Elaboration de la stratégie de développement en matière de santé Pays Interrégional Bresle Yères

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1 Elaboration de la stratégie de développement en matière de santé Pays Interrégional Bresle Yères Synthèse d avancement Approfondissement du diagnostic territorial de santé 17 mai 2013

2 Sommaire 1-Rappel du calendrier 2- Présentation de la méthodologie de la phase 1 3- Eléments de diagnostic Cadrage sociodémographique et déterminants de santé Quelques données d état de santé La couverture médicale et paramédicale La prise en charge du vieillissement et du handicap La prévention, l éducation à la santé et la lutte contre les addictions Synthèse des atouts et des insuffisances 4- Les prochaines étapes 2

3 Sommaire 1-Rappel du calendrier 2- Présentation de la méthodologie de la phase 1 3- Eléments de diagnostic Cadrage sociodémographique et déterminants de santé Quelques données d état de santé La couverture médicale et paramédicale La prise en charge du vieillissement et du handicap La prévention, l éducation à la santé et la lutte contre les addictions Synthèse des atouts et des insuffisances 4- Les prochaines étapes 3

4 Calendrier Phase 1 : Diagnostic santé analyse complémentaire Etape 1 : Cadrage et lancement de la mission Etape 2 : Approfondissement des axes identifiés comme prioritaires de manière concertée Etape 3 : Rédaction, présentation du 1 er rapport intermédiaire : Diagnostic santé de territoire Phase 2 : Détermination des orientations stratégiques du territoire : stratégie de développement Etape 1 : Identification collective des enjeux et élaboration de scenarii Etape 2 : Formalisation des scenarii et détermination de la stratégie de développement du territoire en matière de santé Etape 3 : Rédaction et validation du deuxième rapport intermédiaire : Stratégie de développement Phase 3 : Elaboration des schéma et du projet territoriaux de santé Etape 1 : Elaboration partagée du schéma et projet territoriaux de santé Etape 2 : Présentation et validation du schéma et projet territoriaux de santé aux différentes instances janv. avril 2013 mai août 2013 sept. déc

5 Sommaire 1-Rappel du calendrier 2- Présentation de la méthodologie de la phase 1 3- Eléments de diagnostic Cadrage sociodémographique et déterminants de santé Quelques données d état de santé La couverture médicale et paramédicale La prise en charge du vieillissement et du handicap La prévention, l éducation à la santé et la lutte contre les addictions Synthèse des atouts et des insuffisances 4- Les prochaines étapes 5

6 Présentation de la méthodologie phase 1 Réunion de lancement et cadrage de la mission Rédaction du journal de projet 1 Analyse documentaire et analyse des données quantitatives sociodémographiques, socioéconomiques, d état de santé et d offre médico-sociale et sanitaire Entretiens de cadrage : une quinzaine d acteurs rencontrés en entretiens individuels ou collectifs élus, représentants institutionnels, représentants associatifs, autres acteurs des secteurs médico-social et sanitaire Elaboration, réalisation et traitement d une enquête-terrain auprès des habitants 140 personnes enquêtées Animation de 3 réunions collectives thématiques d approfondissement qualitatif (démographie médicale et paramédicale, vieillissement et handicap, prévention et addictions) Faible participation pour deux des trois réunions Elaboration d un livrable intermédiaire Rédaction du rapport de diagnostic en cours Présentation en comité de pilotage 6

7 Sommaire 1-Rappel du calendrier 2- Présentation de la méthodologie de la phase 1 3- Eléments de diagnostic Cadrage sociodémographique et déterminants de santé Quelques données d état de santé La couverture médicale et paramédicale La prise en charge du vieillissement et du handicap La prévention, l éducation à la santé et la lutte contre les addictions Synthèse des atouts et des insuffisances 4- Les prochaines étapes 7

8 Zone d étude Le Pays Interrégional Bresle Yères : Composé de quatre Communautés de communes : la Communauté de communes de Bresle-Maritime, la Communauté de communes du Canton d Aumale, la Communauté de communes d Yères et Plateaux et la Communauté de communes de Blangysur-Bresle habitants (1 er janvier 2008), 77 communes qui composent les quatre EPCI Territoire de 730 Km² situé le long des vallées de l Yères et de la Bresle, avec un littoral tourné vers la Manche Au croisement de deux régions : La Haute- Normandie et la Picardie ; et de deux départements : La Somme et la Seine- Maritime. Un développement économique basé sur des activités agricoles et industrielles ; un ancrage territorial fort, partagés par les communes des quatre EPCI, qui font du Pays une instance de concertation cohérente à l échelle du territoire

