Les mercredis du groupe SRC 14 mai 2014
|
|
- Marie-Christine Boudreau
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Les mercredis du groupe SRC 14 mai 2014 Echange avec Patrick Doutreligne et Christophe Robert, délégué général et délégué général adjoint de la fondation Abbé Pierre, sur l état du mal logement en France [1]
2 Patrick Doutreligne «Des réformes engagées mais des résultats décevants» Nous avons été très intéressés par ces deux années de politique de logement, dans la mesure où des reformes structurelles ont été engagées. Les propositions de François Hollande et de la Fondation de l Abbé Pierre se sont retrouvées sur les objectifs et le constat. Nous allons être un peu plus critiques sur l effectivité de ce qui s est passé et ce qui se passe actuellement. Les réformes structurelles ne sont peut-être pas si bien vendues, notamment sur la mobilisation du foncier public. C est un «serpent de mer» qui a aujourd hui peu d effectivité. Nous arrivons à la troisième année et trop peu de terrains publics sont cédés. Le problème du foncier, on ne s y attaque pas alors qu il est fondamental. Comment dire qu un terrain s est revalorisé alors que c est le même? C est un problème économique sur lequel on doit intervenir. Il y a un vrai déficit de résultats et un écart entre l engagement et la promesse. Les dispositions qui étaient dans le programme, que les gens ont appréciées, aujourd hui cela représente peu de résultats. Le passage de 20 à 25% sur la loi SRU est très important. Vos collègues maires et y compris ceux de la majorité, sont en train de limiter cela, suite à la secousse des municipales. Ce serait une erreur de ne pas tenir ce dispositif. Ce dispositif était approuvé par 83% des français. On nous a dit pendant 10 ans que c était une bêtise et que le marché règlerait le problème du logement, mais au contraire, les écarts se sont approfondis. Les ressources de tout le monde (population, moyens publics) sont plus faibles, ce qui a des conséquences : on va retrouver de l inflation, des impayés La production de logement générale en 2014 va être catastrophique. L objectif du gouvernement reste logements construits mais les projections sont à moins de Pour beaucoup de villes qui ont basculé de gauche à droite, les premières déclarations, c est : «au mieux un gel sinon un arrêt des constructions». Nous avons des inquiétudes très fortes. Les records de non-construction vont être battus. C est une aberration économique et politique. On doit construire des logements à la hauteur des besoins. Il y a eu la loi ALUR. C est un très beau travail. C est une des lois des plus volumineuses. Il va falloir plus de 100 décrets. C est une politique du logement en général. [2]
3 «La loi ALUR ne permet pas la baisse significative des loyers» Il y a beaucoup de choses dans la loi ALUR et nous n avons encore pas tout découvert. Malheureusement les choses les plus intéressantes sont les moins connues. Il ne faut pas vous le cacher nous sommes un peu déçus quand même. L encadrement des loyers par exemple, n en est pas vraiment un. Il y a cependant des conséquences positives car on va voir baisser les petits logements et les micros logements. Cela ne va cependant pas jouer sur une baisse des loyers. L objectif du Président de la République, c est arriver à faire baisser les loyers devenus trop chers en France. Ce ne sera pas le cas. Nous n aurons pas une baisse des loyers significative. Nous sommes gênés à la Fondation car nous avons soutenu et échangé avec les rapporteurs. Nous n avons pas été jusqu au bout, nous n avons pas été assez offensifs pour montrer que le logement est trop cher en France. L OCDE dit lui-même que c est incompréhensible, car tous les prix des logements ont baissé depuis la crise en Europe, sauf en France. Il faut qu on en tire des conséquences. La deuxième déception, c est la garantie universelle des loyers, car elle n est pas universelle. Nous ne sommes pas des «fans» de l universalité. Au départ, cette garantie devait être financée par un peu tout le monde (bailleur, propriétaire, pouvoirs publics). Depuis que ce n est qu un financement d état, l universalité est moins nécessaire. Les priorités doivent se porter sur les plus modestes! Dans le contexte actuel, ce décret n est pas prêt de sortir. On va se battre pour qu il sorte. C est la crédibilité de l Etat. Mais s il y a des restrictions budgétaires, c est le bon moment de mettre en avant les jeunes et les personnes les plus modestes. On se battra sur cet aspect-là. [3]
4 Il y a la première partie de la loi ALUR avec l encadrement des professions immobilières qui est très attendue. La population est satisfaite à ce propos. Il faut sortir encore une fois les décrets rapidement. Mais je suis inquiet des propos de la Ministre qui entend «pacifier» dans un premier temps. Le débat parlementaire a eu lieu, il n y a pas de «cinquième lecture» à avoir avec ces décrets. Je suis inquiet de cette déclaration. Si on écoute trop les lobbys on ne s en sortira pas. Ils sont partisans de la moindre intervention de la part des pouvoirs publics. Aujourd hui, j ai des craintes du fait que la nomination de la nouvelle ministre au logement montre qu il faudra 3 à 6 mois pour s initier aux problématiques. C est donc ces mois-ci de perdus. La deuxième mauvaise nouvelle est qu on a séparé la ville du logement. Les revendications des années 90 faisaient ce lien entre la politique de la ville et du logement. Il y a une vraie cohérence entre les deux. C est donc inquiétant. La troisième inquiétude se trouve dans l ordre protocolaire du ministère. Quand il y a 16 ministres et que le 15 ème c est celui du logement, cela montre que ce n est pas à la dimension du problème que nous connaissons. Cela ne montre pas la volonté offensive du gouvernement. Je ne demande qu à démentir ces mauvaises nouvelles. Par ailleurs, dans les deux ou trois priorités de campagne, le candidat socialiste citait le logement. Le Premier ministre ne l a pas cité, ou brièvement. «Ne pas oublier pas la lutte contre les injustices et les inégalités!» Une autre inquiétude, c est sur le plan d économies qui est paradoxal. Il y a eu un recul, mais le gel des APL va être extrêmement préoccupant. Le gel avait été reporté en 2014, on le reporte encore à octobre 2015, voire janvier On est entre nous donc je peux vous dire que j ai été très choqué que la Ministre concernée dise : «ce n est pas grave c est 20 à 35 euros par mois» alors que 70% de ceux qui perçoivent les APL ont moins que le SMIC! Si il y a une prestation totalement redistributive et axée sur les plus modestes, il me semble qu on n aurait pas dû y toucher. C est une économie qui n est pas à la hauteur des enjeux. Elle est estimée entre 176 et 300 millions d euros. [4]
