Travail d économie 2CPm 20 mars 2015
|
|
- Paul Dubois
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Collège et école de commerce André-Chavanne Travail d économie 2CPm 20 mars 2015 Remarques importantes : I. Le présent énoncé comporte 13 pages (y compris cette page). II. Matériel autorisé : Calculatrice non programmable Feuilles de brouillon III. La durée de l épreuve est de 90. IV. Toutes les réponses devront figurer sur le présent énoncé. V. L écriture au crayon n est pas autorisée. VI. Que les dieux soient avec vous Nom :... Prénom :... Classe : 2CPmC... Question 1 : [ / 14 pts] Question 2 : [ / 8 pts] Question 3 : [ / 19 pts] Question 4 : [ / 10 pts] Présentation : [ / 4 pts] (Orthographe, soin, directives, présentation, etc.) Total travail : [ / 55 pts] 6 5½ 5 4½ 4 3½ 3 2½ 2 1½ thomas.fischer@edu.ge.ch au CEC André-Chavanne C:\Users\Thomas\Documents\CEC André-Chavanne\Economie\2CPm\Travaux\ \Travail n 3\Corrigé.docx
2 Travail d économie 2CPm - corrigé Page 2/13 Question Une : séquence vidéo de 4 : TTC : le point sur les taux d intérêts négatifs [ / 14 pts] Travail à présenter : répondez aux questions suivantes, après avoir vu la séquence ci-dessus 2 fois. 1. A combien se monte le taux d intérêt négatif? [ / 1 pt] A -0.75% 2. Sur quels avoirs ce taux négatif est-il appliqué? [ / 1 pt] Sur les avoirs des banques commerciales auprès de la BNS 3. Pour quelle raison la BNS a-t-elle introduit ce taux négatif? [ / 2 pt] Afin de dissuader les investisseurs étrangers à placer leurs avoirs en CHF, ce qui pourrait encore augmenter la force du franc suisse. 4. Si le petit épargnant suisse n est pas concerné par l introduction du taux négatif, comment les banques se rattrapent-elles? Justifiez par un exemple. [ / 2 pt] Les banques commerciales font payer les petits épargnants sous forme de commissions, frais bancaires, etc. Les frais de retrait des bancomats en sont un exemple. 5. Comment les caisses de pensions sont-elles concernées par l introduction du taux négatif? [ / 2 pt] Les caisses de pensions sont concernées car elles ont un sérieux problème de placement de liquidités et devront payer si elles déposent leurs avoir à la banque.
3 Travail d économie 2CPm - corrigé Page 3/13 6. Quelle est la banque qui propose les frais de gestion les moins chers et à combien se montent-ils? [ / 2 pt] La banque Raiffeisen à 14 CHF 7. Quelle est la banque qui propose les frais de gestion les plus chers et à combien se montent-ils? [ / 2 pt] Le Crédit Suisse pour 418 CHF 8. Comment expliquer une telle différence de prix entre ces extrêmes? [ / 2 pt] Cette différence de prix pourrait être expliquée par le fait que la banque Raiffeisen s intéresse à une clientèle de proximité, témoin de l économie réelle, alors que le Crédit Suisse, surtout présente dans la finance, ne s intéresse pas à cette clientèle qui rapporte trop peu à ses yeux.
4 Travail d économie 2CPm - corrigé Page 4/13 Question Deux : votre avis m intéresse [ / 8 pts] Source : Tribune de Genève 28 décembre 2010 Travail à présenter : Répondez au courrier de M. Vincent Jeanneret en respectant d une part les contraintes de la Tribune de Genève (1400 signes = environ 300 mots au maximum) et en choisissant de discuter 3 arguments distincts que l auteur défend dans son article. Merci de mettre le nombre de mots à la fin de votre texte. Evaluation : Discussion des 3 arguments :... 6 pts Style attendu : réponse à une lettre :.. 2 pts
5 Travail d économie 2CPm - corrigé Page 5/13
6 Travail d économie 2CPm - corrigé Page 6/13
7 Travail d économie 2CPm - corrigé Page 7/13 Question Trois : questions préparées à domicile [ / 19 pts] Sur la base du texte que vous trouverez en annexe à la page 12, veuillez répondre aux questions suivantes : 1. Ligne 4 : pourquoi cette situation font replonger certains dans leurs premiers manuels d économie? Développez brièvement. [ / 2 pts] La théorie quantitative de la monnaie figure dans tous les manuels d économie. On apprend que l augmentation de la masse monétaire provoque de l inflation (voir aussi principe n 9 de l économiste) sous la forme de l équation de Fisher : M * V = P * Q M = la quantité de monnaie, V = la vitesse de circulation de la monnaie, P = prix des biens et services et Q = quantité des biens et service. Si l on pose par hypothèse qu à court terme V et Q sont stables, alors une augmentation de M provoque une augmentation de P. Or, selon l article, cette théorie ne fonctionne plus car la quantité de monnaie mis à disposition des banques n est pas réinjecté dans l économie sous forme de prêts. 2. Ligne 12 : comment interpréter le terme «accommodante»? [ / 1 pt] «Accommodante» signifie une politique monétaire expansive, donc de bas taux d intérêts. 3. Ligne 13 : qui est Mario Draghi? Et où travaillait-il avant son présent emploi? [ / 2 pt] Mario Draghi est un économiste, banquier et ancien haut fonctionnaire italien. Vice-président pour l'europe de Goldman Sachs entre 2002 et 20051,2, puis gouverneur de la Banque d'italie entre 2006 et 2011, il est président de la Banque centrale européenne (BCE) depuis le 1er novembre Ligne 27 : qu est-ce que l économie réelle? [ / 1 pt] On désigne par «économie réelle» l activité économique qui consiste à produire des biens et services, en opposition à la finance, qui permet aussi de faire des profits mais qui ne produit rien.
