Item 95 : Infections sexuellement transmissibles : gonococcie, chlamydiose, syphilis.
|
|
- Brigitte Fournier
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Item 95 : Infections sexuellement transmissibles : gonococcie, chlamydiose, syphilis. Date de création du document 01/09/2009
2 Table des matières * Introduction Diagnostiquer une gonococcie, une chlamydiose, une syphilis Gonococcie IST a chlamydia trachomatis Syphilis IST a papillomavirus humains (PVH)... 1 ENC : OBJECTIFS Diagnostiquer une gonococcie, une IST à Chlamydia trachomatis, une syphilis, une IST à papillomavirus humains. Argumenter lattitude thérapeutique et planifier le suivi du patient.
3 INTRODUCTION On recommande l utilisation du terme d infections sexuellement transmissible (Infections sexuellement transmissibles ) plutôt que maladies sexuellement transmissibles (Maladies sexuellement transmissibles) pour prendre en compte la fréquence des formes asymptomatiques. Les MST peuvent engager le pronostic fonctionnel (stérilité, ) ou vital (gonococcémie, sida). La prise en charge correcte des IST diminue la transmission sexuelle de l'infection à Virus de l'immunodéficience humaine. EPIDEMIOLOGIE Les facteurs de risque d IST sont le sexe féminin, la précocité du 1er rapport sexuel, les deux premières décennies de la vie sexuelle, la multiplicité des partenaires sexuels, un antécédent de maladie sexuellement transmissible, l infection par le VIH, et un niveau socioéconomique faible. Les plus fréquentes des IST, en France, sont la gonococcie, la syphilis, les chlamydioses (sérotypes D à K), l herpès génital, la trichomonose et les papillomaviroses. DIAGNOSTIC Les IST ont une expression clinique limitée à la région génitale (infection génitale basse ou haute) ou généralisée (localisations extragénitales) ou une porte d entrée muqueuse (orale, génitale) et une expression clinique générale (VIH, Virus de l'hépatite B, ). Les différentes IST sont regroupées en différents signes ou syndromes : - urétrite (écoulement uréthral) ; - ulcérations, adénopathies (bubon si adénopathie purulente) ; - vaginites et cervicovaginites (leucorrhées), - syndrome inflammatoire pelvien (douleurs pelviennes) ; - conjonctivite néonatale ; Ces différents syndromes et signes sont discutés dans les chapitres correspondants.
4 Le diagnostic est confirmé par les prélèvements microbiologiques adaptés (examen microbiologique direct, culture, PCR (cf. glossaire), sérodiagnostic). TRAITEMENT - Anti-infectieux, si possible en dose unique, supervisé, gratuit. - Abstinence sexuelle jusqu à la guérison. - Contrôle clinique de la guérison. PREVENTION - Dépistage d'autres IST associées. - Dépistage chez le ou les partenaire(s) sexuel(s). L usage des préservatifs doit être largement recommandés. Il existe deux vaccinations contre les agents sexuellement transmis (anti-human Papilloma Virus, anti-vhb).
5 I DIAGNOSTIQUER UNE GONOCOCCIE, UNE CHLAMYDIOSE, UNE SYPHILIS I.1 GONOCOCCIE Très transmissible. Gravité possible, fonction des complications locorégionales, néonatales et parfois septicémiques. AGENT PATHOGENE Neisseria gonorrhoeae (cf. glossaire), diplocoque Gram négatif, spécifiquement humain. EPIDEMIOLOGIE En France, recrudescence des gonococcies depuis 1998 et des formes anorectales. Le sex ratio est de 10 hommes pour 1 femme. Les homosexuels et bisexuels masculins sont un groupe à haut risque. Fréquence de l association à la séropositivité VIH et aux rapports sexuels oraux non protégés. Les symptômes, plus fréquents chez l homme, surviennent après une période d incubation silencieuse et contagieuse de 2 à 7 jours. I. Diagnostic 1. Clinique Chez l homme - Urétrite: brûlures mictionnelles, écoulement urétral purulent, dysurie. - Prostatite : douleurs pelviennes ou périnéales, pollakiurie, brûlures mictionnelles, dysurie, rétention urinaire aiguë, fièvre, frissons. - Orchi-épididymite (uni ou bilatérale) : lourdeur ou pesanteur scrotale, gros épididyme. Chez la femme - Cervicite (symptomatique dans 30 % des cas) : col inflammatoire, pus cervical, leucorrhées purulentes.
