Place de l abatacept dans la prise en charge de la PR. Dr Emilie Acquacalda et Dr Olivier Brocq
|
|
- Antonin Nolet
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Place de l abatacept dans la prise en charge de la PR Dr Emilie Acquacalda et Dr Olivier Brocq
2 Diagnostic précoce Recours rapide au rhumatologue Biologie Imagerie Radiographie mains poignet F + ¾ thorax +/- Echographie Rev Rhum, 2014, on line
3 Critères ACR EULAR de classification de PR débutante (1)
4 Critères ACR EULAR de classification de PR débutante (2) Concept d «érosions typique de PR» selon l EULAR 3 articulations érosives : MCP, IPP, poignets et MTP Echographie doppler Confirmer la présence de synovites Suivre l activité de la PR Evaluer l inflammation persistante
5 Urgence thérapeutique Tight control: Suivi tous les mois à 3 mois Critères de suivi Toujours DAS 28 (CRP car plus permissif) Critère ACR EULAR trop restrictif NAG et sd inflammatoire +++ Radiographie 1/6mois la première année 1/an pendant 3 à 5 ans
6 Algorithme de prise en charge de la PR 2014 selon les recommandations de la SFR 0,15mg/kg 6 mois SZP 3g/j Début 10-15mg/sem puis 0,3 mg/kg + > Acide folique 5mg/sem
7 En association au MTX 10mg/sem
8 Essai ROC : Après un premier anti-tnf changer de classe surtout si échec primaire
9 Étude ROC : étude randomisée contrôlée comparant un 2 nd anti-tnf à un autre biomédicament (1) 9 Essai contrôlé randomisé du CRI : 291 PR en réponse inadéquate à un 1 er anti-tnf DAS28 3,2, dose stable de DMARD et de PDN (< 15 mg/j) Âge moyen : 57 ans ; ancienneté PR : 10 ans ; FR+ ou ACPA+ : environ 80 % Traitements concomitant : DMARD synthétique 77 % - PDN 52 % DAS28 moyen à la randomisation : 5,1 Randomisation : 2 nd anti-tnf (molécule laissée au choix de l investigateur) : n = 145 ADA : n = 57 CZP : n = 23 ETN : n = 53 IFX : n = 8 Autre biothérapie parmi RTX, ABA ou TCZ (choix laissé à l investigateur) : n = 146 ABA : n = 35 RTX : n = 41 TCZ : n = 70 Critère de jugement principal : réponse EULAR à 6 mois Post-America D'après Gottenberg (1469, actualisé)
10 Patients (%) Étude ROC : étude randomisée contrôlée comparant un 2 nd anti-tnf à un autre biomédicament (2) 10 Critère principal : réponse EULAR (bonne ou modérée) à 6 mois - 2 nd anti-tnf : 45,8 % - Biothérapie avec un autre mode d action : 59,9 % (p = 0,006) ,6 19, ,2 26,1 Bonne réponse EULAR Réponse EULAR modérée Non-réponse EULAR 20 40,1 54,2 OR : 2,96 (IC 95 : 1,36-6,45) 0 Autre biomédicament 2 nd anti-tnf En cas de réponse inadéquate à un 1 er anti-tnf, ROC démontre la supériorité d un changement de classe thérapeutique plutôt que d une rotation d anti-tnf Post-America D'après Gottenberg (1469, actualisé)
11 L allègement thérapeutique..? Pas d arrêt brutal des anti-tnf Espacement des doses possible Etanercept et adalimumab Si rechute retour en arrière possible Fautrel B et al. Étude STRASS Répéter les radiographies avant et pendant toute décroissance thérapeutique
12 L immunogénicité des biomédicaments «rhumatologiques» Associer le MTX permet un meilleur maintient thérapeutique
13 Mr P. 65 ans polyarthrite rhumatoïde depuis 3 mois Sous 20mg de MTX par semaine Sévère DAS 28 CRP 5.9 et érosive Comorbidités : HTA sous quadrithérapie Diverticulose colique Insuffisance veineuse chronique ATCD : PFLA en 2011 Tabagisme sevré depuis 2011 Sigmoïdite diverticulaire en 2008
14 Au vu de sa présentation clinique : Pensez vous qu une biothérapie soit indiquée? Oui Recommandations de la SFR Critère de sévérité : Erosive +++
15 Pensez vous qu une association à un DMARD soit la meilleure option? oui Meilleure maintenance thérapeutique des biothérapies (bémol anti IL 6) en association aux DMARDs. Particulièrement avec le MTX 10mg/semaine 1. Essai CONCERTO : évaluation de plusieurs doses de méthotrexate en association avec l adalimumab. Burmester 2. ADALIMUMAB SERUM CONCENTRATIONS IN PATIENTS WITH RHEUMATOID ARTHRITIS OR PSORIATIC ARTHRITIS TAKING CONCOMITANT DMARD THERAPY C Krieckaert et al. EULAR 2014, Paris, juin 2014
16 Quelles sont les biothérapies envisageables? a.anti-tnf b.anti- Il 1 c.anti-il6 d.anti-cd20 e.anti CTLA4
17 Au vu des données actuelles de la littérature et l histoire clinique du patient quelles sont les 2 biothérapies les plus sûres? Etanercept et Abatacept Risque infectieux +++ Données de la méta-analyse de la cochrane sur le risque infectieux selon les biothérapies.
