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1 Ministère de la Promotion, République du Mali de la Femme de l Enfant *************** et de la Famille Un Peuple Un But Une Foi *************** Direction Nationale de la Promotion de la Femme *************** Projet de Renforcement des Capacités des Organisations Féminines du Mali (RECOFEM) ************** BAMAKO RAPPORT DE L ATELIER DU 30 AU 31 MAI 2007 F E M M E E T C R É D I T Centre Aoua Keita Bamako Ladji SAMAKE, Coordinateur Adjoint CPA/SFD Souleymane SOUMARE, Expert Ntic RECOFEM Juin

2 SOMMAIRE I. Introduction 2 II. GROUPE-CIBLE 2 III. DUREE 2 IV. Objectifs 3 V. Résultats attendus 3 VI. DEROULEMENT DES ACTIVITES DE L ATELIER 4 a) Information/Echanges sur les opportunités de crédits 4 VII. Recommandations et conclusion 12

3

4 I. Introduction Le Ministère de la Promotion de la Femme de l Enfant et de la Famille à travers le RECOFEM et avec l appui financier de l ACBF, a organisé un atelier «Femme et crédit»du 30 au 31 mai 2007 au Centre Aoua Keita de Bamako. Il y a lieu de rappeler qu au mali,l accès des femmes au crédit est de plus en plus considéré comme facteur de promotion économique et sociale de la femme. Cependant l impact de ce crédit sur l épanouissement socio-économique des femmes reste en deçà des attentes dans la plupart des cas. Car les systèmes de crédit en place ne permettent pas aux femmes d avoir une marge bénéficiaire conséquente pour rembourser,faire prospérer leurs affaires ; les crédits n étant pas souvent adaptés aux besoins réels des femmes. Aussi de nombreuses femmes sont sociétaires dans ces systèmes de crédit en place mais elles sont rares d une manière générale dans les instances de décision et de gestion ; ce qui ne favorise pas la prise en compte de leurs préoccupations. Nonobstant ce tableau non reluisant de l accès des femmes au crédit, des opportunités existent pour améliorer cette situation pourvu que les femmes en soient informées. C est pourquoi le présent atelier a été organisé en vue de fournir aux participants le maximum d information relative aux opportunités d accès au crédit qui sont en train de se développer. II. GROUPE-CIBLE Le présent atelier a réuni des femmes leaders, des banquiers, des responsables des institutions, experts et praticiens de micro finance. Les participants à l atelier sont venus de 30 organisations et associations différentes et représentant diverses expériences en matière d offre de service financier aux populations défavorisées. Il faut rappeler que l ensemble de ces organisations s inscrivent dans la dynamique de lutte contre la pauvreté, pour sortir les populations notamment les femmes de leur situation de précarité par l offre de services financiers de proximité. (Liste des participants en annexe 1). III. DUREE Le programme (voir en annexe 2)de l atelier s est étalé sur deux (2) jours de communication et de débats animés par Monsieur Ladji SAMAKE

5 Coordinateur adjoint du Centre d'appui des Systèmes Financiers Décentralisés. Il était assisté dans ce rôle par Madame Keita Fatoumata Cissoko BDM s.a IV. Objectifs Le présent atelier permettra d enclencher la dynamique d un processus de plaidoyer pour améliorer les conditions d accès des femmes au crédit à travers l institutionnalisation de système de crédit alternatif adapté à la situation des femmes au Mali. Objectifs spécifiques Le présent atelier permettra aux participants de: - Echanger et informer sur la problématique de l accès des femmes au crédit. - Faire l état des lieux des systèmes de crédit existants (système bancaire classique, système de crédit décentralisé, le système de crédit des organisations de développement) en dégageant les forces et limites par rapport aux femmes. - Avoir des informations sur les opportunités de crédits alternatifs. - Formuler des propositions de solutions permettant aux femmes d améliorer l impact du crédit sur leurs conditions d existence. V. Résultats attendus - Les différents acteurs ont échangé sur la problématique de l accès des femmes au crédit. - les femmes ont été informées des opportunités de crédits alternatifs. - des propositions de solutions ainsi que des argumentaires pour plaidoyer ont été formulés. 3