6 - Inflammation des glandes para-urétrales, dont les glandes de Skène. - Salpingite (risque d obstruction tubaire), endométrite. Dans les deux sexes - Anorectite asymptomatique dans 2/3 des cas ; complications : abcès péri-anaux et ischiorectaux, fistules anales. - Oropharyngite : asymptomatique dans 80 % des cas. - Gonococcies disséminées : fièvre, arthrites, signes cutanés. - Gonococcie ophtalmique (conjonctivite, kératite,.). Chez le nouveau né - Contamination possible lors de l accouchement : ophtalmie purulente. 2. Diagnostique Prélèvements le matin avant émission d urine, de l écoulement urétral, ou en l absence d écoulement, par écouvillonnage endo-urétral, et chez la femme prélèvement des sécrétions cervicales. D autres sites, pharyngé ou anal, peuvent être prélevés chez la femme et l homosexuel masculin. Examen direct Il n est interprétable que pour les prélèvements génitaux masculins (flore plurimicrobienne chez la femme). Coloration de Gram : diplocoques Gram négatif à l intérieur de polynucléaires altérés. La sensibilité est proche de 100 % chez l homme symptomatique. Elle est plus faible en l absence de manifestations cliniques. Culture Culture avec antibiogramme (cf. glossaire) systématique. Examen de référence mais culture difficile. II. Argumenter l'attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient présentant une gonococcie 1. Traitement Urgence médicale car contagiosité, et gravité des complications. En France, la résistance
7 des gonocoques aux fluoroquinolones dépasse maintenant 10 %. La durée de traitement varie selon la forme clinique. - urétrites et cervicites : traitement «minute» par 250 mg de ceftriaxone, en une injection Intramusculaire (indication hors Autorisation de mise sur le marché ). Autres alternatives thérapeutiques «minute» (absence d efficacité dans les gonococcies anorectales et pharyngées): céfixime (400 mg, per os), spectinomycine (2 g, IM), ciprofloxacine (500 mg per os) (si l efficacité peut être secondairement documentée par un antibiogramme). - Dans les formes compliquées : la durée du traitement est prolongée. Le traitement de la gonococcie doit être systématiquement associé à celui des infections à Chlamydia trachomatis (infection associée dans 15 à 40 % des cas) : azithromycine (1 g per os), ou doxycycline (200 mg/jour pendant 7 jours). Le traitement doit aussi être prescrit au(x) partenaire(s) sexuel(s). Revoir le patient à J7 pour évaluer cliniquement la guérison. Un contrôle biologique n est nécessaire à J7 qu en cas d échec clinique. 2. Autres mesures Dépistages des autres IST. Rapports sexuels protégés (préservatifs). I.2 IST A CHLAMYDIA TRACHOMATIS AGENT PATHOGENE C. trachomatis (cf. glossaire) (C. trachomatis ) est une bactérie intracellulaire à transmission strictement interhumaine. Les sérovars (cf. glossaire) D et K sont responsables des infections génitales hautes et basses et les serovars L de la lymphogranulomatose vénérienne (cf. glossaire) ou maladie de Nicolas Favre. Les serovars A à C sont responsables du trachome. I. Diagnostic : 1. Formes cliniques des IST à chlamydia trachomatis Infections urogénitales non spécifiques
8 30 à 50 % des urétrites non gonococciques chez l'homme et de 30 à 50 % des salpingites de la femme. Portage asymptomatique fréquent Chez l homme : urétrite subaiguë le plus souvent. Chez la femme : cervicite le plus souvent asymptomatique ; fréquence des complications inaugurales (salpingite, endométrite, douleurs pelviennes chroniques, formes néonatales, périhépatite ou syndrome de Fitz Hugh Curtis (cf. glossaire) ). Dans les deux sexes : atteinte pharyngée (exceptionnelle), anale, conjonctivale. Syndrome de Fiessinger Leroy Reiter (cf. glossaire) associant une conjonctivite, une urétrite et une polyarthrite (80 % Human Leukocyte Antigen, en français Antigènes des leucocytes humains B27 positif). Chez le nouveau-né : Risque de contamination néonatale en cas de cervicite au moment de l'accouchement avec conjonctivite, rhinite, otite, pneumopathie alvéolo-interstitielle retardée Lymphogranulomatose vénérienne (Lymphogranulomatose vénérienne) La LGV est plus répandue dans les régions tropicales que dans les pays industrialisés (recrudescence actuelle chez les homosexuels masculins, prostituées ou voyageurs). Période d'incubation : 3 à 30 jours. Evolution schématique en 3 stades successifs qui ne sont pas toujours retrouvés : primaire (ulcération muqueuse et transitoire), secondaire ganglionnaire (bubon) et tertiaire (lésions destructrices, fibrose et troubles du drainage lymphatique). Les anorectites sont parfois, plus bruyantes, étendues, avec un retentissement fonctionnel marqué et des signes généraux. 2. Diagnostic biologique LGV : sérologie ; PCR Infections génitales non spécifiques : - Chez l homme : PCR sur le 1er jet d urines. - Chez la femme symptomatique : PCR sur le 1er jet d urines et le frottis d endocol. - Chez la femme asymptomatique : PCR sur le 1er jet d urines.
9 II. Argumenter l'attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient avec une IST a chlamyfia trachomatis 1. Traitement antibiotiques : LGV : doxycycline 200 mg/j 3 semaines. Salpingites aiguës : association d'antibiotiques (amoxicilline-acide clavulanique + doxycycline ou Céphalosporine de 3e génération + métronidazole + ofloxacine). Epididymites et prostatites : doxycycline, ofloxacine Urétrites et cervicites, azithromycine (dose unique, 1 g, per os) ou doxycycline 200 mg/j pendant 7j. 2. Autres mesures : - Dépistage d autres IST - Traitement simultané du(des) partenaire(s). - Rapports sexuels protégés jusqu à guérison. - Contrôle clinique de la guérison. (Recommandation : Haute Autorité de Santé. Place des techniques de biologie moleculaire dans l'identification des infections uro-génitales basses à chlamydia trachomatis [en ligne]. Février 2003.) (Recommandation : Haute Autorité de Santé. Évaluation du dépistage des infections urogénitales basses à Chlamydia trachomatis en France [en ligne]. Février ) I.3 SYPHILIS AGENT PATHOGENE : Treponema pallidum (cf. glossaire) appartenant à la famille des spirochètes. EPIDEMIOLOGIE : Contamination directe par contact vénérien sauf les exceptionnelles syphilis transfusionnelles et congénitales. I. Diagnostic 1. Clinique - Evolution clinique en 4 phases : primaire (chancre, secondaire (multiviscérale), latente (phase asymptomatique pendant laquelle seul le diagnostic sérologique est possible) et
10 tertiaire (polarisation viscérale - Incubation moyenne : trois semaines Syphilis primaire - Ulcération génitale (ou autre muqueuse) superficielle, indolore, unique, bien limitée, à la surface propre, reposant sur une base indurée. - Adénopathie inguinale, uni ou bilatérale, indolore sans péri-adénite. Syphilis secondaire - Manifestations cutanées précoces : la roséole (cf. glossaire) - Manifestations cutanées tardives : les syphilides. - Manifestations muqueuses : plaques muqueuses. Syphilis tertiaire - En cas de traitement incorrect ou inexistant. - Localisations viscérales : cardiovasculaires, osseuses - Neurosyphilis possible à tous les stades secondaires. - Neurosyphilis précoce : ophthalmologique, méningite, vascularite. - Neurosyphilis tardive : tabès (cf. glossaire), paralysie générale, gommes. 2. Biologique 2-1.Diagnostic direct - mise en évidence au microscope à fond noir de T. pallidum (sérosité issue d ulcération génitale ou ponction ganglionnaire ou lésions secondaires cutanéomuqueuses) Sérodiagnostic des tréponématoses - Venereal Disease Research Laboratory et Treponema Pallidum Hemagglutinations Assay positifs : syphilis ou tréponématose non vénérienne. - VDRL positif et TPHA négatif : réaction faussement positive. - VDRL négatif et TPHA positif : cicatrice sérologique d une tréponématose ancienne, vénérienne ou non vénérienne ou syphilis débutante. (Recommandation : Haute Autorité de Santé. Évaluation a priori du dépistage de la syphilis en France [en ligne]. Mai 2007.)
