Dans le cadre du projet régional portant sur le logement abordable et le financement de l habitat.

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Dans le cadre du projet régional portant sur le logement abordable et le financement de l habitat."

Transcription

1 Dans le cadre du projet régional portant sur le logement abordable et le financement de l habitat. Le Ministère de l Economie et des Finances Direction du Trésor et des Finances Extérieures La Banque Mondiale Le Fonds Monétaire Arabe La Caisse Centrale de Garantie co organisent un workshop international sur le thème : «LE FONDS D ASSURANCE HYPOTHÉCAIRE DAMANE ASSAKANE: RETOUR D EXPERIENCE ET PERSPECTIVES FUTURES» Mardi 14 octobre 2014, Hôtel Hayatt Casablanca

2 Panel III 2 Problématique de risque et de supervision du Fonds Damane Assakane M. Abdelkhalek GLILLAH

3 PLAN 3 DAS : Réalisations Conception des produits et management des risques Système et dispositif de gestion des risques Profil de risque et appréciation Axes d amélioration et recommandations

4 Damane Assakane Réalisations 4 15% de la production des crédits à l habitat en % des bénéficiaires en MMDH d encours garantis à ce jour 19 MMDH d encours de crédits à ce jour bénéficiaires cumulés

5 Conception des produits et management des risques 5 instrument de garantie lancé en 2004 cible initialement scindée en deux groupes : populations disposant d un revenu irrégulier et fonctionnaires revue du mécanisme en 2009 : un seul support financier et produits adaptés à chaque cible Un seul Fonds DAS et 3 produits Cible : large frange des populations souhaitant accéder à la propriété, constituée principalement des ménages à revenu faible, modeste ou irrégulier.

6 Conception des produits et management des risques 6 Paramétrage fondé sur le partage et la diversification des risques : partage des risques avec les banques (asymétrie voulue) conditions génériques et modalités compatibles avec celles des ECs ouverture à une large population répartie sur l ensemble des régions du pays Présentant des limites prudentielles intrinsèques : Taux d intérêt fixe Montant maximum du crédit fixé par cible

7 Conception des produits et management des risques 7 Politique de distribution : dématérialisation et célérité SI Banques et CCG arrimés délais de traitement quasi-instantané traitement entièrement automatisé processusamorcéparlesbanques suivi allégé indemnisation des banques dématérialisée Instrument continuellement adapté aux besoins Politique entièrement alignée sur la pratique bancaire Mais cible potentiellement risquée

8 Stratégique Instances de gouvernance et de surveillance des risques 8 Conseil d Administration Approbation de la Politique Globale de Gestion des Risques Surveillance Comité de Direction Suivi de l activité de la CCG Comité d Audit Veille sur la qualité du dispositif de contrôle interne Comité de suivi du Fonds DAS Suivi régulier de l activité du Fonds DAS (MEF, habitat, CCG, Banques, Promoteurs ) Comité de surveillance des risques Suivi périodique des risques ( crédit, marché et opérationnel) Opérationnel Comités internes opérationnels Octroi, Mise en jeu et évaluation des provisions

9 Système et dispositif de management des risques 9 Objectifs renforcer et pérenniser le rôle de la garantie institutionnelle améliorer les capacités de gestion de l information mesurer et évaluer la perte attendue, la perte inattendue et la perte finale surveiller l adéquation des engagements et des «fonds propres»

10 Processus Système et dispositif de management des risques 10 collecter continuellement les informations des crédits via SI agréger, consolider, analyser et modéliser piloter : actions sur les facteurs du risque Octroi Suivi et modification Mise en jeu Recouvrement Engagements DAS constitués de sous portefeuilles des crédits à l habitat octroyés par les banques partenaires

11 Système et dispositif de management des risques 11 Cartographie Métiers apports qualitatifs Méthodes scoring/rating Risque de crédit Défaillance (PD) Sévérité (LGD) Exposition (EAD) ENGAGEMENT Contribution aux pertes (EL & UL) PORTEFEUILLE Distribution des pertes (VaR) Octroi Suivi MEJG Recouvrement Suivi et sinistralité Pilotage des Fonds Effet multiplicateur Risque Marché Taux, ALM, Partie opérationnelle au service des métiers Partie décisionnelle pour le pilotage de l activité Risque opérationnel: Cartographie EAD: Exposition au moment du défaut PD: Probabilité défaillance LGD: Pertes en cas de default EL & UL: Expected and Unexpected Loss VaR: Value at Risk

12 Système et dispositif de management des risques 12 Cycle d analyse du risque de crédit Processus d octroi Processus de suivi Pilotage Demande Scoring Calibrage EAD PD LGD Modèle LGD Provisions PDxLGDxEAD Distribution PERTES Finale / Maximale VaR Risque crédit Coefficient d engagement Surveillance à priori Surveillance à postériori Adéquation

13 Système et dispositif de management des risques 13 Système de scoring Variables discriminantes potentielles Profil bénéficiaire Age Genre Ville de résidence Type logement actuel Nombre de personnes à charges Profession Ancienneté bancaire Caractéristiques du crédit Durée Type de produit Apport Personnel Montant de crédit Engagement Quotité de garantie Objet du crédit Caractéristiques du bien Prix du bien Superficie Variables finales formant le modèle de Scoring D.A.S Profil bénéficiaire Profession Ville de résidence Type logement actuel Ancienneté bancaire Caractéristiques du crédit Engagement Durée Caractéristiques du bien Prix du bien

14 Profil de risque et appréciation 14 3,5% 3,0% 2,5% 2,0% 1,5% 1,0% 0,5% Trend croissant T.baissier T. pré-stabilisation 0,0% 0 an 1 an 2 ans 3 ans 4 ans 5 ans 6 ans 7 ans 8 ans ,8% Taux de sinistralité cumulée FOGARIM DAS 5,5% 5,7% 4,0% 4,6% 5,0% Fin 2012 Fin 2013 Fin Juin 2014 Taux sinistralité 12% 10% 8% 6% 4% 2% 0% 0 an 1 an 2 ans Profil générationnel 3 ans 4 ans 5 ans 6 ans 7 ans 8 ans Age de la génération

