Le Belge face à l épargne (2/2) : le budget

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1 _ Focus on the Belgian economy Economic Research Le Belge face à l épargne (2/2) : le budget Oscar Bernal Economic Research, ING Belgique Bruxelles (32) Oscar.bernal@ing.be Julien Manceaux Economic Research, ING Belgique Bruxelles (32) Julien.manceaux@ing.be Le second volet de notre étude sur les comportements d épargne des belges porte sur les volets revenus et dépenses de leur budget Décembre 29 La variation du revenu au cours du cycle de vie montre la précarité financière des âgés qui désépargnent à partir de 6 ans pour soutenir leur consommation. En effet, hors pensions extra-légales, le revenu des personnes de 6 ans et plus ne représente que 4% du revenu de la tranche d âge la mieux rémunérée. Ceci souligne l importance des pensions extra-légales et de la constitution d un «capital vieillesse» supplémentaire au cours du cycle de vie pour palier la baisse de revenus après 6 ans. La Flandre affiche un revenu moyen supérieur à la Wallonie et Bruxelles mais cette dernière a la répartition de revenus la plus inégalitaire du pays. Quant aux allocations sociales, même si elles demeurent à un niveau comparable au nord et au sud après 6 ans, elles représentent en général une part plus importante du revenu au sud du pays. Peu de différences apparaissent entre les profils de dépenses des différentes régions ou même de classes d âge. Ainsi le principal poste du budget du ménage moyen est le logement (25%). Par ailleurs, les dépenses d alimentation (15%) ont la même importance que les dépenses de transports et de télécommunications réunies. La structure des dépenses varie peu entre les différentes classes de revenus mais les dépenses augmentent linéairement avec celui-ci. Les disparités entre niveaux de dépenses sont toutefois moins marquées qu entre niveaux de revenus. Certains types de dépenses importantes occupent cependant des places très différentes dans les budgets des plus riches et des moins riches, comme les dépenses d éducation, de santé, ou de voyages. Ainsi, si les ménages les plus riches ont deux fois plus de dépenses de santé que les plus pauvres (2 euros par an contre 1), elles représentent un poste négligeable de leur budget alors qu il s agit d un des cinq premiers postes de dépenses des ménages les plus pauvres. La croissance belge est repassée en positif Q1 7 Q4 7 Q3 8 Q2 9 Source: ICN Prévisions pour l économie belge PIB (1) Emploi (1) Taux de chômage (2) Inflation (3) -3,2 -,8 8,1, 1,3-1, 9,1 1,3 (1) Moyenne annuelle - YoY (2) Moyenne annuelle -Définition Eurostat (harmonisé) (3) Indice des prix à la consommation Bloomberg: ING <GO>

2 2 Dans le précédent Focus on the Belgian economy, nous avions examiné le comportement des ménages belges face à l épargne. Cette étude retraçait l évolution du taux d épargne des belges (le plus élevé d Europe) au cours des dernières années et présentait quelques résultats d analyse quant à son évolution au cours du cycle de vie des individus. Dans sa décomposition régionale, cette dernière analyse montrait une différence entre régions flamande et wallonne quant à la répartition de l effort d épargne au cours du cycle de vie. Dans sa décomposition en quartile de revenus, cette analyse montrait le lien non linéaire existant entre revenu et épargne, l épargne étant inexistante, voir négative pour les revenus les plus bas, en particulier chez les personnes âgées qui consomment le capital qu elles ont accumulé au cours du cycle de vie. Ce numéro du Focus porte sur les deux autres volets du budget des ménages à savoir les revenus d une part, et les dépenses de l autre. Comme pour le précédent numéro, notre analyse se base sur les données de la dernière enquête sur le budget des ménages 1 (27). 1. Les revenus Sur le plan macroéconomique, le revenu des individus occupe un rôle central. L évolution du revenu est en effet un des principaux déterminants des décisions tant de consommation que d épargne. Il traduit également le degré de développement économique d une économie ou d une région. L étude du revenu permet également de mettre en évidence de nombreuses disparités. Celles-ci peuvent exister tant au niveau du sexe que du niveau d éducation, de l âge ou encore de la localisation géographique. Ce sont en particulier ces deux derniers aspects qui nous intéressent ici. Analyse par âge Le revenu d un individu peut varier fortement tout au long de sa vie en raison de facteurs personnels, liés à sa carrière notamment. En règle générale, le cycle du revenu suppose que les individus les plus jeunes ont un revenu inférieur à celui des plus âgés (Gr 