Plan Régional Santé Environnement Région Bretagne

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Plan Régional Santé Environnement Région Bretagne"

Transcription

1 Septembre 2009 CONTRIBUTION DUBOIS Jean François Plan Régional Santé Environnement Région Bretagne Sources : > «Guide de l habitat sain» Suzanne DEOUX édition Medieco > «Le radon en Bretagne» dossier destiné aux maires des communes de Bretagne réalisé par la DDRASS et la DDRE > Christophe ZEILAS, expert radon et remédiation VPBZ Assosicés 5 Allée du Pargo BP VANNES christophe.zeilas@free.fr DUBOIS Jean François, responsable centre de formation à l habitat sain 5 Place du Palais LA VRAIE CROIX jfdubois@habitatsain.fr

2 CONTENU A/ Le Radon risque sanitaire majeur p3 > Nature du radon > Mécanisme d action > Effets et population sensible > Limite l exposition du radon > Mesure du radon > Les valeurs guides > Synthèse B/ Radon et Bretagne p7 > Campagne de mesure réalisée en Bretagne > Synthèse C/ Contribution pour un plan régional santé environnement à l exposition au radon.p8 > Convergence Etat/Région >Plan de communication > Promotion compagne de dépistage > Former et informer les acteurs de la construction et de la distribution > Réserve D/ Annexes. p9 2

3 A/ Le Radon : un risque sanitaire majeur Nature du radon Mécanisme d action Risque sanitaire = danger x exposition x sensibilité individuelle Le radon est un gaz radioactif naturel présent dans le monde entier et particulièrement dense dans les sous sols granitique et volcanique. Il est inodore, incolore et cancérigène (groupe 1 CIRC/OMS). Le risque de développer un cancer du poumon est lié à l inhalation du radon 222 et surtout de ses descendants radioactifs (Polonium 218 et 214, Bismuth 214, Plomb 214, Polonium 210) qui sont tous très cancérigènes. Le sol est en général la cause principale de la présence de radon dans l air intérieur des habitations. On peut également le détecter dans une moindre mesure dans les matériaux de construction et dans l eau domestique (l eau qui coule du robinet dégaze son radon dans l air intérieur). Le radon 222 sous sa forme gazeuse peut investir le bâtiment en pénétrant par les fissures, trous, porosité des matériaux, matériaux creux ou vides d air. La migration de ce gaz dans l ensemble du bâtiment est accélérée par l effet de dépression (période de chauffage air chaud entraine une dépression au niveau du sol ou utilisation d une ventilation mécanique contrôlée) par l effet diffusif (déplacement du radon dans l ensemble des pièces). Les descendants du radon sont des métaux lourds (Pb, bi, Po) et sont généralement chargés électriquement et de ce fait ils s accumulent sur les poussières en suspension dans l air (aérosols). En moyenne 20% des aérosols inhalés restent dans les poumons. La décroissance radioactive des descendants du radon (3.8 jours) intervient par un bombardement de la face interne du poumon (rayonnement alpha). Effets et population sensible > 9% des cancers pulmonaires sont attribuables à une exposition prolongée au radon. C est la deuxième cause de mort par cancer du poumon. > Synergie Radon/Tabac en France on estime que le risque de contracter un cancer du poumon est multiplié de 5 à 10, études américaines X25 pour un fumeur. 3

4 > Rapport de l INVS en 2007 attribue 2937 morts au radon en France, à titre de comparaison 2000 morts pour l amiante. > Plus grande dangerosité des radiations pour les femmes enceintes (fœtus), les enfants de 6ans (système immunitaire et respiratoire en développement) > Les cancers pulmonaires imputables au radon sont déterminés par des expositions de 25 à 35 ans Limiter l exposition au radon La mesure du radon > Empêcher la radon de pénétrer dans l habitat en étanchéifiant les points d entrées (passages de canalisations ) > Diluer la concentration dans l air intérieur par une plus grande aération du bâtiment, ouvrir les fenêtres (au mois ¼ d heure), augmenter les aérations passives (réglettes, autogyre ) > Dans les endroits à forte teneur en radon : proscrire les systèmes de ventilation qui créent une dépression (type VMC). Privilégier la ventilation par insufflation ou double flux (surpression) et accroitre l étanchéité de l interface sol-bâtiment. L unité de mesure du radon s exprime en Bq/m3 (becquerel par mètre cube) qui équivaut à une désintégration d un atome de radon par seconde et par m3 ( on dispose également Bq/litre ). La mesure peut être immédiate (de quelques secondes à une minute) pratiquée par des professionnels agrées (niveau 1 et 2) avec une instrumentation coûteuse (Algade, Saphymo ) > La mesure en continu par des dosimètres passifs : - Dosirad (ex : CRIRAD 42 TTC le dosimètre) laissé pendant au moins 2 mois puis expédier au laboratoire et commenté. Si plus de 200 Bq/m3, fait appel à un organisme agrée. - Ramon 2.2 ( ex : TTC ou location 15 jours 48 TTC l appareil) permet une lecture immédiate (affichage digital) et très pédagogique. L habitant qui ouvre une fenêtre constate l impact de l aération sur la mesure. Si plus de 200 Bq/m3, fait appel à un organisme agrée. 4

5 Les valeurs guides En France Sur avis du conseil supérieur d hygiène publique et en l état des connaissances, les pouvoirs publics ont fixé le seuil d alerte à 1000 Bq/m3 et le seuil de précaution à 400 Bq/m3 ; la valeur guide de 200 Bq/m3 à été retenue pour les bâtiments à construire et par l OMS également. Directive 90/149 Euratom, décret du 6 avril 2002, circulaire du 20/12/2004. Cette réglementation s applique aux ERP (écoles, crèches, établissement de santé ) < 400 Bq/m3 Pas d action corrective De 400 à 1000 Bq/m3 Actions correctives pour revenir à 400 Bq/m3 > 1000 Bq/m3 Actions correctives immédiates et possibilité de fermeture du site par le Préfet. Aux Etats-Unis Le ministère de l environnement conseille d agir dès que la concentration de radon atteint 150 Bq/m3. L US EPA et le ministère de la santé Américain attirent l attention sur le fait de passer 80% du temps dans un bâtiment avec une concentration de radon de 200 Bq/m3 peut conduire à un cancer du poumon supplémentaire pour 5000 personnes (1/5000ème). En Allemagne La directive VD 4300 recommande une concentration de radon inférieur à 100 Bq/m3. Selon l INVS, la probabilité de développer un cancer du poumon augmente de 16% par tranche de 100 Bq/m3. En clair le risque double tous les 600 Bq/m3 à condition d être exposé trente ans. 5