15 sinistralité en deçà des prévisions Profil de risque et appréciation Fonds solidement doté à même de faire face aux mise en jeu de la garantie stress testing concluant même sous hypothèse d une sinistralité double de celle observée connaissance meilleure du profil de la contrepartie au niveau des parties prenantes dans la gestion de DAS, totalement inconnue au moment du lancement du mécanisme Atouts positifs : Large répartition géographique et contrepartie relativement diversifiée Différents ECs impliqués granularité des engagements fines (200 KDH contre 350 KDH moy. gle.) Paramétrage limitant l incertain 15

16 Support opérationnel Axes d amélioration et recommandations 16 Explorer d autres modes d octroi opportunité du «portefeuille» Connecter davantage les systèmes d information des partenaires. Mutualiser les outils de la gestion des risques. Supervision Opportunité d adopter des règles de provisionnement plus adéquates à la nature de la cible et au fonctionnement du Fonds. Opportunité de mettre en place des règles prudentielles spécifiques.

17 Axes d amélioration et recommandations 17 Management des risques Développer un modèle de stress testing conforme aux directives BKAM Intégrer le risque systémique Financement Diversifier les ressources du Fonds Pricing du risque et son partage entre les parties prenantes modulation de la quotité ou durée de la garantie

18 MERCI POUR VOTRE ATTENTION Tél Fax Site Web: ccg@ccg.ma 18

La mesure et la gestion des risques bancaires : Bâle II et les nouvelles normes comptables

La mesure et la gestion des risques bancaires : Bâle II et les nouvelles normes comptables La mesure et la gestion des risques bancaires : Bâle II et les nouvelles normes comptables Cycle de Conférence à la Cour de Cassation 21 février 2005 Alain Duchâteau Directeur de la Surveillance Générale

Plus en détail

Links Consulting. Support de présentation. L expertise métier au service de la transformation et de la performance

Links Consulting. Support de présentation. L expertise métier au service de la transformation et de la performance Links Consulting L expertise métier au service de la transformation et de la performance Support de présentation Dans quels domaines nos experts de la transformation accompagneront votre entreprise à vos

Plus en détail

CMP: Culture, Mesure et Pilotage des Risques

CMP: Culture, Mesure et Pilotage des Risques CMP: Culture, Mesure et Pilotage des Risques Abidjan, 24 avril 2014 Agenda Date: Jeudi 24 avril 2014, 18h00-21h00 Conférence débat dinatoire Lieux: Hôtel Tiama Abidjan Plateau Salle EBENE 18h00-18h30 18h30-18h45

Plus en détail

Solution de stress test Moody s Analytics

Solution de stress test Moody s Analytics Solution de stress test Moody s Analytics Solution de stress test Moody s Analytics Moody s Analytics propose aux établissements financiers une couverture exhaustive de l intégralité du processus de stress

Plus en détail

ANALYSE DU RISQUE DE CRÉDIT

ANALYSE DU RISQUE DE CRÉDIT ANALYSE DU RISQUE DE CRÉDIT Banque & Marchés Cécile Kharoubi Professeur de Finance ESCP Europe Philippe Thomas Professeur de Finance ESCP Europe TABLE DES MATIÈRES Introduction... 15 Chapitre 1 Le risque

Plus en détail

25 / 06 / 2008 APPLICATION DE LA RÉFORME BÂLE II

25 / 06 / 2008 APPLICATION DE LA RÉFORME BÂLE II 25 / 06 / 2008 APPLICATION DE LA RÉFORME BÂLE II Avertissement Cette présentation peut comporter des éléments de projection et des commentaires relatifs aux objectifs et à la stratégie de la Société Générale.

Plus en détail

Capital réglementaire et capital économique

Capital réglementaire et capital économique MURIEL TIESSET Secrétariat général de la Commission bancaire Direction de la Surveillance générale du système bancaire Service des Études bancaires PHILIPPE TROUSSARD Secrétariat général de la Commission

Plus en détail

Comment piloter une entreprise d assurance IARD sous Solvabilité II?

Comment piloter une entreprise d assurance IARD sous Solvabilité II? Comment piloter une entreprise d assurance IARD sous Solvabilité II? Journées IARD de l Institut des Actuaires Les nouveaux défis de l assurance IARD liés à Solvabilité II 11 avri l 2012 Gildas Robert,

Plus en détail

Présentation à l EIFR. 25 mars 2014

Présentation à l EIFR. 25 mars 2014 Présentation à l EIFR 25 mars 2014 1 Contexte BCBS 239 Les établissements font face depuis les cinq dernières années aux nombreux changements réglementaires visant à renforcer la résilience du secteur:

Plus en détail

G r o u p. Risk Management. Plate-forme décisionnelle Gestion du Risque Bâle III. Février 2013. Mars-Avril 2013 AIS

G r o u p. Risk Management. Plate-forme décisionnelle Gestion du Risque Bâle III. Février 2013. Mars-Avril 2013 AIS Risk Management Plate-forme décisionnelle Gestion du Risque Bâle III Février 2013 Mars-Avril 2013 Agenda Date: 2013 Lieux: Siège de l APSF (95 Boulevard Abdelmoumen Casablanca) 9h00-9h30 Accueil des participants

Plus en détail

Crédit et risque. Profil de risque de l entreprise. 1. Quelle est la signification du terme «crédit»? 2. Comment un crédit est-il conclu?