11 II. Argumenter l'attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient présentant une syphilis 1. Traitement étiologique 1-1. Antibiotiques utilisés - pénicilline G retard ; - si allergie à la pénicilline : cyclines Modalités de traitement - Syphilis précoce : une IM de 2.4 Millions d Unités internationales d extencilline. - Syphilis tardive : 3 IM de 2.4 Millions d UI d extencilline à une semaine d intervalle. - Neurosyphilis : pénicilline G Intraveineux pendant 14 jours à 21 jours Surveillance du traitement - Réaction d'herxheimer (cf. glossaire). - Diminution significative du VDRL quantitatif = critère de guérison. 2. Autres mesures - Traitement systématique du (des) partenaire(s). - Dépistage des autres IST. - Relations sexuelles protégées jusqu à guérison. I.4 IST A PAPILLOMAVIRUS HUMAINS (PVH) INTRODUCTION Les IST induites par les papillomavirus humains sont les condylomes et certains cancers muqueux (anus, utérus). AGENT PATHOGENE : Les (Papillomavirus humains) sont des virus à Acide désoxyribonucléique, infectant les kératinocytes. Il en existe plus de 100 types dont seuls certains sont oncogènes (col utérin, carcinome anal). EPIDEMIOLOGIE : La contamination est le plus souvent sexuelle. La transmission verticale mère-enfant est documentée.
12 Les condylomes ont une prévalence 2 fois supérieure à celle de l herpès génital. Chez les patients infectés par le VIH, les infections à PVH sont plus fréquentes, plus étendues, plus souvent multifocales et plus fréquemment responsables de cancers. I. Diagnostic 1. Clinique - Les condylomes acuminés (végétations vénériennes ou crêtes de coq), sont associés à des PVH non oncogènes (sérotypes 6, 11). Incubation variable de 1 mois à 1 an. Diagnostic clinique : papules kératosiques à la surface des muqueuses génitales, anales ou orales. - Etats dysplasiques, carcinomes in situ et cancers invasifs, associés aux PVH (sérotypes 16, 18, 31, 35) oncogènes. La séquence évolutive (de la dysplasie modérée à la dysplasie sévère des néoplasies intraépithéliales, voire au carcinome invasif) est démontrée. - Tumeurs observées au niveau des muqueuses génitales externes et de la région périnéale (papulose bowénoïde, tumeur de Buschke-Loewenstein) et de la muqueuse orale (papillomatose orale floride). 2. Diagnostic Le diagnostic des condylomes est clinique. L histologie est indiquée en cas de persistance des lésions, de doute diagnostique avec une tumeur et dans les autres formes muqueuses. L identification des PVH en cause n est pas de pratique courante. Un bilan (bilan lésionnel locorégional, partenaire(s), recherche d une IST ou d une immunodépression) est indispensable avant traitement. II. Argumenter l'attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient présentant une IST a PVH 1. Traitement étiologique Le traitement des condylomes est difficile.