9 Structure et évolution de la population Une diminution de la population de 0,4% sur la période (avec un taux d accroissement annuel de -0,04% en moyenne), à l inverse des départements de la Seine-Maritime (+0,09%), de la Somme (+0,25), et de la France métropolitaine où la population augmente de 0,7% par an en moyenne sur la période Une évolution négative de la population expliquée par une variation positive du solde naturel, qui reste néanmoins relativement faible, que le solde migratoire impacte négativement Une représentation des moins de 25 ans inférieure aux moyennes départementales et nationale (28,3% contre 32,4% pour la Seine-Maritime, 32,1% pour la Somme et 30,9% pour la France métropolitaine) Une représentation des personnes âgées de 75 ans et plus dans la population supérieure aux moyennes des territoires de comparaison (9,8%, contre 8,3% pour la Seine-Maritime, 8,4% pour la Somme et 8,7% pour la France métropolitaine)

10 Education et emploi Une part de la population peu ou pas diplômée supérieure aux moyennes départementales et nationale 51 % de la population âgée de 15 ans et plus sans qualification contre 40,2% en Seine-Maritime, 45% dans la Somme et 36,6% au niveau national 22,3 % des jeunes de 20 à 29 ans sont peu ou pas diplômés contre 17,8 % en France métropolitaine Des taux de chômages supérieurs au territoires de comparaison en 2008, un taux de chômage des jeunes âgés de 20 à 29 ans de 21% contre 19,2% en Seine-Maritime, 20,4% dans la Somme et 17,4% en France métropolitaine en 2008, un taux de chômage des ans supérieur au département de la Seine-Maritime et à la moyenne nationale, mais similaire au département de la Somme (12,7 % contre 12% en Seine Maritime et 11,1% en France métropolitaine et 12,9% dans la Somme des disparités entre les différents taux de chômage des EPCI du Pays Bresle Yères (9,3% pour la CC du Canton d Aumale, contre, 14,2% pour la CC de Bresle Maritime) Une structure socioprofessionnelle qui présente des caractéristiques spécifiques une part d ouvriers dans la population active occupée plus importante sur le territoire du Pays Bresle Yères qu aux niveaux départemental et national (42,8% contre 29,2% en Seine-Maritime, 29,9% dans la Somme et 22,7% en France métropolitaine) des agriculteurs exploitants davantage représentés sur le territoire du Pays Bresle Yères qu au niveau national (3,2% de la population active occupée, soit 1,2 points de plus qu au niveau national) des cadres et professions intermédiaires moins représentées (respectivement 6 % et 17,9 % des emplois, contre 16,1% et 24,9% en France métropolitaine) 10

11 Revenu Un revenu net imposable annuel moyen des habitants du Pays Bresle Yères inférieur aux moyennes des territoires de comparaison ( euros contre euros en Seine- Maritime, euros dans la Somme et euros en France métropolitaine). 50,5% de foyers non imposables sur le Pays Bresle Yères, contre 46,6 à l échelle nationale Une part de personnes bénéficiant de la CMU et de la CMUC proche de la moyenne nationale (25,7 pour 1000 bénéficiaires de la CMU et 55,4 pour 1000 de la CMUC, contre respectivement 25,2 et 57,6 pour 1000 en France métropolitaine) Un nombre d allocataire du RSA inférieur aux départements de la Somme, de la Seine-Maritime et à la France métropolitaine (42 allocataires RSA socle pour 1000 ménages, contre 49,6 dans la Somme, 61,2 en Seine-Maritime (nombre d allocataires 2012) et 42,7 en France métropolitaine)

12 Logement Une part de logement social inférieure aux territoires de comparaison 103 logements sociaux pour 1000 ménages sur le territoire contre 244 pour 1000 en Seine-Maritime, 150,5 pour 1000 dans la Somme et 164,3 pour 1000 en France métropolitaine Un taux de bénéficiaires des allocations de logement (aide personnalisée au logement, allocation logement à caractère social et allocation à caractère familiale) inférieur aux moyennes départementales et nationale 184,5 pour 1000 ménages, contre 261,7 en Seine-Maritime, 250,8 en Somme et 229,9 en France métropolitaine

13 Des fragilités repérées Des publics potentiellement fragiles Des ménages rencontrant des difficultés économiques et sociales 51% de la population de 15 ans et plus sortie du système scolaire est sans qualification Un taux de chômage plus élevé qu au niveau national (près de 13% contre 11,2%) ; des disparités néanmoins entre les CC (de près de 5 points entre la CC du canton d Aumale et la CC Bresle Maritime Un revenu net imposable annuel moyen des habitants inférieur à la moyenne des français ( euros contre euros) Des jeunes en difficulté Plus de 22% des jeunes de ans sont peu ou pas diplômés Un taux de chômage des jeunes de supérieur de près de 4 points à la moyenne nationale (21% contre 17,4%) Des personnes âgées dépendantes et des personnes en situation de handicap dont une part à faibles ressources 9,8% de la population a 75 ans et plus contre 8,8% au niveau national 233,2 bénéficiaires de l APA pour 1000 personnes de 75 ans et plus contre 124 au niveau national (des disparités entre les CC) Près de 29 bénéficiaires de l AAH pour 1000 personnes de ans contre 27 en France métropolitaine Des enjeux spécifiques Une priorité accordée à l emploi, le logement, l alimentation chez ses populations, des déficits de prévention Des difficultés d accès aux soins pour raisons financières Un cumul de difficultés (insertion, emploi, logement, santé) Des problématiques psychiques et d addiction Des difficultés de mobilité, des besoins de prises en charge à domicile Des situations de polypathologies et de démence Des difficultés d accès aux soins et à la prévention pour raisons financières et de repérage au sein de l offre médico-sociale et de santé 13