6 Conseils pour un habitat sain (principe de prévention et de précaution) Inférieure à 100 Bq/m3 De 100 à 200 Bq/m3 De 200 à 400 Bq/m3 De 400 à 1000 Bq/m3 > 1000 Bq/m3 Danger sérieux à 1000 Bq/m3 Danger grave à 3000 Bq/m3 Risques peu élevés, ouverture fenêtre (10mins/jour) Concentration légèrement élevée pour les enfants, les femmes enceintes et les fumeurs > Augmenter l aération (ouvertures fenêtres, réglettes, autogyres ) Concentration plus élevée pour les enfants, les femmes enceintes et les fumeurs > Augmenter l aération (ouvertures fenêtres 2 fois/jour 10 mins, réglettes, autogyres ) > Augmenter aération du sous sol, augmentez les arrivés d air en sous sol Risque réel : prendre des mesures d étanchéité et d aération Le problème est préoccupant : solutions de remédiation (étanchéité, ventilation, extraction ) Synthèse : Le radon risque sanitaire >> Le radon 222 est un gaz radioactif naturel et cancérigène (groupe 1 CIRC/OMS), plus la concentration augmente, plus il est dangereux. >> Le radon est la 2 ème cause du cancer du poumon sur un plan mondial. Le risque avéré le caractérise sous le champ du principe de prévention. >> Il est omniprésent dans notre environnement pas d exposition zéro, et se mesure assez facilement dans l air. >> Les concentrations sont très variables en fonction de nombreux paramètres (sous-sol, sol, matériaux de construction, jour, nuit, pression, chaleur, humidité, ventilation ). >> Il s accumule dans les espaces confinés (habitation). Une aération et une ventilation adaptées permettent d agir contre le radon. (Le seuil de 200 Bq/m3 est de plus en plus retenue comme valeur maximum). 6

7 B/ Radon et Bretagne De part son sous sol granitique et volcanique et de nombreuses failles géologiques importantes, la Bretagne fait partie avec le Limousin, La Franche Conté, les Pyrénées et la Corse des régions les plus concernées par la problématique du radon. Campagne de mesure réalisée en Bretagne La campagne de mesure à été pratiquée entre 1983 et 1998 : 1113 mesures ont été réalisées. La concentration moyenne en Bretagne est évaluée à 121 Bq/m3 (66 Bq/m3 en moyenne en France). A partir de ces mesures, il est possible d établir des estimations : > Supérieur à 200 Bq/m3 : entre et habitations > Supérieur à 400 Bq/m3 : entre et habitations > Supérieur à 1000 Bq/m3 : entre 2000 et 5200 habitations. L IPSN en 2000 conclut que sur 816 décès du cancer pulmonaire en Bretagne, 185 décès sont attribuables au radon soit 20%. (L INVS déclare pour le France en 2007, 2913 décès. L OMS estime entre 1000 et 6000 décès possibles). C est l expertise médico-légale qui permet de qualifier la nature du décès ; la systématiser pour le cancer pulmonaire permettrait une analyse plus pertinente. Dans l étude «Coût économique et social du radon» en Mars 2006 réalisée par IFSPM de l Université de ZURICH par Sandor HORVATH BAG, on peut lire : > Coût d un cancer du poumon à la société Suisse et à son système de Santé = > Durée de vie moyenne probable avec un cancer du poumon déclarée = 454 jours Synthèse : Impact sanitaire du radon en Bretagne >> Plus de habitations ont une exposition au radon supérieur à 200 Bq/m3 >> Suite étude 2000 IPSN, 185 décès de cancers pulmonaires liés à l exposition au radon >> Via étude suisse coût social et économique environ 1 million d euros/ décès 7

8 C/ Contribution pour un plan régional santé environnement à l exposition au radon Dans le cadre du plan régional Santé et Environnement la région Bretagne dispose d une réelle opportunité d inverser cette tendance pour se diriger vers une lutte préventive à l exposition au radon. Développer convergence entre service d état et conseil régional afin de disposer de réels moyens d actions et de réalisations. -> Synergie des budgets (plan anti-cancer, budget régional ) >> Indicateur : budget région à l exposition au radon -> Comptabilité des décès attribuables au radon >> Evaluation du coût social et économique -> Cartes cantonales ou plus communales du potentiel d exposition au radon. >> Permet de hiérarchiser et de cibler les actions -> S inspirer de modèles opérationnels existants sur la gestion du risque radon (ex : Suisse NEUFCHATEL) >> Enrichir la méthodologie Bâtir un plan de communication pour le grand public sur l exposition au radon -> Via site internet avec une construction interactive (Quizz, forum ) >> Comptabiliser le nombre de visites -> Proposer un Kit «INFORADON» information et formation (analogie INFO ENERGIE) disponible aux acteurs les plus motivés (mairie, organisme public, secteur construction et de distribution). C est la concentration des moyens sur les proactifs et leurs réussites qui va permettre l adhésion des hésitants. >> Suivre, accompagner ces acteurs et mesurer les actions 8

9 Promouvoir une campagne de dépistage de l exposition au radon en impliquant les habitants > Via des dosimètres passifs avec une participation de la région de Septembre à Avril (période recommandée) Ex : Dosimètre CRIRAD : 42 TTC Ramon 2.2 : 45 TTC Possibilité d un service à domicile via les conseillers habitat santé. >> Nombre de dépistage (suivi du dépistage ) > Aide aux propriétaire occupants et location dont les ressources sont faibles > Proposer à la population des femmes enceintes une prise en charge complète du dépistage à l exposition du radon >> Mesure de l impact de cette action Former et informer les acteurs de la construction (architectes, professionnels et artisans de l habitat) et de la distribution Reserve D/ Annexes - Formation à l exposition au radon et aux techniques de remédiation : > Architectes DPLG, Maître d œuvre, CAPEB - Cibler les permis de construire comme un moment privilégié de l information à l exposition au radon : > Etude sanitaire (géothermie, planchers chauffants, puits canadien ) - > exemple dans le plan de modernisation des ascenseurs, le risque radon n est pas pris en compte. L ascenseur est un vecteur de migration vertical du radon. Ces recommandations sont essentiellement ciblées sur l habitat du particulier ; le process est déjà engagé sur les ERP et peut être copiables pour les entreprises privées. Ce document ne traite pas de l eau et du radon. 1/ Modèle opérationnel sur la gestion du risque radon en Suisse de NEUFCHATEL 2/ Instrumentation : Dosirad et Ramon 2.2 3/ Ventilation/ Aération 9

