L activité des établissements spécialisés en 2016

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1 TABLEAU DE BORD ASF L activité des établissements spécialisés en 2016 L ASF (Association Française des Sociétés Financières) regroupe l ensemble des établissements spécialisés : 282 entreprises (sociétés de financement, établissements de crédit spécialisés, banques spécialisées et entreprises d investissement). Les activités des membres de l ASF sont multiples : le financement de l équipement des particuliers (avec le crédit à la consommation - où les adhérents de l ASF représentent près de 50% du total des opérations -), le financement des investissements des entreprises et des professionnels (investissements d équipement et investissements immobiliers par crédit-bail, autres financements locatifs et financements classiques), les services financiers (affacturage, cautions, titrisation), les services d investissement (ensemble des métiers relatifs aux titres et autres instruments financiers). Mars 2017

2 Le financement des investissements des entreprises et des professionnels Le financement des investissements d équipement en 2016 : Le rebond d activité s est confirmé pour les financements locatifs (+11%) Financements locatifs Financements locatifs Production trimestrielle Variation par rapport au même trimestre de l année précédente Financements locatifs Production Milliards d euros 26 25,6 +16,4% ,0% +8,1% +12,3% +7,9% +7,6% ,4% 22 +2,2% 21-0,3% -3,4% T4 15 T1 16 T2 16 T3 16 T L a trajectoire de rebond d activité, esquissée en 2014 et 2015 pour les établissements spécialisés dans le financement locatif de l équipement des entreprises et des professionnels (opérations de location avec ou sans option d achat) s est confirmée et même accentuée en 2016 : la production annuelle a ainsi progressé de +11% par rapport à L évolution infraannuelle de l activité n a pas été homogène : après une phase d accélération de l activité au printemps (+16,4% au deuxième trimestre par rapport à la même période de 2015 après +12,3% au premier), la seconde partie de l année marque un ralentissement (+7,9% au troisième trimestre et +7,6% au quatrième). Au total, les investissements nouveaux réalisés en 2016 s établissent à 25,6 Mds d euros, soit un volume d activité légèrement supérieur à celui de 2008, année record d avant-crise. Au sein des opérations de location avec option d achat, les investissements en crédit-bail mobilier stricto sensu (au sens de la loi du 2 juillet 1966) progressent de +13,3% par rapport à 2015 (après +1,7% cette dernière année), à 11,9 Mds d euros. La première partie de l année a été plus favorable (hausse de la production de +20,5% en moyenne) que la seconde (rythme de croissance ramené à +6,9%). Les opérations connexes de location avec option d achat de voitures particulières destinées aux entreprises et aux professionnels enregistrent une moindre augmentation de la production : +3,7% sur l année par rapport à 2015 avec 2,4 Mds d euros. Au total, les opérations de location avec option d achat ont représenté, en 2016, 23,7% du total des investissements des entreprises en biens manufacturés 1 et 22,5% en moyenne sur les trente dernières années. Le montant des investissements nouveaux en location sans option d achat s élève à 11,3 Mds d euros en 2016, en progression de +10,2% par rapport à 2015, après +8,3% cette dernière année. Cet ensemble recouvre les opérations de location financière, pour un montant de 5,6 Mds d euros, en hausse de +7,3% en 2016 et la location longue durée pour 5,7 Mds d euros, en augmentation de +13,1%. Tous modes de financements locatifs confondus (location avec et sans option d'achat), le secteur du matériel informatique et de bureautique enregistre la plus faible croissance : +0,6% à 3,2 Mds d euros. Tous les autres progressent nettement : +9,3% à 5,6 Mds d euros pour les voitures particulières, +14,3% à 8,9 Mds d euros pour le secteur des financements de véhicules utilitaires et industriels, et +13,2% à 7,9 Mds d euros pour les autres matériels d équipement. Aux financements locatifs s ajoutent des opérations sous forme de crédits d équipement classiques : la production est de 4,5 Mds d euros, en hausse de +4% par rapport à Investissements des entreprises non-financières en machines et biens d équipement, produits informatiques, électroniques et optiques, équipements électriques, automobiles et autres matériels de transport (Source : INSEE / Comptes nationaux).