13 Aucun traitement antiviral spécifique Environ 60 à 70% de guérison avec la cryothérapie, l imiquimod ou la podophyllotoxine, traitements de 1ere intention. 2. Prévention Un vaccin visant les sérotypes oncogènes les plus fréquents est disponible. La population cible est les jeunes filles de 14 ans. La vaccination ne dispense pas du frottis de dépistage habituel chez la femme. (Recommandation : Société de Pathologie Infectieuse de Langue Française. Maladies sexuellement transmises (MST) chez la femme, la mère, la mineur [en ligne]. Conférence de Consensus ) (Recommandation : Agence nationale d'accréditation et d'évaluation en santé. Papillomavirus (HPV) et lésions précancéreuses du cancer du col de l'utérus [en ligne] ) (Recommandation : Haute Autorité de Santé. Vaccination Papillomavirus: quelle place dans la prévention du cancer du col? [en ligne]. Septembre )
14 II ANNEXES GLOSSAIRE antibiogramme : Un antibiogramme est une technique de laboratoire visant à tester la sensibilité d'une souche bactérienne vis-à-vis d'un ou plusieurs antibiotiques supposés ou connus. Le principe consiste à placer la culture de bactéries en présence du ou des antibiotiques et à observer les conséquences sur le développement et la survie de celle-ci. On peut par exemple placer plusieurs pastilles imbibées d'antibiotiques sur une souche bactérienne déposée dans une boîte de Petri. Il existe trois types d'interprétation selon le diamètre du cercle qui entoure le disque d'antibiotique : souche ou bactérie sensible, intermédiaire ou résistante. C. trachomatis : Chlamydia trachomatis est la bactérie responsable de l'urétrite à Chlamydia (ou chlamydiose), maladie sexuellement transmissible la plus fréquente en France (50 fois plus fréquente que la gonorrhée, elle même plus fréquente que la syphilis). Son réservoir est strictement humain. Il existe 15 sérotypes, possédant un tropisme tout particulier pour les muqueuses génitales et oculaires. lymphogranulomatose vénérienne : Le lymphogranulome vénérien ou maladie de Durand-Nicolas-Favre est une infection sexuellement transmissible due à une infection par les sérovars (ou biovar) invasifs L1, L2, ou L3 de Chlamydia trachomatis. La maladie a été découverte par Wallace en 1833 puis par Durand, Nicolas, et Favre en Elle affecte surtout le système lymphatique. Aux États- Unis, en Europe, en Australie et dans la majeure partie de l'asie et de l'amérique du Sud, le LGV est généralement considéré comme une maladie rare. Elle est endémique en Afrique, en Inde, dans certaines régions du sud-est asiatique et dans les Antilles. Neisseria gonorrhoeae : Le gonocoque (Neisseria gonorrhoeae) est la bactérie responsable chez l'homme de la gonococcie (ou gonorrhée).ce germe exclusivement humain est l'agent de la blennorragie, la plus fréquente des maladies vénériennes. (Faux :La Première infection vénériennes mondiale est l'infection à Chlamydia Trachomatis)C'est la très grande fragilité de ce germe vis-à-vis de la dessiccation, de l'oxydation et des rayons lumineux qui explique la transmission exclusivement par contact direct des muqueuses chaudes et humides où il végète. PCR : Polymerase Chain Reaction, en français Réaction en Chaîne par Polymérase
15 Réaction d'herxheimer : Comme dans le cas de l'antibiothérapie et d'autres méthodes de lutte contre les maladies infectieuses, les bactéries libèrent brutalement des endotoxines lors de leur destruction chez un malade (réaction d'herxheimer). On peut s'attendre également à des réactions immunologiques. En pratique, ces réactions sont rarement exprimées et sans doute plus en rapport avec les produits étrangers de la préparation introduite par voie injectable. Il peut en résulter des symptômes de fièvre ou, dans les cas extrêmes, un choc anaphylactique. Le système immunitaire du patient peut parfois provoquer une réponse immunologique au phage (2 patients sur 44 lors d'une étude polonaise), ce qui pourrait avoir une incidence thérapeutique significative. roséole : La roséole (ou exanthème subit en terme médical, parfois appelée sixième maladie) est une maladie virale bénigne causée par un herpèsvirus type 6 (HHV-6). Courante chez les enfants de 6 à 24 mois, elle devient rare après 4 ans. Le nom de la sixième maladie provient du fait qu'à l'époque où l'on a voulu établir une liste des maladies provoquant un exanthème infantile, elle a été la sixième à être énumérée.elle se manifeste d'abord par une fièvre pouvant atteindre facilement 39 à 40 C pendant trois jours et l'enfant peut être sujet à des convulsions. Cette fièvre est suivie, quelques jours plus tard, d'une éruption cutanée : taches rouges persistant 1 à 3 jours, l'enfant n'est alors plus contagieux. À l'apparition des boutons, la fièvre tombe aussi rapidement qu'elle est venue.la maladie est difficile à diagnostiquer avant que l'éruption n'apparaisse. C'est l'absence d'autres symptômes, en dehors d'une légère pharyngite, et le caractère bien supporté de la fièvre, qui peut orienter vers le diagnostic.la roséole est peu contagieuse et un traitement n'est pas nécessaire, en dehors de celui de la fièvre. Les complications sont très rares et l'immunité permanente. sérovars : En biologie, le mot sérovar (ou serovar, également appelé sérotype ou serotype) désigne une propriété antigénique permettant d'identifier une cellule (bactéries, RBC, etc.) ou un virus par des méthodes sérologiques. La technique est souvent appelée le sérogroupage.autrement dit, c'est le nom donné à la variété sérologique correspondant à une espèce (bactérie, virus.) et la manière de nommer les subdivisions taxonomiques (de classement) de micro-organismes sur la base des caractéristiques de leur antigène ou protéines. Syndrome de Fiessinger Leroy Reiter : Le syndrome oculo-uréthro-synovial, encore appelé arthrite réactive, est une maladie systémique qui accompagne parfois la spondylarthrite ankylosante. Elle se caractérise par l'apparition simultanée de fièvre ; diarrhée sanglante ; inflammation de l'urètre et des articulations, notamment difficulté d'uriner et douleurs articulaires ; conjonctivite (yeux rouges, avec démangeaisons).elle fait partie des spondylarthropathies séronégatives (le malade ne présente pas d'anticorps spécifiques permettant de déceler la maladie).