10 10

11 11

12 12

13 13

14 Instrumentations ALPHAGUARD Gamme de Mesure : de 2 à Bq/m3 Incertitude : Bq/m3 (+ - 4,5 CPM alpha) Mesures à court terme (immédiate) ou à long terme (15 jours d autonomie en batterie) La première mesure demande 5mm environ (initialisation) Technique de mesure : chambre d ionisation, filtre les descendants du radon pour ne mesurer que le radon et le rayonnement alpha dans la chambre qui comporte une enceinte et é électrodes. Comporte de nombreux instruments mesurant : la pression de l air ( de 850 à 1100 mbar avec + - 0,1 mbar), la température (de -20 C à + 65 C, avec + - 0,1 C), l humidité relative (de 0 à 100%, avec + - 1% rh) et un logiciel graphique Appareil calibré pour une durée de 5 ans à 1KBq/m3 et à 10 KBq/m3 Avantages : la roll Royce des instruments de mesure, très robuste, léger et antichoc Contraintes : prix très élevé de à , ne justifiant qu un usage professionnel KODALPHA Dosimètre passif ouvert Gamme de mesure : Valeurs comprises entre 6 et Bq/m3. Appareil de dépistage du radon dans les ERP KODALPHA Appareil fixe de détection du radon 222 dans l'air ambiant. Mise en place du dosimètre pendant une durée de deux mois minimum puis analyse en laboratoire pour obtenir l'activité volumique du lieu. Détection du gaz directement par impression du film par les particules alpha (type Kodak LR115). Game de mesure : Valeurs comprises entre 6 et Bq/m3. ALGADE Dosimètre passif fermé Gamme de mesure : valeurs comprises entre 60 et Bq/m3. Appareil de dépistage du radon dans les ERP DPR 2 Appareil fixe de détection du radon 222 dans l'air ambiant. Mise en place du dosimètre pendant une durée de deux mois minimum puis analyse en laboratoire pour obtenir l'activité volumique du lieu. Détection du gaz par diffusion à travers une membrane vers un détecteur (type Kodak LR 115 T2). Interrupteur marche/arrêt. Gamme de mesure : valeurs comprises entre 60 et Bq/m3. 14

15 RAMON 2.2 Gamme de Mesure : de 1 à Bq/m3 Incertitude : % exemple : si 1400 Bq/m3 ( ) -> 980 / 1820 Bq/m3] Mesures à court terme (Moy. 7 jours) ou à long terme (Moy. max 5 ans) La première mesure d initialisation demande 48h; Par la suite, l appareil réajuste sa mesure toutes les heures avec un affichage constant. Avantages : Très bon rapport qualité prix, usage pour habitations privées, temps réel Contraintes : avoir du courant électrique dans la pièce qui est à mesurer Interférences : s éloigner de 2m de toutes les ondes (Gsm, ordinateurs, fax) et des électro-aimants (CM) Conseils : Utiliser l appareil en mode court terme posé à 1,50 m de hauteur et en l éloignant bien de toutes sources de chaleur, utiliser une rallonge pour les placards électriques des réseaux et la cave. 15

16 16

LA RADIOACTIVITE NATURELLE RENFORCEE CAS DE LA MESURE DU RADON - A L G A D E

LA RADIOACTIVITE NATURELLE RENFORCEE CAS DE LA MESURE DU RADON - A L G A D E LA RADIOACTIVITE NATURELLE RENFORCEE CAS DE LA MESURE DU RADON Sylvain BERNHARD - Marion DESRAY - A L G A D E Membre de l UPRAD, Union Nationale des Professionnels du Radon LES EXPOSITIONS PROFESSIONNELLES

Plus en détail

Avant-propos. Paris, le 15 novembre 2011. Le Directeur de l habitat, de l urbanisme et des paysages. Le Directeur général de la santé.

Avant-propos. Paris, le 15 novembre 2011. Le Directeur de l habitat, de l urbanisme et des paysages. Le Directeur général de la santé. PLAN national D ACTIONS 2011-2015 POUR LA GESTION DU RISQUE LIé AU RADON Ce rapport a été rédigé par l Autorité de sûreté nucléaire (ASN) en collaboration avec les membres du comité de suivi du plan national

Plus en détail

Ce qu il faut savoir en matière d habitat et de santé, de plomberie et d installations de chauffage ou d eau chaude sanitaire

Ce qu il faut savoir en matière d habitat et de santé, de plomberie et d installations de chauffage ou d eau chaude sanitaire Ce qu il faut savoir en matière d habitat et de santé, de plomberie et d installations de chauffage ou d eau chaude sanitaire Quels sont les risques en matière de santé pour ces rénovations? Avant travaux

Plus en détail

Le but de la radioprotection est d empêcher ou de réduire les LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION

Le but de la radioprotection est d empêcher ou de réduire les LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION TOUT PUBLIC 1. Source de rayonnements ionisants 2. Les différents rayonnements ionisants et leur capacité à traverser le corps humain 3. Ecran de protection absorbant

Plus en détail

Le radon. Guide à l usage des propriétaires canadiens AU CŒUR DE L HABITATION

Le radon. Guide à l usage des propriétaires canadiens AU CŒUR DE L HABITATION Le radon Guide à l usage des propriétaires canadiens AU CŒUR DE L HABITATION La SCHL : Au cœur de l habitation La Société canadienne d hypothèques et de logement (SCHL) est l organisme national responsable

Plus en détail

FICHE ROL DEPARTEMENT DU TARN RELEVE D OBSERVATION LOGEMENT (ROL) I:\ENVIR\CB\2008\HABITAT\guide as\fiche ROL.doc

FICHE ROL DEPARTEMENT DU TARN RELEVE D OBSERVATION LOGEMENT (ROL) I:\ENVIR\CB\2008\HABITAT\guide as\fiche ROL.doc FICHE ROL DEPARTEMENT DU TARN RELEVE D OBSERVATION LOGEMENT (ROL) I:\ENVIR\CB\2008\HABITAT\guide as\fiche ROL.doc Le ROL est un document à usage des intervenants de terrain non techniciens du bâtiment.

Plus en détail

i.fresh Compact NCCO Air Sanitizing System for Car / Desktop Model: WS908 USER MANUAL

i.fresh Compact NCCO Air Sanitizing System for Car / Desktop Model: WS908 USER MANUAL i.fresh Compact NCCO Air Sanitizing System for Car / Desktop Model: WS908 USER MANUAL voitures / desktop à technologie NCCO FR Modèle: WS908 MANUEL DE L UTILISATEUR TABLE DES MATIERES Informations Importantes

Plus en détail

P.L.H Patrick Leleu Humiditologue

P.L.H Patrick Leleu Humiditologue P.L.H Patrick Leleu Humiditologue Depuis notre création, en 1989, à Montpellier, nous pensons que la Qualité du Service naît de la Compétence des Hommes. Si la Compétence reste le Privilège de l Expérience,

Plus en détail

Fiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR

Fiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR Fiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR Les produits d usage domestique comprennent les produits de nettoyage (p. ex., les nettoie-vitres et les produits de nettoyage

Plus en détail

DIAGNOSTIQUEUR IMMOBILIER. Cursus complet théorique et pratique

DIAGNOSTIQUEUR IMMOBILIER. Cursus complet théorique et pratique DIAGNOSTIQUEUR IMMOBILIER Cursus complet théorique et pratique Durée : 6 semaines, soit 30 jours de formation : 210 heures Nature de la formation : théorique et pratique Horaires : de 09h00-12h00 / 13h00-17h00

Plus en détail

Des indicateurs vous permettant de mesurer et de contrôler vos opérations au quotidien. SÉRIE ZM300

Des indicateurs vous permettant de mesurer et de contrôler vos opérations au quotidien. SÉRIE ZM300 Des indicateurs vous permettant de mesurer et de contrôler vos opérations au quotidien. SÉRIE ZM300 Conçus pour les besoins d aujourd hui et les défis de demain Des indicateurs à la pointe de la technologie

Plus en détail

Le chauffe-eau à pompe à chaleur: fiche technique à l intention des installateurs

Le chauffe-eau à pompe à chaleur: fiche technique à l intention des installateurs Le chauffe-eau à pompe à chaleur: fiche technique à l intention des installateurs 1. Bases 1.1. Fonctionnement du chauffe-eau à pompe à chaleur (CEPAC) Comme son nom l indique, un chauffe-eau pompe à chaleur

Plus en détail

Ensemble nous aurons l air meilleur!