6 VI. DEROULEMENT DES ACTIVITES DE L ATELIER a) Information/Echanges sur les opportunités de crédits Les travaux de l atelier ont commencé par des exposés sommaires suivant l ordre ci-après : -Communication de Monsieur Lamine Diallo Coordonnateur du Projet d Appui aux Sources de Croissance : Monsieur Diallo a développé les missions et objectifs du projet : Le projet a pour objectif d accroître de façon significative le volume des investissements privés, domestiques et étrangers, et de favoriser le développement des petites et moyennes entreprises. Afin d'atteindre l'objectif, le projet prévoit sur une durée de 5 ans d'évaluer, de financer et de mettre en œuvre différentes actions qui visent à: i. améliorer le cadre légal et réglementaire, renforcer les capacités institutionnelles et moderniser le climat des investissements de manière à accroitre le taux et l'efficacité des investissements. Renforcer le cadre de concertation Etat/Secteur privé avec le Conseil Présidentiel pour l'investissement (CPI). L'amélioration du cadre général porte sur la gouvernance économique et la réduction des contraintes administratives; l'évaluation de la fiscalité des entreprises et l'incitation à l'investissement. Pour les cadres sectoriels: artisanat et tourisme, télécommunications, mines. ii. Développement des infrastructures Contribuer à la réalisation de la Zone Industrielle du pôle de croissance économiques de Bamako Sénou, améliorer l'aéroport international de Sénou et la zone de Fret, assister le Gouvernement pour la mise en concession de l'aéroport, réaliser les études de la zone industrielle de Dialakorobougou. La réalisation de la zone industrielle s'inscrit dans le cadre de la création d'infrastructures minimales de support et de la croissance, modernes et compétitives, au sein desquelles les coûts des facteurs de production (énergie, eau, téléphone, internet) seront compétitifs. La zone industrielle comprend un village artisanal de perfectionnement professionnel. Contribuer à la réalisation d'infrastructures spécifiques dans les secteurs: Communication et Nouvelles Technologies: développement de l'accès des TIC en zone rurale. 4

7 Artisanat et Tourisme: restauration et valorisation de l'architecture traditionnelle des sites de Djenné, Mopti et Pays Dogon, accroissement des structures d'accueil ( campements villageois), aménagement des sites, réhabilitation et équipement de la tissuthèque. Mines: promotion du développement des petites mines par la création d'unités pilotes de démonstration pour la production d'or et de pierres précieuses, diversification des produits miniers et promotion des filières porteuses, soutien à la production minière. - Développent des services financiers susceptibles d'améliorer l'accès des entreprises au financement, et non financiers pour améliorer les performances des petites et moyennes entreprises, par la création d'un fonds d'appui conseil aux entreprises. -Communication de Monsieur Ladji SAMAKE, Coordinateur adjoint du Centre d'appui des Systèmes Financiers Décentralisés (CPA/SFD) : Il a fait un bref aperçu des principales questions de micro finance à savoir: Définitions de concepts: la micro finance, le micro-credit. Types d'organisation en micro-finance: le système de crédit solidaire (exemple de la Grammen Bank), les institutions mutualistes et coopératives d'épargne et de crédit, les CVECA ( comme au pays dogon et malinké), les sociétés anonymes SA (par exemple au nord du Mali. Impact de la micro fiance: impact sur la situation économique et sociale des clients: autonomie des femmes. Impact plus Global Micro-finance et la lutte contre la pauvreté Préalable a la création d'une institution de micro-finance caractérisation du contexte public cible et les produits proposés type d'organisation à créer 5

8 Démarche pour l'implantation d'une caisse mutuelle d'épargne et de crédit. Choix d'un site d'implantation de la mutuelle à la suite d'une étude de faisabilité. Sensibilisation des populations (organiser une ou plusieurs assemblées générales). Mise en place de la mutuelle. Démarche et suivi des opérations Pour être agréer une institution de base doit constituer un dossier comprenant les pièces suivantes: 1) la demande d'agrément, 2) le procès verbal de l'ag constitutive, 3) les exemplaires des statuts dûment signés par chacun des fondateurs de l'institution, 4) les pièces attestant les versements effectués au titre des souscriptions au capital, 5) les noms adresses, professions des membres des organes de l'administration et de gestion ou de contrôle avec l'extrait de leurs casiers judiciaires, 6) l'évaluation des moyens humains financiers et technique au regard des objectifs et des besoins, 7) les états prévisionnels pour la première année des opérations de l'institution, de l'actif et du passif ainsi que du résultat, 8) les règles de procédures comptables et financières. -Communication de Monsieur Bakary SINGARE, Responsable des Etudes et des Opérations «Fonds de Développement Economique : Conditions d accès». Dans son intervention Mr Singaré a présenté son institution et a fait le point sommaire des conditions liées à l accès à la ligne de crédit BOAD gérée par son institution. 6

