selon la structure tarifaire envisagée par la société, le statisticien proposera le modèle linéaire généralisé le mieux adapté (modèle additif, multiplicatif, etc..). Les tests de validité permettront également de choisir le modèle qui conduit au meilleur ajustement des données.

7 ETUDES ACTUARIELLES ET POLITIQUE TARIFAIRE EN L'ajustement par le modèle fournit des valeurs calculées dont la somme des écarts par rapport aux valeurs observées est rendue minimum. La loi d'ajustement permet d'obtenir un lissage des valeurs. La société dispose alors d'un tarif théorique en primes pures ajusté sur les données de base. LE TARIF D'EQUILIBRE A partir du tarif théorique exprimé en primes pures et construit sur les données de 1998 vues fin 1999, il faut bâtir le tarif commercial de Pour la population étudiée et sous garantie pendant tout ou partie de l'année 1998, la société connaît globalement la charge de sinistres, les frais administratifs, d'acquisition et de règlement des sinistres. Cela permet d'obtenir une prime moyenne annuelle de risque chargée des frais qui sera comparée à la prime moyenne réellement payée. Cette démarche, indépendante de toute analyse comptable, permet de mesurer l'écart entre le tarif commercial et la prime de risque chargée et de constater la suffisance ou l'insuffisance technique du tarif La même comparaison sera effectuée case par case pour constater les surtarifications et les sous-tarifications. La première étape consiste à bâtir un tarif techniquement équilibré sur les données de La structure sera adaptée aux exigences commerciales mais le niveau tarifaire de chaque classe sera celui de la prime de risque chargée qui aurait assuré un équilibre technique C'est à partir de ce tarif 1998 équilibré que sera projeté le tarif LES TABLEAUX DE BORD Les tableaux de bord de la société donnent des tendances d'évolution du parc assuré et du nombre de sinistres déclarés qui aident à projeter une évolution de fréquence (si possible en distinguant sinistres matériels et corporels) de mi-1998 à mi La mesure des variations réels des coûts de sinistres est toujours délicate même si la société procède à une bonne gestion de son inventaire permanent et donc à une bonne appréciation des coûts de sinistres au jour le jour. Les données sont rarement très homogènes d'une année sur l'autre. Un recoupement avec des indicateurs nationaux est nécessaire (indices de prix, de salaires, de coût de la réparation automobile, etc..). A partir des coûts 1998 sera établie une estimation 2001.

8 68 G. THIRY LA MAITRISE DES COUTS DE SINISTRES L'optimisation de la gestion passe en priorité par la maîtrise des coûts de sinistres. Les observatoires statistiques doivent conduire à des prises de décisions spécifiques à chaque société. Les choix judicieux retenus par certains pour atténuer la progression du coût des dommages aux véhicules sont particulièrement payants. La société se fixe des objectifs précis qu'elle intègre dans ses projections tarifaires Dans ce domaine, les effets de taille pour négocier les prix de la réparation automobile sont primordiaux: les grands groupes sont privilégiés; les autres doivent se regrouper pour négocier avec leurs partenaires des conditions aussi favorables que celles accordées aux leaders du marché. La société dispose désormais de tous les éléments pour fixer les primes commerciales LES ARBITRAGES POLITIQUES Néanmoins comme étape finale, le niveau définitif du tarif sera soumis à divers arbitrages: la prise en compte d'un chargement pour événements exceptionnels (tempêtes, grêles, inondations etc..) une planification de la réduction des frais de gestion l'incidence des aménagements possibles des systèmes de bonus-malus les contingences commerciales qui imposent des efforts tarifaires sur certains profils de clientèle. La mise en place d'un observatoire des prix de la concurrence est recommandée. L'incidence des efforts commerciaux par rapport au tarif d'équilibre est calculée par les pesées tarifaires et doit être financée par d'autres sources que la sur-tarification de bons risques la prise en compte de produits financiers qui compléteront les ressources des cotisations pour alléger globalement le prix de l'assurance automobile ou financer de nouveaux services ou encore procéder à des extensions gratuites de garanties les profits espérés CONCLUSION Pour survivre et conquérir des parts de marché, les sociétés doivent constamment faire preuve d'imagination et d'innovation. C'est pourquoi elles développent des pôles de recherche dans tous les domaines : la fabrication de produits nouveaux au plus juste prix, les techniques modernes de marketing,

9 ETUDES ACTUARIELLES ET POLITIQUE TARIFAIRE EN de communication et de vente, les services, l'assistance, l'optimisation de la gestion, la maîtrise des coûts de sinistres, etc L'actuaire est associé à toutes ces opérations pour procurer le meilleur service au meilleur prix tout en préservant les équilibres technique et financier de la société. Les moteurs de recherche sur le Net, de plus en plus performants, organiseront la transparence sur les produits d'assurance automobile à tel point que le consommateur saura facilement changer d'assureur pour des écarts de prix de plus en plus faibles. Toute décision est désormais soumise à des études d'efficacité et de rentabilité. Les sociétés ont pris conscience qu'elles avaient de moins en moins droit à l'erreur même si la puissance financière de quelques-unes leur donne encore un certain avantage sur les autres.