5 J ai fréquenté beaucoup d entre vous. La particularité, la force et l éthique du Parti Socialiste que vous êtes, c est la lutte contre les injustices et les inégalités. En gelant les prestations sociales, on n y contribue pas. On a eu l impression dans le discours du Premier ministre, qu il a cessé d inclure les défavorisés, c est extrêmement dangereux. C est le jeu du FN. C est viser les modestes. On ne peut pas faire de la contre-offensive sans démonter ce discours. Il faut une solidarité nationale qui inclut les modestes et les défavorisés qui ne doivent pas être écartés. Quand on entend parler des classes moyennes, la question est : qui sont-elles? C est trop facile. Certainement pas les ménages modestes qui touchent 4000 par mois comme le disait le Président du gouvernement précédent, qui ne se rendait pas compte que cela concerne les 10 ou 12% des ménages français les plus riches. Si vous faites des politiques sociales, ne les fixez pas sur les très défavorisés, car sinon ça creuse l écart et ça va se retourner sur les uns et les autres. Il faut inclure les défavorisés autant que les modestes. Si on fait l inverse, la droite sait le faire mais pas sur la population juste au-dessus. Je pense globalement que le Parti Socialiste a un problème éthique en plus du problème politique. Je ne conteste pas qu il y ait des économies. Mais il me semble que les choix dans les 50 milliards doivent être mis au sceau d un parti. Et ce n est pas un bon message qu on envoie à la population, en tout cas ce n en est pas un au milieu associatif. Il faut que vous entendiez ces états d âme a été une crise économique qui a montré les abus du libéralisme. Les partis majoritaires ont toujours été les défenseurs de l intervention publique pour intervenir sur le marché. Au moment où le libre marché montre ses limites, on aurait dû voir ressurgir les positions plus fortes de votre parti avec une volonté d intervenir. Le paradoxe, c est que ce sont les idées défendues par votre parti, qui étaient critiques, qui auraient dû émergées et être défendues. Cependant, en dehors du programme présidentiel, ce n est pas ce qui se passe depuis le changement de gouvernement. C est un vrai problème. La différence et la force, l éthique et l ADN du PS, c est d avoir une préoccupation pour les plus modestes. Il faut aller au bout en termes politiques, économiques et dans les choix de société. Je ne veux pas donner de leçon mais je pense qu on est à un tournant difficile et délicat. Votre positionnement en tant que parlementaires, socialistes, doit se faire entendre sur ce sujet-là. Au niveau associatif, nous sommes, après deux ans, déçus, interpellatifs et un peu désabusés. C est difficile d être «trahi» par des gens qui ont partagé notre analyse et nos objectifs. [5]
6 Christophe Robert Il faut redonner de la perspective aux exclus L analyse que font les associations, le sentiment global tourne autour de deux axes : - Le plan quinquennal de lutte contre la pauvreté sur lequel les associations ont été associées. Il y a eu un vrai espoir de changement. - La loi ALUR, qui était une occasion pour pouvoir faire avancer la réponse sur le logement. Le secteur associatif s est mobilisé et a accompagné le mouvement de transformation proposé. Avec le changement de gouvernement, le discours de politique générale a fait la part belle à un public, une population dont il faudrait se préoccuper prioritairement : les inclus susceptibles de basculer. C est comme ça que nous, les associations, avons interprété le discours. Mais la place des exclus, qui sont nombreux et ne cessent d augmenter, semble passer à la trappe. Face aux mesures que nous avons nous-mêmes décidés, par exemple en matière de revalorisation du RSA, il est totalement incroyable que la première décision de ce nouveau gouvernement soit de dire : «on gèle». Certains d entre vous se sont mobilisés, les associations aussi. Il y a eu un retour du Premier ministre tant mieux, mais l inquiétude reste face à la vision de tout un pan de la population qui est aujourd hui sans perspective et à qui il faut donner à voir que quelque chose va être possible. Je pense aux années 90, quand la gauche était là, dans la lutte contre l exclusion, il y avait une vision avec des perspectives où on tente de faire entrer tout le monde dans la société. Il faut donner plus de capacité aux territoires Il y a un décalage profond qui s accroit avec les années entre le discours politique national, volontariste sur le logement, et ce qu il se passe concrètement sur les territoires. En réalité, c est tout l inverse ce qu il se passe sur les territoires. Ce décalage n est plus tenable. Pour prendre un exemple, on dit que : «les expulsions locatives, c est la pire des catastrophes», mais ça ne cesse d augmenter chaque année. Il y a des avancées dans les dispositifs, dans la loi ALUR, mais en réalité si on croit que c est dans la loi qu on règlera le problème, on se trompe. Il faut des capacités d intervention pour aller au-devant des personnes. Il faut aller sur le terrain. Du coup, tout ce qui se trame avec les économies, l impact sur les collectivités locales nous inquiète. Quid de l action sociale. La situation sur le fond d hébergement d urgence est très tendue. Elle l est dans quelques territoires et commence à monter dans d autres. Un secteur de l hébergement sur lequel on rajoute des moyens est mis à contribution pour régler tous les problèmes. On fait jouer à un secteur, un rôle de dernier rempart qu il n arrive pas à jouer. Notre inquiétude, c est que de nouveaux territoires sont frappés par cette difficulté. Il y a la question des inégalités territoriales. Les quartiers populaires sont calmes en ce moment mais le faussé s accroit. Nous aurions intérêt à nous en préoccuper, notamment par une politique de la ville, et par la question des moyens, qui sera posée de toute manière. Quoi qu on fasse dans la réforme territoriale, il faudra être très attentif au système de péréquation. Il faut un dispositif qui rattrape les inégalités. [6]