9 -Communication de Madame Keita Mamou N'Diaye de la Banque Malienne de Solidarité (BMS s.a) Elle a fourni de larges informations relatives à la problématique de l'accès des femmes au crédit: expérience de la BMS- SA. Dans son exposé elle a souligné les concours de la BMS -sa aux femmes. Ainsi l'inventaire des prêts au 31 décembre 2006 fait ressortir que les interventions de la BMS-sa en matière de crédit ont concerné sa clientèle cible à 90% en nombre de dossiers, et à plus de 85% en montant accordé a cette date: femmes ont bénéficié de concours direct à titre individuel (entreprises individuelles, salariées, retraitées, pensionnaires) pour environ un milliard cinq cent millions, - environ 30 associations de femmes ont bénéficié de prêt pour 500 millions, - 70 associations regroupant à la fois les hommes et les femmes ont bénéficié de prêt pour un montant de 900 millions de FCFA. - Environ une cinquantaine de femmes opérant dans le secteur des BTP et autres services bénéficient de cautions et d'autres engagements par signature pour environ cinq cent millions. Le mécanisme de partenariat avec quelques ONG nationales mis en place par la BMS-sa est un élément de facilitation dans les opérations avec les femmes. Malgré les imperfections constatées aujourd'hui dans les prestations de quelques unes, ces ONG jouent le rôle de Conseillers d'entreprises pour les projets financés surtout dans les zones éloignées de Bamako. Elles parviennent ainsi à assurer le remboursement de la Banque moyennant un coût reparti entre celle ci et le client. Instrument financier de développement orienté vers une clientèle à revenu faible, dont les femmes constituent une majeure partie, la Banque Malienne de Solidarité ne s'adresse aux riches que pour collecter leur épargne en vue de son recyclage en faveur des pauvres. Elle a vocation de faciliter et de soutenir l'émergence et le développement des Petites et Moyennes Entreprises. Elle répond ainsi à leurs besoins de financement qui ne sont pas couverts par les Banques commerciales de la place. D'autre part les projets initiés par les femmes en majorité exigent un encadrement en appui conseil en raison de leurs niveaux d'instruction peu élevés et du manque de professionnalisme pour la plupart. 7

10 Aussi cette classe d'entrepreneurs pour mieux gérer les affaires et assurer le remboursement du prêt contracté a besoin d'un suivi de proximité et d'appui conseil. Il est par conséquent souhaitable que la BMS-SA puisse disposer de Lignes de Crédit appropriées pour mieux répondre aux besoins en financement de cette cible importante, Elle doit être dotée en même de moyens de suivi efficace à moindre coût, afin de lui permettre de s'impliquer d'avantage dans le financement des projets initiés par les femmes pour une prise en compte efficiente de la dimension genre dans le processus de développement économique et social. -Communication de Madame Fatoumata Coulibaly, Directrice générale de Layidu Wari( INSTITUTION DE CREDIT SOLIDAIRE au service du développement socio-économique de la femme). Son intervention (voir détail en annexe3) était axée sur les points suivants : - la typologie des IMF ; - les statistiques sur le genre ; - quelques données ; - le concept de crédit solidaire ; - la présentation de Layidu Wari ; - les résultats atteints ; - les contraintes actuelles ; - les perspectives ; - les défis majeurs. -Communication de Madame Traoré Hawa Ali Directrice de APROFEM. Après avoir présenté sommairement l APROFEM ( notamment la vision, la mission, les domaines d intervention et la logique d intervention de l ONG), la Directrice a mis l accent sur l expérience de crédit de son organisation. Le «programme d appui aux activités économiques dans les communes V et VI du District de Bamako» initié et exécuté par l ONG APROFEM sur financement d un partenaire Néerlandais CORDAID, s inscrit dans la lutte contre la pauvreté au Mali et principalement la pauvreté urbaine ; les cibles visés sont les femmes. Ce programme qui vise à promouvoir des activités économiques rentables et durables pour les femmes promotrices qu elles soient regroupées au sein d une association ou évoluant seules s articule autour de quelques axes : 8