Ensemble nous aurons l air meilleur! Les bons gestes au quotidien pour préserver la qualité de notre air Ensemble nous aurons l air meilleur! Saviez-vous que nous avons besoin d un litre et demi d eau et de 14 000 litres d air par jour pour

Plus en détail

Réussir son installation domotique et multimédia

Réussir son installation domotique et multimédia La maison communicante Réussir son installation domotique et multimédia François-Xavier Jeuland Avec la contribution de Olivier Salvatori 2 e édition Groupe Eyrolles, 2005, 2008, ISBN : 978-2-212-12153-7

Plus en détail

Que nous enseigne la base de données PAE?

Que nous enseigne la base de données PAE? Que nous enseigne la base de données PAE? Séminaire auditeurs PAE 8 juin 2009 Nicolas Heijmans, ir Division Energie et Climat CSTC - Centre Scientifique et Technique de la Construction 00/00/2006 Contenu

Plus en détail

GUide de la pollution de l air intérieur

GUide de la pollution de l air intérieur GUide de la pollution de l air intérieur Tous les bons gestes pour un air intérieur plus sain. d où vient la pollution de l air intérieur? tabagisme Moquettes et revêtements de sols Bougies parfumées produits

Plus en détail

«Actualités réglementaires en radioprotection»

«Actualités réglementaires en radioprotection» Contenu des informations à joindre aux D. ou demande d Autorisation Cyril THIEFFRY Sûreté Nucléaire et Radioprotection Arrêté du 29 janvier 2010 portant homologation de la décision n 2009-DC-0148 de l

Plus en détail

A. CARACTERISTIQUES TECHNIQUES.

A. CARACTERISTIQUES TECHNIQUES. Page : 2 A. CARACTERISTIQUES TECHNIQUES. A.1. VUE D ENSEMBLE A.2. PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT!" #! $! %&' ( ) * µ +, µ $# (& % ± -. /01)0$ ' &%(% 2 3,)/4 $ A.3. CARACTERISTIQUES MECANIQUES. PARAMETRES Valeur

Plus en détail

C est quoi un logement insalubre?

C est quoi un logement insalubre? LOGEMENT INSALUBRE C est quoi un logement insalubre? C est un logement qui présente un danger pour la santé des occupants, compte tenu de la dégradation du bâti ou de la présence de substances dangereuses

Plus en détail

L individualisation des frais de chauffage

L individualisation des frais de chauffage L habitat collectif COMPRENDRE L individualisation des frais de chauffage Répartir les frais en fonction des consommations des logements Édition : février 2014 sommaire glossaire introduction Répartir

Plus en détail

GASMAN II MANUEL D UTILISATION

GASMAN II MANUEL D UTILISATION ANALYSE DETECTION SECURITE GASMAN II MANUEL D UTILISATION SOMMAIRE 1. INTRODUCTION ---------------------------------------------------------------------------------- P 2 2. CARACTERISTIQUES DE L APPAREIL----------------------------------------------------

Plus en détail

«Grâce à BELFOR, la fuite a été immédiatement localisée. Des résultats certifiés. et le dégât des eaux évité» Des prestations associées

«Grâce à BELFOR, la fuite a été immédiatement localisée. Des résultats certifiés. et le dégât des eaux évité» Des prestations associées INSTALLATIONS TECHNIQUES DANS LA MAISON Conduites d eau froide et d eau chaude Conduites de chauffage/ chauffage au sol Conduites d eaux usées Inspection de cavités Problèmes de condensation Moisissure

Plus en détail

Les travaux subventionnables par l Anah LA LISTE ÉTABLIE AU 1 ER JANVIER 2009. Document d information non contractuel

Les travaux subventionnables par l Anah LA LISTE ÉTABLIE AU 1 ER JANVIER 2009. Document d information non contractuel Les travaux subventionnables par l Anah LA LISTE ÉTABLIE AU 1 ER JANVIER 2009 Document d information non contractuel L Anah, Agence nationale de l habitat, attribue des aides financières aux propriétaires

Plus en détail

Table des matières générale 1)

Table des matières générale 1) 1) page 1 1) 0 CLAUSES COMMUNES Chap. 1 Clauses communes à tous les lots 1/1 Définition de l opération Réglementations Lots 1/2 Spécifications communes à tous les lots 1 PLOMBERIE INSTALLATIONS SANITAIRES

Plus en détail

Etablissement Recevant du Public (ERP) de 5 ème catégorie avec locaux à sommeil

Etablissement Recevant du Public (ERP) de 5 ème catégorie avec locaux à sommeil Notice de sécurité Etablissement Recevant du Public (ERP) de 5 ème catégorie avec locaux à sommeil Cette notice a été établie à l'attention des exploitants d Etablissements Recevant du Public (ERP), afin

Plus en détail

Chauffage au bois. à la qualité de l AIR. Vallée de l Arve

Chauffage au bois. à la qualité de l AIR. Vallée de l Arve Chauffage au bois ATTENTION à la qualité de l AIR Vallée de l Arve Tous acteurs de la qualité de l air! Sommaire Chauffage au bois, un enjeu important pour la qualité de l'air... 3 Le chauffage au bois,

Plus en détail

Le risque sismique : ce qui change

Le risque sismique : ce qui change Le risque sismique : ce qui change Conséquences de la publication des décrets Intervenant Service Date Ministère de l'écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement www.developpement-durable.gouv.fr

Plus en détail

Pourquoi étudier l aérosol atmosphérique?

Pourquoi étudier l aérosol atmosphérique? Pourquoi étudier l aérosol atmosphérique? Impact Climatique Impact sanitaire Les particules atmosphériques sont avant tout étudiées pour leurs impacts sur le climat et sur la santé humaine. 39 Réchauffement

Plus en détail

Etanchéité à l air dans la construction bois. Marc DELORME Inter Forêt-Bois 42

Etanchéité à l air dans la construction bois. Marc DELORME Inter Forêt-Bois 42 Etanchéité à l air dans la construction bois Marc DELORME Inter Forêt-Bois 42 Pourquoi des bâtiments étanches à l air? Ne pas confondre : étanchéité à l air et confinement Une bonne étanchéité à l air

Plus en détail

Contrôle thermographique Tarifs et prestations :

Contrôle thermographique Tarifs et prestations : 20 rue Emile ZOLA 41200 ROMORANTIN technimursdeveloppement@gmail.com Tél : 02.54.98.50.15 Mr et Mme DUPONT 20 Rue Emile ZOLA 41200 ROMORANTIN Contrôle thermographique Tarifs et prestations : Habitations