8 Travail d économie 2CPm - corrigé Page 8/13 5. Ligne 36 : donnez un synonyme pour le terme «la monnaie centrale». [ / 1 pt] = base monétaire, qui est aussi le total du bilan de la BCE 6. Ligne 37 : définissez «la vitesse de circulation de la monnaie». [ / 2 pts] La vitesse de circulation de la monnaie représente le nombre de fois qu un billet de banque est échangé dans une période de temps considérée. 7. Ligne 41 : qu est-ce que la «thésaurisation»? [ / 1 pt] La «thésaurisation» consiste à retirer son épargne du circuit économique en le plaçant par exemple sous son matelas. 8. Lignes 41 et suivantes : quelle différence y a-t-il entre un effet structurel de long terme et un effet conjoncturel? [ / 2 pts] La principale différence de cet effet est le temps : un effet structurel nécessite plus de temps et peut être la conséquence d un changement technologique, alors qu un effet conjoncturel réside dans changement à l intérieur du cycle conjoncturel défini par crise-récession-reprise-croissance.
9 Travail d économie 2CPm - corrigé Page 9/13 9. Lignes 41 et suivantes : citez 2 facteurs d effet structurel de long terme et 2 facteurs d effet conjoncturels. [ / 4 pt] Effets structurels à long terme : 1. Vieillissement de la population 2. Concurrence grandissante des producteurs à bas coût Effet conjoncturels : 1. crise 2. reprise 10. Ligne 58 : pourquoi Mario Draghi veux-t-il agir contre un euro fort? Justifiez brièvement. [ / 3 pts] Il veut absolument éviter de la déflation importée en raison d un euro fort, ce qui a pour conséquence que les prix des biens et services importés sont bons marchés, ce qui peut conduire la zone euro en déflation, qui est néfaste pour le tissu économique, car si les prix baissent, les recettes des entreprises aussi, il est fort à craindre que les salaires également, et par là le pouvoir d achat, débouchant inexorablement vers une baisse de la demande, qui conduirait vers une baisse de l offre de biens et services ce qui augmenterait le chômage.
10 Travail d économie 2CPm - corrigé Page 10/13 Question Quatre : vérification de quelques connaissances [ / 10 pts] Travail à présenter : répondez aux questions suivantes. Une seule réponse est correcte. 1. Indiquer la fonction non remplie par la monnaie : a. une valeur intrinsèque b. un moyen de paiement c. un étalon de valeur d. un réservoir de valeur 2. La politique de la BNS repose sur au moins un des éléments suivants : a. maintien de l inflation autour de 5% b. prise de décision sur un horizon de 5 ans c. régularisation du marché monétaire par l observation du cours du dollar à 3 mois d. aucune des réponses ci-dessus 3. Si une banque commerciale détient des dépôts pour un montant de F et des liquidités pour un montant de F, et si le taux de couverture de liquidités est de 20%, le montant supplémentaire maximum de monnaie scripturale que le système bancaire pourrait créer est égal à : a F b F c F d F 4. Selon la théorie classique, il serait possible d accroître le revenu par l intervention de la banque centrale. Pour arriver à ses fins, la banque centrale devrait : a. augmenter ses taux b. baisser ses taux c. vendre des devises étrangères d. vendre de l or 5. Si une banque commerciale crée F de monnaie scripturale suite à un dépôt initial de F, le taux de couverture des liquidités est égal à : a. 50% b. 80% c. 20% d. 60%
11 Travail d économie 2CPm - corrigé Page 11/13 6. Laquelle des propositions suivantes est fausse? a. Les banques commerciales, en prenant des dépôts et en accordant des crédits, créent directement de la monnaie scripturale. b. Une baisse du ratio de réserves obligatoires des banques commerciales entraîne une hausse du multiplicateur monétaire. c. Le multiplicateur monétaire est sous le contrôle direct de la Banque centrale. d. Au passif du bilan de la Banque centrale, on trouve, entre autres, les billets de banque en circulation dans le pays. 7. Le lien entre la masse monétaire M 1 et la masse monétaire M 2 est le suivant : a. M 1 = M 2 + dépôts à vue b. M 2 = M 1 * multiplicateur monétaire c. M 2 = M 1 + dépôts d épargne d. M 2 = M 3 dépôts à vue 8. Si la BNS augmente ses taux d intérêts, cela pourrait déboucher sur : a. une diminution de la monnaie fiduciaire b. une augmentation de la monnaie fiduciaire c. une diminution de la monnaie scripturale d. une augmentation de la monnaie scripturale 9. Actuellement, la Suisse pratique un régime de change : a. fixe avec l euro mais flottant avec le dollar américain b. fixe avec l euro et le dollar américain c. flottant avec l ensemble des devises étrangères disponibles sur le marché d. fixe avec l ensemble des devises étrangères disponibles sur le marché 10. Une appréciation du franc suisse pourrait provoquer : a. une baisse de placements en francs b. une baisse des exportations c. une amélioration de la balance des transactions courantes d. toutes les réponses ci-dessus sont correctes.