11 - l information des promotrices sur les activités et les secteurs d activités rentables ; - le renforcement des capacités ; - l intermédiation financière. En effet, c est pour que les femmes puissent accéder facilement à des fonds pour le financement de leurs activités que la SNV/ Bamako en son temps a signé un protocole de partenariat avec le réseau nyèsigiso pour la mise à disposition d une ligne de crédit. Un fond de garantie d un montant de Fcfa fut déposé à cet effet et nyèsigiso a mit à la disposition de trois structures (APROFEM, GRIDAC et GUAMINA) une ligne de crédit de Les caractéristiques du produit sont : - 18% de taux d intérêt ; - 10% d apport personnel sur le montant demandé; - 3% de frais de cautionnement ; - 2 % de frais de montage de dossier ; - 40% de garantie matérielle. Résultats obtenus à partir du crédit : 161 femmes /promotrices financées Un montant total de financement s élevant à F CFA Le montant minimal des prêts : et le maximum F CFA Taux de remboursement à 94,64%. Les principales activités financées : teinture, commerce, fabrication de savon, restauration, tissage, transformation agroalimentaire, salon de coiffure etc. Nous avons pu constater chez certaines femmes un changement positif dans les conditions de vie (situation alimentaire, cadre de vie, santé, statut dans le foyer et des rapports plus respectueux avec le mari) ; 9

12 Rôle de l ONG dans la gestion du crédit : - négociation avec l institution financière sur les meilleures conditions d accessibilité du produit (à la limite de nos moyens) ; - l information des femmes sur le système de crédit et les attitudes à prendre face au crédit ; - la conduite des études de faisabilité des activités ; - le montage des dossiers de crédit ; - le suivi des promotrices et les appuis conseil ; - le renforcement des capacités ; - le suivi du remboursement des crédits. Les leçons tirées de cette expérience : - le suivi et l encadrement d un promoteur sont déterminants dans sa capacité à rembourser ; - les crédits destinés aux femmes ont les taux de remboursement les plus élevés ; - les caisses à la différence des banques sont les lieux appropriés pour l accès des femmes au crédit ; - une étude de faisabilité mal conduite ne permet pas de déterminer le besoin réel en crédit pour une activité. Cependant, il faut faire remarquer que les conditions d accès à ce crédit comme nous l avons décrites plus haut, ne favorisent pas les femmes qui subissent le plus aujourd hui les conséquences de cette condition socioéconomique difficile dans laquelle le pays se trouve. - Pour une activité économique, un taux de 18% est élevé ; - le dépôt de la garantie matérielle a toujours posé problème aux femmes puisqu elles ne sont pas généralement propriétaires de biens au sein du ménage. 10

13 En conclusion, des réflexions doivent être menées afin de trouver des alternatives durables pour que les femmes accèdent et gèrent facilement le crédit en : - réduisant au mieux le taux d intérêt et l apport personnel sur le prêt; - supprimant la garantie matérielle demandée ; - développant des mécanismes efficaces d information des femmes sur les systèmes de crédit, - assurant le renforcement des capacités pour une plus grande maîtrise des activités économiques menées. b) Les travaux de groupes A la suite de ces communications les participants ont été repartis en deux groupes de travail. Le modérateur a joué un rôle de facilitation en vue d atteindre les objectifs assignés à l exercice. Ainsi chacun des groupes a fait un diagnostic de la problématique de l accès des femmes aux crédits à lumière des informations obtenues lors des communications. En plénière les résultats des travaux ont été présentés et discutés. Après, les participants ont mis en commun leurs travaux pour en faire un document unique de l atelier. A la fin de l exercice il ressort un document appelé plan d action (voir annexe4) qui fait le point des problèmes identifiés et de proposer les solutions.les contenus dudit document serviront d argumentaires pour un plaidoyer auprès de qui de droit par les femmes. Ainsi, suite à une analyse approfondie de la question de l accès des femmes au crédit les principales difficultés identifiées par elles sont les suivantes : - Le taux élevé des intérêts, - le manque de suivi et d accompagnement, - l insuffisance et le manque de transparence, 11