Plus en détail

Production mondiale d énergie

Production mondiale d énergie Chapitre 14: Autres sources d énergie Énergie nucléaire Énergie solaire Énergie géothermale Hydro-électricité Énergie éolienne Production mondiale d énergie 23% 39% 27% Coal Nuclear Hydro Geothermal Petroleum

Plus en détail

TECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR. confort = équilibre entre l'homme et l'ambiance

TECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR. confort = équilibre entre l'homme et l'ambiance TECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR Tâche T4.2 : Mise en service des installations Compétence C1.2 : Classer, interpréter, analyser Thème : S5 : Technologie des installations frigorifiques

Plus en détail

boilers pompe à chaleur L eau chaude ne vous aura jamais paru aussi agréable

boilers pompe à chaleur L eau chaude ne vous aura jamais paru aussi agréable boilers pompe à chaleur L eau chaude ne vous aura jamais paru aussi agréable 1 boilers pompe à chaleur Midea est au niveau mondial un des plus important producteur de pompe à chaleur et de climatiseur

Plus en détail

MODE D EMPLOI DÉTECTEURS DE FUMÉE. Bien équipé, bien préparé, je suis en sécurité. MARS 2015. Obligatoire à compter du

MODE D EMPLOI DÉTECTEURS DE FUMÉE. Bien équipé, bien préparé, je suis en sécurité. MARS 2015. Obligatoire à compter du DÉTECTEURS DE FUMÉE MODE D EMPLOI FNSPF 2014. Firethinktank.org / Photo : Sébastien Mousnier. Bien équipé, bien préparé, je suis en sécurité. Obligatoire à compter du 8 MARS 2015 LES DÉTECTEURS AUTONOMES

Plus en détail

PROTECTION DU CORPS INfORmaTIONS TEChNIqUES

PROTECTION DU CORPS INfORmaTIONS TEChNIqUES PROTECTION DU CORPS INfORmaTIONS TEChNIqUES Destinés essentiellement à protéger contre les salissures, les vêtements de travail permettent également de valoriser l image des entreprises (personnalisation

Plus en détail

Le Plomb dans l eau AGENCE NATIONALE POUR L AMÉLIORATION DE L HABITAT

Le Plomb dans l eau AGENCE NATIONALE POUR L AMÉLIORATION DE L HABITAT Le Plomb dans l eau De quoi s agit-il? De quoi parle-t-on? Où le trouve-t-on? Quelle est son origine? Responsabilités Quels sont les effets néfastes du plomb dans l eau sur la santé? Comment les détecter?

Plus en détail

guide de la sécurité assistant maternel assistant familial

guide de la sécurité assistant maternel assistant familial guide de la sécurité assistant maternel assistant familial Guide de la sécurité - 2 Ce guide est fait pour vous aider. Il répertorie les points de danger les plus fréquents et les mesures à prendre pour

Plus en détail

Manuel d'utilisation du détecteur de fumée

Manuel d'utilisation du détecteur de fumée Manuel d'utilisation du détecteur de fumée Détecteur de fumée photoélectrique alimenté par pile alcaline 9V. Introduction Merci d'avoir choisi notre produit pour vos besoin en détection de fumée. Vous

Plus en détail

SYNOPTIQUE GTB Architecture Générale

SYNOPTIQUE GTB Architecture Générale STATION METEO TERMINAL EXPLOITATION (local technique) POSTE SUPERVISION (local pôle maintenance) AFFICHAGE PEDAGOGIQUE (Accueil) ACCES WEB GESTION CVC LOCAL TECHNIQUE GESTION EAU GESTION SERRE GESTION

Plus en détail

Les ondes électromagnétiques dans les bâtiments

Les ondes électromagnétiques dans les bâtiments Développement durable en Limousin Mai 2012 Vivre mieux dans un bâtiment avec un air de qualité Fiche n 4 Les ondes électromagnétiques dans les bâtiments www. objectif.blogspot.com www.limousin.developpement-durable.gouv.fr

Plus en détail

Système d assurance qualité de l Association Minergie pour label de bâtiment Minergie- ECO

Système d assurance qualité de l Association Minergie pour label de bâtiment Minergie- ECO Système d assurance qualité de l Association Minergie pour label de bâtiment Minergie- ECO Le document original en langue allemande fait foi. Table des matières Version: octobre 2012 1 Domaine d application...

Plus en détail

L opération étudiée : le SDEF

L opération étudiée : le SDEF L opération étudiée : le SDEF Situation géographique 29 Landivisiau Finistére Zone H2a Altitude : 34 m Acteurs de l opération Maitrise d ouvrage Maître d œuvre / Architecte BET Thermique SDEF Atelier 3

Plus en détail

Qui a la charge de l entretien

Qui a la charge de l entretien Toute transformation (clôtures, portails et abris de jardin soumis à accord de la commune, changement de sol, démolition de cloisons, modifications d appareil sanitaire, etc.) doit préalablement faire

Plus en détail

Prescriptions techniques et de construction pour les locaux à compteurs

Prescriptions techniques et de construction pour les locaux à compteurs Prescriptions techniques et de construction pour les locaux à compteurs Référence: SIB10 CCLB 110 Date : 22/10/2010 Page 1/9 Table des matières 1 PRELIMINAIRES... 3 2 ABREVIATIONS... 3 3 ACCESSIBILITE

Plus en détail

Comment optimiser la performance énergétique de son logement?

Comment optimiser la performance énergétique de son logement? Comment optimiser la performance énergétique de son logement? Janvier 2014 AHF / J.M. VOGEL Plan de la présentation Contexte Objectifs Faire un premier bilan énergétique Les différents travaux d économies

Plus en détail

Vers le Green Datacenter. du contrôle á la réduction des coûts l innovation au service de l environnement

Vers le Green Datacenter. du contrôle á la réduction des coûts l innovation au service de l environnement Vers le Green Datacenter du contrôle á la réduction des coûts l innovation au service de l environnement G r e e n D a t a C e n t e r S o l u t i o n s C est une marque identifiant la ligne de produits,

Plus en détail

GSE AIR SYSTEM V3.0 L indépendance énergétique à portée de mains

GSE AIR SYSTEM V3.0 L indépendance énergétique à portée de mains AÉROVOLTAÏQUE V3.0 L indépendance énergétique à portée de mains Photos non contractuelles www.gseintegration.com L'alliance des économies d'énergie et du confort thermique Édito L énergie solaire est indispensable

Plus en détail

CONSOLIDATION OFFICIEUSE

CONSOLIDATION OFFICIEUSE 30 AOÛT 2007. Arrêté du Gouvernement wallon déterminant les critères minimaux de salubrité, les critères de surpeuplement et portant les définitions visées à l article 1 er, 19 à 22 bis, du Code wallon

Plus en détail

Du bon usage de la téléphonie mobile

Du bon usage de la téléphonie mobile Du bon usage de la téléphonie mobile Sommaire 1. Introduction 3 2. Le téléphone mobile a-t-il un impact sur la santé? 4 3. Antenne et terminaux : le Maroc veille à respecter les normes internationales

Plus en détail

Récapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13

Récapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13 Récapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13 Récapitulatif du l audit énergétique de RANTIGNY 1 Sommaire I. Introduction... 3 II. Visite du site... 4

Plus en détail

Programme détaillé de la formation AVEC PRE REQUIS ( Bac+2 bâtiment ou 3ans d expérience dans les techniques du bâtiment)

Programme détaillé de la formation AVEC PRE REQUIS ( Bac+2 bâtiment ou 3ans d expérience dans les techniques du bâtiment) FORMATION TECHNICIEN EN DIAGNOSTICS IMMOBILIERS Programme détaillé de la formation AVEC PRE REQUIS ( Bac+2 bâtiment ou 3ans d expérience dans les techniques du bâtiment) Tél : 06 01 744 2 33 http:/ /www.