18
19 Abatacept ATTEST : ABA or IFX vs placebo, a Trial for Tolerability, Efficacy, and Safety, in Treating RA Abatacept* + MTX (n=156) n=147 n=139 Réponse insuffisante au MTX Placebo + MTX (n=110) Infliximab + MTX (n=165) n= 107 n=152 Abatacept n=104 n=141 Inclusion Jour 1 6 mois 1 an Randomisation (3:3:2) Critère principal : variation d activité de la maladie DAS28 [VS] Schiff M et al. Ann Rheum Dis 2007 published online 29 Nov 2007; doi : /ard
20 ATTEST : évènements indésirables De J1 à J197 De J1 à J365 Patients avec EI Abatacept + MTX (n=156) n (%)* Placebo + MTX (n=110) n (%)* Infliximab + MTX (n=165) n (%)* Abatacept + MTX (n=156) n (%)* Infliximab + MTX (n=165) n (%)* Décès* 1 (0,6) 0 1 (0,6) 1 (0,6) 2 (1,2) EI graves 8 (5,1) 13 (11,8) 19 (11,5) 15 (9,6) 30 (18,2) Arrêts pour EI graves 2 (1,3) 0 4 (2,4) 4 (2,6) 6 (3,6) EI 129 (82,7) 92 (83,6) 140 (84,8) 139 (89,1) 154 (93,3) Arrêt pour EI 3 (1,9) 1 (0,9) 8 (4,8) 5 (3,2) 12 (7,3) * % patients présentant 1 EI Abatacept : 1 patient avec AVC + sepsis lors d une hospitalisation pour pneumonie *Décès : Infliximab : 1 patient avec un choc septique après une intervention pour tuberculose péritonéale 1 patient avec un fibrosarcome Schiff M et al. Ann Rheum Dis 2007 published online 29 Nov 2007; doi : /ard
21 ATTEST : Incidence des infections De J1 à J197 De J1 à J365 Nombre et (%) d événements Abatacept + MTX (n=156) n (%) Placebo + MTX (n=110) n (%) Infliximab + MTX (n=165) n (%) Abatacept + MTX (n=156) n (%) Infliximab + MTX (n=165) n (%) Infections 75 (48,1) 57(51,8) 86 (52,1) 93 (59,6) 113 (68,5) Infections graves 2 (1,3) 3 (2,7) 7 (4,2) 3 (1,9) 14 (8,5) Schiff M et al. Ann Rheum Dis 2007 published online 29 Nov 2007; doi : /ard RCP Orencia
22 Profil de tolérance d ORENCIA IV dans les 5 études pivots menées en double-aveugle et contrôlées vs placebo Patients PR active Groupe ORENCIA IV : n=2111 patients et Groupe placebo : n=1099 Evénements indésirables les plus fréquents ( 5%) : Céphalées, nausées, infections des VAES 3,3% ont arrêté le traitement en raison d EI (vs 2,0% pour placebo) Infections Infections sévères liées au traitement: ORENCIA IV Placebo. 1,8 % 1,1 % Tuberculose : pas d augmentation Hépatite B : possible cas de réactivation ORENCIA IV (n=2111) Placebo (n=1099) Nombre (% de patients) Total infections graves*** 58 (3) 19 (1,9) Pneumonie 9 (0,5) 5 (0,5) Cellulite 5 (0,3) 2 (0,2) Infection de l appareil urinaire 4 (0,2) 1 (0,1) Bronchite 4 (0,2) 0 Diverticulite 3 (0,2) 0 Pyélonéphrite aiguë 3 (0,2) 0 Infection localisée 3 (0,2) 0 Broncho-pneumonie 2 (0,1) 0 Ulcère cutané infecté 2 (0,1) 0 Sinusite 2 (0,1) 0 Abcès sous cutané 2 (0,1) 0
23 Etude AMPLE : ABA SC vs ADA en association au MTX dans la PR Schiff M et al. Ann Rheum Dis 2014
24 Etude AMPLE : ABA SC vs ADA en association au MTX dans la PR A 2 ans : dose moyenne de MTX 16,3 ± 4,6 mg/s. Maintien tout à fait comparable des résultats à 2 ans
25 Etude AMPLE : ABA SC vs ADA en association au MTX dans la PR Sur 2 ans : progression moyenne : +0,9 ± 4,1 sous ABA vs +1,1 ± 8,7 sous ADA pourcentages de non progresseurs : 84,8% vs 83,8%
26 Etude AMPLE : Tolérance à 2 ans Nombre d événements (%) Évènements Évènements ayant conduit à un arrêt de traitement Abatacept SC + MTX Adalimumab + MTX Abatacept SC + MTX Adalimumab + MTX Décés 1 (0.3) 1 (0.3) 1 (0.3) 1 (0.3) EI 295 (92.8) 300 (91.5) 12 (3.8) 31 (9.5) EIG 44 (13.8) 54 (16.5) 5 (1.6) 16 (4.9) Infections graves 12 (3.8) 19 (5.8) 0 9 (2.7) Infections opportunistes 4 (1.3) 4 (1.2) 0 2 (0.6) Cancers 7 (2.2) 7 (2.1) 4 (1.3) 4 (1.2) Evènements autoimmuns 12 (3.8) 6 (1.8) 1 (0.3) 1 (0.3) Réactions au site d Injection 13 (4.1) 34 (10.4) 0 3 (0.9) Schiff M et al, EULAR 2013 OP0044
27 Après discussion avec le patient et son épouse, une forme IV est préférée. Vous optez donc pour une prise en charge par abatacept IV mensuel.
28 Traiter la PR 2 cibles : cellulaire ou humorale (cytokine) Cible cellulaire Activation Cible humorale Lymphocyte B Lymphocyte T TNF-a IL-1 IL-6 Sécrétion Activation d autres LB Inflammation Destruction articulaire Inflammation via la sécrétion de cytokines et du FR* Inflammation via l activation cellulaire, la production d anticorps, l activation de médiateurs de l inflammation Cascade inflammatoire : centrale dans la PR 28
29 Le lymphocyte T : un rôle potentialisateur de la cascade inflammatoire dans la PR 1 re étape Déclenchement de la cascade inflammatoire : présentation d un auto-ag* par la CPA** 2 e étape Activation du LT sécrétion de cytokines + activation d autres cellules immunitaires Sécrétion Activation TNF-a IL-2 Lymphocyte B Macrophage 4 e étape Lésions tissulaires provoquées par la stimulation des cellules synoviales activées 3,6 3e étape Cytokines et FR activation amplifiée + inflammation et gonflements associés à la PR 3,4,6 Production de metalloprotéinases lésions tissulaires Cellules synoviales Activation Macrophage Sécrétion Lymphocyte B TNF-a IL-1 IL-6 FR
30 ORENCIA Modulateur sélectif de la co-stimulation des lymphocytes T Protéine de fusion soluble constituée du domaine extracellulaire du CTLA-4 humain lié au fragment Fc modifié d une IgG1 humaine. Abatacept Extracellulaire Membrane Intracellulaire Partie Fc modifiée CTLA4 = cytotoxic T lymphocyte associated Antigen 4 ; Ig = immunoglobuline Linsley PS, et al. J Exp Med ; 174 (3) :
31 Modulation du lymphocyte T par l abatacept CPA CD80/CD86 CMH TCR Ciblage sélectif de la co-stimulation des lymphocytes T en amont. CD28 Lymphocyte T inactif Modulation en aval les taux sériques des IL-2r, IL-6, FR, CRP, MMP3 et TNF-alpha 1- T-cell mediated immunity. In: Janeway CA, Travers P, Walport M, Shlomchik MJ. Immunobiology: The Immune System in Health & Disease. 6th ed. New York, NY: Garland Science Publishing; 2005 ; 8 : Weisman et al. J Rheumatol : Epub 2006 Oct 1.
