Chapitre II - Le rôle des autorités prudentielles et des banques centrales... 39

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Chapitre II - Le rôle des autorités prudentielles et des banques centrales... 39"

Transcription

1 Table des matières Avant-propos Introduction générale PREMIERE PARTIE - Le rôle joué par les autorités Introduction Chapitre I - La politique législative I - Procédure d adoption des textes Les faiblesses de la procédure classique La procédure Lamfalussy La création du Comité des sages Les nouvelles règles du jeu législatif a) L objectif b) Les quatre niveaux c) Quelle garantie pour le Parlement européen? L extension de la procédure Lamfalussy II - Méthodes d intégration L harmonisation minimale : l épine de l intérêt général Définition Portée L harmonisation minimale couplée à la reconnaissance mutuelle : une méthode qui a fait ses preuves Définition Portée La reconnaissance mutuelle dans un domaine coordonné : la clause du marché intérieur Contexte Définition Portée L harmonisation maximale : idéale mais politiquement difficile L harmonisation ciblée et la reconnaissance mutuelle : très tendance Définition Apparition Chapitre II - Le rôle des autorités prudentielles et des banques centrales I - Introduction II - Les autorités prudentielles III - Les banques centrales Introduction Les compétences de l Eurosystème en matière de politique monétaire Les compétences de l Eurosystème en matière de systèmes de paiement et de règlement-titres Les banques centrales en tant qu utilisateurs

2 612 TABLE DES MATIERES 2 - Les banques centrales en tant qu opérateurs Les banques centrales en tant que promoteurs Les banques centrales en tant que régulateurs et surveillants a) Evolution récente trois étapes principales b) L article 22 des statuts au cœur des débats c) Le champ d application rationae personae de l article d) Le champ d application ratione materiae de l article Les autres fonctions de l Eurosystème et du SEBC La fonction consultative La contribution au contrôle prudentiel et à la stabilité financière a) L article 25 des statuts b) Les rapports sur la stabilité financière c) La participation aux groupes de travail et Comités d) Les protocoles d accord e) La fourniture de liquidités en situation urgente ou le rôle de prêteur en dernier ressort Chapitre III - L émergence du droit de la concurrence dans le secteur financier I - Vue générale II - Le contrôle des concentrations III - La politique antitrust IV - Les aides d Etat DEUXIEME PARTIE - Les intermédiaires agréés Introduction Chapitre I - Les établissements de crédit I - Introduction II - La définition européenne de l établissement de crédit Définition européenne de l établissement de crédit et activités réservées aux établissements de crédit Les activités bénéficiant de la reconnaissance mutuelle Les établissements émetteurs de monnaie électronique L émission de monnaie électronique Le statut des établissements émetteurs de monnaie électronique III - Les conditions d accès à la profession bancaire Les conditions de l accès initial Conditions relatives à l établissement Conditions relatives à l actionnariat et à la structure du groupe Les conditions de l accès aux autres Etats membres Libre prestation de services Etablissement de succursales Filiales et établissements financiers Les relations avec les pays tiers

3 TABLE DES MATIERES 613 IV - Règles d exercice de l activité Les normes quantitatives de gestion La définition des fonds propres Les exigences de couverture des risques Les exigences minimales de fonds propres risque de crédit Les exigences minimales de fonds propres risque opérationnel Les exigences minimales de fonds propres risques de marché Les règles relatives aux grands risques Les exigences additionnelles de fonds propres et autres mesures du pilier II Les normes qualitatives de gestion Le gouvernement d entreprise et le contrôle interne La transparence vis-à-vis du marché Règles applicables aux établissements de monnaie électronique Règles relatives aux fonds propres Règles relatives aux placements V - Principes d organisation de la surveillance prudentielle Surveillance individuelle Compétences et pouvoirs de l Etat d origine Compétences et pouvoirs de l Etat d accueil Surveillance sur une base consolidée Consolidation comptable et surveillance sur une base consolidée Le cadre juridique de la surveillance sur une base consolidée Coopération entre autorités compétentes Le cadre juridique de la coopération des autorités compétentes Le rôle du superviseur sur une base consolidée dans l Union Le Comité européen des contrôleurs bancaires VI - Règles relatives au traitement des difficultés et à la cessation d activité Protection des déposants et des investisseurs La garantie des dépôts Garantie des dépôts et responsabilité du superviseur Garantie des investisseurs Assainissement et liquidation des établissements de crédit Mesures d assainissement Procédures de liquidation Dispositions communes Chapitre II - Les entreprises d investissement et les marchés d instruments financiers I - Introduction II - Les règles communes aux entreprises d investissement et aux établissements de crédit Champ d application Services et activités couverts Instruments financiers couverts Conditions d exercice

4 614 TABLE DES MATIERES 1 - Exigences organisationnelles a) Organisation et gestion de la firme b) Externalisation des services et des tâches opérationnelles c) Dispositions relatives à la sauvegarde des droits de propriété des clients d) Enregistrement des services et des transactions Dispositions relatives à la protection des investisseurs a) Identification et gestion des conflits d intérêts b) Mécanismes de résolution des conflits c) Règles de conduite pour la fourniture de services d investissement à des clients d) Obligation de «meilleure exécution» e) Règles de traitement des ordres des clients Utilisation des agents liés Transparence et intégrité du marché a) Déclaration des transactions conclues et conservation d enregistrements b) Le régime de transparence Libre prestation de services et établissement de succursales Compensation et règlement III - Les règles applicables aux entreprises d investissement L agrément des entreprises d investissement Champ d application entités couvertes Conditions et procédure d agrément a) Portée de l agrément b) Octroi de l agrément c) Retrait de l agrément d) Conditions d agrément e) Relations avec les pays tiers Libre prestation de services et établissement de succursales IV - Le régime applicable aux marchés réglementés et aux systèmes de négociation multilatérale Dispositions applicables aux marchés réglementés Conditions d agrément des marchés Conditions d opération des marchés réglementés Admission des instruments financiers à la négociation Accès aux marchés réglementés Conditions d agrément et d opération des MTF Le régime de transparence applicable aux marchés réglementés et aux MTF V - Surveillance et contrôle Attribution de compétences dans le même Etat membre Pouvoirs des autorités compétentes Coopération entre les autorités compétentes de plusieurs Etats membres Obligation de coopérer a) Modalités de coopération b) Devoirs de coopération spécifiques Echange d informations Refus de coopération

5 TABLE DES MATIERES Consultation entre autorités avant l octroi d un agrément Coopération avec les pays tiers Répartition de pouvoirs entre Etat membre d origine et Etat membre d accueil Chapitre III - Les établissements de paiement I - Les enjeux du statut d établissement de paiement II - Le cadre d activité des prestataires de services de paiement Le champ d application ratione personae Le champ d application ratione materiae Champ d application positif Champ d application négatif Le cadre d activité des établissements de paiement Des conditions d agrément formalistes mais peu contraignantes Des conditions de surveillance réduites Les dispenses d agrément en qualité d établissements de paiement Les limites à l activité des établissements de paiement Chapitre IV - Les entreprises d assurance, les entreprises de réassurance et les intermédiaires d assurance I - Les entreprises d assurance Les grandes étapes de la construction du marché unique de l assurance Introduction Une distinction cardinale entre l assurance non-vie et l assurance vie Les directives de la première génération a) La coordination des conditions d accès aux activités d assurance b) La coordination partielle des conditions d exercice des activités d assurance c) L organisation de l exercice d activités d assurance en régime de liberté d établissement Les directives de la deuxième génération a) Historique b) Une libre prestation de services à géométrie variable Les directives de la troisième génération ou directives «licence unique» a) Présentation générale b) Les acquis majeurs des directives de la troisième génération c) La communication interprétative de la Commission européenne de février La poursuite de la coordination prudentielle a) La directive «post BCCI» du 29 juin b) La directive du 27 octobre 1998 sur les groupes d assurance et la directive du 16 décembre 2002 sur les conglomérats financiers c) La directive du 19 mars 2001 sur la liquidation des entreprises d assurance d) Le projet «Solvabilité II» Les directives complémentaires propres à certaines branches ou formules d assurance a) La directive du 30 mai 1978 sur la coassurance communautaire b) La directive du 10 décembre 1984 sur l assistance touristique c) La directive du 22 juin 1987 sur l assurance crédit/caution d) La directive du 22 juin 1987 sur l assurance protection juridique

