Profils temps-température tout au long de la chaîne. Intérêt de ces historiques pour définir une date limite de consommation
|
|
- Lucien Joly
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Profils temps-température tout au long de la chaîne. Intérêt de ces historiques pour définir une date limite de consommation Evelyne Derens-Bertheau Laurence Fournaison Unité Génie des procédés frigorifiques Anses - Durée de vie microbiologique 25 novembre 21
2 Panorama chaîne du froid des produits réfrigérés Un suivi en continu de l usine à la conservation domestique 3 produits réfrigérés: Produits laitiers Yaourts Produits traiteurs et de charcuterie Produits carnés Viande préemballée + 6 C + 4 C + 4 C Enregistrer la température de surface du produit en périphérie d un gel alimentaire remplaçant le yaourt plaqué à la surface du produit pou les produits carnés Anses - Durée de vie microbiologique 25 novembre 21 N
3 Mise en place des capteurs Anses - Durée de vie microbiologique 25 novembre 21
4 Répartition géographique des points de vente Point de vente Yaourt phase 1 Point de vente Yaourt phase 2 Point de vente du fabricant 1 de viande préemballée Point de vente du fabricant 2 de viande préemballée Points de vente des 5 fabricants de produits traiteurs et de charcuterie Anses - Durée de vie microbiologique 25 novembre 21
5 Température ( C) Exemple d une histoire thermique correcte Usine après l achat Plate-forme Exemple d enregistrement obtenu sur un yaourt Temps Conservation domestique Anses - Durée de vie microbiologique 25 novembre 21
6 Résultats : maillons en amont mieux qu aval Répartition des moyennes des 314 courbes, avec plus de 24 maillons 1% 9% 8% 7% 6% 5% 4% 3% 2% 1% % 12,6% 7,6% 68,6% 11,1% 3,5% 3,4% 52,5% 12,9%,6% 52,8% 46,7%,5 % Effectifs : ,4% 31,3% 53,6% 11,7% 25,6% 4,1% 23,4% 6,5% Usine Entrepôt Plate-forme Meuble de vente 3,7%,8% 2,3% 13,5% 24,2% 25,3% 34,4%,3% après l'achat 8,1% 24,8% 25,4% 22,9% 17,4% 1,4% Conservation domestique H A B C D E Chaîne professionnelle Consommateur
7 Temps passé à température < ou = à + 4 C Date Limite de Consommation (DLC) Durée moyenne du circuit réel % moyen températures < ou = à 4 C En jours Sur circuit réel Produits traiteurs et de charcuterie (+ 4 C) DLC varie selon la nature du produit 14 jours 7 % Viande préemballée (+ 4 C) De 14 à 23 jours 8 jours 62 %
8 Durée (heure) Durée moyenne de chaque maillon Yaourts Produits traiteurs et de charcuterie Viande préemballée frigorifique Entrepôt Plate-forme Meuble de vente après achat Conservation domestique
9 Température ( C) Intégration temps / température Exemple de protocole de validation de la durée de vie d un produit Température ( ) Capital = DLC 2 dt Capital temps/température maximal du produit Temps (t) Exemple de calcul pour une courbe obtenue Temps Capital temps/température restant Capital temps/température utilisé au cours de la chaîne du froid
10 Pourcentages moyens obtenus pour les produits traiteurs et de charcuterie Chambre froide,8%,2% Entrepôt,9% Usine 1,3% Plate-forme 1,6% 6,4% après l'achat,9% Conservation domestique 13,9% Capital temps/température restant : Moyenne : 74% (min: % ; max: 96 % ) Capital temps/température restant : Moyenne : 59,5% (min: % ; max: 99 % ) Chambre froide,2% Entrepôt,% Usine,2% Pourcentages moyens obtenus pour la viande préemballée,8% Plate-forme,9% 15,3% après l'achat 1,% Conservation domestique 22,1%
11 Un réfrigérateur entre 8 et 9 C. Entrepôt Maillons détectés : U / T / P / T / M / V / R / Marge de sécurité % Chambre froide Usine Plate-forme après l'achat 9,29% Réfrigérateur 15,49% /9/2 2/9/2 21/9/2 22/9/2 23/9/2 24/9/2 25/9/2 26/9/2 27/9/2 28/9/2 29/9/2 3/9/2 1/1/2 2/1/2 3/1/2 4/1/2 Anses - Durée de vie microbiologique 25 novembre 21