Crédit et risque. Profil de risque de l entreprise. 1. Quelle est la signification du terme «crédit»? 2. Comment un crédit est-il conclu? Crédit et risque Profil de risque de l entreprise 1. Quelle est la signification du terme «crédit»? Petit Robert : confiance qu inspire quelqu un ou quelque chose, opération par laquelle une personne met

Plus en détail

Banque Zag. Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation. 31 décembre 2013

Banque Zag. Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation. 31 décembre 2013 Banque Zag Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation 31 décembre 2013 Le présent document présente les informations au titre du troisième pilier que la Banque Zag (la «Banque») doit communiquer

Plus en détail

1 Assurance hypothécaire, caution, fonds de garantie : le cas de la SGFGAS

1 Assurance hypothécaire, caution, fonds de garantie : le cas de la SGFGAS Atelier Damane Assakane 1 Assurance hypothécaire, caution, fonds de garantie : le cas de la SGFGAS 2 Education financière et maîtrise du risque de l accession à la propriété : l expérience de l ANIL Bernard

Plus en détail

Références. Les contacts Opti-Décision en relation avec cette présentation sont: Johann Grennepois Gérant

Références. Les contacts Opti-Décision en relation avec cette présentation sont: Johann Grennepois Gérant Les contacts Opti-Décision en relation avec cette présentation sont: Références Johann Grennepois Gérant johann.grennepois@opti-decision.fr Tél: +33 (0)2 40 79 59 45 Port: +33 (0)6 83 78 74 70 Opti-Décision

Plus en détail

Atelier sur la stratégie de compétitivité et du Développement du Secteur Privé. Mécanismes de financement de l entreprise en Tunisie

Atelier sur la stratégie de compétitivité et du Développement du Secteur Privé. Mécanismes de financement de l entreprise en Tunisie République Tunisienne Ministère des Finances Atelier sur la stratégie de compétitivité et du Développement du Secteur Privé Mécanismes de financement de l entreprise en Tunisie Zouari Maher Directeur de

Plus en détail

GLOSSAIRE. ASSURÉ Personne dont la vie ou la santé est assurée en vertu d une police d assurance.

GLOSSAIRE. ASSURÉ Personne dont la vie ou la santé est assurée en vertu d une police d assurance. GLOSSAIRE 208 RAPPORT ANNUEL 2013 DU MOUVEMENT DESJARDINS GLOSSAIRE ACCEPTATION Titre d emprunt à court terme et négociable sur le marché monétaire qu une institution financière garantit en faveur d un

Plus en détail

Le risque opérationnel - Journées IARD de l'institut des Actuaires

Le risque opérationnel - Journées IARD de l'institut des Actuaires Le risque opérationnel - Journées IARD de l'institut des Actuaires 1 er a v r i l 2 0 1 1 Dan Chelly Directeur Métier "Risk management, Audit et Contrôle interne" SOMMAIRE Partie 1 Définition des risques

Plus en détail

Quantification des Risques

Quantification des Risques Quantification des Risques Comment considérer les aléas dans une projection financière? PragmaRisk met à disposition des solutions et des méthodes permettant de considérer les aléas dans vos projections

Plus en détail

Association Française des Trésoriers d Entreprise

Association Française des Trésoriers d Entreprise Association Française des Trésoriers d Entreprise La société et l équipe «LORE Finance» est une structure dédiée, spécialisée dans la gestion de Trésorerie pour les PME, PMI et Grandes Entreprises. Gestion

Plus en détail

AVIS DE CONVOCATION A L ASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRE. Le Mercredi 02 Avril 2014, à 10 Heures A TITRE ORDINAIRE

AVIS DE CONVOCATION A L ASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRE. Le Mercredi 02 Avril 2014, à 10 Heures A TITRE ORDINAIRE AVIS DE CONVOCATION A L ASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRE Les actionnaires du Crédit Immobilier et Hôtelier sont convoqués au siège social, 187, avenue Hassan II Casablanca, en Assemblée Générale Ordinaire

Plus en détail

Quels liens entre les modèles et la réalité? Mathilde Jung Université d été / Lundi 9 Juillet 2012 AG2R LA MONDIALE

Quels liens entre les modèles et la réalité? Mathilde Jung Université d été / Lundi 9 Juillet 2012 AG2R LA MONDIALE Quels liens entre les modèles et la réalité? Mathilde Jung Université d été / Lundi 9 Juillet 2012 AG2R LA MONDIALE Solvabilité 2, une réforme en 3 piliers Les objectifs : Définir un cadre harmonisé imposant

Plus en détail

Catalogue de Formations 2014

Catalogue de Formations 2014 Catalogue de Formations 2014 Basé à Paris, le cabinet AZERRISK Advantage vous propose des accompagnements multiples : formation, conseil sur place et à distance ainsi que la mise en place de solutions

Plus en détail

Les établissements de crédit et la communication financière

Les établissements de crédit et la communication financière Les établissements de crédit et la communication financière INTRODUCTION La montée récente de certains risques (risques-pays, risques sur les entreprises) a souligné l importance pour les grands groupes

Plus en détail

LIGNE DIRECTRICE SUR LA GESTION DU RISQUE DE TAUX D INTÉRÊT

LIGNE DIRECTRICE SUR LA GESTION DU RISQUE DE TAUX D INTÉRÊT LIGNE DIRECTRICE SUR LA GESTION DU RISQUE DE TAUX D INTÉRÊT Avril 2009 Table des matières Préambule...3 Introduction...4 Champ d application...5 Entrée en vigueur et processus de mise à jour...6 1. Risque

Plus en détail

La surveillance prudentielle des institutions de dépôt

La surveillance prudentielle des institutions de dépôt La surveillance prudentielle des institutions de dépôt Journée des carrières de PRMIA Montréal Présentée par : Gouro Sall Diagne Mardi 17 mars 2015 Autorité des marchés financiers AGENDA L AUTORITÉ DES

Plus en détail

Bâle II et le traitement du risque de crédit PME

Bâle II et le traitement du risque de crédit PME Bâle II et le traitement du risque de crédit PME [Auteurs : Said LOTFI (Doctorant) & Tarik QUAMAR (Professeur)] Introduction : La problématique de financement des PME porte souvent sur l étude des différents