12 Travail d économie 2CPm - corrigé Page 12/13 Pourquoi les planches à billets ne créent plus d inflation? Le Temps mercredi 30 avril 2014 Par Servan Peca L explosion du bilan des banques centrales avait fait craindre, à tort, une surchauffe générale. Tant que l argent ne circule pas, le risque est insignifiant. Aujourd hui, ce sont les monnaies qui donnent le rythme C est à en faire replonger certains dans leurs premiers manuels d économie. Pourquoi, malgré l explosion du bilan des banques centrales dans les pays développés, l inflation y reste-t-elle aussi insignifiante? Après la crise financière de 2008, lorsque, pour soutenir la relance, les planches à billets ont commencé à tourner à plein régime, nombreux sont ceux qui prédisaient pourtant une inflation galopante et destructrice de richesse. Comme dans les années Cinq ans plus tard, en Suisse, où la Banque nationale suisse (BNS) a émis 290 milliards de nouveaux francs, l indice des prix à la consommation a passé l essentiel de ces deux dernières années en territoire négatif. En Europe, alors que la politique monétaire de la Banque centrale européenne (BCE) se fait de plus en plus accommodante, et qu elle pourrait l être davantage encore jeudi dernier, son président, Mario Draghi, a évoqué un éventuel «large programme de rachats d actifs» c est plutôt le spectre déflationniste qui plane actuellement au-dessus de la zone euro. Tandis qu aux Etats-Unis, la Réserve fédérale (Fed) imprime chaque mois des dizaines de milliards de dollars pour racheter des actifs obligataires. Résultat? L inflation y reste cantonnée entre 1 et 1,5%. Les planches à billets sont-elles devenues stériles? «C est justement parce que les banques centrales n émettent pas véritablement de nouveaux billets que leur politique n a aucun effet sur l inflation, tranche Fabrizio Quirighetti, responsable des investissements et chef économiste de la banque Syz & Co. Aux Etats-Unis, par exemple, lorsque la Fed demande aux banques commerciales de lui acheter des bons du Trésor, elle crédite leurs comptes.» Et donc? «Cet argent dort. Il ne devient vraiment de la nouvelle monnaie que lorsqu il en est extrait, sous forme de crédit notamment.» Crédit. Le mot est lâché. En zone euro, voilà des mois, voire des années, que le mal est identifié: les octrois de crédits sont insuffisants. La BCE a bien fait quelques tentatives pour inciter les banques à mieux faire circuler l argent dans l économie réelle, en vain. Mardi, l institution a d ailleurs indiqué que les prêts au secteur privé avaient encore reculé de 2,2% entre mars 2013 et mars Dans une étude publiée au début du mois, neuf économistes de Credit Suisse ont planché sur cette question. Vingt-cinq pages durant, ils expliquent comment et pourquoi, dans un monde (développé) inondé de liquidités, l inflation ne décolle pas. Eux décrivent ainsi le phénomène: «L argent imprimé par la banque centrale (les billets, les pièces et les avoirs en compte des banques commerciales auprès de la banque centrale) ne correspond pas à l argent dont disposent potentiellement les ménages et les entreprises pour leurs dépenses (espèces, dépôts, fonds d épargne). Depuis la crise financière, le rapport entre la monnaie centrale et les autres
13 Travail d économie 2CPm - corrigé Page 13/ agrégats [résultant de la vitesse de circulation de la monnaie, ndlr] a fondamentalement changé. Le multiplicateur de la monnaie de la banque centrale a fortement chuté». En Suisse, par exemple, l effet multiplicateur du crédit est passé d environ 12 fois (en 2006) à un peu plus de 2 fois, en Mais il n y a pas que la thésaurisation qui est en cause. En plus des effets structurels de long terme le vieillissement démographique qui pèse sur la demande, la concurrence grandissante des producteurs des pays à bas coût sur ceux des pays développés, d autres facteurs freinent les pressions inflationnistes. Eux sont conjoncturels. Dans le cycle actuel, la demande est insuffisante. Les capacités de production sont bien inférieures aux niveaux susceptibles de provoquer une surchauffe. De fait, la concurrence sur le marché de l emploi est quasi inexistante, note Credit Suisse: «Les taux de chômage des pays industrialisés se situent encore largement au-dessus de la valeur limite à laquelle les pressions salariales commencent à se faire sentir.» En d autres termes, les entreprises ne manquent pas de main-d œuvre et n ont pas besoin de surenchérir pour embaucher selon leurs besoins. C est un peu moins le cas aux Etats-Unis, pour lesquels les «scénarios d inflation sont plus élevés, du fait que les écarts de production sont moins importants», écrit l équipe dirigée par Olivier Adler, chef de la recherche économique de la grande banque. En fait, aujourd hui, c est la valeur des monnaies qui apparaît comme le plus grand facteur d influence. Même les plus sceptiques sont contraints de l admettre. «Après l avoir longtemps nié, la Banque centrale européenne concède enfin que le taux de change est une variable d importance», reprend Fabrizio Quirighetti. Au fur et à mesure de ses interventions verbales, Mario Draghi est de plus en plus clair: il est décidé à agir contre un euro fort qui, via les prix des biens importés en Europe, rapproche la zone euro d une déflation qu il faut éviter à tout prix. La zone euro est la victime mécanique du phénomène des vases communicants. Souhaitées ou non, les dévaluations monétaires en Suisse, aux Etats-Unis, en Asie et dans bien d autres régions émergentes se reportent sur l euro. Le Japon est l exemple inverse, Les interventions musclées de la banque centrale pour faire baisser le yen les «Abenomics» ont poussé l inflation à son plus haut niveau depuis 22 ans. De même, au Brésil ou en Inde, la forte baisse des monnaies nationales pousse, elle aussi, l inflation vers le haut. En Suisse également, le poids du franc décide de l inflation. Son envolée de l a d abord fait chuter. Et désormais, les analystes de Credit Suisse attribuent la quasi-stagnation des prix, en dépit d une économie intérieure robuste, au rattachement du franc à l euro. Et donc à «l importation de l inflation basse de la zone euro».