7 Il nous semble que la réforme fiscale que nous attendions peut aussi jouer un rôle dans le logement. C est un moyen de faire jouer les solidarités à l échelle territoriale pour dissuader le logement cher : gagner là où le foncier est cher. La solidarité fiscale à l échelle locale pourrait être discutée avec les territoires pour lever des leviers d action. «Il faut donner la priorité aux plus défavorisés» Nous allons rencontrer le Premier ministre d ici 15 jours. Sur cette question de priorisation à l intention des plus défavorisés, il va falloir des signes clairs de l intention de gouvernement dans ce domaine. Si l on continue d aller que vers ceux «susceptibles de basculer», vous aurez une mobilisation forte des secteurs associatifs qui sera là pour dire que le gouvernement ne fait pas de la lutte pour les plus défavorisés une priorité. La fiscalité repose la question de la lutte contre les inégalités. Aujourd hui ça monte! Peut-être pourrat-on contribuer à ce que cette tentation du gouvernement se réoriente vers la question sociale avec en tête la question de sortir vers le haut et donner des perspectives au plus exclus. Patrick Doutreligne : Le problème de la fiscalité, on l a abordé de la plus mauvaise des façons il y a deux ans. Il fallait le faire avec des perspectives, un sentiment de justice et éviter le phénomène de basculement. Ne pas l avoir anticipé est un problème. «Il ne faut pas jeter le DALO aux orties» Sur la question du DALO, où nous avons été interpellés, je pense qu il faut nuancer. Globalement le constat n est pas aussi négatif que celui de la région parisienne qui regroupe deux tiers des DALO. Il ne faut pas jeter cette loi aux orties. Il faut chercher comment le traiter différemment dans la région parisienne. Il ne faut pas qu une loi condamne l Etat. On est à attributions de logements sociaux par an. La transformation sociale, le peuplement du parc, par contre n est pas l effet du DALO. Il faut arriver à sortir de l échec du DALO dans le territoire d Ile-de-France, ou les bouches du Rhône aussi. Il n y a pas de problème majeur au titre du DALO, si ce n est qu il faut une mobilisation plus forte. Tout le débat sur la gestion du peuplement, et le risque d effet «ghetto» doit nous interroger plus largement sur l ensemble du parc, avec par exemple la mobilisation du parc privé (point faible de l action publique?). Il est encore temps d en faire un axe privilégié. Il faut faire contribuer les villes à l effort de solidarité. [7]
Intervention de Marisol Touraine. Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes
1 Intervention de Marisol Touraine Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Conseil d administration du régime social des indépendants Jeudi 25 juin 2015 Monsieur le Ministre,
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. Sylvia Pinel présente 20 actions pour améliorer la mixité sociale dans le logement. Paris, le 15 avril 2015
DOSSIER DE PRESSE Sylvia Pinel présente 20 actions pour améliorer la mixité sociale dans le logement Paris, le 15 avril 2015 Contact presse Service de presse du ministère du Logement, de l Égalité des
Plus en détailIntervention de Marisol TOURAINE. Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des. femmes. Maison de Santé Pluridisciplinaire
1 Intervention de Marisol TOURAINE Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Maison de Santé Pluridisciplinaire Magny-en-Vexin Vendredi 20 février 2015 Seul le prononcé fait
Plus en détailCommission des Affaires économiques. «De gauche et fier de l être!» Lutter contre les idées reçues les plus répandues
Commission des Affaires économiques «De gauche et fier de l être!» Lutter contre les idées reçues les plus répandues La protection des épargnants «Le Gouvernement ne protège pas les petits épargnants comme
Plus en détailDébat participatif. La vie chère. «Les Français n ont pas seulement le sentiment, mais la démonstration, que leur pouvoir d achat baisse»
Débat participatif La vie chère «Les Français n ont pas seulement le sentiment, mais la démonstration, que leur pouvoir d achat baisse» Ségolène ROYAL Les enjeux de notre débat : Réconcilier les Français
Plus en détailProposition de Charte éthique de l élu-e pour un renouveau démocratique et la renaissance des pratiques politiques
Proposition de Charte éthique de l élu-e pour un renouveau démocratique et la renaissance des pratiques politiques Version du 23 février 2015, soumise à consultation publique jusqu au 15 avril 2015. N
Plus en détailOrganisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive
Organisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive Transcription et traduction de la communication de Verity DONNELLY colloque Éducation inclusive, la question
Plus en détailPOUR UNE MISE EN PLACE URGENTE DE LA COMMISSION DE CONTROLE DES SYNDICS : APPEL A TOUS LES ADHERENTS DE L ARC
POUR UNE MISE EN PLACE URGENTE DE LA COMMISSION DE CONTROLE DES SYNDICS : APPEL A TOUS LES ADHERENTS DE L ARC Comme nous allons le voir, l une des dispositions-phare de la loi ALUR en faveur des usagers
Plus en détailLes mesures pour relancer la construction de logements
Les mesures pour relancer la construction de logements Janvier 2015 Le logement est devenu, pour la plupart des Français, cher et difficilement accessible. Le secteur de la construction traverse une grave
Plus en détailDISCOURS de Sylvia PINEL. VIème congrès de l Union des syndicats de l immobilier (UNIS)
Cabinet de la Ministre du Logement, de l Egalité des territoires et de la Ruralité Paris, le jeudi 9 octobre 2014 Seul le prononcé fait foi DISCOURS de Sylvia PINEL VIème congrès de l Union des syndicats
Plus en détailProjet de loi de régulation et de séparation des activités bancaires Intervention générale
Nom du sénateur Eric Bocquet Groupe Communiste Républicain Citoyen Sénateur du Nord Paris, le 19 mars 2013 Projet de loi de régulation et de séparation des activités bancaires Intervention générale Monsieur
Plus en détailLes réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export
Les réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export Depuis 2012, un ensemble d actions est engagé au service du renforcement
Plus en détailComité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS.