12 Température ( C) Circuit long et réfrigérateur élevé en température / 1/ 2 22/ 1/ 2 23/ 1/ 2 24/ 1/ 2 25/ 1/ 2 26/ 1/ 2 27/ 1/ 2 28/ 1/ 2 29/ 1/ 2 3/ 1/ 2 31/ 1/ 2 1/ 11/ 2 2/ 11/ 2 3/ 11/ 2 Marge de sécurité % 4/ 11/ 2 5/ 11/ 2 6/ 11/ 2 Entrepôt Usine Chambre froide Réfrigérateur 11,57% 7/ 11/ 2 8/ 11/ 2 9/ 11/ 2 Plate-forme 1/ 11/ 2 19,63% 11/ 11/ 2 après l'achat 12/ 11/ 2 13/ 11/ 2 14/ 11/ 2 Anses - Durée de vie microbiologique 25 novembre 21
13 Température ( C) Un meuble trop élevé en température et circuit long / 1/ 2 22/ 1/ 2 23/ 1/ 2 24/ 1/ 2 25/ 1/ 2 26/ 1/ 2 27/ 1/ 2 28/ 1/ 2 29/ 1/ 2 3/ 1/ 2 31/ 1/ 2 1/ 11/ 2 2/ 11/ 2 Réfrigérateur 63,41% après l'achat 3/ 11/ 2 4/ 11/ 2 5/ 11/ 2 Entrepôt Usine Chambre froide 6/ 11/ 2 7/ 11/ 2 Plate-forme Réfrigérateur 8/ 11/ 2 9/ 11/ 2 1/ 11/ 2 11/ 11/ 2 Marge de sécurité % 98,2% 12/ 11/ 2 13/ 11/ 2 14/ 11/ 2 15/ 11/ 2 16/ 11/ 2 Anses - Durée de vie microbiologique 25 novembre 21
14 Température ( C) Un réfrigérateur à +7 C pendant un certain temps /1/2 22/1/2 23/1/2 24/1/2 25/1/2 26/1/2 27/1/2 28/1/2 Marge de sécurité % 29/1/2 3/1/2 Entrepôt Usine Chambre froide 31/1/2 1/11/2 Plate-forme Réfrigérateur 15,49% 2/11/2 3/11/2 après l'achat 9,29% 4/11/2 5/11/2 6/11/2 7/11/2 Anses - Durée de vie microbiologique 25 novembre 21
15 Température ( C) Une bonne chaîne du froid pour un produit laitier Entrepôt Chambre froide Usine Plate-forme après l'achat Voiture Réfrigérateur Réfrigérateur 2,24% 1/7/2 11/7/2 12/7/2 13/7/2 14/7/2 15/7/2 16/7/2 17/7/2 18/7/2 19/7/2 2/7/2 21/7/2 Marge de sécurité 9% Anses - Durée de vie microbiologique 25 novembre 21
16 Température ( C) Une bonne chaîne du froid pour un produit carné Voiture Réfrigérateur Marge de sécurité 49,19% Usine Chambre froide 21/1/2 22/1/2 23/1/2 24/1/2 25/1/2 26/1/2 27/1/2 28/1/2 29/1/2 3/1/2 31/1/2 1/11/2 2/11/2 : Entrepôt Plate-forme 2,12% après l'achat Réfrigérateur 48,2% Anses - Durée de vie microbiologique 25 novembre 21
17 Consommation par rapport à la DLC DLC Moment de la consommation Temps de passage dans la partie professionnelle En jours En % de la DLC En jours En % de la DLC Yaourts (+ 6 C) 3 jours 13 jours 43% 1 jours 33% Produits traiteurs et de charcuterie (+ 4 C) Viande préemballée (+ 4 C) DLC varie selon le fabricant De 14 à 23 jours 14 jours 52 à 62% 1 jours 4 à 45% 8 jours ~ 44% 6 jours ~ 33% Sur 314 produits, 18 ont été consommés après la DLC, soit ~ 6%
18 En conclusion. Des produits bien conservés globalement dans la partie professionnelle (amont de la chaîne) Apparition dans les meubles de vente de produits trop élevés en température (~7%) Conservation dans le réfrigérateur de tous les produits à la même température quelle que soit leur nature, d où 4% des produits conservés à des températures trop élevées! (Evolution depuis 22?) 6% des produits consommés après la DLC (essentiellement des yaourts) 3,2% des produits ont consommé la totalité de leur "capital temps/température" (3 PP et 7 V)
SECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL
SECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL Références réglementaires : Règlement N 178/2002 établissant les principes généraux et les prescriptions générales de la législation alimentaire
Plus en détailCirculaire relative aux dispositions applicables aux banques alimentaires et associations caritatives
Agence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire Circulaire relative aux dispositions applicables aux banques alimentaires et associations caritatives Référence PCCB/S3/1092228 Date 02/08/2013
Plus en détailPMS Plan de maitrise sanitaire. HACCP CONSEILLER Agrément sanitaire CE. VETHYQUA Enregistrements Contrôles de température
Plan de maitrise sanitaire Mercredi 17 octobre 2012 Traiteurs Organisateurs de Réception L agrément CE, simple formalité ou génial outil de développement? Jean-Philippe CLAUDE, Dr Vétérinaire Audit Hygiène
Plus en détail2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http://
2.0. Ballon de stockage : Capacité : L Lien vers la documentation technique : http:// Retrouver les caractéristiques techniques complètes (performances énergétiques et niveau d isolation, recommandation
