LIVRE BLANC. des Directeurs. d Infrastructures et de Production L OBSERVATOIRE. Enquête et Analyse des Tendances STOCKAGE. Club des Responsables

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "LIVRE BLANC. des Directeurs. d Infrastructures et de Production L OBSERVATOIRE. Enquête et Analyse des Tendances STOCKAGE. Club des Responsables"

Transcription

1 Club des Responsables d Infrastructures et de Production LIVRE BLANC L OBSERVATOIRE des Directeurs d Infrastructures et de Production STOCKAGE Enquête et Analyse des Tendances Mise à jour - V.2 Rédigé par Nicolas Couraud Mai 2011

2

3 Table des matières ÉDITORIAL 4 AVANT-PROPOS 6 SYNTHÈSE 7 1. CONTEXTE DE L ENQUÊTE 9 2. ANALYSE DES VOLUMÉTRIES TENDANCES LIÉES à LA VOLUMÉTRIE Visions Ecarts Types BAISSE DE LA CROISSANCE : 14 RAISONS MAJEURES & FACTEURS INFLUENTS 4.1 Virtualisation du Stockage Mutualisation et consolidation plus importante du stockage Modification de la stratégie RAID / Diminution du nombre d images Optimisation des environnements de développement / pré-production Libération d espace de stockage Déduplication sur le NAS ADMINISTRATION DU STOCKAGE ET OUTILLAGE SAUVEGARDE Déploiement VTL Déduplication ÉTUDES EN COURS POUR L OPTIMISATION 24 DU STOCKAGE ET DE LA SAUVEGARDE 8. RÉPLICATION DES DONNÉES ET PRA Boot on SAN 27 A PROPOS DU CRiP 31 PAGE 3

4 Edito rial L Observatoire des Directeurs des Opérations Informatiques explore les nouvelles tendances de la gouvernance des opérations informatiques. Le domaine du stockage est aujourd hui un enjeu majeur au sein des infrastructures de systèmes d informations. D une part parce qu il héberge les données, le bien le plus précieux pour nos entreprises, mais aussi parce qu il représente aujourd hui le plus souvent un des plus gros postes de dépenses. La banalisation des technologies serveurs avec l émergence du X86 devenu un standard a permis de réduire drastiquement les coûts de la CPU et de disposer de puissance à un prix de plus en plus abordable. Mais il n en est pas de même dans le monde du stockage et de la sauvegarde qui utilise encore souvent des technologies propriétaires. Voilà bien un domaine qui a évolué de manière fulgurante au cours des dix dernières années, avec la généralisation des baies intelligentes qui offrent aujourd hui de multiples fonctions avancées. Tellement multiples qu il n est pas simple pour un Directeur des Opérations informatiques de savoir quelles sont celles qu il est judicieux d utiliser et qui peuvent faire gagner en coût, en productivité et en flexibilité. L enquête menée par le CRiP vise à apporter un éclairage sur les grandes questions qui se posent autour du stockage : - la forte croissance des volumes va-t-elle se poursuivre? - sur quels leviers peut-on jouer pour améliorer la productivité? - qu en est-il des nouvelles technologies comme la virtualisation ou la déduplication, sont-elles déployées et efficaces? - quelles sont les bonnes pratiques en termes de PRA dans le monde de la donnée? Pour aborder ces questions, nous avons utilisé essentiellement deux outils : un sondage annuel auprès des membres du CRiP pour dresser un panorama des grandes tendances des réunions d échanges régulières pour partager les expériences opérationnelles et concrètes sur ces différents thèmes On voit se dégager depuis 2009 quelques tendances significatives pour la plupart liées à l influence du contexte économique, mais également quelques évolutions depuis début 2011 : après deux années de révision à la baisse des prévisions de croissance tout comme des budgets, l année 2011 repart en légère hausse mais avec des estimations très prudentes pour la suite la 1 ère préoccupation est d améliorer le taux d utilisation du stockage et de mieux adapter son type en fonction du cycle de vie des données la 2 ème préoccupation reste de réduire les coûts d administration tout en augmentant la productivité et en automatisant tout ce qui peut l être PAGE 4

5 D un point de vue technologique, le VTL (virtualisation des sauvegardes) rencontre un franc succès et se généralise chez tous les membres. Dans le même temps, la virtualisation du stockage qui apporte flexibilité et meilleure utilisation des ressources se déploie significativement, au même titre que la mise en place des classes de stockage (Tiering), qu elles soient statiques ou dynamiques. En résumé, la tendance est à un stockage et des sauvegardes consolidés et virtualisés, afin d optimiser la flexibilité et l usage tout en simplifiant l administration. La mise en place du boot SAN et le déplacement à chaud des serveurs virtuels font de la baie de stockage l élément central du DataCenter. Quoi de plus important en effet que les données dans un Système d Information? On peut affirmer que désormais, les serveurs sont devenus des périphériques du stockage, et dans le même temps que les baies de stockage ont adopté les composants banalisés des serveurs (disques SAS et SSD, processeurs X86, etc.) La convergence SAN/LAN qui devient une réalité avec FCoE ne fait que confirmer cette tendance à créer une infrastructure unifiée et convergée. STOCKAGE : Enquête et Analyse des Tendances LiVRE BLANC Bien que la virtualisation permette plus facilement l utilisation de baies MidRange moins coûteuses, le stockage reste cher et devient le principal poste de dépenses dans le datacenter. Les technologies de stockage hiérarchique, de multi-tiering dynamique, de déduplication, ou de compression doivent contribuer à réduire les coûts, sans pour autant impacter le niveau de service. Le groupe stockage compte bien approfondir ces sujets pour vous dire si cette vision se concrétise sur le terrain. Je vous invite tous à rejoindre notre groupe de travail pour partager vos expériences ainsi que les bonnes pratiques opérationnelles François Dessables Pilote du Groupe de travail Stockage Vice-Président du CRiP PSA PEUGEOT CITROEN PAGE 5

6 Avant- Propos L Observatoire des Directeurs d Infrastructures et de Production est une initiative du CRiP. Cet observatoire regroupe l ensemble des documents produits par les groupes de travail. A l usage des membres du CRiP, ces documents sont de plusieurs types : Enquête et Analyse des tendances Livre Blanc : les meilleurs pratiques Dossier d analyse des innovations technologiques et d aide à la rédaction d appel d offre Fiches pratiques Les Enquêtes et Analyses de tendances sont issues de questionnaires renseignés par les membres du CRiP. L analyse des résultats recueillis permet de mesurer et d observer l évolution des enjeux des CTOs et de leurs infrastructures. En outre, elle met en relief les grandes tendances liées aux principaux challenges des productions informatiques. Les Livres Blancs s appuient sur les retours d expériences effectués durant les réunions des Groupes de Travail et sur les débats qui s ensuivent. Ils clarifient les usages et les limites des technologies émergentes, ils mettent en évidence les bonnes pratiques, ils proposent nouvelles méthodes et référentiels, ils explorent et inventorient les différentes composantes de l Infrastructure et de la Production. Dans le cadre de l Observatoire des Directeurs d Infrastructure et de Production, chaque groupe de travail actif apporte une contribution importante à l élaboration de documents de référence. Actuellement, seize groupes de travail CRiP sont actifs : Stockage, DataCenter & Efficacité énergétique, CMDB, Low Cost, Mainframe, Stockage, Cloud Computing, Architecture Technique d Entreprise, Plans de Reprise d Activité, Virtualisation des serveurs et postes de travail, Bases de données, Orchestration, Gouvernance, Analyse des coûts de production, Réseaux Mobilité Collaboratif, CRiP Toulouse. Le second trimestre 2011 verra se créer des Groupes de Travail dans le domaine des Licences logicielles, de la Sécurité, ainsi que de nouveaux groupes régionaux. Depuis trois ans, de nombreux documents ont été publiés. Nous mentionnerons en particulier : - Livre Blanc PRA : Définitions, Concepts, Bonnes Pratiques et Enquête - Fiche Pratique Alignement stratégique de la Production Informatique aux Métiers de la Production (réédition enrichie 2011) - Livre Blanc CMDB : Enquête et Analyse des tendances - Livre Blanc Cloud Computing édition 2010 & édition Livre Blanc Datacenter : Analyse et Tendance, vers le Datacenter Idéal - Dossier d Analyse Technologique Hyperviseurs serveurs x86 Sont actuellement en préparation - Livre Blanc Optimisation des coûts en environnement Mainframe - Fiche Pratique Architecture Technique d Entreprise : état des lieux, définitions, outillage - Fiche Pratique Mutualisation et Consolidation des bases de données - Livre Blanc Analyse des coûts de la Production - Livre Blanc Virtualisation : Enquête et Analyse des tendances Tous ces ouvrages parus ou à paraître constituent des références importantes pour les CTOs et leurs équipes. Ils permettent de s affranchir d études parfois longues et coûteuses et de se «benchmarker» par rapport aux grandes tendances actuelles. Plus généralement, ils sont des outils reconnus pour l amélioration de la productivité. Bonne lecture à tous! Nicolas Couraud Responsable de la coordination des travaux du CRiP PAGE 6

7 Synthèse Cette mise à jour de l «Enquête et Analyse des tendances» de l observatoire des Directeurs d Infrastructure et de Production est dédiée aux Infrastructures de Stockage et de Sauvegarde. Elle présente une cartographie et une analyse de l existant et permet de dégager les grandes tendances dans ce domaine avec un recul de 3 ans. La première grande tendance constatée porte sur l augmentation de la croissance de la volumétrie du stockage et de la sauvegarde. En 2008, comparativement aux trois années passées, les directeurs de Production et d Infrastructure annonçaient déjà une baisse sensible de la croissance des volumétries de stockage et de sauvegarde. En 2009, cette croissance se dégradait fortement renoue très modestement avec les années d avant crise. Toutes les sociétés n ont pas été affectées de manière identique. STOCKAGE : Enquête et Analyse des Tendances LiVRE BLANC Il est intéressant de souligner deux points : 1) Afin de diminuer les coûts, les sociétés ont mis en œuvre de nouvelles initiatives ou processus et ce parfois d une façon drastique et en urgence. Aujourd hui, ces «nouvelles manières de faire» sont devenues les «bonnes pratiques» du quotidien. 2) La crise a eu un impact non négligeable sur les études de mise en place de nouvelles pratiques ou de nouvelles technologies. En effet, il semble que les études (mentionnées ci-dessous) démarrées avant la crise ont abouti à leurs réalisations durant cette dernière ou début 2010, sous réserve qu elles contribuent à la réduction des couts. Par contre, les études prévues mais non démarrées avant la crise semblent pour un grand nombre d entre-elles avoir été repoussées. De fait, pour certaines nouvelles pratiques, peu de mises en œuvre au sein des productions informatiques ont été réalisées. Les études coutent cher en temps de crise! Les pratiques mises en œuvre les plus significatives sont : La virtualisation du stockage La consolidation et la mutualisation des espaces de stockage La modification des stratégies de protection des données L optimisation des environnements de développement / homologation / pré-production. La libération d espace de stockage La déduplication sur les environnements NAS La généralisation des outils d administration du stockage, d analyses de performance, de SRM (Storage Ressource Management) et des outils de refacturation Le Thin Provisionning et le Surbooking Le tiering de stockage Le déploiement des solutions de VTL La déduplication des sauvegardes Le Boot on SAN PAGE 7

8 Il est intéressant de comparer le niveau de pénétration de certaines de ces pratiques au sein des productions informatiques. Certaines pratiques dont on parle beaucoup sont encore à des niveaux faibles de déploiement en production. L enquête 2010 s est intéressée aux études conduites dans les domaines des pratiques innovantes et du stockage du futur. Je vous laisse le soin de découvrir plus en détails tous les éléments et grandes tendances relatifs à cette enquête 2008 / 2009 / Nicolas Couraud PAGE 8

9 1 CONTEXTE DE L ENQUÊTE A l initiative du groupe de travail Stockage, trois enquêtes ont été réalisées en 2008, 2009, 2010 auprès de membres actifs du CRiP répartis dans trois grands secteurs distincts : Banque / Assurance Industrie / Télécommunications / Services (hors services informatiques) / Grande distribution Secteur public / Ministères / Défense STOCKAGE : Enquête et Analyse des Tendances LiVRE BLANC Cette nouvelle édition (version 2 mise à jour en juin 2011) fait suite au premier livre blanc «Stockage» publié en Novembre Ce dernier présentait les résultats de deux enquêtes réalisées au cours du premier semestre 2008 et courant Le groupe de travail Stockage a relancé une enquête fin 2010 afin de pouvoir : - affiner les résultats - confirmer ou infirmer certaines tendances - dégager des tendances plus précises - suivre l évolution des tendances des deux premières enquêtes et apporter des explications sur les causes et les conséquences de ces tendances - confirmer ou infirmer certains modèles, l adoption ou l abandon de certaines technologies - définir les sujets importants à traiter au sein du groupe de travail stockage La très grande majorité des membres ayant répondu au questionnaire 2010 travaillent au sein d entreprises de taille importante. L effectif de ces sociétés est supérieur à personnes et dans la majorité des cas dépasse les employés. Les quelques sociétés de taille plus modeste possèdent néanmoins un département «Production Informatique et Infrastructure» très représentatif. Il est important de noter que certains groupes internationaux, ayant un effectif très important et un chiffre d affaires de plusieurs milliards d euros, n ont pas pour autant un département informatique de grande taille (et vice versa). Le dimensionnement d une Direction Informatique est beaucoup plus en corrélation avec les métiers de l entreprise et l importance des volumes de données manipulées. Bien que les répondants soient issus de grandes sociétés françaises, appartenant pour la plupart à des groupes internationaux, il n en demeure pas moins que bon nombre de tendances, de résultats et d explications sont pertinent pour des sociétés de tailles beaucoup plus modestes, voire de «grosses» PME. Les questionnaires couvraient tant les architectures dites «Open» que les architectures «Mainframe». Chaque domaine comportait une centaine de questions. C est cette richesse de données qui a permis d étayer les résultats et les grandes tendances développés dans cet «Observatoire des Directeurs de Production et d Infrastructure» Quelques éléments complémentaires concernant le périmètre de l enquête: PAGE 9