14 - l insuffisance de l information sur le système de crédit, - la durée courte des échéances des prêts, - les difficultés à fournir des garantis, - l inadaptation du produit par rapport aux types d activités, - les difficultés à mobiliser les apports personnels. VII. Recommandations et conclusion Nul doute que les nombreux problèmes évoqués ci haut constituent des entraves majeures pour les initiatives des femmes à sortir de la précarité. Ainsi les participants à l atelier proposent ce présent plan d action à l effet d améliorer l accès des femmes au crédit. Aussi les participants qui sont en majorité les plus concernés par les problèmes évoqués sauront tirer le meilleur profit des résultats de ces deux journées de réflexion. Par ailleurs les participants félicitent le RECOFEM pour avoir organisé cet atelier qui à leur avis a atteint ses objectifs. Ils expriment toute leur satisfaction pour les résultats auxquels ils sont parvenus au cours des deux journées de travail. Les participants souhaitent enfin que le présent atelier soit suivi d autres initiatives. Les participants à l atelier proposent ce présent plan d action dont l effectif est d améliorer l accès des femmes au crédit. 12

15 Objectifs Problèmes Solutions Stratégies Responsables 1. Réduire le taux Taux élevé des Subventionner le -Accompagnement des - les associations, d intérêt intérêts taux d intérêt et SFD par l Etat, ONG féminines réduire les coûts de gestion des crédits plaidoyer/lobbying auprès des autorités - Le MPFEF - Négociation auprès des SFD 2. Assurer le suivi et Manque de suivi et Renforcement des - La formation, - Mutuelle l accompagnement des bénéficiaires de prêts d accompagnement des bénéficiaires de prêts capacités l information, l organisation et le suivi - l étude de faisabilité - SFD - Ministères des finances - Services techniques de l Etat, les ONG, organisations socio professionnelles - MEFP, MPFEF 13

16 - MPME 3. Informer Insuffisance Formation des agents -organisation des - SFD suffisamment et clairement sur les systèmes de crédit d information sur le système de crédit et le manque de transparence dans le de crédits et des leaders d associations sessions de formation et d information - documentation - Associations féminines système d information 4. Allonger la durée Durée des échéances Négociation de prêts Plaidoyer auprès des SFD des prêts en dotant à long terme auprès SFD les SFD en ressources d autres institutions longues financières 5. Alléger les Difficultés à fournir - Négociation des - Participation des - Association et ONG difficultés liées au des garanties conventions avec les bénéficiaires au féminines dépôt de garantie SFD et les banques - Négocier et déposer des fonds de garantie renforcement du fond de garantie - Mobilisation des - MPME/CPA - SFD auprès des SFD ressources propres - information des membres 6. Diversifier les Inadaptation du Adapter le délai de - Plaidoyer/lobbying Leader d associations produits des SFD produit aux types remboursement à la 14

17 7. Réduire la pression de l apport personnel 8. Présentation des projets viables d activités nature des activités - renforcement des capacités des associations féminines Difficultés à mobiliser - négociation des - informer les femmes les apports personnels conventions entres sur le micro crédit SFD et les - formation des associations femmes sur les féminines affaires - création des caisses - mobilisation des pour et par les femmes femmes La non viabilité des Faire une bonne Formation des agents projets étude de faisabilité techniques en la matière SDF - SFD - Associations féminines - Etat Etat PTF SFD Banque 9. Organiser et Le caractère non Renforcement des - Organiser des MPFEF structurer en formalisant les associations structuré des initiatives féminines capacités séances de formation en vie associative - Elaborer les statuts ONG PTF 15