Plus en détailComment se préparer à la certification
Comment se préparer à la certification Intervenant : Laurent DENEUVE ACTALIA Villers-Bocage Tél. 02.31.25.43.00 Mail : l.deneuve@actalia.eu ACTALIA en quelques mots (www.actalia.eu) Institut Technique
Plus en détailAVIS 1 / 6. Afssa Saisine n 2008-SA-0319 Saisine liée n 2005-SA-0081. Maisons-Alfort, le 18 août 2009. Rappel de la saisine
Maisons-Alfort, le 18 août 2009 AVIS LA DIRECTRICE GÉNÉRALE ADJOINTE de l Agence française de sécurité sanitaire des aliments relatif à une demande d'avis relatif au guide de bonnes pratiques d'hygiène
Plus en détailL hygiène en restauration collective. Formation aux ouvriers de l épicerie Sociale des Capucines Morgane DANIEL-diététicienne RSD
L hygiène en restauration collective Formation aux ouvriers de l épicerie Sociale des Capucines Morgane DANIEL-diététicienne RSD Qu est-ce que la sécurité alimentaire? Le principe de la sécurité alimentaire,
Plus en détailQuelles sont les chances des petits producteurs de se
Quelles sont les chances des petits producteurs de se maintenir sur le marché? Quelles sont les solutions en France pour la réorientation des activités des petits producteurs? La Roumanie vient d entrer
Plus en détailL hygiène en restauration
L hygiène en restauration Remise directe au consommateur Avertissement : les fiches présentées dans cette rubrique ont valeur de première information synthétique et ne tiennent pas compte des spécificités
Plus en détailThermorégulateurs Easitemp 95 et 150 eau. La solution compacte & économique
Thermorégulateurs Easitemp 95 et 150 eau La solution compacte & économique Thermorégulateurs Easitemp 95 et 150 Eau Easitemp définit un nouveau standard pour les thermorégulateurs. Un concept innovant,
Plus en détailDomosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage
Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage Tc Le système solaire combiné (SSC) Domosol de ESE est basé sur le Dynasol 3X-C. Le Dynasol 3X-C est l interface entre les
Plus en détailwww.frigro.be/export FRIGRO EXPORT
FRIGRO EXPORT Frigro sa Établie en 1980 par Mr. André Decuypere, actuellement gérer par Koen et Bert Decuypere t tb td Grossiste et fabricant des solutions frigorifique Distributeur officiel de marques
Plus en détailRAPPORT AUDIT HYGIENE AVXX-0XX-XXX
Date: SITE: Heure: par: MENTION GLOBAL DE L'AUDIT: NOMBRE D'ECARTS CONSTATES: ECARTS CONSTATES: 1. RESPONSABILITÉ DE LA DIRECTION / DÉFINITION & CONTRÔLE DES RÈGLES D HYGIÈNE 1.1 Déclaration de l'établissement
Plus en détailLes règles d hygiène en restauration
Les règles d hygiène en restauration Collection Entreprises - Tourisme et CHR Page 1/19 Sommaire Introduction 4 La réglementation applicable à la restauration 4 Les principes HACCP 5 Principales règles
Plus en détailFiche pratique. Les règles d hygiène en restauration. Mai 2014
Fiche pratique Les règles d hygiène en restauration Délégation de Millau 38, bd de l Ayrolle BP 60145 12101 MILLAU cedex Tél : 05 65 59 59 00 17, rue Aristide Briand BP 3349 12000 RODEZ cedex 9 Tél : 05
Plus en détailService Hygiène & Sécurité
Service Hygiène & Sécurité MAI Vous présente : N 16 Les locaux des cuisines de restauration collective, les matériels qu ils contiennent et les activités pratiquées exposent les agents et les consommateurs
Plus en détailDATALOGGERS SEFRAM LOG1601 et LOG1620
DATALOGGERS SEFRAM LOG1601 et LOG1620 Présentation des minis enregistreurs : Les minis enregistreurs SEFRAM LOG1601 et LOG1620 permettent d enregistrer des températures et un taux d humidité relative (LOG1620
Plus en détailCODE D USAGES EN MATIÈRE D HYGIÈNE POUR LES ALIMENTS RÉFRIGÈRES CONDITIONNES DE DURÉE DE CONSERVATION PROLONGÉE CAC/RCP 46-1999
CAC/RCP 46 Page 1 of 22 CODE D USAGES EN MATIÈRE D HYGIÈNE POUR LES ALIMENTS RÉFRIGÈRES CONDITIONNES DE DURÉE DE CONSERVATION PROLONGÉE CAC/RCP 46-1999 TABLE DES MATIERES INTRODUCTION...2 1. OBJECTIFS...2
Plus en détail2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).
SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,
Plus en détailGuide des bonnes pratiques du don d aliments à l usage de la grande distribution et de l industrie
Guide des bonnes pratiques du don d aliments à l usage de la grande distribution et de l industrie Publié par : FIAL, Fédération des Industries Alimentaires Suisses SWISSCOFEL, Association Suisse du Commerce
Plus en détailGRENADE / GARONNE 30 janvier 2014. Centrale de Restauration MARTEL Maryse LAFFONT, Diététicienne
LA RESTAURATION SCOLAIRE GRENADE / GARONNE 30 janvier 2014 Centrale de Restauration MARTEL Maryse LAFFONT, Diététicienne LES OBJECTIFS Apporter aux enfants une alimentation de Qualité pour répondre à leurs
Plus en détailSensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments
Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments Le respect des bonnes pratiques d hygiène de fabrication, par chaque opérateur, constitue le préalable à toute démarche de maîtrise de la sécurité
Plus en détailGUIDE D OBTENTION D UNE LICENCE D EXPLOITATION LOCAUX DESTINÉS AUX ALIMENTS
GUIDE D OBTENTION D UNE LICENCE D EXPLOITATION LOCAUX DESTINÉS AUX ALIMENTS Note : Pour les classes 3 et 4 dans les marchés publics, veuillez vous référer aux Lignes directrices du Nouveau-Brunswick pour
Plus en détailÉconomie d énergie dans les centrales frigorifiques : La haute pression flottante
Économie d énergie dans les centrales frigorifiques : La haute pression flottante Juillet 2011/White paper par Christophe Borlein membre de l AFF et de l IIF-IIR Make the most of your energy Sommaire Avant-propos
Plus en détailAide à l'application Chauffage et production d'eau chaude sanitaire Edition décembre 2007
Aide à l'application Chauffage et production d'eau chaude sanitaire 1. But et objet Une série d'aides à l'application a été créée afin de faciliter la mise en œuvre des législations cantonales en matière
Plus en détailALFÉA HYBRID DUO FIOUL BAS NOX
ALFÉA HYBRID BAS NOX POMPE À CHALEUR HYBRIDE AVEC APPOINT FIOUL INTÉGRÉ HAUTE TEMPÉRATURE 80 C DÉPART D EAU JUSQU À 60 C EN THERMODYNAMIQUE SOLUTION RÉNOVATION EN REMPLACEMENT DE CHAUDIÈRE FAITES CONNAISSANCE
Plus en détailSECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS
PREFET DES PYRENEES-ATLANTIQUES Direction Départementale de la Protection des Populations des Pyrénées-Altantiques SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS Quelques règles à respecter, secteur de la remise directe
Plus en détailL Indice Environnemental
L Indice Environnemental Historique et position face à l hypothèse de Porter Corinne MERCADIE Responsable Environnement & Emballages 1ere expérience de collecte et de mesure environnementale 2008 à 2010
Plus en détailUsine frigorifique de la Société des Entrepôts Frigorifiques Lyonnais, actuellement société Socora
Usine frigorifique de la Société des Entrepôts Frigorifiques Lyonnais, actuellement société Socora 24 rue Seguin Confluent Lyon 2e Dossier IA69000067 réalisé en 2001 Copyrights Copyrights Auteurs Région
Plus en détailRevue des Marchés. Charles Gagné 2015-04-16
9. Revue des Marchés Charles Gagné 2015-04-16 Les faits saillants 1. Inventaires de porcs aux É.-U. ( Hogs & Pigs) Croissance de 2 % du troupeau reproducteur 2. Baisse des exportations américaines Valeur
Plus en détailDémarche de traçabilité globale
Démarche de traçabilité globale Dr Chi-Dung TA* Responsable Qualité, Danone Vitapole chi-dung.ta@danone.com La traçabilité existe depuis un certain nombre d'années dans les entreprises à des niveaux plus
Plus en détailDÉMARCHE HACCP RESTAURATION. Guide pour l analyse des dangers. Restauration commerciale Restauration collective à caractère social
DÉMARCHE HACCP EN RESTAURATION Guide pour l analyse des dangers Restauration commerciale Restauration collective à caractère social Ce livre a obtenu un prix dans la catégorie ouvrages professionnels -
Plus en détailE LDS: refroidir intelligemment
E LDS: refroidir intelligemment REGLer surveiller OPTIMIser ECKELMANN GROUPE ECKELMANN AG, Wiesbaden. Ferrocontrol GmbH & Co. KG, Herford, ferrocontrol.de eckelmann.de E LDS: MANAGEMENT DU FROID, DE L
Plus en détailRESTAURATION SCOLAIRE
Syndicat Intercommunal de Regroupement Pédagogique 8 Place de la Mairie 28800 LE GAULT SAINT DENIS 02.37.47.28.85 RESTAURATION SCOLAIRE CAHIER DES CHARGES 1 Article 1 : Objet Les stipulations du présent
Plus en détail«Le peu, le très peu que l on peut faire, il faut le faire quand même» Théodore Monod. ECO GESTES AU QUOTIDIEN - Mercredi du Développement Durable
«Le peu, le très peu que l on peut faire, il faut le faire quand même» Théodore Monod «La terre n appartient pas à l homme, c est l homme qui appartient à la terre» Sitting Bull L habitat est le premier
Plus en détailGuide pratique et réglementaire