32 ORENCIA en pratique Indication En association avec le MTX PR active modérée à sévère En réponse inadéquate à un DMARDs incluant le MTX ou un inhibiteur du TNF Pour une information complète sur la tolérance, veuillez vous reporter au Résumé des Caractéristiques du Produit.
33 ORENCIA IV en pratique : posologie Dose d ORENCIA Reconstitution du produit et dilution avant administration Perfusion IV de 30 minutes Sans prémédication nécessaire Poids du patient < 60 kg De 60 kg à 100 kg Dose* Nombre de flacons** 500 mg mg 3 > 100 kg mg 4 *Environ 10 mg/kg ** Chaque flacon contient 250 mg d ORENCIA Semaine 0 Semaine 2 Semaine 4 Semaine 8 Semaine 12 Après la 1 re perfusion, ORENCIA doit être administré en semaine 2 et 4, puis toutes les 4 semaines Initiation et surveillance par des médecins spécialistes expérimentés dans le diagnostic et le traitement de la PR. En l absence de réponse à ORENCIA dans les 6 mois : réévaluation de la poursuite du traitement.
34 Selon vous le bilan pré-biothérapie diffère-t-il de celui réalisé pour les anti-tnf?
35 Bilan pré-thérapeutique Interrogatoire et examen clinique Rechercher les antécédents de : - cancer solide, hémopathie, lymphome - tuberculose (ou contact avec un cas) - SEP, névrite optique, neuropathie démyélinisante - infections sévères bactériennes ou virales (chroniques ou récidivantes) - affection prénéoplasique (polypose, BPCO oesophagite) - affection auto-immune systémique (lupus, hépatite, vascularite) - pneumopathie interstitielle, BPCO ou asthme sévère - dyspnée d effort et autres signes fonctionnels d insuffisance cardiaque Examens complémentaires Systématiques en 1 ère intention : Hémogramme Transaminases Electrophorèse des protéines sériques Rx Thorax IDR à la tuberculine 5 UI (Tubertest ) ou test in vitro Quantiféron Gold ou T-Spot-TB Sérologies hépatites B et C systématiques Sérologie VIH avec accord du patient, si sérologie 5 ans (sauf facteurs de risque) Anticorps anti-nucléaires et, si positifs, anticorps anti- ADN natifs. Vaccinations Dosage des IGG IGA IGM si rituximab avant Mise à jour des vaccinations à proposer si possible avant le début du traitement Vaccination anti-pneumococcique et anti-grippale saisonnière recommandées 6
36 1 an après, alors que sa PR est en faible activité DAS 28 CRP 2.8, le patient présente un réchauffement de sa diverticulose colique (2 ème sigmoïdite). Une indication chirurgicale est donc retenue sans urgence après une première prise en charge par bi-antibiothérapie. Le chirurgien vous appelle pour programmer le geste. Quel délai est à respecter après la dernière perfusion? Le patient vous appelle et est très inquiet d arrêter son traitement. Il vous demande sous quel délai il pourra le reprendre?
37 Gestions des situations a risques : abatacept Chirurgie ½ vie = 13 jours Délai de 2 à 3 mois entre perf ou sc et chirurgie Reprise dès cicatrisation : 15 j? Vaccins Vivants interdits (attendre 3 mois) Inactivés autorisés
38 Gestions des situations a risques : abatacept Grossesse Penser au MTX Respecter 14 semaines après la dernière perfusion (contraception) Soins dentaires Soins usuels (caries, détartrage) : antibioprophylaxie Soins à risque infectieux (extraction, granulome apical, abcès...) : décaler la perfusion d abatacept ou SC et de proposer une antibioprophylaxie Implants : pas de contre-indication sous abatacept si risque peu élevé. Infections : pas de différence / anti TNF
39 Conduite à tenir en cas de chirurgie programmée sous anti-tnf? Délais d arrêt recommandés par le CRI avant acte chirurgical :
40 Vaccins possibles et contre-indiqués sous biothérapies Vaccins possibles (vaccins «inactivés») Vaccins contre-indiqués (vaccins «vivants») Grippes Hépatites B et C Vaccin Pentavalent Méningocoque Pneumocoque Fièvre Typhoïde Polio par voie injectable Haemophilus BCG Rougeole, Oreillons, Rubéole Varicelle Fièvre jaune Polio par voie buccale (réservé uniquement aux situations épidémiques) À proposer systématiquement (CRI) Pham T. Joint Bone Spine 2007; 74 (suppl 1):1-73. Fiche du CRI Vaccinations version 2010 sur le site :
41 2 ans plus tard le patient est en rémission, la tolérance est excellente. Il vous apprend qu il va se mettre au vert et déménage dans le département voisin Que lui proposez vous alors? La forme sc hebdomadaire
42 ORENCIA SC en pratique : posologie 1 1 Initiation du traitement avec une dose de charge administrée par perfusion IV 2 La 1 re injection SC de 125 mg d ORENCIA : administrée dans les 24 h 3 Rythme d injection : 1 fois par semaine Contenu (1 ml) de la seringue pré-remplie : à administrer en totalité par injection SC seulement Situations particulières Patients ne pouvant recevoir de perfusion Patient sous traitement IV passant à une administration SC Posologie Initiation des injections hebdomadaires SC sans la dose de charge IV Administration de la 1 re dose SC à la place de la prochaine dose IV programmée
43 Essai ACQUIRE : efficacité clinique entre la forme ORENCIA SC et IV Patients avec une PR active Phase en double-aveugle ORENCIA SC 125 mg/semaine + MTX après une dose de charge IV à J1 de traitement actif puis par la suite placebo IV à J15, J29 puis tous les 28 jours Phase d extension en ouvert (n=736) Screening ORENCIA IV ( 10 mg/kg= + MTX à J1, J15, J29 puis tous les 28 jours + placebo SC ORENCIA SC + MTX (125 mg/semaine) (n=721) Jour 1 Randomisation 1:1 stratification en fonction du poids (<60 kg, 60 à 100 kg, >100 kg) 6 mois Critère principal : non infériorité SC versus IV pour l ACR 20
44 Essai ACQUIRE : : efficacité clinique comparable entre la forme ORENCIA SC et IV Non infériorité d ORENCIA SC vs ORENCIA IV sur les réponses ACR Patients inclus : réponse inadéquate au MTX $
45 Essai ACQUIRE : : efficacité clinique comparable entre la forme ORENCIA SC et IV Taux de réponse ACR 20 est similaire entre la forme SC et la forme IV
46 Essai ACQUIRE : : efficacité clinique comparable entre la forme ORENCIA SC et IV Evénements, n (%) ORENCIA SC + MTX (n=736) Le profil de tolérance comparable entre SC et IV ORENCIA IV + MTX (n=721) Décès 2 (0,3) 5 (0,7) Evénements indésirables graves (EIG) 31 (4,2) 35 (4,9) Arrêts du traitement pour EIG 8 (1,1) 14 (1,9) Evénements indésirables (EI) 493 (67,0) 470 (65,2) Arrêts du traitement pour EI 15 (2,0) 25 (3,5) Infections 234 (31,8) 221 (30,7) Infections graves 5 (0,7) 10 (1,4) Tumeurs malignes 3 (0,4) 5 (0,7) Maladies auto-immunes 7 (1,0) 6 (0,8) Réactions au site d injection SC 19 (2,6) 18 (2,5) Hématome 4 (0,5) 4 (0,6) Prurit 6 (0,8) 1 (0,1) Erythème 5 (0,7) 1 (0,1) Douleur 1 (0,1) 4 (0,6) Papule 1 (0,1) 3 (0,4) Réaction 1 (0,1) 3 (0,4) Rash 2 (0,3) 1 (0,1) Urticaire 0 2 (0,3) Autre* 4 (0,5) 0
47 Essai ACQUIRE : Immunogénicité et Abatacept L immunogénicité d abatacept SC était cohérente avec les études sur l abatacept IV il n y a eu aucune corrélation entre l immunogénicité et les effets pharmacocinétiques, l innocuité ou l efficacité de l agent.