LE CONTROLE DE GESTION DANS L'ASSURANCE : UNE REHABILITATION VITALE EN TUNISIE

LE CONTROLE DE GESTION DANS L'ASSURANCE : UNE REHABILITATION VITALE EN TUNISIE LE CONTROLE DE GESTION DANS L'ASSURANCE : UNE REHABILITATION VITALE EN TUNISIE Par Nabila EL HEDDA, Elyès JOUINI et Denis CHEMILLIER-GENDREAU "Le marché tunisien de l'assurance va connaître, dans les années

Plus en détail

Norme comptable relative aux provisions techniques dans les entreprises d assurance et/ou de réassurance NC 29

Norme comptable relative aux provisions techniques dans les entreprises d assurance et/ou de réassurance NC 29 Norme comptable relative aux provisions techniques dans les entreprises d assurance et/ou de réassurance NC 29 Objectif de la norme 01 L activité d assurance et/ou de réassurance se caractérise par : une

Plus en détail

INSTRUCTIONS RELATIVES

INSTRUCTIONS RELATIVES INSTRUCTIONS RELATIVES AUX TABLEAUX SUR LES SINISTRES ET INDICES DE PERTE Les Tableaux sur les sinistres et indices de perte sont exigés afin de pouvoir constituer une base de données et une présentation

Plus en détail

CNAM 2002-2003 2léments de cours Bonus-malus et Crédibilité

CNAM 2002-2003 2léments de cours Bonus-malus et Crédibilité 1 CNAM 2002-2003 2léments de cours Bonus-malus et Crédibilité Une situation fréquente en pratique est de disposer non pas d un résultat mais de plusieurs. Le cas se présente en assurance, par exemple :

Plus en détail

TARIFICATION EN ASSURANCE COMPLEMENTAIRE SANTE: il était une fois, un statisticien, un actuaire, un économiste de la santé

TARIFICATION EN ASSURANCE COMPLEMENTAIRE SANTE: il était une fois, un statisticien, un actuaire, un économiste de la santé TARIFICATION EN ASSURANCE COMPLEMENTAIRE SANTE: il était une fois, un statisticien, un actuaire, un économiste de la santé Plan de l intervention 1 2 3 Généralités sur le fonctionnement de l assurance

Plus en détail

Journées d études IARD

Journées d études IARD Journées d études IARD Gestion des risques liés à la refonte tarifaire d un portefeuille automobile Niort, le 20 mars 2014 Marie Foucher mfoucher@galea-associes.eu Pierre Thérond ptherond@galea-associes.eu

Plus en détail

Le métier d actuaire IARD

Le métier d actuaire IARD JJ Mois Année Le métier d actuaire IARD Journées Actuarielles de Strasbourg 6-7 octobre 2010 PLAN Présentation de l assurance non vie Le rôle de l actuaire IARD La tarification des contrats L évaluation

Plus en détail

Arrêtons. «Article 11

Arrêtons. «Article 11 Projet de règlement grand-ducal modifiant le règlement grand-ducal modifié du 11 novembre 2003 pris en exécution de la loi du 16 avril 2003 relative à l'assurance obligatoire de la responsabilité civile

Plus en détail

NC 30 Les charges techniques dans les entreprises d assurance et / ou de réassurance

NC 30 Les charges techniques dans les entreprises d assurance et / ou de réassurance NC 30 Les charges techniques dans les entreprises d assurance et / ou de réassurance Objectif 01. L'activité d'assurance et/ou de réassurance se caractérise par l'inversion du cycle de la production et

Plus en détail

Evolution de la fréquence des sinistres 2002-2011 en assurance RC automobile

Evolution de la fréquence des sinistres 2002-2011 en assurance RC automobile Evolution de la fréquence des sinistres 2002-2011 en assurance RC automobile Contenu 1. Nombre de sinistres en RC tourisme et affaires... 2 Fréquence des sinistres en RC tourisme et affaires... 2 Fréquence

Plus en détail

LE PLAN D'AMÉLIORATION DE LA FONCTION MARKETING

LE PLAN D'AMÉLIORATION DE LA FONCTION MARKETING LE PLAN D'AMÉLIORATION DE LA FONCTION MARKETING Direction du développement des entreprises et des affaires Préparé par Michel Coutu, F. Adm.A., CMC Conseiller en gestion Publié par la Direction des communications

Plus en détail

RAPPORT. Sur la situation financière des organismes complémentaires assurant une couverture santé

RAPPORT. Sur la situation financière des organismes complémentaires assurant une couverture santé MINISTÈRE DE L'ÉCONOMIE ET DES FINANCES MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L'EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL RAPPORT Sur la situation

Plus en détail

NC 29 Les provisions techniques dans les entreprises d assurances et / ou de réassurance

NC 29 Les provisions techniques dans les entreprises d assurances et / ou de réassurance NC 29 Les provisions techniques dans les entreprises d assurances et / ou de réassurance Objectif 01. L'activité d'assurance et/ou de réassurance se caractérise par : une inversion du cycle de la production:

Plus en détail

Le taux d'actualisation en assurance

Le taux d'actualisation en assurance The Geneva Papers on Risk and Insurance, 13 (No 48, July 88), 265-272 Le taux d'actualisation en assurance par Pierre Devolder* Introduction Le taux d'actualisation joue un role determinant dans Ia vie

Plus en détail

Un nouveau regard de l assurance au féminin : la «Hub Decider Woman» Paris, le 8 juin 2011

Un nouveau regard de l assurance au féminin : la «Hub Decider Woman» Paris, le 8 juin 2011 Résultats du premier Observatoire des femmes et l assurance Un nouveau regard de l assurance au féminin : la «Hub Decider Woman» Paris, le 8 juin 2011 Fiche méthodologique Cible : Hommes et femmes âgés

Plus en détail

Gender Directive Impacts opérationnels pour les assureurs

Gender Directive Impacts opérationnels pour les assureurs Gender Directive Impacts opérationnels pour les assureurs Conférence ActuariaCnam Présentation 3 1 / 0 5 / 2 0 1 2 Julien Chartier, Actuaire Manager AGENDA Introduction Partie 1 - L arrêt «Test-Achats»