Plus en détail

CONCEPT H 2 ZERO ENERGY ZERO EMISSION

CONCEPT H 2 ZERO ENERGY ZERO EMISSION CONCEPT H 2 ZERO ENERGY ZERO EMISSION Concept H 2 : L idée est de produire, de stocker et d assurer 100% des besoins énergétiques d un immeuble résidentiel sans aucun rejet de CO 2 et sans frais énergétiques.

Plus en détail

Les conséquences sanitaires de l accident de Fukushima Dai-ichi : point de situation en février 2012

Les conséquences sanitaires de l accident de Fukushima Dai-ichi : point de situation en février 2012 Les conséquences sanitaires de l accident de Fukushima Dai-ichi : point de situation en février 2012 Faire avancer la sûreté nucléaire Jean-René Jourdain Paris, 28 février 2012 Comment évaluer les conséquences

Plus en détail

Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?

Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Les solutions techniques Principes et critères de choix Par Sébastien LIBOZ - Hydrogéologue Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?

Plus en détail

L HABITAT. Technologie 5ème

L HABITAT. Technologie 5ème L HABITAT LES FONCTIONS CLORE: air, eau RESISTER: poids propre, charges d exploitation, charges climatiques (neige, vent) ISOLER: thermique, acoustique CHAUFFER l hiver RAFFRAICHIR l été PROCURER: hygiène,

Plus en détail

Ce dispositif fiscal, mis en place en 2005, est en vigueur jusqu'en 2016.

Ce dispositif fiscal, mis en place en 2005, est en vigueur jusqu'en 2016. FINANCER MON PROJET Crédit d'impôt développement durable Ce dispositif fiscal, mis en place en 2005, est en vigueur jusqu'en 2016. Mais attention, il ne s'applique pas dans les mêmes conditions et au même

Plus en détail

ACOUSTIQUE REGLEMENTATION ISOLEMENT AUX BRUITS AÉRIENS ISOLEMENT AUX BRUITS DE CHOCS

ACOUSTIQUE REGLEMENTATION ISOLEMENT AUX BRUITS AÉRIENS ISOLEMENT AUX BRUITS DE CHOCS ACOUSTIQUE REGLEMENTATION Dans les exigences réglementaires, on distingue l isolement aux bruits aériens (voix, télévision, chaîne-hifi...) et l isolement aux bruits d impact (chocs). ISOLEMENT AUX BRUITS

Plus en détail

VDIAGNOSTICS IMMOBILIER 9 rue Henri Matisse 76120 GRAND QUEVILLY Télécopie : 09 55 32 26 60 Portable : 06 18 60 62 96 Email : vdiagimmo@free.

VDIAGNOSTICS IMMOBILIER 9 rue Henri Matisse 76120 GRAND QUEVILLY Télécopie : 09 55 32 26 60 Portable : 06 18 60 62 96 Email : vdiagimmo@free. VDIAGNOSTICS IMMOBILIER 9 rue Henri Matisse 76120 GRAND QUEVILLY Télécopie : 09 55 32 26 60 Portable : 06 18 60 62 96 Email : vdiagimmo@free.fr RAPPORT DE MISSION DE REPERAGE DES MATERIAUX ET PRODUITS

Plus en détail

MÉTHODE DE DIAGNOSTIC SANITAIRE DE L HABITAT

MÉTHODE DE DIAGNOSTIC SANITAIRE DE L HABITAT MÉTHODE DE DIAGNOSTIC SANITAIRE DE L HABITAT Cette méthode opérationnelle mise au point Bernard ARDITTI, Architecte DESA est le sujet d un Diplôme Universitaire de BIOCLIMATOLOGIE, HABITAT et EQUILIBRE

Plus en détail

Système de surveillance vidéo

Système de surveillance vidéo Conrad sur INTERNET www.conrad.fr N O T I C E Version 12/01 Entretien Pour un fonctionnement correct de votre système de surveillance vidéo, prenez note des conseils suivants : 1/ Tenez la caméra et le

Plus en détail

Bien ventiler votre logement. Guide de bonne gestion en 8 questions

Bien ventiler votre logement. Guide de bonne gestion en 8 questions Bien ventiler votre logement Guide de bonne gestion en 8 questions Mai 2015 PREAMBULE BIEN VENTILER SON LOGEMENT EST PRIMORDIAL AFIN DE GARANTIR UN LOGEMENT SAIN! Dans près de 95% des cas, les problèmes

Plus en détail

20 ans après l accident nucléaire de Tchernobyl: Les conséquences en Suisse

20 ans après l accident nucléaire de Tchernobyl: Les conséquences en Suisse 20 ans après l accident nucléaire de Tchernobyl: Les conséquences en 1. L accident Il y a 20 ans, le 26 avril 1986 à 01h24 heure locale, se produisait l accident le plus grave jamais survenu dans une installation

Plus en détail

Un environnement sans fumée pour vos enfants. Comment y parvenir?

Un environnement sans fumée pour vos enfants. Comment y parvenir? Un environnement sans fumée pour vos enfants. Comment y parvenir? Renseignements sur la fumée secondaire et tertiaire Qu est-ce que la fumée secondaire? La fumée secondaire est une combinaison de fumée

Plus en détail

LA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE

LA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE Page 1 / 6 LA MESURE DE PRESSION PRINCIPE DE BASE 1) Qu est-ce qu un sensor de pression? Tout type de sensor est composé de 2 éléments distincts : Un corps d épreuve soumit au Paramètre Physique φ à mesurer

Plus en détail

Eau chaude Eau glacée

Eau chaude Eau glacée Chauffage de Grands Volumes Aérothermes Eau chaude Eau glacée AZN AZN-X Carrosserie Inox AZN Aérotherme EAU CHAUDE AZN AZN-X inox Avantages Caractéristiques Carrosserie laquée ou inox Installation en hauteur

Plus en détail

Amiante. On se protège! Aide-mémoire sur les dangers d exposition à l amiante et sur les mesures de prévention

Amiante. On se protège! Aide-mémoire sur les dangers d exposition à l amiante et sur les mesures de prévention Amiante On se protège! Aide-mémoire sur les dangers d exposition à l amiante et sur les mesures de prévention Le Québec est un important producteur et exportateur d amiante, un minerai reconnu pour ses