48 Traitement de la PR récente par abatacept sous-cutané : résultats de l étude AVERT (1) Objectif : obtenir la rémission à 1 an et observer le maintien de cette rémission après arrêt à 1 an de tous tt (suivi de 6 mois). Critères d inclusion : > 2 synovites, anti-ccp +, DAS28 3,2, durée maladie <2 ans, naïfs de MTX et de biothérapie. Randomisation en 3 bras : 119 ABA SC à 125 mg/s et MTX 15 mg/s 116 traités par ABA SC en monothérapie 116 traités par MTX en monothérapie. INDUCTION OF CLINICAL REMISSION FOLLOWED BY DRUG-FREE WITHDRAWAL WITH ABATACEPT COMBINATION AND MONOTHERAPY IN EARLY RA: RESULTS FROM THE AVERT STUDY OVER 18 MONTHS P. Emery et al. EULAR 2014
49 Traitement de la PR récente par abatacept souscutané : résultats de l étude AVERT Pourcentage de patients en rémission DAS28 à 1 an Différence significative entre ABA + MTX vs MTX monothérapie Profil de tolérance : aucune infection sévère MTX monothérapie vs 0,8 % ABA + MTX et 3,4 % ABA monothérapie.
50 Traitement de la PR récente par abatacept souscutané : résultats de l étude AVERT (3) Evaluation ancillaire par IRM dédiée / 6 mois sur la main et le poignet le plus atteints. Score érosions à 1 an : ABA + MTX : progression de +0,19 ABA monothérapie : +1,42 MTX monothérapie : +1,53 MRI RESULTS FROM THE AVERT STUDY: A RANDOMIZED, ACTIVE-CONTROLLED TRIAL TO EVALUATE INDUCTION OF REMISSION AND MAINTENANCE OF DRUG-FREE REMISSION USING ABATACEPT IN COMBINATION WITH METHOTREXATE OR AS MONOTHERAPY IN PATIENTS WITH EARLY RA C. Peterfy et al. EULAR 2014
51 Traitement de la PR récente par abatacept souscutané : résultats de l étude AVERT (4) Régression significative du score de synovites à 6 mois et 1 an dans le bras ABA + MTX versus MTX monothérapie.
52 Merci
53 par rapport à la valeur basale Variation moyenne du DAS 28 VS à 6 et 12 mois 6 mois (J197) 1 an (J365) ATTEST Variation moyenne ajustée du DAS 28VS 0-0,5-1 -1,5-2 -2,5-3 Critère principal Abatacept Placebo -2,53-1,48 * 0-0,5-1 -1,5-2 -2,5 Infliximab Critère secondaire Placebo -2,25-1,48 ** 0-0,5-1 -1,5-2 -2,5 Critère exploratoire Abatacept Infliximab -2,88-2,25 Abatacept + MTX (n=156) -3 Infliximab + MTX (n=165) -3 Placebo + MTX (n=110) Population en ITT, LOCF. * p<0,001, critère principal, abatacept + MTX vs placebo + MTX. **p<0,001, critère secondaire, infliximab + MTX vs placebo + MTX. Placebo administré seulement pendant 6 mois. L étude était conduite chez des patients atteints de PR avec réponse insuffisante au MTX et n était pas conçue pour démontrer une non infériorité ou une supériorité d abatacept vs infliximab Schiff M et al. Ann Rheum Dis 2007 published online 29 Nov 2007; doi : /ard
54 Variation moyenne du DAS 28 VS à 6 et 12 mois ATTEST 6 mois (J197) 1 an (J365) Critère secondaire Critère exploratoire Critère principal * Abatacept + MTX (n=156) ** Infliximab + MTX (n=165) Placebo + MTX (n=110) Population en ITT, LOCF. * p<0,001, critère principal, abatacept + MTX vs placebo + MTX. **p<0,001, critère secondaire, infliximab + MTX vs placebo + MTX. Placebo administré seulement pendant 6 mois. L étude était conduite chez des patients atteints de PR avec réponse insuffisante au MTX et n était pas conçue pour démontrer une non infériorité ou une supériorité d abatacept vs infliximab Schiff M et al. Ann Rheum Dis 2007 published online 29 Nov 2007; doi : /ard
55 Profil de tolérance d ORENCIA IV dans les études cliniques menées en double-aveugle et contrôlées vs placebo* 1 Patients atteints de polyarthrite active Groupe ORENCIA IV : n=2111 patients Groupe placebo : n=1099 Immunogénicité Développement des anticorps anti-abatacept : 4,8% (n=187/3877) dans le groupe ORENCIA. Dosage des anticorps dirigés contre la molécule d'orencia par le test ELISA chez patients atteints de PR et traités jusqu'à 8 ans par l'orencia : 187 patients sur (4,8%) ont développé des anticorps anti-abatacept pendant le traitement. Chez les patients ayant eu un dosage d anticorps anti-abatacept après l arrêt d ORENCIA (> 42 jours après la dernière dose) : 103 patients sur (5,5%) étaient séropositifs. Recherche de la présence d'anticorps neutralisants dans les échantillons pour lesquels une liaison au CTLA-4 a été confirmée. 22 patients sur les 48 évaluables présentaient une activité neutralisante significative. Pertinence clinique de la présence d'anticorps neutralisants n'est pas connue. D'une manière générale, pas de corrélation entre le développement d'anticorps et la réponse clinique ou l'apparition d'événements indésirables. Cependant, le nombre de patients ayant développé des anticorps était trop limité pour en tirer des conclusions. Les analyses d immunogénicité étant spécifiques à chaque produit, la comparaison des taux d anticorps avec ceux des autres produits n est pas appropriée. Pour plus d informations, consulter le Résumé des Caractéristiques du Produit. 55 *Etudes menées sur 6 mois ou un an.