Plus en détail

des compagnies d assurance : évolutions récentes

des compagnies d assurance : évolutions récentes Les Contrôle normes IFRS de la solvabilité en assurance des compagnies d assurance : évolutions récentes - DIAF Hanoi, le 28 février 2005 Pierre THEROND Consultant JWA - Actuaires & chargé de cours à l

Plus en détail

LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE

LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE TABLEAU DE BORD LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE DEFINITION Le tableau de bord est un support (papier ou informatique) qui sert à collecter de manière régulière des informations permettant de

Plus en détail

ANTISELECTION ET CHOIX D'ASSURANCE : LE CAS DU VOL EN HABITATION UNE APPROCHE DE LA MESURE DU PHENOMENE

ANTISELECTION ET CHOIX D'ASSURANCE : LE CAS DU VOL EN HABITATION UNE APPROCHE DE LA MESURE DU PHENOMENE ANTISELECTION ET CHOIX D'ASSURANCE : LE CAS DU VOL EN HABITATION UNE APPROCHE DE LA MESURE DU PHENOMENE Yannick MACÉ Statisticien-Economiste Responsable du Secteur Analyses Techniques, Groupama (C.C.A.M.A.)

Plus en détail

Accident de voiture : six bons réflexes pour remplir le constat amiable

Accident de voiture : six bons réflexes pour remplir le constat amiable Accident de voiture : six bons réflexes pour remplir le constat amiable La qualité et la précision des informations sur le constat amiable permettront une meilleure indemnisation. Pour définir clairement

Plus en détail

La gestion du risque chez AXA

La gestion du risque chez AXA Séminaire International de la Presse Suduiraut 21 & 22 juin 2006 La gestion du risque chez AXA François Robinet Chief Risk officer Groupe AXA Sommaire I. La Gestion du Risque : Définition D II. III. La

Plus en détail

L'APPLICATION DANS LE TEMPS DES ASSURANCES DE RESPONSABILITE CIVILE

L'APPLICATION DANS LE TEMPS DES ASSURANCES DE RESPONSABILITE CIVILE L'APPLICATION DANS LE TEMPS DES ASSURANCES DE RESPONSABILITE CIVILE 1 - L'APPLICATION DE LA GARANTIE DANS LE TEMPS (Application de la garantie dans le temps dans les assurances de responsabilité avant

Plus en détail

Intact Corporation financière annonce ses résultats du troisième trimestre

Intact Corporation financière annonce ses résultats du troisième trimestre Communiqué de presse TORONTO, le 2 novembre 2011 Intact Corporation financière annonce ses résultats du troisième trimestre Résultat opérationnel net par action de 0,97 $ attribuable aux résultats en assurance

Plus en détail

LE ROLE DES INCITATIONS MONETAIRES DANS LA DEMANDE DE SOINS : UNE EVALUATION EMPIRIQUE.

LE ROLE DES INCITATIONS MONETAIRES DANS LA DEMANDE DE SOINS : UNE EVALUATION EMPIRIQUE. LE ROLE DES INCITATIONS MONETAIRES DANS LA DEMANDE DE SOINS : UNE EVALUATION EMPIRIQUE. Synthèse des travaux réalisés 1. Problématique La question D7 du plan d exécution du Programme National de Recherches

Plus en détail

Contents. 1 Introduction Objectifs des systèmes bonus-malus Système bonus-malus à classes Système bonus-malus : Principes

Contents. 1 Introduction Objectifs des systèmes bonus-malus Système bonus-malus à classes Système bonus-malus : Principes Université Claude Bernard Lyon 1 Institut de Science Financière et d Assurances Système Bonus-Malus Introduction & Applications SCILAB Julien Tomas Institut de Science Financière et d Assurances Laboratoire

Plus en détail

Evolution de la fréquence des sinistres 2003-2012 en assurance RC automobile

Evolution de la fréquence des sinistres 2003-2012 en assurance RC automobile Evolution de la fréquence des sinistres 2003-2012 en assurance RC automobile Contenu 1. Nombre de sinistres en RC tourisme et affaires... 2 Fréquence des sinistres en RC tourisme et affaires... 2 Fréquence

Plus en détail

Stratégie de rémunération

Stratégie de rémunération CONSULTING Offre Conseil RH Stratégie de rémunération La stratégie de rémunération est un facteur de stabilité et de performance de l'entreprise. GFI Consulting vous accompagne en mettant en cohérence

Plus en détail

relatif aux opérations d assurance réalisées dans le cadre d un «patrimoine d affectation»

relatif aux opérations d assurance réalisées dans le cadre d un «patrimoine d affectation» COMITE DE LA REGLEMENTATION COMPTABLE Règlement n 2004-11 du 23 novembre 2004 relatif aux opérations d assurance réalisées dans le cadre d un «patrimoine d affectation» Le Comité de la réglementation comptable,

Plus en détail

Assurance. Souscription. Encadrement d'un réseau salarié

Assurance. Souscription. Encadrement d'un réseau salarié Assurance Souscription Recueil, identification et formalisation des besoins des clients. Réponse aux demandes de simulations. Appréciation, mesure, évaluation de chaque risque en analysant les différentes

Plus en détail

Réseau SCEREN. Ce document a été numérisé par le CRDP de Bordeaux pour la. Base Nationale des Sujets d Examens de l enseignement professionnel.

