L alimentation. Réseau Linut (Limousin nutrition) Jeudi 16 octobre 2008
|
|
- Jeanne Marin
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 L alimentation du cuisinier au résident Réseau Linut (Limousin nutrition) Jeudi 16 octobre 2008 Didier GIRARD - Ingénieur chargé de la fonction restauration - dgirard@ch-lemans.fr Président de l UDIHR
2 L UDIHR, créée en 1996, regroupe les ingénieurs et responsables d unités centrales chargés de conduire et de gérer les projets restauration de Centres Hospitaliers.
3 L ingénieur chargé de la fonction restauration doit : Coordonner et veiller à l intégrité de la filière restauration dans ces différentes composantes (restauration des hospitalisés et des personnels) et sous ces différents aspects (économiques, techniques et organisationnels) Gérer les moyens humains mis à disposition. Assurer la sécurité alimentaire des consommateurs, bonne maîtrise de la méthode HACCP. Coordonner un projet de service restauration dans une démarche qualité, bonne connaissance démarche ISO 9000 version 2 et HQE (Haute Qualité Environnementale) Préparer les cahiers techniques, en coordination avec la Direction des Achats et de la Logistique, sur les appels d offres alimentaires et les investissements (matériels et équipements techniques) concernant la restauration. Participer à des projets institutionnels de l établissement (projet d établissement, projet social, accréditation, entretiens d évaluation professionnelle, ) Être force de propositions dans les évolutions de la restauration du Centre Hospitalier.
4 L alimentation : du cuisinier au résident Chronologie des différentes étapes qui peuvent servir d outils pour mettre en place des objectifs ou des missions afin d améliorer l alimentation des résidents dans les EHPAD (Etablissements d Hébergement pour Personnes Agées Dépendantes)
5 Fiche d identité du Service de Restauration du Centre Hospitalier du Mans Mission : Satisfaire les patients, les résidents et les personnels des restaurants. S engager à développer et à améliorer en continu la qualité de ses prestations. Veiller tout particulièrement à garantir la qualité organoleptique (saveur, goût, aspect ) et nutritionnelle des repas servis, tout en assurant la sécurité alimentaire de ses consommateurs.
6 Année 2007 Nombre de repas servis par an : repas. Nombre de repas fabriqués par jour : environ repas fabriqués 5 jours sur 7 en liaison froide. Nombre de repas servis par jour : environ repas. Effectif : emplois temps plein représentant 116 personnes 44% de femmes et 56% d hommes Moyenne d âge : 44 ans
7 Répartition des consommateurs en 2007 Destinataires des repas : 66 unités de soins sur les sites du Mans et d Allonnes (Charles Drouet) dont 17 services de long séjour (569 lits) DMS (Durée Moyenne de Séjour) de 192 jours 2 restaurants du personnel sur les sites du Mans et d Allonnes (Charles Drouet) 1 internat (restaurant des internes)
8 L alimentation joue un rôle clé dans la prévention de la dénutrition chez les personnes hospitalisées et leur maintien en bon état de santé. Ceci doit être pris en compte dans le circuit du repas!
9 La population française vieillit : aujourd hui, les plus de 60 ans représentent 30% de la population ; en 2020, l espérance de vie sera de 86.5 ans pour les femmes et 78.4 pour les hommes. Avec le vieillissement, les risques nutritionnels sont liés à des carences qui engendrent des pathologies telles que la malnutrition protéinoénergétique ou l ostéoporose. L alimentation du sujet âgé doit donc être diversifiée, suffisante et bien répartie dans la journée.
10 Un circuit du repas complexe
11 Une commission des menus Objectif : validation des menus pour les patients et les personnels des restaurants. La commission des menus regroupe : des professionnels du service restauration un professionnel du service diététique un professionnel du bureau de l alimentation de la direction des achats et de la logistique
12 Les points suivants sont étudiés : suivi du plan alimentaire de quatre semaines avec un cycle d été et un cycle d hiver, qui prend en compte la base des orientations du PNNS 1 et 2 (Plan National de la Nutrition et de la Santé) équilibre nutritionnel présence d aliments ou de plats saisonniers adéquation avec le planning d approvisionnement et de production coût
13 Prise de commande informatisée des repas
14 Commande repas : moment relationnel privilégié et important entre l aide hôtelier(e) et son patient. Proposition du menu du jour ou des plats fixes à la carte (hors d œuvre, viandes, légumes, fromages, desserts). Enregistrement des commandes déclinées des différents profils alimentaires et validées par le médecin et la diététicienne du service. Fiche de poste Journée type Formation Diaporama Procédure dégradée de prise de commande repas
15 L aide hôtelier(e) récupérera le contenu de ce fichier dans son portable par le réseau informatique chaque matin du lundi au vendredi, pour effectuer : les commandes individuelles auprès des patients de son service les commandes de dotations de certains produits alimentaires (épicerie, petits déjeuners, goûters) les commandes plateaux de certains personnels de garde (anesthésistes, médecins ) En complément : le logiciel propose un module appelé DIETIX qui permet de générer automatiquement des commandes repas.
16 Sélection de matières premières sûres Dans le secteur public, la mise en concurrence des fournisseurs est obligatoire. Afin d y parvenir, sont mis en place : Un RC (Règlement de Consultation) Un CCAP (Cahier des Clauses Administratives Particulières) Un CCTP (Cahier des Clauses Techniques Particulières) Différentes procédures d achat : Marchés nationaux dans le cadre d UniHA GCS (Groupement de Coopération Sanitaire) Groupements départementaux ou régionaux Appels d offres internes Marchés à Procédure Adaptée (MAPA) Nouvelles actions : Prendre en compte la circulaire de mai 2008 sur l alimentation issue de l agriculture biologique en restauration collective Le développement durable (PROPOSITION UDIHR)
17 Appel d offres plusieurs étapes Étape 1 : Le Cahier des Clauses Techniques Particulières (CCTP) Étape 5 : Le choix des produits / fournisseurs par la commission d appel d offres Étape 2 : La qualité nutritionnelle avec l analyse des fiches produits des fournisseurs Étape 4 : Le contrôle de la qualité organoleptique Étape 3 : La codification des échantillons (qualité hygiénique, étiquetage, emballage)
18 Étape 1 : Cahier des charges Le Cahier des Clauses Techniques Particulières (CCTP) adressé aux fournisseurs Lot «Bœuf viande fraîche à rôtir» : Tende de tranche, 2.5 kg au minimum, parée, épluchée, dénervée, non bardée, prête à cuire, ficelée façon chaussette, conditionnement sous vide de 1 à 3 pièces. Estampille CEE Numéro des Services Vétérinaires Identité du fournisseur Identification : Pays d origine Pays d élevage Pays d abattage
19 Étape 2 : Contrôle du Service Diététique La qualité nutritionnelle avec l analyse des fiches produits des fournisseurs (exemple mouliné de bœuf) Normes AFNOR Protides > 18 g / 100 gr et P/L (Protides/Lipides) > 2 Mouliné de boeuf C/P (Collagène/ Protéines) P/100 g Norme AFNOR P/L Ingrédients Remarques F1 Sans gélatine Oui 3.28 Bœuf, poivre, échalotes, épices, aromates Conforme nutritionnel
20 Étape 3 : La codification des échantillons Lors de cette étape, les professionnels contrôlent les points suivants : Identification du produit Emballage / Conditionnement (qualité hygiénique) Etiquetage Grammage Ils sont notés : C. : Conformité N.Cm : Non-conformité mineure N.CM : Non-conformité majeure (refus) La codification des échantillons est faite avec une lettre pour déterminer le fournisseur et un chiffre pour déterminer la marque, afin d avoir une présentation objective des produits pour les participants à la réunion qualité. Si nécessaire, des cuissons sont effectuées sur les échantillons.
21 Étape 4 : Le contrôle de la qualité organoleptique par la commission qualité Lors de cette étape, les critères suivants sont contrôlés par les professionnels : Aspect Texture Goût Assaisonnement Praticité d utilisation ou de mise en oeuvre Les participants à cette réunion notent sur 20 le lot proposé. Un classement qualitatif des lots est effectué. Des personnels soignants participent à cette réunion.