10 Plus d une centaine de centres de données principaux (hors centres techniques ou de proximité) plus de serveurs dont plus de connectés à un SAN des dizaines de Péta octets de volumétrie brute environ 600 baies de stockage. Les typologies des infrastructures de stockage et de sauvegarde des répondants sont très diverses, tant sur le plan des architectures, que sur le plan des technologies matérielles et logicielles mises en œuvre. Cette diversité donne à cette enquête toute sa pertinence! 2 NB : L enquête 2010 intègre plus de répondants possédant un Mainframe que l enquête Ceci expliquant la part plus importante de stockage relative à l environnement Mainframe. ANALYSE DES VOLUMÉTRIES Le premier indicateur dans le monde du stockage, celui qui intéresse tant les fournisseurs que les services achats des sociétés utilisatrices, est bien évidemment la volumétrie brute. Il est synonyme de «revenus» pour les uns, de «dépenses conséquentes» à justifier pour les autres! A l inverse du poste «Serveur» dont le Coût Total de Possession (TCO) a fortement diminué, le poste «Stockage» demeure un des centres de coûts les plus importants au sein du Centre de Données. Trois types de volumétries ont été analysés : la volumétrie SAN et NAS dans le monde Open et la volumétrie SAN accédée par le monde Mainframe. La volumétrie SAN dans le monde Open est très prépondérante, suivie de la volumétrie NAS puis du Mainframe qui représente aujourd hui une partie faible de la somme des volumétries brutes de l ensemble des répondants. Environ 40 % des sociétés interrogées possèdent un environnement Mainframe. Considérant uniquement ces entreprises, la part de volumétrie Mainframe reste malgré tout relativement faible (environ 7 %) tout comme la volumétrie NAS. Il apparaîtra par la suite que la partie Mainframe à tendance à diminuer et la partie NAS à augmenter fortement sur 2008, 2009 et En ce qui concerne le Mainframe, une légère tendance à la hausse est prévue pour 2011! On constate d une façon générale un doublement de la volumétrie par baie de stockage entre 2008 et Tendance qui se confirme sur Répartition de la Volumétrie globale (tous répondants confondus) Réparation de la Volumétrie globale pour les comptes possédant un Mainframe. PAGE 10

11 3 TENDANCES LIÉES A LA VOLUMETRIE 3.1 Visions Pour les trois enquêtes (2008 / 2009 / 2010), deux questions identiques ont été posées. La première fois en 2008 avant la «crise financière», la deuxième fois en 2009 pendant cette dernière et la troisième fois en 2010 dans la phase de redémarrage. a) Croissance constatée annuelle moyenne en % du volume de stockage sur les trois dernières années? b) Croissance annuelle moyenne en % prévue du volume de stockage sur les trois années à venir? Il est intéressant de comparer les réponses compte tenu de cette crise financière de 2009 : «Vision 2008» : En 2008, les Directeurs de Production escomptaient déjà une légère diminution de la croissance des volumétries en comparaison des trois années précédentes et des trois années à venir. Cette diminution de la croissance était estimée à moins de 10 %. «Vision 2009» : Sans surprise, les Directeurs de Production revoient leur croissance pour les trois années à venir à la baisse de façon drastique : baisse estimée : inférieure à 20 % par rapport à la vision antérieure. «Vision 2010» : La crise financière semble s estomper, les Directeurs de Production revoient leur croissance pour 2011 à la hausse. Il est difficile pour eux de se prononcer audelà de Il est intéressant de comparer, à périmètre constant, la croissance attendue de la volumétrie pour 2009 (enquête 2008) et la croissance réellement constatée en 2009 (enquête 2009). Avant la crise et pendant la crise financière! En 2008, les directions de la Production planifiaient pour 2009 une croissance de l ordre de 35 % à 40 %. La croissance réelle constatée en 2009 par les répondants était inférieure à 17 %! Sortie de crise, légère reprise en Les chiffres sont revus à la hausse avec environ 10 % de mieux soit une croissance totale de 30 %. Les projets redémarrent, les actions entreprises pour réduire la croissance ont atteint en partie leurs limites. Les chiffres attendus pour 2011 semblent être tout à fait réalistes et tenus. Un dernier aspect relatif à la volumétrie globale est intéressant à mettre en évidence. Il s agit de la répartition de la croissance entre les trois types de stockage : SAN, NAS, Mainframe. PAGE 11 STOCKAGE : Enquête et Analyse des Tendances LiVRE BLANC

12 Deux points de vue s opposent : 1) Enquête 2009, pendant la crise : Le SAN est conforme à la croissance globale escomptée. Le NAS Open qui représente en % de la volumétrie globale des répondants est l environnement pour lequel la croissance est la plus importante. Le stockage Mainframe est en réduction d environ 7 % à 8 %. La tendance de l époque était de réduire les applications Mainframe au profit des applications tournant dans monde Open. Le X86 était particulièrement favorisé. NB : Il est courant d exprimer aujourd hui les volumes de données en Péta-octets dans le monde Open. Dans le monde Mainframe, on parle toujours en Téra-octets! 2) Enquête 2010, redémarrage après la crise : Le NAS Open représente en 2010, 16 % de la volumétrie globale des répondants. Il est toujours l environnement pour lequel la croissance escomptée pour 2011 serait la plus importante. La projection de croissance pour le SAN Open demeure quasi identique par rapport à 2009 (quelques % de moins). Par contre le Mainframe, pour lequel nous attendions une décroissance est à nouveau à la hausse. Si nous ne considérons que les répondants possédant un Mainframe, la hausse escomptée ( ) serait de l ordre de 20 % (courbe verte Mainframe (répondants)). Considérant l ensemble des répondants, ce chiffre est de 10 % (courbe violette Mainframe (volumétrie). Certains projets de «downsizing» vers de l X86 n auraient-ils pas vu le jour? PAGE 12

13 3.2 Ecarts Types En comparant plus précisément les volumétries 2008, les volumétries 2009 et les volumétries 2010, il apparaît que certaines sociétés, notamment les établissements à caractère financier Banque / Assurance ont une croissance supérieure à la moyenne. D autres sociétés, particulièrement dans le domaine industriel, ont une croissance bien inférieure à la moyenne constatée. Les écarts types concernant la volumétrie sont importants : de quelques % - pas de croissance - à 100 % - doublement de la volumétrie. La croissance de la volumétrie semble suivre les indicateurs plus généraux, financiers et «business» des sociétés, évoqués par les analystes financiers. Il est à noter que certaines sociétés ne se sont pas prononcées sur les tendances volumétriques pour les trois années à venir. Durant la période , le ratio TO adressable / TO brut a augmenté de 10 %. Cela implique 10 % de stockage supplémentaire pour une même volumétrie brute. PAGE 13 STOCKAGE : Enquête et Analyse des Tendances LiVRE BLANC

14 4BAISSE DE LA CROISSANCE : RAISONS MAJEURES & FACTEURS INFLUENTS Pour les Directeurs d Infrastructure et de Production, les prévisions de croissance en termes de stockage et de sauvegarde sont nettement inférieures aux croissances enregistrées durant les années précédentes. La raison principale est la crise que nous avons traversé, et ce à double titre : a) L activité de certaines lignes métiers est nettement réduite. En conséquence le volume des informations à stocker et à sauvegarder était réduit d autant. Plusieurs répondants indiquent clairement qu il s agit de la cause directe de la diminution de leur croissance de stockage et de sauvegarde. En 2010, les projets redémarrent mais les espaces alloués sont extrêmement contrôlés, doivent être impérativement justifiés et tirent profit des initiatives prises durant la crise en 2009 (CF. : chapitres 4.x cidessous). b) Face à la crise, les directions générales mettent une pression très importante sur les directions informatiques. Tout investissement doit être justifié. Pour la grande majorité des entreprises, un investissement est justifié sous réserve que le retour sur investissement (ROI) associé soit très rapide, inférieur à un an, voire dans l année fiscale. Par ailleurs, au sein des infrastructures, le coût du stockage demeurant un coût très important comparé à ceux des serveurs et des réseaux, les budgets alloués dans ce domaine sont extrêmement réduits et contrôlés. Les gains sont à réaliser sur le stockage! Pour faire face à ces nouvelles directives, les responsables des infrastructures de stockage mettent en œuvre des initiatives d optimisation de l existant, de nouvelles procédures et technologies. Toutes ces opérations visent à améliorer la productivité. Le maître mot : «Commencer à remplir mieux ce que nous avons». Les six chapitres suivants portent sur des initiatives qui ont été largement mises en œuvre durant «la crise 2009». Les bonnes habitudes ayant été prises, certaines «nouvelles» pratiques perdurent et se perpétuent apportant ainsi une meilleure maîtrise du stockage et des coûts associés. 4.1 Virtualisation du Stockage Plus de 30 % des répondants (contre 13 % en 2008 et 28 % en 2009) ont déployé en production la virtualisation du stockage au sein d au moins l un de leurs centres de données. Peu de répondants ont mis en œuvre la virtualisation entre 2009 et 2010, à l inverse des années 2008 et 2009 où le déploiement de cette technologie avait plus que doublé. Le taux actuel moyen de virtualisation du stockage en production pour ces répondants est de l ordre de 50 %. Un des répondants mentionne avoir plus de 1 Po adressable virtualisé. Des mises en production récentes tirent cette moyenne vers le bas et de fait expliquent ce chiffre. Il est à noter qu un seul répondant mentionne avoir virtualisé l ensemble de ses baies de stockage. La tendance au-delà de 2010 est à la hausse. Bon nombre des sondés réalisent actuellement une étude de la virtualisation de leur stockage. Le retour sur investissement (ROI) lié aux solutions de virtualisation du stockage est construit sur la base des éléments suivants : PAGE 14

15 NB.: HighEnd : EMC DMX, IBM DS8xxxx, HDS USPV, HP XP, SUN 99xx, MidRange : EMC Clariion, IBM DS4xxx, HDS NSCxx, HP EVA, SUN 65xx, LSI Diminution des coûts d administration (processus / hommes) Facilitation du remplacement de baies Facilitation de la migration des données Economie sur les licences de réplication Possibilité de pratiquer du surbooking Facilitation de la mise en œuvre du tiering de stockage Mise en concurrence plus aisée des fournisseurs Minimisation des interruptions de service lors d interventions Le «mix» entre les baies «HighEnd» et «MidRange» est important. 80% des sociétés possèdent des baies «HighEnd» 95% des sociétés possèdent des baies «MidRange». Deux sociétés déclarent avoir automatisé la migration des données. STOCKAGE : Enquête et Analyse des Tendances LiVRE BLANC Nombre de répondants adhèrent aux éléments cités ci-dessus et expliquent qu ils ont obtenu un réel gain. Une attention particulière doit être portée aux montées de version des moteurs de virtualisation. Ces modifications peuvent impacter l ensemble du parc virtualisé. Une très forte majorité des répondants estime utiliser actuellement un stockage surdimensionné par rapport à la criticité des données. La virtualisation apporte un gain significatif pour l administration du stockage, le «thin provisionning», l optimisation de la gestion des classes de stockage et le remplissage des baies de stockage. Pour certains répondants, l une des motivations importantes est la capacité de déployer par défaut les applications sur des baies «MidRange», et de migrer facilement sur des baies «High End» en cas de problèmes de performance. La virtualisation permet de prendre plus de risques sur le placement des données. Un répondant explique clairement que par défaut, toute nouvelle application est mise en production sur du «MidRange». Il précise que pour le moment, il n a pas eu de requête pour évoluer vers du «HighEnd»! Les répondants ayant mis en œuvre en production la virtualisation déclarent que le gain relatif à l administration du stockage est important. Néanmoins, une mise en garde relative à l utilisation de la virtualisation est relevée par plusieurs répondants. Dans certains cas, il demeure nécessaire d exercer une vigilance accrue au niveau des liens ISL, la virtualisation favorisant l utilisation massive des liens inter-switchs des ilots SAN. Cet aspect est lié à l utilisation de «fabrics» distribuées. Il est nécessaire de bien comprendre les impacts de la virtualisation sur le SAN afin d anticiper les congestions pouvant être induites par la mise en place de la virtualisation, ainsi que les impacts sur la haute disponibilité de l architecture globale. De la même façon les processus d administration devront être modifiés. Par ailleurs, il apparait que l analyse des incidents SAN est beaucoup plus difficile quand le stockage est virtualisé. De fait, la virtualisation induit un besoin d outils de diagnostics plus complets et plus «industriels» car la complexité technique liée à la virtualisation augmente fortement. Des répondants déplorent ce manque actuel. PAGE 15

16 Parmi les 70% d interrogés ayant répondu à la question : «Pratiquez vous le Thin Provisionning / le Surbooking», 30% déclarent le faire. 4.2 Mutualisation et consolidation plus importantes du stockage Une tendance forte est dégagée par les répondants sur les pratiques de consolidation et de mutualisation du stockage. Ces opérations permettent d augmenter fortement le taux de remplissage des baies existantes. Plusieurs CTOs expliquent clairement que tout achat de baie est bloqué tant que les baies existantes ne sont pas remplies. La mutualisation des baies de stockage entre les différents clients projets et/ou applicatifs permet d améliorer très nettement le taux de remplissage des baies de stockage. Les CTOs notent qu il est parfois difficile d obtenir l adhésion des lignes projets et/ou applicatives à cette pratique, compte tenu de la perte d autonomie que cela peut engendrer. Dans cette optique, il devient nécessaire d avoir une planification plus fine des «arrêts de service» ou «montées de service». En effet, ces derniers impactent plusieurs clients, projets et/ou applicatifs simultanément. Outre les aspects volumétriques et financiers, la virtualisation du stockage permet d augmenter très significativement la flexibilité des architectures et l administration associée. Les craintes des maîtrises d ouvrage sont essentiellement liées aux premières mutualisations et consolidations. Certains répondants mentionnent des opérations de consolidation de stockage sur des baies de fortes capacités. Néanmoins, une attention toute particulière doit y être portée pour éviter tout problème de performances. Un répondant rapporte qu il a consolidé et mutualisé jusqu à 200 applications métier sur une même baie. Dans le cadre de la mutualisation, l outillage de type SRM (Storage Ressource Management) est d un grand intérêt. Il permet de contrôler les niveaux de remplissage et les utilisations effectives pour chaque application. PAGE 16