14 Sommaire 1-Rappel du calendrier 2- Présentation de la méthodologie de la phase 1 3- Eléments de diagnostic Cadrage sociodémographique et déterminants de santé Quelques données d état de santé La couverture médicale et paramédicale La prise en charge du vieillissement et du handicap La prévention, l éducation à la santé et la lutte contre les addictions Synthèse des atouts et des insuffisances 4- Les prochaines étapes 14

15 Quelques éléments d état de santé et de recours aux soins + - Un taux de mortalité infantile inférieur à la moyenne nationale (2,9 pour 1000 naissances vivantes contre 3,9 pour 1000 en France métropolitaine) Un taux de mortalité général élevé par rapport aux deux régions Picardie et Haute-Normandie ainsi qu à la moyenne nationale (1000,3 pour contre respectivement 965,5 ; 1023,3 et 891,8 pour ) ; des décès par cancers et maladies cardiovasculaires surreprésentés par rapport au niveau national Un taux de mortalité lié à la consommation de tabac inférieur à celui des deux régions de référence, non significativement différent du niveau national (138,6 pour contre 151,7 en Picardie et 146,8 en Haute-Normandie) Un taux de mortalité prématuré (avant 65 ans) important également (263,3 pour contre 217,2 pour la France métropolitaine) Une bonne participation en moyenne des femmes au dépistage du cancer du sein ; une proportion de femmes entre 50 et 74 ans dépistées dans le cadre de la campagne organisée supérieure à la moyenne nationale (60% sur la campagne sur le territoire) Un bon taux de dépistage du cancer du col de l utérus. En 2006, 58 % des femmes de 25 à 64 ans ont réalisé un frotti, soit 8 points de plus qu en Picardie et 0,6 points de plus qu en France métropolitaine Des conduites addictives présentes sur le territoire ; un taux de mortalité liée à la consommation d alcool pour habitants de 50,3 contre 34,6 au niveau national Des admissions en ALD (affectation de longue durée) moins importantes que pour la moyenne nationale qui interrogent (taux d admission ALD entre 2004 et 2005 de 1661,4 pour habitants contre 1884, 7 pour la France métropolitaine et un taux d admission en ALD pour affectation psychiatriques sensiblement inférieur à la moyenne nationale qui interrogent ; un recours aux soins particulièrement tardif constaté à l hôpital d Eu (décès suite à un seul contact) 15

16 Sommaire 16 1-Rappel du calendrier 2- Présentation de la méthodologie de la phase 1 3- Eléments de diagnostic Cadrage sociodémographique et déterminants de santé Quelques données d état de santé La couverture médicale et paramédicale La prise en charge du vieillissement et du handicap La prévention, l éducation à la santé et la lutte contre les addictions Synthèse des atouts et des insuffisances 4- Les prochaines étapes A noter : Les informations en bleu sont issues de l enquête réalisées auprès des habitants et sont donc à interpréter avec prudence car incluant de fait une certaine subjectivité.

17 Des difficultés actuelles et à venir d offre de soins de 1 er recours En 2011, 59 médecins généralistes, soit une densité inférieure aux moyennes départementales et nationale (9,3 pour contre 11,5 en Somme, 10,4 en Seine-Maritime et 10,8 au niveau national) Une problématique plus marquée au niveau dentaire ; une densité de 3,2 professionnels pour habitants contre 6 au niveau national Près d une personne enquêtée sur 4 souligne le manque de dentistes sur le territoire Des médecins généralistes et dentistes plus concentrés sur le Nord-Est du territoire, plus peuplé ; des disparités en lieu de résidence x MG termes de densités de professionnels (MG : 11,4 pour la CCCA, 10,3 pour la CCBM, 9,2 pour la CCYP et 7,4 pour la CCBB) 61 Plus de 64% des enquêtés 31,2% déclarent que le nombre 12,2% de médecins généralistes 11,5% 12,2% constitue une difficulté, la part dépasse les 70% 18,4% sur les CCYP et CCBB 21,3% Plus d une personne enquêtée sur 10 déclarent parcourir plus de 10 km pour recourir au MG, distance qui paraît néanmoins acceptable au vu de la configuration du territoire CC de Bresle Maritime Des inquiétudes quant aux départs à la retraite et au remplacement des professionnels 40% des médecins généralistes ont plus de 55 ans (23 des 59 MG au 30 juin janvier 2011) ; peu de perspectives de reprise avec un âge de départ à la retraite moyen de 65 ans et sans installation, une densité de médecins généralistes de 5,6 médecins pour habitants à l horizon 2020 Des projets de regroupement de professionnels de santé dans plusieurs communes du territoire, un levier pour l attraction de jeunes médecins ; une coordination au niveau du Pays et une cohérence territoriale à travailler et des dispositifs de fidélisation des jeunes diplômés à actionner 0 36,1% 57,1% CC de Blangysur-Bresle 11,1% 16,7% 38,9% 33,3% CC Yères et Plateaux tout à fait plutôt oui plutôt non pas du tout 63,6% 9,1% 27,3% CC du Canton d'aumale