La BNS capitule: Fin du taux plancher. Alain Freymond (BBGI Group SA)
La BNS capitule: Fin du taux plancher Alain Freymond (BBGI Group SA) Changement radical de politique monétaire le 15/1/2015 Les taux d intérêt négatifs remplacent le taux plancher 1. Abandon du taux plancher
Plus en détailb ) La Banque Centrale Bilan de BC banques commerciales)
b ) La Banque Centrale Notre système bancaire se complexifie puisqu il se trouve maintenant composer d une multitude de banques commerciales et d une Banque Centrale. La Banque Centrale est au cœur de
Plus en détail3e question : Qui crée la monnaie?
3e question : Qui crée la monnaie? INTRO : Sensibilisation Vidéo : Comprendre la dette publique en quelques minutes (1min à 2min 27) http://www.youtube.com/watch?v=jxhw_ru1ke0&feature=related Partons de
Plus en détailL importance de la monnaie dans l économie
L importance de la monnaie dans l économie Classes préparatoires au Diplôme de Comptabilité et Gestion UE 13 Relations professionnelles Etude réalisée par : Marina Robert Simon Bocquet Rémi Mousseeff Etudiants
Plus en détailForum de l investissement Ateliers d Experts. 15 Octobre 2011. Les Dangers de l Assurance Vie
Forum de l investissement Ateliers d Experts 15 Octobre 2011 Les Dangers de l Assurance Vie L assurance vie c est quoi? Le placement préféré des français Environ 1 500 milliards d euros épargnés par les
Plus en détailMonnaie, banques, assurances
Monnaie, banques, assurances Panorama La politique monétaire de la Banque nationale suisse en 2013 En 2013, la croissance de l économie mondiale est demeurée faible et fragile. En Europe, les signes d
Plus en détailInformations générales 1 er trimestre 2015. Inform La politique monétaire dans le piège des taux bas
Informations générales 1 er trimestre 2015 Inform La politique monétaire dans le piège des taux bas A propos de Swisscanto Swisscanto figure parmi les plus grands promoteurs de fonds de placement et prestataires
Plus en détail12. Le système monétaire
12. Le système monétaire Le rôle de la monnaie est fondamental. Imaginez une situation où aucun moyen de paiement ne ferait l unanimité : - Economie de «troc». - On échange des biens et services contre
Plus en détailECONOMIE. DATE: 16 Juin 2011
BACCALAUREAT EUROPEEN 2011 ECONOMIE DATE: 16 Juin 2011 DUREE DE L'EPREUVE : 3 heures (180 minutes) MATERIEL AUTORISE Calculatrice non programmable et non graphique REMARQUES PARTICULIERES Les candidats
Plus en détailCREATION MONETAIRE ET SON CONTROLE
CREATION MONETAIRE ET SON CONTROLE PAR LES AUTORITES MONETAIRES SECTION 1 : LA CREATION MONETAIRE A Acteurs et modalités de création monétaire : La création monétaire consiste à accroître la quantité de
Plus en détail3 ) Les limites de la création monétaire
3 ) Les limites de la création monétaire Si un banquier n a besoin que de son stylo pour créer de la monnaie, on peut se demander ce qui empêche une création infinie de monnaie. En fait, la création monétaire
Plus en détailPartie 2 : Qui crée la monnaie?
Partie 2 : Qui crée la monnaie? Marché monétaire Masse monétaire Banque centrale Prêteur en dernier ressort Notions clés I. La mesure de la création monétaire : la masse monétaire La masse monétaire n
Plus en détailECONOMIE GENERALE G. Carminatti-Marchand SEANCE III ENTREPRISE ET INTERNATIONALISATION
ECONOMIE GENERALE G. Carminatti-Marchand SEANCE III ENTREPRISE ET INTERNATIONALISATION On constate trois grandes phases depuis la fin de la 2 ème guerre mondiale: 1945-fin 50: Deux blocs économiques et
Plus en détail1. La fonction de règlement ne peut être assurée au niveau international que dans des conditions bien différentes. D une part, les agents concernés
Introduction La notion de système évoque l idée d organisation. Un système monétaire national est l organisation des relations monétaires dans un pays : comment les agents économiques peuvent-ils utiliser
Plus en détailPréambule Autodiagnostic 1) QRU - La Banque centrale est : 2) QRU - L encadrement du crédit était une technique :
Préambule Nous vous proposons en préambule d estimer votre niveau de connaissances bancaires et financières en répondant à cet auto diagnostic. Que celui-ci vous soit prétexte à valider et à approfondir
Plus en détailBanque nationale suisse
IFFP Institut fédéral des hautes études en formation professionnelle Combinaison des politiques budgétaires et monétaires 22.01.2010, Lausanne 8h45 12h 12h45 16h David Maradan, chargé de cours UNIGE et
Plus en détailINDICATIONS COMPLÉMENTAIRES
eduscol Sciences économiques et sociales - Première ES Science économique 4. La monnaie et le financement Ressources pour le lycée général et technologique Fiche 4.3 : Qui crée la monnaie? INDICATIONS
Plus en détailPARTIE 2 : LES POLITIQUES ÉCONOMIQUES CONJONCTURELLES
SO00BM24 Introduction aux politiques économiques PARTIE 2 : LES POLITIQUES ÉCONOMIQUES CONJONCTURELLES CHAPITRE 2 : LA POLITIQUE MONETAIRE I. Préambules sur la Monnaie II. 1. La création monétaire A. Comment
Plus en détailRéforme monétaire: par où commencer?
Réforme monétaire: par où commencer? Troisième université d automne de l économie autrichienne 4-6 Octobre 2013, Troyes Nikolay Gertchev Chargé de cours à l'ichec Brussels Management School Plan de l'exposé
Plus en détailLa guerre des devises, une source d opportunités Mars 2015
PERSPECTIVES La guerre des devises, une source d opportunités Mars 2015 Depuis le début de l année 2015, de nombreuses banques centrales à travers le monde ont abaissé leur taux d intérêt ou pris d autres
Plus en détailPlacements IA Clarington inc. Dan Bastasic Gestionnaire de portefeuille des Fonds IA Clarington stratégiques
Placements IA Clarington inc. Dan Bastasic Gestionnaire de portefeuille des Fonds IA Clarington stratégiques Je ne caractériserais pas la récente correction du marché comme «une dégringolade». Il semble
Plus en détailBoussole. Divergence des indicateurs avancés. Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue!