16 Elle est due à une infection des organes génitaux et urinaires ou de l'estomac et des intestins. C'est une des causes les plus fréquentes d'arthrite chez les jeunes. Cette maladie était appelée syndrome de Fiessinger-Leroy-Reiter ou maladie de Reiter, mais a été débaptisée en raison de l'activité nazie de Hans Reiter. syndrome de Fitz Hugh Curtis : Le syndrome de Fitz-Hugh-Curtis ou périhépatite est une péritonite se localisant sur l'hypocondre droit. D'origine vénérienne, le syndrome de Fitz-Hugh-Curtis est par ce fait associé à plusieurs IST comme la blennoragie. tabès : On désigne par le terme latin Tabes dorsalis une dégénérescence des cordons postérieurs (ou colonnes dorsales) de la moelle épinière observée dans la neurosyphilis. Le mot latin tabes signifie liquéfaction, dissolution, décomposition, atrophie.coupe axiale de moelle épinière, coloration argentique. La zone claire indique une disparition des fibres nerveuses dans les colonnes postérieures. Les symptômes et signes cardinaux du tabes sont : des douleurs extrêmes des membres, de caractère classiquement fulgurant une ataxie locomotrice, décrite par Duchenne en 1858[1] une aréflexie ostéotendineuse des membres inférieurs ou généralisée (signe d'erb-westphal).cette sémiologie caractérise le syndrome radiculo-cordonal postérieur. Elle se complète souvent de manifestations neurotrophiques et articulaires (arthropathies tabétiques). Treponema pallidum : Les tréponèmes (Treponema) sont un genre de bactéries appartenant à la famille des Spirochaetaceae. Les cellules de 5 à 15 µm de long sur 0,1 à 0,2 µm de large sont spiralées. La paroi est de type Gram négatif. Ce sont des bactéries commensales chez l'homme et l'animal au niveau de la bouche, du tractus intestinal et de l'appareil urogénital.certaines espèces sont pathogènes pour l'homme et peuvent provoquer un ensemble de maladies dénommées tréponématoses.le Treponema pallidum ou tréponème pâle est la bactérie responsable de la syphilis chez l'homme. Découvert en 1905 à Berlin par Fritz Scaudinn et Erich Hoffman, il appartient à la famille des tréponèmes, dont il est le seul représentant sexuellement transmissible. BIBLIOGRAPHIE Collège des Universitaires de Maladies Infectieuses et Tropicales : PILLY E. Maladies infectieuses et tropicales [texte imprimé]. 21e édition Paris : Vivactis Plus. DL Chapitres 43, 44, 57, 73, 81, 103.
17 RECOMMANDATION Agence nationale d'accréditation et d'évaluation en santé. Papillomavirus (HPV) et lésions précancéreuses du cancer du col de l'utérus [en ligne] : Haute Autorité de Santé. Évaluation a priori du dépistage de la syphilis en France [en ligne]. Mai : Haute Autorité de Santé. Évaluation du dépistage des infections uro-génitales basses à Chlamydia trachomatis en France [en ligne]. Février : Haute Autorité de Santé. Place des techniques de biologie moleculaire dans l'identification des infections uro-génitales basses à chlamydia trachomatis [en ligne]. Février : Haute Autorité de Santé. Vaccination Papillomavirus: quelle place dans la prévention du cancer du col? [en ligne]. Septembre : Société de Pathologie Infectieuse de Langue Française. Maladies sexuellement transmises (MST) chez la femme, la mère, la mineur [en ligne]. Conférence de Consensus : ABRÉVIATIONS ADN : Acide désoxyribonucléique AMM : Autorisation de mise sur le marché C3G : Céphalosporine de 3e génération Ct : C. trachomatis HLA : Human Leukocyte Antigen, en français Antigènes des leucocytes humains HPV : Human Papilloma Virus IM : Intramusculaire
18 IST : Infections sexuellement transmissibles IV : Intraveineux LGV : Lymphogranulomatose vénérienne MST : Maladies sexuellement transmissibles PVH : Papillomavirus humains TPHA : Treponema Pallidum Hemagglutinations Assay UI : Unités internationales VDRL : Venereal Disease Research Laboratory VHB : Virus de l'hépatite B VIH : Virus de l'immunodéficience humaine
Item 95 Maladies sexuellement transmissibles : infections urogénitales à gonocoque et Chlamydia trachomatis (en dehors de la maladie de Nicolas-Favre)
Annales de dermatologie et de vénéréologie (2012) 139, A57 A61 Disponible en ligne sur www.sciencedirect.com I. MODULES TRANSDISCIPLINAIRES Module 7 : Santé et environnement, maladies transmissibles Item
Plus en détailTraitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées
Bon usage Mise au point Traitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées Actualisation Octobre 2008 MESSAGES CLÉS L évolution de la résistance du gonocoque aux quinolones
Plus en détailMaladies transmises sexuellement (MTS)
Maladies transmises sexuellement (MTS) La sexualité est une dimension normale et saine de la vie De nos jours, de nombreuses infections se transmettent par les relations sexuelles. On les appelle infections
Plus en détailLe Livre des Infections Sexuellement Transmissibles
Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles sommaire Qu est-ce qu une IST? p. 5 La blennorragie gonococcique p. 7 La chlamydiose p. 8 L hépatite B p. 9 L herpès génital p. 10 Les mycoplasmes et
Plus en détailGUIDE POUR LA PRISE EN CHARGE DES INFECTIONS SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES
GUIDE PR LA PRISE EN CHARGE DES INFECTIONS SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTÉ Catalogage à la source : Bibliothèque de l OMS Organisation mondiale de la Santé. Guide pour la
Plus en détailItem 127 : Transplantation d'organes
Item 127 : Transplantation d'organes Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Allogreffe de moelle ou de cellules souches...1 2 Transplantation d'organes... 2 3 Diagnostic...3
Plus en détailLes maladies ou infections sexuellement transmissibles (MST)
Les maladies ou infections sexuellement transmissibles (MST) MST est le terme utilisé pour décrire toute maladie, toute infection transmise par un rapport sexuel avec une personne déjà contaminée, et qui
Plus en détailComplément québécois. C o m p l é m e n t q u é b é c o i s C o m p l é m e n t q u é b é c o i s C o m p l é m e n t q u é b é c o i s
S y p h i l i s V I H C h l a m y d i a H e r p è s g é n i t a l C o n d y l o m e s G o n o r r h é e L G V S y p h i l i s V I H C h l a m y d i a Herpès génital Condylomes Gonorrhée LGV Syphilis VIH
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailDIAGNOSTIC SEROLOGIQUE DE LA SYPHILIS
DIAGNOSTIC SEROLOGIQUE DE LA SYPHILIS A-L. Basse-Guérineau 1,2 et le comité de relecture 3 1 Institut de veille sanitaire ; 2 Laboratoire de virologie, Hôpital Saint-Vincent de Paul, Paris ; 3 N. Dupin
Plus en détailIST et SIDA : s'informer pour se protéger!