17 4.3 Modification de la stratégie RAID / Diminution du nombre d images Plusieurs répondants disent avoir procédé à des modifications de la stratégie de protection des disques, par exemple en remplaçant le RAID 1 par du RAID 5. Outre les aspects de protection et de performances, le gain est très significatif. Le passage d un RAID 1 à un RAID 3+1 permet d obtenir théoriquement un gain de 50 % sur la volumétrie. Pour un même besoin de volumétrie utile, cela implique une réduction de 33 % de la volumétrie brute nécessaire. Dans le même esprit, une attention toute particulière est portée sur la problématique du nombre d images co-existantes sur les systèmes de stockage. Un nombre important de répondants mentionne un nombre exagéré d images (réplicats, clones, snapshots,...) sur leurs systèmes. Ils déclarent avoir pris des mesures pour diminuer les images superflues tout en conservant les niveaux de service requis, la fiabilité et la qualité globale. Dans cet esprit, certains répondants ont même procédé au démontage d environnements de PRA pour des environnements jugés non critiques, des environnements de pré-production, en acceptant parfois même, une dégradation du niveau de service. Dans le monde du Mainframe et pour certains répondants le nombre d images est souvent très important en raison du niveau de sécurité requis. De fait, la volumétrie réellement utilisable peut être entre 3 et 6 fois moindre que la volumétrie brute. 4.4 Optimisation des environnements de développement / pré-production. Pour la majorité des répondants, la duplication des images est étroitement liée à la multiplicité des environnements de développement, d homologation de pré-production, bacs à sable,... Ces environnements, ont fait l objet d une attention toute particulière afin de réduire les volumétries engagées, tant sur le plan technique que procédural. Dans ce cadre, certaines productions ont été extrêmement regardantes sur les demandes des équipes de développement en ce qui concerne l allocation de volumétries. Il a été nécessaire de changer certains processus au niveau des équipes de développement. Tous les environnements de pré-production ne sont plus, par défaut, dupliqués à «IsoProd». Les techniques de déduplication du stockage primaire et de thin provisionning devraient aider à réduire les espaces nécessaires pour ces types d environnements, sans pour autant diminuer les niveaux de service. Un CTO rapporte que pour une de ses applications, l ensemble des réplicats, des environnements de développement, d homologation, de pré-production et autres, représentait jusqu à 40 fois la volumétrie utile en production. C est à dire que pour 1 Go en production, 40 Go étaient alloués pour l ensemble des images. A ce titre, un répondant mentionne le montage et le démontage systématique des machines de pré-production suivant le besoin. PAGE 17 STOCKAGE : Enquête et Analyse des Tendances LiVRE BLANC

18 4.5 Libération d espace de stockage Une autre pratique utilisée par certains comptes, consiste à faire le «tri» des données et à libérer «froidement» de l espace de stockage, principalement lorsqu il s agit d applications ou de données obsolètes. Préalablement à ces opérations, un «destaging» sur bandes magnétiques peut être effectué. Le destaging sur bandes magnétiques peut également être automatisé par l utilisation d outils de type HSM (Hierarchical Storage Management). Ces outils déplacent automatiquement les données d un support de stockage vers le support de stockage le plus approprié en fonction du cycle de vie des données et/ ou de règles prédéfinies. Plus de 50 % des répondants utilisent un outil de HSM, principalement en environnement Mainframe. Outre la libération de l espace de stockage, un répondant mentionne que cette pratique permet aussi de libérer de l espace nécessaire au sein des centres de données et de fait, d économiser de l énergie électrique et du «froid». 4.6 Déduplication sur le NAS Moins de 20 % (idem en 2009) des sondés étudient actuellement les technologies de déduplication sur le stockage primaire. Ces études se portent principalement sur la déduplication en environnement NAS. Un répondant déclare utiliser la déduplication NAS en production avec des gains allant jusqu à 30 %. La déduplication sur le NAS est une tendance qui se confirme sur % des répondants envisagent d utiliser cette fonctionnalité. Dans un objectif de réduction forte de la volumétrie associée aux bases de données, quelques directions expérimentent actuellement le déploiement de bases de données sur des environnements NAS, avec utilisation de la déduplication. Outre les aspects techniques, cette nouvelle pratique exigera un changement important des processus tant pour les équipes de développement que de production. PAGE 18

19 5 ADMINISTRATION DU STOCKAGE ET OUTILLAGE L administration du stockage est un facteur clé pour l optimisation de la volumétrie et la réduction des coûts, tant sur le plan technologique que des ressources humaines. Tous les répondants annoncent une productivité en termes d administration en forte augmentation grâce à: L adoption de technologies telles que la virtualisation (stockage et sauvegarde) L utilisation massive d outils d administration L utilisation d outils d analyse de performances L utilisation d outils de SRM (Storage Ressource Management) L automatisation de tâches telles que la migration de données en environnement virtualisé Il y a un consensus général sur l utilisation de la virtualisation de stockage. L administration est grandement simplifiée et permet de libérer des ressources. On tend vers une banalisation de l administration du stockage grâce à la virtualisation. Toutes les sociétés répondantes utilisent un outil d administration de stockage. 85 % de ces outils sont fournis par les constructeurs tels que : HDS HiCommand, EMC ECC, HP StorageWorks, NetApp FilerView Les 15 % restants utilisent des outils dits «maison». En 2010, plus de 82 % des répondants utilisent un outil d analyse de performances, contre 77 % en 2009 et 44 % en Il n en demeure pas moins que plus de 35 % des répondants rencontrent toujours des problèmes de performances du stockage. Les outils de SRM et de refacturation déployés en 2009 représentaient 20 % des répondants. Alors que la tendance escomptée pour 2010 était à la hausse d une façon franche, le taux de déploiement de ces outils en 2010 n est que de 28 %. Bien que d un niveau de pénétration encore faible, ces outils sont de plus en plus étudiés par les directions informatiques. Pour le stockage, ils permettent d avoir une visibilité totale sur ce qui est effectivement consommé et de fait, de mieux l utiliser. Par ailleurs, ils permettent de justifier auprès des lignes métiers l utilisation et les coûts de stockage engendrés par leurs demandes. STOCKAGE : Enquête et Analyse des Tendances LiVRE BLANC En 2008, un administrateur stockage gérait en moyenne 75 To En 2009, ce même administrateur gère 135 To soit un gain de 80 % de productivité par rapport à 2008 En 2010, ce même administrateur gère 250 To soit un gain de 85 % de productivité par rapport à 2009 et un gain de productivité de 330 % par rapport à 2008 PAGE 19

20 Pour l ensemble de ces trois outils, «analyse de performances», «SRM», «Refacturation», la croissance la plus importante a été réalisée entre 2008 et 2009 : quasiment du simple au double en revanche n a vu qu une «vague consolidation» de l utilisation de ces outils dont la diffusion a très faiblement augmenté. De façon générale, les CTOs expriment que le coût d administration du Go est plus important en mode SAN qu en mode NAS. Néanmoins, un répondant signale que les coûts de gestion de l environnement NAS (représentant 25 % de sa volumétrie brute) sont nettement plus importants que la gestion du SAN (au Go administré). Ce dernier précise, que son environnement SAN est très homogène en termes de fournisseurs. Dans le cadre de la diminution des coûts d administration et de la pression sur les effectifs, certains répondants ont une réflexion avancée (voire effective) sur l externalisation et/ou l «offshoring» d une partie de l administration du stockage. Ces réflexions portent sur la séparation des niveaux d administration (N1, N2, N3) et principalement l externalisation du niveau 1, voire niveau 2, pour une meilleure optimisation économique. Toujours dans le registre «pression sur les coûts», les enquêtes 2009 et 2010 montrent que le taux de renouvellement des baies diminue. En 2008, les CTOs renouvelaient en moyenne leurs baies tous les trois à quatre ans. En 2009, la durée de vie des baies de stockage est proche de 4 ans 1 2. Cette tendance se confirme sur 2010, souvent aidée par l utilisation de la virtualisation et du HSM afin de destager des anciennes baies dans le cadre du «tiering» de stockage. PAGE 20

21 6 SAUVEGARDE Les tendances de croissance des volumétries de sauvegarde, tout comme celles du stockage, sont révisées à la baisse. En termes de sauvegarde, les années 2009 et 2010 ont été les années du déploiement en production de la sauvegarde sur disque et surtout de l utilisation de la virtualisation des sauvegardes via VTL. 6.1 Déploiement VTL L utilisation de la VTL (Virtual Tape Library) est quasi généralisée auprès des répondants. En effet en 2010, plus de 75 % d entre eux possèdent une VTL en production, en environnement Mainframe ou Open. En 2009, 70 % des répondants possédaient au moins une solution VTL, contre 57 % en Il est à noter que : Le taux de déploiement de solutions VTL 2010 (barres jaunes) est supérieur à celui qui avait été «forecasté» (barres vertes) pour 2010 lors de l enquête % des répondants en 2008 avaient réalisé une étude sur l utilisation de solution VTL. Le taux de transformation en 2009 était déjà excellent Le monde Mainframe est en avance. En effet le concept y est déjà ancien Le monde Open beaucoup plus représentatif en termes de volumétrie, est en retard, avec un pourcentage de déploiement légèrement supérieur à 65 % en Un accroissement significatif a été constaté entre 2009 et 2010, environ 15 %, supérieur à ce qui avait été prévu en 2009 pour PAGE 21

22 La tendance à la hausse, concernant l utilisation de la VTL dans le monde Open, se confirme sur L acquisition d une solution VTL est souvent corrélée à l obsolescence du matériel actuel : problèmes de fiabilité des robotiques ou fin de vie. Ces deux éléments induisent souvent des coûts importants de maintenance. L utilisation d une solution VTL améliore fortement la fiabilité de la sauvegarde ainsi que les temps nécessaires aux opérations de sauvegarde et de restauration. La majorité des répondants utilisent actuellement une solution VTL associée à une robotique de bandes. Ils pratiquent le «destagging» de la VTL vers les bandes. Les dimensionnements de la durée de rétention dans le cache sont variables et dépendent du contexte économique et des niveaux de service (SLA) attendus. La durée de conservation dans le cache est un équilibre à trouver entre le TCO, les niveaux de services rendus et le taux de déduplication moyen mesuré (pour ceux qui l ont mis en œuvre). Cache = ƒ(tco, SLA, Taux déduplication) Cette fonction semble toujours difficile à étudier. L expérimentation est souvent nécessaire. Une bonne pratique identifiée est le déploiement par étapes. En 2008 / 2009, certains jugeaient que les solutions VTL étaient fonctionnelles mais pas encore matures à 100 % d un point de vue technique. La plupart des répondants avaient rencontré en 2008 / 2009 des difficultés de déploiement. Néanmoins à ce jour, beaucoup de problèmes semblent être corrigés. La rationalisation des sauvegardes induite par les solutions VTL, diminue les coûts d administration de ces sauvegardes. Les répondants ne se prononcent pas sur le pourcentage de gain estimé sur le TCO après la mise en production de la virtualisation. Néanmoins, un répondant explique que dans son cas - renouvellement de l ensemble de la robotique de bandes l étude montre une amélioration sensible du TCO. Cette tendance est confirmée par d autres répondants. La stratégie de migration physique de l existant vers la solution VTL est très majoritairement manuelle. Les solutions de VTL sont souvent répliquées sur un site distant. Certains répondants mentionnent des distances importantes nécessitant de procéder de façon asynchrone, ce qui génère quelques petits soucis. En cas d indisponibilité sur le site primaire, la restauration est alors effectuée depuis le site secondaire. En environnement Mainframe, un répondant mentionne que la recopie d une génération de cartouches vers une autre se fait de manière automatique. Cela évite des opérations complexes nécessaires auparavant. En ce qui concerne la grande question de la suppression des bandes magnétiques, de plus en plus de répondants y pensent comme étant une solution à terme. Cependant, le compromis VTL / bandes semble être pour le moment acquis. Toutefois, plusieurs répondants, ayant des volumétries importantes, affichent une volonté de supprimer les bandes. La durée de rétention sur disque varie entre 3 et 60 jours. Un administrateur de sauvegarde gère en 2010 entre 300 et 500 To en moyenne. Quelques comptes affichent, par rapport au volume total de la sauvegarde, un pourcentage de sauvegardes virtualisées compris entre 90 % et 100 %. PAGE 22

23 6.2 Déduplication La déduplication de la sauvegarde est un sujet dont on parle beaucoup. Néanmoins, le taux de pénétration en 2010 de cette technologie en production reste faible. Une croissance d environ 50 % du déploiement est à noter entre 2009 et Ce taux est d environ 45 % en 2010, contre 30 % en 2009 et 25 % en Beaucoup d études et de déploiements sont actuellement en cours sur cette pratique, et le taux escompté de répondants possédant une solution de déduplication en production en 2011 devrait dépasser 50 %. Les solutions de déduplication utilisées dans le contexte VTL sont efficaces. Le gain est réel et constaté. Un répondant possédant une solution de déduplication couplée à une solution VTL indique que sur la sauvegarde d un environnement SAP, le taux de compression constaté est de 3. Un autre répondant utilise une solution de déduplication couplée à une solution VTL pour la sauvegarde d environnements de bases de données. Il constate un taux d optimisation volumétrique de 17 ainsi qu une réduction de la fenêtre de restitution. Cette dernière passe de 4h30 à 30 minutes. A contrario, un répondant mentionne (enquête 2009) l abandon de la déduplication. Les tests n étaient pas concluants compte tenu du coût de la solution et de la complexité induite. Les solutions de déduplication sont souvent jugées d un prix trop élevé. Par ailleurs, il est difficile d obtenir des engagements techniques par rapport aux cahiers des charges soumis. Ces facteurs expliquent en partie les chiffres ci-dessus. Un indicateur important concernant les sauvegardes : dans le cas d une implantation multi sites, nombre de répondants déclarent dupliquer les sauvegardes du premier site sur le second site. STOCKAGE : Enquête et Analyse des Tendances LiVRE BLANC PAGE 23

24 7 ÉTUDES EN COURS POUR L OPTIMISATION DU STOCKAGE ET DE LA SAUVEGARDE Dans les deux enquêtes (2008 / 2009), une attention particulière avait été portée sur les études en cours au sein des directions de la Production et des Infrastructures. D une manière générale, le niveau d étude en 2008 était bien supérieur à 2009 et cela pour deux raisons : - Certaines études 2008 ont vu leur concrétisation en Compte tenu des réductions budgétaires drastiques et de la réduction des ressources humaines, certaines études ont été repoussées Prenons le cas des études liées aux solutions VTL : Le nombre des études sur la VTL a baissé de plus de 20 %. Cette baisse est compensée par une mise en production de solutions de VTL de plus de 15 %, et ce principalement dans le monde Open. PAGE 24

25 Il est à noter que certains répondants, bien qu ayant déjà mis en production une solution VTL, poursuivent des études dans ce sens. Ils procèdent par étapes. La problématique de la sauvegarde des filers NAS de gros volumes (+de 50 To) constitue un nouveau sujet de préoccupation depuis 2010 chez plusieurs des membres du CRiP. En effet, avec la consolidation des baies NAS, les fenêtres de sauvegarde se sont allongées plus vite que ce que le protocole NDMP et les solutions de sauvegarde classique sur bandes virtuelles ou physiques sont capables d absorber. Certaines entreprises ont ainsi décidé d étudier puis de mettre en production des solutions de sauvegarde sur disques en utilisant soit les techniques de réplication plus snapshots distants du fournisseur du filer NAS, soit des techniques de sauvegarde avec déduplication à la source via un boitier «accélérateur NDMP». Dans les 2 cas, les responsabilités se partagent entre équipes de sauvegarde et équipes de stockage en raison d une exploitation très différente du modèle classique recourant à un logiciel de sauvegarde corporate. Avec la généralisation de la virtualisation des serveurs, des études d évolution des modes de sauvegarde sont également constatées depuis Certaines entreprises réalisent désormais la sauvegarde des serveurs virtuels via l hyperviseur et un agent de sauvegarde idoine (pour ceux supportés), d autres utilisent de nouvelles solutions de sauvegarde avec déduplication à la source. STOCKAGE : Enquête et Analyse des Tendances LiVRE BLANC PAGE 25