Boussole Juin 2015 Divergence des indicateurs avancés Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue! Les règles du placement financier - Partie III Votre patrimoine,
Plus en détailOrdonnance relative à la loi fédérale sur la Banque nationale suisse
Ordonnance relative à la loi fédérale sur la Banque nationale suisse (Ordonnance de la Banque nationale, OBN) Modification du 7 mai 2014 La Banque nationale suisse arrête: I L ordonnance du 18 mars 2004
Plus en détailRéseau de formateurs : Denis Ducamp, Vincent Michecoppin, Marie-Line Zanon
ACADÉMIE D ORLÉANS-TOURS BACCALAURÉAT STG ÉCONOMIE-DROIT PROPOSITION D ÉVALUATION TYPE SUJET BAC AVRIL 2006 Période d évaluation : premier trimestre année de terminale STG. Points du programme testés :
Plus en détailSO00BM24 Introduction aux politiques économiques
SO00BM24 Introduction aux politiques économiques PARTIE 2 : LES POLITIQUES ÉCONOMIQUES CONJONCTURELLES CHAPITRE 2 : LA POLITIQUE MONETAIRE I. Préambules sur la Monnaie 1. La création monétaire A. Comment
Plus en détailEPARGNE, INVESTISSEMENT, SYSTEME FINANCIER
EPARGNE, INVESTISSEMENT, SYSTEME FINANCIER Chapitre 25 Mankiw 08/02/2015 B. Poirine 1 I. Le système financier A. Les marchés financiers B. Les intermédiaires financiers 08/02/2015 B. Poirine 2 Le système
Plus en détailUniversité d Oran / Faculté des Sciences Commerciales Spécialité : 4 eme. Fiche N 2 : Banque et Monnaie
Université d Oran / Faculté des Sciences Commerciales Spécialité : 4 eme Finance / Module : Les Techniques Bancaires Fiche N 2 : Banque et Monnaie I)- Principes Généraux : 1)- Définition du Terme Monnaie
Plus en détailISCFE Faits et institutions économiques 1M LA MONNAIE
LA MONNAIE 1 Fonctions de la monnaie Unité de mesure universelle de la valeur. Moyen intermédiaire universel d'échange. Réserve de valeurs intemporelle. 2 Formes de la monnaie Monnaie divisionnaire Valeur
Plus en détailPrésentation Macro-économique. Mai 2013
Présentation Macro-économique Mai 2013 1 Rendement réel des grandes catégories d actifs Janvier 2013 : le «sans risque» n était pas une option, il l est moins que jamais Rendement réel instantané 2,68%
Plus en détailDécryptage des méthodes modernes de la création monétaire
Décryptage des méthodes modernes de la création monétaire Nikolay Gertchev Deuxième Université d automne de l économie autrichienne 5-7 Octobre 212, Troyes Eléments essentiels des systèmes bancaires contemporains
Plus en détailBienvenue. Procure.ch. Jeudi 26 avril 2012. Haute école de gestion Fribourg www.heg-fr.ch. Haute école de gestion Fribourg
Bienvenue Procure.ch Jeudi 26 avril 2012 Haute école de gestion Fribourg www.heg-fr.ch 1 ère question (thème) C est grave docteur? Les principaux indicateurs économiques En préambule.. Qu est-ce qu un
Plus en détailThème 2 : la monnaie et les banques : le carburant de notre économie
Thème 2 : la monnaie et les banques : le carburant de notre économie L activité économique repose sur trois rouages : Monnaie besoins production répartition consommation Échanges Marché 2 «La monnaie n
Plus en détailChapitre 4 Comment s opère le financement de l économie mondiale?
CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN 18 décembre 2014 à 14:22 Chapitre 4 Comment s opère le financement de l économie mondiale? Ce chapitre ne fait plus partie du programme, mais il est conseillé de
Plus en détail1. Une petite économie ouverte dans un monde de capitaux parfaitement mobiles
Le modèle Mundell-Flemming avec parfaite mobilité des capitaux Le modèle Mundell-Flemming (Robert Mundell, Marcus Flemming, début années 1960) est l extension du modèle IS-LM en économie ouverte. Il partage
Plus en détailWS32 Institutions du secteur financier
WS32 Institutions du secteur financier Session 1 La vision chinoise Modernisation du système financier chinois : fusion de différentes activités bancaires et financières, accès des ménages au marché des
Plus en détailDORVAL FLEXIBLE MONDE
DORVAL FLEXIBLE MONDE Rapport de gestion 2014 Catégorie : Diversifié International/Gestion flexible Objectif de gestion : L objectif de gestion consiste à participer à la hausse des marchés de taux et
Plus en détail«Selon les chiffres de la BNS, l évasion fiscale prospère»
«Selon les chiffres de la BNS, l évasion fiscale prospère» * Précision apportée par l auteur, publiée le 26 novembre. Voir en fin d'article Gabriel Zucman vient de publier un livre, «La Richesse cachée
Plus en détailFINANCE & RISK MANAGEMENT TRAVAIL INDIVIDUEL I
FINANCE & RISK MANAGEMENT TRAVAIL INDIVIDUEL I ()*( TABLE DES MATIERES 1. EXERCICE I 3 2. EXERCICE II 3 3. EXERCICE III 4 4. EXERCICE IV 4 5. EXERCICE V 5 6. EXERCICE VI 5 7. SOURCES 6 (#*( 1. EXERCICE
Plus en détailLes perspectives économiques
Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois
Plus en détailLa crise de 1929. Lionel Artige. Introduction à la Macroéconomie HEC Université de Liège
La crise de 1929 Lionel Artige Introduction à la Macroéconomie HEC Université de Liège Expliquer la crise de 1929? La crise de 1929 a été l objet de nombreuses publications tentant d expliquer ses causes,
Plus en détailSeptembre 2013. Baromètre bancaire 2013 L évolution conjoncturelle des banques en Suisse
Septembre 2013 Baromètre bancaire 2013 L évolution conjoncturelle des banques en Suisse Baromètre bancaire 2013 Executive summary 3 1 Evolution économique globale 1.1 Economie internationale 1.2 Suisse
Plus en détailAnnexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique
Annexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique Les échanges de marchandises (biens et services), de titres et de monnaie d un pays avec l étranger sont enregistrés dans un document comptable
Plus en détailApproches macroéconomique et fiscale. Introduction à la première partie... 14
TABLE DES MATIERES Préface... 5 Avant- propos... 9 Partie 1 Approches macroéconomique et fiscale Introduction à la première partie... 14 CHAPITRE 1 La politique budgétaire est- elle encore efficace pour
Plus en détailDes solutions pour les seniors à revenus insuffisants
Des solutions pour les seniors à revenus insuffisants IStock - FredFroese Source de croissance de d opportunités, le vieillissement de la population française constitue cependant un défi pour notre pays.