E V I T C E L L O C N O I T A R e r i RESTAU a t n e m i l a ide a d s n o i t a i er aux assoc Guide pratique et réglementaire Donn uv.fr tion.go ta alimen Remerciements C e guide a été élaboré par la
Plus en détailProgramme d amélioration de la salubrité des aliments (PASA)
Le système HACCP Ce cours se base sur la présentation de Stéphane Vanoirbeck sur le Guide des Bonnes Pratiques d Hygiène (GBPH) et le Manuel de l Agence Canadienne d Inspection des Aliments sur le Programme
Plus en détailScience et technique. La température et la durée de stockage sont des facteurs déterminants. Viande bovine et micro-organisme pathogène
Science et technique Viande bovine et micro-organisme pathogène La température et la durée de stockage sont des facteurs déterminants La contamination des carcasses lors des opérations d abattage et la
Plus en détailDirection de l Alimentation, de l Agriculture et de la Forêt Service de l Alimentation Jardin botanique 97109 BASSE TERRE
Réglementation relative à l hygiène alimentaire des marchands ambulants et des vendeurs sur foires et marchés (Activités de restauration, vente de poissons, activités de boucherie, charcuteries, pâtisseries,
Plus en détailFORMATION EN HYGIENE Etablissements médico-sociaux de PICARDIE 16 juin 2015 E.Baticle
FORMATION EN HYGIENE Etablissements médico-sociaux de PICARDIE 16 juin 2015 E.Baticle 1 Le cadre réglementaire 2 Arrêté du 29 septembre 1997 fixant les conditions d hygiène applicables dans les établissements
Plus en détailPRÉPARATION ET LIVRAISON DE REPAS EN LIAISON FROIDE POUR LE RESTAURANT SCOLAIRE
COMMUNE DE BRETTEVILLE SUR ODON PROCÉDURE ADAPTÉE PRÉPARATION ET LIVRAISON DE REPAS EN LIAISON FROIDE POUR LE RESTAURANT SCOLAIRE CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIÈRES C.C.T.P X:\CANTINE\CONSULTATION
Plus en détailFormation aux enseignants intervenant en SEGPA
Formation aux enseignants intervenant en SEGPA Réglementation de la sécurité sanitaire des aliments Informations préalables Ce document informe des dispositions réglementaires en vigueur et applicables
Plus en détailHygiène, sécurité et équilibre alimentaires dans les accueils collectifs de mineurs (ACM)
MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ALIMENTATION, DE LA PECHE, ET DES AFFAIRES RURALES Hygiène, sécurité et équilibre alimentaires dans les accueils collectifs de mineurs (ACM) Document aimab Document aimablement
Plus en détailPartie I Les constats actuels dans le secteur agroalimentaire
Partie I Les constats actuels dans le secteur agroalimentaire 1 Plantons le décor Les professionnels de l agroalimentaire doivent à leurs clients, les consommateurs que nous sommes tous, de préparer et
Plus en détailLe Casino de Montréal & les installations à multiples compresseurs
2014-12-02 Le Casino de Montréal & les installations à multiples compresseurs Luc Simard, ing. M.Sc Directeur de département, Réfrigération-Plomberie-Chauffage Refroidissement WSP Canada 2 Contenu de la
Plus en détailLa relève de chaudière, une solution intermédiaire économique et fiable.
111 39 240 1812 906 La relève de chaudière, une solution intermédiaire économique et fiable. La relève de chaudière, qu est ce que c est? On parle de relève de chaudière lorsqu on installe une pompe à
Plus en détailTRADUCTION D APPUI. À la Mairie de MILAN. Je soussigné(e) (prénom et nom)
(S.C.I.A.) SIGNALISATION CERTIFIÉE DE DÉBUT D ACTIVITÉ DE VENTE/DISTRIBUTION TEMPORAIRE D ALIMENTS ET DE BOISSONS, ÉVENTUELLEMENT GRATUITEMENT, AU PUBLIC SUR LA PÉRIODE D OUVERTURE D EXPO MILANO 2015 (1
Plus en détailÉnergies renouvelables. 10 employés. Boucher/ Charcutier
Page1 REBUFFE SARL Contact : 21 rue Bouchevreau 53300 Ambrières les M. Gilles REBUFFE Vallées Dirigeant : 02 43 04 92 44 02 43 04 92 44 : 06 03 98 04 17 : 10 employés Boucher/ Charcutier Date de création
Plus en détailLe Guide d aide à la VALIDATION des MESURES de MAITRISE des dangers bactériologiques ACTION QUALITE
Le Guide d aide à la VALIDATION des MESURES de MAITRISE des dangers bactériologiques ACTION QUALITE Logo CERVIA Parce que l enjeu alimentaire est plus que jamais un défi pour demain, le CERVIA PARIS Ilede-France,
Plus en détailRéglementation de la sécurité sanitaire des aliments
Réglementation de la sécurité sanitaire des aliments Informations préalables Ce document informe des dispositions réglementaires en vigueur et applicables au jour de la version. Ce document à une vocation
Plus en détailAuré. AuréaSystème. Les solutions solaires. Chauffe-Eau Solaire. Combiné Solaire Pulsatoire 90% Système solaire AUTO-VIDANGEABLE et ANTI-SURCHAUFFE
Les solutions solaires pour l Eau Chaude Sanitaire ou le Chauffage ficie z d'u Auréa n it Crédpôt d'imn la loi deueur Béné Solar Keymark N 011-7S841 F Chauffe-Eau Solaire selo s en vig ce finan Système
Plus en détailde faible capacité (inférieure ou égale à 75 litres) doivent être certifiés et porter la marque NF électricité performance.