26 8 RÉPLICATION DES DONNÉES ET PRA Pour les membres du CRiP, la réplication des données et l intégration des systèmes de stockage au sein du PRA sont des sujets essentiels. La typologie des centres de données et de leur fonctionnement varie fortement selon les sociétés. Deux niveaux de réplication se distinguent : a) Les technologies de réplication applicatives (type Oracle Dataguard, etc). Ces techniques sont utilisées par un peu plus d un quart des répondants b) Les technologies de réplication baies à baies (généralisées) A l exception de quelques sites très distants, la moyenne s établit autour de 20 kilomètres La majorité des sites sont dits en mode «résilient» ou en mode «campus». La réplication s excute en mode «synchrone». Le choix de ces typologies doit être fait en fonction du niveau de sécurité requis, des contraintes légales, du RTO et du RPO requis par les applications (Cf. : Livre Blanc CRiP : Datacenter Analyse et tendances, vers le Datacenter idéal). La distance entre les centres de production varie de quelques mètres (sites fortement résilients) à plusieurs centaines de kilomètres. En ce qui concerne la typologie des centres de données, on distingue deux types importants : Actif / Actif : Une partie de la production s exécute sur un site A et est secourue sur un site distant B. L autre partie de la production s exécute sur le site B et est secourue par le site distant A. La production est croisée. Actif / Passif : La production s exécute en totalité sur un site A et est secourue sur un site B. Le site B est alors souvent appelé «site dormant». La majorité des répondants (+de 70 %) ont une typologie de centres de données en mode «Actif / Actif». Certains d entre eux, ayant plus de deux sites, utilisent en plus le mode «Actif / Passif». NB. : Le site dormant est souvent distant avec une réplication asynchrone des données. Il peut être lui même un site de production pour une toute autre entité du groupe. PAGE 26

27 Un prérequis important pour la bonne définition du Plan de Reprise d Activité de l entreprise (PRA) est la classification applicative par classes de service en termes de RTO et de RPO. Moins de 50 % des répondants disent avoir accompli cette démarche. Deux aspects sont essentiels pour la classification des données et applications : 1) la distinction de la criticité des applications en termes de reprise RTO et RPO 2) la détermination des groupes de cohérence. Certaines applications dépendent les unes des autres. Ceci implique que l on peut redémarrer une application X que si l application Y dont elle dépend, a été elle même redémarrée. Il s agit de l adhérence applicative. Il faut donc s assurer que les applications critiques ne puissent être bloquées au démarrage par une ou plusieurs applications complètement anecdotiques. Cet exercice nécessite une cartographie applicative à jour! Il apparaît des niveaux de maturité extrêmement disparates d une entreprise à une autre. De fait, les conceptions de PRA sont très différentes. Certaines entreprises (plutôt dans le monde de la Banque / Assurance) ont tendance à tout répliquer. Un Datacenter réplique l autre, ne serait-ce que pour des contraintes légales. Les industriels vont être pour la plupart plus sélectifs et faire une classification des applications. Certaines seront reprises (quasi) instantanément (RTO et RPO faibles), d autres pourront être reprises avec un décalage plus important pouvant aller jusqu à plusieurs jours (RTO élevé). Certaines sociétés acceptent pour certains applicatifs de travailler dans un mode dégradé. La grande majorité des répondants (+de 70 %) effectue des exercices de PRA. Ces exercices sont effectués soit de façon unitaire, soit par groupe de cohérence, soit pour l ensemble des systèmes. Ces exercices sont effectués soit en mode réseau isolé, soit en relance réelle de la production. Les exercices en mode relance réelle de la production sont légèrement moins fréquents. STOCKAGE : Enquête et Analyse des Tendances LiVRE BLANC 8.1 Boot on SAN Le boot on SAN n est pas qu une question d architecture. Pour certains c est un fondement extrêmement important de la flexibilité des infrastructures. C est avoir la capacité de déplacer des traitements d un site vers un autre, d un centre de données vers un autre, et à terme de pouvoir le faire à chaud. Dans ce cadre, le boot on SAN est un des prérequis absolument indispensable. Cette technologie permet de rendre le «boot Serveur» et le stockage indépendants. Le serveur se trouve alors en périphérie du stockage. Il devient possible de changer un serveur de façon transparente sous réserve que les aspects réseaux ne soient pas négligés. En 2009, 50 % des répondants utilisent le Boot on SAN contre 40 % en Cette tendance se confirme en PAGE 27

28 9 Études relatives au Stockage du Futur Lors de l enquête 2010, une attention particulière a été portée au «Stockage du futur» ou aux innovations récentes et à venir. En effet, ces sujets ont été prédominants lors des différentes réunions du groupe de travail et il demeurait important de pouvoir établir une cartographie des projets parmi les membres du CRiP. Il est à noter que certaines pratiques citées ci-dessous ont déjà été mises en œuvre au sein de Productions Informatiques. Il ne s agit pas de science-fiction. 9.1 Pratiques à court et moyen terme Il s agit de pratiques et de technologies «reconnues» qui sont à la fois en cours de déploiement et d études au sein des productions informatiques des répondants. Pour la plupart, elles sont loin d être généralisées et ont parfois un niveau de maturité insuffisant. L industrialisation de ces architectures et l automatisation des processus de migration demandent des efforts importants. a) Le Tiering de Stockage : Cette pratique consiste à positionner les données sur les supports «mémoire» (disques magnétiques rapides ou lents, SSD) les plus appropriés en fonction des niveaux de service et SLA requis en termes de performances, agilité, coût, résilience, I/O, Ces migrations de données «à chaud» sont effectuées sans interruption de service. Le Tiering de stockage permet de réduire les coûts globaux et d optimiser l espace de stockage. Le Tiering de stockage peut être mis en œuvre de deux façons différentes : Avec des baies différentes : dans ce cas les données sont placées et déplacées entre baies en fonction de leur criticité ou de leur niveau de performance. Exemple : D une baie HighEnd vers une baie MidlRange via la virtualisation du stockage. Au sein d une même baie : dans ce cas, les données sont placées et déplacées au sein même de la baie depuis et vers des types de disques de niveaux de performance différents (SSD, FC, SATA, ). Ces deux approches peuvent être bien évidemment combinées. Certaines baies ou «moteurs de virtualisation» ou outils de «HSM», permettent un placement automatique des données en fonction de règles préétablies (criticité, fréquence d utilisation des données, ). 50 % des répondants en 2010 déclarent utiliser ou déployer en production pour une partie de leur infrastructure de stockage, du Tiering inter-baies. 43 % des répondants en 2010 déclarent utiliser ou déployer en production pour une partie de leur infrastructure de stockage, du Tiering intra-baies. b) Le Thin Provisioning : Le Thin Provisioning permet d allouer dynamiquement de l espace physique de stockage au fur et à mesure des besoins réels, plutôt que d allouer dès le départ toute la capacité physique nécessaire à une ou plusieurs applications. L espace non écrit est mutualisé. Cette technologie assure un gain significatif d espace de stockage et par conséquent une réduction des coûts afférents. Néanmoins, le Thin Provisioning doit être manié avec beaucoup de prudence pour éviter des dégradations des performances notamment dues à la concentration des accès sur un nombre réduit de LUN ou à une intensification des I/O de la baie. PAGE 28

29 PAGE 29 STOCKAGE : Enquête et Analyse des Tendances LiVRE BLANC 28 % des répondants déclarent avoir mis en œuvre en production du Thin Provisionning.

30 9.2 Pratiques à moyen et long terme Porteuses de gains importants, elles sont considérées voire étudiées par un grand nombre de répondants. Peu d entre elles sont déployées en production ou seulement de façon sporadique. a) Convergence SAN / LAN Fiber Channel Over Ethernet (FCoE). Il s agit de transporter sur un même support physique «Ethernet» à la fois les protocoles LAN et SAN (FC - Fiber Channel). L utilisation d un «câblage» mutualisé (unique pour le SAN et le LAN) permet de réduire sensiblement les coûts, la complexité, la topographie du câblage, le nombre d interfaces réseaux de type LAN et HBA au profit d interfaces uniques CNA (Converged Network Adapters). La technologie FCoE couplée aux interfaces Ethernet 10 Gbps permet d atteindre des performances prometteuses. Il est à noter que les interfaces d administration tant sur le LAN que sur le SAN restent inchangées. 43 % des répondants ont un projet d étude sur la convergence SAN / LAN. b) Placement automatique en fonction de l activité des disques. Cette technologie permet de migrer automatiquement et dynamiquement les données en fonction de l activité des disques et de l utilisation des données associées. L objectif est d éviter des sollicitations excessives de certains «axes» et de repartir la charge sur un ensemble de disques. Les algorithmes permettent un traitement automatique. 43 % des répondants ont un projet d étude sur le placement automatique en fonction de l activité des disques. c) Stockage en «grid X86» Il s agit d utiliser des fermes de serveurs X86 banalisées pour les transformer par voie logicielle (Open source ou non) en système de stockage (grille de stockage Grid) Cette solution est porteuse de gains sur les coûts, de performances et de scalabilité (par ajout de nœuds serveurs dans une grille). Certains éditeurs travaillent même à utiliser la capacité disque non allouée sur des serveurs applicatifs pour l intégrer à une grille de stockage. 32 % des répondants ont un projet d étude sur le stockage en grilles x86. d) Déduplication NAS Les données sont souvent enregistrées et stockées de nombreuses fois. La déduplication NAS permet de réduire la redondance des données et ainsi d optimiser l espace de stockage. Directement intégrées aux têtes NAS, ces solutions assurent un gain d espace significatif dépendant du type des applications produisant les données. 29 % des répondants ont un projet d étude sur la déduplication NAS. PAGE 30

31 A propos du Le Club des Responsables d Infrastructures et de Production Le Réseau Social des Responsables d Infrastructures et de Production Un objectif : Rendre ses membres plus performants dans leur métier Un Crédo : Indépendance vis-à-vis des fournisseurs Un Cercle de confiance pour : Partager visions et retours d expériences Echanger et travailler collectivement sur les technologies, les ressources humaines, les organisations et processus, les approches financières des projets, les relations avec les offreurs Pousser un projet en interne en s appuyant sur les travaux du CRiP Promouvoir les fonctions d Infrastructure et de Production au sein des Entreprises Créer un réseau de communication rapide et efficace entre dirigeants Partager nos expériences Philippe SERSOT Président du CRiP CTO CA-CIB J ai trouvé très intéressante l initiative du CRiP de réunir des Responsables de production en charge d informatiques clientes variées dans un cercle où n interviennent pas les fournisseurs. Cela permet de confronter ses propres idées aux retours d expériences d autres sociétés plus avancées sur certains sujets. Une démarche d autant plus indispensable que nous nous trouvons, dans le métier de la production informatique, particulièrement exposés à des situations de grands changements, tels que la virtualisation dans ses multiples dimensions ou le cloud computing. J apprécie particulièrement ce souci d apporter, partager et recevoir tout en même temps ces indispensables retours d expériences. Jean-Paul AMOROS GDF SUEZ CTO/Directeur de la Production Informatique, membre du Bureau Exécutif du CRiP Le Bureau exécutif Président : Philippe SERSOT CA-CIB - CTO Vice-présidents : Marc LIMODIN LA BANQUE POSTALE Directeur des Techniques et Infrastructures François STEPHAN - THALES Directeur Technique Eric STERN ORANGE-FRANCE TELECOM Responsable Expertise Environnement Technique Noël CAVALIERE PSA PEUGEOT-CITROËN Responsable de l Architecture Technique Claude CORIAT RENAULT Responsable Stratégie et Politiques Techniques Jean-Paul AMOROS - GDF SUEZ CTO /Directeur de la Production Informatique Olivier MAUPATE - IT Director Pascal PICCHIOTTINO BOUYGUES TELECOM Responsable Département Infrastructure SI Réseau Frédéric DIDIER CREDIT FONCIER Directeur Production Informatique Secrétaire : Michel GROSBOST Trésorier : Gilles ALBERT SOCIETE GENERALE Technology Strategy Manager PAGE 31

32 Plus de 135 grandes entreprises françaises adhèrent ou sont en cours d adhésion au CRiP TOTAL MAAF L OREAL GROUPAMA SI DARVA CREDIT AGRICOLE SA ADP GSI AEROPORTS DE PARIS ERDF GIE ALLIANZ INFORMATIQUE EIFFAGE AIR LIQUIDE MINISTERE DES FINANCES RENAULT CCR ASSET MANAGEMENT LA FRANCAISE DES JEUX SWISS LIFE KEOLIS AUCHAN INTERNATIONAL TECHNOLOGY AVIVA SOCIETE GENERALE AXA TECH LAFARGE BRED MUREX NEXTERGROUP NORBERT DENTRESSANGLE BOUYGUES TELECOM CASINO THALES GROUP CNES VALLOUREC MANPOWER RTE BIC CHOREGIE FRANCE TELEVISIONS AMUNDI DISNEY DIRECTION DES DOUANES CREDIT IMMOBILIER DE FRANCE DANONE DCNS CNP ASSURANCES INA CPSIAT ARMEE DE TERRE CREDIT FONCIER EDF ESSILOR INTERNATIONAL FM LOGISTIC LOUIS VUITTON MALLETIER GENERALI GDF SUEZ SFR SI2M VENTE PRIVEE.COM I-BP AIR FRANCE MACIF ARAMICE MINISTERE DE L INTERIEUR CARREFOUR GROUPE IMS GROUP NATIXIS GROUPE ADEO OECD ORANGE FT GROUPE PMU ARKEMA RESEAU FERRE DE FRANCE RHODIA SAINT GOBAIN SANOFI AVENTIS CA SILCA CAISSE DES DEPOTS LA BANQUE POSTALE CAISSE EPARGNE CREDIT AGRICOLE CIB CANAL + APHP PSA PEUGEOT-CITROËN ALSTOM SCOR STIME POLE EMPLOI DEXIA LA POSTE MINISTERE DE LA DEFENSE SNCF GENERALE DE SANTE VOLVO IT SPIE DIM TECHNIP ETAM SUPERMARCHES MATCH EULER HERMES PRAXIS SERVIER GROUPE PREVOIR PIERRE FABRE AGIRC-ARRCO COFACE BUREAU VERITAS COFIDIS CFAO VALEO KIABI CNAV MATMUT SIMPLY MARKET GROUPE AGRICA BOUYGUES CONSTRUCTION DARTY DIRECT ENERGIE BANQUE PALATINE ISS SERVICE AIRBUS BNP Paribas Uneo Unibail Rodamco Legrand Decathlon Tarkett Etablissement français du sang Etc Le CRiP (Association Loi 1901) compte 135 grandes entreprises ou entités utilisatrices des technologies de l information, adhérentes ou en cours d adhésion. Il rassemble une communauté de plus de 1000 membres, responsables d infrastructure ou de production. PAGE 32 Le CRiP est un cercle de confiance, lieu d échanges et d informations entre les différents membres confrontés aux mêmes défis financiers, technologiques et organisationnels.