56 Profil de tolérance d ORENCIA IV dans les études cliniques menées en double-aveugle et contrôlées vs placebo* 1,12 Patients atteints de polyarthrite active Groupe ORENCIA IV : n=2111 patients Groupe placebo : n=1099 Tumeurs malignes Patients connus pour être atteints de tumeur maligne non inclus dans ces essais. Nombre de tumeurs malignes observées cohérent avec celui attendu dans une population de PR comparable (âge et sexe). Rôle potentiel d ORENCIA dans le développement de tumeurs malignes non connu. Fréquence des tumeurs malignes ORENCIA IV Placebo 1,4 % 1,1 % Tumeurs malignes au total. Périodes en double-aveugle des 5 études pivots contrôlées avec ORENCIA IV vs placebo ORENCIA (n=2111)# Placebo (n=1099)# Nombre (% de patients) Total de tumeurs malignes** 27 (1,4) 11 (1,1) Type de tumeurs malignes** Cutanées hors mélanome 16 (0,8) 6 (0,6) Poumon 4 (0,2) 0 Thyroïde 2 (0,1) 0 Lymphome*** 1 (<0,1) 0 Sein 1 (<0,1) 2 (0,2) Prostate 1 (<0,1) 0 Vessie 1 (<0,1) 0 Rein 1 (<0,1) 0 Endomètre 0 2 (0,2) Mélanome 0 1 (0,1) *Etudes menées sur 6 mois ou un an. Veuillez consulter le Résumé des Caractéristiques du Produit pour obtenir des informations complètes sur la tolérance. Pour plus d informations, consulter le Résumé des Caractéristiques du Produit. # Correspond respectivement à 1687 patients-années pour ORENCIA et 794 patients-années pour le placebo. ** Un patient traité par ORENCIA présentait à la fois un carcinome du poumon et des reins : 3 patients du groupe ORENCIA présentaient des tumeurs malignes 56 jours après la dernière administration d ORENCIA (cancer du sein, du col de l utérus et du cholédoque). ***Survenu chez un patient souffrant de thyroïdite chronique de Hashimoto, habituellement associée à une augmentation du risque de lymphome. Stade non spécifié. 56
57 Profil de tolérance d ORENCIA IV dans les études cliniques menées en double-aveugle et contrôlées vs placebo* 1 Patients atteints de polyarthrite active Groupe ORENCIA IV : n=2111 patients Groupe placebo : n=1099 Effets indésirables liés à la perfusion EI survenus dans l heure ORENCIA IV ORENCIA IV Placebo 9,4 % 7,2% Effets indésirables chez les patients atteints de BPCO (y compris les exacerbations de BPCO et dyspnée) Placebo 51,4 % 47,1% Evénements les plus fréquemment rapportés (1-2%) avec ORENCIA : étourdissements, céphalées, hypertension. Réactions anaphylactiques : < 1/1000 Restée rares entre l expérience en double-aveugle et à long terme ouvert. Réactions d hypersensibilité : rarement rapportées. Autres réactions potentiellement associées à une hypersensibilité du médicament (hypotension, urticaire et dyspnée ) survenues dans les 24 h suivant la perfusion d ORENCIA : peu fréquentes. Arrêt du traitement pour réaction aiguë liée à la perfusion : 0,3% pour le groupe ORENCIA vs 0,2% pour le groupe placebo. Anticorps antinucléaires et anti-adndb : pas d augmentation Pour plus d informations, consulter le Résumé des Caractéristiques du Produit. *Etudes menées sur 6 mois ou un an. 57
58 Abatacept Comparaison de l efficacité clinique et fonctionnelle de l ABA s.c. (125 mg/sem.) administré avec (étude ACQUIRE, n = 736) et sans dose de charge i.v. (étude AMPLE, n = 318) chez des PR naïves de biothérapies et en insuffisance de réponse au MTX Variation DAS28-CRP chez patients avec DAS28 initial > 5, Jours 0,0-1,0-2,0-3,0 v -4,0-5,0 ACQUIRE (dose de charge i.v.) AMPLE (sans dose de charge i.v.) Variation moyenne de D L ABA s.c. peut être utilisé avec efficacité avec ou sans dose de charge i.v. La Lettre du Rhumatologue ACR D après Schiff (2547)
59 La polyarthrite rhumatoïde est une maladie auto-immune complexe 1 3 Facteur rhumatoïde et autres auto-anticorps Interleukine-4 Interleukine-6 Interleukine-10 Interleukine-4 Interleukine-10 Plasmocyte Interféron- Interleukine-12 Interféron- Synoviale TNF Interleukine-1 Interleukine-6 Ostéoclaste Fibroblaste Production de métalloprotéinases et d autres molécules effectrices Migration de polynucléaires Erosion de l os et du cartilage Th = lymphocyte T helper ; OPGL= ligand de l ostéoprotégérine [osteoprotegerin ligand]. 1- Smolen JS, et al. Nat Rev Drug Discov ; 2 (6) : Firestein GS. Nature ; 423(6937) : Choy EH, et al. N Engl J Med ; 344 (12) : ; reproduit en 2004 d après Choy EH, et al. N Engl J Med. 2001; 344 (12) : avec l autorisation de la Massachusetts Medical Society. Copyright 2001 Massachusetts Medical Society. Tous droits réservés.
60 Registre RABBIT : risque de récidive de cancers sous biothérapie (1) Registre allemand : PR sous DMARD synthétiques ou biomédicaments -Étude de comparaison du risque de récidive chez des patients avec antécédents de néoplasie traitée par biomédicaments vs DMARD 60 Nombre croissant de patients avec ATCD néoplasiques traités par biothérapie Biais d indication en faveur du RTX pour ce type de patients Pas de signal d une fréquence accrue des récidives Post-America D'après Stangfeld (806, actualisé)
TRAITEMENT DE LA POLYARTHRITE RHUMATOIDE
TRAITEMENT DE LA POLYARTHRITE RHUMATOIDE RÉVOLUTION DES PRINCIPES DE TRAITEMENT Mise à disposition de nouvelles molécules Traitements de fond classiques ( Méthotrexate, Salazopyrine ) : plus efficaces
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 18 novembre 2009
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 18 novembre 2009 LEDERTREXATE 5 mg, solution injectable B/1 ampoule de 2 ml (Code CIP : 315 012-5) LEDERTREXATE 25 mg, solution injectable B/1 ampoule de 1 ml (Code CIP
Plus en détailPsoriasis et biothérapies
A qui s adressent les biothérapies? Comment agissent les biothérapies? Quels bénéfices puis-je attendre d une biothérapie? Comment puis-je contribuer au succès de mon traitement? Qu est-ce qu une biothérapie?