22 Étape 5 : Le choix des produits / fournisseurs par la commission d appel d offres Les représentants de la commission d appel d offres se réunissent pour effectuer le choix définitif des produits et des fournisseurs. Il leur est proposé : un classement économique des offres des fournisseurs un classement qualitatif des offres réalisé à l issue des commissions qualité Application d une pondération : 60% pour la qualité (en fonction des critères d appréciation à déterminer : aspect, goût, nutrition, étiquetage, emballages, flux logistiques reliés au plan carbone diminution effet de serre CO²) 40% pour le prix Evolution possible grâce à des CCTP bien maîtrisés : 50% pour la qualité et 50% pour le prix
23
24 Maîtrise des approvisionnements de matières premières = contrôle au quotidien du respect des exigences du CCTP FICHE DE CONTRÔLE À RECEPTION DES PRODUITS FRAIS ET SURGELÉS NC : non conforme Fiche à agrafer sur la feuille "commandes à recevoir par date de livraison". ENR 7Co.1-3 Édition n 1 Heure d'arrivée N lot DLC ou DLUO du produit Estampille Température du camion Température du produit Emballage / Conditionnement Visa
25 S il est rencontré une non-conformité, plusieurs actions peuvent être engagées En premier lieu, analyse de la non-conformité par le réceptionnaire : Non-conformité mineure (erreur minime sur les quantités, poche dessouvidée, ) Bon de contrôle ou bon de retour Non-conformité majeure (calibres non respectés, produit ne correspondant pas au produit retenu au marché, température des produits supérieure aux valeurs limites, ) Information à l encadrement pour prise de décision sur le produit - Refus du produit - Mise en isolement du produit en attente d une information du fournisseur (confirmation DLC par exemple) - Acceptation par dérogation
26 Une fiche de nonconformité est ouverte et envoyée au fournisseur
27 Suite à une nonconformité, en fonction des réponses du fournisseur, une fiche d action corrective ou préventive est instruite par le Responsable en Qualité
28 PRIMORDIAL La maîtrise de la sélection et des approvisionnements des matières premières, c est la première barrière filtrante pour éviter un dysfonctionnement dans la suite de la transformation des aliments qui deviendront des plats cuisinés. Ce sont des étapes à maîtriser et à ne pas à négliger. La fonction de magasinier en restauration collective aujourd hui est un métier.
29 Fiche de vie (traçabilité)
30 Fabrications culinaires maîtrisées en liaison chaude ou en liaison froide Manger varié J aime J aime pas
31 Cuisson Température à cœur > 63 C Jour J 2 heures maximum Passage rapide de la zone dangereuse de multiplication bactérienne de +63 C à +10 C (température à cœur du produit) Refroidissement en cellule Température à coeur > 0 C et <= 10 C Un système de liaison froide Stockage en chambre froide produits finis entre 0 C et +3 C Conditionnement en assiette Température à coeur > 0 C et <= 10 C Transport Température à coeur > 0 C et <= 10 C 1 heure maximum Passage rapide de la zone dangereuse de multiplication bactérienne de +10 C à +63 C (température à cœur du produit) Remise en température dans l office du service de soins Température à cœur > +63 C Consommation Température à cœur > +63 C Maximum J+3
32 Le respect des recettes : fiches techniques
33 Si l on veut atteindre des fabrications culinaires maîtrisées, il faut : avoir des fiches techniques par type de plats (recettes), avoir des produits adaptés et de bonne qualité nutritionnelle privilégier, quand cela est possible, une cuisine traditionnelle, riche en odeurs et en saveurs jouer sur les couleurs (trois au minimum pour le plat principal) décliner les menus du jour dans des plats à textures modifiées
34 Fabrication maîtrisée Fabrication interne ou assemblage de produits agroalimentaires Tests de dégustations journaliers
35 Matériels performants adaptés au process des productions culinaires Prévoir impérativement un planning de maintenance préventive
36 Organisation maîtrisée Préparation du plateau repas (diversité)
37 Faut-il aujourd hui proposer un choix de 5 composants pour le dîner? L avenir est peut être à 3 composants avec : Un potage enrichi Un produit laitier Un dessert Ceci afin de : Permettre au résident de retrouver le plaisir de manger et d avoir le temps de manger Permettre aux personnels d accompagner les résidents lors de la prise du repas Réduire le jeun nocturne Maîtriser les dépenses dépenses alimentaires : moins d ingestats Un repas entièrement consommé évite la dénutrition!
38 Offices alimentaires bien équipés Zone tisanerie Zone plonge et pichets à eau Four de remise en température Lavage vaisselle effectué à l office
39 TRAVAUX ET NOUVEAUX EQUIPEMENTS Remise en état des sols, faux plafonds, peintures, électricité, plomberie Suppression des meubles muraux (remplacement par des étagères et un plan de travail) Nouveaux bacs de plonge en continuité du lave-vaisselle Nouvelle échelle pour finition séchage de la vaisselle Réimplantation des équipements hôteliers Objectifs Meilleure ergonomie Amélioration des conditions de travail
40 Une étape importante la remise en température Air pulsé : transmission de la chaleur par ventilation. Thermocontact : transmission de la chaleur par contact avec le contenant à fond plat. Privilégier la vaisselle porcelaine ou la vaisselle mixte (porcelaine pour le plat principal et usage unique pour les hors d œuvre, fromage et dessert)! LA BONNE TENUE DES PRODUITS ET LA QUALITÉ THERMIQUE DÉPENDENT DE LA REMISE EN TEMPÉRATURE!
41 Prestation hôtelière Le temps du service : une séquence décisive dans la bonne alimentation de la personne hospitalisée. Repas pris dans la chambre du résident ou
42 Repas pris en salle à manger Véritable lieu de vie! CONVIVIALITÉ
43 ET ACCOMPAGNEMENT DU REPAS Actuellement, une enquête pour les cadres de santé et pour le responsable de restauration sur le jeun nocturne est mise en place par le CLAN départemental de la Sarthe. Cette enquête est prévue sur 18 établissements en novembre Coordonnée par l Unité de Diététique et Nutrition Clinique de la Sarthe : Docteur CHLALA, Médecin Nutritionniste, andre.chlala@fondation-gcoulon.fr Virginie HEULIN, Diététicienne, vh.udnc72@wanadoo.fr Un bilan sera effectué lors de la journée des CLANs organisée par la SFNEP en juin 2009.
44 Pour contrôler la satisfaction du résident Un outil de maîtrise : enquête annuelle de satisfaction auprès des résidents basée sur un plan d échantillonnage.
45 Savoir informer le résident, sa famille ou les visiteurs sur la restauration Affichage dans la chambre du résident ou en salle à manger
46 Des personnels qualifiés en restauration collective Une équipe pluridisciplinaire
47 Les qualités professionnelles des personnels de restauration Être titulaire d une formation en restauration collective (CAP, BEP, BAC professionnel, BTS, Maîtrise, Licence, Master) en fonction du statut et du poste proposé Être sensible au respect des fiches techniques (fiches recettes) Être très respectueux des règles d hygiène Aimer le travail en équipe Partager son savoir faire Avoir un petit grain de fantaisie pour développer les créations culinaires et la décoration des plats Savoir gérer éventuellement des animations (anniversaires, repas à thème, ateliers de cuisine en relais avec les cadres de santé et les animatrices) Personnel diététique : Il faut privilégier la mise en place d une diététicienne, soit à plein temps, soit mutualisée avec différents établissements, soit dans le cadre d une Unité Diététique de Nutrition Clinique dans un département en fonction des organisations de chaque établissement. Ce poste est incontournable pour un travail pluridisciplinaire entre directeurs, médecins, soignants et service restauration.