33 Charte d Ethique et d Engagement du CRiP Le Club des Responsables d Infrastructure et de Production est constitué sur la base de valeurs et de principes d action et de comportement, fondés sur des rapports de confiance permanents entre ses membres. Les membres sont les représentants des sociétés adhérentes du CRiP. Principes d action Respect de la loyauté Les membres du CRiP ont pour principe la loyauté à l égard des autres participants afin d instaurer et de maintenir des relations de confiance durables. Participation active Les sociétés adhérentes au CRiP et leurs représentants membres du CRiP s engagent à contribuer activement à la vie du Club en apportant leur expérience et leur savoirfaire aux travaux collectifs. Les sociétés adhérentes s engagent - à répondre dans un délai convenable aux différents questionnaires qui pourraient leur être envoyés - à faire participer au moins un de leurs représentants à au moins un groupe de travail - à favoriser la participation de leurs représentants aux plénières du CRiP - à promouvoir le CRiP au sein de leur organisation Les membres représentants s engagent - à se comporter en ambassadeur du CRiP et à promouvoir le CRiP auprès de leurs pairs et des fournisseurs - à participer activement dans la mesure de leurs compétences, de leurs moyens, et de leurs autorisations internes aux conférences CRiP/ itiforums, soit en tant que membre d un comité de programme, à travers un témoignage, une table ronde ou en aidant à la production de contenu Principes de comportement Confidentialité Chaque membre du CRiP s engage à ne pas divulguer à des tiers les informations professionnelles présentées, sauf accord explicite des membres émetteurs et du bureau exécutif du Club. Chacun des participants, membre permanent ou occasionnel, s interdit d utiliser directement ou indirectement, à des fins personnelles, des informations sensibles qu il pourrait détenir dans le cadre du Club. Conflits d intérêts Chaque membre du CRiP se doit d éviter toute situation de conflit entre les intérêts du Club et ses intérêts personnels ou ceux de ses proches. Le Club est un club d utilisateurs. Cependant certains de ses membres peuvent appartenir à des sociétés adhérentes qui possèdent dans leurs missions une offre de service pour les autres adhérents. Il est impératif dans ce cas que les représentants membres de ces dites sociétés aient un comportement irréprochable et n utilisent pas ce cercle de confiance pour promouvoir les offres de services de la société qui les emploie. PAGE 33

34 Les 16 Groupes de travail thématiques Le mode de fonctionnement Actuellement, 16 groupes de travail thématiques se réunissent tout au long de l année. Les travaux de ces groupes sont présentés à l ensemble des membres à l occasion des CRiP Thématiques et de la Convention annuelle du CRiP. STOCKAGE Animé par François DESSABLES Architecte SAN Stockage PSA PEUGEOT-CITROËN Objectifs : Identifier et partager les bonnes pratiques dans le domaine du stockage, établir le cadre d usage des différentes technologies. Thèmes : - Virtualisation du stockage/de la sauvegarde - Déduplication - Sauvegarde sur disques - Réplication - Convergence LAN-SAN - Architectures Livre Blanc Analyse et Tendance du Stockage V.2 (édité en Juin 2011) CRiP Thématique Stockage 13 décembre 2011 MÉTIERS Animé par Marc LIMODIN Directeur des Techniques et des Infrastructures LA BANQUE POSTALE Objectifs : Traiter de l évolution des métiers de l infrastructure et de la production, des problématiques de ressources humaines et des problématiques d organisation. Thèmes : - Panorama des métiers et de leurs changements - Sous-traitance - Gestion des ressources humaines de production Livre Blanc Métier (prévu en 2011) EFFICACITÉ ENERGETIQUE et DATACENTER Animé par Claude CORIAT Responsable Stratégie et Politiques Techniques RENAULT Objectifs : Identifier les meilleures pratiques en production pour le datacenter de demain et pour l optimisation de la consommation des composants d infrastructure. Animé par Eric STERN Responsable Expertise Environnement Technique ORANGE FT Thèmes : - Optimisation énergétique - PUE, définition d indicateurs - Outillages de mesure - Bonne gestion du froid - Green IT, design de site Livre Blanc Analyse et Tendance, vers le Datacenter idéal V.2 (édité en juin 2011) CRiP Thématique DataCenter-Green IT, 19 janvier 2012 Dossier Technique Datacenters : Efficacité Energétique et indicateurs de performances (édité en mars 2010) PAGE 34

35 LOW COST Animé par Frédéric DIDIER Directeur Production Informatique CREDIT FONCIER Objectifs : Inventorier les pratiques d infrastructure de rupture capables de fournir des services à bas coût et les pratiques associées. Thèmes : - Logiciels open source - Bring-your-own-PC - Appliances - Différenciation des classes de service dans le datacenter - Utilisation de services et matériels grand public CLOUD COMPUTING Animé par Patrick JOUBERT Architecture et Technologie Transformation Director Société Générale Objectifs : Comprendre et analyser les technologies du cloud computing pour déterminer leurs conditions d usage. Thèmes : - Définition des concepts - Gains attendus et constatés - Sécurité - Typologie des usages - Modèles privé-public-mixte - Retours d expériences et roadmaps des membres du CRiP Livre Blanc Analyse et Grandes Tendances du Cloud Computing V.2 (édité en Juin 2011) CRiP Thématique Cloud Computing 9 février 2012 VIRTUALISATION SERVEURS & POSTES DE TRAVAIL Animé par Marie-Christine MOULLART Responsable Exploitation / Direction Infrastructures et Support GENERALI Objectifs : Recenser les expériences et les solutions analyser les enjeux, décrire la démarche projet. Thèmes : - Solutions, arguments en faveur de la virtualisation bonnes pratiques, pièges et limites, impacts sur les projets les hommes et les services, les gains financiers et de niveaux de services Dossier Technique Hyperviseur (édité en Décembre 2010) Objectifs : Etudier les problèmes d optimisation des SGBD. Thèmes : - Métrologie - Solutions de tolérance aux pannes - Méthodes de mutualisation - SGBD open source CRiP Thématique Hyperviseurs, 15 mars 2012 BASES DE DONNÉES Animé par Jean-Paul VEZARD Ancien Responsable DBA à la Société Générale Mainframe - z/os Animé par Bruno KOCH Directeur Délégué Architecture Système Mainframe GCE TECH (CAISSE EPARGNE) Objectifs : Gérer, optimiser et mieux maîtriser les coûts sur Mainframe, identifier les bonnes pratiques, inventorier les évolutions et optimisations possibles. Thèmes : - Modèles de facturations - Panorama de l offre logicielle - Rationalisation et consolidation - Tendances du marché Livre Blanc Mainframe - Z/OS (Prévu pour Novembre 2011) CRiP Thématique Maîtrise des coûts z/os 17 Novembre 2011 ARCHITECTURE TECHNIQUE D ENTREPRISE Animé par Alain BALAGUER Responsable Architecture Objectifs : Analyser les modèles de standardisation et de mise en oeuvre de modules opérationnels pour la construction du SI. Thèmes : - Perception de l architecture technique d entreprise - Définition du métier d architecte technique - Bonnes pratiques - Référentiels et outils de cartographie CRiP Thématique Architecture Technique 5 avril 2012 PAGE 35

36 PRA Animé par Luc VRIGNAUD Responsable Division Support et Sécurité MACIF Objectifs : Etablir le cadre technique et opérationnel des plans de reprises d activité. Thèmes : - Concepts et vocabulaire PRA - Architectures - Cohérence applicative - Critères de déclenchement - Maintien en conditions opérationnelles - Validité probante d un PRA Livre Blanc Plan de Reprise d activités (PRA) (édité en février 2011) Animé par François TETE, Président d honneur et Secrétaire Général Club de la Continuité d Activité CMDB Animé par Frédérick PAQUET IPF / Responsable Outils et Process THALES Objectifs : Rassembler et documenter les bonnes pratiques de mise en place et d utilisation de CMDB. Thèmes : - Périmètre et niveau de détail de la CMDB - Fiabiliser ses données - Gains attendus - Pièges à éviter lors de la création d une CMDB - Exemples concrets de résultats de mise en place Livre Blanc - Comment construire et tirer bénéfice d une CMDB? (édité en juin 2010) Fiche Pratique : Que va apporter la CMDB? (Edité en 2011) En association avec ORCHESTRATION Animé par Hugues FONDEUX Chargé de Mission Evolution de l Infrastructure PSA PEUGEOT CITROEN Objectifs : Etudier l automatisation des processus d exploitation informatique et établir les bonnes pratiques associées. Thèmes : - Gestion de fermes de serveurs - Provisioning - Accélération des PRA - Traitement automatisé d incidents - Outils du marché - Difficultés rencontrées - Analyse de rentabilité GOUVERNANCE Animé par Maryse NICLI Responsable Départements Projets, Intégration et Correspondants Métiers GENERALI Objectifs : Déterminer les conditions de mise en place de modèles de gouvernance dans l informatique de production. Thèmes : - Opérations d alignement métier - Gouvernance des contrats - Valeur ajoutée dans des environnements fortement externalisés Fiche Pratique Alignement Stratégique de la Production Informatique aux Métiers de l Entreprise V.2 (éditée en Juin 2011) CRiP Thématique Industrialisation de la Production, Alignement des Métiers 13 octobre 2011 PAGE 36 ANALYSE DES COÛTS DE LA PRODUCTION Animé par Sasun SAUGY Chargé de Mission Infrastructure & Production MINISTERE DES FINANCES ET DE L ECONOMIE Objectifs : Établir un modèle standardisé d analyse des coûts qui prenne réellement en compte les spécificités de la Production. Thèmes : - Inventaire des bonnes pratiques - Analyse des modèles existants - Méthodes de benchmarking des coûts - Construction d un référentiel de coûts Infrastructure et Production Réseaux, mobilité, collaboratif Animé par Eric Cambos Network & Telecom Manager CREDIT AGRICOLE CIB Objectifs : Traiter de l ensemble des problématiques liées aux réseaux d entreprise, en particulier la gestion de la mobilité et l exploitation des outils de travail collaboratif. Thèmes : - Haute disponibilité des réseaux - Convergence SAN-LAN - Le collaboratif - La mobilité, les nouveaux terminaux (tablettes, smartphones, ByoPC) - Réseaux et Cloud Computing CRiP Thématique Réseaux, Mobilité, Collaboratif 15 septembre 2011

37 Les livrables du Les Observatoires des Directeurs d Infrastructure et de Production sont une initiative du CRiP. Ces observatoires regroupent l ensemble des documents produits par les groupes de travail. A l usage des membres du CRiP, ces documents sont de plusieurs types : Enquête et Analyse des tendances Livre Blanc : les meilleures pratiques Guide de rédaction d appel d offre Fiches pratiques Les Enquêtes et Analyses de tendances sont issues de questionnaires renseignés par les membres du CRiP. L analyse des résultats recueillis permet de mesurer et d observer l évolution des enjeux des CTOs et de leurs infrastructures. En outre, elle met en relief les grandes tendances liées aux principaux challenges des productions informatiques. Dans le cadre de l Observatoire des Directeurs d Infrastructure et de Production, chaque groupe de travail actif apporte une contribution importante dans l élaboration de documents de référence. Actuellement, 16 groupes de travail CRiP sont actifs : DataCenter, Stockage, Could Computing, Low Cost, Mainframe - z/os, Métiers, CMDB, PRA, Architecture Technique d Entreprise, Virtualisation Serveur & Poste de Travail, Gouvernance, Bases de données, Efficacité Energétique, Orchestration, Réseaux, Mobilité & Collaboratif, et Maîtrise des Coûts. Depuis trois ans, bon nombre de documents ont été publiés. Parmi les plus significatifs, on mentionnera : - Livre Blanc Enquête et Analyse des Tendances Serveurs - Enquête et Analyse des Opérations informatiques - Enquête et Analyse des tendances liées au Datacenter - Livre Blanc Meilleures Pratiques du DataCenter V1 & V2 - Enquête et Analyse des Tendances du Stockage V1 & V2 - Enquête et Analyse des Tendances CMDB - Définitions et Concepts, Enquête et Analyse des Tendances du Cloud Computing - Fiches Pratiques Alignement Stratégique de la Production Informatique aux Métiers de l Entreprise V1 & V2 - Dossier Technique Datacenters : Efficacité Energétique et indicateurs de performances - Dossier d Analyse Technologique : Les Hyperviseurs serveurs x86 - Livre Blanc PRA Définitions, Concepts, Bonnes Pratiques et Enquête - Livre Blanc Cloud Computing, les Meilleures Pratiques - Fiche pratique Que va apporter la CMDB Tous ces ouvrages produits ou en cours de production deviennent inéluctablement une référence importante pour les CTOs. Ils permettent de s affranchir d études parfois longues et coûteuses et de se «benchmarker» par rapport aux grandes tendances actuelles. Plus généralement, ils constituent des outils reconnus pour l amélioration de la productivité. Nicolas COURAUD Responsable de la coordination des travaux du CRiP Le Cercle CTOs Animé par Philippe Sersot, Président du CRiP, CTO de CA-CIB Les CTOs des grandes productions françaises se rencontrent périodiquement dans ce cercle de confiance exclusif. Au sein de cet espace d échanges ouverts et en toute confidentialité, ils abordent les questions stratégiques qu ils jugent essentielles. Ils partagent en direct leurs expériences afin de renforcer leur expertise et de prendre ainsi des décisions plus efficaces dans les domaines en rapide évolution de l infrastructure et de la production. PAGE 37