Plus en détailLa Banque de France. 1- Les activités de la Banque de France p. 3. 2- Le système européen de banques centrales (SEBC) p. 4
La Banque de France Sommaire 1- Les activités de la Banque de France p. 3 2- Le système européen de banques centrales (SEBC) p. 4 3- Les activités de la Banque et son organisation territoriale p. 5 4-
Plus en détailECONOMIE ET SOCIETE (GESTION)
REPUBLIQUE ET CANTON DE GENEVE Département de l'instruction publique, de la culture et du sport Enseignement secondaire II Direction générale CFP Commerce EXAMEN D'ADMISSION EN 2CFCI Nom... Prénom... Signature...
Plus en détailFlash Stratégie n 2 Octobre 2014
Flash Stratégie n 2 Octobre 2014 Vers un retour de l or comme garantie du système financier international. Jean Borjeix Aurélien Blandin Paris, le 7 octobre 2014 Faisant suite aux opérations de règlement
Plus en détailLe FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc
Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008
Plus en détailLA MONNAIE, LE CHANTIER DE LA DÉCENNIE
LA MONNAIE, LE CHANTIER DE LA DÉCENNIE Karl Heinz Braun, chercheur-associé à Etopia et député Ecolo au Parlement de la Communauté germanophone Décembre 2011 www.etopia.be 222222 Page 2 sur 6 La plupart
Plus en détailPlan du cours. I. La création monétaire dans un système bancaire non hiérarchisé.
1 Plan du cours I. La création monétaire dans un système bancaire non hiérarchisé. II. Les échanges interbancaires. III. La création monétaire et les échanges interbancaires dans un système bancaire hiérarchisé.
Plus en détailLes mécanismes de transmission de la politique monétaire
Chapitre 5 Les mécanismes de transmission de la politique monétaire Introduction (1/3) Dans le chapitre 4, on a étudié les aspects tactiques de la politique monétaire Comment la BC utilise les instruments
Plus en détailCroissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés
POUR DIFFUSION : À Washington : 9h00, le 9 juillet 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À DIFFUSION Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés La croissance
Plus en détailL économie ouverte. Un modèle de petite économie ouverte. V2.0 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile. Quelques définitions
L économie ouverte Un modèle de petite économie ouverte V2.0 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile Quelques définitions Économie fermée Économie ouverte Exportations et importations Exportations nettes
Plus en détailLa monnaie, les banques et les taux d intérêt
Chapitre 10 La monnaie, les banques et les taux d intérêt 1 Objectifs Définir ce qu est la monnaie et décrire ses fonctions Expliquer les fonctions économiques des banques canadiennes et des autres intermédiaires
Plus en détailTD n 1 : la Balance des Paiements
TD n 1 : la Balance des Paiements 1 - Principes d enregistrement L objet de la Balance des Paiements est de comptabiliser les différentes transactions entre résidents et non-résidents au cours d une année.
Plus en détail[ les éco_fiches ] Situation en France :
Des fiches pour mieux comprendre l'actualité éco- nomique et les enjeux pour les PME Sortie de crise? Depuis le 2ème trimestre la France est «techniquement» sortie de crise. Cependant, celle-ci a été d
Plus en détailCAISSE REGIONALE DU CREDIT AGRICOLE MUTUEL D AQUITAINE
CAISSE REGIONALE DU CREDIT AGRICOLE MUTUEL D AQUITAINE Eléments d appréciation du prix de rachat des CCI émis par la CRCAM d Aquitaine dans le cadre de l approbation par l'assemblée générale des sociétaires,
Plus en détailLes perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI
Présentation à l Association des économistes québécois Le 19 mai 25 Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Kevin G. Lynch Administrateur Fonds
Plus en détailQuel rôle pour la Banque de France depuis l avènement de l euro?
Florian Colas Conférence d économie approfondie Note sur un point technique, élaborée à partir d un entretien avec Madame Claudine Cortet, Conseiller auprès du Directeur général des Etudes et Relations
Plus en détailLe SMI. Chapitre 1. 1.1 Les origines historiques du SMI actuel. 1.1.1 Avant la première Guerre mondiale : l étalon or
Chapitre 1 Le SMI 1.1 Les origines historiques du SMI actuel 1.1.1 Avant la première Guerre mondiale : l étalon or L étalon change-or (Conférence de Gênes - 1922) Caractéristiques : Chaque monnaie nationale
Plus en détailContrôle. Consultation CDEC
Chapitre 1 : Monnaie et financement de l économie marocaine Financement de l activité économique Financement Direct Financement Indirect Marché financier Marché monétaire Marché hypothécaire Banques Stés.