48 De l hygiène (maîtrise du risque infectieux) Depuis la réglementation du 29 septembre 1997 sur la restauration collective à caractère social (article 5), la méthode HACCP (Hazard Analysis Critical Control Point - Analyse des dangers et maîtrise des points critiques) doit être appliquée de la réception des matières premières au plateau servi dans la chambre du patient. La loi a été renforcée par les nouveaux textes européens avec la mise en place du nouveau Plan de Maîtrise Sanitaire (PMS) qui intègre la méthode HACCP (arrêté du 08 juin 2006 relatif à l agrément des établissements mettant sur le marché des produits d origine animale ou des denrées contenant des produits d origine animale) Plan de nettoyage Grille de traçabilité PMS
49 De la sécurité alimentaire (maîtrise du risque infectieux) Cahier des charges pour les analyses microbiologiques Plan d échantillonnage des analyses microbiologiques
50 Un système qualité : différents indicateurs intégrés à un tableau de bord du service restauration EXEMPLES d indicateurs de qualité et de sécurité alimentaire
51
52 EXEMPLES d indicateurs de gestion économique En 2008 : augmentation du prix moyen pondéré du repas de 6 à 8%, du fait des augmentations du coût des matières premières
53 Favorable Indicateur des produits détruits au conditionnement Pourcentage de produits détruits par rapport aux quantités produites pour les familles 1 à 5 et productions diététiques Historique Indicateur Quantités détruites au conditionnement 4,6 4,45 4 4,4 3,8 3,6 4,2 4,0 4,07 3,94 3,4 3,2 3 2,8 2,6 3,8 3,6 3,4 3,2 3,77 3,80 3,73 3,60 3,20 2,4 3,0 2,2 2,8 2,74 2 Janvier Février Mars Avril Mai Juin Juillet Août Septembre Octobre Novembre Décembre 2,6 2,4 2, Limite objectif à ne pas dépasser ANNEE
54 EXEMPLES d indicateurs de Gestion des Ressources Humaines 1. ABSENTEISME Arrêts maladie Répartition des AM Accidents de travail Maladies professionnelles Autorisation d absence 2. PRESENTEISME Effectifs 2008 Heures travaillées Etudiants (statuts93) Formation DROITS A ABSENCE Répartition des congés annuels Récupération Fériés RTT 4. MASSE SALARIALE Evolution mensuelle Evolution annuelle Rapport DRH
55 nombre de jours d'arrêts Janvier Février ARRETS MALADIES Indicateur GRH Répartition des arrêts maladies 159 Mars AM 2007 AM 2008 Avril Mai Juin Juillet Août 143 Septembre Octobre Novembre Décembre Objectif 2008 : Moins de 1000 jours d arrêts maladie Bilan à la fin août : 787 jours d arrêts Maladie, 781 en Années
56 ARRETS MALADIES Historique indicateur Evolution arrêts maladies nombre de jours d'arrêts jours d arrêts maladie répartis sur 5 agents, soit 51,46% de la totalité de l absentéisme AM 2000 AM 2001 AM 2002 AM 2003 AM 2004 AM 2005 AM 2006 AM 2007 AM 2008 Années
57 BILAN ABSENTEISME Types A la fin août 2007 A la fin août 2008 Ecarts Arrêts maladie Accidents de travail Maladies professionnelles Autorisations d absences Absence longue maladie Congés maternité Totaux NB : Les chiffres annoncés sont indiqués en nombre de jours Bilan : Le nombre de jours d arrêts maladies 2008 est le même nombre qu en Baisse du nombre de jours pour accidents de travail
58 Exemple d indicateur de conformité bactériologique 1 nov.2007 au 30 avril % 4% 103 échantillons 91% 96% Satisfaisant Acceptable Non satisfaisant Corrompu
59 Ventilation des anomalies produits acceptables produits non satisfaisants 100% 100% Coliformes à 30 C Coliformes thermotolérants Microorganismes à 30 C
60 Les Toxi-Infections Alimentaires Collectives (TIAC)
61 TIAC Définition : Un foyer de TIAC est défini par l apparition d au moins 2 cas groupés, d une symptomatologie similaire en générale digestive, dont on peut rapporter la cause à une même origine alimentaire (repas ou aliment commun) Une exception : le botulisme, pathologie à symptômes neurologiques où 1 cas suffit à déclencher l alerte, afin de rechercher l étiologie.
62 TIAC Toute suspicion de TIAC est à considérer comme une urgence afin d enrayer rapidement sa diffusion. Une TIAC peut être d origine communautaire(acquise à la ville) ou d origine nosocomiale (infection acquise au CHM ou dans un autre établissement de santé). Toute TIAC est unemaladieàdo (Décret n du 10 juin 1986) Tout cas de TIAC nosocomiale doit faire l objet d un signalement (décret n du 26 Juillet 2001).
63 TIAC ConduitegénéraleàtenirencasdeTIAC: Signaler en interne toute suspicion de TIAC (SHEH, Restauration) Alerter et informer sans délais (Direction,DASS,DDSV,CLIN) Appliquer immédiatement les mesures de prévention de l extension d une TIAC (précautions contact, conservation des plats témoins et des matières premières ayant servi à la préparation des repas,.) Procéder à l investigation (origine de la TIAC) Etablir un rapport de synthèse (DASS, DDSV, Direction.)
64 TIAC Exemples de sollicitations auprès de l aide-hôtelière en cas detiacdansuneunité: Aider à repérer tous les aliments ingérés par chaque personne malade dans les 3 jours précédant la TIAC (produits venant de la restauration et/ou de l extérieur) Se poser la question : y-a-t-il eu dysfonctionnement (ex : plateau qui reste à l air ambiant) Montrer la traçabilité du plan de nettoyage et de maintenance des installations
65 DE LA COMMUNICATION INTERNE AU SERVICE Réunions et affichage mensuel des indicateurs Participation des personnels Bilan présenté par le Responsable en Qualité, le Responsable en Restauration ou le Directeur en fonction des établissements
66 EXEMPLES DE FORMATIONS ET D ACTIONS POUR LES PERSONNELS DE RESTAURATION Bilan année 2007 Secteurs (Tous) Formations Université de Lyon (institut de la santé) Salon SIRHA Salon PMS Marchés nationaux Jury concours BEP Logistique IFS HOPITECH Formation préparation concours IFSI Formation HOPITECH Formation Cocina Fomration Cocina Congrès européen Club utilisateur Equitime CLAN Assises Udihr Bruxelles Stage de découverte ENSP Formation informatique Visite d'entreprise (vide) NB Formations Statut O.P.Q. O.P.S. Technicien supérieur hospitalier Ingénieur Agent de maïtrise principal Adjoint administratif A.E.Q.
67 Un exemple de formation des stages d échanges et de découverte Ces stages d une semaine permettent aux agents de découvrir, dans un autre établissement, le fonctionnement de la prestation alimentaire et hôtelière des résidents dans une vision globale.
68 Il est primordial d avoir un projet de service Ainsi qu une politique qualité : 1 : LES DÉJEUNERS QUALITÉ DANS LES UNITÉS DE SOINS 2 : LE LIVRET DE LA RESTAURATION
69 1 : LES DÉJEUNERS QUALITÉ DANS LES UNITÉS DE SOINS Ces rencontres dans les différentes unités de soins consistent à déguster, après la remise en température, des repas du déjeuner : Plats du menu du jour Plats du menu à la carte Plats des différents profils alimentaires
70 Les invités au déjeuner : le Directeur Général de l établissement Le Praticien Hospitalier (Chef de service) ou son représentant Le Directeur des Achats et de la Logistique L Ingénieur en Chef chargé de la restauration Le Technicien Supérieur Hospitalier en Qualité Le Technicien Supérieur Hospitalier en Production Le Technicien Supérieur Hospitalier en Logistique Des cuisiniers professionnels et ouvriers professionnels de la cuisine La Directrice des Soins Le Cadre Supérieur de Santé de l Equipe Diététique-Nutrition La Diététicienne référente du service de soins Un ou deux Cadre(s) de Santé Un(e) Infirmier(e) Un(e) ou deux Aide(s) Soignant(e)(s) (fonction hôtelier(e)) Un invité complémentaire à l initiative des services concernés (un patient)
71 Ceci afin d en apprécier : La présentation La quantité La qualité thermique La qualité gustative Ce déjeuner est un moment fort d échanges et de rencontres!