6 616 TABLE DES MATIERES e) Les directives relatives à l assurance RC automobile Les activités d assurance sous le régime de la licence unique : conditions d accès et d exercice Conditions d accès à l activité d assurance et d exercice de cette activité dans l Etat membre d origine a) Conditions d obtention et portée de l agrément administratif b) Conditions d exercice de l activité d assurance dans l Etat membre d origine Les activités d assurance en régime de liberté d établissement ou de libre prestation de services a) Conditions d accès à un marché autre que celui de l Etat membre d origine b) Conditions d exercice d activités d assurance en liberté d établissement ou en libre prestation de services Le statut des entreprises d assurance originaires d un pays tiers Conditions d accès au marché d un Etat membre Conditions d exercice II - Les entreprises de réassurance III - Les intermédiaires d assurance Chapitre V - Les organismes de placement collectif en valeurs mobilières Vers l émergence d un véritable marché européen de la gestion collective I - Introduction II - La directive 2001/107 ou l activité de gestion enfin harmonisée Le statut unique de la société de gestion La procédure d agrément a) La procédure d agrément et le bénéfice du passeport européen b) Les nouvelles contraintes c) Le cas des sociétés d investissement Extension des activités de la société de gestion a) Les nouvelles activités b) La technique de la délégation harmonisée Des investisseurs mieux informés Le prospectus complet Le prospectus simplifié III - La directive 2001/108, viatique des nouvelles politiques d investissement Les politiques d investissement des OPCVM élargies Investissement en valeurs mobilières Investissements en instruments du marché monétaire a) Instruments du marché monétaire cotés b) Instruments du marché monétaire non cotés Investissements en dépôts bancaires Investissements en parts d OPCVM a) Les parts d OPC éligibles b) La question des frais et commissions Investissements en instruments dérivés

7 TABLE DES MATIERES 617 a) Instruments financiers dérivés éligibles b) Mesures spécifiques relatives au recours aux instruments financiers dérivés Les nouvelles règles de répartition des risques Limites spécifiques aux investissements dans des valeurs mobilières et des instruments du marché a) Limites de placement b) Principe optionnel de non-transparence des OPC sous-jacents c) Principe de transparence des instruments financiers dérivés d) Régime dérogatoire applicable aux fonds indiciels e) Limites d acquisition Limites spécifiques aux dépôts bancaires Limites spécifiques aux investissements dans des parts d OPC Limites spécifiques aux investissements dans des instruments financiers dérivés a) Limite globale d investissement dans des instruments financiers dérivés b) Limites relatives au risque de contrepartie dans des instruments financiers dérivés négociés de gré à gré Limites générales a) Limites combinées b) Limites par groupe c) Interdiction des ventes à découvert IV - Les apports conjugués du Comité de contact et du CESR Le Comité de contact Le comité européen des régulateurs des marchés de valeurs mobilières (CERVM ou CESR) V - L heure du premier bilan Une avancée incontestable Les limites du cadre européen Les limites juridiques Les inconvénients de l empilement normatif Perspectives : le livre vert de la Commission Chapitre VI - Les institutions de retraite professionnelle I - Introduction II - Un cadre structurel et prudentiel défini par la directive 2003/ Une protection rigoureuse des futurs retraités Une gestion transfrontalière des régimes de retraite professionnelle III - Un cadre fiscal non harmonisé Les enjeux fiscaux Les apports de la jurisprudence de la Cour de justice Le rôle de la Commission européenne IV - Conclusion

8 618 TABLE DES MATIERES Chapitre VII - Le contrôle prudentiel des conglomérats financiers dans le droit communautaire I - Introduction II - La directive 2002/87/CE relative à la surveillance prudentielle des conglomérats financiers Objectifs de la directive «conglomérats financiers» et définitions Objectifs de la directive Une nouvelle terminologie définitions a) Le conglomérat financier b) La compagnie holding c) Autorités compétentes concernées Le processus d identification d un conglomérat financier La surveillance complémentaire des conglomérats financiers : champ d application et objet Champ d application de la directive a) Les «conglomérats financiers EEE» b) Les «conglomérats financiers de pays tiers» c) Les «autres groupes financiers» L objet de la surveillance complémentaire des «conglomérats financiers EEE» La surveillance des «conglomérats financiers de pays tiers» Autres groupes financiers Le Comité des conglomérats financiers Modifications apportées aux directives sectorielles III - Evolutions attendues. Réflexions additionnelles TROISIEME PARTIE - Contrats et produits financiers Introduction Chapitre I - Les opérations de crédit I - Introduction II - Le crédit à la consommation Genèse Principales dispositions des directives régissant le crédit à la consommation Loi applicable et juridictions compétentes III - Le crédit hypothécaire Genèse Le contrat de prêt hypothécaire Harmonisation européenne de la sûreté immobilière Loi applicable et juridictions compétentes Chapitre II - Les services de paiement I - Introduction

9 TABLE DES MATIERES 619 II - La réglementation consumériste du droit des paiements : la directive 97/5 et le règlement 2560/ La création d un espace tarifaire unifié : le règlement 2560/2001 sur les paiements transfrontaliers en euro L introduction de règles de transparence, de responsabilité et de recours : l ancienne directive 97/5 sur les virements transfrontières III - La création d un droit matériel des paiements : la proposition de directive sur les services de paiement Champ d application de la proposition Des obligations d information renforcées L introduction de règles régissant la matière même des paiements Les transactions non autorisées L harmonisation des règles d irrévocabilité des ordres de paiement Le point de départ du délai d exécution La question des dates de valeur La récupération des fonds en cas de disparition de ceux-ci IV - L harmonisation des règles de traçabilité des instruments de paiement L identifiant unique La lutte contre le blanchiment et le financement du terrorisme V - Le SEPA Chapitre III - Les contrats d assurance dans un marché unique intégré I - Introduction II - Transparence du contrat et information du consommateur III - Les règles de conflits de lois en matière de droit du contrat Les règles de conflits de lois en assurance non-vie Les règles de conflits de lois en assurance vie Difficultés d application IV - Les contours de l intérêt général communautaire en assurance La notion d intérêt général en droit communautaire Illustrations de la problématique de l intérêt général dans le secteur de l assurance L inclusion de pans entiers de la législation de l Etat membre d accueil dans la liste des dispositions d intérêt général La notification préalable des conditions d assurance L interdiction pour une entreprise d assurance d exercer des opérations de capitalisation Les échelles réglementaires bonus-malus en assurance RC automobile Langue du contrat d assurance Les taux d intérêt maximaux en assurance vie L imposition de conditions types ou minimales d assurance Les franchises obligatoires L imposition d un droit au rachat et/ou aux participations bénéficiaires en assurance vie

10 620 TABLE DES MATIERES 10 - La prohibition de la technique du cold calling V - Le droit de rétractation en assurance vie VI - Les règles de compétence judiciaire VII - La protection des créanciers d assurance en cas d assainissement ou de liquidation d une entreprise d assurance Principes généraux Règles de protection des créanciers d assurance VIII - Le régime fiscal du contrat d assurance souscrit en régime de libre prestation de services Les restrictions fiscales nationales au regard du droit communautaire La jurisprudence de la Cour de justice a) Les arrêts Bachmann et Commission c. Belgique du 28 janvier b) L arrêt Wielockx du 11 août c) L arrêt Svensson et Gustavsson du 14 novembre d) L arrêt Safir du 28 avril e) L arrêt Danner du 3 octobre f) L arrêt Skandia et Ramstedt du 26 juin La communication de la Commission européenne d avril 2001 sur les entraves fiscales aux activités transfrontalières de retraite professionnelle Compétence de taxation des prestations d assurance Chapitre IV - Les règles applicables aux services financiers commercialisés à distance auprès de consommateurs I - Introduction II - Services concernés Champ d application personnel Champ d application matériel Champ d application territorial Champ d application temporel III - Règles matérielles applicables Instruments de protection du consommateur Information du consommateur Droit de rétractation du consommateur Annulation du paiement en cas d utilisation frauduleuse de la carte du consommateur Interdiction de fournir des services non demandés au consommateur Interdiction d envoyer des communications commerciales non sollicitées au consommateur Sanctions Recours Chapitre V - L harmonisation et la modernisation du droit des garanties financières dans l Union européenne. La directive «collatéral» I - Genèse de la directive relative aux garanties financières