1). En effet, alors que le revenu moyen des belges (tous âges confondus) est d un peu moins de 37 euros par an, les individus appartenant à la tranche d âge la plus basse (2 à 29 ans) ne gagnent en moyenne qu un peu plus de 33 euros par an. Le revenu maximum est obtenu par les personnes de 4 à 49 ans, qui perçoivent en moyenne environ 45 euros par an. Gr 1 Evolution du revenu par tranche d âge Gr 2 Origine des revenus par tranche d âge 5 x 1 euros 5 x 1 euros Moyenne à 29 ans 3 à 39 ans 4 à 49 ans 5 à 59 ans 6 ans et plus à 29 ans 3 à 39 ans 4 à 49 ans 5 à 59 ans 6 ans et plus Revenu disponible Activité économique Patrimoine Allocations sociales Autres Sur ce plan, les personnes les plus âgées (celles appartenant à la classe d âge des 6 ans et plus) semblent les moins bien loties. Leur revenu moyen s établit en effet à environ 27 euros par an 1 EBM 27, disponible auprès de la Direction Générale de la Statistique et de l Information Economique (DGSIE) du SPF Economie, Classes Moyennes, PME et Energie

3 3 seulement, soit 1 euros de moins que la moyenne du Royaume et près de 2, euros de moins que les personnes appartenant à la tranche d âge la mieux rémunérée. Ce constat doit toutefois être nuancé. En effet, les chiffres de la DGSIE ne comprennent pas le revenu provenant des pensions extralégales qui constituent un patrimoine accumulé tout au long de la carrière et qui peut notamment être utilisé afin de lisser la consommation, on parle alors de désépargne, phénomène que soulignait déjà le Focus précédent. L accès à l épargne extra-légale apparaît donc comme un enjeu crucial. Ce constat est renforcé par le fait que l essentiel (72%) des revenus des personnes ayant 6 ans et plus provient des allocations sociales et, plus précisément, des pensions légales (Gr 2). Les revenus provenant de l exercice d une activité économique ne sont en effet que très limités (11% seulement du revenu total). Dès lors, une pension extra-légale insuffisante pourrait se traduire par un appauvrissement significatif d une partie de plus en plus importante de la population totale, en raison du phénomène de vieillissement de la population. Sur le plan macroéconomique, cela pourrait se traduire par une consommation moindre et, vraisemblablement aussi, par une croissance plus faible. Analyse par régions Compte tenu des disparités économiques existant entre les différentes régions de Belgique, il n est pas surprenant que le revenu présente également des différences importantes à ce niveau (Gr 3). On s aperçoit ainsi que le revenu en Région flamande est plus important (près de 39 euros par an) que dans les deux autres régions du pays (un peu moins de 34 euros par an à Bruxelles et un peu plus de 34 euros par an en Wallonie). L examen de l origine des revenus représente dès lors un exercice intéressant. Il apparaît en effet que le revenu provenant de l activité économique représente 59% du revenu total en Flandre et 58% à Bruxelles. Par contre, cette part n est que de 55% en Wallonie, ce qui est quasiment entièrement compensé par une part plus importante des revenus provenant des allocations sociales. Celles-ci représentent 31% du revenu total en Wallonie contre 26% en Flandre et 28% à Bruxelles. Gr 3 Source des revenus x 1 euros Flandre Bruxelles Wallonie Royaume Activité économique Patrimoine Allocations sociales Autres Gr 4 Répartition des revenus 1% 9% 1% 9% 8% 8% 7% 7% 6% 6% 5% 5% 4% 4% 3% 3% 2% 2% 1% 1% % % Q1 Q2 Q3 Q4 Répartition égalitaire Wallonie Flandre Bruxelles Ici encore, la question du vieillissement de la population joue un rôle essentiel. En effet, alors que la part du revenu total provenant des allocations sociales des 6 ans et plus représente 72% en Flandre et 73% en Wallonie, Bruxelles apparaît nettement en retrait. Les allocations sociales n y représentent en effet que 63% du revenu total. Ces différences s expliquent essentiellement par le fait que le revenu disponible total des bruxellois de 6 ans et plus (environ 29 euros par an) est plus élevé que dans le reste du pays (27 euros par an en Flandre et 26 euros par an en Wallonie), principalement en raison de revenus provenant de l activité économique plus importants (6 euros par an à Bruxelles