IST et SIDA : s'informer pour se protéger! Tous concernés! De quoi s agit-il? Les Infections Sexuellement Transmissibles (IST) sont des infections dues à des virus, des bactéries, des parasites ou des
Plus en détailpapillome humain) VPH(virus Le virus du papillome humain: la plus répandue des infections transmissibles sexuellement
du VPH(virus papillome humain) Le virus du papillome humain: la plus répandue des infections transmissibles sexuellement Table des matières Un message du D r André B. Lalonde, vice-président administratif
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailL ANGINE. A Epidémiologie :
L ANGINE L angine est une inflammation aiguë des amygdales d origine essentiellement virale, et secondairement bactérienne. C est les streptocoque ß hémolytique du groupe A, qui est l agent responsable
Plus en détailÉvaluation du programme québécois de gratuité des médicaments pour le traitement des infections transmissibles sexuellement, de 2000 à 2004
Rapport Évaluation du programme québécois de gratuité des médicaments pour le traitement des infections transmissibles sexuellement, de 2000 à 2004 UNITÉ SCIENTIFIQUE SUR LES INFECTIONS TRANSMISSIBLES
Plus en détail1 ère manche Questions fermées
Quiz VIH 2011 1 ère manche Questions fermées Crips Ile-de-France / Mise à jour : août 2015 Thème : Dépistage Un test VIH négatif indique toujours que la personne qui a fait le test n est pas contaminée
Plus en détailLe psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se
Le psoriasis est une maladie fréquente Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se traduit le plus souvent par des plaques rouges sur la peau, légèrement surélevées
Plus en détailWWW.PREVENTIONIST.ORG
Les IST (infections sexuellement transmissibles) Parlez-en protégez-vous Dépistez-vous et soignez-vous WWW.PREVENTIONIST.ORG Qu'est-ce que c'est? Les IST sont des infections sexuellement transmissibles.
Plus en détailGUIDE PRATIQUE N 1 HERPES ASSOCIATION HERPES. Agissons contre l herpès
GUIDE PRATIQUE N 1 HERPES ASSOCIATION HERPES Agissons contre l herpès L Herpès : une maladie très répandue En France, on estime qu environ 10 millions de personnes sont porteuses du virus de l herpès à
Plus en détailPARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement
PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?
Plus en détailVIH : Parlons-en franchement!
VihCouv_vert(2011_02) 08/02/11 13:27 Page1 DESSINS PHILIPPE DELESTRE VIH : Parlons-en franchement! VIH : Parlons-en franchement! LE VIH C EST QUOI? Le VIH est un virus. C est le virus du Sida. VIH ÇA VEUT
Plus en détailInterprétation de la sérologie TPHA/VDRL JRI 2012
Interprétation de la sérologie TPHA/VDRL JRI 2012 Barbara KULI CHU de la Réunion Service de Médecine Interne, Unité des Maladies Infectieuses Service d'immunologie Clinique, CDAG, CIDDIST Cas Mr M 58 ans
Plus en détailTrucs du métier. L arthrite psoriasique en l absence du psoriasis. clinicien@sta.ca. Avez-vous un truc? Son épidémiologie et son expression
L arthrite psoriasique en l absence du psoriasis Trucs du métier Son épidémiologie et son expression Le psoriasis est une maladie cutanée inflammatoire chronique qui touche de 1 % à 3 % de la population
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME
Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES
Plus en détailDracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL)
Dracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL) 2014 1 Table des matières Introduction... 3 1. Historique et actualité... 3 2. Agent pathogène et cycle... 4 3.
Plus en détail313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013
313-40013-B MIS À JOUR EN MARS 2013 SOMMAIRE 1 - La vaccination, comment ça marche? 3, 4 et 5 2 - Les vaccins détériorent-ils LA protection naturelle contre les maladies? 6 3 - Avec autant de vaccins,
Plus en détail1.1.2 : Indiquer la voie de pénétration du microorganisme
Situation n 2 : EN QUOI L EPIDEMIE DE CHIKUNGUNYA APPORTE T- ELLE DES CHANGEMENTS DANS NOTRE VIE QUOTIDIENNE? Séance n 1 : Le chikungunya Objectif : Prévenir le risque infectieux Tout d un coup, Adeline
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailMinistère de la santé, de la jeunesse et des sports. Comité technique des infections nosocomiales et des infections liées aux soins
Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports. DIRECTION GENERALE DE LA SANTE DIRECTION DE L HOSPITALISATION ET DE L ORGANISATION DES SOINS Comité technique des infections nosocomiales et des infections
Plus en détailLe dépistage des cancers
Le dépistage des cancers G R A N D P U B L I C Octobre 2009 Le dépistage des cancers Détecter tôt certains cancers permet de les traiter mieux, c'est-à-dire de proposer des traitements moins lourds, et
Plus en détailDes soins après avortement : Amis des Jeunes. Cartes à conseils 1-6
Des soins après avortement : Amis des Jeunes Cartes à conseils 1-6 SAA: Avant l intervention Accueillir cordialement la cliente et la mettre à l aise Garantir la confidentialité et l intimité Prendre les
Plus en détailHépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013
Hépatite B Le virus Structure et caractéristiques o o o Famille des Hepadnaviridae Genre orthohepadnavirus Enveloppé, capside icosaédrique, 42 nm 1 Le virus Structure et caractéristiques En microscopie
Plus en détailDéfinition de l Infectiologie
Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage
Plus en détailMme BORGHI Monique Infirmière ETP Mme ALEXIS Françoise Hopital Archet I Infectiologie/Virologie Clinique
Mme BORGHI Monique Infirmière ETP Mme ALEXIS Françoise Hopital Archet I Infectiologie/Virologie Clinique Une hépatite est une inflammation du foie causée soit par des substances toxiques (médicaments,
Plus en détailphase de destruction et d'élimination de débris
LE POST PARTUM I ) Définition : c'est une période de 6 semaines allant de l'accouchement jusqu'au retour de couches (= règles). Pendant ce temps il est nécessaire d'effectuer une surveillance médicale
Plus en détailTuméfaction douloureuse
Santé bucco-dentaire Médecin de 1 er recours et problèmes dentaires fréquents Dre May SALMAN, médecin dentiste HUG Dr Jean-Pierre RIEDER, médecin interniste HUG Plan de présentation Santé bucco-dentaire
Plus en détailDes déficiences présentes
Des déficiences présentes Comment se fait-il que dans certains cas, le système immunitaire ne fonctionne pas convenablement? Problèmes : 1. Pourquoi certains enfants sont-ils mis sous bulle plastique?