11 TABLE DES MATIERES 621 II - Présentation générale de la directive III - Lignes directrices de la directive Modes informels de constitution, d opposabilité et de preuve Reconnaissance de la validité des contrats de garantie financière translative de propriété Rapidité et efficacité de l exécution ou de la réalisation de la garantie Généralisation du droit pour le preneur de garantie de se servir des actifs la composant Protection générale contre l effet de certaines règles du droit de l insolvabilité Conflits de lois QUATRIEME PARTIE - Ethique, intégrité et transparence Introduction Chapitre I - Problématique générale I - Etat des lieux du droit financier européen à la fin des années II - Champ d application rationae materiae de la réglementation Chapitre II - Emission et prospectus I - Introduction II - Le champ d application de la directive «prospectus» Les valeurs mobilières Les offres publiques et les admissions à la négociation sur un marché réglementé Les admissions à la négociation sur un marché réglementé Les offres publiques Les émetteurs Champ d application rationae personae III - La rédaction du prospectus L obligation de rédiger un prospectus Le contenu du prospectus Format du prospectus Régime linguistique du prospectus IV - L approbation du prospectus V - La diffusion du prospectus et les communications promotionnelles Chapitre III - Opérations d initiés et manipulations de marché I - Introduction II - Champ d application de la directive «abus de marché» Champ d application ratione materiae Champ d application ratione loci III - Les opérations d initiés

12 622 TABLE DES MATIERES 1 - L information privilégiée La définition générale Les définitions particulières a) Instruments dérivés sur produits de base b) Personnes chargées de l exécution d ordres L initié L initié primaire L initié secondaire Les actes ou opérations prohibés Opérations sur les instruments financiers sur lesquels porte l information privilégiée Communications d informations privilégiées Recommandations à des tiers IV - Les manipulations de marché La notion de manipulation de marché L exception de légitimité V - Les mesures préventives des abus de marché et de la diffusion d informations privilégiées La publication des informations privilégiées Les travaux de recherches et les statistiques La dénonciation des opérations suspectes VI - Les mesures répressives et les sanctions Chapitre IV - Information et transparance I - Introduction II - Objet et champ d application de la directive «transparence» III - L information périodique Les rapports financiers annuels Les rapports financiers semestriels Déclarations intermédiaires de la direction IV - L information continue Informations concernant les participations importantes Notification et publication de l acquisition ou de la cession de participations importantes ou de pourcentages importants de droits de vote Détention d instruments dérivés d actions existantes Acquisition ou cession d actions propres Informations complémentaires Informations destinées aux détenteurs de valeurs mobilières V - Dispositions générales Régime linguistique Accès aux informations réglementées Autorités compétentes

13 TABLE DES MATIERES 623 Chapitre V - Blanchiment de capitaux et financement du terrorisme I - Introduction II - Des premiers pas de la lutte internationale contre le blanchiment de capitaux à l approche extensive de la deuxième et de la troisième directive européenne III - Le champ d aplication rationae materiae du dispositif La définition du blanchiment de capitaux La définition des infractions sous-jacentes au blanchiment de capitaux La définition du financement du terrorisme IV - Le champ d application rationae personae du dispositif Les établissements financiers visés Les professions non financières visées V - L obligation d identification de la clientèle et les devoirs de vigilance L obligation d identification du client et du bénéficiaire effectif L identification du client L identification du bénéficiaire effectif Les obligations de vigilance simplifiées Les obligations de vigilance renforcées Les opérations et relations nouées à distance Les relations transfrontalières de correspondant bancaire Les opérations et relations avec des personnes politiquement exposées L obligation de conservation des documents et pièces Le recours à des tiers pour l exécution des obligations de vigilance VI - L obligation de déclaration des transactions suspectes La création d une cellule de renseignements financiers Les modalités de la déclaration de soupçon Les dérogations liées au respect des droits de la défense La responsabilité liée à la déclaration de soupçon et l interdiction de divulgation VII - Mesures visant à la bonne exécution du dispositif Procédures internes et formation du personnel La surveillance du respect des obligations Les sanctions liées au non-respect des obligations VIII - Le Comité sur la prévention du blanchiment de capitaux et du financement du terrorisme CINQUIEME PARTIE - Les systèmes de paiement et de règlement-titres Introduction Chapitre I - Présentation générale Chapitre II - Définitions et concepts fondamentaux

14 624 TABLE DES MATIERES I - Les avoirs en compte II - Les acteurs financiers entre lesquels les avoirs en compte circulent habituellement III - Les différentes formes d arrangements standardisés permettant de transférer de l argent et des titres entre opérateurs financiers IV - Typologie des transactions sous-tendant les transferts Chapitre III - L approche «stabilité financière» Des standards internationaux à la directive «finalité» I - Les standards internationaux Introduction Les standards internationaux II - L approche de hard law : la directive «finalité» Introduction Champ d application La notion de système La notion de participant Dispositions protectrices de droit matériel La protection de la liquidation des transactions : finalité et irrévocabilité du netting et des ordres de transfert a) Problématique b) Protection conférée par la directive La protection des garanties au sein d un système Règles protectrices de droit international privé Application de la loi du système aux effets de la faillite d un participant sur ses droits et obligations dans le système a) Le règlement «insolvabilité» b) La directive «liquidation» Application de la loi du lieu où est tenu le compte-titre sur lequel une garantie est constituée en matière de garanties sur des titres inscrits en compte Chapitre IV - L approche «marché intérieur» I - Introduction II - Les services de paiement III - Les services de règlement-titres Remarque préliminaire Assurer la libre concurrence Créer un régime institutionnel harmonisé Renforcer la sécurité juridique des opérations (en ce compris transfrontières) des systèmes de règlement-titres Chapitre V - Perspectives d évolution future

15 TABLE DES MATIERES 625 Bibliographie Index des principaux textes d application Index alphabétique des matières Index chronologique de la jurisprudence Liste des abréviations Table des matières

Règlement grand-ducal du 18 décembre 2009 relatif aux taxes à percevoir par la Commission de surveillance du secteur financier.

Règlement grand-ducal du 18 décembre 2009 relatif aux taxes à percevoir par la Commission de surveillance du secteur financier. Ce texte a été élaboré par la CSSF à des fins d information ; seul le texte publié au Journal Officiel du Grand-Duché de Luxembourg fait foi. Règlement grand-ducal du 18 décembre 2009 relatif aux taxes

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DES FINANCES ET DES COMPTES PUBLICS Rapport au Président de la République relatif à l ordonnance n o 2015-378 du 2 avril 2015 transposant la directive

Plus en détail

La surveillance prudentielle du secteur financier

La surveillance prudentielle du secteur financier La surveillance prudentielle du secteur financier Chapitre VII Chapitre VI Chapitre V Chapitre IV Chapitre III Chapitre II Chapitre I Chapitre VII Chapitre VI Chapitre V Chapitre IV Chapitre III Chapitre

Plus en détail

Crowdfunding. Présentation conférence EIFR -18 décembre2014

Crowdfunding. Présentation conférence EIFR -18 décembre2014 Crowdfunding Présentation conférence EIFR -18 décembre2014 Marie-Agnès NICOLET Présidente fondatrice de Regulation Partners marieagnes.nicolet@regulationpartners.com +33.6.58.84.77.40 / +33.1.46.22.65.34

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DES FINANCES ET DES COMPTES PUBLICS Décret n o 2015-513 du 7 mai 2015 pris pour l application de l ordonnance n o 2015-378 du 2 avril 2015 transposant

Plus en détail

Commission de Surveillance du Secteur Financier

Commission de Surveillance du Secteur Financier COMMUNIQUE DE PRESSE 13/20 PUBLICATION DU RAPPORT D ACTIVITES 2012 DE LA COMMISSION DE SURVEILLANCE DU SECTEUR FINANCIER (CSSF) Même si cela peut paraître surprenant par des temps aussi mouvementés, l