Réseau SCEREN. Ce document a été numérisé par le CRDP de Bordeaux pour la. Base Nationale des Sujets d Examens de l enseignement professionnel. Ce document a été numérisé par le CRDP de Bordeaux pour la Base Nationale des Sujets d Examens de l enseignement professionnel. Campagne 2013 Ce fichier numérique ne peut être reproduit, représenté, adapté

Plus en détail

Observation des modalités et performances d'accès à Internet

Observation des modalités et performances d'accès à Internet Observation des modalités et performances d'accès à Internet Avant-propos La base de cette étude est constituée par les informations collectées par l'outil Cloud Observer d'iplabel (chargement des différents

Plus en détail

Processus de comptage, Poisson mélange, fonction de perte exponentielle, système bonus-malus.

Processus de comptage, Poisson mélange, fonction de perte exponentielle, système bonus-malus. JF WALHIN* J PARIS* * Université Catholique de Louvain, Belgique Le Mans Assurances, Belgique RÉSUMÉ Nous proposons une méthodologie générale pour construire un système bonus-malus équilibré basé sur une

Plus en détail

Mission des sociétés d assurances pour la connaissance et la prévention des risques naturels www.mrn-gpsa.org

Mission des sociétés d assurances pour la connaissance et la prévention des risques naturels www.mrn-gpsa.org Une association créée en 2000 entre : Mission des sociétés d assurances pour la connaissance et la prévention des risques naturels www.mrn-gpsa.org Le régime des catastrophes naturelles et technologiques

Plus en détail

Section II : Provisions techniques des opérations d'assurance sur la vie, d'assurance nuptialité-natalité et de capitalisation.

Section II : Provisions techniques des opérations d'assurance sur la vie, d'assurance nuptialité-natalité et de capitalisation. Page 1 sur 7 Chemin : Code des assurances Version consolidée au 7 juillet 2012 Partie réglementaire - Arrêtés Livre III : Les entreprises. Titre III : Régime financier. Chapitre Ier : Les engagements réglementés.

Plus en détail

FINANCEMENT OPTIMAL DE LA SOLVABILITE D UN ASSUREUR

FINANCEMENT OPTIMAL DE LA SOLVABILITE D UN ASSUREUR FINANCEMENT OPTIMAL DE LA SOLVABILITE D UN ASSUREUR Guillaume PLANTIN GREMAQ Université Toulouse I 1 La détermination d un plan de réassurance optimal est une des applications les plus classiques de la

Plus en détail

Méthodes d apprentissage statistique «Machine Learning»

Méthodes d apprentissage statistique «Machine Learning» Méthodes d apprentissage statistique «Machine Learning» Fabrice TAILLIEU, Sébastien DELUCINGE, Rémi BELLINA Le marché de l assurance a rarement été marqué par un environnement aussi difficile qu au cours

Plus en détail

Optimisation des ressources des produits automobile première

Optimisation des ressources des produits automobile première EURIA EURo Optimisation produits automobile première Pauline PERROT promotion 2011 EURIA EURo 1 ère partie : contexte MMA (FFSA) MAAF (GEMA) SGAM : COVEA (AFA) GMF (GEMA) MMA : Plus 3 millions clients

Plus en détail

L Assurance. L Assurance

L Assurance. L Assurance L Assurance Benjamin Leroy et Sébastien Vidal L Assurance Définition et Historique Assurance directe et privée Assurance indirecte et Assurance sociale Mutuelle Fondement économique de l assurance 2 Définition

Plus en détail

Ligne directrice sur les simulations de crise à l intention des régimes de retraite assortis de dispositions à prestations déterminées

Ligne directrice sur les simulations de crise à l intention des régimes de retraite assortis de dispositions à prestations déterminées Ligne directrice Objet : Ligne directrice sur les simulations de crise à l intention des régimes de retraite assortis de dispositions à prestations déterminées Date : Introduction La simulation de crise

Plus en détail

Mémoire d actuariat - promotion 2010. complexité et limites du modèle actuariel, le rôle majeur des comportements humains.

Mémoire d actuariat - promotion 2010. complexité et limites du modèle actuariel, le rôle majeur des comportements humains. Mémoire d actuariat - promotion 2010 La modélisation des avantages au personnel: complexité et limites du modèle actuariel, le rôle majeur des comportements humains. 14 décembre 2010 Stéphane MARQUETTY

Plus en détail

Conditions Générales d Exécution

Conditions Générales d Exécution Conditions Générales d Exécution Prestations de services d'assurances "Flotte automobile et risques annexes" pour le compte de qui il appartiendra dédiées à l Etat et ses opérateurs, aux personnes publiques

Plus en détail

EVOLUTION DE L'ÂGE DE LA RETRAITE : IMPACT SUR LES RÉGIMES PRÉVOYANCE (Régimes collectifs de salariés)

EVOLUTION DE L'ÂGE DE LA RETRAITE : IMPACT SUR LES RÉGIMES PRÉVOYANCE (Régimes collectifs de salariés) EVOLUTION DE L'ÂGE DE LA RETRAITE : IMPACT SUR LES RÉGIMES PRÉVOYANCE (Régimes collectifs de salariés) Journées d études de l Institut des Actuaires et du SACEI Deauville 20 septembre 2012 par Anne DECREUSEFOND

Plus en détail

QUESTIONS-RÉPONSES : SUJETS ASSURANCE

QUESTIONS-RÉPONSES : SUJETS ASSURANCE QUESTIONS-RÉPONSES : SUJETS ASSURANCE Qu est ce qu une prime ou une cotisation d assurance? C est la somme à payer périodiquement à l assureur en contrepartie des garanties qu il accorde. Les primes (ou

Plus en détail

Provisions pour risques croissants en santé SACEI 13 mars 2008

Provisions pour risques croissants en santé SACEI 13 mars 2008 Provisions pour risques croissants en santé SACEI 13 mars 2008 Anne MARION A C T U A R I E L L E S actuarielles@actuarielles.com L aléa en santé Assurance vie : (décès) Survenance certaine à date aléatoire