Plus en détail

développe pour vous des solutions toujours plus proches de votre besoin.

développe pour vous des solutions toujours plus proches de votre besoin. alliance - développement - valorisation N/Réf : LET.A000.00.SAG.106149 développe pour vous des solutions toujours plus proches de votre besoin. Grâce à son expertise de l industrie nucléaire, le service

Plus en détail

Hygiène alimentaire. Réglementation. Restaurants et commerces alimentaires

Hygiène alimentaire. Réglementation. Restaurants et commerces alimentaires Hygiène alimentaire Réglementation Restaurants et commerces alimentaires Hygiène alimentaire Sommaire Avant de s installer, les démarches à suivre p.3/4 Concevoir la cuisine p.5 Hygiène - Les bonnes pratiques

Plus en détail

Mesure et détection de substances dangereuses : EX-OX-TOX (IS-013) Version CT-Q 2011-11-15

Mesure et détection de substances dangereuses : EX-OX-TOX (IS-013) Version CT-Q 2011-11-15 Mesure et détection de substances dangereuses : EX-OX-TOX (IS-03) Version CT-Q 0--5 Groupe cible Collaborateurs qui doivent effectuer des mesures EX-OX-TOX sur un terrain d exploitation, les interpréter

Plus en détail

GUIDE D'INSTALLATION. Lave-Vaisselle

GUIDE D'INSTALLATION. Lave-Vaisselle GUIDE D'INSTALLATION Lave-Vaisselle SOMMAIRE 1/ CONSIGNES DE SECURITE Avertissements importants 03 2/ INSTALLATION DE VOTRE LAVE-VAISSELLE Appareil non encastré 04 Appareil encastré 04 Appareil encastré

Plus en détail

Les ambigüités et les difficultés d application du décret travailleur

Les ambigüités et les difficultés d application du décret travailleur Les ambigüités et les difficultés d application du décret travailleur 1 LE TEXTE RÉGLEMENTAIRE Protection des travailleurs Décret 2003-296 du 31/03/03 Codifié dans le code du travail Plus arrêtés d applications

Plus en détail

D i a g n o s t i q u e u r I m m o b i l i e r Tél. 04 94 19 18 39 Port. 06 60 96 06 83 Fax 04 94 19 22 50

D i a g n o s t i q u e u r I m m o b i l i e r Tél. 04 94 19 18 39 Port. 06 60 96 06 83 Fax 04 94 19 22 50 A DIAGNOSTIC DE PERFORMANCE ENERGETIQUE Logement (6.2) Décret n 2006-1114 du 5 septembre 2006, Décret n 2006-1147 du 14 septembre 2006, Arrêtés du 15 septembre 2006 INFORMATIONS GENERALES N de rapport

Plus en détail

Economies d énergies dans le milieu SANITAIRE Jeudi 31 mai 2012. 31 Mai 2012

Economies d énergies dans le milieu SANITAIRE Jeudi 31 mai 2012. 31 Mai 2012 Economies d énergies dans le milieu SANITAIRE Jeudi 31 mai 2012 31 Mai 2012 Plan Présentation d Ad3e Présentation de la mission d audit énergétique Présentation des résultats Présentation d Ad3e Qui sommes

Plus en détail

CAMPING-CAR. La chaleur douce et silencieuse

CAMPING-CAR. La chaleur douce et silencieuse CAMPING-CAR La chaleur douce et silencieuse Une technologie écologique pour votre bienêtre. Le système Alde à eau caloporteuse vous procure un confort inégalé. Au-delà d'une chaleur homogène et silencieuse,

Plus en détail

Qualité des environnements intérieurs. 5. Extraction localisée. 5.1 Extraction localisée de base Condition préalable

Qualité des environnements intérieurs. 5. Extraction localisée. 5.1 Extraction localisée de base Condition préalable Nombre minimal de point requis = 6; 1. Évacuation des gaz de combustion 1.1 Mesures de base pour évacuer les gaz de combustion Condition préalable Il n y a aucun appareil de combustion qui n est pas raccordé;

Plus en détail

La dosimétrie physique, mesurer pour optimiser

La dosimétrie physique, mesurer pour optimiser Evaluer et prévenir le risque radiologique professionnel dans les opérations de radiographie industrielle La dosimétrie physique, mesurer pour optimiser Pr Didier PAUL Faculté de Médecine, Service de Médecine

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE ENERGIE «Eau Chaude Sanitaire - ECS»

FICHE TECHNIQUE ENERGIE «Eau Chaude Sanitaire - ECS» FICHE TECHNIQUE ENERGIE «Eau Chaude Sanitaire - ECS» Sources : CNIDEP et ADEME A. ETAT DE L ART 1. Caractéristiques générales Que demande t-on à une production d eau chaude sanitaire? Fournir une eau en

Plus en détail

agissons ensemble Octobre 2013 Fiche d information sur la gestion des risques d accidents industriels majeurs

agissons ensemble Octobre 2013 Fiche d information sur la gestion des risques d accidents industriels majeurs Fiche d information sur la gestion des risques d accidents industriels majeurs Octobre 2013 Scénarios impliquant un produit toxique : Ammoniac La Brasserie Labatt du Canada, Montréal (Québec) Partenaire

Plus en détail

CHROMATOGRAPHE BTEX GC 5000 BTX

CHROMATOGRAPHE BTEX GC 5000 BTX FICHE PRODUIT - Le a été spécialement développé pour la surveillance en continu des polluants organiques dans l air ambiant dans la gamme C4-C12. L instrument se caractérise par son design compact et sa

Plus en détail

Le Code du Travail, les E.R.P., Autres Décrets & Arrêtés S.D.I.

Le Code du Travail, les E.R.P., Autres Décrets & Arrêtés S.D.I. Le Code du Travail, les E.R.P., Autres Décrets & Arrêtés Le Code du Travail R 232-1-13: La signalisation relative à la sécurité et à la santé au travail doit être conforme à des modalités déterminés par

Plus en détail

Soumise à l effet du vent, à la différence

Soumise à l effet du vent, à la différence CVC N 871 NOV./DÉC. 2011 13 PROFESSION ÉTUDE Infiltrométrie Vers un résultat d étanchéité à l air des bâtiments La réglementation thermique 2012 impose un niveau élevé d étanchéité à l air des nouveaux

Plus en détail

2.7 Le bétonnage par temps chaud par temps froid

2.7 Le bétonnage par temps chaud par temps froid Chapitre Les bétons courants.7 Le bétonnage par temps chaud par temps froid.7.1 - Le bétonnage par temps chaud 3 Granulats Les conditions climatiques lors de la mise en œuvre ont une grande influence sur

Plus en détail

l entretien des chaudières

l entretien des chaudières Préservez et améliorez les performances de votre installation de chauffage : l entretien des chaudières L H A B I T A T I N D I V I D U E L pour un chauffage sûr et efficace Votre logement est équipé d

Plus en détail

de faible capacité (inférieure ou égale à 75 litres) doivent être certifiés et porter la marque NF électricité performance.