Plus en détail

Systèmes de garantie hypothécaire: Problèmatique et pratiques internationales

Systèmes de garantie hypothécaire: Problèmatique et pratiques internationales LE FONDS D ASSURANCE HYPOTHÉCAIRE DAMANE ASSAKANE : RETOUR D EXPERIENCE ET PERSPECTIVES FUTURES Atelier International du Ministère de l Economie et des Finances avec le concours de la Banque Mondiale et

Plus en détail

ESSEC. Cours «Management bancaire» Séance 3 Le risque de crédit

ESSEC. Cours «Management bancaire» Séance 3 Le risque de crédit ESSEC Cours «Management bancaire» Séance 3 Le risque de crédit Plan de la séance 3 : Le risque de crédit (1) Les opérations de crédit Définition d un crédit La décision de crédit Les crédits aux petites

Plus en détail

Références des missions en Gestion des Risques

Références des missions en Gestion des Risques Références des missions en Gestion des Risques DIRECTION DES RISQUES Service Calculs, Modèles et Reporting Depuis janvier 2011, ALGOFI accompagne la Direction des Risques sur la maîtrise d ouvrage bancaire

Plus en détail

Gestion des risques de crédit. Termes de référence (TDR)

Gestion des risques de crédit. Termes de référence (TDR) Séminaire de formation Gestion des risques de crédit organisé par la Banque centrale des Comores (BCC) à l attention des cadres des banques de la place de Moroni Termes de référence (TDR) 1. Contexte La

Plus en détail

Le produit diversifié comme nouvelle solution d Epargne

Le produit diversifié comme nouvelle solution d Epargne Le produit diversifié comme nouvelle solution d Epargne Congrès Institut des Actuaires 2013 Jean-Pierre DIAZ, BNP Paribas Cardif Emmanuelle LAFERRERE, BNP Paribas Cardif Gildas ROBERT, Optimind Winter

Plus en détail

Le Data Risk Center. Plateforme de pilotage et de gestion des risques Pilier I de la directive Solvabilité II

Le Data Risk Center. Plateforme de pilotage et de gestion des risques Pilier I de la directive Solvabilité II Le Data Risk Center Plateforme de pilotage et de gestion des risques Pilier I de la directive Solvabilité II Sommaire Le conseil en Risk Management 1) Le projet Solvabilité II Objectifs et moyens à mettre

Plus en détail

Comité de Bâle sur le contrôle bancaire. Document consultatif. Orientations

Comité de Bâle sur le contrôle bancaire. Document consultatif. Orientations Comité de Bâle sur le contrôle bancaire Document consultatif Orientations Lignes directrices relatives à la comptabilisation des pertes de crédit attendues Aux fins de consultation d ici au 30 avril 2015

Plus en détail

Réforme du Code des assurances :

Réforme du Code des assurances : Réforme du Code des assurances : orienter l épargne des Français vers les entreprises Pierre Moscovici, ministre de l économie et des finances «Une des priorités de mon action est de réconcilier l épargne

Plus en détail

LE REFINANCEMENT PAR LE MARCHE HYPOTHECAIRE

LE REFINANCEMENT PAR LE MARCHE HYPOTHECAIRE LE REFINANCEMENT PAR LE MARCHE HYPOTHECAIRE J O U R N É E S A J B E F N I A M E Y M A I 2 0 1 2 P R É S E N T É P A R M R D A O B A B A ( F G H M. S A / M A L I ) Préambule L objectif de la présente communication

Plus en détail

Comité de Bâle sur le contrôle bancaire. Nouvel accord de Bâle sur les fonds propres. Document soumis à consultation

Comité de Bâle sur le contrôle bancaire. Nouvel accord de Bâle sur les fonds propres. Document soumis à consultation Comité de Bâle sur le contrôle bancaire Document soumis à consultation Nouvel accord de Bâle sur les fonds propres Pour commentaires jusqu au 31 juillet 2003 Avril 2003 Sommaire Partie 1 : Champ d application...

Plus en détail

Les défis du reporting macro-prudentiel

Les défis du reporting macro-prudentiel Les défis du reporting macro-prudentiel EIFR 25 mars 2014 Bruno LONGET Banque de France Direction de la Balance des paiements Réf : D14-014 Introduction : pourquoi renforcer le dispositif de surveillance

Plus en détail

Communication financière

Communication financière Communication financière Résultats au 30 / 06 / 2014 COMPTES CONSOLIDES AU 30/06/2014 En application de la circulaire n 56/G/2007 émise par Bank Al Maghrib en date du 08 octobre 2007, notamment l article

Plus en détail

Bâle II ou la définition d un langage commun

Bâle II ou la définition d un langage commun Ryozo Himino 1 +41 61 280 9249 baselcommittee@bis.org Bâle II ou la définition d un langage commun Le nouveau dispositif d adéquation des fonds propres, Bâle II, définit un langage commun qui améliorera

Plus en détail

EVOLUTION DE L'ÂGE DE LA RETRAITE : IMPACT SUR LES RÉGIMES PRÉVOYANCE (Régimes collectifs de salariés)

EVOLUTION DE L'ÂGE DE LA RETRAITE : IMPACT SUR LES RÉGIMES PRÉVOYANCE (Régimes collectifs de salariés) EVOLUTION DE L'ÂGE DE LA RETRAITE : IMPACT SUR LES RÉGIMES PRÉVOYANCE (Régimes collectifs de salariés) Journées d études de l Institut des Actuaires et du SACEI Deauville 20 septembre 2012 par Anne DECREUSEFOND

Plus en détail

RESULTATS ET ACTIVITE DE LA BANQUE POSTALE 1 ER SEMESTRE 2015

RESULTATS ET ACTIVITE DE LA BANQUE POSTALE 1 ER SEMESTRE 2015 COMMUNIQUÉ DE PRESSE Paris, le 30 juillet 2015 RESULTATS ET ACTIVITE DE LA BANQUE POSTALE 1 ER SEMESTRE 2015 Croissance des résultats opérationnels Produit Net Bancaire : 2 929 millions d euros (+ 2.9