Plus en détail

RECUEIL DE LEGISLATION. A N 275 28 décembre 2012. S o m m a i r e

RECUEIL DE LEGISLATION. A N 275 28 décembre 2012. S o m m a i r e MEMORIAL Journal Officiel du Grand-Duché de Luxembourg 4317 MEMORIAL Amtsblatt des Großherzogtums Luxemburg RECUEIL DE LEGISLATION A N 275 28 décembre 2012 S o m m a i r e Loi du 21 décembre 2012 portant

Plus en détail

L UNION BANCAIRE 1. LE MÉCANISME DE SURVEILLANCE UNIQUE (MSU) 1.1. PRÉPARATION

L UNION BANCAIRE 1. LE MÉCANISME DE SURVEILLANCE UNIQUE (MSU) 1.1. PRÉPARATION 1. L UNION BANCAIRE Dans la zone euro, l extension de la crise à certains marchés de dettes souveraines a illustré qu une union monétaire réclame, outre une coordination renforcée des politiques budgétaires

Plus en détail

Dispositif de vérification du niveau de connaissances minimales des acteurs des marchés financiers

Dispositif de vérification du niveau de connaissances minimales des acteurs des marchés financiers Certification professionnelle Dispositif de vérification du niveau de connaissances minimales des acteurs des marchés financiers Professionnels concernés et modalités de vérification Mai 2013 Sommaire

Plus en détail

Edition 2015. Nomenclatures d activités et de produits françaises NAF rév. 2 - CPF rév. 2.1 Section K Division 64

Edition 2015. Nomenclatures d activités et de produits françaises NAF rév. 2 - CPF rév. 2.1 Section K Division 64 Edition 2015 Nomenclatures d activités et de produits françaises NAF rév. 2 - CPF rév. 2.1 Section K Division 64 Section K : ACTIVITÉS FINANCIÈRES ET D ASSURANCE Cette section comprend les activités des

Plus en détail

Les planificateurs financiers

Les planificateurs financiers Les planificateurs financiers La nouvelle règlementation belge Par Christophe Steyaert Avocat Luxembourg, le 9 octobre 2014 1. Les objectifs de la nouvelle loi Ingénierie patrimoniale des «family offices»

Plus en détail

Table des matières. Schéma B Schéma C. Annexe II

Table des matières. Schéma B Schéma C. Annexe II Loi du 20 décembre 2002 concernant les organismes de placement collectif et modifiant la loi modifiée du 12 février 1979 concernant la taxe sur la valeur ajoutée, telle qu elle a été modifiée par la loi

Plus en détail

Les Recommandations du GAFI

Les Recommandations du GAFI NORMES INTERNATIONALES SUR LA LUTTE CONTRE LE BLANCHIMENT DE CAPITAUX ET LE FINANCEMENT DU TERRORISME ET DE LA PROLIFÉRATION Les Recommandations du GAFI février 2012 GROUPE D ACTION FINANCIÈRE Le Groupe

Plus en détail

La cotation Banque de France

La cotation Banque de France ENTREPRISES PROFESSION BANCAIRE La cotation Banque de France Guide de référence 2011 Une référence pour le dialogue entre la banque et l entreprise Sommaire LA COTATION BANQUE DE FRANCE 1.1. UNE COTATION

Plus en détail

«La commercialisation transfrontalière de produits et services financiers»

«La commercialisation transfrontalière de produits et services financiers» «La commercialisation transfrontalière de produits et services financiers» RAPPORT LUXEMBOURGEOIS Me Jean BRUCHER Me Nicolas BERNARDY BRUCHER & ASSOCIES 10, rue de Vianden, L-2680 Luxembourg Tél. : (352)

Plus en détail

LIFE MOBILITY. épargne patrimoniale

LIFE MOBILITY. épargne patrimoniale épargne patrimoniale LIFE MOBILITY evolution UN CONTRAT D ASSURANCE VIE ÉMIS AU GRAND-DUCHÉ DU LUXEMBOURG AU SERVICE DE LA MOBILITÉ PARCE QUE VOUS SOUHAITEZ Un contrat sur-mesure pour une stratégie patrimoniale

Plus en détail

Ratios. Règlementation prudentielle des OPCVM. Juin 2012 LE CADRE GÉNÉRAL RÈGLES GÉNÉRALES DE COMPOSITION DES ACTIFS ET RATIOS D INVESTISSEMENT

Ratios. Règlementation prudentielle des OPCVM. Juin 2012 LE CADRE GÉNÉRAL RÈGLES GÉNÉRALES DE COMPOSITION DES ACTIFS ET RATIOS D INVESTISSEMENT LE CADRE GÉNÉRAL Règlementation prudentielle des OPCVM RÈGLES GÉNÉRALES DE COMPOSITION DES ACTIFS ET RATIOS D INVESTISSEMENT Ratios RÈGLES APPLICABLES PAR CATÉGORIE D OPCVM Juin 2012 AUTRES RATIOS ANNEXES

Plus en détail

12 e journée d information

12 e journée d information 12 e journée d information des RCCI et desrcsi Jeudi 22 mars 2012 Palais des Congrès - Paris L actualité législative et réglementaire par les services de l AMF 12 12 e e 18 d information des des RCCI et

Plus en détail

TABLE DES MATIÈRES PRÉFACE CHAPITRE PREMIER L ORGANISATION DE LA PROFESSION, LE STATUT ET LE CONTRÔLE DES ÉTABLISSEMENTS DE CRÉDIT

TABLE DES MATIÈRES PRÉFACE CHAPITRE PREMIER L ORGANISATION DE LA PROFESSION, LE STATUT ET LE CONTRÔLE DES ÉTABLISSEMENTS DE CRÉDIT droit bancaire général 1 TABLE DES MATIÈRES Inhoud.............................................................. 27 Table alphabétique.................................................... 53 Zaakregister..........................................................

Plus en détail

Note à Messieurs les : Objet : Lignes directrices sur les mesures de vigilance à l égard de la clientèle

Note à Messieurs les : Objet : Lignes directrices sur les mesures de vigilance à l égard de la clientèle Alger, le 08 février 2015 Note à Messieurs les : - Présidents des Conseils d Administration ; - Présidents Directeurs Généraux ; - Directeurs Généraux ; - Présidents des Directoires ; - Directeur Général

Plus en détail

(Texte présentant de l'intérêt pour l'eee) vu le traité sur le fonctionnement de l Union européenne, et notamment son article 53, paragraphe 1,

(Texte présentant de l'intérêt pour l'eee) vu le traité sur le fonctionnement de l Union européenne, et notamment son article 53, paragraphe 1, 12.6.2014 Journal officiel de l Union européenne L 173/349 DIRECTIVE 2014/65/UE DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL du 15 mai 2014 concernant les marchés d instruments financiers et modifiant la directive

Plus en détail

ACCORD ENTRE LA COMMISSION BANCAIRE ET LA BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE

ACCORD ENTRE LA COMMISSION BANCAIRE ET LA BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE ACCORD ENTRE LA COMMISSION BANCAIRE ET LA BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE CONCERNANT LA COOPERATION RECIPROQUE ET L ECHANGE D INFORMATIONS POUR LE CONTROLE BANCAIRE ET PRUDENTIEL 1. Considérant que certaines

Plus en détail

TABLE DES MATIÈRES AVANT-PROPOS... 5 RÉFÉRENCES ABRÉGÉES À DES PUBLICATIONS FRÉQUEMMENT CITÉES... 7 INTRODUCTION... 9. Section 1

TABLE DES MATIÈRES AVANT-PROPOS... 5 RÉFÉRENCES ABRÉGÉES À DES PUBLICATIONS FRÉQUEMMENT CITÉES... 7 INTRODUCTION... 9. Section 1 TABLE DES MATIÈRES AVANT-PROPOS... 5 RÉFÉRENCES ABRÉGÉES À DES PUBLICATIONS FRÉQUEMMENT CITÉES... 7 Section 1 INTRODUCTION... 9 RISQUES ET ASSURANCE... 9 Section 2 HISTORIQUE... 11 Section 3 TECHNIQUE