Plus en détail

Chapitre 4 : les stocks

Chapitre 4 : les stocks Chapitre 4 : les stocks Stocks et actifs Une entreprise achète généralement des biens pour les utiliser dans son processus de production, ce sont les matières premières et les fournitures, elle peut également

Plus en détail

APPLICATION DU SCN A L'EVALUATION DES REVENUS NON DECLARES DES MENAGES

APPLICATION DU SCN A L'EVALUATION DES REVENUS NON DECLARES DES MENAGES 4 mars 1996 FRANCAIS Original : RUSSE COMMISSION DE STATISTIQUE et COMMISSION ECONOMIQUE POUR L'EUROPE CONFERENCE DES STATISTICIENS EUROPEENS OFFICE STATISTIQUE DES COMMUNAUTES EUROPEENNES (EUROSTAT) ORGANISATION

Plus en détail

Cession de la clientèle des cabinets libéraux : les facteurs clés d une transmission réussie

Cession de la clientèle des cabinets libéraux : les facteurs clés d une transmission réussie Cession de la clientèle des cabinets libéraux : les facteurs clés d une transmission réussie Les pouvoirs publics ont attiré notre attention sur les enjeux de la transmission des entreprises, plus de 100

Plus en détail

Bulletin Officiel de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes

Bulletin Officiel de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes Bulletin Officiel de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes N 7 bis du 15 septembre 2006 C2006-36 / Lettre du ministre de l économie, des finances et de l industrie du 9 août

Plus en détail

Orientations sur la solvabilité du groupe

Orientations sur la solvabilité du groupe EIOPA-BoS-14/181 FR Orientations sur la solvabilité du groupe EIOPA Westhafen Tower, Westhafenplatz 1-60327 Frankfurt Germany - Tel. + 49 69-951119-20; Fax. + 49 69-951119-19; email: info@eiopa.europa.eu

Plus en détail

Table des matières: Guidelines Fonds de Pensions

Table des matières: Guidelines Fonds de Pensions Table des matières: Guidelines Fonds de Pensions TABLE DES MATIERES... 1 INTRODUCTION... 2 1 FINANCEMENT ET FINANCEMENT MINIMUM... 3 1.1 FINANCEMENT... 3 1.2 FINANCEMENT DE PLAN... 3 1.3 FINANCEMENT MÉTHODE

Plus en détail

CONTRAT AUTO VAM Avril 2007 UN CONTRAT DÉCLINÉ EN 5 FORMULES VAM :

CONTRAT AUTO VAM Avril 2007 UN CONTRAT DÉCLINÉ EN 5 FORMULES VAM : UN CONTRAT DÉCLINÉ EN 5 FORMULES VAM : UN CONTRAT D'ASSURANCE AUTOMOBILE ADAPTÉ AUX BESOINS DES SOCIÉTAIRES VAM est un contrat d'assurance automobile qui couvre les dommages corporels et matériels et qui

Plus en détail

Méthodes de la gestion indicielle

Méthodes de la gestion indicielle Méthodes de la gestion indicielle La gestion répliquante : Ce type de gestion indicielle peut être mis en œuvre par trois manières, soit par une réplication pure, une réplication synthétique, ou une réplication

Plus en détail

F.F.M.E. Assurance automobile des déplacements. bénévoles. Notice. Assurance. Assureur officiel de la FFME

F.F.M.E. Assurance automobile des déplacements. bénévoles. Notice. Assurance. Assureur officiel de la FFME F.F.M.E. Assurance automobile des déplacements Notice bénévoles Assurance Assureur officiel de la FFME Cette notice a pour objet de préciser les termes de la convention passée entre la Fédération Française

Plus en détail

Titre 4 - Analyse de l impact de la résiliation annuelle sur les marges des contrats emprunteurs

Titre 4 - Analyse de l impact de la résiliation annuelle sur les marges des contrats emprunteurs Titre 4 - Analyse de l impact de la résiliation annuelle sur les marges des contrats emprunteurs 4.1 Le concept d Analyse en Temps Probabilisé Le concept d Analyse en Temps Probabilisé, développé et appliqué

Plus en détail

Conseil économique et social. Document établi par le Bureau central de statistique d Israël

Conseil économique et social. Document établi par le Bureau central de statistique d Israël Nations Unies Conseil économique et social ECE/CES/GE.2/214/3 Distr. générale 12 février 214 Français Original: russe Commission économique pour l Europe Conférence des statisticiens européens Groupe d

Plus en détail

Chapitre 3 : Le budget des ventes. Marie Gies - Contrôle de gestion et gestion prévisionnelle - Chapitre 3

Chapitre 3 : Le budget des ventes. Marie Gies - Contrôle de gestion et gestion prévisionnelle - Chapitre 3 Chapitre 3 : Le budget des ventes Introduction 2 Rappel des différents budgets opérationnels - budget des ventes (chapitre 3) - budget de production (chapitre 4) - budget des approvisionnements et des

Plus en détail

Les pôles commerciaux et leurs magasins

Les pôles commerciaux et leurs magasins Les pôles commerciaux et leurs magasins Julien Fraichard* Pour les commerçants, l'implantation de leur établissement dans le tissu urbain est primordiale. Certains types de commerces, comme les magasins

Plus en détail

GROUPE MAIF - RESULTATS 2006

GROUPE MAIF - RESULTATS 2006 Communiqué de presse 31 mai 2007 GROUPE MAIF - RESULTATS 2006 DES RÉSULTATS ÉCONOMIQUES POSITIFS POUR UNE ANNÉE DE TRANSITION Baisse des tarifs auto (4%), élaboration de l'offre de services à la personne