9.5. PRODUCTION D EAU CHAUDE sanitaire Les équipements doivent être dimensionnés au plus juste en fonction du projet et une étude de faisabilité doit être réalisée pour les bâtiments collectifs d habitation
Plus en détailWWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale
WWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale Le SA10 est un appareil portable destiné au test des disjoncteurs moyenne tension et haute tension. Quoiqu il soit conçu pour fonctionner couplé
Plus en détailSpécialisation 3A AgroSup Dijon IAA Microbiologie Industrielle et Biotechnologie (MIB)
Spécialisation 3A AgroSup Dijon IAA Microbiologie Industrielle et Biotechnologie (MIB) Responsable : Jean-François Cavin (Pr. Microbiologie Biotechnologie) Tel 03 80 77 40 72, Fax 03 80 77 23 84 jf.cavin@agrosupdijon.fr
Plus en détailBulletin Officiel de la Concurrence de la Consommation et de la Répression des Fraudes
Bulletin Officiel de la Concurrence de la Consommation et de la Répression des Fraudes N 4 du 14 mars 2006 Décision n 05-D-31 du conseil de la concurrence du 22 juin 2005 relative à des pratiques mises
Plus en détailLampes à DEL EcoShine II Plus
Lampes à DEL EcoShine II Plus LAMPES POUR TABLETTE, RAIL et PAVILLON POUR COMPTOIRS MULTI-NIVEAUX, LIBRE-SERVICE ET DE PRODUITS SPÉCIALISÉS Une efficacité d éclairage maximale dans la vente d aliments
Plus en détailLe secteur de la restauration commerciale : données économiques, évolution des prix et du nombre de plaintes du secteur
N 28 juillet 2014 Service du soutien au réseau Sous-direction de la communication, programmation et veille économique Bureau de la veille économique et des prix Auteur : Nicolas ROUX 1 Le secteur de la
Plus en détailSéminaire de présentation du Programme d'appui à la Diversification de l'économie en Algérie
Programme financé par l Union européenne Séminaire de présentation du Programme d'appui à la Diversification de l'économie en Algérie UN SECTEUR FORTEMENT TYPE Mouvement de privatisation de l économie
Plus en détailSyScroll 20-30 Air EVO Pompes à chaleur réversibles
Compresseur croll Inverter Fluide Frigorigène R410a ycroll 20-30 ir EVO Pompes à chaleur réversibles De 20.0 à 34.0 kw De 20.0 à 35.0 kw 1 ycroll 20-30 ir EVO Les unités ycroll 20-30 ir EVO sont des pompes
Plus en détailGESTION CENTRALISÉE D EAU CHAUDE ET D ÉNERGIES APPLICATIONS STANDARDS ET NON STANDARDS
GESTION CENTRALISÉE D EAU CHAUDE ET D ÉNERGIES APPLICATIONS STANDARDS ET NON STANDARDS Poste prépondérant dans le bilan énergétique, la production d eau chaude est source d économies d énergie lorsqu elle
Plus en détailYutampo La solution 100 % énergie renouvelable
Chauffe-eau thermodynamique pour le résidentiel Yutampo La solution 100 % énergie renouvelable MAISONS INDIVIDUELLES NEUVES OU À RÉNOVER YUTAMPO u Idéal pour l eau chaude sanitaire Meilleur chauffe-eau
Plus en détailCATALOGUE DE PRESTATIONS FORMATION ET CONSEILS
(1/30pages) CATALOGUE DE PRESTATIONS FORMATION ET CONSEILS ANNEE : 2015 Date de mise à jour : 09/03/2015 1 - Microbiologie des eaux - Microbiologie des aliments Formation technique de Microbiologie HYGIÈNE
Plus en détailLa nouvelle réglementation européenne relative à l hygiène des aliments: «Paquet Hygiène»
La nouvelle réglementation européenne relative à l hygiène des aliments: «Paquet Hygiène» Direction Départementale des Services Vétérinaires de Meurthe-et-Moselle Plan 1. Objectifs de la réforme 2. Quels
Plus en détailHygiène alimentaire, formations obligatoires, législation du travail
GUIDE PRATIQUE Guide des bonnes pratiques pour les restaurateurs Hygiène alimentaire, formations obligatoires, législation du travail Restaurateurs Quelles Restaurateurs sont vos obligations? Quelles sont
Plus en détailPropriétaire Ville de Fort Saskatchewan, Alberta Année de construction 2004 Superficie totale (empreinte au sol) 10 220 m 2 (110 000 pi 2 )
Profil de projet d innovation technologique en réfrigération PARB PROGRAMME D ACTION EN RÉFRIGÉRATION POUR LES BÂTIMENTS Centre multiloisirs Dow Centennial Centre (Alberta) CONSTRUCTION NEUVE Sommaire
Plus en détailHYGIENE EN RESTAURATION COLLECTIVE
HYGIENE EN RESTAURATION COLLECTIVE Dr Erick KEROURIO DIRECTION DEPARTEMENTALE DE LA PROTECTION DES POPULATIONS DE L ESSONNE Le cadre réglementaire LA RESTAURATION COLLECTIVE Notion de «clientèle» captive
Plus en détailLES DIFFERENTS SYSTEMES DE RESTAURATION EN EHPAD
LES DIFFERENTS SYSTEMES DE RESTAURATION EN EHPAD Réseau LImousin NUTrition : Journée des directeurs 05 décembre 2014 Pascal Peyronnet Ingénieur hospitalier responsable restauration CHU de Limoges LES DIFFERENTS
Plus en détailFORMATION OBLIGATOIRE A L HYGIENE ALIMENTAIRE