18 Une offre paramédicale pouvant constituer un levier sur le territoire Une densité de professionnels paramédicaux légèrement inférieure à la moyenne nationale (10,4 pour habitants contre 13,2 en France métropolitaine), néanmoins supérieure aux moyennes régionales une offre infirmière complétée par les interventions des SSIAD, néanmoins des listes d attente importantes et des glissements de tâches pour la réalisation de toilettes une offre qui répond globalement aux besoins à mobiliser pour pallier les déficits médicaux, des coopérations médicaux/paramédicaux à développer sur le territoire Des densités de kinésithérapeutes et d orthophonistes inférieures aux territoires de comparaison 6 kinésithérapeutes pour habitants (8,5 sur la CCCA et 2,3 sur la CCYP) contre 6,8 en Somme et 9 au niveau national 1,3 orthophonistes pour habitants contre 1,9 dans les deux départements de référence et 2,6 en France métropolitaine (des délais d attente important s soulignés par la PMI) Une problématique moins marquée que pour les lieu de résidence x paramédicaux professionnels médicaux selon les habitants interrogés 60 23,3% 22,0% 50,0% 34,0% 0 20,0% 6,7% CC de Bresle Maritime 28,0% 16,0% CC de Blangysur-Bresle 27,8% 27,8% 27,8% 16,7% CC Yères et Plateaux 27,3% 27,3% 9,1% 36,4% CC du Canton d'aumale tout à fait plutôt oui plutôt non pas du tout Le nombre de professionnels paramédicaux (infirmiers, kinésithérapeutes, orthophonistes, ) est une difficulté pour près de 36% des personnes interrogées, cette part est moins importante sur la CCBM (26,7%) que sur les 3 autres CC (plus de 43%)

19 Des difficultés marquées d accès aux soins spécialisés Des densités de médecins spécialistes inférieures aux moyennes départementale et nationale (3,5 pour habitants contre 6,1 dans la Somme, 5,1 en Picardie et 9 au niveau national Dermatologie 2 21 professionnels recensés néanmoins peu de professionnels à temps plein sur le Rhumatologie 1 territoire, une concentration des consultations sur Eu Le manque de médecins spécialistes sur le territoire constitue une difficulté pour 86,5% des répondants, soit 121 personnes : les spécialités les plus citées comme manquantes sont l ophtalmologie (30% des enquêtés) et la gynécologie (12,4% des enquêtés) Des médecins spécialistes âgés ; près de 60% des professionnels ont plus de 55 ans contre 40 en Somme, 45,9% en Seine-Maritime et 50 au niveau national Des besoins renforcés par certaines caractéristiques démographiques et sanitaires un vieillissement de la population anticipé des indicateurs d état de santé peu favorables Une majorité des consultations de spécialistes s effectuent à l extérieur du territoire Gastro-entérologie 2 Radiologie 8 Gynécologie 1 Ophtalmologie 3 ORL 2 Orthopédie et chirurgie viscérale 82,1% des répondants (soit 115 personnes) déclarent que les délais pour obtenir des rendez-vous auprès des médecins spécialistes représentent un frein à l accès aux soins. Un hôpital sur la ville d Eu qui offre 38 lits de médecine et 17 lits en unité de soins de suite atout pour le territoire notamment pour l accueil de consultations avancées de spécialistes à pérenniser 2