Plus en détailÊTES-VOUS SÛRS DE TOUT SAVOIR sur le VIH
ÊTES-VOUS SÛRS DE TOUT SAVOIR sur le VIH et le SIDA? ÉDITION 2014 FRANÇAIS SOMMAIRE SAVOIR PAGE 5 Qu est-ce que LE VIH? PAGE 6 Qu est-ce que LE SIDA? PAGE 7 Comment peut se transmettre le VIH? PAGE 8 Lors
Plus en détailvaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé)
EMA/90006/2015 EMEA/H/C/001104 Résumé EPAR à l intention du public vaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé) Le présent document est un résumé du rapport européen public d évaluation
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailDonnées épidémiologiques, histoire de la maladie et symptomatologie, facteurs de risque
Dépistage et prévention du cancer du col de l utérus Actualisation du référentiel de pratiques de l examen périodique de santé (EPS) Juin 2013 État des connaissances sur le cancer du col de l'utérus Données
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Delphi 0,1 % crème Acétonide de triamcinolone
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Delphi 0,1 % crème Acétonide de triamcinolone Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament car elle contient des informations importantes
Plus en détailApport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses
Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose
Plus en détailSURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailSanté sexuelle: avis de tempête, sors couverte!
www.hup-ado.be Respecte-toi. Protège-toi. Santé sexuelle: avis de tempête, sors couverte! Prévention du cancer du col de l utérus Les MST, c est quoi? Dr. Love La vaccination contre le HPV 6 Check this
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailStreptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions.
Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Exemple d une étude prospective sur la place d un test de détection rapide du SGB. HONORAT Raphaële 1, ASSOULINE Corinne 1,
Plus en détailSérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde
1 ETSL Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde TP 1 GABIN-GAUTHIER 13/11/2009 I. LA MALADIE... 2 II. TECHNIQUES QUALITATIVES... 2 1. PRINCIPE... 2 2. MODE OPERATOIRE... 3 2.1. WRST ou Waaler Rose
Plus en détailLombalgie inflammatoire. François Couture Rhumatologue Hôpital Maisonneuve Rosemont Avril 2010
Lombalgie inflammatoire François Couture Rhumatologue Hôpital Maisonneuve Rosemont Avril 2010 Pronostic d une lombalgie aigue 1mois: 66 à 75% encore symptomatiques quelques limitations fonctionnelles 82
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL. Dr David Bruley Service de Maladies Infectieuses CHU Grenoble
ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Dr David Bruley Service de Maladies Infectieuses CHU Grenoble Définition d un AES Sang ou liquide biologique potentiellement contaminant Sécrétions vaginales / sperme
Plus en détailUn test Pap pourrait vous sauver la vie
Un test Pap pourrait vous sauver la vie Un test Pap pourrait vous sauver la vie Vous avez 21 ans ou plus et êtes sexuellement active? Passez un test Pap! Si vous saviez qu un test Pap, qui prend 5 minutes,
Plus en détailComité d organisation
Workshop Comité d organisation Khadija Akarid Abdelkrim Benbouzid Abdellah Badou Nadia Bouhaddioui Zakaria Chraïbi Hassan Fellah Jamal Hafid Fouad Seghrouchni Faculté polydisciplinaire de Safi Laboratoire
Plus en détailVIH et hépatites Profil des consultants 4 ème trimestre 2000
CENTRE DE DÉPISTAGE ANONYME ET GRATUIT DE MONTPELLIER VIH et hépatites Profil des consultants 4 ème trimestre 2000 Juin 2002 Observatoire régional de la santé du Languedoc-Roussillon Hôpital Saint-Eloi
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailRendre les résultats d un test VIH, communiquer les messages pour refaire le test et fournir un conseil à l adulte
Rendre les résultats d un test VIH, communiquer les messages pour refaire le test et fournir un conseil à l adulte Il est prévu que les recommandations contenues dans ce document resteront valables jusqu
Plus en détailDon de moelle osseuse. pour. la vie. Agence relevant du ministère de la santé. Agence relevant du ministère de la santé
Don de moelle osseuse Engagez-VOUS pour la vie 1 Pourquoi devenir veilleur de vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison
Plus en détailLa maladie de Still de l adulte
La maladie de Still de l adulte Syndrome de Wissler-Fanconi La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée
Plus en détailL hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015
L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d
Plus en détailFICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION
FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,
Plus en détailUnité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané
Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.
Plus en détailLe protecteur buccal : tout à fait génial!