FORMATION OBLIGATOIRE A L HYGIENE ALIMENTAIRE REFERENTIEL DE CAPACITE DE L OPERATEUR EN RESTAURATION COMMERCIALE (annexe II de l arrêté du 5 octobre 2011) Conseils d utilisation: Vous pouvez suivre la
Plus en détailLE FUTUR DU COMMERCE par
LE FUTUR DU COMMERCE par Présentation de OpinionWay Quelles sont les attentes des consommateurs Français? Suivez le débat sur Twitter avec le hashtag #ebayfdc Méthodologie Étude réalisée auprès échantillon
Plus en détailAutoconsommation d énergie photovoltaïque
Autoconsommation d énergie photovoltaïque Principe et intérêt de l autoconsommation de l électricité photovoltaïque Atelier technique PV-NET Mardi 3 décembre 2013 Marc Niell Ingénieur chargé d affaires
Plus en détailRapport de stage ANNEE SCOLAIRE 2013/2014. Elève de 3ème Collège 35740 PACE. Restaurant scolaire du Haut Chemin. p.1
Rapport de stage ANNEE SCOLAIRE 2013/2014 Elève de 3ème Collège 35740 PACE Restaurant scolaire du Haut Chemin p.1 Sommaire Introduction L entreprise Fiche d identité Situation géographique Activité principe
Plus en détailPROTECTION ECONOMIQUE DU CONSOMMATEUR
PROTECTION ECONOMIQUE DU CONSOMMATEUR Ce rappel des dispositions règlementaires est fourni à titre informatif et ne saurait se substituer à la règlementation en vigueur. Contrats conclus dans les foires
Plus en détailDROUHIN Bernard. Le chauffe-eau solaire
DROUHIN Bernard Le chauffe-eau solaire DROUHIN Bernard Le chauffe-eau solaire Principe de fonctionnement Les Capteurs Les ballons Les organes de sécurité Les besoins L ensoleillement dimensionnement Comment
Plus en détailNote de Synthèse. FABRICATION DE CONSERVES ALIMENTAIRES Cadre législatif et réglementaire Descriptif du procédé de fabrication
Diplôme Universitaire Gardien de Refuge de Montagne Note de Synthèse FABRICATION DE CONSERVES ALIMENTAIRES Cadre législatif et réglementaire Descriptif du procédé de fabrication Laborde Paul DU Gardien
Plus en détailLa gestion intelligente de vos bâtiments :
4 Modem V32 Bis Tel 336B Dinec Building Management La gestion intelligente de vos bâtiments : Contrôle d'accès : DinAccess Supervision de grandeurs physiques : DinCool Gestion technique : DinTalk Gestion
Plus en détailMANAGEMENT DE LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE
MANAGEMENT DE LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE Principes généraux du HACCP 0,7 UEC Mise en œuvre des programmes préalables au système HACCP 1.4 UEC 5 novembre 2014 9 février 2015 22 avril 2015 5SA1402 5SH1501 5SH1502
Plus en détailThermotrack Webserve
track Webserve Surveillance et traçabilité de la température de vos réfrigérateurs, chambres froides, laboratoires sur Internet Sondes Ethernet Compatible avec Boutons Fonctions Principales Surveillance
Plus en détailContexte réglementaire en hygiène alimentaire
Contexte réglementaire en hygiène alimentaire 1 Réforme de la législation communautaire pour la restauration collective Approche traditionnelle = obligation de moyens Réglementation Arrêté Ministériel
Plus en détailC. C. F TECHNOLOGIES CATALOGUE. Nos solutions pour le contrôle de la chaîne du froid
Nos solutions pour le contrôle de la chaîne du froid CATALOGUE Présentation Les indicateurs de temps/température jetables CCF-Technologies, spécialisée dans la fabrication des indicateurs temps / température
Plus en détail-Identifier les éléments qui déterminent le coût d un objet technique.
A / LES OBJETS TECHNIQUES EN DOMOTIQUE B / LA REPRESENTATION FONCTIONNELLE C / LE RESPECT DES CONTRAINTES D / LA CHAINE D ENERGIE D UN OBJET TECHNIQUE E/ LA CHAINE D INFORMATION D UN OBJET TECHNIQUE A
Plus en détailRØsumØ 2007. Direction
REPUBLIQUE ET CANTON DE GENEVE Département de l'économie et de la santé Service de la consommation et des affaires vétérinaires Direction RØsumØ 2007 En 2007, les campagnes intercantonales organisøes avec
Plus en détailGESTIONS DE CRISE Gestion de crise et coopération au niveau d'un groupe européen
GESTIONS DE CRISE Gestion de crise et coopération au niveau d'un groupe européen Crisis management Crisis management and cooperation in a European group Oléagineux, Corps Gras, Lipides. Volume 7, Numéro
Plus en détailCAPTEURS - CHAINES DE MESURES
CAPTEURS - CHAINES DE MESURES Pierre BONNET Pierre Bonnet Master GSI - Capteurs Chaînes de Mesures 1 Plan du Cours Propriétés générales des capteurs Notion de mesure Notion de capteur: principes, classes,
Plus en détailDossier de presse. Opération vacances à la neige : accueillir les vacanciers en toute sécurité, une préoccupation majeure pour les services de l état
Dossier de presse Opération vacances à la neige : accueillir les vacanciers en toute sécurité, une préoccupation majeure pour les services de l état le mercredi 11 janvier 2015 à la Clusaz Contact : Service