38 Les Conférences Thématiques L Etat de l Art et la Traduction Opérationnelle des Services et Technologies dans la vraie vie de l Entreprise Des conférences Utilisateurs qui font le point sur les travaux du CRiP. Les thèmes traités dans les sessions sont ceux des 16 groupes de travail actifs du CRiP. Chaque session fournit à l auditeur les clés de compréhension de la technologie, présente l Etat de l art et la traduction opérationnelle des technologies et services dans la vraie vie de l Entreprise à travers des retours d expériences utilisateurs. Les bénéfices pour l auditeur : - se forger une opinion en toute indépendance à travers la restitution des travaux du CRiP, Club utilisateur des Responsables d Infrastructure et de Production dont le crédo est l indépendance vis-à-vis des fournisseurs - découvrir à travers des témoignages utilisateurs l implémentation opérationnelle des technologies et solutions avec leurs composantes clés, leurs business cases, leurs bénéfices : promesses et réalités, leurs écueils et freins - bénéficier de l éclairage sur les grandes tendances actuelles et le panorama de l offre par un cabinet d analyste de renommée internationale tel que «Forrester Research» qui est le partenaire stratégique du CRiP - rencontrer les acteurs majeurs du marché à l occasion des pauses et du cocktail qui clôture ces sessions Les CRiP Thématiques programmées en Mobilité, Réseaux, Collaboratif > 15 septembre 2011 Industrialisation de la Production, Alignement des Métiers > 13 octobre 2011 Maîtrise de coûts z/os > 17 novembre 2011 Stockage > 13 décembre 2011 DataCenter-Green IT > 19 janvier 2012 Cloud Computing > 9 février 2012 Hyperviseurs > 15 mars 2012 Architecture Technique d Entreprise > 5 avril 2012 Une relation privilégiée avec itiforums Véritable associé du CRiP, ITIFORUMS est chargé de la communication, de la production et de la diffusion des documents et vidéos issus des travaux du CRiP, de l organisation des évènements (Convention, CRiP Thématiques, CERCLE i), du référencement fournisseurs, de la relation avec les partenaires stratégiques du CRiP, et de la relation avec les partenaires fournisseurs du CRiP (présence de porteparole aux évènements propriétaires, voyages d étude, etc..) Le réseau social des professionnels de l Infrastructure et de la Production ItiForums interconnecte et informe les différents groupes utilisateurs, membres du CRiP, fournisseurs de services et de technologies qui composent la communauté de l Infrastructure et de la Production. PAGE 38 Retrouvez les contenus produits par le CRiP sur

Groupe Stockage & Sauvegarde. François Dessables

Groupe Stockage & Sauvegarde. François Dessables Groupe Stockage & Sauvegarde François Dessables Groupe Stockage : Agenda Objectifs du groupe de travail Stockage Retours d'expérience et bonnes pratiques Prochains thèmes 2010 et 2011 Groupe Stockage :

Plus en détail

Ne laissez pas le stockage cloud pénaliser votre retour sur investissement

Ne laissez pas le stockage cloud pénaliser votre retour sur investissement Ne laissez pas le stockage cloud pénaliser votre retour sur investissement Préparé par : George Crump, analyste senior Préparé le : 03/10/2012 L investissement qu une entreprise fait dans le domaine de

Plus en détail

Prestations de conseil en SRM (Storage Ressource Management)

Prestations de conseil en SRM (Storage Ressource Management) Prestations de conseil en SRM (Storage Ressource Management) Sommaire 1 BUTS DE LA PRESTATION 2 PRESENTATION DE LA PRESTATION 3 3 3 ETAPE 1 : ELEMENTS TECHNIQUES SUR LESQUELS S APPUIE LA PRESTATION DE

Plus en détail

LE STOCKAGE UNIFIÉ ASSOCIÉ À LA VIRTUALISATION D'ENTREPRISE

LE STOCKAGE UNIFIÉ ASSOCIÉ À LA VIRTUALISATION D'ENTREPRISE LE STOCKAGE UNIFIÉ ASSOCIÉ À LA VIRTUALISATION D'ENTREPRISE JEROME BERNADAC GO SPORT PATRICK DUFOUR STORDATA AGENDA LE GROUPE GO SPORT NOTRE PARTENAIRE INTÉGRATEUR STORDATA CONCLUSION ET PERSPECTIVES FUTURES

Plus en détail

FAMILLE EMC RECOVERPOINT

FAMILLE EMC RECOVERPOINT FAMILLE EMC RECOVERPOINT Solution économique de protection des données et de reprise après sinistre en local et à distance Avantages clés Optimiser la protection des données et la reprise après sinistre

Plus en détail

L I V R E B L A N C P r o t ég e r l e s a p p l i c a t i o n s m ét i e r s c r i t i q u e s M a i n f r a m e, un b e s o i n c r u c i a l

L I V R E B L A N C P r o t ég e r l e s a p p l i c a t i o n s m ét i e r s c r i t i q u e s M a i n f r a m e, un b e s o i n c r u c i a l Siège social : 5 Speen Street Framingham, MA 01701, É.-U. T.508.872.8200 F.508.935.4015 www.idc.com L I V R E B L A N C P r o t ég e r l e s a p p l i c a t i o n s m ét i e r s c r i t i q u e s M a i

Plus en détail

Nouvelles stratégies et technologies de sauvegarde

Nouvelles stratégies et technologies de sauvegarde Nouvelles stratégies et technologies de sauvegarde Boris Valera Laurent Blain Plan Contexte Les nouveaux enjeux de la sauvegarde La sauvegarde des machines virtuelles La déduplication Les architectures

Plus en détail

Transformation vers le Cloud. Premier partenaire Cloud Builder certifié IBM, HP et VMware

Transformation vers le Cloud. Premier partenaire Cloud Builder certifié IBM, HP et VMware Transformation vers le Cloud Premier partenaire Cloud Builder certifié IBM, HP et VMware 1 Sommaire Introduction Concepts Les enjeux Modèles de déploiements Modèles de services Nos offres Nos Références

Plus en détail

Le stockage. 1. Architecture de stockage disponible. a. Stockage local ou centralisé. b. Différences entre les architectures

Le stockage. 1. Architecture de stockage disponible. a. Stockage local ou centralisé. b. Différences entre les architectures Le stockage 1. Architecture de stockage disponible a. Stockage local ou centralisé L architecture de stockage à mettre en place est déterminante pour l évolutivité et la performance de la solution. Cet

Plus en détail

1 ère Partie Stratégie et Directions Stockage IBM

1 ère Partie Stratégie et Directions Stockage IBM Cédric ARAGON Directeur des Ventes de Stockage IBM France 1 ère Partie Stratégie et Directions Stockage IBM Agenda Les défis actuels posés par la croissance des volumes de données IBM: acteur majeur sur

Plus en détail

THE FLASH REVOLUTION IS RIGHT NOW. Pure Storage France Contact : france@purestorage.com. 2014 Pure Storage, Inc. 1

THE FLASH REVOLUTION IS RIGHT NOW. Pure Storage France Contact : france@purestorage.com. 2014 Pure Storage, Inc. 1 THE FLASH REVOLUTION IS RIGHT NOW Pure Storage France Contact : france@purestorage.com 2014 Pure Storage, Inc. 1 Vous achetez une seule fois et vous utilisez pour toujours Imaginez un stockage continuellement

Plus en détail

en version SAN ou NAS

en version SAN ou NAS tout-en-un en version SAN ou NAS Quand avez-vous besoin de virtualisation? Les opportunités de mettre en place des solutions de virtualisation sont nombreuses, quelque soit la taille de l'entreprise. Parmi

Plus en détail

Protection des données avec les solutions de stockage NETGEAR

Protection des données avec les solutions de stockage NETGEAR Protection des données avec les solutions de stockage NETGEAR Solutions intelligentes pour les sauvegardes de NAS à NAS, la reprise après sinistre pour les PME-PMI et les environnements multi-sites La

Plus en détail

Une présentation de HP et de MicroAge. 21 septembre 2010

Une présentation de HP et de MicroAge. 21 septembre 2010 Une présentation de HP et de MicroAge 21 septembre 2010 Programme Présentation de MicroAge Maria Fiore Responsable du développement des affaires MicroAge Virtualisation et stockage optimisé à prix abordable

Plus en détail

vbladecenter S! tout-en-un en version SAN ou NAS

vbladecenter S! tout-en-un en version SAN ou NAS vbladecenter S! tout-en-un en version SAN ou NAS Quand avez-vous besoin de virtualisation? Les opportunités de mettre en place des solutions de virtualisation sont nombreuses, quelque soit la taille de

Plus en détail

UNIFIED. Nouvelle génération d'architecture unifiée pour la protection des données D TA. dans des environnements virtuels et physiques PROTECTION

UNIFIED. Nouvelle génération d'architecture unifiée pour la protection des données D TA. dans des environnements virtuels et physiques PROTECTION UNIFIED Nouvelle génération d'architecture unifiée pour la protection des données D TA dans des environnements virtuels et physiques PROTECTION Unified Data protection DOSSIER SOLUTION CA arcserve UDP

Plus en détail

FAMILLE EMC VPLEX. Disponibilité continue et mobilité des données dans et entre les datacenters AVANTAGES

FAMILLE EMC VPLEX. Disponibilité continue et mobilité des données dans et entre les datacenters AVANTAGES FAMILLE EMC VPLEX Disponibilité continue et mobilité des données dans et entre les datacenters DISPONIBLITÉ CONTINUE ET MOBILITÉ DES DONNÉES DES APPLICATIONS CRITIQUES L infrastructure de stockage évolue

Plus en détail

FAMILLE EMC VPLEX. Disponibilité continue et mobilité des données dans et entre les datacenters

FAMILLE EMC VPLEX. Disponibilité continue et mobilité des données dans et entre les datacenters FAMILLE EMC VPLEX Disponibilité continue et mobilité des données dans et entre les datacenters DISPONIBILITE CONTINUE ET MOBILITE DES DONNEES DES APPLICATIONS CRITIQUES L infrastructure de stockage évolue

Plus en détail

La Virtualisation Windows chez CASINO. Philippe CROUZY Responsable Infrastructure Equipes Systèmes -Stockage

La Virtualisation Windows chez CASINO. Philippe CROUZY Responsable Infrastructure Equipes Systèmes -Stockage La Virtualisation Windows chez CASINO Philippe CROUZY Responsable Infrastructure Equipes Systèmes -Stockage Sommaire Contexte Datacenters La virtualisation chez Casino Notre démarche Feuille de route Bilan

Plus en détail

100% Swiss Cloud Computing

100% Swiss Cloud Computing 100% Swiss Cloud Computing Simplifiez votre IT, augmentez sa puissance, sa flexibilité, sa sécurité et maîtrisez les coûts Avec le Cloud, vous disposez d un espace d hébergement dédié, dissocié de votre

Plus en détail

Pourquoi OneSolutions a choisi SyselCloud

Pourquoi OneSolutions a choisi SyselCloud Pourquoi OneSolutions a choisi SyselCloud Créée en 1995, Syselcom est une société suisse à capitaux suisses. Syselcom est spécialisée dans les domaines de la conception, l intégration, l exploitation et

Plus en détail

Marché Public. Serveurs et Sauvegarde 2015

Marché Public. Serveurs et Sauvegarde 2015 Marché Public Serveurs et Sauvegarde 2015 Remise des Offres avant le lundi 22 juin 2015 à 16h 1 P a g e Table des matières 1. OBJET DE LA CONSULTATION... 4 1.1. Description de la consultation... 4 1.2.

Plus en détail

PLAN. Industrialisateur Open Source LANS DE SECOURS INFORMATIQUES PRINCIPES GENERAUX ETAT DE L ART SELON BV ASSOCIATES

PLAN. Industrialisateur Open Source LANS DE SECOURS INFORMATIQUES PRINCIPES GENERAUX ETAT DE L ART SELON BV ASSOCIATES PLAN LANS DE SECOURS INFORMATIQUES PRINCIPES GENERAUX & ETAT DE L ART SELON BV ASSOCIATES Copyright BV Associates 2013 IMEPSIA TM est une marque déposée par BV Associates Page 1 SOMMAIRE 1 PRINCIPES GENERAUX

Plus en détail

NEXTDB Implémentation d un SGBD Open Source

NEXTDB Implémentation d un SGBD Open Source DIT - INFRA Demande d information (RFI) NEXTDB Implémentation d un SGBD Open Source Réf. : INFRA_NEXTDB_RFI.docx Page 1/8 Demande d information Projet NEXTDB Implémentation d un SGBD Open Source SOMMAIRE

Plus en détail

Le stockage unifié pour réduire les coûts et augmenter l'agilité

Le stockage unifié pour réduire les coûts et augmenter l'agilité Le stockage unifié pour réduire les coûts et augmenter l'agilité Philippe Rolland vspecialist EMEA Herve Oliny vspecialist EMEA Mikael Tissandier vspecialist EMEA Des défis informatiques plus complexes

Plus en détail

LE SAN ET LE NAS : LE RESEAU AU SERVICE DES DONNEES

LE SAN ET LE NAS : LE RESEAU AU SERVICE DES DONNEES LE SAN ET LE NAS : LE RESEAU AU SERVICE DES DONNEES Marie GALEZ, galez@cines.fr Le propos de cet article est de présenter les architectures NAS et SAN, qui offrent de nouvelles perspectives pour le partage

Plus en détail

Le data center moderne virtualisé

Le data center moderne virtualisé WHITEPAPER Le data center moderne virtualisé Les ressources du data center ont toujours été sous-utilisées alors qu elles absorbent des quantités énormes d énergie et occupent une surface au sol précieuse.

Plus en détail

LES 5 PRINCIPALES RAISONS DE DÉPLOYER MICROSOFT SQL SERVER SUR LE SYSTÈME DE STOCKAGE UNIFIÉ EMC VNX

LES 5 PRINCIPALES RAISONS DE DÉPLOYER MICROSOFT SQL SERVER SUR LE SYSTÈME DE STOCKAGE UNIFIÉ EMC VNX LES 5 PRINCIPALES RAISONS DE DÉPLOYER MICROSOFT SQL SERVER SUR LE SYSTÈME DE STOCKAGE UNIFIÉ EMC VNX Et si vous pouviez éviter aux administrateurs de base de données d avoir à se préoccuper au jour le

Plus en détail

VMWare Infrastructure 3

VMWare Infrastructure 3 Ingénieurs 2000 Filière Informatique et réseaux Université de Marne-la-Vallée VMWare Infrastructure 3 Exposé système et nouvelles technologies réseau. Christophe KELLER Sommaire Sommaire... 2 Introduction...