Plus en détail

Résultats financiers et d exploitation du quatrième trimestre et de l exercice 2005

Résultats financiers et d exploitation du quatrième trimestre et de l exercice 2005 Résultats financiers et d exploitation du quatrième trimestre et de l exercice 2005 16 février 2006 P. 1 Mise en garde - énoncés prospectifs Certains énoncés contenus dans cette présentation concernant

Plus en détail

Production des Services d Assurance non-vie selon le SCN 2008

Production des Services d Assurance non-vie selon le SCN 2008 REPUBLIQUE DU CAMEROUN Paix - Travail Patrie ---------- INSTITUT NATIONAL DE LA STATISTIQUE ---------- REPUBLIC OF CAMEROON Peace - Work Fatherland ---------- NATIONAL INSTITUTE OF STATISTICS ----------

Plus en détail

inférieur par rapport aux créances de tous les autres créanciers et ne seront remboursés qu'après règlement de toutes les autres dettes en cours à ce

inférieur par rapport aux créances de tous les autres créanciers et ne seront remboursés qu'après règlement de toutes les autres dettes en cours à ce Règlement grand-ducal du 10 janvier 2003 portant modification du règlement grand-ducal du 14 décembre 1994 pris en exécution de la loi modifiée du 6 décembre 1991 sur le secteur des assurances et précisant

Plus en détail

Guide du Plan d'indemnisation en assurances IARD

Guide du Plan d'indemnisation en assurances IARD Guide du Plan d'indemnisation en assurances IARD Le Plan d'indemnisation en assurances IARD (le «Plan») est le fruit de cinq ans de négociations avec les surintendants provinciaux et fédéral des assurances.

Plus en détail

Systèmes de transport public guidés urbains de personnes

Systèmes de transport public guidés urbains de personnes service technique des Remontées mécaniques et des Transports guidés Systèmes de transport public guidés urbains de personnes Principe «GAME» (Globalement Au Moins Équivalent) Méthodologie de démonstration

Plus en détail

LE MINISTERE DU COMMERCE DANS LES DERNIERES ANNEES DU XIX ème SIECLE (extraits des cahiers du Chatefp n 1, octobre 1998)

LE MINISTERE DU COMMERCE DANS LES DERNIERES ANNEES DU XIX ème SIECLE (extraits des cahiers du Chatefp n 1, octobre 1998) LE MINISTERE DU COMMERCE DANS LES DERNIERES ANNEES DU XIX ème SIECLE (extraits des cahiers du Chatefp n 1, octobre 1998) Comme indiqué plus haut, l'ordonnance de 1828 avait organisé l'administration centrale

Plus en détail

ANNEXES Garanties RC Circulation Circuit

ANNEXES Garanties RC Circulation Circuit S Garanties RC Circulation Circuit Annexe au contrat RC Circulation Circuit à la Journée - 69401 602 477... Page 2 Annexe au contrat RC Circulation Circuit à l année - 69401 602 478... Page 3 Annexe au

Plus en détail

RC jeunes : rare et chère

RC jeunes : rare et chère RC jeunes : rare et chère NOTRE ENQUÊTE Nos enquêteurs ont cherché à assurer une fi lle de 18 ans sans expérience de conduite. Puis, dans un second scénario, une jeune femme de 22 ans, avec 18 mois de

Plus en détail

Le financement de l entreprise

Le financement de l entreprise Le financement de l entreprise Lors de sa création, puis au cours de son développement, l entreprise au moment opportun, doit détenir les ressources financières nécessaires pour faire face à ses échéances,

Plus en détail

B.O.I. N 71 DU 6 OCTOBRE 2011 [BOI 7I-1-11]

B.O.I. N 71 DU 6 OCTOBRE 2011 [BOI 7I-1-11] B.O.I. N 71 DU 6 OCTOBRE 2011 [BOI 7I-1-11] Références du document 7I-1-11 Date du document 06/10/11 BULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS 7 I-1-11 N 71 DU 6 OCTOBRE 2011 INSTRUCTION DU 27 SEPTEMBRE 2011 COUR DE

Plus en détail

Commission des services financiers de l Ontario. Lignes directrices pour le dépôt des demandes de taux

Commission des services financiers de l Ontario. Lignes directrices pour le dépôt des demandes de taux visant les voitures de tourisme formule abrégée (les «lignes directrices abrégées») Propositions de modifications aux taux d'assurance-automobile et aux systèmes de classement des risques A. RENSEIGNEMENTS

Plus en détail

Les débats sur l évolution des

Les débats sur l évolution des D o c u m e n t d e t r a v a i l d e l a B r a n c h e R e t r a i t e s d e l a C a i s s e d e s d é p ô t s e t c o n s i g n a t i o n s n 9 8-0 7 C o n t a c t : La u re nt V e r n i è r e 0 1 4

Plus en détail

Leçon 10. Procédures d inventaire et valorisation des stocks

Leçon 10. Procédures d inventaire et valorisation des stocks CANEGE Leçon 10 Procédures d inventaire et valorisation des stocks Objectif : A l'issue de la leçon l'étudiant doit être capable : d'appréhender les différentes techniques de valorisation des stocks et

Plus en détail

Construction de bases biométriques pour l assurance dépendance. SCOR inform - Novembre 2012

Construction de bases biométriques pour l assurance dépendance. SCOR inform - Novembre 2012 Construction de bases biométriques pour l assurance dépendance SCOR inform - Novembre 2012 Construction de bases biométriques pour l assurance dépendance Auteur Laure de Montesquieu Responsable Centre

Plus en détail

Consommation et investissement : une étude économétrique

Consommation et investissement : une étude économétrique Royaume du Maroc Direction des Etudes et des Prévisions financières Consommation et investissement : une étude économétrique Décembre 1996 Document de travail n 14 Consommation et Investissement : Une

Plus en détail

sur votre crédit Tout connaître et les assurances

sur votre crédit Tout connaître et les assurances sur votre crédit Tout connaître et les assurances Introduction Le principe d équité en assurance de dommages veut que la prime reflète le risque à assurer. Un des critères utilisés par les assureurs de

Plus en détail

L'assurance est établie sur la base des indications fournies par vous et par l'assuré, qui répondez tous deux de leur exactitude.