20 Une permanence des soins organisée sur le territoire Une permanence des soins qui fonctionne sur le territoire néanmoins des recours inappropriés aux urgences des gardes réalisées par les médecins généralistes à tour de rôle au sein de l hôpital d Eu Une permanence des soins complétées par l offre de Neufchâtel en Bray réalisée par la maison de santé dont l organisation et le fonctionnement est innovant et particulièrement intéressant des recours aux urgences dans le cas de l absence du médecin traitant relativement fréquents peu de possibilités en matière de recours non programmés, des recours pas toujours appropriés aux urgences En cas d absence du médecin traitant, les habitants enquêtés déclarent solliciter de façon prioritaire les urgences hospitalières, pour 41,3% d entre eux ; viennent ensuite, la consultation d un autre médecin libéral pour 34,8% et celle du médecin remplaçant pour 23,9% des personnes enquêtées. Par ailleurs, si 65,1% des répondants (soit 114 personnes) déclarent se rendre aux urgences hospitalières en cas d urgence médicales ; 22,3% font ce choix s il n y a pas de disponibilité immédiate du médecin traitant, et 10,3% afin de réaliser plusieurs examens le même jour. L intervention du VLI (médecin des sapeurs-pompiers), atout pour la CCCA et la CCBB Un service d urgence et un service SMUR à l hôpital d Eu, réel atout pour le territoire un centre de régulation des urgences qui oriente sur l hôpital d Eu ou sur Abbeville (selon le numéro de téléphone composé) une ressource qui attire certaines spécialités médicales et chirurgicales Néanmoins, pour 53,4% des personnes enquêtées l éloignement des services d urgence et des structures hospitalières constitue une difficulté 20

21 L existence de freins financiers, sociaux et psychologiques de recours et d accès aux services de santé La persistance de freins financiers d accès aux soins, malgré une majorité de médecins généralistes en secteur 1 (plus de 90% des MG) du fait de freins d accès aux droits : méconnaissance des droits constatée et des lieux d accès à l information, forte sollicitation des élus ; complexité d accès aux droits du fait du manque de permanences institutionnelles du fait de difficultés financières empêchant l avance de frais malgré l existence d une couverture complémentaire du fait de surcoûts liés aux déplacements Plus de 53% des répondants soulignent des difficultés d accès aux soins liées au coût de ces derniers et aux avances de frais Des difficultés à entrer dans le soin et des reports de soins du fait de barrières culturelles, sociales des habitudes culturelles et des fragilités sociales qui ne favorise pas l émergence de préoccupations en matière de santé pas d action spécifiques en direction de l accès aux soins des publics fragiles, néanmoins des situations de plus en plus fréquentes qui mériteraient un accompagnement vers le soin et la santé spécifique (arrêt des bilans de santé CPAM côté Somme du fait de problèmes de locaux) Une problématique de mobilité marquée un territoire étendu, des densités peu importantes de professionnels et peu de transports en commun ; des difficultés de déplacements pour les personnes n ayant pas de véhicule personnel ; des solutions à imaginer à l échelle du Pays en s appuyant sur les ressources locales des freins psychologiques au déplacement importants déplacements 26,6% 28,1% 35,3% Plus de 36% des habitants enquêtés déclarent que les déplacements constituent une difficulté en matière de recours aux services hospitaliers 10,1% En revanche, un repérage au sein de l offre de services de santé qui ne constitue pas une difficulté majeure 74,3% des répondants déclarent ne rencontrer aucune difficulté pour s orienter dans le système de santé tout à fait plutôt oui 21 plutôt non pas du tout

22 Sommaire 1-Rappel du calendrier 2- Présentation de la méthodologie de la phase 1 3- Eléments de diagnostic Cadrage sociodémographique et déterminants de santé Quelques données d état de santé La couverture médicale et paramédicale La prise en charge du vieillissement et du handicap La prévention, l éducation à la santé et la lutte contre les addictions Synthèse des atouts et des insuffisances 4- Les prochaines étapes 22

23 Un vieillissement à prendre en compte, des situations de dépendance à accompagner Un taux de bénéficiaires de l APA à domicile pour les personnes de 75 ans et plus dans les vallées de Bresle et Yères plus important que celui des territoires de comparaison 233,2 pour 1000, contre 182,7 pour 1000 dans le département de Seine Maritime, 171 pour 1000 dans le département de la Somme et 124,1 pour 1000 en France métropolitaine 43,4 % des personnes âgées de 75 ans et plus vivent seules dans le Pays Bresle-Yères, proportion relativement intermédiaires à celles des territoires de comparaison (46,7 % en Seine-Maritime, 42,5 % dans le département de la Somme, et 42,9% en France métropolitaine) Une part des bénéficiaires de l AAH de 28,8 pour 1000 dans le Pays Bresle Yères, similaire à celle du département de la Seine Maritime (28,4) et inférieure à celui du département de la Somme (30,2 pour 1000) mais supérieure à celle de la France métropolitaine (23,7) Une part de bénéficiaires de l AEEH de 9,9 pour 1000 dans le Pays Bresle Yères, légèrement supérieure au taux d allocataires du département de la Somme (8,2) et de la France métropolitaine (9,6) ; mais inférieure à la part des bénéficiaires du département de la Seine Maritime (10,2)