72 DÉROULEMENT DU DÉJEUNER Ce déjeuner s effectue dans le service de soins et dure de 1 h 30 à 2 h. Un compte-rendu est effectué. Des propositions et conseils sont donnés : afin de répondre au plus près aux attentes des hospitalisés et des personnels hôteliers afin d affiner les productions culinaires pour le service restauration
73 Quelques exemples : Diversification des produits laitiers dans les menus de texture hachée, afin d éviter la monotonie des yaourts natures ou des fromages blancs Mise en place de citron frais avec le poisson (en coupelle sur le plateau) Mise à disposition des résidents de petits pots d épices (amélioration du goût) Rectification de la composition de certaines fiches techniques (recettes et cuissons) Mise en place d un groupe pluridisciplinaire pour la mise à disposition d un nouveau menu «Sucré Salé», afin de répondre aux besoins des résidents traités en chimiothérapie ou en radiothérapie ou toutes autres situations médicales particulières Service de glaces l été une fois par semaine
74 2 : LE LIVRET DE LA RESTAURATION Afin de permettre une meilleure organisation de la fonction restauration, différents secteurs ont réfléchi, travaillé et validé ensemble la mise en place d un livret de la restauration qui intègre aussi tous les aspects des règles d hygiène (HACCP). Les différents secteurs qui ont validé ce livret : La Direction des Services Économiques La Direction des Soins Le service restauration Le service diététique Le service d hygiène et d épidémiologie hospitalière
75 Les thèmes traités dans le livret de la restauration Fonctionnement de la Cuisine Centrale Satisfaction des besoins alimentaires des malades Organisation des menus Gestion des commandes alimentaires Prévention du risque infectieux Organisation du travail Entretien de l office et maintenance des matériels Consignes incendie de l office et des matériels hôteliers et consignes antitabac dans l office
76 LE LIVRET RESTAURATION DU CH LE MANS «Outil de référence» La DHOS (Direction de l Hospitalisation et de l Organisation des Soins), du Ministère de la Santé et de la Protection Sociale, a validé le Livret de la restauration du Centre Hospitalier du Mans reconnu comme un outil de référence dans le Cadre du PNNS et du document «Le CLAN en dix questions» depuis 2002 Ce livret est en référence sur le site de l UDIHR si vous souhaitez effectuer une demande de fiches en fonction des thèmes. PNNS (Programme National Nutrition Santé) CLAN (Comité de Liaison de l Alimentation et de la Nutrition) DHOS (Direction de l Hospitalisation et de l Organisation des Soins) UDIHR (Union des Ingénieurs Hospitaliers en Restauration)
77 CONCLUSION BIEN MANGER POUR BIEN ÊTRE Les ingrédients pour réussir un plateau repas dans une vision globale
78 (recettes) Des achats maîtrisés Des matières premières contrôlées Un plan de contrôle et de traçabilité (fiche de vie des produits) Des personnels qualifiés : -politique qualité -formation Des matériels performants (avec un plan de maintenance) Maîtrise de la fabrication (processus) Des fiches techniques (recettes) Les commandes résidents : -des services de soins -des restaurants du personnel De l hygiène et de la sécurité (maîtrise du risque infectieux)
79 MENU «SUCRÉ-SALÉ» Un nouveau service hôtelier dans les établissements de santé
80 MENU «SUCRÉ-SALÉ» Objectif Offrir un nouveau menu aux patients en fin de vie ou aux patients qui ponctuellement présentent les mêmes «dégoûts» (chaleur, odeur, quantité, présentation, ) ou qui souhaitent, dans une situation particulière et exceptionnelle, ne pas consommer les plats du menu normal. Susciter l envie de manger à un patient avec la notion de retrouver du plaisir (visuel, présentation, harmonie de la vaisselle, ).
81 Constat de l établissement (CH Le Mans) Demandes : Des patients Des familles Des personnels des unités de soins et des personnels médicaux Des associations professionnelles et médicales Des associations des usagers Constat lors de déjeuners qualité ou de rencontres avec les personnels dans les unités de soins : Ces patients souhaitent être informés sur le déroulement du repas et demandent un accompagnement plus personnalisé avec une prise en charge particulière sur le repas. Ces patients refusent parfois le menu normal inadapté à leurs goûts et à leurs envies.
82 Constitution d un groupe de travail pluridisciplinaire Ce groupe de travail peut être composé : De responsables et professionnels de la restauration De diététicien(ne)s De médecins de services ciblés (exemple cancérologie) De Cadres de Santé responsables de services de soins qui accueillent des patients en fin de vie De référent(e)s (infirmier(e)s, aides soignant(e)s, hôtelier(e)s, ) de services de soins qui accueillent des patients en fin de vie Validation par le bureau du CLAN (Comité de Liaison Alimentation et Nutrition).
83 Rôle du groupe de travail Rappel du constat actuel et des premières informations connues concernant ce sujet. Elaboration d un questionnaire permettant le recensement des attentes précises des patients en fin de vie et des familles. Définition d une organisation (préparation, distribution, présentation) Définition des spécificités du menu adapté à mettre en place (composants, températures, grammages, ) Choix du nom donné à ce nouveau menu (exemple menu «Sucré Salé» choisi au CH Le Mans) Modalités de commande de ce nouveau menu (aide soignante, hôtelière, diététicien, ).
84 Élaboration d un questionnaire par le groupe de travail Définir : Un plan d échantillonnage (nombre de questionnaires, services concernés, ) Les modalités d interview des patients La période d interview (planning) Les modalités de dépouillement et d analyse des questionnaires complétés (logiciels informatiques : Question Data, ) Les questions
85 Analyse des réponses au questionnaire Par le groupe de travail Exemple : Les patients souhaitent des plats de viandes et de légumes froids, des quiches, des pizzas et apprécient beaucoup les laitages et les desserts. Les patients souhaitent fractionner leur alimentation afin de pouvoir consommer à toute heure selon leurs envies. Les horaires de repas sont jugés non adaptés. Les familles apportent parfois des aliments de l extérieur. Les patients stockent des aliments dans leurs placards afin de les consommer ultérieurement.
86 Proposition de composition d un menu 1 plat froid ou une préparation pâtissière salée. 1 ou 2 produits laitiers. 1 ou 2 desserts. (entremet, riz au lait, pâtisserie) Un petit pain tranché ou pain de mie. Il peut être envisagé, en fonction d une demande partant d une diététicienne, de proposer l un des produits de ce menu à un patient de l établissement dans le cadre d un autre protocole alimentaire.
87 Définir les limites de ce menu Exemple : Ne respecte pas les recommandations nutritionnelles. Ne respecte pas les grammages (la présentation est faite en petites quantités) Est incompatible avec les modifications de texture et les régimes. N est pas adapté, en continu à chaque repas, pour l alimentation des patients en traitement long (exemple : cancer, sida, ) et ayant des besoins nutritionnels spécifiques et des compléments alimentaires pendant leur traitement médical.
88 Exemple d une semaine de menu «Sucré Salé» au CH du Mans validée par l équipe restauration et diététique en commission de menu
89 Qui prend la décision de proposer ce menu au patient? Soit le Médecin du service avec l équipe soignante. Soit à la demande de la famille (analyse au cas par cas), mettre en place une démarche de communication entre l unité de soins, la famille et le patient si cela est nécessaire. La commande de ce menu peut être intégrée à un logiciel de prise de commande des repas si l établissement est informatisé.
90 Préparation et présentation du plateau afin de susciter l envie de manger Le plat principal est présenté dans une assiette imagée ou un ravier en porcelaine de «couleur» avec des couverts adaptés et un verre à pied de «couleur». Cette notion de «couleur» est importante pour le patient : couleurs chaudes et non agressives. Petite dotation de vaisselle couleur mise à disposition à l office. Le plateau doit être préparé par des professionnels formés en cuisine de préférence ou, en fonction de l organisation, par les hôtelières en office alimentaire. Assemblage et décoration en cuisine
91 Une attention toute particulière doit être apportée : Sur les quantités (petits grammages, petits volumes) Sur la décoration des plats et l harmonisation des produits (couleurs, assemblages, ). En complément, une serviette en papier de couleur ou en tissu peut être déposée sur le plateau (elle peut être déposée par l aide hôtelière dans l unité lors de la finition du plateau) Préparation du plateau sur la chaîne de conditionnement repas de la cuisine Une base de donnée de photos numériques des plats et décorations peut être constituée par les professionnels (fonctionnement 7 jours sur 7)
92 Le rôle des aides soignant(e)s hôtelier(e)s dans l unité de soins La dernière mise en valeur du plateau est effectuée à l office par l aide hôtelière (couverts, verre, serviette, petit pain tranché ou pain de mie, présentation harmonieuse sur le plateau entre les plats et la vaisselle). Ou le plat est servi nature ou son assaisonnement peut être affiné par l hôtelière (épices, aromates, huile d olive, huile de noix, vinaigre balsamique, ketchup, mayonnaise, citron frais, ). Finition à l office par l hôtelière Un panier composé de ces différents assaisonnements peut être élaboré et mis à disposition de la famille dans la chambre du patient ou de l aide hôtelière.
93 Organisation du service et équipement hôtelier En fonction de l organisation du service : Service dans la chambre effectué par l hôtelière Les horaires peuvent être décalés. La famille peut accompagner le patient lors du repas pour l aider à s alimenter. Ces modalités sont vues au cas par cas avec l équipe médicale, soignante ou l Aide Hôtelière et la famille.