L'assurance est établie sur la base des indications fournies par vous et par l'assuré, qui répondez tous deux de leur exactitude. POLICE FLEXIBEL SAVING ALBT2 1 1 Entrée en vigueur de l'assurance L'assurance entre en vigueur à la date et selon les modalités indiquées dans les conditions particulières, dans la mesure où le contrat

Plus en détail

a) La technique de l analyse discriminante linéaire : une brève présentation. 3 étapes de la méthode doivent être distinguées :

a) La technique de l analyse discriminante linéaire : une brève présentation. 3 étapes de la méthode doivent être distinguées : a) La technique de l analyse discriminante linéaire : une brève présentation. Nous nous limiterons ici à l'analyse discriminante linéaire et à deux groupes : - linéaire, la variante utilisée par ALTMAN

Plus en détail

Assurances de biens et de responsabilité

Assurances de biens et de responsabilité Enquête Juin 2011 Assurances de biens et de responsabilité Inondations du Var des 15 et 16 juin 2010 Bilan chiffré au 31 mai 2011 1 LES INONDATIONS DU VAR DES 15 ET 16 JUIN 2010 SYNTHESE Les conséquences

Plus en détail

SOMMAIRE INTRODUCTION... 3

SOMMAIRE INTRODUCTION... 3 SOMMAIRE INTRODUCTION... 3 I - PRESENTATION DE L ENQUETE... 5 A - OBJECTIFS DE L ENQUETE...5 B - CHAMP DE L ENQUETE...5 C - DETERMINATION DES «GROUPES» DE SOCIETES...6 II - VUE D ENSEMBLE DES CESSIONS...

Plus en détail

NORME PRIVEE Produits de peinture/private STANDARD Coating materials. Contrats d assurance souscrits auprès de sociétés de courtage

NORME PRIVEE Produits de peinture/private STANDARD Coating materials. Contrats d assurance souscrits auprès de sociétés de courtage NORME PRIVEE Produits de peinture/private STANDARD Coating materials Edition française Contrats d assurance souscrits auprès de sociétés de courtage Contracts taken out with insurance brokers companies

Plus en détail

LE MINI GUIDE DE L ASSURANCE RC AUTO EN BELGIQUE. Agréé par la CBFA sous le numéro 14313A-cB.

LE MINI GUIDE DE L ASSURANCE RC AUTO EN BELGIQUE. Agréé par la CBFA sous le numéro 14313A-cB. LE MINI GUIDE DE L ASSURANCE RC AUTO EN BELGIQUE Avant propos Cet ouvrage est la propriété intellectuelle du Bureau Financier Pietquin Bureau de courtage indépendant Agréé par la CBFA sous le numéro 14313A-cB.

Plus en détail

Étude sur les taux de revalorisation des contrats individuels d assurance vie au titre de 2013 n 26 mai 2014

Étude sur les taux de revalorisation des contrats individuels d assurance vie au titre de 2013 n 26 mai 2014 n 26 mai 2014 Étude sur les taux de revalorisation des contrats individuels d assurance vie au titre de 2013 Sommaire 1.INTRODUCTION 4 2.LE MARCHÉ DE L ASSURANCE VIE INDIVIDUELLE 6 2.1.La bancassurance

Plus en détail

PRESTATIONS BANCAIRES

PRESTATIONS BANCAIRES PRESTATIONS BAAIRES APPLICABLES AUX PARTICULIERS Tél : 54.34.44 Fax : 53.23.79 info@consommation.pf www.consommation.pf MAJ août 2008 A partir des plaquettes tarifaires mises à la disposition du public

Plus en détail

Conditions Générales Assurance Auto Top Circulation et Top Occupants

Conditions Générales Assurance Auto Top Circulation et Top Occupants Conditions Générales Assurance Auto Top Circulation et Top Occupants Table des matières 1. Qu'entend-on par? 2 Page 2. Qui est assuré? 2 3. Quand est-on assuré? 3.1. Formules 2 3.2. Extensions de garantie

Plus en détail

Comment évaluer une banque?

Comment évaluer une banque? Comment évaluer une banque? L évaluation d une banque est basée sur les mêmes principes généraux que n importe quelle autre entreprise : une banque vaut les flux qu elle est susceptible de rapporter dans

Plus en détail

Chiffres clés de l assurance transport 2011 réalisés par l ABAM

Chiffres clés de l assurance transport 2011 réalisés par l ABAM Chiffres clés de l assurance transport 2011 réalisés par l ABAM Contenu 1. Facultés : la Belgique reste dans le top 15... 2 2. La branche CMR reste dans le vert... 3 3. Corps fluviaux... 4 4. Corps maritimes...