24 Des alternatives au domicile initial et à l EHPAD à développer dans une logique de proximité et de mixité un besoin de logements (permanents ou temporaires) regroupés et sécurisés à proximité des lieux d implantation des structures et professionnels du domicile, permettant la mutualisation d aides professionnelles, informelles, bénévoles... et le dépassement des difficultés de mobilité des personnes âgées sur le territoire des besoins en matière de garde/répit de nuit pouvant limiter le maintien à domicile une offre d accueil familial développée sur le territoire pouvant être mobilisée (des formations et accompagnements spécifiques réalisés par les Papillons Blancs) Des manques importants pour les PHV et les PHA, des liens entre les structures du handicap et les EHPAD néanmoins une offre adaptée à développer ; une forte sollicitation de la part des établissements hospitaliers mais peu solutions (27 demandes en attente au niveau des Papillons Blancs) Un déficit de places d hébergement qui implique des ressources importantes à domicile et des solutions de logements intermédiaires Un territoire relativement bien doté en service d aide et d accompagnement à domicile, 17 services intervenant à domicile dans les Vallées de Bresle et Yères (SAAD, portage de repas, SSIAD) ; néanmoins des difficultés et des attentes fortes de la part des habitants des listes d attente importantes pour les places de SSIAD qui entraînent des glissements de tâches vers les aides à domicile 61% des personnes interrogées considèrent que la prise en charge et le suivi des personnes âgées vivant à domicile est une difficulté Une offre d hébergement en établissement insuffisante sur le territoire qui ne permet pas de répondre à l ensemble des besoins, d où une forte demande sur les services d aide et d accompagnement à domicile un nombre de places EHPAD inférieur aux moyennes des territoires de comparaison ; 46,6 places pour 1000 personnes de 65 ans et plus en moyenne, ce qui est inférieur à la moyenne de la Somme (62,8), de la Seine Maritime (79,1) et de la France métropolitaine (59,2) un manque de lits dédiées aux personnes souffrant de la maladie d Alzheimer ou apparentées (10 places financées au Tréport)

25 Une prévention des problématiques du vieillissement et du handicap à développer La prévention des problématiques liées au vieillissement, une priorité du département, un souhait de soutenir les projets en cours ou en place Une culture locale à la fois atout du lien social et frein au repérage et à la prévention des problématiques des personnes âgées et des personnes en situation de handicap (enfants gardés à domicile) qui s appuient sur la solidarité familiale et de voisinage avant de recourir à l aide et l accompagnement institutionnel ou associatif des situations complexes caractérisées par un fort épuisement familial qui se manifestent dans l urgence Des actions spécifiques en faveur de la prévention des problématiques du vieillissement sur le territoire (ateliers équilibre, mémoire, nutrition, ) à pérenniser des actions ponctuelles mises en place par le CLIC côté Seine-Maritime ; des associations impliquées (5 actions financées en 2012 par l ARS Picardie : UFOLEP, APSAS, PEP 80 à Amiens, EPISSOS) des acteurs locaux à mobiliser sur des actions partenariales pérennes et une communication adaptée à développer des démarches de prévention et d information portées par les intervenants du domicile (professionnels de santé, SSIAD, SAAD) à valoriser Des actions collectives en direction des aidants à développer sur le territoire, un public au cœur de l accompagnement des personnes âgées à soutenir des initiatives pouvant être soutenues par la MSA, Somme Alzheimer qui forme des bénévoles mais pas d action actuellement sur le territoire ; une dynamique à lancer, des propositions innovantes à formuler et des acteurs locaux à mobiliser (associations locales, centres sociaux ) une importance des intervenants du domicile dans le soutien et l information au quotidien de l aidant Une offre de places d accueil de jour (AJ) et d hébergement temporaire (HT) insuffisante au regard des besoins, néanmoins des difficultés d utilisation des ressources existantes des freins psychologiques et financiers de recours à cette offre de services des freins liés au manque de mobilité des personnes (un projet en réflexion au niveau de MADOPEH à élargir au Pays) un dispositif complexe à gérer au niveau des EHPAD, des places utilisés comme transition en amont d un hébergement permanent qui ne répondent pas toujours aux objectifs initiaux (ex : places de Gamaches) ; le besoin d un vrai projet associé à l HT 25