Plus en détail

PARVEST WORLD AGRICULTURE Compartiment de la SICAV PARVEST, Société d Investissement à Capital Variable

PARVEST WORLD AGRICULTURE Compartiment de la SICAV PARVEST, Société d Investissement à Capital Variable Compartiment de la SICAV PARVEST, Société d Investissement à Capital Variable PARVEST World Agriculture a été lancé le 2 avril 2008. Le compartiment a été lancé par activation de sa part N, au prix initial

Plus en détail

Succès commercial avec la Russie Les 10 Principes de Base

Succès commercial avec la Russie Les 10 Principes de Base Succès commercial avec la Russie Les 10 Principes de Base Les 10 Principes de Base Introduction Tout d abord, une bonne nouvelle: vendre en Russie n exige en général pas plus de préparation ni d informations

Plus en détail

POLITIQUE DE GESTION DES CONFLITS D INTERETS D EXANE

POLITIQUE DE GESTION DES CONFLITS D INTERETS D EXANE POLITIQUE DE GESTION DES CONFLITS D INTERETS D EXANE 1. OBJET La présente politique vise à garantir la conformité D EXANE SA, EXANE DERIVATIVES, EXANE OPTIONS, EXANE LIMITED et leurs succursales concernées

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE L INDUSTRIE Arrêté du 4 avril 2012 portant approbation des programmes de formation des intermédiaires en opérations

Plus en détail

alpha sélection est une alternative à un placement risqué en actions et présente un risque de perte en capital, en cours de vie et à l échéance.

alpha sélection est une alternative à un placement risqué en actions et présente un risque de perte en capital, en cours de vie et à l échéance. alpha sélection alpha sélection est une alternative à un placement risqué en actions et présente un risque de perte en capital, en cours de vie et à l échéance. Instrument financier émis par Natixis (Moody

Plus en détail

L assurance vie luxembourgeoise pour investisseurs internationaux

L assurance vie luxembourgeoise pour investisseurs internationaux L assurance vie luxembourgeoise pour investisseurs internationaux 2 3 SOMMAIRE 4 L assurance vie luxembourgeoise pour investisseurs internationaux 4 Une orientation résolument internationale 6 Une protection

Plus en détail

FÉDÉRATION FRANÇAISE DES SOCIÉTÉS D'ASSURANCES

FÉDÉRATION FRANÇAISE DES SOCIÉTÉS D'ASSURANCES FÉDÉRATION FRANÇAISE DES SOCIÉTÉS D'ASSURANCES 26, boulevard Haussmann 75311 Paris Cedex 09 Téléphone : 01 42 47 90 00 - Télécopie : 01 42 47 93 11 - Internet : http://www.ffsa.fr 12 juillet 2007 Observations

Plus en détail

Mise en place du Mécanisme de Supervision Unique (MSU)

Mise en place du Mécanisme de Supervision Unique (MSU) Mise en place du Mécanisme de Supervision Unique (MSU) Mise en place du Mécanisme de Supervision Unique (MSU) 1. Le MSU est l un des piliers de l Union bancaire européenne 2. La mise en œuvre opérationnelle

Plus en détail

Table des matières. La responsabilité du prêteur et de l intermédiaire de crédit dans la phase pré-contractuelle... 5

Table des matières. La responsabilité du prêteur et de l intermédiaire de crédit dans la phase pré-contractuelle... 5 1 La responsabilité du prêteur et de l intermédiaire de crédit dans la phase pré-contractuelle........................... 5 Frédéric de Patoul avocat Introduction.....................................................................

Plus en détail

Ratios. Réglementation prudentielle des OPC. Juillet 2014 LE CADRE GÉNÉRAL RÈGLES GÉNÉRALES DE COMPOSITION DES ACTIFS ET RATIOS D INVESTISSEMENT

Ratios. Réglementation prudentielle des OPC. Juillet 2014 LE CADRE GÉNÉRAL RÈGLES GÉNÉRALES DE COMPOSITION DES ACTIFS ET RATIOS D INVESTISSEMENT LE CADRE GÉNÉRAL Réglementation prudentielle des OPC RÈGLES GÉNÉRALES DE COMPOSITION DES ACTIFS ET RATIOS D INVESTISSEMENT Ratios RÈGLES APPLICABLES PAR CATÉGORIE D OPC Juillet 2014 AUTRES RATIOS ANNEXES

Plus en détail

Commercialisation du 25 septembre au 19 décembre 2014 (12h00)

Commercialisation du 25 septembre au 19 décembre 2014 (12h00) Commercialisation du 25 septembre au 19 décembre 2014 (12h00) dans la limite de l'enveloppe disponible Batik Titres de créance présentant un risque de perte en capital en cours de vie et à l échéance*

Plus en détail

Janvier 2012. La notion de blanchiment

Janvier 2012. La notion de blanchiment Cellule de Traitement des Informations Financières Avenue de la Toison d Or 55 boîte 1 1060 Bruxelles Tél. : +32 2 533 72 11 Fax : +32 2 533 72 00 E-mail : info@ctif-cfi.be NL1156d La lutte contre le blanchiment

Plus en détail

Position recommandation AMF n 2006-23 Questions-réponses relatives au régime applicable aux conseillers en investissements financiers

Position recommandation AMF n 2006-23 Questions-réponses relatives au régime applicable aux conseillers en investissements financiers Position recommandation AMF n 2006-23 Questions-réponses relatives au régime applicable aux conseillers en investissements financiers Textes de référence : article L. 541-1 du code monétaire et financier

Plus en détail

GUIDE DU FINANCEMENT PARTICIPATIF (CROWDFUNDING) A DESTINATION DES PLATES-FORMES ET DES PORTEURS DE PROJET

GUIDE DU FINANCEMENT PARTICIPATIF (CROWDFUNDING) A DESTINATION DES PLATES-FORMES ET DES PORTEURS DE PROJET GUIDE DU FINANCEMENT PARTICIPATIF (CROWDFUNDING) A DESTINATION DES PLATESFORMES ET DES PORTEURS DE PROJET Selon les modalités de financement retenues, un opérateur de crowdfunding peut être soumis au respect

Plus en détail

Principes anti-blanchiment de Wolfsberg pour les banques correspondantes

Principes anti-blanchiment de Wolfsberg pour les banques correspondantes Principes anti-blanchiment de Wolfsberg pour les banques correspondantes 1 Préambule Le groupe de Wolfsberg d établissements financiers internationaux 1 s est accordé sur ces Principes qui constituent

Plus en détail

4. LA BANQUE CENTRALE DU LUXEMBOURG FACE AUX MESURES D ASSAINISSEMENT ET DE LIQUIDATION DES ETABLISSEMENTS DE CREDIT

4. LA BANQUE CENTRALE DU LUXEMBOURG FACE AUX MESURES D ASSAINISSEMENT ET DE LIQUIDATION DES ETABLISSEMENTS DE CREDIT 4. LA BANQUE CENTRALE DU LUXEMBOURG FACE AUX MESURES D ASSAINISSEMENT ET DE LIQUIDATION DES ETABLISSEMENTS DE CREDIT 4. LA BANQUE CENTRALE DU LUXEMBOURG FACE AUX MESURES D ASSAINISSEMENT ET DE LIQUIDATION

Plus en détail

Crowdfunding : Rêve ou réalité?

Crowdfunding : Rêve ou réalité? Crowdfunding : Rêve ou réalité? L encadrement du financement participatif : contrainte ou opportunité? Mardi 16 septembre 2014 Cinquième Matinale CCEF Cercle de l Union Interalliée (Paris) SOMMAIRE Le

Plus en détail

MONNAIE ET PAIEMENTS ELECTRONIQUES. A - Paiements électroniques. B - Monnaie électronique. Sommaire. I - Textes luxembourgeois

MONNAIE ET PAIEMENTS ELECTRONIQUES. A - Paiements électroniques. B - Monnaie électronique. Sommaire. I - Textes luxembourgeois COMMERCE ELECTRONIQUE - Monnaie et paiements électroniques 163 MONNAIE ET PAIEMENTS Sommaire A - Paiements électroniques I - Textes luxembourgeois 1. Loi du 14 août 2000 relative au commerce électronique

Plus en détail

Une information plus détaillée sur ce document est disponible sur demande écrite.