Plus en détailFONDS DE PLACEMENTS IMMOBILIERS SUISSES
FONDS DE PLACEMENTS IMMOBILIERS SUISSES Octobre 2011 Gabriela TURCATTI Jordi GUILLO SOMMAIRE IMMOBILIER SUISSE 3 CATÉGORIES L immobilier résidentiel 4 L immobilier commercial 5 L immobilier de bureau 5
Plus en détailMacroéconomie. Monnaie et taux de change
Macroéconomie Monnaie et taux de change Marché des changes Le taux de change de en $ correspond au nombre de $ que l on peut acheter avec un exemple: 1 = 1,25 $ Une appréciation/dépréciation du taux de
Plus en détailBulle ou pas bulle? 1. Qu'est ce qu'une bulle immobilière? 2. Comment se forme une bulle? 3. Comment détermine t on si il y a une bulle?
Bulle ou pas bulle? 1. Qu'est ce qu'une bulle immobilière? Une bulle immobilière est caractérisée par une hausse rapide de la valeur des biens immobiliers. Elle caractérise un écart important et persistant
Plus en détailDE l ETALON-OR à l EURO
DE l ETALON-OR à l EURO 1- Un peu d histoire Pendant des siècles, les métaux précieux (argent et or) ont servi au règlement des échanges commerciaux intérieurs et internationaux. Progressivement, les billets
Plus en détailChapitre 9 : Les étapes de la construction de l Europe monétaire
Chapitre 9 : Les étapes de la construction de l Europe monétaire Que dit le Traité de Rome en matière monétaire? Pas de propos très détaillés. Ce qui est mentionné, c est l ambition de créer une aire régionale
Plus en détailCOMPRENDRE LA BOURSE
COMPRENDRE LA BOURSE Les principaux indicateurs économiques Ce document pédagogique n est pas un document de conseils pour investir en bourse. Les informations données dans ce document sont à titre informatif.
Plus en détailMénage/Haushalt. Etude comparative des frais bancaires usuels. de Konsument. (mai 2010)
Etude comparative des frais bancaires usuels (mai 2010) En novembre 2008, l ULC avait réalisé une étude destinée à comparer les frais bancaires usuels appliqués par six banques luxembourgeoises. Le même
Plus en détailATTIJARI MARKET RESEARCH FX & COMMODITIES TEAM
29 juin 2009 Forex Weekly Highlights I. Evénements clés et statistiques de la semaine du 22 juin 2009 Le retour de l aversion au risque a permis au billet vert d effacer un peu les pertes accumulées face
Plus en détailChapitre III : Qui gère la monnaie? Le cas de la France
Chapitre III : Qui gère la monnaie? Le cas de la France I. Les acteurs du circuit monétaire A) Les détenteurs de monnaie : les ANFR AIF ANFR = agents non financiers résidents AIF = autres intermédiaires
Plus en détailLes banques suisses 2013 Résultats des enquêtes de la Banque nationale suisse
Communiqué presse Communication Case postale, CH-8022 Zurich Téléphone +41 44 631 31 11 communications@snb.ch Zurich, le 19 juin 2014 Les banques suisses 2013 Résultats s enquêtes la Banque nationale suisse
Plus en détailHausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada
Hausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada Juillet 3 Aperçu Des données récemment publiées, recueillies par Prêts bancaires aux entreprises Autorisations et en-cours (Figure ), l Association des
Plus en détailIncitants fiscaux à l épargne et piste d amélioration
Incitants fiscaux à l épargne et piste d amélioration Arnaud Marchand et Olivier Jérusalmy Réseau Financité L attirance des Belges pour le compte d épargne est loin d être fortuite. Deux facteurs principaux
Plus en détailAS Equities Opportunity Switzerland (CHF)
AS Investment Management (CHF) Rapport annuel 2011 Philosophie d investissement AS Equities - Opportunity Switzerland est un fonds long-short en actions suisses, avec une faible corrélation au marché suisse.
Plus en détailL accumulation de réserves de change est-elle un indicateur d enrichissement d une nation?
L accumulation de réserves de change est-elle un indicateur d enrichissement d une nation? Edouard VIDON Direction des Analyses macroéconomiques et de la Prévision Service des Études macroéconomiques et
Plus en détailCorrigé à l usage exclusif des experts
Procédure de qualification Assistant du commerce de détail AFP / ECONOMIE Série 2, 2012 Corrigé à l usage exclusif des experts Durée de l'épreuve : Moyens auxiliaires autorisés : 45 minutes machine à calculer
Plus en détailSimulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé
Simulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé L augmentation des salaires du personnel de l administration publique
Plus en détailChiffres-clés relatifs à la place financière suisse Mis à jour en décembre 2008
Chiffres-clés relatifs à la place financière suisse Mis à jour en décembre 2008 O:\Ifw-daten\IFW-FF\14 FinMaerkte_FinPlatzPolitik\143.2 FM CH Statistik\Publ Kennzahlen\Kennzahlen_Dezember08\Internet\Kennzahlen_CD-
Plus en détailMacroéconomie. Catherine Fuss Banque Nationale de Belgique catherine.fuss@nbb.be
Macroéconomie Catherine Fuss Banque Nationale de Belgique catherine.fuss@nbb.be Macroéconomie Monnaie Fonction de la monnaie Moyen de paiement: troc incompatible avec une forte division du travail acceptation
Plus en détailPrivilégier les actions et les emprunts d entreprise aux placements monétaires et aux emprunts d Etat AAA
Swisscanto Asset Management SA Waisenhausstrasse 2 8021 Zurich Téléphone +41 58 344 49 00 Fax +41 58 344 49 01 assetmanagement@swisscanto.ch www.swisscanto.ch Politique de placement de Swisscanto pour
Plus en détailSOMMAIRE DU LIVRET PLAN ET MINUTAGE DU PROGRAMME
2 PLAN ET MINUTAGE DU PROGRAMME SOMMAIRE DU LIVRET 3 Ce film est conçu pour être visionné dans son ensemble, mais aussi pour être utilisé sous forme de chapitres permettant une utilisation pédagogique
Plus en détailLe revenu et le pouvoir d achat
Le revenu et le pouvoir d achat Le revenu & le pouvoir d achat Le revenu d une personne est la somme d argent perçue en contrepartie du travail fourni, de ses placements, d un service rendu ou d une situation
Plus en détailL Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte
L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte Partie 3: L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte On abandonne l hypothèse d économie fermée Les échanges économiques entre pays: importants, en
Plus en détailQuel est le "bon" système de Bretton-Woods?