26 Des besoins en matière d'accès aux soins et de coordination autour de la personne âgée Des professionnels de santé au cœur de l accompagnement à domicile des personnes âgées une offre gériatrique à l hôpital d Eu des difficultés néanmoins liées à la diminution des visites à domicile des médecins généralistes et au peu de possibilités en matière de visites non programmées un manque de professionnels libéraux spécialisés dans la prise en charge de la personne âgée, des difficultés de prise en charge des personnes souffrant de troubles neurocognitifs et pathologies dégénératives des recours aux soins tardifs voire des non-recours de la part de certains publics âgés isolés, des problématiques liées à la nutrition 48% des personnes interrogées déclarent que la diminution des visites à domicile constitue une difficulté, néanmoins ce point est plus fréquemment cité par les personnes âgées de ans Une coordination gérontologique formalisée par la présence d un CLIC à Blangy-sur-Bresle dont l objectif est de favoriser le maintien à domicile des personnes âgées et de développer une approche préventive des problématiques du vieillissement des actions individuelles et collectives d information en développement ; des difficultés pour mettre en place des actions à l échelle du territoire une structure de mieux en mieux repérée par les professionnels du territoire (CCAS, professionnels libéraux, SAAD ) néanmoins des efforts à maintenir pour développer la visibilité auprès des habitants pas de CLIC sur la partie picarde du Pays, une coordination gérontologique organisée autour des secteurs d autonomie Un réseau gérontologique actif sur le territoire, atout pour les acteurs du champ de la personne âgée Néanmoins, une coordination dépendantes des personnes, un travail partenarial à développer et à formaliser des marges de progrès au niveau de la gestion des sorties d hospitalisation, un travail d amélioration de la connaissance mutuelle réalisé par les acteurs (hôpital d Abbeville, AS de secteur, MADOPEH) ainsi qu avec l HAD des médecins traitants à placer au cœur de la coordination et un rôle de relais des pharmaciens et IDE à affirmer des difficultés de coordination avec le secteur psychiatrique (avec les structures PH notamment) 26

27 Sommaire 1-Rappel du calendrier 2- Présentation de la méthodologie de la phase 1 3- Eléments de diagnostic Cadrage sociodémographique et déterminants de santé Quelques données d état de santé La couverture médicale et paramédicale La prise en charge du vieillissement et du handicap La prévention, l éducation à la santé et la lutte contre les addictions Synthèse des atouts et des insuffisances 4- Les prochaines étapes 27

28 La prévention et l éducation à la santé, un volet à développer et à structurer Des acteurs actifs en matière d information, de prévention voire de prise en charge des permanences PMI dans chaque canton du Pays, en Seine-Maritime une organisation non sectorisée pour favoriser les recours ; un secteur couvert par le planning familial (permanences au sein des CMS) des associations impliquées dans le champ de la prévention et de l éducation à la santé (à titre d exemple 8 associations ont été financées par l ARS Picardie en 2012 dont UFOLEP, Alcool Assistance Somme, Maisons Familles Rurales, Passerelle Infos sur 3 thématiques : personnes âgées, conduites addictives et nutrition), des actions pertinentes dans les collèges et lycées l ANPAA et le Mail deux associations actives sur le territoire, des consultations de proximité décentralisées du CSAPA de Friville Escarbotin à Gamaches et Mers-les-Bains (un fonctionnement différent côté Seine-Maritime), des permanences itinérantes réalisées par le Mail dans un camion ; des projets partenariaux à développer avec ces acteurs des actions portées par les Conseils Régionaux mais peu de relais locaux et pas de demande émanant du territoire D une manière générale, la population enquêtée considère être relativement bien informée sur les questions de santé et de prévention. Toutefois, près de 30% de personnes interrogées ne se sentent pas assez informés sur les questions de santé et de prévention. Néanmoins, une population qui reste peu réceptive aux messages de prévention et d éducation à la santé des problématiques liées à l hygiène alimentaire et au manque d activité physique (obésité, diabète) des problématiques d addictions marquées dans la population jeune et adulte, des effets collatéraux (indicateurs d état de santé peu favorables, interventions de la force publique en augmentation pour des problèmes liés à l alcoolémie) des situations de déni constatées par la PMI face aux difficultés psychiques et psychiatriques des enfants un taux de grossesse mineure important constaté par le CG de la Seine-Maritime, de même qu un taux de bénéficiaires RSA de moins de 25 ans plus élevé qu aux niveaux départementaux et national des problèmes de représentation qui freinent le recours aux structures de prévention, d éducation à la santé et de prise en charge (addictions, suivis psychologiques ) ; des stratégies et entrées innovantes à imaginer pour capter les publics 28