Comité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS 28 mai 2012 Madame la Représentante permanente adjointe de Sri Lanka, Présidente
Plus en détailMon boss ne délègue pas
Situation 3 Mon boss ne délègue pas L importance d une rhétorique soignée Les situations de pur rapport de force Autonomie et contrôle La délégation Explication/justification La situation Pierre, notre
Plus en détailLE PASS-GRL du 1 % Logement
LE PASS-GRL du 1 % Logement UN NOUVEL OUTIL POUR FAVORISER L ACCES AU LOGEMENT A l initiative des partenaires sociaux du 1 % Logement, le PASS-GRL est opérationnel depuis le 1er janvier 2007 Nouvel outil
Plus en détailParticipation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre?
Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre? Note réalisée par l Observatoire Régional de l Intégration et de la Ville (ORIV) septembre 2014 Eléments de contexte
Plus en détailRéception de Montréal Secteur des valeurs mobilières. Discours d ouverture
Réception de Montréal Secteur des valeurs mobilières Discours d ouverture Andrew J. Kriegler Président et chef de la direction Organisme canadien de réglementation du commerce des valeurs mobilières 25
Plus en détailAujourd hui, pas un seul manager ne peut se dire à l abri des conflits que ce soit avec ses supérieurs, ses collègues ou ses collaborateurs.
MANAGERS : COMMENT PRENEZ-VOUS EN CHARGE LES CONFLITS? AUTO-EVALUEZ-VOUS! Dans un contexte économique morose et qui perdure, nous sommes confrontés à un grand nombre de difficultés et de frustrations.
Plus en détailJe m adresse à vous comme socialiste, comme parlementaire et comme Président du Conseil général de la Seine-Saint-Denis.
Audition Commission sur la réforme territoriale Intervention de M. Claude Bartolone Jeudi 15 janvier 2009 Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les membres de la Commission, Mesdames et Messieurs,
Plus en détailNote d actualité : Analyse de la loi de finances 2013
Note d actualité : Analyse de la loi de finances 2013 Les premières mesures gouvernementales en matière d imposition des revenus (IR) et d impôt de solidarité sur la fortune (ISF) sont désormais connues.
Plus en détailLAURENT FABIUS, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES
LAURENT FABIUS, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES Tout à l heure, le Président de la République m a demandé, avec le Premier ministre, de vous apporter un certain nombre d éléments sur le contexte dans
Plus en détailFiche n 1 : Réforme de lʼisf Réponses aux mensonges de la droite
LES FICHES ARGU DU GROUPE SOCIALISTE, RADICAL ET CITOYEN PROJET DE LOI DE FINANCES RECTIFICATIVE POUR 2011 6 JUIN 2011 Fiche n 1 : Réforme de lʼisf Réponses aux mensonges de la droite Du bouclier fiscal
Plus en détailUn gouvernement qui agit en misant sur l investissement privé
Cabinet du ministre Communiqué de presse BUDGET 2013-2014 COMMUNIQUÉ N 2 BUDGET 2013-2014 Un gouvernement qui agit en misant sur l investissement privé Québec, le 20 novembre 2012 «Pour accélérer la croissance
Plus en détailNon aux violentes hausses d impôts à Grenoble et à la Métro. Priorité au social et à la solidarité
www.ades-grenoble.org www.lesverts38.org www.alternatifs.org/38 Conférence de presse du mercredi 10 décembre 2008 Non aux violentes hausses d impôts à Grenoble et à la Métro. Priorité au social et à la
Plus en détailLe nouvel espace politique européen
Frédéric Lebaron à l issue de la séquence électorale récente, en particulier en France et en Grèce, le nouveau champ politique issu de la crise financière se dessine plus clairement en Europe. L Union
Plus en détailLes Français et leur perception de l école maternelle et élémentaire avant la rentrée 2012
NOTE DETAILLEE Les Français et leur perception de l école maternelle et élémentaire avant la rentrée 2012 Etude Harris Interactive pour le Syndicat National Unitaire des Instituteurs et Professeurs des
Plus en détailcontre la pauvreté et pour l inclusion sociale
PREMIER MINISTRE PLAN PLURIANNUEL contre la pauvreté et pour l inclusion sociale 3 mars 2015 SYNTHÈSE Adopté à la suite d un comité interministériel de lutte contre l exclusion en 2013, le plan pluriannuel
Plus en détailLE DECRET STATUTAIRE RELATIF AUX ENSEIGNANTS-CHERCHEURS (par le bureau du Collectif pour la Défense de l Université)
LE DECRET STATUTAIRE RELATIF AUX ENSEIGNANTS-CHERCHEURS (par le bureau du Collectif pour la Défense de l Université) Après avoir fait adopter sa loi «Libertés et Responsabilités des Universités» en plein
Plus en détailENQUÊTE SUR LE COÛT DE LA VIE ETUDIANTE
DOSSIER DE PRESSE 18 AOÛT 2014 ENQUÊTE SUR LE COÛT DE LA VIE ETUDIANTE CONTACT PRESSE LISA RIBEAUD 06 15 86 43 41 lribeaud@unef.fr presse@unef.fr 2 Rentrée 2014 SOMMAIRE Les principaux chiffres 5 Edito
Plus en détailIdées reçues et autres contre-vérités
Idées reçues et autres contre-vérités "Juger, c'est de toute évidence, ne pas comprendre ; si l'on comprenait, on ne pourrait plus juger." Citation d'andré Malraux A l occasion des prochaines manifestations
Plus en détailDiscours 1 er mai 2014 Fleurier et Yverdon
Alain Carrupt, Président syndicom, syndicat des médias et de la communication Fleurier 11.30 et Yverdon 18.30 Discours 1 er mai 2014 Fleurier et Yverdon (Seul le texte parlé fait foi!) Les travailleuses