94 Photos de préparations en cuisine centrale atelier diététique - CH Le Mans
95 Quelques indicateurs Nombre de menu Sucré-Salé servis en 2007 : près de Temps de travail en cuisine centrale pour préparer et décorer 15 plateaux : 1 h 30 Prix moyen pondéré matières premières d un repas : 2,13 Prix moyen pondéré matières premières d un menu Sucré-Salé : 1,55 Prix moyen pondéré total d un repas (hors transport) : 4,93 Prix moyen pondéré total d un menu Sucré-Salé (hors transport) : 6,59 L écart de 1,66 est dû au temps de préparation et de décoration du plateau. Cet écart reste raisonnable du fait du peu de plateaux Sucré-Salé confectionnés chaque jour sur une production totale de plateaux/repas
96 MESSAGE DU CADRE SUPÉRIEUR DE SANTÉ «Nous travaillons beaucoup dans le service sur le respect de la personne, la personnalisation des soins, la qualité. L adaptation de la restauration aux situations difficiles hospitalisation longue, chimio, fin de vie s inscrit dans cette logique. C est un projet de soin.» Extrait et photo article La Pause des Hospitaliers n 19 septembre 2008 «Redonner le plaisir de manger»
97 Photo article Ouest France juin 2008 «Au Mans, menu soigné pour les malades en fin de vie»
98 PRIX HÉLIOSCOPE 2006 Le service de restauration du Centre Hospitalier du Mans a reçu le 29 juin 2006 à l Elysée en présence du Président de la République, le 4ème prix Hélioscope «Décloisonner l hôpital au bénéfice du malade et de ses proches» de la Fondation Hôpitaux de Paris Hôpitaux de France. Ce prix a pour objectif de récompenser les équipes hospitalières ayant réalisé des actions de coopération entre différents services et métiers. L hôpital du Mans s est distingué pour son projet «Menu Sucré Salé»
99 Le prix Hélioscope a permis de financer un équipement hôtelier mobile Dans le cadre de cette organisation, il est installé dans la chambre un équipement hôtelier mobile, à disposition du patient et de sa famille, regroupant dans un «design» recherché : un petit réfrigérateur (groupe insonorisé) pour le maintien au froid du plateau repas. un four micro-ondes pour la remise en température éventuelle de certains plats. un rangement fonctionnel d une vaisselle harmonieuse. Ce meuble hôtelier peut passer d une chambre à une autre en fonction de l organisation du service concerné (un protocole formalisé de nettoyage et de désinfection selon la méthode HACCP doit être élaboré).
100 Équipement hôtelier mobile Imagé avec des photos de la cité Plantagenêt (le vieux Mans)
101 Les droits d auteur seront reversés dans leur intégralité à la SFAP (Société Française d Accompagnement et de soins Palliatifs)
102
103
104 A la fin de cette présentation, une fiche thématique est à votre disposition!
105 Informations générales sur l UDIHR L UDIHR, créée en 1996, regroupe aujourd hui près de 130 ingénieurs et responsables d unités centrales chargés de conduire et de gérer les projets restauration de grands Centres Hospitaliers, de promouvoir le métier et de faire évoluer la profession par la réflexion, les échanges et la communication. Pour toute information concernant l association (ses adhérents, sa mission, ses partenaires) et pour connaître les différents référents des dossiers traités
106 Merci de votre attention!
Qualité de l alimentationl Alimentation de qualité Perspectives pour les établissements de santé
Qualité de l alimentationl Alimentation de qualité Perspectives pour les établissements de santé Congrès s SFHH Reims 2 et 3 juin 2005 Didier GIRARD, Ingénieur en restauration - 02 43 43 25 99 dgirard@ch-lemans.fr
Plus en détailCAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES
FOURNITURE ET LIVRAISON DE REPAS EN LIAISON FROIDE DESTINES AU SERVICE DE LA RESTAURATION SCOLAIRE DE LA COMMUNE DE SEMBLANÇAY N MARCHE : CANT.2009 CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES Personne
Plus en détailAuriol : le service public de la Restauration scolaire
Auriol : le service public de la Restauration scolaire Au titre de nos valeurs communes, nous avons voulu décliner l offre de restauration en mettant l accent au plus près des enfants. Plus de 80% des
Plus en détailMairie de SAINT DIDIER SOUS RIVERIE 69440. Téléphone : 04 78 81 84 26 Télécopie : 04 78 81 87 57 MARCHE PUBLIC DE FOURNITURES COURANTES ET SERVICES
Mairie de SAINT DIDIER SOUS RIVERIE 69440 Téléphone : 04 78 81 84 26 Télécopie : 04 78 81 87 57 MARCHE PUBLIC DE FOURNITURES COURANTES ET SERVICES CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES Maître d ouvrage
Plus en détailPréparation de repas journaliers pour le service de portage à domicile
Centre Communal d Action Sociale de CARNOULES Département du Var Préparation de repas journaliers pour le service de portage à domicile CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES MARCHE PUBLIC DE PRESTATION
Plus en détailCOMMUNE DE GRESY-SUR-AIX
COMMUNE DE GRESY-SUR-AIX Marché public pour la restauration scolaire (du 01/09/2015 au dernier jour précédent la rentrée scolaire 2016, renouvelable une fois) Date et heure limite de réception des offres
Plus en détailFourniture de repas cuisinés en liaison froide pour le service de portage de repas à domicile
Fourniture de repas cuisinés en liaison froide pour le service de portage de repas à domicile CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES Maître d'ouvrage / Pouvoir Adjudicateur : Communauté de Communes
Plus en détailSECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL
SECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL Références réglementaires : Règlement N 178/2002 établissant les principes généraux et les prescriptions générales de la législation alimentaire
Plus en détailPRÉPARATION ET LIVRAISON DE REPAS EN LIAISON FROIDE POUR LE RESTAURANT SCOLAIRE
COMMUNE DE BRETTEVILLE SUR ODON PROCÉDURE ADAPTÉE PRÉPARATION ET LIVRAISON DE REPAS EN LIAISON FROIDE POUR LE RESTAURANT SCOLAIRE CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIÈRES C.C.T.P X:\CANTINE\CONSULTATION
Plus en détailÉDUCATION Côtes d Armor. Collèges publics. Charte de la restauration collective DIRECTION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER
ÉDUCATION Côtes d Armor Collèges publics DIRECTION ÉDUCATION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER Charte de la restauration collective Préambule Dans le cadre de l article 82 de la loi du 13 août 2004, le Département
Plus en détailMarque déposée de GV RESTAURATION SERVICES SA
Marque déposée de GV RESTAURATION SERVICES SA N FR05/00392 SAS au capital de 53.357,16 Siège Social : 34, Rue de Paris 60330 LE PLESSIS BELLEVILLE - Téléphone : 03.44.58.14.21. - Fax : 03.44.58.20.98.
Plus en détailQualité. Sécurité Alimentaire
Le service Qualité Présentation du Service Démarche Qualité Qualité Réalisation des dossiers d agrément sanitaire pour les cuisines centrales >60 affermés API Réalisation des dossiers d accréditation en
Plus en détailRéférentiel du. Certificat de spécialisation Restauration collective
Référentiel du Certificat de spécialisation Restauration collective Photo couverture : Restauration collective Source : http://photo.agriculture.gouv.fr - Pascal Xicluna/Min.Agri.fr Référentiel du Certificat
Plus en détailGRENADE / GARONNE 30 janvier 2014. Centrale de Restauration MARTEL Maryse LAFFONT, Diététicienne
LA RESTAURATION SCOLAIRE GRENADE / GARONNE 30 janvier 2014 Centrale de Restauration MARTEL Maryse LAFFONT, Diététicienne LES OBJECTIFS Apporter aux enfants une alimentation de Qualité pour répondre à leurs
Plus en détailIngénieur en prévention des risques
Ingénieur en prévention des risques G1X22 Prévention hygiène et sécurité / Restauration - IR L ingénieur de recherche en prévention des risques assiste et conseille la direction de l établissement pour
Plus en détailRAPPORT AUDIT HYGIENE AVXX-0XX-XXX
Date: SITE: Heure: par: MENTION GLOBAL DE L'AUDIT: NOMBRE D'ECARTS CONSTATES: ECARTS CONSTATES: 1. RESPONSABILITÉ DE LA DIRECTION / DÉFINITION & CONTRÔLE DES RÈGLES D HYGIÈNE 1.1 Déclaration de l'établissement
Plus en détailCATALOGUE DE FORMATION. Qualité Hygiène et Sécurité Alimentaire. Au service des professionnels des métiers de bouche sur tout le territoire national
Qualité Hygiène et Sécurité Alimentaire 2015 Au service des professionnels des métiers de bouche sur tout le territoire national CATALOGUE DE FORMATION Enregistré sous le numéro 53350863735 auprès du Préfet