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailDr Ottaviani Service de Rhumatologie Hôpital Bichat Staff du 23 Mai 2014
Obésité et rhumatismes inflammatoires Dr Ottaviani Service de Rhumatologie Hôpital Bichat Staff du 23 Mai 2014 Obésité 1 Obesity Trends* Among U.S. Adults BRFSS, 1985 (*BMI 30, or ~ 30 lbs overweight for
Plus en détailDr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges. Membre enseignant chercheur EA 4021
Dr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges Membre enseignant chercheur EA 4021 Rhumatisme inflammatoire chronique Prévalence des SA ies en Europe = 1 à 2% Age moy : 26 ans, ratio homme/femme:
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 10 mai 2006
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 mai 2006 METOJECT 10 mg/ml, solution injectable en seringue pré-remplie 1 seringue pré-remplie en verre de 0,75 ml avec aiguille : 371 754-3 1 seringue pré- remplie
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailANNEXE I RESUME DES CARACTERISTIQUES DU PRODUIT
ANNEXE I RESUME DES CARACTERISTIQUES DU PRODUIT 1. DENOMINATION DU MEDICAMENT Simponi 50 mg, solution injectable en stylo prérempli. 2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE Un stylo prérempli de 0,5
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailet l utilisation des traitements biologiques
et l utilisation des traitements biologiques Choisir le meilleur traitement pour retrouver la qualité de vie que vous êtes en droit d avoir Les agents biologiques (biothérapies) Étant les plus récents
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailLa maladie de Still de l adulte
La maladie de Still de l adulte Syndrome de Wissler-Fanconi La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée
Plus en détailVaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban
Vaccination et tuberculose en Gériatrie Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban VACCINATIONS 2 Personnes âgées et vaccinations Avec
Plus en détailLa prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde Vivre avec une polyarthrite rhumatoïde Décembre 2008 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailGuide. Parcours. Guide à l usage des professionnels de santé confrontés à des. patients traités par anti-tnfa. bon usage anti-tnfα
Parcours bon usage anti-tnfα Guide Guide à l usage des professionnels de santé confrontés à des patients traités par anti-tnfa Rhumatismes inflammatoires chroniques Maladies inflammatoires chroniques de
Plus en détailSérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde
1 ETSL Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde TP 1 GABIN-GAUTHIER 13/11/2009 I. LA MALADIE... 2 II. TECHNIQUES QUALITATIVES... 2 1. PRINCIPE... 2 2. MODE OPERATOIRE... 3 2.1. WRST ou Waaler Rose
Plus en détailLA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD
LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres
Plus en détailQue représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil
Que représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil Liens d intérêt Intérêts financiers : aucun Liens durables ou permanents : aucun Interventions
Plus en détailPsoriasis et travail dans le BTP. Pr E. Delaporte
Psoriasis et travail dans le BTP Pr E. Delaporte 30 Mai 2013 Janvier 2013 : File active de 335 malades traités (293) ou ayant été traités (42) par immunosupp./ modulateurs (MTX CyA biomédicaments) 214
Plus en détailNouvelle option thérapeutique pour les enfants présentant cette forme rare et sévère d arthrite
Communiqué de presse Bâle, 18 avril 2011 La FDA homologue Actemra dans le traitement de l arthrite juvénile idiopathique systémique (AJIS) Nouvelle option thérapeutique pour les enfants présentant cette
Plus en détailMécanisme des réactions inflammatoires
01/04/2014 THOMASSIN Guillaume L2 Revêtement Cutané Dr. Sophie Deplat-Jégo Relecteur 4 8 pages Revêtement cutané Mécanisme des réactions inflammatoires cutanés Mécanisme des réactions inflammatoires Plan
Plus en détailSuivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation
SYNTHESE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Suivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation Novembre 2007 OBJECTIF Assurer une qualité optimale du suivi et de
Plus en détailINDUCTION DES LYMPHOCYTES T- RÉGULATEURS PAR IL2 A TRÈS FAIBLE DOSE DANS LES PATHOLOGIES AUTO- IMMUNES ET INFLAMMATOIRES APPROCHE TRANSNOSOGRAPHIQUE
INDUCTION DES LYMPHOCYTES T- RÉGULATEURS PAR IL2 A TRÈS FAIBLE DOSE DANS LES PATHOLOGIES AUTO- IMMUNES ET INFLAMMATOIRES APPROCHE TRANSNOSOGRAPHIQUE Etude clinique N NCT01988506 Inves9gateur coordinateur
Plus en détailEXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410
EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.
Plus en détailVaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive.
Vaccination des voyageurs dont la sérologie VIH est positive. Pr Jean Beytout Service des maladies infectieuses et tropicales CHU de Clermont-Ferrand. Comité Technique des Vaccinations Conclusion Le principal
Plus en détailS. Kernéis, T. Ancelle, V. Naneix-Laroche, N. Amrane, JP. Leroy, T. Hanslik, O. Launay
Etude AMARCOR Tolérance et immunogénicité du vaccin contre la fièvre jaune chez des sujets recevant une corticothérapie par voie générale : étude de cohorte observationnelle S. Kernéis, T. Ancelle, V.
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailTEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES
TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES Classement NABM : non inscrit code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels
Plus en détailTraitement de l hépatite C: données récentes
Traitement de l hépatite C: données récentes J.-P. BRONOWICKI (Vandœuvre-lès-Nancy) Tirés à part : Jean-Pierre Bronowicki Service d Hépatogastroentérologie, CHU de Nancy, 54500 Vandœuvre-lès-Nancy. Le
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 2 avril 2014 DERMOVAL, gel flacon de 20 ml (CIP : 34009 326 130 4 5) DERMOVAL 0,05 POUR CENT, crème tube de 10 g (CIP : 34009 320 432 9 3) Laboratoire GLAXOSMITHKLINE
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailVaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins
Vaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins Vaccinologie 1977 - Terme utilisé par Jonas Salk. 1983 - Rassemble tous les aspects des vaccinations : biologiques, immunologiques et cliniques ainsi
Plus en détail. Arthritepsoriasique
Les traitements biologiques dans les rhumatismes inflammatoires Dr Clio RIBBENS Service de Rhumatologie. Centre HospitalierUniversitairede Liège Nouveautés dans l'arthrite : Thérapeutiques anti-nf a..