4 4 contre 24 euros par an en Flandre et 26 euros par an en Wallonie). A noter qu en niveau, parmi les personnes de 6 ans et plus, ce sont les flamands qui reçoivent le plus d allocations sociales (près de 2 euros par an contre un peu plus de 18 euros par an à Bruxelles et environ 19 euros par an en Wallonie), ce qui doit probablement être relié à leur revenu plus élevé par le passé. La répartition du revenu au sein de la population est un autre élément important. En effet, un niveau de revenu élevé dans une région n est pas nécessairement synonyme de bien être. La répartition de ce revenu au sein de la population est en effet également un facteur important. L examen de la répartition des revenus de la population par quartiles révèle une situation globalement satisfaisante en Belgique où, en moyenne, 75% de la population concentre près de 65% du revenu cumulé (Gr 4). Des disparités apparaissent toutefois entre les régions. Ainsi, en termes de revenus, la région bruxelloise est la plus inégalitaire du pays. Les trois-quarts de la population n y concentrent qu un peu plus de 55% du revenu total. Les bruxellois les plus riches (ceux appartenant aux 25% des individus ayant le revenu le plus élevé) ont d ailleurs le revenu le plus élevé du pays (environ 67 euros par an contre un peu moins de 65 pour les flamands et un peu plus de 61 pour les wallons). Pour le reste, la Flandre apparaît comme la région où les disparités de revenus sont les plus faibles puisque 75% de la population concentre près de 67% du revenu total. La Wallonie, quant à elle, se situe au niveau de la moyenne nationale. Si l on met ces chiffres en relation avec le taux d emploi de chaque région (62% pour la Belgique et 54,8%, 66,1% et 57% pour Bruxelles, la Flandre et la Wallonie respectivement), il apparaît que ce sont les régions où l emploi est le plus faible qui sont aussi les plus inégalitaires. Il semble donc que la réduction de ces inégalités pourrait passer par des politiques d emploi à large échelle. 2. Les dépenses Les dépenses constituent le dernier volet du triptyque qui fait l objet de notre analyse. Comme pour les autres volets, une répartition par région, par classe d âge et de revenus est disponible. De manière générale, les différences de structure de dépenses sont essentiellement liées aux revenus. Bien entendu, il existe quelques spécificités régionales, les dépenses liées au logement prennent ainsi une part plus importante à Bruxelles que dans les autres régions. De même, la structure des dépenses par classes d âge n apporte guère plus d informations que la distinction des revenus. Tout juste peut-on en déduire quelques lieux communs : les consommateurs âgés ont ainsi moins de dépenses Gr 5 La répartition des dépenses du ménage moyen Gr 6 La consommation est peu lissée au cours du cycle de vie Loisirs et éducation 8% Autres 2% Alim. Et tabac 16% Habits et chauss 5% Commu et transp. 16% Santé 5% Art. ménagers 6% Logement 24% à 29 ans 3 à 39 ans 4 à 49 ans 5 à 59 ans 6 ans et + BE BR Bxl RW R Fl

5 5 d enseignement et plus de dépenses culturelles ou de soins de santé que les plus jeunes. De même, ils consomment également plus d énergie dans leur logement tout en ayant moins de frais de transports. La structure des dépenses des belges, toutes régions et âges confondus est représentée au graphique 5 et est dominée par les frais relatifs au logement (énergie et loyers rentrent seuls en ligne de compte, le remboursement des prêts hypothécaires représentant une épargne Cf. numéro précédent du Focus). On observera que les dépenses d alimentation n occupent pas une place plus importante que les dépenses de transport ou de (télé)communication. Ces trois postes représentent ensemble 56% des dépenses des ménages. Il est également intéressant de souligner que si les dépenses au cours du cycle de vie suivent l évolution des revenus, l amplitude des variations est moindre : les belges lissent donc leur consommation. C est un phénomène que nous avions déjà constaté pour l épargne qui se vérifie pour les dépenses : les belges mettent de côté une part importante de leurs revenus supplémentaires pour maintenir leur niveau de consommation pendant les périodes de vaches maigres. Les belges adaptent ainsi leur niveau de consommation à leur revenu, à la hausse au départ, et à la baisse après 5 ans. Analyse par classes de revenus Il apparaît que le revenu est le principal déterminant du niveau mais également de la structure des dépenses du ménage. En effet, les dépenses augmentent linéairement avec les revenus pour les trois quartiles les moins riches de la population (Cf. Graphique 7). L augmentation est ensuite plus rapide pour les 25% des ménages les plus riches de la population. Comme on le voit sur le même graphique, des différences régionales apparaissent pour les trois premières classes de revenus mais les plus riches dépensent environ le même montant annuel, quelle que soit leur région, soit environ 52. euros. Certaines inégalités apparaissent également puisque les ménages les plus pauvres dépenses généralement plus qu ils ne gagnent alors que les plus