Plus en détail

Atteindre la flexibilité métier grâce au data center agile

Atteindre la flexibilité métier grâce au data center agile Atteindre la flexibilité métier grâce au data center agile Aperçu : Permettre l agilité du data-center La flexibilité métier est votre objectif primordial Dans le monde d aujourd hui, les clients attendent

Plus en détail

Vers une IT as a service

Vers une IT as a service Vers une IT as a service 1 L évolution du datacenter vers un centre de services P.2 2 La création d une offre de services P.3 3 La transformation en centre de services avec System Center 2012 P.4 L évolution

Plus en détail

Tirez plus vite profit du cloud computing avec IBM

Tirez plus vite profit du cloud computing avec IBM Tirez plus vite profit du cloud computing avec IBM Trouvez des solutions de type cloud éprouvées qui répondent à vos priorités principales Points clés Découvrez les avantages de quatre déploiements en

Plus en détail

EMC DATA DOMAIN OPERATING SYSTEM

EMC DATA DOMAIN OPERATING SYSTEM EMC DATA DOMAIN OPERATING SYSTEM Au service du stockage de protection EMC AVANTAGES CLÉS Déduplication évolutive ultrarapide Jusqu à 31 To/h de débit Réduction des besoins en stockage de sauvegarde de

Plus en détail

Valeur métier. Réduction des coûts opérationnels : Les coûts opérationnels ont été réduits de 37 %. Les systèmes intégrés comme IBM

Valeur métier. Réduction des coûts opérationnels : Les coûts opérationnels ont été réduits de 37 %. Les systèmes intégrés comme IBM Global Headquarters: 5 Speen Street Framingham, MA 01701 USA P.508.872.8200 F.508.935.4015 www.idc.com LIVRE BLANC IBM PureFlex System Optimisé pour le Cloud Pour : IBM Randy Perry Juillet 2013 Mary Johnston

Plus en détail

Concours interne d ingénieur des systèmes d information et de communication. «Session 2010» Meilleure copie "étude de cas architecture et systèmes"

Concours interne d ingénieur des systèmes d information et de communication. «Session 2010» Meilleure copie étude de cas architecture et systèmes Concours interne d ingénieur des systèmes d information et de communication «Session 2010» Meilleure copie "étude de cas architecture et systèmes" Note obtenue : 14,75/20 HEBERGE-TOUT Le 25 mars 2010 A

Plus en détail

Livre Blanc Oracle Novembre 2010. Le Bureau des Projets (PMO) : un levier stratégique de création de valeur pour l industrie

Livre Blanc Oracle Novembre 2010. Le Bureau des Projets (PMO) : un levier stratégique de création de valeur pour l industrie Livre Blanc Oracle Novembre 2010 Le Bureau des Projets (PMO) : un levier stratégique de création de valeur pour l industrie Présentation générale Les entreprises industrielles sont confrontées à un environnement

Plus en détail

Brochure Datacenter. www.novell.com. Novell Cloud Manager. Création et gestion d un cloud privé. (Faire du cloud une réalité)

Brochure Datacenter. www.novell.com. Novell Cloud Manager. Création et gestion d un cloud privé. (Faire du cloud une réalité) Brochure Datacenter Novell Cloud Manager Création et gestion d un cloud privé (Faire du cloud une réalité) Novell Cloud Manager : le moyen le plus simple de créer et gérer votre cloud WorkloadIQ est notre

Plus en détail

EMC DATA DOMAIN HYPERMAX

EMC DATA DOMAIN HYPERMAX EMC DATA DOMAIN HYPERMAX Optimisation du stockage de protection EMC AVANTAGES CLÉS Déduplication évolutive et ultrarapide Jusqu à 58,7 To/h de débit Réduit de 10 à 30 fois le stockage de sauvegarde, et

Plus en détail

Unitt www.unitt.com. Zero Data Loss Service (ZDLS) La meilleure arme contre la perte de données

Unitt www.unitt.com. Zero Data Loss Service (ZDLS) La meilleure arme contre la perte de données Zero Data Loss Service (ZDLS) La meilleure arme contre la perte de données La meilleure protection pour les données vitales de votre entreprise Autrefois, protéger ses données de manière optimale coûtait

Plus en détail

Pour une maîtrise totale de la reprise d activité : bonnes pratiques de continuité d activité et de virtualisation L I V R E B L A N C

Pour une maîtrise totale de la reprise d activité : bonnes pratiques de continuité d activité et de virtualisation L I V R E B L A N C Pour une maîtrise totale de la reprise d activité : bonnes pratiques de continuité d activité et de virtualisation L I V R E B L A N C Pour une maiîtrise totale de la reprise d activité: bonnes pratiques

Plus en détail

Re-Platforming SAP. Jean-Baptiste Rouzaud. EMEA SAP Services lead EMC Global Services. Copyright 2013 EMC Corporation. All rights reserved.

Re-Platforming SAP. Jean-Baptiste Rouzaud. EMEA SAP Services lead EMC Global Services. Copyright 2013 EMC Corporation. All rights reserved. Re-Platforming SAP Jean-Baptiste Rouzaud EMEA SAP Services lead EMC Global Services 1 Agenda Introduction Pourquoi Transformer? L approche Étude de cas Questions / Réponses 2 Pourquoi Transformer? 3 Les

Plus en détail

Garantir une meilleure prestation de services et une expérience utilisateur optimale

Garantir une meilleure prestation de services et une expérience utilisateur optimale LIVRE BLANC Garantir une meilleure prestation de services et une expérience utilisateur optimale Mai 2010 Garantir une meilleure prestation de services et une expérience utilisateur optimale CA Service

Plus en détail

Stratégies gagnantes pour la fabrication industrielle : le cloud computing vu par les dirigeants Dossier à l attention des dirigeants

Stratégies gagnantes pour la fabrication industrielle : le cloud computing vu par les dirigeants Dossier à l attention des dirigeants Stratégies gagnantes pour la fabrication industrielle : Dossier à l attention des dirigeants Centres d évaluation de la technologie inc. Stratégies gagnantes pour l industrie : Synthèse Jusqu ici, les

Plus en détail

Les plates-formes informatiques intégrées, des builds d infrastructure pour les datacenters de demain

Les plates-formes informatiques intégrées, des builds d infrastructure pour les datacenters de demain Livre blanc Les plates-formes informatiques intégrées, des builds d infrastructure pour les datacenters de demain Par Mark Bowker, analyste senior, et Perry Laberis, associé de recherche senior Mars 2013

Plus en détail

Marché Public en procédure adaptée : Infrastructure Informatique régionale hébergée CAHIER DES CHARGES ET DES CLAUSES TECHNIQUES

Marché Public en procédure adaptée : Infrastructure Informatique régionale hébergée CAHIER DES CHARGES ET DES CLAUSES TECHNIQUES GROUPEMENT DE COMMANDES CA54, CA55, CA57, CA88, CRAL Marché Public en procédure adaptée : Infrastructure Informatique régionale hébergée CAHIER DES CHARGES ET DES CLAUSES TECHNIQUES Etabli en application

Plus en détail

La surveillance réseau des Clouds privés

La surveillance réseau des Clouds privés La surveillance réseau des Clouds privés Livre blanc Auteurs : Dirk Paessler, CEO de Paessler AG Gerald Schoch, Rédactrice technique de Paessler AG Publication : Mai 2011 Mise à jour : Février 2015 PAGE

Plus en détail

transformer en avantage compétitif en temps réel vos données Your business technologists. Powering progress

transformer en avantage compétitif en temps réel vos données Your business technologists. Powering progress transformer en temps réel vos données en avantage compétitif Your business technologists. Powering progress Transformer les données en savoir Les données sont au cœur de toute activité, mais seules elles

Plus en détail

Système de Stockage Sécurisé et Distribué

Système de Stockage Sécurisé et Distribué Système de Stockage Sécurisé et Distribué Philippe Boyon philippe.boyon@active-circle.com ACTIVE CIRCLE QUI SOMMES NOUS? Editeur français, spécialiste du stockage de fichiers et de la gestion de données

Plus en détail

7 avantages à la virtualisation des applications stratégiques de votre entreprise

7 avantages à la virtualisation des applications stratégiques de votre entreprise 7 avantages à la virtualisation des applications stratégiques de votre entreprise Contenu de cet ebook Mise en contexte Avantage 1 : Accélération des mises à niveau grâce au clonage Avantage 2 : Réservation

Plus en détail

UNIFIED D TA. architecture nouvelle génération pour une restauration garantie (assured recovery ) que les données soient sur site ou dans le cloud

UNIFIED D TA. architecture nouvelle génération pour une restauration garantie (assured recovery ) que les données soient sur site ou dans le cloud UNIFIED architecture nouvelle génération pour une restauration garantie (assured recovery ) D TA que les données soient sur site ou dans le cloud PROTECTION FOURNISSEURS DE SERVICES GÉRÉS DOSSIER SOLUTION

Plus en détail

Architectures d implémentation de Click&DECiDE NSI

Architectures d implémentation de Click&DECiDE NSI Architectures d implémentation de Click&DECiDE NSI de 1 à 300 millions de ligne de log par jour Dans ce document, nous allons étudier les différentes architectures à mettre en place pour Click&DECiDE NSI.

Plus en détail

Mise en œuvre d une infrastructure de virtualisation au CNRGV

Mise en œuvre d une infrastructure de virtualisation au CNRGV Mise en œuvre d une infrastructure de virtualisation au CNRGV Pourquoi la virtualisation? Choix de la solution Mise en œuvre Avantages, inconvénients, perspectives Pour aller plus loin 26/03/2013 AG CATI

Plus en détail

Externaliser le système d information : un gain d efficacité et de moyens. Frédéric ELIEN

Externaliser le système d information : un gain d efficacité et de moyens. Frédéric ELIEN Externaliser le système d information : un gain d efficacité et de moyens Frédéric ELIEN SEPTEMBRE 2011 Sommaire Externaliser le système d information : un gain d efficacité et de moyens... 3 «Pourquoi?»...

Plus en détail

EMC PERSPECTIVE. Le redéploiement des applications SAP sur le stockage EMC et VMware améliore les résultats de Callaway Golf Company

EMC PERSPECTIVE. Le redéploiement des applications SAP sur le stockage EMC et VMware améliore les résultats de Callaway Golf Company EMC PERSPECTIVE Le redéploiement des applications SAP sur le stockage EMC et VMware améliore les résultats de Callaway Golf Company ROI de 289 % : plus de 1,8 million de dollars d économies Le projet de

Plus en détail

FUJITSU WORLD TOUR 2014 Paris

FUJITSU WORLD TOUR 2014 Paris FUJITSU WORLD TOUR 2014 Paris Bienvenue... vshape simplifie la transition vers le cloud privé Best practices avec NetApp et Fujitsu Jeremy Raynot, Technical Partner Manager NetApp Olivier Davoust, Business

Plus en détail

Système de stockage sur disque IBM Storwize V5000

Système de stockage sur disque IBM Storwize V5000 Système de stockage sur disque IBM Storwize V5000 Le nouveau membre de la gamme IBM Storwize procure des avantages exceptionnels et une flexibilité accrue Points forts Simplification de la gestion à l

Plus en détail

LA VIRTUALISATION. Etude de la virtualisation, ses concepts et ses apports dans les infrastructures informatiques. 18/01/2010.

LA VIRTUALISATION. Etude de la virtualisation, ses concepts et ses apports dans les infrastructures informatiques. 18/01/2010. Guillaume ANSEL M2 ISIDIS 2009-2010 / ULCO Dossier d étude sur la virtualisation LA VIRTUALISATION 18/01/2010 Etude de la virtualisation, ses concepts et ses apports dans les infrastructures informatiques.

Plus en détail

Système de stockage IBM XIV Storage System Description technique

Système de stockage IBM XIV Storage System Description technique Système de stockage IBM XIV Storage System Description technique Système de stockage IBM XIV Storage System Le stockage réinventé Performance Le système IBM XIV Storage System constitue une solution de

Plus en détail

e-novatic PRATIQUES, PLANIFICATION SUITE

e-novatic PRATIQUES, PLANIFICATION SUITE Communauté officielle MICROSOFT Contact : Cédric GEORGEOT Téléphone : 06 58 47 43 38 Télécopie : 09 72 11 52 44 e-novatic 40a rue de l ancienne église F-67760 GAMBSHEIM www.e-novatic.fr DOSSIER DE PRESSEE

Plus en détail

Virtualisation CITRIX, MICROSOFT, VMWARE OLIVIER D.

Virtualisation CITRIX, MICROSOFT, VMWARE OLIVIER D. 2013 Virtualisation CITRIX, MICROSOFT, VMWARE OLIVIER D. Table des matières 1 Introduction (Historique / définition)... 3 2 But de la virtualisation... 4 3 Théorie : bases et typologie des solutions techniques...

Plus en détail

VMware vsphere 5 Préparation à la certification VMware Certified Professional 5 Data Center Virtualization (VCP5-DCV) - Examen VCP510

VMware vsphere 5 Préparation à la certification VMware Certified Professional 5 Data Center Virtualization (VCP5-DCV) - Examen VCP510 Introduction A. Au sujet du livre 10 B. Au sujet de l'examen 10 Chapitre 1 Les nouveautés de vsphere A. Présentation 14 B. En quoi vsphere 5 diffère de vsphere 4? 14 1. Un Service Console abandonné 14

Plus en détail

CONSULTATION : (MAPA) MAT_INFO_2013_03 Marché à procédure adaptée (MAPA) MAT_INFO_2013_03

CONSULTATION : (MAPA) MAT_INFO_2013_03 Marché à procédure adaptée (MAPA) MAT_INFO_2013_03 Ministère de l enseignement Supérieur et de la recherche SUPMECA INSTITUT SUPERIEUR DE MÉCANIQUE DE PARIS 3 Rue Fernand Hainaut 93400 Saint-Ouen cedex CONSULTATION : (MAPA) MAT_INFO_2013_03 Marché à procédure

Plus en détail

Regard sur hybridation et infogérance de production

Regard sur hybridation et infogérance de production Regard sur hybridation et infogérance de production Février 2014 édito «comment transformer l hybridation des infrastructures en levier de performances?» Les solutions d infrastructure connaissent depuis

Plus en détail

36 arguments clés en faveur de la virtualisation du stockage DataCore

36 arguments clés en faveur de la virtualisation du stockage DataCore 36 arguments clés en faveur de la virtualisation du stockage DataCore Auteur: George Teixeira, Président et CEO de DataCore Software Corporation DataCore Software DataCore Software développe les logiciels

Plus en détail

Intervenant : Olivier Parcollet olivier.parcollet@semtao.fr Architecte Systèmes & Réseaux. RETOUR D EXPERIENCE Virtualisation à lasetao

Intervenant : Olivier Parcollet olivier.parcollet@semtao.fr Architecte Systèmes & Réseaux. RETOUR D EXPERIENCE Virtualisation à lasetao Intervenant : Olivier Parcollet olivier.parcollet@semtao.fr Architecte Systèmes & Réseaux RETOUR D EXPERIENCE Virtualisation à lasetao REX SETAO / VmWare AGENDA Présentation de l activité informatique

Plus en détail

Enseignant: Lamouchi Bassem Cours : Système à large échelle et Cloud Computing

Enseignant: Lamouchi Bassem Cours : Système à large échelle et Cloud Computing Enseignant: Lamouchi Bassem Cours : Système à large échelle et Cloud Computing Les Clusters Les Mainframes Les Terminal Services Server La virtualisation De point de vue naturelle, c est le fait de regrouper

Plus en détail

Conception d une infrastructure «Cloud» pertinente

Conception d une infrastructure «Cloud» pertinente Conception d une infrastructure «Cloud» pertinente Livre blanc d ENTERPRISE MANAGEMENT ASSOCIATES (EMA ) préparé pour Avocent Juillet 2010 RECHERCHE EN GESTION INFORMATIQUE, Sommaire Résumé........................................................