29 La prévention et l éducation à la santé, un volet à développer et à structurer Néanmoins peu de dispositifs ou d actions pérennes sur le territoire et des freins au développement de la prévention un besoin de relais locaux pour développer des démarches de prévention et d accompagnement globale et structurée avec les associations régionales et les acteurs institutionnels (ARS, CR, DDCS) ; de l information et de la formation à développer en direction des jeunes, des parents ainsi que des professionnels (de santé, enseignants ) des centres sociaux, ressources pour le territoire ; un volet médico-social et préventif à développer (une journée dédiée à la prévention organisée par le centre social de Criel-sur-Mer chaque année) plusieurs postes vacants en médecine scolaire ainsi qu au niveau de la PMI Des professionnels de santé limités par le manque de temps et une rémunération peu adaptée un manque de coordination entre les professionnels du territoire et les ressources existantes des leviers à activer (ex : projet en cours sur plusieurs territoires Picards de collaboration étroite entre les professionnels libéraux, l ANPAA et le Mail dans le cadre de la prise en charge des addictions) Des difficultés de prise en charge des souffrances psychiques et psychiatriques des CMP situés à Abbeville et à Dieppe, des délais relativement longs pour accéder à une prise en charge psychiatrique une intervention associative effective sur le territoire des représentations négatives qui constituent des freins au recours ; des situations de déni des besoins importants non couverts, des personnes renvoyées à domicile faute de solution plus adaptées un manque identifié d équipe mobile intervenant à domicile sur des situations complexes (psychiatrie/précarité, gérontopsychiatrie) 76% des personnes interrogées déclarent, que selon eux, la prise en charge des souffrances psychiques et psychologiques est insuffisante et/ou complexe sur le territoire Un manque de coordination au niveau institutionnel et opérationnel sur le Pays peu d actions communes à plusieurs CC du Pays, des pôles de vie différents et des approches divergentes des études récentes ou en cours qui vont dans le sens d un travail partenarial 29

30 Sommaire 1-Rappel du calendrier 2- Présentation de la méthodologie de la phase 1 3- Eléments de diagnostic Cadrage sociodémographique et déterminants de santé Quelques données d état de santé La couverture médicale et paramédicale La prise en charge du vieillissement et du handicap La prévention, l éducation à la santé et la lutte contre les addictions Synthèse des atouts et des insuffisances 4- Les prochaines étapes 30

31 Synthèse + - Un ancrage territorial fort, partagé par les communes des quatre EPCI, qui font du Pays une instance de concertation cohérente à l échelle du territoire Des densités de professionnels médicaux inférieures aux moyennes départementales et nationale ; des difficultés marquées de recours aux soins dentaires et spécialisés ; des délais de rendez-vous importants Des projets en cours de réflexion sur plusieurs communes du Pays pouvant constituer des leviers d attractivité de jeunes professionnels de santé, de continuité des prises en charge et de développement de consultations avancées ; une cohérence territoriale à travailler Des freins culturels, sociaux et psychologiques au recours aux soins, à la prévention et à la mobilité ; des représentations à dépasser et faire évoluer Un hôpital situé à Eu, ressource de proximité sur le territoire notamment pour les personnes âgées, l urgence et la pérennisation de consultations avancées Des ressources locales associatives nombreuses dont le potentiel est à valoriser par une meilleure structuration, coordination et communication Des problématiques de santé et indicateurs sanitaires peu favorables à relier à un déficit de démarches préventives et d attention portée à la santé ; des souffrances psychiques à prendre en compte Un déficit de solutions d hébergement pour personnes âgées, personnes en situation de handicap, personnes en souffrance psychique qui implique le développement de ressources intervenant à domicile adaptées au secteur rural (équipes mobiles, instances de coordination ) Une coordination des acteurs dans le champ de la personne âgée effective et reconnue par les acteurs ; des efforts pour améliorer la connaissance mutuelle entre acteurs et la coordination autour de la personne âgée ; un réseau gérontologique qui intervient sur le territoire ; une dynamique à pérenniser au vu du vieillissement de la population Des habitants qui ne rencontrent pas de difficultés d orientation au sein de l offre de services de santé ; un rôle central accordé au médecin traitant Une structuration des acteurs à améliorer et des relais locaux à identifier afin de développer des réponses cohérentes avec les besoins du territoire soutenues par les associations et institutions régionales (ARS, CR, DDCS, ANPAA, IREPS ) Un manque de coordination et de projets partenariaux inter-cc ou à l échelle du Pays ; des réponses communes s appuyant sur la cohérence territoriale à travailler 31

32 Sommaire 1-Rappel du calendrier 2- Présentation de la méthodologie de la phase 1 3- Eléments de diagnostic Cadrage sociodémographique et déterminants de santé Quelques données d état de santé La couverture médicale et paramédicale La prise en charge du vieillissement et du handicap La prévention, l éducation à la santé et la lutte contre les addictions Synthèse des atouts et des insuffisances 4- Les prochaines étapes 32

33 Les prochaines étapes Rédaction du journal de projet 2 Réalisation d entretiens complémentaires et finalisation du diagnostic Animation d une réunion avec le Conseil de développement Organisation et animation d un groupe de travail d une journée de partage des éléments de diagnostic et d identification des enjeux et objectifs prioritaires ainsi que des réponses pouvant être apportées Formalisation de scenarii et préconisations en cabinet Présentation du plan de préconisations au comité de pilotage 33

34 Votre contact ENEIS CONSEIL : Marion BRUNAT m.brunat@eneisconseil.com 34

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