aoűt 9 - N 359 Quel est le "bon" système de Bretton-Woods? Le Système Monétaire International de Bretton-Woods "normal" est un système où le pays dont la monnaie s'affaiblit doit passer à une politique
Plus en détailLA GESTION DU RISQUE DE CHANGE. Finance internationale, 9 ème édition Y. Simon et D. Lautier
LA GESTION DU RISQUE DE CHANGE 2 Section 1. Problématique de la gestion du risque de change Section 2. La réduction de l exposition de l entreprise au risque de change Section 3. La gestion du risque de
Plus en détailPOURQUOI LES ETATS ET LES ENTREPRISES ONT NORMALEMENT UNE TRESORERIE NETTE NEGATIVE OU POURQUOI LES ETATS SONT NORMALEMENT EN «DEFICIT»
POURQUOI LES ETATS ET LES ENTREPRISES ONT NORMALEMENT UNE TRESORERIE NETTE NEGATIVE OU POURQUOI LES ETATS SONT NORMALEMENT EN «DEFICIT» Bernard Vallageas Faculté Jean Monnet Université Paris-Sud 54 boul.
Plus en détailInstitut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010. Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC
Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010 Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC 1. Présentation... 328 2. Méthodologie... 328 3. Définitions... 328 4. Sources de
Plus en détailà la Consommation dans le monde à fin 2012
Le Crédit à la Consommation dans le monde à fin 2012 Introduction Pour la 5 ème année consécutive, le Panorama du Crédit Conso de Crédit Agricole Consumer Finance publie son étude annuelle sur l état du
Plus en détailDans quelle mesure la baisse des taux d intérêt permet-elle de relancer la croissance?
Dans quelle mesure la baisse des taux d intérêt permet-elle de relancer la croissance? BIEN COMPRENDRE LES DOCUMENTS Document 1 m Mots clés bandes centrales baisse des taux politique monétaire lutte contre
Plus en détail2015 et l investissement en actions : la prise de risque est-elle justifiée?
Flash Stratégie Janvier 2015 2015 et l investissement en actions : la prise de risque est-elle justifiée? Jean Borjeix Paris, le 20 janvier 2015 Dans ce document nous allons tout d abord rapprocher nos
Plus en détailNotions: déflation, récession, inflation, taux d'intérêt réel, BCE, credit crunch, taux de change
TRAVAILLER SUR UN TEXTE Faire un bilan collectif à partir d'un texte sur les acquis des chapitres sur la croissance (fluctuations et crises) et mondialisation et intégration européenne Notions: déflation,
Plus en détailEco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1
Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit
Plus en détailPerspective des marchés financiers en 2014
Perspective des marchés financiers en 2014 21/01/2014 13 ième édition 1 Outil d aide à la décision : The Screener OUTIL D AIDE À LA DÉCISION : THESCREENER Des analyses sur les valeurs boursières Disponible
Plus en détailQU EST-CE QU UNE BANQUE? 1 RE PARTIE Questions et réponses sur le thème des banques
Les banques en tant qu intermédiaires financiers Qu est-ce qu une banque? Une banque est une entreprise dont l activité principale consiste à recevoir l épargne en dépôt, à accorder des crédits et à fournir
Plus en détailÉconomie, connaiss.de base Réponse 1. Économie, connaiss.de base Question 1 Affaires bancaires. Économie, connaiss.
Économie, connaiss.de base Question 1 Économie, connaiss.de base Réponse 1 Quels sont les six types de banques les plus importants? les grandes banques les banques cantonales les banques régionales/caisses
Plus en détailLES SIIC. Pierre Schoeffler Président S&Partners Senior Advisor IEIF. Étude réalisée par. Les SIIC et la retraite 1
LES SIIC et la retraite Étude réalisée par Pierre Schoeffler Président S&Partners Senior Advisor IEIF Les SIIC et la retraite 1 23 juin 2014 2 Les SIIC et la retraite La retraite est, avec l emploi et
Plus en détailUNIVERSITE CENTRALE DE TUNIS
UNIVERSITE CENTRALE DE TUNIS Examen final de la session principale en Economie Monétaire Enseignants responsables: Mr. Mustapha Benhareth & Mr. Kaies SAMET Année universitaire : 2009-2010 Durée : 2 heures
Plus en détailATELIER : Comment expliquer l instabilité de la croissance économique?
ATELIER : Comment expliquer l instabilité de la croissance économique? A_Que nous-dis le programme? NOTIONS : Fluctuations économiques, crise économique, désinflation, croissance potentielle, dépression,
Plus en détail