Plus en détail

BI CONSULTING. Présentation de l offre. Mai 2013. La Synthèse et le Pilotage en réponse aux besoins des métiers

BI CONSULTING. Présentation de l offre. Mai 2013. La Synthèse et le Pilotage en réponse aux besoins des métiers Présentation de l offre BI CONSULTING La Synthèse et le Pilotage en réponse aux besoins des métiers Mai 2013 Valeur ajoutée 100% Banque Assurance 100% Systèmes de synthèse & de pilotage Des expertises

Plus en détail

EXTRAIT DE LA COMMUNICATION FINANCIÈRE AU 30 JUIN 2012

EXTRAIT DE LA COMMUNICATION FINANCIÈRE AU 30 JUIN 2012 EXTRAIT DE LA COMMUNICATION FINANCIÈRE AU 30 JUIN 2012 Crédit du Maroc Société Anonyme à Directoire et Conseil de Surveillance Siège social : 4858 Bd Mohammed V Casablanca Capital 890.380.300,00 DH Téléphone

Plus en détail

PRESENTATION STRATEGIQUE

PRESENTATION STRATEGIQUE Programme «Accidents du travail Maladies professionnelles» 7 PRESENTATION STRATEGIQUE DU PROGRAMME DE QUALITE ET D EFFICIENCE «ACCIDENTS DU TRAVAIL MALADIES PROFESSIONNELLES» La branche «accidents du travail

Plus en détail

Groupe Crédit Mutuel Arkéa Résultats annuels 2013. Avril 2014

Groupe Crédit Mutuel Arkéa Résultats annuels 2013. Avril 2014 Groupe Crédit Mutuel Arkéa Résultats annuels 2013 Avril 2014 Avertissement Ce document peut comporter des éléments de projection et des commentaires relatifs aux objectifs et à la stratégie du Crédit Mutuel

Plus en détail

RISQUES BANCAIRES ET ENVIRONNEMENT INTERNATIONAL

RISQUES BANCAIRES ET ENVIRONNEMENT INTERNATIONAL RISQUES BANCAIRES ET ENVIRONNEMENT INTERNATIONAL La stabilité et la solvabilité du système bancaire sont une condition sine qua non pour le bon fonctionnement du système financier. Afin d adapter et d

Plus en détail

Crédit Agricole CIB. Année 2014. Le présent rapport est établi conformément à l'article 450 du règlement (UE) N 575/2013 du 26 juin 2013.

Crédit Agricole CIB. Année 2014. Le présent rapport est établi conformément à l'article 450 du règlement (UE) N 575/2013 du 26 juin 2013. Crédit Agricole CIB Rapport annuel relatif à la politique et aux pratiques rémunération s personnes définies à l article L. 511-71 du co monétaire et financier et en application du règlement délégué (UE)

Plus en détail

Formation «Les états COREP : risques de crédit»

Formation «Les états COREP : risques de crédit» Adapté Bâle III Formation «Les états COREP : risques de crédit» REFERENCE : 409 1. Objectif général Permettre à tout participant de se familiariser avec les états COREP relatifs au risque de crédit. Comprendre

Plus en détail

Allocution de Monsieur le Ministre à l occasion du 1 er meeting sur l information financière

Allocution de Monsieur le Ministre à l occasion du 1 er meeting sur l information financière Royaume du Maroc المملكة المغربية Direction du Trésor et des finances Extérieures مديرية الخزينة و المالية الخارجية Allocution de Monsieur le Ministre à l occasion du 1 er meeting sur l information financière

Plus en détail

Banque le Choix du Président

Banque le Choix du Président Page 1 de 15 Banque le Choix du Président INFORMATIONS À FOURNIR AU TITRE DU 3 e PILIER DE L ACCORD DE BÂLE III 30 juin 2014 Page 2 de 15 Table des matières Table des matières... 2 TABLEAU 1 APERÇU ET

Plus en détail

Les placements des organismes d assurance à fin 2012

Les placements des organismes d assurance à fin 2012 Les placements des organismes d assurance à fin 212 Gaël HAUTON Secrétariat général de l Autorité de contrôle prudentiel et de résolution Direction des Études Omar BIROUK et Alain Nicolas BOULOUX Direction

Plus en détail

La cotation Banque de France

La cotation Banque de France ENTREPRISES PROFESSION BANCAIRE La cotation Banque de France Guide de référence 2011 Une référence pour le dialogue entre la banque et l entreprise Sommaire LA COTATION BANQUE DE FRANCE 1.1. UNE COTATION

Plus en détail

CALCUL D UN SCORE ( SCORING) Application de techniques de discrimination LES OBJECTIFS DU SCORING

CALCUL D UN SCORE ( SCORING) Application de techniques de discrimination LES OBJECTIFS DU SCORING CALCUL D UN SCORE ( SCORING) Application de techniques de discrimination LES OBJECTIFS DU SCORING SÉLECTION DES RISQUES PRÉVISION DES DÉFAUTS SUIVI ET CONTRÔLE Pierre-Louis GONZALEZ Différents types de

Plus en détail

LIFE MOBILITY. épargne patrimoniale

LIFE MOBILITY. épargne patrimoniale épargne patrimoniale LIFE MOBILITY evolution UN CONTRAT D ASSURANCE VIE ÉMIS AU GRAND-DUCHÉ DU LUXEMBOURG AU SERVICE DE LA MOBILITÉ PARCE QUE VOUS SOUHAITEZ Un contrat sur-mesure pour une stratégie patrimoniale

Plus en détail

Comptes et plans d épargne-logement

Comptes et plans d épargne-logement Page 1 of 6 Alerte Banques n 2 - avril 2006 ARCHIVES I IMPRIMER Comptes et plans d épargne-logement L avis du CNC relatif à la comptabilisation des CEL et PEL pose le principe suivant : les conséquences

Plus en détail

Mémo technique MODELES GENERIQUES DE SCORE DE CREDIT ou Le scoring de crédit «prêt à l emploi»