de faible capacité (inférieure ou égale à 75 litres) doivent être certifiés et porter la marque NF électricité performance. 9.5. PRODUCTION D EAU CHAUDE sanitaire Les équipements doivent être dimensionnés au plus juste en fonction du projet et une étude de faisabilité doit être réalisée pour les bâtiments collectifs d habitation

Plus en détail

de l air pour nos enfants!

de l air pour nos enfants! B u l l e t i n d e l O Q A I n 1 Crèches et lieux d enseignement : de l air pour nos enfants! Le programme de l OQAI «Lieux de vie fréquentés par les enfants» a débuté en 2006. Une première phase de recueil

Plus en détail

Bienvenue Helpdesk Chauffage PEB 03/10/2013 1

Bienvenue Helpdesk Chauffage PEB 03/10/2013 1 Bienvenue Helpdesk Chauffage PEB 03/10/2013 1 La réglementation Chauffage PEB en Région de Bruxelles Capitale: aujourd hui et demain Helpdesk Chauffage PEB /EPB Verwarming 03/10/2013 2 Agenda Introduction

Plus en détail

Communauté de Communes des 4B Sud-Charente

Communauté de Communes des 4B Sud-Charente Communauté de Communes des 4B Sud-Charente Suivi-animation du PIG Intervention auprès des artisans 10 décembre 2013 SOMMAIRE 1. Qui est URBANiS et quel est son rôle? 2. Qu est-ce qu un PIG? 3. Les types

Plus en détail

Exemples de réclamations Assurance pollution pour entrepreneurs

Exemples de réclamations Assurance pollution pour entrepreneurs Groupe ENCON inc. 500-1400, Blair Place Ottawa (Ontario) K1J 9B8 Téléphone 613-786-2000 Télécopieur 613-786-2001 Sans frais 800-267-6684 www.encon.ca Exemples de réclamations Assurance pollution pour entrepreneurs

Plus en détail

Cahier des bonnes pratiques pour un nettoyage écologique des locaux du Conseil Général de la Gironde

Cahier des bonnes pratiques pour un nettoyage écologique des locaux du Conseil Général de la Gironde Le Conseil Général ménage votre santé! Cahier des bonnes pratiques pour un nettoyage écologique des locaux du Conseil Général de la Gironde Sommaire 1. Pourquoi créer ce cahier pratique du nettoyage écologique?

Plus en détail

Système de chauffage Alde Sûr, économique et respectueux de l environnement

Système de chauffage Alde Sûr, économique et respectueux de l environnement Système de chauffage Alde Sûr, économique et respectueux de l environnement Tableau de commande à écran tactile Tous les réglages du système de chauffage se font sur l écran tactile du tableau de commande,

Plus en détail

Et la ventilation créa l eau chaude

Et la ventilation créa l eau chaude VENTILATION DOUBLE EFFET VMC BBC + CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE Les P r o d u i t s 75 % D ÉCONOMIES SUR LA CONSOMMATION LIÉE À L EAU CHAUDE CHAUFFAGE DE L EAU JUSQU À 62 C AVEC LA POMPE À CHALEUR 10 %

Plus en détail

Consignes de sécurité Manipulation du dioxyde de carbone CO 2

Consignes de sécurité Manipulation du dioxyde de carbone CO 2 Consignes de sécurité Manipulation du dioxyde de carbone CO 2 Le dioxyde de carbone Le dioxyde de carbone est un gaz incolore, quasiment inodore et insipide. Il est donc pratiquement indétectable par les

Plus en détail

Détection de fuite hélium Aspect Mesure

Détection de fuite hélium Aspect Mesure Détection de fuite hélium Aspect Mesure Préparé par : F.Rouveyre Date : 24 Octobre 2012 La détection de fuite La détection de fuite par spectrométrie de masse à gaz traceur a plus de 50 ans. Même si cette

Plus en détail

SERVICES INDUSTRIELS. Bienvenue

SERVICES INDUSTRIELS. Bienvenue Bienvenue Directive G1 Directives SIN Le gaz à Nyon Rénovation But de la présentation : La «nouvelle»g1 Les changements principaux, (non exhaustifs) Donner des pistes pour appliquer ces nouvelles prescriptions

Plus en détail

VMT Mod : Ventilation modulée pour le tertiaire

VMT Mod : Ventilation modulée pour le tertiaire Notice de Montage VMT Mod : Ventilation modulée pour le tertiaire VC 100876 - D920_a - RCS 956 506 828 - Imprimé en France/Printed in France VMT Mod est un système de ventilation intelligent à destination

Plus en détail

Fiche de données de sécurité

Fiche de données de sécurité Produit 2T QUAD R BIODEGRADABLE Page 1/5 Etiquette du produit ETIQUETAGE (d usage ou CE) Phrases de risque Conseils de prudence ETIQUETAGE TRANSPORT Non concerné Néant Néant Non concerné 1. IDENTIFICATION

Plus en détail

VIDE DÉBIT MESURE EXCELLENCE EXCELLENCE VIDE DÉBIT MESURE EXCELLENCE DANS LA FABRICATION. EXCELLENCE DANS LES APPLICATIONs

VIDE DÉBIT MESURE EXCELLENCE EXCELLENCE VIDE DÉBIT MESURE EXCELLENCE DANS LA FABRICATION. EXCELLENCE DANS LES APPLICATIONs QUE POUVONS-NOUS FAIRE POUR VOUS? VIDE VIDE DÉBIT DÉBIT MESURE MESURE EXCELLENCE EXCELLENCE DANS LA FABRICATION EXCELLENCE EXCELLENCE DANS LES APPLICATIONs APPAREILS DE MESURE DU VIDE TOUT CE DONT VOUS

Plus en détail

CONTRAT D ENTRETIEN POUR VOTRE CHAUDIÈRE

CONTRAT D ENTRETIEN POUR VOTRE CHAUDIÈRE CONTRAT D ENTRETIEN POUR VOTRE CHAUDIÈRE ANTICIPEZ ET PRENEZ VOS PRÉCAUTIONS... ABONNEZ-VOUS AU CONFORT DE VIE!... SIGNEZ UN CONTRAT D ENTRETIEN POUR VOTRE CHAUDIÈRE 04 ENTRETIEN RÉGULIER DE VOTRE CHAUDIÈRE

Plus en détail

MISE À LA TERRE POUR LA SÉCURITÉ ÉLECTRIQUE

MISE À LA TERRE POUR LA SÉCURITÉ ÉLECTRIQUE Les informations techniques PROMOTELEC MISE À LA TERRE POUR LA SÉCURITÉ ÉLECTRIQUE La sécurité des personnes contre un défaut d isolement survenant dans un matériel doit être assurée. En effet, un défaut

Plus en détail

Travaux d adaptation du logement pour les personnes âgées

Travaux d adaptation du logement pour les personnes âgées Fiche pratique Personnes âgées Travaux d adaptation du logement pour les personnes âgées Accéder à son logement - utiliser les escaliers - prendre l ascenseur - accéder aux équipements Profiter de son

Plus en détail