DEPISAGE ET CONTRÔLE DES CONDUITES TOXICOPHILES EN ENTREPRISE. Dr C Mercier-Guyon
|
|
- Léonard St-Cyr
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 DEPISAGE ET CONTRÔLE DES CONDUITES TOXICOPHILES EN ENTREPRISE Dr C Mercier-Guyon
2 Faut il dépister et contrôler au travail?
3 Devoirs du médecin de prévention Identifier les comportements individuels à risque et orienter les patients détectés. Protéger de lui-même chaque salarié affecté à un poste de sécurité. Assurer la sécurité pour tous dans l entreprise.
4 Code du Travail Art. L «Il est interdit à tout chef d établissement de laisser entrer ou séjourner des personnes en état d ivresse» Il n est pas précisé qu il s agit d une ivresse alcoolique.
5 Code du Travail Art. L Conformément aux instructions données par l employeur ( ), il incombe à chaque salarié de prendre soin, en fonction de sa formation et selon ses possibilités, de sa sécurité et de sa santé, ainsi que de celles des autres personnes concernées du fait de ses actes ou omissions au travail.
6 Code du Travail Art. R Le médecin du travail peut prescrire les examens complémentaires nécessaires à la détermination de l aptitude au poste de travail et notamment au dépistage des affections comportant une contre-indication à ce poste de travail
7 Conduite à tenir pour le médecin du travail (1) Un dépistage des conduites toxicophiles est juridiquement possible par le médecin du travail, mais dans certains cas et sous certaines conditions. Il y a un intérêt évident à calquer sa pratique sur celle adoptée vis-à-vis de l alcool.
8 Conduite à tenir pour le médecin du travail (2) Constatation par le médecin du travail d un état anormal d un salarié pouvant créer un danger : dans ce cas le dépistage est un examen complémentaire ordinaire (art. R CT)
9 Conduite à tenir pour le médecin du travail (3) Après définition d une liste de postes* de sûreté / sécurité, annexée au règlement intérieur, pratique du dépistage à l embauche des postulants, puis périodiquement. * établie si possible de façon consensuelle au sein du CHST de l entreprise.
10 Conduite à tenir pour le médecin du travail (4) Respect de l éthique médicale indispensable : Salarié prévenu et informé. Droit du salarié à un examen de confirmation par une méthode de référence ainsi qu à une contre expertise. Résultats remis à l employeur uniquement en terme d aptitude.
11 Position Ordinale (1) Interdiction de procéder à des tests de dépistage de toxicomanies sans distinction suivant les emplois postulés. par contre, dans le cas où l usage de drogues peut présenter dans le poste envisagé un risque pour le salarié ou pour autrui, le dépistage est justifié, mais nécessité
12 Position Ordinale (2) 1. d avertir l intéressé de la réalisation du test, 2. que les emplois à risque soient listés et que la liste de ces emplois soit insérée dans le Règlement Intérieur. de plus ; le dépistage ne peut être pratiqué par l employeur, le Médecin du travail demeure seul détenteur et interprète du résultat, la fiche d aptitude ne doit renseigner que sur l aptitude ou l inaptitude, partielle ou totale sans mention de la motivation de la décision.
13 Position du Bureau International du Travail, in «Principes Techniques et Ethiques de la Surveillance de la Santé des Travailleurs : principes directeurs» n 72, 1998 «La surveillance de la santé des Travailleurs devrait comporter toutes les évaluations nécessaires pour protéger la santé des travailleurs, qui pourraient inclure : une évaluation de la santé des travailleurs avant leur affectation à des postes spécifiques qui peuvent comporter un danger pour leur santé ou celle des autres».
14 Problèmes techniques posés par le dépistage Quelles substances rechercher? Quels tests de dépistage (fiabilité)? Quelle matrice (urines, sang, salive, sueur)? Quelle procédure et méthode de confirmation? Quelle traçabilité? Quel suivi ultérieur?
15 Quelles substances rechercher? Alcool. Opiacés (Héroïne, morphine, méthadone, buprénorphine) Cocaïne Amphétamines, métamphétamine Cannabis Autres drogues (PCP, GHB, Kétamine, LSD, Mescaline, Khat, Aya Huesca, etc.)??? Certains médicaments( BZD, Barbituriques, Anti dépresseurs etc.)???