Plus en détailDescription de poste en vue d un recrutement Commis / Commise de cuisine. Description du poste
(Fiches ROME : G1602) Rubrique «Les fiches métiers» du site www.pole-emploi.fr Description de poste en vue d un recrutement Commis / Commise de cuisine L entreprise : Nom /N de SIRET/adresse Nombre de
Plus en détailformations professionnelles fin 2014 / début 2015 hygiène alimentaire en restauration collective audit, conseil et formation professionnelle
audit, conseil et formation professionnelle Stage 1 Bonnes pratiques d hygiène en restauration collective 19 et 26 novembre Stage 2 Règles d hygiène lors du service 3 décembre Stage 3 Le nettoyage et la
Plus en détailCUISINIER. Organiser le travail et la production au sein de la cuisine dans le respect des règles en vigueur :
CUISINIER Missions du poste : Réaliser, valoriser et distribuer des préparations culinaires. Gérer les approvisionnements et stockages des produits et denrées. Organiser le travail et la production au
Plus en détailFormation professionnelle
Formation professionnelle Formation professionnelle Sur notre plateau de formation situé à Neuilly-sur-Seine, nous vous offrons une formation sur mesure dispensée par des professionnels qualifiés, soit
Plus en détailRestauration Collective. Lycée Stanislas Jeudi 27 mars 2014
Restauration Collective Lycée Stanislas Jeudi 27 mars 2014 Programme de la journée Restauration Collective Introduction Réglementation et sécurité alimentaire Organisation et Ressources Humaines La norme
Plus en détailRÈGLEMENT INTÉRIEUR. RESTAURATION SCOLAIRE Année scolaire 2014/2015
RÈGLEMENT INTÉRIEUR RESTAURATION SCOLAIRE Année scolaire 2014/2015 Article 1 : SERVICE MUNICIPAL DE RESTAURATION SCOLAIRE La ville d Andernos les Bains met à la disposition pour le déjeuner de tous les
Plus en détailLA QUALITE DE LA PRODUCTION
LA QUALITE DE LA PRODUCTION ET DES SERVICES Leçon 1 : Présenter le concept qualité Leçon 2 : Présenter le système HACCP Leçon 3 : Caractériser les autocontrôles C.M.P Chapitre : 1/17 Objectif 1 : Identifier
Plus en détailUtilisation de produits sains et sûrs Mise en oeuvre de procédures strictes et rigoureuses
INTRODUCTION H.A.C.C.P. ou A.R.M.P.C. L Analyse des risques et maîtrise des points critique La nouvelle réglementation en matière d hygiène (ar. 09 mai 1995 et ar. 29 septembre 1997) oblige les responsables
Plus en détailL hygiène alimentaire en EPHAD
L hygiène alimentaire en EPHAD Isabelle Parmentier 24 mai 2012 L hygiène alimentaire en EPHAD Isabelle Parmentier 24 mai 2012 Introduction (1/2) Le repas est un moment «fort»de la journée des personnes
Plus en détailLES INCONTOURNABLES DE L HYGIENE ALIMENTAIRE EN RESTAURANT SATELLITE
LES INCONTOURNABLES DE L HYGIENE ALIMENTAIRE EN RESTAURANT SATELLITE Direction Départementale de la Protection des Populations De Seine-Saint-Denis (DDPP 93) - Immeuble l Européen - 5 et 7 promenade Jean
Plus en détailCLIC Issoire Bassin Montagne Nathalie Maury Diététicienne
CLIC Issoire Bassin Montagne Nathalie Maury Diététicienne Démarche qualité Initiée en 2008 dans le cadre du mémoire d études d Alexandra Gatel, diététicienne. Etat des lieux au début de l étude : Etude
Plus en détailL alimentation. du patient. paration et de service? Emilie GARDES - Xavier VERDEIL - Nicole MARTY CHU de Toulouse
L alimentation du patient greffé de moelle osseuse Quelle nourriture? Quel contenant? Quel environnement de préparation paration et de service? Emilie GARDES - Xavier VERDEIL - Nicole MARTY CHU de Toulouse
Plus en détailHygiène alimentaire, formations obligatoires, législation du travail
GUIDE PRATIQUE Guide des bonnes pratiques pour les restaurateurs Hygiène alimentaire, formations obligatoires, législation du travail Restaurateurs Quelles Restaurateurs sont vos obligations? Quelles sont
Plus en détailDécrire l'ensemble des mesures de maîtrise et des mesures de surveillance dans des procédures ou modes opératoires portés à la connaissance de tous.
DEMARCHE HACCP EN CUISINE CENTRALE Alimentation GROSJEAN L, Vénissieux Juin 2010 Objectif La démarche HACCP (de l'américain Hazard Analysis Critical Control Point) est une méthode préventive visant à maîtriser
Plus en détailHygiène alimentaire en restauration collective
Catalogue de formations 2012 Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration collective Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or 1 2 3 4 5 6 7 8 Sommaire Sensibilisation à l hygiène alimentaire
Plus en détailLE DIETETICIEN AU SEIN DES COLLECTIVITES TERRITORIALES
LE DIETETICIEN AU SEIN DES COLLECTIVITES TERRITORIALES Sommaire : Les missions page 2 Les secteurs d interventions page 2 Les contacts privilégiés page 3 Les cibles : A La restauration collective 1. Objectifs
Plus en détailRESTAURATION SCOLAIRE REGLEMENT INTERIEUR
RESTAURATION SCOLAIRE REGLEMENT INTERIEUR OBJET Le restaurant scolaire est un service municipal dont le fonctionnement est assuré par des agents municipaux, sous la responsabilité du Maire. ACCES AU RESTAURANT
Plus en détailFICHE METIER et PASSERELLES AGENT POLYVALENT DE RESTAURATION
FICHE METIER et PASSERELLES AGENT POLYVALENT DE RESTAURATION Domaines : Services à la population Sous domaine : Restauration collective Code fiche du répertoire des métiers territoriaux : 11/D/24 AGENT
Plus en détailLaboratoire Départemental d Analyses Premier semestre 2015 I T. mon Département, Ain
Laboratoire Départemental d Analyses Premier semestre 2015 O N I T A R RESTAU E V I T C COLLE FORMATIONS Ain mon Département, Introduction La réglementation européenne impose à tout personnel travaillant
Plus en détailFORMATION - AUDIT - CONSEIL
FORMATION - AUDIT - CONSEIL Nutrition Hygiène et sécurité alimentaire Allergie alimentaire Hygiène du linge Etiquetage Catalogue 2015 Éditorial Analyser, comprendre et s améliorer! Il serait vain d analyser
Plus en détailFORMATION REFERENTS HYGIENE 14 HEURES (Décret 2011-731 du 24/06/2011 et Arrêté du 5/10/2011)
FORMATION REFERENTS HYGIENE 14 HEURES (Décret 2011-731 du 24/06/2011 et Arrêté du 5/10/2011) Interlocuteur Eurofins Biosciences : Lionel GROSJEAN Eurofins Biosciences Responsable Formation Conseil RHD
Plus en détailVENDREDI 11 MARS 2011. Bienvenue. à la Journée portes ouvertes à la Cuisine centrale de la Ville de Fort-de-France 11/03/11 1
VENDREDI 11 MARS 2011 Bienvenue à la Journée portes ouvertes à la Cuisine centrale de la Ville de Fort-de-France 11/03/11 1 PRESENTATION DE LA CUISINE CENTRALE 2 Direction Générale des Services Jean-Pierre
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détailHygiène alimentaire en restauration collective
1 2 3 4 5 6 7 Catalogue 2011 Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration collective Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or Sommaire 1 2 3 4 5 6 7 Sensibilisation à l hygiène alimentaire
Plus en détailCATALOGUE DE PRESTATIONS FORMATION ET CONSEILS
(1/30pages) CATALOGUE DE PRESTATIONS FORMATION ET CONSEILS ANNEE : 2015 Date de mise à jour : 09/03/2015 1 - Microbiologie des eaux - Microbiologie des aliments Formation technique de Microbiologie HYGIÈNE
Plus en détailRentrée 2014 Francine Eichenberger Diététicienne
Rentrée 2014 Francine Eichenberger Diététicienne L alimentation : partie intégrante de la prise en charge de l enfant et de l adolescent diabétique base du traitement avec l insulinothérapie et l activité
Plus en détailHygiène alimentaire en restauration
2 0 1 5 Catalogue de formations Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or (LDCO) Sommaire 1A 1B 23 4 5 6 7A 7B 8 Sensibilisation à l hygiène
Plus en détailCATALOGUE DE FORMATION 2014 2015
Restauration et Nutrition Hospitalière, Gériatrie, Handicap CATALOGUE DE FORMATION 2014 2015 Des formations innovantes, le partage de l expertise en restauration, nutrition & hôtellerie Le Cabinet EC6
Plus en détailLE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE
LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion
Plus en détailLe Chef-Gérant LES MÉTIERS DE LA RESTAURATION CHEZ RESTALLIANCE
Le Chef-Gérant Assurer la production des repas et la qualité de la prestation Encadrer, former, organiser et coordonner le travail de l équipe S occuper de l approvisionnement et de la bonne gestion des