3 Le financement des investissements des entreprises et des professionnels Le financement des investissements immobiliers en 2016 : Recul de la production en crédit-bail immobilier (-5,8%) G lobalement, le secteur du financement des investissements immobiliers des entreprises enregistre un recul pour la sixième année consécutive, mais un recul limité : la production est en baisse de -1,1% par rapport à 2015 avec 7,2 Mds d euros. Les évolutions diffèrent cependant selon les trois modes de financement qui composent le secteur. Après deux années de croissance, le crédit-bail immobilier marque à nouveau le pas en 2016 : avec 4,4 Mds d euros de nouveaux contrats signés durant l année, la production se contracte de -5,8% par rapport à l année précédente. L évolution infra-annuelle est caractérisée par une forte baisse au premier semestre (-21,5% par rapport à la même période de l année précédente) qui contraste avec la hausse enregistrée au second (+6,2%). Sur l ensemble de l année, le niveau d activité est faible, inférieur de -31% à celui atteint en Crédit-bail immobilier Crédit-bail immobilier Production Milliards d euros Données semestrielles mises en année mobile 6,8 +6,4% 6,4 +2,1% 6,0 5,6-5,8% -10,7% -15,5% 5,2 4,8 4,4 4,4 4,0 L analyse selon les types de locaux financés montre des évolutions divergentes : - Les locaux industriels (usines, ateliers, entrepôts ), qui représentent la part la plus importante de la production en 2016, progressent légèrement de +2,5% à 1,39 Md d euros. - Les opérations concernant les locaux commerciaux (magasins, supermarchés, hôtels ) sont en hausse de +11,1% à 1,30 Md d euros. - En revanche, le secteur des locaux de bureaux est en net recul : -17,5% à 1,16 Md d euros. - Enfin, les autres locaux (cliniques, hôpitaux, cinémas ) sont également orientés à la baisse (-26,7% à 0,51 Md d euros). Dans ces différents secteurs de l immobilier d entreprise, le crédit-bail immobilier a permis de financer, au cours des vingt dernières années, plus de 100 Mds d euros 2 d investissements. Les Sofergie ont pour leur part initié 1,7 Md d euros de nouvelles opérations, en progression 3 de +39,7% par rapport à 2015, dont la quasi-totalité sous forme de crédits classiques 4 (1,6 Md d euros et +38,4%) 3, l activité sous forme de crédit-bail étant désormais très marginale. Les financements classiques - composés pour la quasi-totalité d opérations à moyen et long terme 5 - se replient en 2016 pour la cinquième année consécutive : -22,1% par rapport à 2015 avec 1,1 Md d euros de nouveaux crédits distribués, soit un montant de production inférieur de -88,5% à celui de 2007, dernière année d avant-crise. La baisse se sera encore accélérée au second semestre : -30,9% par rapport à la même période de l année précédente après -5,2% au cours de la première partie de l année. 2 Euros constants L activité des Sofergie est souvent marquée par des variations de grande amplitude, la modestie des chiffres les rendant dépendants d opérations ponctuelles de montants relativement importants. 4 Opérations de crédit initiées et suivies par l équipe Sofergie, quelle que soit la structure qui porte le dossier en termes comptable et informatique. 5 Les opérations consacrées au financement à court terme des promoteurs et marchands de biens, dont la part s est amenuisée au fil des années, ont désormais quasiment disparu chez les adhérents de l ASF.