Mémo technique MODELES GENERIQUES DE SCORE DE CREDIT ou Le scoring de crédit «prêt à l emploi» Mémo technique MODELES GENERIQUES DE SCORE DE CREDIT ou Le scoring de crédit «prêt à l emploi» 46, rue de la Tour 75116 Paris tél. (33) 01 73 00 55 00 fax (33) 01 73 00 55 01 www.softcomputing.com Sommaire

Plus en détail

Le métier d actuaire IARD

Le métier d actuaire IARD JJ Mois Année Le métier d actuaire IARD Journées Actuarielles de Strasbourg 6-7 octobre 2010 PLAN Présentation de l assurance non vie Le rôle de l actuaire IARD La tarification des contrats L évaluation

Plus en détail

Ordonnance relative à la loi fédérale sur la Banque nationale suisse

Ordonnance relative à la loi fédérale sur la Banque nationale suisse Ordonnance relative à la loi fédérale sur la Banque nationale suisse (Ordonnance de la Banque nationale, OBN) Modification du 7 mai 2014 La Banque nationale suisse arrête: I L ordonnance du 18 mars 2004

Plus en détail

3C HAPITRE. 56 Les actifs financiers des résidents 58 Les passifs financiers des résidents 62 La masse monétaire et ses contreparties

3C HAPITRE. 56 Les actifs financiers des résidents 58 Les passifs financiers des résidents 62 La masse monétaire et ses contreparties IEOM RAPPORT ANNUEL 2008 3C HAPITRE 56 Les actifs financiers des résidents 58 Les passifs financiers des résidents 62 La masse monétaire et ses contreparties 54 3 < L ÉVOLUTION MONÉTAIRE EN 2008 L ÉVOLUTION

Plus en détail

TARIFICATION EN ASSURANCE COMPLEMENTAIRE SANTE: il était une fois, un statisticien, un actuaire, un économiste de la santé

TARIFICATION EN ASSURANCE COMPLEMENTAIRE SANTE: il était une fois, un statisticien, un actuaire, un économiste de la santé TARIFICATION EN ASSURANCE COMPLEMENTAIRE SANTE: il était une fois, un statisticien, un actuaire, un économiste de la santé Plan de l intervention 1 2 3 Généralités sur le fonctionnement de l assurance

Plus en détail

Jean-Francois DECROOCQ - 03/01/2012

Jean-Francois DECROOCQ - 03/01/2012 www.varm.fr Solvabilité 2 commentaires sur l ORSA Jean-Francois DECROOCQ - 03/01/2012 Sommaire Introduction... 2 Principes pour une gestion intégrée des risques... 3 La mise en place de l ORSA... 5 Introduction

Plus en détail

Royaume du Maroc. Direction des Etudes et des Prévisions Financières

Royaume du Maroc. Direction des Etudes et des Prévisions Financières Royaume du Maroc Direction des Etudes et des Prévisions Financières Le crédit à la consommation en pleine mutat i o n Mars 2008 http://www.finances.gov.ma/depf/depf.htm Boulevard Mohamed V. Quartier Administratif,

Plus en détail

Les évolutions de la régulation et de la supervision bancaires. Rappel historique et problématiques post crise

Les évolutions de la régulation et de la supervision bancaires. Rappel historique et problématiques post crise Les évolutions de la régulation et de la supervision bancaires Rappel historique et problématiques post crise 1/ Rappel historique a) Étape 1 Régulation issue du Comité de Bâle Bâle 1 «ratio Cooke» 1988-8%

Plus en détail

Rapport intermédiaire. Comptes du Groupe au 30 juin 2015

Rapport intermédiaire. Comptes du Groupe au 30 juin 2015 Rapport intermédiaire Comptes du Groupe au 30 juin 2015 2 Message des présidents En présentant de très bons résultats semestriels dans un environnement global incertain, la BCV démontre une nouvelle fois

Plus en détail

L ORSA : quelles conséquences sur le pilotage stratégique de l entreprise?

L ORSA : quelles conséquences sur le pilotage stratégique de l entreprise? Conseil en Organisation et Management secteur assurance L ORSA : quelles conséquences sur le pilotage stratégique de l entreprise? 24 novembre 2010 Sommaire Ce qui se dit sur l ORSA L ORSA et le modèle

Plus en détail

un environnement économique et politique

un environnement économique et politique Vision d un économiste sur le risque agricole et sa gestion un sol un climat un environnement économique et politique Jean Cordier Professeur Agrocampus Ouest Séminaire GIS GC HP2E Prise en compte du risque

Plus en détail

Anticiper. Définir. mesurer. optimiser DE GAMMA - ARCOLE RH DE GAMMA. arcole rh. Gestion de la Paie et des Ressources Humaines

Anticiper. Définir. mesurer. optimiser DE GAMMA - ARCOLE RH DE GAMMA. arcole rh. Gestion de la Paie et des Ressources Humaines Définir Analyser planifier optimiser mesurer Anticiper 01 DE GAMMA arcole rh T Gestion de la Paie et des Ressources Humaines Accélérateur de Performance Métier L optimisation de la productivité de votre

Plus en détail

Projet de recommandations pour la maîtrise du risque de modèle

Projet de recommandations pour la maîtrise du risque de modèle V08-06 INSTITUT DES ACTUAIRES Commission modélisation vie épargne Août 2006 Projet de recommandations pour la maîtrise du risque de modèle Ce document a pour objet de recenser les principes d organisation

Plus en détail

Une banque engagée et responsable

Une banque engagée et responsable Une banque engagée et responsable Chiffres clés juin 2014 www.bmci.ma C hiffres clés au 30 juin 2014 Un résultat avant impôt du premier semestre 2014 en progression par rapport au second semestre 2013

Plus en détail

Opportunités offertes à l Assurance par la banque d affaires

Opportunités offertes à l Assurance par la banque d affaires Opportunités offertes à l Assurance par la banque d affaires Présentation : Banque Régionale de Marchés (BRM) Assemblée Générale Annuelle FANAF Février 2011, Dakar LA BRM EN QUELQUES MOTS Première banque

Plus en détail

Practice Finance & Risk Management BCBS 239 enjeux et perspectives. Equinox-Cognizant, tous droits réservés. 2014.