Plus en détailRESTAURATION SCOLAIRE
Syndicat Intercommunal de Regroupement Pédagogique 8 Place de la Mairie 28800 LE GAULT SAINT DENIS 02.37.47.28.85 RESTAURATION SCOLAIRE CAHIER DES CHARGES 1 Article 1 : Objet Les stipulations du présent
Plus en détailRestauration collective
Dossier de presse Février 2014 Restauration collective La portion de fromage emballée individuellement un atout dans la lutte contre le gaspillage alimentaire Contacts presse : agence becom! T. 01 42 09
Plus en détailRÈGLEMENT DU RESTAURANT SCOLAIRE
S O M M A I R E Préambule Règlement Objectifs Ecole / cantine Quelques chiffres Le prestataire 1 2 Préambule RÈGLEMENT DU RESTAURANT SCOLAIRE A N N É E 2 0 1 2 / 2 0 1 3 La municipalité de CHAMPAGNIER
Plus en détailSensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments
Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments Le respect des bonnes pratiques d hygiène de fabrication, par chaque opérateur, constitue le préalable à toute démarche de maîtrise de la sécurité
Plus en détailConsommez moins de sodium pour réduire votre pression artérielle. Information sur le sodium alimentaire. www.reductionsodium.ca
Consommez moins de sodium pour réduire votre pression artérielle Information sur le sodium alimentaire www.reductionsodium.ca Contact Jocelyne Bellerive, MA Coordonnatrice/Éducatrice Programme réduction
Plus en détailFormations au centre ou sur site : . Travailler avec les produits de la mer La Méthode HACCP et le guide des bonnes pratiques
«Centre de formation des métiers de bouche» «Atelier conseils» Professionnels de la restauration - Amateurs & Passionnés Un nouveau concept de formation aux métiers de bouche Recevoir deviendra pour vous,
Plus en détailHACCP et sécurité sanitaire des aliments
HACCP et sécurité sanitaire des aliments 1. A votre avis, comment cet accident aurait-il pu être évité? En identifiant les risques alimentaires potentiels liés à l activité de conserverie artisanale et
Plus en détailRÉGLEMENT INTÉRIEUR 2015 DU RESTAURANT SCOLAIRE adopté par le conseil municipal du 9 décembre 2014
Ville de Saint-Palais-sur-Mer Groupe scolaire Lucien Robin RÉGLEMENT INTÉRIEUR 2015 DU RESTAURANT SCOLAIRE adopté par le conseil municipal du 9 décembre 2014 Préambule Le restaurant scolaire n est pas
Plus en détailHygiène alimentaire. Réglementation. Restaurants et commerces alimentaires
Hygiène alimentaire Réglementation Restaurants et commerces alimentaires Hygiène alimentaire Sommaire Avant de s installer, les démarches à suivre p.3/4 Concevoir la cuisine p.5 Hygiène - Les bonnes pratiques
Plus en détailFormation aux enseignants intervenant en SEGPA
Formation aux enseignants intervenant en SEGPA Réglementation de la sécurité sanitaire des aliments Informations préalables Ce document informe des dispositions réglementaires en vigueur et applicables
Plus en détailAudit Formation Conseil
2 0 1 3 / 2 0 1 4 Audit Formation Conseil Formation professionnelle continue Cette marque prouve la conformité aux normes NF X 50-760, NF X 50-761
Plus en détailCatalogue Formation 2015
Catalogue Formation 2015 Because you care about CONSUMERS HEALTH HACCP Expertise, votre partenaire en sécurité des aliments Présentation du catalogue Pourquoi faire de la formation? Formation préventive
Plus en détailRESTAURANTS SCOLAIRES COMMUNAUX RESTAURANT DU CENTRE DE LOISIRS SANS HEBERGEMENT «RÉGLEMENTATION RELATIVE AU FONCTIONNEMENT»
Page 1 ANNEE SCOLAIRE 2014/2015 RESTAURANTS SCOLAIRES COMMUNAUX RESTAURANT DU CENTRE DE LOISIRS SANS HEBERGEMENT «RÉGLEMENTATION RELATIVE AU FONCTIONNEMENT» Le Maire de la Commune de Labouheyre, Vu l article
Plus en détailHygiène alimentaire en restauration
2 0 1 4 Catalogue de formations Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or (LDCO) Sommaire 1A 1B 23 4 5 6 7A 7B 89 Sensibilisation à l hygiène
Plus en détailRapport de stage ANNEE SCOLAIRE 2013/2014. Elève de 3ème Collège 35740 PACE. Restaurant scolaire du Haut Chemin. p.1
Rapport de stage ANNEE SCOLAIRE 2013/2014 Elève de 3ème Collège 35740 PACE Restaurant scolaire du Haut Chemin p.1 Sommaire Introduction L entreprise Fiche d identité Situation géographique Activité principe
Plus en détailL hygiène en restauration
L hygiène en restauration Remise directe au consommateur Avertissement : les fiches présentées dans cette rubrique ont valeur de première information synthétique et ne tiennent pas compte des spécificités
Plus en détailHygiène alimentaire. Introduction
Direction des études Mission Santé-sécurité au travail dans les fonctions publiques (MSSTFP) Hygiène alimentaire Introduction Le temps de travail ne permet pas souvent aux salariés de déjeuner chez eux
Plus en détailRAPPORT D AUDIT SERVICE RESTAURATION MUNICIPALE VILLE DE CUGES LES PINS
1 RAPPORT D AUDIT SERVICE RESTAURATION MUNICIPALE VILLE DE CUGES LES PINS Présentation le 05/02/2015 2 Table des matières 1-PREAMBULE... 2 2-PRESENTATION DES INSTALLATIONS... 3 2.1 Points d amélioration...
Plus en détailCharte nutritionnelle
Charte nutritionnelle NOTRE MISSION : CONSTRUIRE ET PRESERVER LE CAPITAL SANTE L équilibre alimentaire est un enjeu majeur de santé publique. De ce contexte, Nutrisens s engage à maintenir et à renforcer
Plus en détailPRESTATION DE RESTAURATION SCOLAIRE ET PRESTATIONS ANNEXES
INSTITUT NATIONAL DE JEUNES SOURDS DE PARIS Procédure adaptée (article 30 du Code des marchés publics) pour la passation d un accord-cadre mono-attributaire PRESTATION DE RESTAURATION SCOLAIRE ET PRESTATIONS
Plus en détailService Hygiène & Sécurité
Service Hygiène & Sécurité MAI Vous présente : N 16 Les locaux des cuisines de restauration collective, les matériels qu ils contiennent et les activités pratiquées exposent les agents et les consommateurs
Plus en détailH A C C P. DEFINITION Hazard analysis control critical points. Analyse des dangers et maîtrise des points critiques
H A C C P DEFINITION Hazard analysis control critical points Analyse des dangers et maîtrise des points critiques Pourquoi HACCP? Satisfaire à la réglementation Garantir la qualité hygiénique des aliments
Plus en détail«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY
«Cette action contribue au PNNS». «IL FAIT BIO À CHÂTEAU THIERRY A Chateau Thierry, la Municipalité souhaite développer les produits BIO et issus de filières de proximité dans les menus de la restauration
Plus en détailLe guide des bonnes pratiques d hygiène et la qualité alimentaire en restauration
FORMATION : THEORIQUE C.H.R. / INTRA-ENTREPRISE MODULE Le guide des bonnes pratiques d hygiène et la qualité alimentaire en restauration TYPE DE FORMATION : Hygiène et sécurité, qualité normalisation,
Plus en détailTEXTE OFFICIEL DE LA REGLEMENTATION : L INDISPENSABLE NOTE DE SERVICE
TEXTE OFFICIEL DE LA REGLEMENTATION : L INDISPENSABLE NOTE DE SERVICE PLAN DE LA NOTE DE SERVICE DGAL/SDHA/N98/N 8126 DU 10 AOUT 1998 ABROGE ET REMPLACE : La note de service DGAL/SVHA/N89/N 8020 du 3à
Plus en détailHYGIENE EN RESTAURATION COLLECTIVE
HYGIENE EN RESTAURATION COLLECTIVE Dr Erick KEROURIO DIRECTION DEPARTEMENTALE DE LA PROTECTION DES POPULATIONS DE L ESSONNE Le cadre réglementaire LA RESTAURATION COLLECTIVE Notion de «clientèle» captive
Plus en détailL envie de prendre soin de chacun. Restauration Santé
L envie de prendre soin de chacun Restauration Santé Expert de la restauration de santé Elior Restauration Santé est un expert de la restauration sur-mesure dans les hôpitaux et cliniques, en maisons de
Plus en détailGESTION DU RISQUE INFECTIEUX D ORIGINE ALIMENTAIRE DANS LES UNITES DE SOINS
GESTION DU RISQUE INFECTIEUX D ORIGINE ALIMENTAIRE DANS LES UNITES DE SOINS C. DECADE -Dr L. MARTY -D. DEMONTROND Dr C.MANUEL - Dr R.CABRIT - Dr G.MANN Centre Médical de Forcilles 77150 FEROLLES-ATTILLY
Plus en détailCATALOGUE DES FORMATIONS INTRA / INTER 2013 / 2014
CATALOGUE DES FORMATIONS INTRA / INTER 2013 / 2014 2 SOMMAIRE NOTRE OFFRE DE FORMATION INTRA PAGE 3 ALIMENTATION ET SOINS HYGIÈNE ALIMENTAIRE ET HACCP EN CUISINE OU EN OFFICE NOTRE OFFRE DE FORMATION INTER
Plus en détailQualité Sécurité Environnement
Qualité Sécurité Environnement FORMATION AUDIT CONSEIL EXPERTISE >> Catalogue 2014 Nos innovations: e-learning, évaluation des compétences personnalisation Formation Hygiène Alimentaire ISO 9001 : 2008...