riches dégagent une épargne largement positive, ne consommant que 8% de leurs revenus. Gr 7 Dépenses globales des ménages par quartile de revenus (en euros) Gr 8 Dépenses en enseignement par quartile de revenus (en euros) Quartile 1 Quartile 2 Quartile 3 Quartile 4 BE BR Bxl RW R Fl Quartile 1 Quartile 2 Quartile 3 Quartile 4 BE BR Bxl RW R Fl Il est possible d affiner ce résultat. En effet, si les dépenses globales augmentent linéairement avec le revenu, c est aussi le cas des dépenses courantes : les dépenses d alimentation et d habillement par exemple représentent respectivement 22% et 16% du revenu disponible pour le quartile le moins riche et le plus riche (respectivement), soit 3.65 euros pour les uns et 1.3 euros pour les autres. C est très différent pour d autres catégories de dépenses. Ainsi les charges liées au logement (eau, gaz, électricité) arrivent en 3 ème position (sur 22 postes budgétaires) avec 8% du revenu disponible chez les plus pauvres alors qu elles arrivent en 1ème position seulement (après les dépenses de voyages ) chez les

6 6 ménages les plus favorisés. Au sujet des voyages justement, ils représentent 4% du revenu disponible des ménages les plus favorisés et arrivent à la 8 ème place dans leur budget annuel. Les ménages les plus pauvres n ont pas cette chance, eux qui dépensent en moyenne seulement 4 euros par an à ce type d activités (soit 2,4% de leur revenu, à la 14 ème place de leur budget). Il existe des disparités moins anodines pour un pays qui donne tant d importance à la lutte contre les inégalités sociales. En termes de soins de santé par exemple, les ménages les plus riches dépensent en moyenne le double des plus pauvres (2 euros par an contre 1 euros, là où aucune statistique n indique que la maladie frappe plus fréquemment les riches que les pauvres). Cependant, pour les plus riches, ce poste ne représente que 3% du revenu et occupe la 11 ème position du budget alors qu il s agit d un poste deux fois plus lourd pour les ménages les plus pauvres (6% du revenu) et surtout plus important puisqu il occupe la 5 ème place de leur budget. Des disparités, certes connues mais toujours frappantes, s observent aussi dans le domaine de l enseignement. Ainsi, là où les ménages appartenant au quartile des plus riches dépensent 55 euros par an en éducation, ceux appartenant aux 25% les plus pauvres ne se permettent que 52 euros par an, voir seulement 15 euros pour les wallons du premier quartile. Les ménages bruxellois apparaissent comme les plus dépensiers en la matière mais il est malaisé d expliquer cette différence dans la mesure où les ménages bruxellois ne comptent pas beaucoup plus d enfants qu ailleurs : 1,3 enfants par ménages pour respectivement 1,2 et 1,1 en Wallonie et en Flandre. 3. Conclusions L analyse des revenus montre qu il existe d importantes disparités en fonction de l âge et de la localisation géographique des individus. Il apparaît ainsi clairement que, hors pensions extra-légales, le revenu des personnes les plus âgées (de 6 ans et plus) est 27% inférieur à la moyenne du revenu, tous âges confondus. Compte tenu du phénomène de vieillissement de la population, ce phénomène est inquiétant puisqu il pourrait se traduire par un appauvrissement d une part grandissante de la population. Au niveau de l analyse par régions, la Flandre dispose du revenu le plus élevé alors que Bruxelles se trouve en troisième position. Enfin, les disparités intra-régionales sont les plus élevées à Bruxelles où 75% de la population ne concentre que 55% du revenu total. A l échelle nationale, toutefois, la situation apparaît relativement satisfaisante. L analyse des dépenses nous amène donc à penser que la région et l âge n ont d influence sur leur structure et leur niveau que dans la mesure où la région et l âge influencent le revenu. Nous avons en effet trouvé un lien linéaire entre les dépenses et les revenus pour les trois premiers quartiles de revenus. Les disparités entre niveaux de dépenses sont moins marquées qu entre niveaux de revenus (puisque les plus pauvres s endettent où dépensent leur capital alors que les plus riches épargnent environ un cinquième de leur revenu). De même, pour les dépenses de base, les disparités sont peu marquées par rapport au niveau des revenus (même si les niveaux de dépenses sont évidemment assez éloignés). Par contre, certains types de dépenses importantes occupent des places très différentes dans les budgets des plus riches et des moins riches (éducation, santé, voyages pour les plus emblématiques), un vieux débat qu il est possible de lier aux inégalités de revenus constatées dans la première partie de l analyse.