Une information plus détaillée sur ce document est disponible sur demande écrite. RESUME DE LA POLITIQUE DE PREVENTION ET DE GESTION DES CONFLITS D INTERETS DU GROUPE CREDIT AGRICOLE APPLIQUEE A LA CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE CHARENTE- PERIGORD 1) PRESENTATION Le Groupe Crédit

Plus en détail

Ce document constitue un outil de documentation et n engage pas la responsabilité des institutions

Ce document constitue un outil de documentation et n engage pas la responsabilité des institutions 2011O0014 FR 03.01.2013 001.001 1 Ce document constitue un outil de documentation et n engage pas la responsabilité des institutions B ORIENTATION DE LA BANQUE CENTRALE EUROPÉENNE du 20 septembre 2011

Plus en détail

Directive AIFM Le régime dépositaire 4 février 2013

Directive AIFM Le régime dépositaire 4 février 2013 Directive AIFM Le régime dépositaire 4 février 2013 Laurent Fessmann, Baker & McKenzie Luxembourg Sandrine Leclercq, Baker & McKenzie Luxembourg Anne Landier-Juglar, Caceis Baker & McKenzie Luxembourg

Plus en détail

La nouvelle architecture de contrôle du secteur financier

La nouvelle architecture de contrôle du secteur financier Communication _2011_15 du 23 mars 2011 La nouvelle architecture de contrôle du secteur financier Champ d'application: Tous les établissements soumis au contrôle de la ou du CREFS. Résumé/Objectifs: La

Plus en détail

REGLEMENTS FINANCIERS DE L AGIRC ET DE L ARRCO. (avril 2014)

REGLEMENTS FINANCIERS DE L AGIRC ET DE L ARRCO. (avril 2014) REGLEMENTS FINANCIERS DE L AGIRC ET DE L ARRCO (avril 2014) PREAMBULE REGLEMENT FINANCIER DE L AGIRC L Association générale des institutions de retraite des cadres (Agirc) a pour objet la mise en œuvre

Plus en détail

Présentation du rapport d activité 2012 du Pôle commun ACP/AMF

Présentation du rapport d activité 2012 du Pôle commun ACP/AMF Présentation du rapport d activité 2012 du Pôle commun ACP/AMF Natalie Lemaire Directrice des Relations avec les Epargnants, AMF et Coordinatrice des travaux du pôle commun ACP/AMF Conférence de Presse

Plus en détail

BANQUE CENTRALE EUROPÉENNE

BANQUE CENTRALE EUROPÉENNE 15.7.2014 FR Journal officiel de l'union européenne C 224/1 III (Actes préparatoires) BANQUE CENTRALE EUROPÉENNE AVIS DE LA BANQUE CENTRALE EUROPÉENNE du 5 février 2014 sur une proposition de directive

Plus en détail

l eri Communication à caractère promotionnel

l eri Communication à caractère promotionnel l eri Titres de créance présentant un risque de perte en capital en cours de vie et à l échéance. L investisseur supporte le risque de crédit de NATIXIS (Moody s : A2 / Fitch : A / Standard & Poor s :

Plus en détail

La question de l agrément des nouveaux établissements de paiement est, dans ce contexte, clef.

La question de l agrément des nouveaux établissements de paiement est, dans ce contexte, clef. 1 Le Pôle de compétitivité FINANCE INNOVATION a pour objectif de contribuer au développement de l innovation dans le secteur financier. A cet effet, il explore les voies et moyens pour faire émerger des

Plus en détail

Finlande. Extrait de : Statistiques bancaires de l'ocde : Notes méthodologiques par pays 2010

Finlande. Extrait de : Statistiques bancaires de l'ocde : Notes méthodologiques par pays 2010 Extrait de : Statistiques bancaires de l'ocde : Notes méthodologiques par pays 2010 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/bank_country-200-fr Merci de citer ce chapitre comme suit : OCDE

Plus en détail

CONSEILLER EN INVESTISSEMENTS FINANCIERS. 1. La définition de l activité des CIF

CONSEILLER EN INVESTISSEMENTS FINANCIERS. 1. La définition de l activité des CIF CONSEILLER EN INVESTISSEMENTS FINANCIERS 23/07/2012 La loi dite de sécurité financière du 1er août 2003 a donné un statut à l activité de conseil en investissements financiers (CIF) du fait de la complexité

Plus en détail

GLOSSAIRE. ASSURÉ Personne dont la vie ou la santé est assurée en vertu d une police d assurance.

GLOSSAIRE. ASSURÉ Personne dont la vie ou la santé est assurée en vertu d une police d assurance. GLOSSAIRE 208 RAPPORT ANNUEL 2013 DU MOUVEMENT DESJARDINS GLOSSAIRE ACCEPTATION Titre d emprunt à court terme et négociable sur le marché monétaire qu une institution financière garantit en faveur d un

Plus en détail

Vu la Loi n 1.165 du 23 décembre 1993 relative à la protection des informations nominatives, modifiée ;

Vu la Loi n 1.165 du 23 décembre 1993 relative à la protection des informations nominatives, modifiée ; DELIBERATION N 2015-04 DU 28 JANVIER 2015 DE LA COMMISSION DE CONTROLE DES INFORMATIONS NOMINATIVES PORTANT AUTORISATION A LA MISE EN ŒUVRE DU TRAITEMENT AUTOMATISE D INFORMATIONS NOMINATIVES AYANT POUR

Plus en détail

Addendum belge au prospectus d émission. Hermes Investment Funds Public Limited Company

Addendum belge au prospectus d émission. Hermes Investment Funds Public Limited Company Addendum belge au prospectus d émission Avril 2011 Hermes Investment Funds Public Limited Company (Société d investissement à compartiments multiples, à capital variable et à responsabilité séparée entre

Plus en détail

RENDEMENT ACTION BOUYGUES JUILLET 2015

RENDEMENT ACTION BOUYGUES JUILLET 2015 RENDEMENT ACTION BOUYGUES JUILLET 2015 Titres de créance présentant un risque de perte en capital en cours de vie et à l échéance 1 Durée d investissement conseillée : 8 ans (hors cas de remboursement

Plus en détail

ACTUALITÉS ASSURANCES & RISQUES FINANCIERS

ACTUALITÉS ASSURANCES & RISQUES FINANCIERS Le pôle Assurances du cabinet Lefèvre Pelletier & associés vous souhaite une très bonne année 2009 ainsi qu une agréable lecture de cette troisième Newsletter. Assurances Assurance en général Assurance

Plus en détail

TABLEAU DE SUIVI DES CONSULTATIONS

TABLEAU DE SUIVI DES CONSULTATIONS TABLEAU DE SUIVI DES CONSULTATIONS lancement Consultation Emetteur clôture Réponse AMAFI (Réf. / date) Consultations en cours 18/02/15 Consultation sur la revue de la Directive Prospectus 13/05/15 18/02/15

Plus en détail

3. LE LIVRE BLANC SUR LE MARCHE UNIQUE

3. LE LIVRE BLANC SUR LE MARCHE UNIQUE 3. LE LIVRE BLANC SUR LE MARCHE UNIQUE DES FONDS D INVESTISSEMENT ET LES IMPACTS PREVISIBLES POUR LES EPARGNANTS-INVESTISSEURS FRANÇAIS ÉTUDE REALISEE PAR EUROFI POUR LE COMITE CONSULTATIF DU SECTEUR FINANCIER

Plus en détail

Financement participatif «CrowdFunding» Où en sommes-nous au Canada?

Financement participatif «CrowdFunding» Où en sommes-nous au Canada? Financement participatif «CrowdFunding» Où en sommes-nous au Canada? Me Jacques Lemieux, MBA Associé Norton Rose Fulbright Canada S.E.N.C.R.L., s.r.l. 20 mars 2015 : Centre d entreprises et d innovation

Plus en détail

TABLE DES MATIÈRES CHAPITRE

TABLE DES MATIÈRES CHAPITRE TABLE DES MATIÈRES 1 Introduction au droit des contrats... 1 I. La notion d obligation... 1 A. Les caractères de l obligation... 1 B. Les sources des obligations... 2 C. La typologie des obligations...