Plus en détail

Architecture complète de protection du stockage et des données pour VMware vsphere

Architecture complète de protection du stockage et des données pour VMware vsphere Architecture complète de protection du stockage et des données pour VMware vsphere Synthèse Les économies de coûts et les avantages en termes de flexibilité de la virtualisation des serveurs ont fait leurs

Plus en détail

OFFRES DE SERVICES SDS CONSULTING

OFFRES DE SERVICES SDS CONSULTING OFFRES DE SERVICES SDS CONSULTING AUTOUR DE LA SOLUTION TSM DERNIERE MISE A JOUR : MAI 2011 préalable 1 Liste des services proposés Nos équipes sont spécialisées depuis de nombreuses années dans le domaine

Plus en détail

Hébergement de base de données MySQL. Description du service (D après OGC - ITIL v3 - Service Design- Appendix F : Sample SLA and OLA)

Hébergement de base de données MySQL. Description du service (D après OGC - ITIL v3 - Service Design- Appendix F : Sample SLA and OLA) Hébergement de base de données MySQL. Description du service (D après OGC - ITIL v3 - Service Design- Appendix F : Sample SLA and OLA) Source : commundit:_ex:catalogue_services:db:sla_dit_mysql.docx Distribution

Plus en détail

Kick Off SCC 2015 Stockage Objet. Vers de nouveaux horizons

Kick Off SCC 2015 Stockage Objet. Vers de nouveaux horizons Kick Off SCC 2015 Stockage Objet Vers de nouveaux horizons Stockage Objet Qu est ce que le Stockage Objet? Un moyen différent d adresser la donnée Block Fichier Objet Une zone de disque réservée / Une

Plus en détail

Entrez dans l ère du Numérique Très Haut Débit

Entrez dans l ère du Numérique Très Haut Débit MIPE Juin 2012 - Nantes http://www.network-th.fr - 0811 560 947 1. Le Très Haut Débit sur Fibre Optique au prix d une SDSL : Mythe ou Réalité? 2. Sauvegarder, Sécuriser, Protéger, Superviser : Délégueznous

Plus en détail

Virtualiser ou ne pas virtualiser?

Virtualiser ou ne pas virtualiser? 1 Virtualiser ou ne pas virtualiser? C est la première question à laquelle vous devrez répondre par vous-même avant d investir une quantité significative de temps ou d argent dans un projet de virtualisation.

Plus en détail

Livre blanc. La sécurité de nouvelle génération pour les datacenters virtualisés

Livre blanc. La sécurité de nouvelle génération pour les datacenters virtualisés Livre blanc La sécurité de nouvelle génération pour les datacenters virtualisés Introduction Ces dernières années, la virtualisation est devenue progressivement un élément stratégique clé pour le secteur

Plus en détail

Solution de stockage et archivage de grands volumes de données fichiers. www.active-circle.com

Solution de stockage et archivage de grands volumes de données fichiers. www.active-circle.com Solution de stockage et archivage de grands volumes de données fichiers www.active-circle.com Stocker et archiver de grands volumes de fichiers n a jamais été aussi simple! LES FONDAMENTAUX D ACTIVE CIRCLE

Plus en détail

Quels outils pour prévoir?

Quels outils pour prévoir? modeledition SA Quels outils pour prévoir? Les modèles de prévisions sont des outils irremplaçables pour la prise de décision. Pour cela les entreprises ont le choix entre Excel et les outils classiques

Plus en détail

Stockage Dell. Vos données disponibles, au bon endroit, au bon moment et au juste coût

Stockage Dell. Vos données disponibles, au bon endroit, au bon moment et au juste coût Stockage Dell Vos données disponibles, au bon endroit, au bon moment et au juste coût 2 Stockage Dell Stockage Dell 3 Un stockage choisi plutôt que subi Le volume, la vitesse de circulation et la valeur

Plus en détail

Virtual Data Center d Interoute. Prenez la main sur votre Cloud.

Virtual Data Center d Interoute. Prenez la main sur votre Cloud. Virtual Data Center d Interoute. Prenez la main sur votre Cloud. Faites évoluer vos ressources informatiques à la demande Choisissez la localisation d hébergement de vos données en Europe Le réseau européen

Plus en détail

agility made possible

agility made possible DOSSIER SOLUTION CA VM:Manager Suite for Linux on System Z Comment réduire le coût et la complexité de la gestion et de la sécurisation des environnements z/vm et Linux on System z? agility made possible

Plus en détail

ITIL Gestion de la continuité des services informatiques

ITIL Gestion de la continuité des services informatiques ITIL Gestion de la continuité des services informatiques Sommaire 1 GENERALITES 3 2 PRESENTATION DE LA PRESTATION 3 3 MODALITES DE LA PRESTATION 6 Page 2 1 Généralités Nous utilisons les meilleures pratiques

Plus en détail

2 disques en Raid 0,5 ou 10 SAS

2 disques en Raid 0,5 ou 10 SAS Serveur GED: INFO EN + Afin d obtenir des performances optimales il est préférable que le serveur soit dédié. Matériel : Processeur Jusqu à 10 utilisateurs 2.0 Ghz environ Jusqu à 30 utilisateurs 2.6 Ghz

Plus en détail

virtualisation et consolidation des infrastructure: comment amèliorer la performance du SI

virtualisation et consolidation des infrastructure: comment amèliorer la performance du SI virtualisation et consolidation des infrastructure: comment amèliorer la performance du SI intervenants : Papa Djibril GUEYE Manager Système d exploitation windows Brutus Sadou DIAKITE Directeur du Système

Plus en détail

SOMMAIRE. AVRIL 2013 TECHNOLOGIE ÉTUDE POINTS DE VUE BDC Recherche et intelligence de marché de BDC TABLE DES MATIÈRES

SOMMAIRE. AVRIL 2013 TECHNOLOGIE ÉTUDE POINTS DE VUE BDC Recherche et intelligence de marché de BDC TABLE DES MATIÈRES AVRIL 2013 TECHNOLOGIE ÉTUDE POINTS DE VUE BDC Recherche et intelligence de marché de BDC TABLE DES MATIÈRES Faits saillants du sondage 2 Contexte et méthode de sondage 3 Profil des répondants 3 Investissements

Plus en détail

Virtualisation des Serveurs et du Poste de Travail

Virtualisation des Serveurs et du Poste de Travail Virtualisation des Serveurs et du Poste de Travail Les enjeux de la virtualisation Les acteurs du segment La virtualisation de serveurs Les concepts Les technologies d architectures L offre La virtualisation

Plus en détail

Livre blanc sur la facilité d utilisation : comparaison entre EMC VNX et NetApp FAS

Livre blanc sur la facilité d utilisation : comparaison entre EMC VNX et NetApp FAS Livre blanc sur la facilité d utilisation : comparaison entre EMC VNX et NetApp FAS Avril 2011 Vingt ans d expérience dans www.strategicfocus.com l évaluation technique 408-568-3993 Ce rapport de test

Plus en détail

IaaS à la sauce Portails Focus sur. Pierre Aubert Orange Portails OF/DMGP/Portails/DOP 1 er Juillet 2013

IaaS à la sauce Portails Focus sur. Pierre Aubert Orange Portails OF/DMGP/Portails/DOP 1 er Juillet 2013 IaaS à la sauce Portails Focus sur Pierre Aubert Orange Portails OF/DMGP/Portails/DOP 1 er Juillet 2013 Notre contexte Quelques milliers de serveurs Quelques centaines de services et d applications Une

Plus en détail

Experts efficience informatique

Experts efficience informatique Experts efficience informatique Date 3 février 2014 Martin Dargent Dirigeant EasyVirt Martin.dargent@easyvirt.com 06 69 55 75 18 Présentation d EasyVirt EasyVirt Jeune Entreprise Innovante issue de 7 ans

Plus en détail

Perspectives pour l entreprise. Desktop Cloud. JC Devos IBM IT Architect jdevos@fr.ibm.com. 2010 IBM Corporation

Perspectives pour l entreprise. Desktop Cloud. JC Devos IBM IT Architect jdevos@fr.ibm.com. 2010 IBM Corporation Perspectives pour l entreprise Desktop Cloud JC Devos IBM IT Architect jdevos@fr.ibm.com Principe technique Disposer d un poste de travail virtuel accessible par la plupart des terminaux disponibles Ce

Plus en détail

Cours 6. Sécurisation d un SGBD. DBA - M1ASR - Université Evry 1

Cours 6. Sécurisation d un SGBD. DBA - M1ASR - Université Evry 1 Cours 6 Sécurisation d un SGBD DBA - M1ASR - Université Evry 1 Sécurisation? Recette d une application Vérification des fonctionnalités Vérification de l impact sur le SI existant Gestion du changement

Plus en détail

L unique SAN industriel proposant un stockage multiniveau automatisé (Automated Tiered Storage)

L unique SAN industriel proposant un stockage multiniveau automatisé (Automated Tiered Storage) Storage Center Baie de stockage STORAGE CENTER Transcende les limites des systèmes de stockage classiques Les fournisseurs de stockage actuels promettent de réduire le temps et les sommes d argent que

Plus en détail

Utiliser le cloud pour manager son PRA et son PCA (DRaaS ou PRA dans le Cloud)

Utiliser le cloud pour manager son PRA et son PCA (DRaaS ou PRA dans le Cloud) Utiliser le cloud pour manager son PRA et son PCA (DRaaS ou PRA dans le Cloud) Eric DERONZIER (Ysosecure) eric.deronzier@ysosecure.com Matthieu BENNASAR (Lexsi) mbennasar@lexsi.com Pascal GREPT (SLAT)

Plus en détail

Marché à procédure adaptée (en application de l article 28 du code des Marchés Publics)

Marché à procédure adaptée (en application de l article 28 du code des Marchés Publics) ETABLISSEMENT PUBLIC DE SANTE MENTALE «Morbihan» 22, Rue de l Hôpital - B. P. 10 56896 SAINT-AVE Cédex Marché à procédure adaptée (en application de l article 28 du code des Marchés Publics) CAHIER DES

Plus en détail

La gestion du poste de travail en 2011 : Panorama des technologies

La gestion du poste de travail en 2011 : Panorama des technologies La gestion du poste de travail en 2011 : Panorama des technologies François Clémence C.R.I Université Paul Verlaine Metz UFR Sciences Humaines et Arts clemence@univ-metz.fr Olivier Mathieu C.R.I Université

Plus en détail

ASSUREZ VOTRE CONTINUITÉ DE SERVICE EN CAS DE SINISTRE. Sauvegarde Restauration Migration Virtualisation P.R.A

ASSUREZ VOTRE CONTINUITÉ DE SERVICE EN CAS DE SINISTRE. Sauvegarde Restauration Migration Virtualisation P.R.A ASSUREZ VOTRE CONTINUITÉ DE SERVICE EN CAS DE SINISTRE Sauvegarde Restauration Migration Virtualisation P.R.A La cyber-sécurité n est pas une fin en soi. La disponibilité du système d information de l

Plus en détail

ASSUREZ VOTRE CONTINUITÉ DE SERVICE EN CAS DE SINISTRE. Sauvegarde Restauration Migration Virtualisation P.R.A

ASSUREZ VOTRE CONTINUITÉ DE SERVICE EN CAS DE SINISTRE. Sauvegarde Restauration Migration Virtualisation P.R.A ASSUREZ VOTRE CONTINUITÉ DE SERVICE EN CAS DE SINISTRE Sauvegarde Restauration Migration Virtualisation P.R.A La cyber-sécurité n est pas une fin en soi. La disponibilité du système d information de l

Plus en détail

Cloud Computing, discours marketing ou solution à vos problèmes?

Cloud Computing, discours marketing ou solution à vos problèmes? Cloud Computing, discours marketing ou solution à vos problèmes? Henri PORNON 3 avril 2012 IETI Consultants 17 boulevard des Etats-Unis - F-71000 Mâcon Tel : (0)3 85 21 91 91 - fax : (0)3 85 21 91 92-

Plus en détail

ACQUISITION DE MATERIEL INFORMATIQUE

ACQUISITION DE MATERIEL INFORMATIQUE ACQUISITION DE MATERIEL INFORMATIQUE MARCHE A PROCEDURE ADAPTEE (ARTICLE 28 DU CODE DES MARCHES PUBLICS) CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUE PARTICULIERES VALANT REGLEMENT DE LA CONSULTATION 2/03/2015 Le présent

Plus en détail

Livre blanc rédigé par ENTERPRISE MANAGEMENT ASSOCIATES (EMA ) pour VMware Avril 2010

Livre blanc rédigé par ENTERPRISE MANAGEMENT ASSOCIATES (EMA ) pour VMware Avril 2010 Coûts d une infrastructure de postes de travail virtualisés (SHVD - Server Hosted Virtual Desktops) : Étude comparative VMware View / Citrix XenDesktop Livre blanc rédigé par ENTERPRISE MANAGEMENT ASSOCIATES

Plus en détail

Pour les entreprises de taille moyenne. Descriptif Produit Oracle Real Application Clusters (RAC)

Pour les entreprises de taille moyenne. Descriptif Produit Oracle Real Application Clusters (RAC) Pour les entreprises de taille moyenne Descriptif Produit Oracle Real Application Clusters (RAC) POURQUOI VOTRE ENTREPRISE A BESOIN DE CLUSTERISER LES SERVEURS La continuité opérationnelle est cruciale

Plus en détail

Guide des solutions de stockage nouvelle génération. Supplément thématique publié par la rédaction de IT Pro Magazine

Guide des solutions de stockage nouvelle génération. Supplément thématique publié par la rédaction de IT Pro Magazine Enjeux, perspectives & mise en oeuvre Guide des solutions de stockage nouvelle génération Supplément thématique publié par la rédaction de IT Pro Magazine Les nouveaux défis du stockage en entreprise En

Plus en détail