Practice Finance & Risk Management BCBS 239 enjeux et perspectives. Equinox-Cognizant, tous droits réservés. 2014. Practice Finance & Risk Management BCBS 239 enjeux et perspectives 2014 Contexte du BCBS 239 2 Une nouvelle exigence Les Principes aux fins de l agrégation des données sur les et de la notification des

Plus en détail

1. Le risque de contrepartie

1. Le risque de contrepartie 1. Le risque de contrepartie 1.1. Définition : 1.1.1. Au sens étroit : Tout crédit est une anticipation de recettes futures (crédit = pari sur la réussite du projet de l emprunteur). Tout crédit comporte

Plus en détail

Introduction Fabrice Pesin, Secrétaire général adjoint de l ACP

Introduction Fabrice Pesin, Secrétaire général adjoint de l ACP Introduction Fabrice Pesin, Secrétaire général adjoint de l ACP Banque de France - Autorité de Contrôle Prudentiel Sommaire 1 ère partie : le contrôle des systèmes d information par l ACP : objectifs,

Plus en détail

1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9.

1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. Rapport Pilier 3 Informations au 31 décembre 2012 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. INTRODUCTION...1 adéquation DES FONDS PROPRES...7 POLITIQUE DE GESTION DES FONDS PROPRES ET DES RISQUES.... 17 RISQUE DE CRÉDIT

Plus en détail

NOTICE D INFORMATION

NOTICE D INFORMATION FCP A FORMULE PULPAVIE NOTICE D INFORMATION Forme Juridique de l'opcvm : F.C.P. Etablissements désignés pour recevoir les souscriptions et les rachats : Agences des CAISSES REGIONALES de CREDIT AGRICOLE,

Plus en détail

La Garantie Financière CGCIPME. Rôle de la CGCI dans la facilitation du financement de la création et du développement de la PME

La Garantie Financière CGCIPME. Rôle de la CGCI dans la facilitation du financement de la création et du développement de la PME La Garantie Financière CGCIPME Rôle de la CGCI dans la facilitation du financement de la création et du développement de la PME Mostaganem le 17 et 18 novembre 2014 Présentation sommaire de la CGCI-Pme

Plus en détail

Gestion budgétaire et financière

Gestion budgétaire et financière Élaboration et suivi de la programmation budgétaire Exécution budgétaire et comptable Aide au pilotage et contrôle financier externe Expertise financière et juridique Ministère de la Culture et de la Communication

Plus en détail

Études. Des effets de la réglementation des produits d épargne sur le comportement de placement des ménages

Études. Des effets de la réglementation des produits d épargne sur le comportement de placement des ménages Des effets de la réglementation des produits d épargne sur le comportement de placement des ménages Depuis 25 ans, la structure de l épargne financière des ménages a été singulièrement modifiée par l essor

Plus en détail

GROUPAMA Résultats annuels 2012. Présentation presse & analystes 21 février 2013

GROUPAMA Résultats annuels 2012. Présentation presse & analystes 21 février 2013 GROUPAMA Résultats annuels 2012 Présentation presse & analystes 21 février 2013 Introduction 2 «Je serai attentif à faire vivre un mutualisme moderne : qui s appuie sur un modèle d engagement et de responsabilité

Plus en détail

Mise en place du Mécanisme de Supervision Unique (MSU)

Mise en place du Mécanisme de Supervision Unique (MSU) Mise en place du Mécanisme de Supervision Unique (MSU) Mise en place du Mécanisme de Supervision Unique (MSU) 1. Le MSU est l un des piliers de l Union bancaire européenne 2. La mise en œuvre opérationnelle

Plus en détail

La Banque de France. 1- Les activités de la Banque de France p. 3. 2- Le système européen de banques centrales (SEBC) p. 4

La Banque de France. 1- Les activités de la Banque de France p. 3. 2- Le système européen de banques centrales (SEBC) p. 4 La Banque de France Sommaire 1- Les activités de la Banque de France p. 3 2- Le système européen de banques centrales (SEBC) p. 4 3- Les activités de la Banque et son organisation territoriale p. 5 4-

Plus en détail

Humanis PEE-PERCO. Un nouveau regard sur votre épargne salariale

Humanis PEE-PERCO. Un nouveau regard sur votre épargne salariale Humanis PEE-PERCO RETRAITE Prévoyance santé épargne Un nouveau regard sur votre épargne salariale Humanis PEE-PERCO Prendre toute la dimension de votre entreprise Parce que le bien-être de votre entreprise

Plus en détail

Définitions LES ASSURANCES DE PERSONNES. Les contrats et les garanties LES ASSURANCES EN CAS DE VIE LES ASSURANCES EN CAS DE DÉCÈS, DE MALADIE

Définitions LES ASSURANCES DE PERSONNES. Les contrats et les garanties LES ASSURANCES EN CAS DE VIE LES ASSURANCES EN CAS DE DÉCÈS, DE MALADIE Définitions LES ASSURANCES DE PERSONNES Les contrats et les garanties LES ASSURANCES EN CAS DE VIE ET LES BONS DE CAPITALISATION Assurance en cas de vie Contrat d assurance, souscrit individuellement ou

Plus en détail

LE PROCESSUS D OCTROI D UN CREDIT COMMERCIAL ET LES CRITERES DE DECISION

LE PROCESSUS D OCTROI D UN CREDIT COMMERCIAL ET LES CRITERES DE DECISION LE PROCESSUS D OCTROI D UN CREDIT COMMERCIAL ET LES CRITERES DE DECISION Marija Vukmanovic, Director, chef de secteur clientèle entreprises Office de Promotion Economique du Canton de Genève Petit-déjeuner