18 féminines et Règlement intérieur SFD 16

19 Annexe 1 : Participants LISTE DES PARTICIPANTS A L'ATELIER "FEMMES ET CREDIT" AU CENTRE AOUA KEITA DU 30 AU 31 MAI 2007 Journée du 31/05/2007 N Ordre Noms et Prénoms Structures Téléphone Adresse Mail 1 Mme Coulibaly Djénébou TRAORE APCAM fenetraore@yahoo.fr 2 Mme Sirébara Fatoumata DIALLO FENAFER cooperamultif@yahoo.fr 3 Mme Camara Aminata THIAM FENAFER cooperamultif@yahoo.fr 4 Mme Dicko Sarata HAIDARA RAFADEM Mme Tamboura Mah KEITA REFOE/Mali Mme Maïga Mariam SANGARE REFOE/Mali mari-transcerte@yahoo.fr 7 Mme Adam SIDIBE REFOE/Mali centregs@yahoo.fr 8 Mme Kadidia COULIBALY Projet Karité mpmef cefib.com 9 Mme Sow Mariam SIDY COFESFA Traoré Hawa Ali APROFEM aprofem@afribone.net.ml 11 Mme Baldé Haoua DEMBELE APROFEM Mme Haïdara Djénéba HAIDARA GP/DCF djeneba_haidara@yahoo.fr 13 Mme Sanogo Hadja MOUYE Fédération Femme Com esogecim@yahoo.fr 17

20 14 Kané Nana SANOU REFAMP Mme Sanogo Kadidia SACKO CAFO CI Mme Diakité Hawa SEMEGA Yiriba Suma Mme Balahira Bintou Balahira Yiriba Suma Mme Bah Kadiatou DIAGOURAGA PAASFEG Boubacar CAMARA DNPF Hawa KATILE DNPF Mme M'Baye Kadiatou KEITA APDF Mme Keïta Fatoumata CISSOKO Co modérateur Mme Fatoumata COULIBALY Layidu Wari Mme Rose BOUZAID Wildaf Mme Coulibaly Safiatou DOUMBIA FEMNET/Mali Mme Keita Mamou N'DIAYE BMS Mamadou Malick SOW RECOFEM Mme Sogoba Fanta CAMARA RAFADEM Mme Sidibé Kadiatou Femmes Développement Bakary SINGARE FDE

21 31 Kama SAKILIBA OPF Mme Telly Awa TANDIA JIGISIGI Souleymane SOUMARE RECOFEM Ladji SAMAKE CPA/SFD Mme Keïta Assa SOUCKO SNV 36 Djibril Boubacar BA AFRIC FORCE

22

23 ANNEXE2 : Programme provisoire atelier «Femme et crédit» du Mercredi 30 mai Date : mai 2007 Lieu : Centre Aoua Keita Bamako 8h45 : Accueil des participants 9h00 : Cérémonies d ouverture 9h30 : Communication1 : SAMAKE Ladji, Coordinateur Adjoint CPA/SFD "les systèmes de micro finance : historique, types, impacts" 10h00 : Communication 2 : "Projet d appui aux sources de croissance" 10h30 : Pause 10h45 : Discussion Mise en débat : SAMAKE Ladji, Keita Fatoumata Cissoko BDM s.a 11h15 : Communication 3 : Bakary SINGARE, Responsable des Etudes et des Opérations «Fonds de Développement Economique : Conditions d accès». 11h45 : Discussion 12h15 : Communication 4 : Banque de Solidarité du Mali BMS 12h45 : Discussion 13h15 : Déjeuner en commun 14h : Communication 5 : "Cas de Layidou Wari" 14h30 : Discussion 15h00 : Communication 6 : "Cas de APROFEM" 15h30 : Discussion 16h00 : Fin de la journée Jeudi 31 mai 09h00 : Diagnostics des problèmes- synthèses des opportunités 10h15 : Pause 10h30 : Proposition de solution 12h00 : Déjeuner en commun 14h00 : Elaboration d un plan d action 1

24 15h45 : Cérémonies de clôture 16h00 : Fin de l atelier 2

25 Annexe 3 : Présentation Layidu Wari LAYIDU WARI INSTITUTION DE CREDIT SOLIDAIRE au service du développement socio-économique de la femme 30 Mai 2007 Présentée par : Madame Fatoumata COULIBALY, Directrice Générale 3

26 PLAN DE L EXPOSE TYPOLOGIE DES IMF STATISTIQUES SUR LE GENRE QUELQUES DONNEES CONCEPT DE CREDIT SOLIDAIRE PRESANTATION DE LAYIDU WARI RESULTATS ATTEINTS CONTRAINTES ACTUELLES PERSPECTIVES DEFIS MAJEURS. TYPOLOGIE DES IMF 1. Institutions Mutualistes ou Coopératives d Épargne et de Crédit; 2. Caisses Villageoises d Épargne et de Crédit Autogérées; 3. Institutions de Crédit Solidaire (Layidu Wari); 4. S.A, Projets à volet micro finance. 4