Plus en détailHumira Solution pour injection dans un injecteur prérempli
Humira Solution pour injection dans un injecteur prérempli ABBOTT OEMéd Qu est-ce que Humira et quand doit-il être utilisé? Humira est un médicament qui limite le processus inflammatoire dans le cadre
Plus en détailAvis 29 mai 2013. XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA.
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 29 mai 2013 XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA DCI Code ATC (2012) Motif de l examen Liste
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailCommuniqué. Abbott présente à Santé Canada une demande d homologation d HUMIRA pour le traitement du psoriasis POUR PUBLICATION IMMÉDIATE
POUR PUBLICATION IMMÉDIATE Communiqué Abbott présente à Santé Canada une demande d homologation d HUMIRA pour le traitement du psoriasis Media: Sylvie Légaré (514) 832-7268 Abbott Gabrielle Collu 514)
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailL EMEA accepte d évaluer la demande d autorisation de mise sur le marché de la LENALIDOMIDE
L EMEA accepte d évaluer la demande d autorisation de mise sur le marché de la LENALIDOMIDE NEUCHATEL, Suisse, 7 avril/prnewswire/ -- - LA LENALIDOMIDE est évaluée par l EMEA comme thérapie orale pour
Plus en détailConseils d utilisation des traitements anti-tnf et recommandations nationales de bonne pratique labellisées par la Haute Autorité de santé française,
Revue du rhumatisme 80 (2013) 459 466 Disponible en ligne sur www.sciencedirect.com Recommandations Conseils d utilisation des traitements anti-tnf et recommandations nationales de bonne pratique labellisées
Plus en détailCibles et mécanismes d action des traitements par cytokines et anti-cytokines
Cibles et mécanismes d action des traitements par cytokines et anti-cytokines Jean Daniel Lelièvre, Yves Lévy, Pierre Miossec I-Introduction... 2 II-Les interférons... 2 II-1.L interféron... 3 II-1-a.
Plus en détailSociété Algérienne de Dermatologie Pédiatrique 12èmes Journées Nationales Alger, 3-4 mars 2011. Symposium PFIZER
Société Algérienne de Dermatologie Pédiatrique 12èmes Journées Nationales Alger, 3-4 mars 2011 Symposium PFIZER Psoriasis de l enfant et traitement biologique B. Bouadjar, Alger Traitement du psoriasis
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 3 septembre 2008 PRIVIGEN 100 mg/ml, solution pour perfusion Flacon en verre de 50 ml (CIP: 572 790-7 Flacon en verre de 100 ml (CIP: 572 791-3) Flacon en verre de 200
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. 10 décembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 décembre 2008 VIRAFERONPEG 50 µg/ 0.5 ml, poudre et solvant pour solution injectable B/1 : code CIP 355 189.3 B/4 : code CIP 355 191.8 VIRAFERONPEG, stylo pré-rempli
Plus en détailAnticorps, vaccins, immunothérapies allergéniques tout savoir sur les progrès de l immunothérapie en 20 questions
Anticorps, vaccins, immunothérapies allergéniques tout savoir sur les progrès de l immunothérapie en 20 questions De quoi se compose le système immunitaire? Chaque jour, des substances étrangères, appelées
Plus en détailVaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins»
Vaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins» Bernard Duval Institut National de Santé Publique du Québec 18 avril 2002 Objectifs Grands axes de la réponse immunitaire Conjugaison
Plus en détailCONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD?
CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD? Hélène MANGEARD François MALADRY Tuberculose : infection mycobactérienne Infection mycobactérienne chronique (M. Tuberculosis ++ ou bacille
Plus en détailTransgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010
Parc d Innovation d Illkirch, France, le 10 mars 2010 Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Transgene (Euronext
Plus en détailExplorations des réponses Immunitaires. L3 Médecine
2012 Explorations des réponses Immunitaires L3 Médecine Rappel sur les réponses Immunitaires DIFFERENTS TYPES DE REPONSES IMMUNITAIRES Naturelle = innée Adaptative Non spécifique Spécifique Immédiate Barrière
Plus en détailLes rhumatismes inflammatoires. Arthrite Rhumatoïde, Arthrite psoriasique, Spondylarthrite ankylosante
Les rhumatismes inflammatoires Arthrite Rhumatoïde, Arthrite psoriasique, Spondylarthrite ankylosante Arthrite Rhumatoïde (RA) Voorstelling van de ziekte Arthrite Rhumatoïde Inflammation chronique des
Plus en détailQuestionnaire Médical
Nom et prénom(s) de l élève: Date de naissance: Questionnaire Médical Ce formulaire est à compléter, avant de commencer l année scolaire, pour les nouveaux élèves ainsi que pour les élèves poursuivant
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailLes nouveaux traitements du psoriasis
Les nouveaux traitements du psoriasis Ci-après, vous trouverez 3 articles, parus récemment, parmi d'autres tout aussi intéressants, dans notre bulletin trimestriel Pso Magazine: - un extrait de l'exposé
Plus en détailStelara (ustekinumab)
Les autorités de santé de l Union européenne ont assorti la mise sur le marché du médicament Stelara de certaines conditions. Le plan obligatoire de minimisation des risques en Belgique, dont cette information
Plus en détailLe dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence
Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence On pose fréquemment le diagnostic de migraine sévère à l urgence. Bien que ce soit un diagnostic commun,
Plus en détailVaccinations pour les professionnels : actualités
Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???