Plus en détailDémarche de traçabilité globale
Démarche de traçabilité globale Dr Chi-Dung TA* Responsable Qualité, Danone Vitapole chi-dung.ta@danone.com La traçabilité existe depuis un certain nombre d'années dans les entreprises à des niveaux plus
Plus en détailCENTRE NATIONAL DE LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE CUISINIER EN RESTAURATION COLLECTIVE
CENTRE NATIONAL DE LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE CUISINIER EN RESTAURATION COLLECTIVE ITINÉRAIRES CUISINIER EN RESTAURATION COLLECTIVE CODE ITINÉRAIRE 12M02 CONSEILLER FORMATION : ANGIE SORNETTE -
Plus en détailHOPITECH 2011 - BORDEAUX. L'informatisation de la fonction restauration pour une meilleure gestion
L'informatisation de la fonction restauration pour une meilleure gestion PEDRON Denis Référent Restauration Département de la Politique Logistique Secretariat Général PLAN de L INTERVENTION Historique
Plus en détailVotre Prestataire. Nom : CRM. Activité : Elaboration de menus, fabrication, vente et livraison de repas pour. collectivités.
L esprit qualité De la gestion sur site aux repas livrés avec ou sans personnel, des repas quotidiens aux repas d affaires. CRM propose une large gamme de services. Concepteur, partenaire dans les projets
Plus en détailHygiène, sécurité et équilibre alimentaires dans les accueils collectifs de mineurs (ACM)
MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ALIMENTATION, DE LA PECHE, ET DES AFFAIRES RURALES Hygiène, sécurité et équilibre alimentaires dans les accueils collectifs de mineurs (ACM) Document aimab Document aimablement
Plus en détailProgramme des épreuves des concours externes de recrutement des personnels techniques et administratifs de recherche et de formation
G1 Recrutements des assistants de recherche et de formation...2 G1.1 Assistant gestion de données patrimoniales...2 G1.2 Assistant technique en génie climatique...2 G1.3 Assistant technique en électricité...2
Plus en détailREGLEMENT INTERIEUR DE LA RESTAURATION SCOLAIRE ( ET PERISCOLAIRE EN ANNEXE)
REGLEMENT INTERIEUR DE LA RESTAURATION SCOLAIRE ( ET PERISCOLAIRE EN ANNEXE) Il appartient à la Ville de Meudon d organiser le temps de restauration scolaire (de 11h30 à 13h20) dans les écoles maternelles
Plus en détailREGLEMENT DE FONCTIONNEMENT PORTAGE DE REPAS A DOMICILE
REGLEMENT DE FONCTIONNEMENT PORTAGE DE REPAS A DOMICILE Article 1 Objet du service de portage de repas à domicile Dans le cadre de ses actions «vie autonome», le CCAS de Saint Paul-Trois- Châteaux propose
Plus en détailLES DIFFERENTS SYSTEMES DE RESTAURATION EN EHPAD
LES DIFFERENTS SYSTEMES DE RESTAURATION EN EHPAD Réseau LImousin NUTrition : Journée des directeurs 05 décembre 2014 Pascal Peyronnet Ingénieur hospitalier responsable restauration CHU de Limoges LES DIFFERENTS
Plus en détailLe logo «Fait maison»
Le logo «Fait maison» Voici le logo «Fait maison» qui sera utilisé dans les restaurants, chez les traiteurs, sur les marchés, à partir du 15 juillet 2014. Il indique les plats «faits maison», c est-à-dire
Plus en détailRestauration Scolaire Lycée Français Josué-Hoffet. Cahier des Charges et Contrat 2014
Restauration Scolaire Lycée Français Josué-Hoffet Cahier des Charges et Contrat 2014 Siglaisons et troncation : APE : Association des Parents d Élèves COGES : Comité de Gestion CHSCT : Commission Hygiène
Plus en détailLES METIERS DE LA RESTAURATION COLLECTIVE
LES METIERS DE LA RESTAURATION COLLECTIVE ETUDE ET PROPOSITIONS SEPTEMBRE 2010 SOUS LA PRESIDENCE DE : Bruno BERTHIER, Président du CCC COMITE DE PILOTAGE : Bernard BELLER, GAM BNP Paribas Bruno BERTRAND,
Plus en détailFERRANDI Paris - Formation continue 2015. Une pédagogie active : faire pour savoir faire. Une école réputée pour son excellence
F O R M A T I O N C o n t i n u e 2 0 1 5 Restau r ation arts de l a ta ble / Boul a n gerie Pâtisserie / M A N AGEMENT Une pédagogie active : faire pour savoir faire Le geste, les astuces et tours de
Plus en détailOFFRE DE FORMATIONS MÉTIERS DU TOURISME SOCIAL ET FAMILIAL
OFFRE DE FORMATIONS MÉTIERS DU TOURISME SOCIAL ET FAMILIAL 2013 Uniformation, L organisme paritaire collecteur agréé de l économie sociale FORMATIONS GRATUITES* 2013 * VOIR MOdALITéS de PRISE EN ChARGE
Plus en détailConfectionner des plats, des mets en mettant en œuvre des techniques et des règles de fabrication culinaire.
Confectionner des plats, des mets en mettant en œuvre des techniques et des règles de fabrication culinaire. Evaluer la qualité des produits, Elaboration de nouvelles recettes Avoir des notions de diététiques.
Plus en détailH A C C P. Hazard Analysis, Critical Control Point. Analyse des dangers, maîtrise des points critiques. Programme de formations.
H A C C P Hazard Analysis, Critical Control Point Analyse des dangers, maîtrise des points critiques Objectifs : L'HACCP est une norme de mise en œuvre destinée à évaluer les dangers, et, mettre en place
Plus en détailCirculaire relative aux dispositions applicables aux banques alimentaires et associations caritatives
Agence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire Circulaire relative aux dispositions applicables aux banques alimentaires et associations caritatives Référence PCCB/S3/1092228 Date 02/08/2013
Plus en détailContexte réglementaire en hygiène alimentaire
Contexte réglementaire en hygiène alimentaire 1 Réforme de la législation communautaire pour la restauration collective Approche traditionnelle = obligation de moyens Réglementation Arrêté Ministériel
Plus en détailMARCHE DE RESTAURATION COLLECTIVE CAHIER DES CLAUSES PARTICULIERES APPEL D OFFRES OUVERT
MARCHE DE RESTAURATION COLLECTIVE CAHIER DES CLAUSES PARTICULIERES APPEL D OFFRES OUVERT Identification du pouvoir adjudicateur Identification du service en charge de l exécution du marché Lycée français
Plus en détailCharte de qualité de la restauration scolaire. pour les collégiens d Eure-et-Loir. Les collégiens! A table!
Charte de qualité de la restauration scolaire pour les collégiens d Eure-et-Loir Les collégiens! A table! Juin 2011 1 1. Une attention particulière au cadre des repas Ce qui fait la qualité d un repas,
Plus en détailROURET DELEGATION DE SERVICE PUBLIC DE LA RESTAURATION COLLECTIVE
Commune du ROURET DELEGATION DE SERVICE PUBLIC DE LA RESTAURATION COLLECTIVE 100% Bio CAHIER DES CHARGES 19 avril 2013 PREAMBULE Il est nécessaire de garder à l esprit la nécessité de maintenir la qualité
Plus en détailENQUETE DE SATISFACTION
ENQUETE DE SATISFACTION RESTAURATION SCOLAIRE Chers parents, Nous souhaitons connaître votre avis sur la restauration scolaire de vos enfants. Cette enquête a pour but d évaluer votre degré de satisfaction
Plus en détailPAQUET HYGIÈNE : MODE D EMPLOI
PAQUET HYGIÈNE : MODE D EMPLOI AOÛT 2007 Ce document est une synthèse de cette nouvelle réglementation en matière de sécurité des aliments à destination des diététiciens. Il a été validé par le comité
Plus en détail