27 STATISTIQUES : GENRE source CCS/SFD 2005 Année 2004 Année 2005 Variation 2004/2005 GENRE Effectif % Effectif % Effectif % Femmes , , ,9 Hommes , , ,4 Groupe , , ,3 TOTAL ,7 QUELQUES DONNEES Au Mali, plus de 75% de la population n ont pas accès aux services bancaires au Mali : è IMF - La composition du sociétariat :55,90% d hommes, 40,30% de femmes et 3,80% de groupements; - Une relative baisse de la proportion des femmes dans le sociétariat du système de crédit solidaire; - En 2005, les IMF ont octroyé plus de 45 milliards FCFA de crédits à bénéficiaires avec un taux de pénétration de 6,47%. 5

28 CONCEPT DE CREDIT SOLIDAIRE Institutions non mutualistes, fondées sur les critères de solidarité; Objet : l octroi de crédit direct et collecte de l épargne; Régies par convention avec le Ministre chargé des finances. PRESENTATION DE LAYIDU WARI LAYIDU WARI : SFD de type crédit solidaire Clientèle exclusivement féminine. Les organes administratifs : l AG, le C.A è les orientations politiques. La Direction Générale : chargée de la gestion technique de LAYIDU WARI. SUITE PRESENTATION : CREATION- EQUIPE TECHNIQUE Décembre 2003 : A.G constitutive (FAAF Layidu /MPFEF); Mars 2004 : récépissé N 00144/MATCL-DNI du 10 mars 2004, décembre 2005 : Accord de subvention avec le MPFEF; Février 2006 : mise en place de l équipe technique; Septembre 2006 : convention avec le MEF. SUITE PRESENTATION : VISION ET MISSION 6

29 VISION : Micro finance performante Réduire la pauvreté Développer des opportunités économiques pour les femmes. MISSION : Développer et accroître les O.E pour les femmes. SUITE PRESENTATION : OBJECTIFS DE L.W 1. Faciliter l accès des femmes aux services financiers de proximité 2. Favoriser l émergence de micro entrepreneurs féminins 3. Favoriser la solidarité et la coopération entre les femmes 4. Contribuer à la promotion économique et sociale des femmes. SUITE PRESENTATION : ADHESION ET ACCES AU CREDIT 1. Mener une activité économique, avoir un projet viable; 2. Payer les droits d entrée: F pour usager et F pour membre statutaire; 3. Fournir deux photos d identité et une copie de la carte d identité; 4. Participer aux séances d animations ; 5. Payer les frais préalables au déblocage du prêt 6. Accepter de constituer une épargne bloquée. 7

30 SUITE PRESENTATION : PRODUITS ET SERVICES Désignation Crédit de soudure Crédit de campagne Crédit équipement/individuel Montant individuel et + Durée prêt 1 à 6 mois 12 mois 12 mois Taux d intérêt 18% par an 18% par an 13% par an Frais commis. 2% 2% 2% Fonds prévoy. 1% 1% 1% Dépôt garantie 5% 15% 15% Garantie morale Caution solidaire Caution solidaire Avaliseur Épargne obliga. 5% 5% 5% QUELQUES RESULTATS ATTEINTS 8

31 CONTRAINTES ACTUELLES INDICATEURS Décembre 2006 Cumul au 30 avril 2007 Adhésion Bénéficiaires Nombre de prêt Montant crédit (en F CFA) Encours crédit Taux de rembourst à 15 j. 100% 100% 9

32 1. Besoin en formation, coaching et conseil des bénéficiaires : gestion, organisation, 3. Besoin d accompagnement technique des agents et nécessité de recruter le personnel; 4. Insuffisance des ressources financières; 5. Insuffisance de culture d épargne au niveau des populations cibles ; etc. PERSPECTIVES 1. Recherche de financement et promotion de l épargne; 2. Renforcement des capacités : agents et clientes; 3. Extension progressive dans les régions; 4. Recrutement du personnel complémentaire; 5. Révision des produits et services. DEFIS MAJEURS Mobilisation des ressources financières à des conditions favorables; Réduction des coûts afin de réduire les taux d intérêt effectifs; Renforcement des capacités : clientes; Suivi appui conseil rapproché des bénéficiaires des prêts. MERCI DE VOTRE ATTENTION FIN 10

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