Plus en détail«seul le prononcé fait foi»
«seul le prononcé fait foi» Discours à l occasion de la réunion du Pacte de Responsabilité et de Solidarité Lundi 26 mai 2014 Lesparre-Médoc Mesdames et Messieurs les Parlementaires Mesdames et Messieurs
Plus en détailCECOP. Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE. Une enquête CECOP/CSA pour Le Cercle des épargnants
Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE Une enquête /CSA pour Le Cercle des épargnants Note d analyse Février 2009 S.A. au capital de 38.112,25 euros Siège
Plus en détailLES 15 MENSONGES DE FRANCOIS HOLLANDE
> ARGU FLASH < LES 15 MENSONGES DE FRANCOIS HOLLANDE 3 Janvier 2012 Le PS vient de sortir une campagne mensongère et outrancière sur les prétendus «15 chiffres de l échec de Nicolas Sarkozy». Nous réfutons
Plus en détail1- Une situation économique et politique dégradée
Le 9 Avril 2015 Intervention Elisabeth Le Gac Assemblée générale URI CFDT Rhône-Alpes Préambule : L activité présentée n est pas exhaustive du travail réalisé par l interpro en Rhône-Alpes. La présentation
Plus en détailFICHE RECAPITULATIVE SUR LE DISPOSITIF DU PASS-FONCIER,
FICHE RECAPITULATIVE SUR LE DISPOSITIF DU PASS-FONCIER, SON EVOLUTION ET DE LA «MAISON POUR 15 EUROS PAR JOUR» Synthèse Le Pass-foncier est un dispositif social d accompagnement des politiques locales
Plus en détailLes jeunes et la précarité : mettre fin au bizutage social
Les jeunes et la précarité : mettre fin au bizutage social Depuis plus d un an, la France est frappée par la crise économique et financière mondiale. Si les origines de cette crise sont connues et dénoncées
Plus en détailRevendiquons une véritable liaison au bien-être! Des pensions décentes, ce n est que justice. Revendiquons une véritable liaison au bien-être!
Revendiquons une véritable liaison au bien-être! Des pensions décentes, ce n est que justice. Revendiquons une véritable liaison au bien-être! Cela fait bien longtemps que les pensions et les allocations
Plus en détailDiscours d Anne Hidalgo, Maire de Paris
Discours d Anne Hidalgo, Maire de Paris Seul le prononcé fait foi Mes cher(e)s collègues, Dimanche, les Parisiens m ont fait confiance pour être la première femme maire de Paris. Ce choix m'honore et m'oblige.
Plus en détailLES FICHES ARGU DU GROUPE SOCIALISTE, RÉPUBLICAIN ET CITOYEN LE COLLECTIF BUDGÉTAIRE 12 JUILLET 2012
LES FICHES ARGU DU GROUPE SOCIALISTE, RÉPUBLICAIN ET CITOYEN LE COLLECTIF BUDGÉTAIRE 12 JUILLET 2012 FICHE N 1 UN COLLECTIF BUDGÉTAIRE POUR REDRESSER NOS FINANCES PUBLIQUES L e projet de loi de Finances
Plus en détailCompte rendu. Jeudi 12 mars 2009 Séance de 10 heures. Commission des Finances, de l économie générale et du Plan
Compte rendu Commission des Finances, de l économie générale et du Plan Examen de la proposition de résolution sur le renforcement de la régulation financière (n 1512)...2 Information relative à la Commission...7
Plus en détailMÉDECINE PSYCHANALYSE DROIT JURISPRUDENCE QUESTIONS À FRANÇOIS-RÉGIS DUPOND MUZART. première partie
MÉDECINE PSYCHANALYSE DROIT JURISPRUDENCE QUESTIONS À FRANÇOIS-RÉGIS DUPOND MUZART première partie Alessandra Guerra En France il y a des jugements sur la question psychothérapiepsychanalyse J ai entendu
Plus en détailProcédures Questionnement Réponses apportées Recommandations et avis de l IT CCAPEX
En association avec PREFET DU RHÔNE Plan Départemental d Action pour le Logement des Personnes Défavorisées du Rhône 2012 2015 Commission de coordination des actions de prévention des expulsions locatives
Plus en détailCLUB 2/3 Division jeunesse d Oxfam-Québec 1259, rue Berri, bureau 510 Montréal (Québec) H2L 4C7
CLUB 2/3 Division jeunesse d Oxfam-Québec 1259, rue Berri, bureau 510 Montréal (Québec) H2L 4C7 Téléphone : 514 382.7922 Télécopieur : 514 382.3474 Site Internet : www.2tiers.org Courriel : club@2tiers.org
Plus en détailRéunion plénière du CNLE
Réunion plénière du CNLE Recherche-actions pour réduire le non-recours aux prestations sociales Paris, le 27 juin 2013 1 Contexte, objectifs et méthodologie de la recherche-actions 2 Principaux enseignements
Plus en détailCONSEIL DES MINISTRES
CONSEIL DES MINISTRES LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE A REUNI LE CONSEIL DES MINISTRES AU PALAIS DE L ÉLYSEE LE MERCREDI 2 SEPTEMBRE 2015 À L ISSUE DU CONSEIL, LE SERVICE DE PRESSE DE LA PRESIDENCE DE LA
Plus en détail[ les éco_fiches ] Situation en France :
Des fiches pour mieux comprendre l'actualité éco- nomique et les enjeux pour les PME Sortie de crise? Depuis le 2ème trimestre la France est «techniquement» sortie de crise. Cependant, celle-ci a été d
Plus en détailFait du jour: Hillary Clinton, candidate à la présidence
Fait du jour: Hillary Clinton, candidate à la présidence Exercices 1 Première écoute. De quoi parle-t-on dans ce journal? Cochez la bonne réponse en fonction de ce que vous entendez. Qui entend-on dans
Plus en détailCoût des études en Kinésithérapie
Solidarité Questions sociales Publication Formation Dossier Coût des études en Kinésithérapie Edition 2012-2013 + d infos sur: www.fnek.fr Contacts Mathieu NOIROT Président de la FNEK 06 67 28 26 40 president@fnek.fr
Plus en détailCAMPAGNE NATIONALE MUTUELLES DE FRANCE. En France. 10 millions. de personnes ne peuvent pas se soigner. Débattonsen. www.unemutuel lepourtous.