7 7 Disclaimer Les opinions exprimées dans ce rapport sont le reflet exact des opinions personnelles des analystes à propos des titres et des émetteurs cités dans ce document. Aucune tranche de la rémunération des analystes n'a été, n'est ou ne sera directement ou indirectement liée à l'inclusion de recommandations ou opinions spécifiques dans ce rapport. Les analystes qui ont participé à la préparation de cette publication respectent tous les exigences nationales liées à leur profession. Cette publication a été préparée au nom de ING (dans le cas présent ING Groep NV, sis aux Pays-Bas, et certaines de ses filiales et succursales) pour ses clients, uniquement à titre informatif. ING fait partie du Groupe ING (dans le cas présent ING Groep NV et ses sociétés filiales et apparentées). Cette publication ne constitue pas une recommandation de placement ni une offre ou une incitation à acheter ou vendre des instruments financiers. Même si toutes les précautions ont été prises pour assurer que les informations contenues dans ce document ne soient ni erronées, ni trompeuses au moment de la publication, ING ne peut en garantir ni l'exactitude ni l'exhaustivité. Les informations contenues dans ce document peuvent être revues sans avis préalable. ING Group et ses cadres dirigeants, employés et mandats liés et discrétionnaires peuvent, dans les limites autorisées par la loi, avoir des positions longues ou courtes ou peuvent par ailleurs avoir des intérêts dans des transactions ou des investissements (en ce compris des produits dérivés) auxquels fait référence cette publication. En outre, ING Group peut fournir ses services bancaires, d'assurances ou de gestion de patrimoine aux, ou solliciter de telles services auprès des, sociétés citées dans cette publication. Ni ING ni aucun de ses cadres dirigeants ou employés ne peuvent être tenus pour responsables d'éventuelles pertes directes ou indirectes suite à l'utilisation de cette publication ou de son contenu. Cette publication est soumise à la protection du copyright et des droits des bases de données et ne peut être reproduite, distribuée ou publiée par quiconque, quel que soit l'objectif, sans l'accord préalable de ING. Tous droits réservés. Tous les investissements mentionnés dans ce document peuvent comporter des risques considérables, ne sont pas nécessairement disponibles dans toutes les juridictions, peuvent être illiquides et peuvent ne pas convenir à tous les investisseurs. La valeur ou les revenus des investissements cités dans cette publication peuvent fluctuer et/ou être influencés par l'évolution des taux de change. Les performances passées ne constituent en rien une indication des résultats futurs. Les investisseurs doivent prendre leurs propres décisions de placement sans se baser sur cette publication. Seuls les investisseurs disposant d'une connaissance et d'une expérience suffisantes dans le domaine financier pour pouvoir en évaluer les mérites et les risques peuvent envisager d'investir dans les émetteurs et les marchés auxquels fait référence cette publication. Toute autre personne ne devrait pas prendre de décision sur la base de cette publication. Cette publication est émise:1) au Royaume-Uni seulement à l'attention des personnes prévues dans les articles 19, 47 et 49 du Financial Services and Markets Act 2 (Financial Promotion) Order 25 et ne doit pas être distribuée, directement ou indirectement, aux autres catégories de personnes (en ce compris les investisseurs privés); 2) en Italie, seulement à l'attention des personnes décrites dans l'article No. 31 de la réglementation Consob No /98 ; 3) aux Etats-Unis, seulement à l attention des investisseurs institutionnels qualifiés (QIB) et des grandes entreprises. Les clients doivent prendre contact avec des analystes auprès de, et exécuter des transactions via, une entité ING de leur juridiction nationale sauf si la loi en vigueur le permet d'agir autrement. ING Bank N.V. ses succursales et/ou ses filiales sont toutes enregistrées et contrôlées par les autorités de contrôle nationales concernées. ING Bank N.V. est agréée par la banque centrale néerlandaise et est supervisée par la Authority for the Financial Markets. Elle est sise aux Pays-Bas et est enregistrée aux Pays-Bas (numéro ) à Amstelveenseweg 5, 181 KL, Amsterdam. ING Financial Markets LLC, qui est membre du NYSE, du NASD et du SPIC et qui fait partie de ING, a accepté la responsabilité de la distribution de ce rapport aux Etats-Unis conformément aux dispositions en vigueur. En Belgique, l'éditeur responsable est Peter Vanden Houte, avenue Marnix 24, 1 Bruxelles.

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