Plus en détail

TABLE DES MATIÈRES Volume I TABLES LOI SUR LA FAILLITE ET L INSOLVABILITÉ (PARTIES I À V) NOTIONS GÉNÉRALES

TABLE DES MATIÈRES Volume I TABLES LOI SUR LA FAILLITE ET L INSOLVABILITÉ (PARTIES I À V) NOTIONS GÉNÉRALES Volume I Introduction................................................................... iii Remerciements................................................................ v TABLES Table de la jurisprudence........................................................

Plus en détail

RCS Lyon 504 011 388

RCS Lyon 504 011 388 Participations ISF : 62 rue de Bonnel 69003 Lyon 04 78 27 43 06 RCS Lyon 504 011 388 SYNTHESE Objectif de l investissement : L objectif est de proposer à des PME en phase de croissance d apporter des fonds

Plus en détail

Charte de Qualité sur l assurance vie

Charte de Qualité sur l assurance vie Charte de Qualité sur l assurance vie PRÉAMBULE La présente Charte de Qualité sur l assurance vie s'inspire largement de la Charte de Qualité ICMA Private Wealth Management, qui présente les principes

Plus en détail

La lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme

La lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme SEPTEMBRE 2015 HORS-SÉRIE LES MINI-GUIDES BANCAIRES www.lesclesdelabanque.com Le site pédagogique sur la banque et l argent La lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme Ce

Plus en détail

OBJECTIF DU GUIDE 1-L ENCADREMENT JURIDIQUE DES ACTIVITES D ASSURANCE

OBJECTIF DU GUIDE 1-L ENCADREMENT JURIDIQUE DES ACTIVITES D ASSURANCE OBJECTIF DU GUIDE Présenter au public et en particulier aux investisseurs, les règles de constitution et de fonctionnement des organismes d assurance. Arrêté n 2005-0773 du 14 décembre 2005 fixant les

Plus en détail

Les compartiments Wealth de BNP PariBas Portfolio foff

Les compartiments Wealth de BNP PariBas Portfolio foff Les compartiments Wealth de BNP PariBas Portfolio foff Document promotionnel Juin 2015 Wealth Stability et Wealth Balanced: compartiments de la sicav de droit luxembourgeois BNP PariBas Portfolio fof Votre

Plus en détail

Total Sélection Période de souscription : Durée d investissement conseillée Éligibilité

Total Sélection Période de souscription : Durée d investissement conseillée  Éligibilité Total Sélection Instrument financier émis par Natixis SA (Moody s : A2, Fitch : A, Standard & Poor s : A au 20 novembre 2014) dont l investisseur supporte le risque de crédit. Total Sélection est une alternative

Plus en détail

La réglementation de l assurance vie au Grand-Duché de Luxembourg

La réglementation de l assurance vie au Grand-Duché de Luxembourg La réglementation de l assurance vie au Grand-Duché de EFE Rendez-vous annuel de l assurance vie - Hôtel Westminster 13/12/2012 Marc Gouden & Pierre MOREAU Partners Avocats aux Barreaux de et de Quelques

Plus en détail

4,50 % Obligation Crédit Mutuel Arkéa Mars 2020. par an (1) pendant 8 ans. Un placement rémunérateur sur plusieurs années

4,50 % Obligation Crédit Mutuel Arkéa Mars 2020. par an (1) pendant 8 ans. Un placement rémunérateur sur plusieurs années Obligation Crédit Mutuel Arkéa Mars 2020 4,50 % par an (1) pendant 8 ans Souscrivez du 30 janvier au 24 février 2012 (2) La durée conseillée de l investissement est de 8 ans. Le capital est garanti à l

Plus en détail

Transferts. Nombre de titres 33.599 Echéance maximale moyenne Cours moyen de la 86,38 transaction Prix d exercice moyen Montants 2.902.

Transferts. Nombre de titres 33.599 Echéance maximale moyenne Cours moyen de la 86,38 transaction Prix d exercice moyen Montants 2.902. VICAT Société Anonyme au capital de 62.361.600 euros Siège social : Tour MANHATTAN 6 place de l Iris 92095 PARIS LA DEFENSE CEDEX 057 505 539 RCS Nanterre NOTE D INFORMATION RELATIVE A L AUTORISATION DEMANDEE

Plus en détail

AUX COOPÉRATIVES D ÉPARGNE ET DE CRÉDIT AUX FÉDÉRATIONS DE COOPÉRATIVES D ÉPARGNE ET DE CRÉDIT

AUX COOPÉRATIVES D ÉPARGNE ET DE CRÉDIT AUX FÉDÉRATIONS DE COOPÉRATIVES D ÉPARGNE ET DE CRÉDIT AUX COOPÉRATIVES D ÉPARGNE ET DE CRÉDIT ET AUX FÉDÉRATIONS DE COOPÉRATIVES D ÉPARGNE ET DE CRÉDIT Les présentes lignes directrices résument les principales obligations légales auxquelles sont assujetties

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L ÉCONOMIE ET DES FINANCES Ordonnance n o 2014-158 du 20 février 2014 portant diverses dispositions d adaptation de la législation au droit de

Plus en détail

Référentiel d'évaluation du système de contrôle interne auprès des établissements de crédit

Référentiel d'évaluation du système de contrôle interne auprès des établissements de crédit Annexe Circulaire _2009_19-1 du 8 mai 2009 Référentiel d'évaluation du système de contrôle interne auprès des établissements de crédit Champ d'application: Commissaires agréés. Réglementation de base Table

Plus en détail

Nature et risques des instruments financiers

Nature et risques des instruments financiers 1) Les risques Nature et risques des instruments financiers Définition 1. Risque d insolvabilité : le risque d insolvabilité du débiteur est la probabilité, dans le chef de l émetteur de la valeur mobilière,

Plus en détail

TOTAL S.A. Siège Social : 2, place Jean Millier La Défense 6-92400 Courbevoie 542 051 180 RCS Nanterre Capital Social de 5 945 861 837.

TOTAL S.A. Siège Social : 2, place Jean Millier La Défense 6-92400 Courbevoie 542 051 180 RCS Nanterre Capital Social de 5 945 861 837. TOTAL S.A. Siège Social : 2, place Jean Millier La Défense 6-92400 Courbevoie 542 051 180 RCS Nanterre Capital Social de 5 945 861 837.50 COMMUNIQUE Paris, le 17 septembre 2014 TOTAL S.A. met en œuvre

Plus en détail

Réformes européennes et stabilité financière

Réformes européennes et stabilité financière Réformes européennes et stabilité financière 3/04/2012 Martin MERLIN Chef d'unité DG Marché intérieur et services Causes de la crise financière de 2007-2008 Déséquilibres macro-économiques Lacunes réglementaires

Plus en détail

NE PAS DIFFUSER AUX ETATS UNIS, AU CANADA, EN AUSTRALIE OU AU JAPON

NE PAS DIFFUSER AUX ETATS UNIS, AU CANADA, EN AUSTRALIE OU AU JAPON Modalités principales de l émission des obligations à option de conversion et/ou d échange en actions Nexans nouvelles ou existantes (OCEANE) sans droit préférentiel de souscription ni délai de priorité

Plus en détail

OPÉRATIONS INDIVIDUELLES POLICE D ABONNEMENT

OPÉRATIONS INDIVIDUELLES POLICE D ABONNEMENT ASSURANCE CHANGE EXPORT OPÉRATIONS INDIVIDUELLES POLICE D ABONNEMENT ENVI TYPE 15-01 CONTRAT CONDITIONS GÉNÉRALES SOMMAIRE Préambule page 04 Chapitre I - Définitions page 05 Chapitre II - Principes généraux

Plus en détail

1. Qu est-ce que MiFID (Markets in Financial Instruments Directive)?

1. Qu est-ce que MiFID (Markets in Financial Instruments Directive)? 1. Qu est-ce que MiFID (Markets in Financial Instruments Directive)? 2. Afin de fournir un service d investissement à ses clients, Delta Lloyd Bank est tenue de catégoriser ses clients 3. L un des fondements

Plus en détail

OCRCVM Règles des courtiers membres Règle 2800 (auparavant le Principe directeur n o 5 de l ACCOVAM)