1 9 S E P T E M B R E 2 0 1 3 CAMPAGNE NATIONALE MUTUELLES DE FRANCE En France 10 millions de personnes ne peuvent pas se soigner. www.unemutuel lepourtous.com Débattonsen! Affiche40x60.indd 1 10/09/13
Plus en détailDiscours. Monsieur le Président, Cher Patrick Bloche, Messieurs les Présidents, Directeurs, Secrétaires généraux, Chers amis,
Discours Discours de Fleur Pellerin, ministre de la Culture et de la Communication, prononcé devant le Conseil National des Professions du Spectacle (CNPS), à Paris, vendredi 19 décembre 2014 Monsieur
Plus en détailla pauvreté 33 ses lutte contre territorial. création.cette n ne doit pas d insertion. 1. UNE Accompagner la Participation travaux sont évidemment
Accompagner la participation des allocataires Par Marion Drouault, responsable de projets à l (Version courte) Participation et RSA : «Accompagner la l participation des allocataires» S appuyant en particulier
Plus en détailQuestions générales sur le Pacte
QUESTIONS-RÉPONSES Questions/réponses sur le pacte de responsabilité et de solidarité Questions générales sur le Pacte QUAND CES MESURES SERONT-ELLES TRADUITES DANS LA LOI? Certaines mesures entrent en
Plus en détailMARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX
MARCHÉ IMMOBILIER DE BUREAUX PERSPECTIVES CONJONCTURE ÉCONOMIQUE LE MARCHÉ DES BUREAUX EN ILE-DE-FRANCE 1 er Semestre 212 PERSPECTIVES Un contexte de marché favorable aux utilisateurs La crise financière
Plus en détailContact : Jérôme Sainte-Marie, Directeur du Département Opinion - 01 44 94 59 10 / 11
La gauche peut-elle elle relever le pays? Septembre 0 n 033A Contact : Jérôme Sainte-Marie, Directeur du Département Opinion - 0 44 94 59 0 / Etude réalisée conformément à la norme internationale ISO 05,
Plus en détailCompte-rendu du Conseil d Administration 14 juillet 2012 à Belmont-sur-Rance
Compte-rendu du Conseil d Administration 14 juillet 2012 à Belmont-sur-Rance Rédacteur : Paul Drouot Le 14 juillet 2012, les membres du conseil d Administration de la Fédération Française de go se sont
Plus en détailLES FRANÇAIS, L ÉPARGNE & LA RETRAITE
201 LES FRANÇAIS, L ÉPARGNE & LA RETRAITE Jérôme JAFFRÉ Directeur du Centre d Études et de Connaissances sur l Opinion Publique Jean-Pierre GAILLARD Président du Cercle des Epargnants Philippe CREVEL Secrétaire
Plus en détailCompte-rendu REUNION DU CONSEIL DES ELUS. Mardi 8 juillet 2014
A Paris, le 17 juillet 2014 Compte-rendu REUNION DU CONSEIL DES ELUS Mardi 8 juillet 2014 I / INTRODUCTION Monsieur DAUBIGNY, Préfet de la région d Ile-de-France, Préfet de Paris, Président de la mission
Plus en détailMise en œuvre d'un dispositif de vidéosurveillance nocturne du cœur de ville
CONSEIL MUNICIPAL 1 Séance du 06 décembre 2012 Mise en œuvre d'un dispositif de vidéosurveillance nocturne du cœur de ville Direction Solidarité Urbaine - Tranquillité Publique - Rapporteur(s) M. Christophe
Plus en détailLe 05/02/2012 : point sur les CBE de Kongoussi :
Le 05/02/2012 : point sur les CBE de Kongoussi : Nous sommes le 5 février, la construction des cuiseurs pour Kongoussi a pris pas mal de retard ; nous aurions dû les livrer il y a une semaine. Suite à
Plus en détailHOLLANDE UN AN APRES L ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE DE 2012
Ifop Fiducial / Europe 1 Bilan de l action de François Hollande un an après l élection présidentielle de 2012 BILAN DE L ACTION DE FRANÇOIS HOLLANDE UN AN APRES L ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE DE 2012 La méthodologie
Plus en détailLes performances des banques en ligne chinoises en 2010 par Arthur Hamon - Asia Pacific Area Manager & Alain Petit - Responsable Benchmarks & Etudes
Les performances des banques en ligne chinoises en 2010 par Arthur Hamon - Asia Pacific Area Manager & Alain Petit - Responsable Benchmarks & Etudes L empire du milieu est le pays qui compte le plus grand
Plus en détailFRANCAIS EPARGNE RETRAITE
( LES FRANCAIS L EPARGNE RETRAITE & LA Génération responsable.com Le Cercle des Epargnants, partenaire du Groupe Generali Enquête A la demande du Cercle des Epargnants, le Centre d'études et de connaissances
Plus en détailLa Théorie de la relativité des Loyers Par Alain BECHADE
La Théorie de la relativité des Loyers Par Alain BECHADE Depuis la fin des années 90 (au siècle dernier!) la financiarisation de l immobilier a apporté des méthodes mathématiques bien pratiques, mais qui
Plus en détailLes salariés et les Jeux Olympiques de 2024 à Paris
Les salariés et les Jeux Olympiques de 2024 à Paris Sondage Ifop pour la FFSE Contacts Ifop : Frédéric Dabi / Anne-Sophie Vautrey Département Opinion et Stratégies d Entreprise 01 45 84 14 44 prenom.nom@ifop.com
Plus en détailMaréchal Ardans-Vilain. Denis. "Nos priorités : la jeunesse, la solidarité et le développement économique." Programme. Michel Petiot.