Le scellement des puits et fissures : bien sûr! Les crevasses des surfaces masticatrices emprisonnent facilement les débris d aliments et les bactéries, favorisant ainsi la carie. Dès que les premières
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 3 septembre 2008 PRIVIGEN 100 mg/ml, solution pour perfusion Flacon en verre de 50 ml (CIP: 572 790-7 Flacon en verre de 100 ml (CIP: 572 791-3) Flacon en verre de 200
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailDonnées épidémiologiques sur le cancer du col de l utérus
Maladies chroniques et traumatismes Données épidémiologiques sur le cancer du col de l utérus État des connaissances Actualisation 2008 Dr Nicolas Duport Sommaire Glossaire 2 Définitions Termes utilisés
Plus en détailDiagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux
Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055
Plus en détailSpondylarthrite juvénile. Dr Sandrine Lacassagne Hôpital Necker 25 Novembre 2010
Spondylarthrite juvénile Dr Sandrine Lacassagne Hôpital Necker 25 Novembre 2010 Formes de spondylarthrite de l adulte (1) Spondylarthrite ankylosante: critères de New York modifiés Sacroiliite radiologique
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailQu est-ce que la peste?
Département fédéral de l'intérieur DFI Office fédéral de la santé publique OFSP Unité de direction Santé publique Qu est-ce que la peste? État : 1 juin 2008 Réponses aux questions fréquemment posées concernant
Plus en détailLA PROPOSITION DE LA VACCINATION ANTI-PAPILLOMAVIRUS: INFORMATIONS TRANSMISES ET VECU DE LA PROPOSITION
LA PROPOSITION DE LA VACCINATION ANTI-PAPILLOMAVIRUS: INFORMATIONS TRANSMISES ET VECU DE LA PROPOSITION ETUDE QUALITATIVE REALISEE AUPRES DE MEDECINS GENERALISTES DU JURA ET DE COUPLES ADOLESCENTES/ REPRESENTANTS
Plus en détailLes grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY
Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailHépatite = inflammation du foie. Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach
Hépatite = inflammation du foie Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach 1 Hépatites virales chroniques 2 Histoire naturelle Hépatite aiguë Guérison Hépatite chronique
Plus en détailIl est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut
Les micro-organismes de l eau impliqués dans les infections nosocomiales Depuis 2001 chez Pall, en charge de l information scientifique et réglementaire dans les domaines d applications couverts par la
Plus en détailPrévention anténatale du risque infectieux bactérien néonatal précoce
RECOMMANDATIONS POUR LA PRATIQUE CLINIQUE Prévention anténatale du risque infectieux bactérien néonatal précoce Recommandations SEPTEMBRE 2001 Service recommandations et références professionnelles SOMMAIRE
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailLe VIH et votre foie
Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)
Plus en détailSOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014. Psoriasis. Rapport du Secrétariat
SOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014 Psoriasis Rapport du Secrétariat 1. Le Conseil exécutif, à sa cent trente-troisième session,
Plus en détailTuberculose bovine. Situation actuelle
Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier
Plus en détailProgramme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention
Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Indicateur n 2-3 : Indicateurs sur le dépistage du cancer 1 er sous-indicateur : taux de participation au
Plus en détailInfection VIH et Grossesse Rédigée par : Laurichesse Hélène, C Jacomet
Procédure qualité : «VIH et grossesse» Page 1 sur 6 CHU de Clermont-Ferrand Service de Gynécologie-obstétrique Pôle Gynécologie-Obstétrique biologie de la reproduction Procédure médicale Infection VIH
Plus en détailLE VIH AU CANADA TENDANCES ET ENJEUX QUI AFFECTENT LA PRÉVENTION DU VIH, LES SOINS, LE TRAITEMENT ET LE SOUTIEN...
LE VIH AU CANADA TENDANCES ET ENJEUX QUI AFFECTENT LA PRÉVENTION DU VIH, LES SOINS, LE TRAITEMENT ET LE SOUTIEN... DÉCEMBRE 2010 CATIE est la source canadienne de renseignements à jour et impartiaux sur
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailTUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE
1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS
Plus en détailEtablissement Français du Sang
Etablissement Français du Sang LE LIEN ENTRE LA GÉNÉROSITÉ DES DONNEURS DE SANG ET LES BESOINS DES MALADES Document de préparation à l entretien médical préalable au don de sang Partie médicale La sécurité
Plus en détailProstate Une petite glande de grande importance
Prostate Une petite glande de grande importance Informations sur les maladies les plus fréquentes, à l intention des patients et des personnes intéressées Société Suisse d Urologie (SSU) Votre partenaire
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailPrincipales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus
Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailLes traitements du cancer invasif du col de l utérus
JUIN 2011 Les traitements du cancer invasif du col de l utérus Nom du chapitre COLLECTION GUIDES PATIENTS LE COL DE L UTÉRUS LE CHOIX DES TRAITEMENTS LA CHIRURGIE LA RADIOTHÉRAPIE LA CHIMIOTHÉRAPIE LES
Plus en détailI Identification du bénéficiaire (nom, prénom, N d affiliation à l O.A.) : II Eléments à attester par un médecin spécialiste en rhumatologie :
ANNEXE A : Formulaire de première demande Formulaire de première demande de remboursement de la spécialité HUMIRA pour une spondylarthrite axiale sévère sans signes radiographiques de spondylarthrite ankylosante
Plus en détailVaccinations - Rédaction Dr BOUTON
20-14 Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON Chaque personnel navigant est responsable de la mise à jour des ses vaccins. 1 - VACCINATION OBLIGATOIRE La vaccination contre la fièvre jaune (vaccination anti-amarile)
Plus en détailINFORMATION & PRÉVENTION. Le cancer de la vessie
INFORMATION & PRÉVENTION Le cancer de la vessie G R A N D P U B L I C Ce à quoi sert la vessie La vessie est une poche qui reçoit l urine produite par les reins, via les uretères*. Elle est constituée
Plus en détail