4 Les services financiers L affacturage en 2016 : La croissance de l activité reste soutenue (+8%) Affacturage Production* annuelle Affacturage Production* trimestrielle - Variation par rapport au même trimestre de l année précédente Affacturage Production* Milliards d euros ,2 +7,6% +7,5% +13,0% +9,5% +8,0% +11,9% +9,7% +13,2% +6,7% ,4% * Montant des créances prises en charge. T4 15 T1 16 T2 16 T3 16 T A vec 268,2 Mds d euros de créances prises en charge en 2016 nouveau record historique la production progresse en moyenne sur l ensemble de l année de +8% par rapport à 2015, après +9,5% cette dernière année. L activité des sociétés d affacturage s est donc maintenue à un très bon niveau en 2016, malgré un certain ralentissement, sensible depuis l été, et qui s est accentué au quatrième trimestre. La croissance des opérations s est ainsi établie à l automne à +3,4% par rapport à la même période de 2015, après +6,7% au troisième trimestre 2016, +13,2% et +9,7% les deux précédents trimestres. En 2016, l affacturage domestique constitue toujours, avec 189,5 Mds d euros, la plus grande part de l activité, alors que les opérations à l international représentent 78,7 Mds d euros (dont 29 Mds d euros à l exportation, 3,1 Mds d euros à l importation et 46,6 Mds d euros avec des clients non-résidents sans intervention d un factor correspondant étranger). Néanmoins, l activité à l international est celle qui continue à croître le plus rapidement : la progression est de +17,5% par rapport à 2015 contre +4,6% pour les opérations réalisées sur le plan domestique. L activité à l international représente maintenant 29,3% du total des opérations contre seulement 19,3% il y a trois ans. Les sociétés de caution en 2016 : Deuxième année consécutive d une hausse à deux chiffres (+11,9%) Cautions Encours des engagements hors-bilan (glissement sur douze mois) +4,9% +8,4% +6,9% +11,4% +11,9% Les sociétés de caution enregistrent de nouveau en 2016 une hausse à deux chiffres de leur activité : à fin décembre, la progression des engagements hors-bilan était de +11,9% en glissement annuel après +11,4% douze mois auparavant. Le montant de ces engagements s élève à fin décembre 2016 à 513,7 Mds d euros, dont les garanties délivrées en couverture de crédits destinés aux particuliers constituent la plus grande partie. Déc.12 Déc.13 Déc.14 Déc.15 Déc.16

5 Le financement de l équipement des particuliers Le crédit à la consommation en 2016 : Sur un marché encore dégradé, le redressement de l activité s est poursuivi (+6,5%) Crédit à la consommation Crédit à la consommation Production trimestrielle Variation par rapport au même trimestre de l année précédente Crédit à la consommation Production Milliards d euros 46 +6,3% +6,5% +8,9% +10,1% +6,9% +6,9% ,2% +2,4% 40 39,1-1,2% 38-4,9% 36 T4 15 T1 16 T2 16 T3 16 T A près avoir renoué avec une nette croissance de la production en 2015 (+6,3%), le redressement de l activité des établissements spécialisés dans le crédit à la consommation s est poursuivi en 2016 quasiment au même rythme (+6,5%). Au cours des neuf premiers mois de 2016, l évolution de la production est marquée globalement par une décélération (+10,1% au premier trimestre en variation annuelle, +6,9% au printemps et +2,4% au troisième trimestre), avant de se réorienter favorablement en fin d année (+6,9% au quatrième trimestre). La situation d ensemble s améliore mais le marché reste encore dégradé puisqu avec un montant de 39,1 Mds d euros, la production 2016 demeure inférieure de -13% à celle de 2007, année d avant-crise, avec 6 Mds d euros de moins. Les évolutions des principaux secteurs sont les suivantes : Après la bonne performance en début d année (+12,3% au premier trimestre), les prêts personnels ont continué à croître les trimestres suivants, mais à un rythme moins soutenu : +3,6% au deuxième, +4,7% durant l été et +7% en fin d année. Sur l ensemble de 2016, la production progresse de +6,7% à 13,4 Mds d euros, après +6,8% l année précédente. Le prêt personnel est le premier produit de financement des établissements spécialisés en crédit à la consommation (avec 34% du total de la production), devant le crédit renouvelable, les crédits affectés et la LOA. Prêts personnels Crédit renouvelable Production* annuelle Crédit renouvelable Production* Milliards d euros ,5% +3,2% +6,8% +6,7% ,5% +0,1% -1,7% -2,8% -3,3% -5,9% * Nouvelles utilisations à crédit ,0 10 9