Canton Meudon - Chaville élections départementales Denis Cécile Maréchal Ardans-Vilain Alice Carton Michel Petiot Programme "Nos priorités : la jeunesse, la solidarité et le développement économique."
Plus en détailMéfiez-vous du modèle d austérité canadien
Méfiez-vous du modèle d austérité canadien Andrew Jackson Le présent essai a été rédigé à la suite d articles des médias selon lesquels l ex-ministre des Finances et ex-premier ministre canadien Paul Martin
Plus en détailRéduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre?
Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre? Les trois dernières décennies ont été marquées par des progrès impressionnants
Plus en détail5 postures pour mobiliser le don
Confiance Sollicitude Réciprocité d engagement Tirer partie de son Relance expérience relationnelle constructive 5 postures pour mobiliser le don Attention à soi Alliance : Lier sans défier Donner Recevoir
Plus en détailPacte de responsabilité et de solidarité. Réunion du 17/06/2014 Angoulême
Pacte de responsabilité et de solidarité Réunion du 17/06/2014 Angoulême 1 Le Pacte : quel contexte? Contexte national: la reprise économique se dessine, mais le chômage frappe encore trop fort notre pays.
Plus en détailSondage national auprès des primo-votants à l élection présidentielle de 2012
Sondage national auprès des primo-votants à l élection présidentielle de 2012 Un sondage Anacej / Ifop L Anacej a lancé en novembre 2011 la campagne 2012, je vote pour inciter les jeunes à voter en 2012.
Plus en détailMarielle de Sarnez, candidate à la mairie de Paris Conférence de presse - Lundi 21 octobre 2013. Plan Marshall pour le logement
Marielle de Sarnez, candidate à la mairie de Paris Conférence de presse - Lundi 21 octobre 2013 Plan Marshall pour le logement De tous les grands dossiers de Paris, celui du logement est le plus crucial.
Plus en détailParticuliers, la Banque de France vous informe LE SURENDETTEMENT. Vos droits, vos obligations Les solutions possibles La vie de votre dossier
Particuliers, la Banque de France vous informe LE SURENDETTEMENT SURENDETTEMENT Vos droits, vos obligations Les solutions possibles La vie de votre dossier Sommaire 1. Être surendetté : qu est-ce que c
Plus en détailDétention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes?
1 Numéro 200, juin 2013 Détention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes? I) Un taux de détention en baisse La détention au plus bas historique A la fin de l année 2012, seulement 48,6%
Plus en détail72% des Français prêts à payer plus cher un produit fabriqué en France. Mais pas à n importe quel prix!
Communiqué de presse 21 novembre 2011 Une étude CEDRE/Ifop 1 propose le regard croisé des consommateurs et des chefs d entreprises français sur le «Made in France» 72% des Français prêts à payer plus cher
Plus en détailVIVRE OU SURVIVRE, TELLE EST LA QUESTION
VIVRE OU SURVIVRE, TELLE EST LA QUESTION Quelque part, dans un quartier de Minarive, lorine est assise dans l un des fauteuils en simili cuir bleu du salon de cet appartement qu elle habite depuis plus
Plus en détailJe les ai entendus frapper. C était l aube. Les deux gendarmes se tenaient derrière la porte. J ai ouvert et je leur ai proposé d entrer.