Plus en détail

La stratégie de l entreprise vue par une financière

La stratégie de l entreprise vue par une financière La stratégie de l entreprise vue par une financière Séminaire sur la transformation des bois résineux au Québec Laurent Pelletier, ing.f Expert-conseil Secteur des produits forestiers Québec 29 Septembre

Plus en détail

C r é d i t A g r i c o l e A t l a n t i q u e V e n d é e R A P P O R T D E G E S T I O N 2 0 1 4

C r é d i t A g r i c o l e A t l a n t i q u e V e n d é e R A P P O R T D E G E S T I O N 2 0 1 4 C r é d i t A g r i c o l e A t l a n t i q u e V e n d é e R A P P O R T D E G E S T I O N 2 0 1 4 CHIFFRES-CLES RUBRIQUES (en millions d'euros et en unités) 2014 2013 Evol 2014/2013 BILAN (données consolidées)

Plus en détail

Bienvenue dans votre FIBENligne

Bienvenue dans votre FIBENligne Bienvenue dans votre FIBENligne Retrouvez dans votre FIBENligne toutes les nouveautés FIBEN et l ensemble des services que la Banque de France met à votre disposition pour vous aider dans votre maîtrise

Plus en détail

RESULTATS ET ACTIVITE 2013 DE LA BANQUE POSTALE

RESULTATS ET ACTIVITE 2013 DE LA BANQUE POSTALE COMMUNIQUÉ DE PRESSE Paris, le 25 février 2014 RESULTATS ET ACTIVITE 2013 DE LA BANQUE POSTALE Portée par ses activités de crédits, La Banque Postale poursuit son développement et enregistre des résultats

Plus en détail

EVOLUTIONS RECENTES DU CONTRÔLE DE GESTION LOCAL. L exemple de Strasbourg

EVOLUTIONS RECENTES DU CONTRÔLE DE GESTION LOCAL. L exemple de Strasbourg 1 EVOLUTIONS RECENTES DU CONTRÔLE DE GESTION LOCAL L exemple de Strasbourg 2 Sommaire 1. Un contrôle de gestion historiquement tourné vers le contrôle des satellites 2. L essor du contrôle de gestion interne

Plus en détail

La gestion du risque chez AXA

La gestion du risque chez AXA Séminaire International de la Presse Suduiraut 21 & 22 juin 2006 La gestion du risque chez AXA François Robinet Chief Risk officer Groupe AXA Sommaire I. La Gestion du Risque : Définition D II. III. La

Plus en détail

Capital Requirement Regulation

Capital Requirement Regulation Capital Requirement Regulation Sommaire du règlement UE n 575/2013 Exigences prudentielles applicables aux établissements de crédit et entreprises d investissement La directive CRD IV et le règlement

Plus en détail

Sage 100. pour le BTP. Faites de votre gestion un levier de croissance

Sage 100. pour le BTP. Faites de votre gestion un levier de croissance Sage 100 pour le BTP Faites de votre gestion un levier de croissance Sage 100 pour le BTP Faites de votre gestion un levier de croissance Gagner des parts de marché, optimiser ses investissements, sécuriser

Plus en détail

FINANCE, COMPTABILITÉ ET CONTRÔLE DE GESTION

FINANCE, COMPTABILITÉ ET CONTRÔLE DE GESTION Sur les 149 diplômés entrant dans le champ d enquête (de nationalité française et en formation initiale), 111 ont répondu au questionnaire soit un taux de réponse de 74,5%. Diplômés étant directement entrés

Plus en détail

Solution logicielle pour le pilotage et l ERM. Journées d études IARD 26 mars 2010 2 mars 2010

Solution logicielle pour le pilotage et l ERM. Journées d études IARD 26 mars 2010 2 mars 2010 Présentation d ERMS Solution logicielle pour le pilotage et l ERM Journées d études IARD 26 mars 2010 2 mars 2010 Sommaire 1 Présentation d ACTUARIS 2 Les problématiques rencontrées 3 Présentation d ERMS

Plus en détail

AVIS DE CONVOCATION A L ASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRE SEPTIEME RESOLUTION : DEMISSION ET COOPTATION D UN ADMINISTRATEUR

AVIS DE CONVOCATION A L ASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRE SEPTIEME RESOLUTION : DEMISSION ET COOPTATION D UN ADMINISTRATEUR 31/12/2014 AVIS DE CONVOCATION A L ASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRE Les actionnaires du Crédit Immobilier et Hôtelier sont convoqués au siège social, 187, avenue Hassan II Casablanca, en Assemblée Générale

Plus en détail

Edition 2015. Nomenclatures d activités et de produits françaises NAF rév. 2 - CPF rév. 2.1 Section K Division 64

Edition 2015. Nomenclatures d activités et de produits françaises NAF rév. 2 - CPF rév. 2.1 Section K Division 64 Edition 2015 Nomenclatures d activités et de produits françaises NAF rév. 2 - CPF rév. 2.1 Section K Division 64 Section K : ACTIVITÉS FINANCIÈRES ET D ASSURANCE Cette section comprend les activités des

Plus en détail

De la mesure à l analyse des risques

De la mesure à l analyse des risques De la mesure à l analyse des risques Séminaire FFA Jean-Paul LAURENT Professeur à l'isfa jean-paul.laurent@univ-lyon1.fr http://laurent.jeanpaul.free.fr/ 0 De la la mesure à l analyse des risques! Intégrer

Plus en détail

LA GESTION INSTITUTIONNELLE SOUS MANDAT

LA GESTION INSTITUTIONNELLE SOUS MANDAT LA GESTION INSTITUTIONNELLE LA GESTION INSTITUTIONNELLE Face à la complexité de l environnement des marchés et aux exigences réglementaires sans cesse plus contraignantes, la gestion sous mandat offre

Plus en détail

Charte de contrôle interne

Charte de contrôle interne Dernière mise à jour : 05 mai 2014 Charte de contrôle interne 1. Organisation générale de la fonction de contrôle interne et conformité 1.1. Organisation Le Directeur Général de la Société, Monsieur Sébastien

Plus en détail