OCRCVM Règles des courtiers membres Règle 2800 (auparavant le Principe directeur n o 5 de l ACCOVAM) OCRCVM Règles des courtiers membres Règle 2800 (auparavant le Principe directeur n o 5 de l ACCOVAM) CODE DE CONDUITE À L INTENTION DES SOCIÉTÉS RÉGLEMENTÉES PAR L OCRCVM QUI NÉGOCIENT SUR LES MARCHÉS

Plus en détail

IMPORTANT : Vous devrez joindre ce QCM complété à votre devoir écrit (cas pratique) CAISSE DES DEPOTS ET CONSIGNATIONS

IMPORTANT : Vous devrez joindre ce QCM complété à votre devoir écrit (cas pratique) CAISSE DES DEPOTS ET CONSIGNATIONS IMPORTANT : Vous devrez joindre ce QCM complété à votre devoir écrit (cas pratique) CAISSE DES DEPOTS ET CONSIGNATIONS CONCOURS INTERNE D ASSISTANT TECHNIQUE des 18 et 19 décembre 2006 Document n 2 8 pages

Plus en détail

Type d assurance-vie. Garanties Garanties principales :

Type d assurance-vie. Garanties Garanties principales : Fiche Info Financière assurance-vie pour des assurances liées à des fonds d investissement Optilife 2 Luxembourg Type d assurance-vie Garanties Garanties principales : Optilife 2 Luxembourg est un contrat

Plus en détail

ALMA CAPITAL INVESTMENT FUNDS

ALMA CAPITAL INVESTMENT FUNDS ALMA CAPITAL INVESTMENT FUNDS Société d'investissement à capital variable PROSPECTUS Janvier 2014 VISA 2014/92763-7340-0-PC L'apposition du visa ne peut en aucun cas servir d'argument de publicité Luxembourg,

Plus en détail

Rév. 2014-02. Ligne directrice 6G : Tenue de documents et vérification de l identité des clients Entités financières

Rév. 2014-02. Ligne directrice 6G : Tenue de documents et vérification de l identité des clients Entités financières Rév. 2014-02 Ligne directrice 6G : Tenue de documents et vérification de l identité des clients Entités financières Ligne directrice 6G : Tenue de documents et vérification de l identité des clients Entités

Plus en détail

PROJET DE LOI PORTANT REFORME BANCAIRE ET FINANCIERE

PROJET DE LOI PORTANT REFORME BANCAIRE ET FINANCIERE PROJET DE LOI PORTANT REFORME BANCAIRE ET FINANCIERE TITRE I ER SEPARATION DES ACTIVITES UTILES AU FINANCEMENT DE L ECONOMIE DES ACTIVITES SPECULATIVES Article 1 er A la section 7 du chapitre premier du

Plus en détail

Fonds Commun de Placement dans l Innovation. innovation pluriel 2. Les atouts de la multigestion au service de vos placements en FCPI

Fonds Commun de Placement dans l Innovation. innovation pluriel 2. Les atouts de la multigestion au service de vos placements en FCPI Fonds Commun de Placement dans l Innovation Fcpi innovation pluriel 2 Les atouts de la multigestion au service de vos placements en FCPI Qu est-ce qu un FCPI? Créé par la Loi de finances de 1997, le Fonds

Plus en détail

Fonds de placement en Suisse. Définitions Fonctionnement Poids économique OMPACT

Fonds de placement en Suisse. Définitions Fonctionnement Poids économique OMPACT Fonds de placement en Suisse Définitions Fonctionnement Poids économique OMPACT Table des matières Page Avant-propos 3 Définitions 4 Fonctionnement d un fonds de placement 6 Caractéristiques des fonds

Plus en détail

L Europe bancaire et financière M2 Politiques européennes

L Europe bancaire et financière M2 Politiques européennes L Europe bancaire et financière M2 Politiques européennes Delphine Lahet Introduction 1. Définitions des concepts et de l environnement réglementaire a. Concepts : les acteurs, les évolutions des métiers

Plus en détail

La cotation Banque de France

La cotation Banque de France ENTREPRISES PROFESSION BANCAIRE La cotation Banque de France Guide de référence 2007 Une référence pour le dialogue entre la banque et l entreprise Sommaire LA COTATION BANQUE DE FRANCE 1.1. UNE NOTE DE

Plus en détail

951.312 Ordonnance de l Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers sur les placements collectifs de capitaux

951.312 Ordonnance de l Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers sur les placements collectifs de capitaux Ordonnance de l Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers sur les placements collectifs de capitaux (Ordonnance de la FINMA sur les placements collectifs, OPC-FINMA) du 27 août 2014 (Etat

Plus en détail

FCPE EP ECHIQUIER PATRIMOINE. Notice d Information

FCPE EP ECHIQUIER PATRIMOINE. Notice d Information FCPE EP ECHIQUIER PATRIMOINE Fonds Commun de Placement d Entreprise (FCPE) - Code valeur : 990000097559 Compartiment oui non Nourricier oui non Notice d Information Un Fonds Commun de Placement d Entreprise

Plus en détail

Règlement de Gestion. Legg Mason Global Funds FCP (Luxembourg)

Règlement de Gestion. Legg Mason Global Funds FCP (Luxembourg) Règlement de Gestion Legg Mason Global Funds FCP (Luxembourg) Fonds commun de placement à compartiments («Compartiments») multiples de droit luxembourgeois Juillet 2011 Legg Mason Global Funds FCP (Luxembourg),

Plus en détail

Investissement immobilier: la fin des SCPI?

Investissement immobilier: la fin des SCPI? Investissement immobilier: la fin des SCPI? La SCPI figure comme le premier véhicule structuré d investissement en immobilier. A l origine de ces investissements, des sociétés civiles se sont développées

Plus en détail

PROJET DE DÉCRET n ------ Publics concernés : administrés dans leurs relations avec l administration.

PROJET DE DÉCRET n ------ Publics concernés : administrés dans leurs relations avec l administration. RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère et des finances et des comptes publics PROJET DE DÉCRET n du relatif aux exceptions à l application du principe «silence vaut accord» sur le fondement du II de l article

Plus en détail

Impacts de la réglementation sur le métier d IOBSP

Impacts de la réglementation sur le métier d IOBSP Impacts de la réglementation sur le métier d IOBSP Marie-Agnès NICOLET Regulation Partners Présidente fondatrice 35, Boulevard Berthier 75017 Paris marieagnes.nicolet@regulationpartners.com +33.6.58.84.77.40

Plus en détail

Les chartes de France Investissement

Les chartes de France Investissement Les chartes de France Investissement Introduction : le dispositif France Investissement Les PME les plus dynamiques ou à fort potentiel de croissance apportent une contribution essentielle au développement

Plus en détail

Lignes directrices relatives à la relation d affaires et au client occasionnel

Lignes directrices relatives à la relation d affaires et au client occasionnel Avril 2012 Lignes directrices relatives à la relation d affaires et au client occasionnel Document de nature explicative (Version actualisée avec mise à jour des dispositions législatives et réglementaires

Plus en détail

REGLEMENT GENERAL RELATIF A L ORGANISATION AU FONCTIONNEMENT ET AU CONTROLE DU MARCHE FINANCIER REGIONAL DE L UEMOA

REGLEMENT GENERAL RELATIF A L ORGANISATION AU FONCTIONNEMENT ET AU CONTROLE DU MARCHE FINANCIER REGIONAL DE L UEMOA UNION MONETAIRE OUEST AFRICAINE - CONSEIL REGIONAL DE L'EPARGNE PUBLIQUE ET DES MARCHES FINANCIERS REGLEMENT GENERAL RELATIF A L ORGANISATION AU FONCTIONNEMENT ET AU CONTROLE DU MARCHE FINANCIER REGIONAL

Plus en détail

Situation du secteur des assurances en Haïti et les perspectives d avenir

Situation du secteur des assurances en Haïti et les perspectives d avenir MINISTERE DE L ECONOMIE ET DES FINANCES (MEF) UNITE DE CONTRÔLE ET DE SUPERVISION DES ASSURANCES (UCSA) Situation du secteur des assurances en Haïti et les perspectives d avenir Présenté par : Raoul TRIBIE

Plus en détail