Je les ai entendus frapper. C était l aube. Les deux gendarmes se tenaient derrière la porte. J ai ouvert et je leur ai proposé d entrer. Mais je me suis repris : En fait, je préférais les recevoir dans
Plus en détailNe tombez pas dans les pièges tendus par
Ne tombez pas dans les pièges tendus par Ce que vous devez savoir avant de dépenser votre 1 er sur Adwords Guide gratuit offert par le site www.ledroitdereussir.com Introduction Dans un instant vous allez
Plus en détailNOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE
NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE - Note de synthèse de l'institut CSA - N 1100760 Juin 2011 2, rue de Choiseul CS 70215 75086 Paris cedex 02 Tél. (33) 01 44 94 59 11
Plus en détailLa fiscalité nous permet de nous offrir collectivement des services et une qualité de vie supérieurs. Les revenus de l État sont à la baisse
La fiscalité nous permet de nous offrir collectivement des services et une qualité de vie supérieurs En moyenne, chaque personne au Québec reçoit (de tous les paliers gouvernementaux) l équivalent de près
Plus en détailCHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT)
CHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT) FACONNER ENSEMBLE L OIT DU FUTUR «Pour tout ce qui a été, merci. Pour tout ce qui sera, oui.» (Dag
Plus en détailUn contrat de respect mutuel au collège
Apprentissage du respect - Fiche outil 01 Un contrat de respect mutuel au collège Objectifs : Décrire une action coopérative amenant élèves et adultes à s interroger sur leurs propres comportements en
Plus en détailPacte de responsabilité et de solidarité. Réunion du date Ville
Pacte de responsabilité et de solidarité Réunion du date Ville 1 Le Pacte : quel contexte? Contexte national : début de reprise économique, mais chômage encore trop fort Dans notre région, une problématique
Plus en détailLe rôle du syndic. Introduction
Le rôle du syndic Introduction Le syndic constitue un concept nouveau dans la société marocaine. Il est apparu avec l apparition de la copropriété. Celle ci a été régie pendant longtemps par le Dahir de
Plus en détail11 juin 2014. Dossier de presse à l occasion de la présentation du PLFR 2014
11 juin 2014 Dossier de presse à l occasion de la présentation du PLFR 2014 - 2 - Sommaire Le Pacte de responsabilité et de solidarité pour la croissance et l emploi... 5 Les dates clés du pacte de responsabilité
Plus en détailCompte rendu. Délégation pour l Union européenne. Mercredi 25 juin 2008 16 h 15
Compte rendu Mercredi 25 juin 2008 16 h 15 Délégation pour l Union européenne Compte rendu n 54 Rencontre des Délégations pour l'union européenne de l'assemblée nationale et du Sénat avec la Conférence
Plus en détailEco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1
Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit
Plus en détailDélibérations DOB 2014 du 18 octobre 2013
Délibérations DOB 2014 du 18 octobre 2013 1 CONSEIL GENERAL DU JURA Réunion du : 4ème trimestre 2013 Type : DOB 2014 Service : DMI/FINANCES Rapporteur : Christophe PERNY Thème : FINANCES - GARANTIES D'EMPRUNT
Plus en détailfoire aux questions conseils à l intention des propriétaires et des locataires «Réponses aux questions les plus fréquentes...»
conseils à l intention des propriétaires et des locataires foire aux questions «des consommateurs en confiance des collectivités en sécurité» «Réponses aux questions les plus fréquentes...» Mon propriétaire
Plus en détailQu est-ce que le Fastt?
Qu est-ce que le Fastt? Des services et aides pour les intérimaires Logement Location véhicules Action sociale Conseils crédit Garde d enfants Mutuelle Un besoin à financer? Un accompagnement, un diagnostic
Plus en détailLe budget 2013. Présentation par M. Pascal BOLO, Adjoint aux Finances. Conseil Municipal du
Le budget 2013 Présentation par M. Pascal BOLO, Adjoint aux Finances Conseil Municipal du 8 février 2013 Les documents budgétaires : Le budget selon la nomenclature M14; Les documents annexes; Le budget
Plus en détailEtude du niveau stress ressenti par les salariés de plusieurs entreprises du tertiaire. Un outil de mesure.
Etude du niveau stress ressenti par les salariés de plusieurs entreprises du tertiaire. Un outil de mesure. Participants : Dr Evelyne Barraud, Martine Chevillard, Marie-José Dureau Mer, Isabelle Gouget,
Plus en détailPermanences accueil, écoute, orientation, revues de presse, consultations Du lundi au vendredi de 9h à 12h et 13h à 17h30.
Bulletin bibliographique du Janvier 2014 n 46 Le de l'udaf de l'isère vous propose son bulletin bibliographique. Les articles sélectionnés sont consultables à l'udaf ou envoyés selon la demande. N'hésitez
Plus en détail1 - Quels sont les principaux obstacles rencontrés à la mise en accessibilité?
1 Audition de Claire-Lise Campion C.E.S.E. 30 avril 2014 Seul le prononcé fait foi 1 - Quels sont les principaux obstacles rencontrés à la mise en accessibilité? Rappel : la loi du 11 février 2005 prévoit
Plus en détailCommuniqué. Emmaüs sans frontières. 31 mai 2011. Centre socio culturel. Thann EMMAÜS CERNAY. Rendez vous le 31 mai à 14h. Centre socio culturel
Emmaüs sans frontières Communiqué 31 mai 2011 Centre socio culturel Thann ************************ CERNAY EMMAÜS A l occasion de la tournée de mobilisation d Emmaüs International, EMMAÜS CERNAY accueillera,
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. Améliorer l hébergement des plus défavorisés : Un plan triennal pour réduire le recours aux nuitées hôtelières
DOSSIER DE PRESSE Améliorer l hébergement des plus défavorisés : Un plan triennal pour réduire le recours aux nuitées hôtelières Paris, le mardi 3 février 2015 Contact presse Ministère du Logement, de
Plus en détailPrésenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics. Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget
Présenté par Michel Sapin, Ministre des finances et des comptes publics Christian Eckert, Secrétaire d État chargé du budget 1 Une reprise de l activité qu il faut conforter La reprise est en cours : +1,0%
Plus en détailLes Français et le pouvoir d achat
Contacts CSA Pôle Opinion Corporate : Jérôme Sainte-Marie, Directeur général adjoint Yves-Marie Cann, Directeur d études Les Français et le pouvoir d achat Sondage CSA pour Cofidis Septembre 2012 Sommaire
Plus en détailBilan de la concertation sur le PEDT
les périscolaires Bilan de la concertation sur le PEDT J www.ville-cergy.fr Sommaire 1. Préambule 4 2. Le cadre de la démarche 5 2.1. Les objectifs 6 2.2. Les sujets du débat 6 2.3. Le déroulé de la démarche
Plus en détailRapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde
Rapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde Résumé d orientation La tuberculose reste l une des maladies transmissibles causant le plus de décès dans le monde. En 2013, selon les estimations,
Plus en détail