Plus en détailItem 116 : Maladies autoimmunes
Item 116 : Maladies autoimmunes COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Définition du concept d'auto-immunité...3
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailPoint d Information. Le PRAC a recommandé que le RCP soit modifié afin d inclure les informations suivantes:
Point d Information Médicaments à base d ivabradine, de codéine, médicaments contenant du diméthyl fumarate, du mycophénolate mofétil/acide mycophénolique, de l octocog alpha, spécialité Eligard (contenant
Plus en détailHVC CHRONIQUE MOYENS THERAPEUTIQUES ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE CHAKIB MARRAKCHI. http://www.infectiologie.org.tn
HVC CHRONIQUE MOYENS THERAPEUTIQUES ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE CHAKIB MARRAKCHI LES MOYENS THERAPEUTIQUES Les interférons La ribavirine Les nouveaux produits INTERFERONS 1957: activité antivirale Interférence
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 10 mars 2010
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 10 mars 2010 ARIXTRA 1,5 mg/0,3 ml, solution injectable en seringue pré-remplie - Boîte de 2 (CIP : 363 500-6) - Boîte de 7 (CIP : 363 501-2) - Boîte de 10 (CIP : 564
Plus en détailDASES Réseau tuberculose 10 janvier 2006
DASES Réseau tuberculose 10 janvier 2006 Place des Nouveaux Tests de Dosage de L INTERFERON GAMMA dans le diagnostic de la Tuberculose Fadi ANTOUN, Cellule Tuberculose DASES Le Quotidien du Médecin 2005
Plus en détail313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013
313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013 SOMMAIRE 1 - La vaccination, comment ça marche? 3, 4 et 5 2 - Les vaccins détériorent-ils LA protection naturelle contre les maladies? 6 3 - Avec autant de vaccins,
Plus en détailChapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie
Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Le phénotype immunitaire d un individu caractérise sa capacité à répondre, grâce aux effecteurs de l immunité adaptative, aux différents agents
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailAnalyse pharmaco-économique des anti-tnf alpha dans le traitement de la Polyarthrite Rhumatoïde en France.
Synthèse Bibliographique en Biologie et Biotechnologie Janvier 2012 Analyse pharmaco-économique des anti-tnf alpha dans le traitement de la Polyarthrite Rhumatoïde en France. Problématique : Jusqu où la
Plus en détailQuelle est l incidence
Printemps 2012 Quelle est l incidence de ce médicament en voie de commercialisation sur mon régime d assurance-? Quelle est l incidence de ce médicament en voie de commercialisation sur mon régime d assurance?
Plus en détailLES BIOMÉDICAMENTS ET LES PETITES MOLÉCULES IMMUNOMODULATRICES ET IMMUNOSUPPRESSIVES
LES BIOMÉDICAMENTS ET LES PETITES MOLÉCULES IMMUNOMODULATRICES ET IMMUNOSUPPRESSIVES Jean SIBILIA, Marie-Odile DUZANSKI, Coralie VAROQUIER, Christelle SORDET, Emmanuel CHATELUS, Jacques-Éric GOTTENBERG.
Plus en détailMécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes
Mécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes Sébastien Lacroix-Desmazes INSERM UMRS 1138 Immunopathology and herapeutic Immunointervention CRC - Paris, France Ma connaissance d un patient
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailNathalie Colin de Verdière Centre de vaccinations internationales Hôpital Saint-Louis
Nathalie Colin de Verdière Centre de vaccinations internationales Hôpital Saint-Louis 12/09/2013 2 Comparaison calendrier vaccinal 2013 et 2012 : Nourrisson 3 Comparaison calendrier vaccinal 2013 et 2012
Plus en détailManifestations cliniques après la vaccination
7.1 Introduction Les produits immunisants modernes sont efficaces et sécuritaires. Cependant, aucun vaccin ne protège la totalité des personnes que l on vaccine, et tous les vaccins peuvent occasionner
Plus en détailMédicaments du futur : Tendances et enjeux. Nicolas PY, Debiopharm International forumofac.14 26/09/2014
Médicaments du futur : Tendances et enjeux Nicolas PY, Debiopharm International forumofac.14 26/09/2014 Quelques mots sur Debiopharm Groupe fondé en 1979 Siège à Lausanne 350 collaborateurs Financièrement
Plus en détailÉvolution des pratiques vaccinales : 3. vaccination après la grossesse
Évolution des pratiques vaccinales : 3. vaccination après la grossesse Professeur Emmanuel Grimprel Service de Pédiatrie Générale, Hôpital Trousseau, Paris Université Pierre et Marie Curie, Paris Déclaration
Plus en détailDevenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb. Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger
Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger Contexte Hépatite B = risque professionnel pour les soignants Passé futur
Plus en détailL hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015
L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d
Plus en détailMONOGRAPHIE DE PRODUIT. étanercept. Solution injectable en seringues préremplies
MONOGRAPHIE DE PRODUIT Pr Enbrel MD étanercept Solution injectable en seringues préremplies 50 mg/ml et Poudre lyophilisée pour reconstitution présentée en flacons 25 mg/flacon Norme de pharmacopée reconnue
Plus en détailGuide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B
Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Février 2015 Ce document est téléchargeable sur : www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service des
Plus en détailIMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques
IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production
Plus en détailFiche Produit Profils Médicalisés PHMEV
Guide méthodologique développé par l équipe de projets ci-dessous : Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV EQUIPE PROJET Chef de projet : Maryline CHARRA, Pharmacien Conseil Responsable de la mission
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailLe psoriasis est une dermatose
[ Synthèse Dermatologie Prise en charge thérapeutique du psoriasis F. Aubin Service de Dermatologie, CHU Saint-Jacques, Besançon Le psoriasis est une dermatose chronique pouvant revêtir diverses formes
Plus en détailPsoriasis. EPU Bats CARMI Esther
Psoriasis EPU Bats CARMI Esther Idées clefs Co morbidité Biothérapies Intérêt Risque Psoriasis «Exclusion sociale pour impureté» 1805 : individualisation Importance de la microcirculation du derme superficiel
Plus en détailINFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire
Vaccination des étudiants du Baccalauréat en Médecine de Lausanne INFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire La vaccination du personnel de santé est recommandée par l Office fédéral
Plus en détailBonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici
Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général
Plus en détailPrise de position sur les biosimilaires. Résumé
Prise de position sur les biosimilaires Résumé Les médicaments biotechnologiques, appelés également biomédicaments, occupent une place importante dans le traitement de maladies comme le cancer, la polyarthrite
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME
Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailLes nouveaux traitements de fond de la SEP
Sclérose en plaques : les nouveaux traitements Guillaume MATHEY, Hôpital de Metz-Mercy Les nouveaux traitements de fond de la SEP Le but des traitements de fond Forme par poussées 2 ième ligne TYSABRI
Plus en détailLES ANTI-TNF DANS LES MALADIES AUTO-IMMUNES ET LES VASCULARITES
LES ANTI-TNF DANS LES MALADIES AUTO-IMMUNES ET LES VASCULARITES par X. MARIETTE* Les inhibiteurs du TNFα représentent une révolution thérapeutique en rhumatologie dans le traitement de la polyarthrite
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détailPolyarthrite rhumatoïde et biologie
Polyarthrite rhumatoïde et biologie Le point de vue de l'immunologiste Sylvain Laboratoire d'immunologie, sdubucquoi@univ univ-lille2. -lille2.fr FR et PR Définition Auto-anticorps anti-fragment Fc des
Plus en détail