6 Le financement de l équipement des particuliers Le crédit à la consommation en 2016 (suite) Les nouvelles utilisations de crédit renouvelable ne progressent quasiment pas au dernier trimestre 2016 (+0,2%), après s être contractées durant l été (-2,2%) et avoir très légèrement augmentées en première partie de l année (+1,7% au premier trimestre et +0,7% au deuxième). La production s établit à 10 Mds d euros pour 2016, en quasi-stagnation par rapport à 2015 (+0,1%), après -3,3% cette dernière année. Après une chute quasi-continue depuis l automne 2008, pour la première année, le secteur des crédits renouvelables cesse de se dégrader. Le volume d activité ressort en 2016 inférieur de près de -43% à celui, historiquement haut, atteint en année pleine, à la fin de l été La part du crédit renouvelable dans le total de la production des établissements spécialisés a été ramenée de 41% en cumul sur douze mois à fin juin 2009 à 26% à fin décembre Avec une progression en 2016 de +5,1% sur un an des immatriculations de voitures particulières, le marché automobile retrouve, avec 2 millions d unités, son niveau moyen de longue période. Sur ce marché, les financements de voitures particulières neuves (par crédits affectés et location avec option d achat - LOA -) auprès des particuliers enregistrent en 2016, avec 7,9 Mds d euros, une hausse de +14,8% par rapport à 2015, après +21,5% cette dernière année. L évolution de l activité n a pas été homogène tout au long de l année 2016 : elle se termine par une hausse de +12,6% au quatrième trimestre, après le ralentissement de l été (+4,5%) et une première partie de l année en forte croissance (+20,4% au premier trimestre et +21,9% au deuxième). On notera que les modalités de financement choisies par les consommateurs se sont sensiblement modifiées au cours des dernières années, favorisant la LOA au détriment des financements par crédits affectés : ainsi, la part de la LOA dans le total des financements 6 d automobiles neuves est passée de 35% en 2009 à 67% en 2016 et, cette dernière année, la LOA a progressé de +31,8% par rapport à 2015 contre un recul de -8,9% pour les financements par crédits affectés. Pour ce qui concerne les voitures particulières d occasion, les financements (par crédits affectés) enregistrent une forte croissance au quatrième trimestre 2016 : +17% par rapport à la même période de l année précédente, après +3,4% durant l été, +6,3% au deuxième trimestre et +10,1% au cours des trois premiers mois. Sur l ensemble de l année, la hausse est de +9,2% (après +7,4% en 2015), avec 3,3 Mds d euros. Les financements affectés de biens d équipement du foyer (électroménager, équipement multimédia, meubles...) augmentent de +1,4% au quatrième trimestre, après une baisse de -3,3% au troisième trimestre et un premier semestre en hausse (+1,5% au premier trimestre et +2,6% au deuxième). Au total, sur l ensemble de 2016, la production, avec 2,7 Mds d euros, progresse faiblement par rapport à l année 2015 (+0,7%), après +3,5% cette dernière année. 6 Hors prêts personnels.

7 Données chiffrées Production (en millions d'euros) En 2015* En 2016 Variation 2016 / Equipement des entreprises et des professionnels. Crédit classique. Location de matériels. Crédit-bail mobilier et autres opérations de LOA (1). Crédit-bail mobilier (loi du ). Autres opérations de LOA (1) (voitures particulières). Location sans option d'achat (2). Location financière. Location longue durée. Equipement des particuliers (crédit à la consommation). Crédit classique. Crédits affectés. Crédits renouvelables (nouvelles utilisations à crédit). Prêts personnels (y compris rachats de créances). Location (3). Immobilier d'entreprise. Financement immobilier classique. Sofergie (4). Crédit-bail immobilier. Affacturage (5) ,9% ,0% ,0% ,6% ,3% ,7% ,2% ,3% ,1% ,5% ,9% ,8% ,1% ,7% ,2% ,1% ,1% ,7% ,8% ,0% Engagements hors-bilan (en millions d'euros) Au * Au Variation 2016 / Sociétés de caution ,9% * Les chiffres concernant 2015 sont exprimés sur la base des sociétés adhérentes au 31 décembre Ils tiennent compte des modifications, parfois sensibles, qui ont pu être apportées par certaines sociétés aux informations fournies l'année précédente. (1) LOA : Location avec Option d'achat. (2) Les opérations de location sans option d'achat peuvent relever de deux catégories : - Les opérations de location financière sont des opérations sans option d'achat dans lesquelles le locataire choisit le fournisseur ainsi que le bien dont il connaît et, le cas échéant, négocie lui-même le prix. Les contrats de ce type sont conclus pour une durée irrévocable, les loyers sont indépendants de l'utilisation du matériel. - Les opérations de location longue durée sont des opérations sans option d'achat ne répondant pas aux critères définissant la location financière. (3) Location avec option d'achat d'automobiles pour la plus grande partie. (4) L'activité des Sofergie est souvent marquée par des variations de grande amplitude, la modestie des chiffres les rendant dépendants d'opérations ponctuelles de montants - relativement - importants. (5) Montant des créances prises en charge. Hors opérations de "floor plan" et de forfaitage.

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