Plus en détailTheta Double service BFC, SGE, SGS pour 20/30/40 kw capacité de chauffe
heta Double service BFC, SGE, SGS pour 20/30/40 kw capacité de chauffe Un module pour la production de l ECS et du chauffage central Echangeur à plaques avec circulateur ECS primaire, une vanne trois voies,
Plus en détailGuide des bonnes pratiques d hygiène de la distribution de produits alimentaires par les organismes caritatifs
Guide des bonnes pratiques d hygiène de la distribution de produits alimentaires par les organismes caritatifs Edition 2011 ISBN : 978-2-11-076672-4 ISSN : 0767-4538 AVIS AUX PROFESSIONNELS DE L ALIMENTATION
Plus en détailAperçu des taux d interchange de MasterCard
Janvier 2011 Aperçu des taux d interchange de MasterCard En tant que commerçant partenaire de MasterCard, il est important que vous connaissiez le modèle économique sur lequel reposent les transactions
Plus en détailCircuits RL et RC. Chapitre 5. 5.1 Inductance
Chapitre 5 Circuits RL et RC Ce chapitre présente les deux autres éléments linéaires des circuits électriques : l inductance et la capacitance. On verra le comportement de ces deux éléments, et ensuite
Plus en détailAgriculteur consommateur. choisir ses modes de vente. en circuits courts
Agriculteur consommateur choisir ses modes de vente en circuits courts Introduction Ce guide a été réalisé à destination des producteurs. Il a pour but de vous informer sur les différentes formes de commercialisation
Plus en détailLinum LN150 / LN250 STOCKAGE DISTRIBUTION. Rayonnages hygiéniques. Aluminium anodisé ou acier inoxydable 18/10 E-33
Linum LN10 / LN0 Aluminium anodisé ou acier inoxydable 1/10 LINUM LN: finitions qualite alimentaire LN10: aluminium anodisé ALMG (1 micron) LN0: acier inoxydable 1/10 - AISI 0 Grilles ou étagères pleines
Plus en détailRapport de synthèse (études préliminaire, d extension et interlaboratoire conduites selon la norme EN ISO 16140)
Laboratoire de Touraine biomérieux Rapport de synthèse (études préliminaire, d extension et interlaboratoire conduites selon la norme EN ISO 16140) Validation de la méthode «ONE DAY» pour la recherche
Plus en détail1,2,3 SOLEIL EN AVANT PREMIERE
CONFERENCE DERBI 1,2,3 SOLEIL EN AVANT PREMIERE 1er SYSTEME SOLAIRE COMBINE La climatisation Le chauffage L eau chaude sanitaire HISTORIQUE Fin 2003 : Lancement du projet Début 2005 : 1er prototype opérationnel
Plus en détailarmoires de fermentation
armoires de fermentation contrôlée Le froid qui préserve vos pâtes 5 7 7, r u e C é l e s t i n H e n n i o n - 5 9 1 4 4 G O M M E G N I E S t é l. + 3 3. ( 0 ) 3. 2 7. 2 8. 1 8. 1 8 - f a x. + 3 3. (
Plus en détailÉtude réalisée auprès d un échantillon de 1009 personnes, représentatif de la population des internautes français âgés de 18 ans et plus.
Méthodologie Étude réalisée auprès d un échantillon de 1009 personnes, représentatif de la population des internautes français âgés de 18 ans et plus. L échantillon a été constitué selon la méthode des
Plus en détailEau chaude sanitaire FICHE TECHNIQUE
FICHE TECHNIQUE Eau chaude sanitaire 2 5 6 6 CONNAÎTRE > Les besoins d eau chaude sanitaire > Les modes de production > La qualité de l eau > Les réseaux de distribution > La température de l eau REGARDER
Plus en détailInformations clients
Informations clients Les engagements de vos magasins Casino... 3 Conditions Générales de Vente... 4 Vente d alcool aux mineurs... 6 Modes de règlement... 7 carte bancaire chèque titre restaurant Modes
Plus en détailLE CONSOMMATEUR FACE AUX DATES LIMITES DE CONSOMMATION DES PRODUITS ALIMENTAIRES: NORMES ET PRATIQUES
LE CONSOMMATEUR FACE AUX DATES LIMITES DE CONSOMMATION DES PRODUITS ALIMENTAIRES: NORMES ET PRATIQUES Marie Pierre Pinto * 9 Cet article a pour objectif d'examiner l'influence des dates limites de consommation
Plus en détailLe système HACCP. Plan. Plan. Introduction :
Le système HACCP Introduction : Plan L importance de l alimentation Le risque alimentaire La gestion de la qualité : Les systèmes d assurance de la qualité Le système HACCP Origine Objectifs Principes
Plus en détailSoltherm Personnes morales
Soltherm Personnes morales Annexe technique Valable pour les travaux faisant l objet d une facture finale datée au plus tôt le 1 er janvier 2015 ou dans des maisons unifamiliales/appartements dont la déclaration
Plus en détailManuel d entretien. Présentation de votre chauffe-eau. Poignées de préhension (haut et bas) Protection intérieure par émaillage. Isolation thermique
Présentation de votre chauffe-eau Poignées de préhension (haut et bas) Isolation thermique Protection intérieure par émaillage Canne de prise d eau chaude Doigt de gant du thermostat Anode magnésium Résistance
Plus en détail