Plus en détail

TOURISME CHAUDIÈRE- APPALACHES

TOURISME CHAUDIÈRE- APPALACHES États financiers TOURISME CHAUDIÈRE- APPALACHES États financiers Rapport de l'auditeur indépendant 1 États financiers Bilan 3 État des résultats 4 État de l'évolution de l actif net 6 État des flux de

Plus en détail

6. Assurance automobile et assurance multirisques habitation : une année riche en actualité

6. Assurance automobile et assurance multirisques habitation : une année riche en actualité 6. Assurance automobile et assurance multirisques habitation : une année riche en actualité Comité consultatif du secteur financier Rapport 2010-2011 77 Au cours des années 2010 et 2011, le CCSF a porté

Plus en détail

La fonction d audit interne garantit la correcte application des procédures en vigueur et la fiabilité des informations remontées par les filiales.

La fonction d audit interne garantit la correcte application des procédures en vigueur et la fiabilité des informations remontées par les filiales. Chapitre 11 LA FONCTION CONTRÔLE DE GESTION REPORTING AUDIT INTERNE Un système de reporting homogène dans toutes les filiales permet un contrôle de gestion efficace et la production d un tableau de bord

Plus en détail

GAREAT. Documents annexes

GAREAT. Documents annexes GAREAT Documents annexes Qu est ce que le GAREAT? Le GAREAT est un Groupement d Intérêt Economique dont l objet est la mise en place d un programme de réassurance au nom et pour le compte de ses adhérents

Plus en détail

Notes techniques relatives aux dépôts des taux d assurance-automobile et des systèmes de classification des risques

Notes techniques relatives aux dépôts des taux d assurance-automobile et des systèmes de classification des risques Notes techniques relatives aux dépôts des taux d assurance-automobile et des systèmes de classification des risques Publiées avec le Bulletin No. A-12/01 de la Commission des services financiers de l Ontario

Plus en détail

COMMENT MAITRISER LA GESTION DES APPROVISIONNEMENTS ET DES STOCKS DE MEDICAMENTS

COMMENT MAITRISER LA GESTION DES APPROVISIONNEMENTS ET DES STOCKS DE MEDICAMENTS 1 sur 9 COMMENT MAITRISER LA GESTION DES APPROVISIONNEMENTS ET DES STOCKS DE MEDICAMENTS (L'article intégral est paru dans Gestions Hospitalières n 357 de juin-juillet 1996) Pour plus d'informations concernant

Plus en détail

L olivier Assurances Licence 3 Econométrie Lyon II

L olivier Assurances Licence 3 Econométrie Lyon II 15 novembre 2013 L olivier Assurances Licence 3 Econométrie Lyon II Pascal Gonzalvez 1 L olivier Assurances et le Groupe Admiral Segmentation et tarification en assurance auto Autres applications de la

Plus en détail

INTRODUCTION (Eric BERTHOUX Directeur Délégué Administratif et Financier MAIF)

INTRODUCTION (Eric BERTHOUX Directeur Délégué Administratif et Financier MAIF) JOURNEES D ETUDES IARD 20 et 21 mars 2014 «Les nouveaux défis de la tarification» INTRODUCTION (Eric BERTHOUX Directeur Délégué Administratif et Financier MAIF) Quelques réflexions sur le contexte, le

Plus en détail

POLICE D ASSURANCE AUTOMOBILE DU QUÉBEC F.P.Q. N O 7 FORMULE D ASSURANCE EXCÉDENTAIRE DE LA RESPONSABILITÉ CIVILE

POLICE D ASSURANCE AUTOMOBILE DU QUÉBEC F.P.Q. N O 7 FORMULE D ASSURANCE EXCÉDENTAIRE DE LA RESPONSABILITÉ CIVILE POLICE D ASSURANCE AUTOMOBILE DU QUÉBEC F.P.Q. N O 7 FORMULE D ASSURANCE EXCÉDENTAIRE DE LA RESPONSABILITÉ CIVILE 1 er mars 2001 Aux intéressés : Vous trouverez ci-joint le texte révisé de la police d'assurance

Plus en détail

Gestion de la Relation Client (GRC)

Gestion de la Relation Client (GRC) Techniques de DM pour la GRC dans les banques Page 2 I.1 Introduction La gestion de la relation client est devenue un processus essentiel dans les institutions bancaires. Ils essaient toujours d améliorer

Plus en détail

LE COURTAGE D ASSURANCE

LE COURTAGE D ASSURANCE Programme 1ère conférence : l éthique du courtier 2ème conférence : la profession du courtier Courtage et environnement concurrentiel Le cadre de l activité L activité La responsabilité des courtiers d

Plus en détail

Allianz, assureur officiel de la FFME

Allianz, assureur officiel de la FFME Allianz, assureur officiel de la FFME Assurance automobile des déplacements bénévoles www.allianz.fr Avec vous de A à Z Cette notice a pour objet de préciser les termes de la convention passée entre la

Plus en détail

Services de conciliation en assurance Cadre de collaboration et de surveillance. Approuvé par le CCRRA en juin 2015

Services de conciliation en assurance Cadre de collaboration et de surveillance. Approuvé par le CCRRA en juin 2015 Services de conciliation en assurance Cadre de collaboration et de Approuvé par le CCRRA en juin 2015 Mise à jour du Forum conjoint des autorités de réglementation du marché financier Réseau de conciliation

Plus en détail

Plus de données, quels impacts sur la gestion des sinistres? 4 avril 2013 Gontran Peubez

Plus de données, quels impacts sur la gestion des sinistres? 4 avril 2013 Gontran Peubez Plus de données, quels impacts sur la gestion des sinistres? 4 avril 2013 Gontran Peubez Sans sinistres, pas d assurance Langage Logique Analyse Intuition Perception Créativité «La plupart des gens utilisent

Plus en détail