16 LES TESTS DISPONIBLES CANNABIS : THC OPIACES : MOR AMPHETAMINE : AMP METAMPHETAMINE : MET ECSTASY (MDMA): XTC COCAINE : COC PHENCYCLIDINE : PCP METHADONE : MTD BENZODIAZEPINES : BZD BARBITURIQUES : BAR PROPOXYPHENE : PPX TRICYCLIQUES : TCA
17 CINETIQUE DES DROGUES CERMT 2009
18 CANNABIS NEGATIF OPIACES COCAINE POSITIF NEGATIF AMPHETAMINES POSITIF BANDE CONTROLE BANDE TEST
19
20 Quels type de test? Dip test: médecins, douaniers, policiers Pipette: infirmières, labos Cups: peu utilisés en France dans le contexte légal actuel(pas de nécessité de conserver les urines: sang si positif ou 2eme échantillon d urines) Salive: police / gendarmerie
21 COMBINAISONS DE TESTS
22 La prise d un stupéfiant entraîne un passage relativement bref dans le sang, mais la présence de métabolites dans les urines peut être mise en évidence pendant un temps plus long, de 2 à 3 jours pour les opiacés, la cocaïne et les amphétamines, Jusqu à plus de 20 jours pour le cannabis (8 j pour une prise unique)
23 Principe de l analyse en CPG-SM
24 METHODES DE DEPISTAGE: LEURS LIMITES L urine est un milieu dans lequel la concentration en métabolites de drogues est habituellement élevée mais dont la présence traduit plus un usage du produit qu une prise récente Il n existe donc pas de corrélation entre un test urinaire positif et une éventuelle altération comportementale liée à la prise d une drogue
25 QUEL EST LE PRINCIPE DE CES TESTS? Ce sont des tests immunochimiques = basés sur une réaction colorée entre un anticorps antimétabolite de la drogue contenu dans le test et les métabolites de drogues contenus dans l échantillon d urine On distingue 2 types de tests selon le mode de lecture:
26 Les tests avec lesquels la réponse positive apparaît sous la forme d une coloration de la zone de lecture (mais interprétation difficile) Les tests comprenant une bande de contrôle., une 2 ème bande traduisant l absence de drogue dans l échantillon
27 LES MATRICES ALTERNATIVES LA SALIVE Facile à recueillir Relation avec prise récente Mais: Concentrations faibles (Cannabis) Métabolites parfois différents (Cannabis) Température d utilisation Cout
28 LA SUEUR Facile à recueillir Recherche indirecte possible (supports inertes) Accumulation si absence de lavage (Inconvénients sur la route)
29 SUEUR: Cannabis: métabolites Opiacés: métabolites/substance Cocaïne: métabolites/substance Amphétamines métabolites/substance SALIVE: Cannabis:substance Opiacés: métabolites/substance Cocaïne: métabolites/substance Amphétamines métabolites/substance
30 Pas de dispositif de détection dans l air expiré avant dix ans
31 DEPISTAGE URINAIRE PAS DE VALEUR LEGALE (au même titre qu un alcootest) PERSISTANCE PARFOIS PROLONGEE DES DROGUES DANS LES URINES (24 H à plusieurs jours) PAS DE RELATION DIRECTE AVEC UNE ALTERATION COMPORTEMENTALE SIMPLE VALEUR DE SUSPICION DE PRISE
32 QUELS STUPEFIANTS RECHERCHER? Delta 9 THC 50 ng/ml d urine Amphétamines 1000 ng/ml d urine Cocaïne 300 ng/ml d urine Opiacés 300 ng/ml d urine uniquement avec des tests de dépistage enregistrés par l A.F.S.S.A.P.S. et fournis par le biologiste ou les forces de l ordre
33 Durée de détectabilité Urine et sang Cannabis Temps de demi-vie (h) Détection Sang Détection Urine THC 14 à 36 h 2 à 8 h Non Détecté THCCOOH 24 à 72 h 1 à 70 j Seuil de détection art 4,11 arrêté 05/09/01 Seuil de détection analytique par CPG/SM : 0.2 ng/ml de sang THC 1 ng/ml THCCOOH 50 ng/ml THC: Tétrahydrocannabinol THCCOOH: Acide tétrahydrocannabinoïque
34 Durée de détectabilité Urine et sang Opiacés Temps de demi-vie (h) Détection Sang Détection Urine Héroïne 0,05 à 0,15 5 min 1 à 3 h 6-Acétyl morphine 0,6 1 à 2 h 2 à 8 h Morphine 1,9 à 3,1 6 à 12 h 1 à 2 j Codéine 2,4 8 h 24 à 48 h Pholcodine 45 h 48 à 72 h 11 à 20 j Seuil de détection légal (Art 4,11 - Arrêté du 05/09/01) : 20 ng/ml de sang Seuil de détection analytique par CPG/SM (méthode figurant dans l arrêté) : 1 ng/ml de sang
35 Durée de détectabilité Urine et sang Cocaïne et métabolites Temps de demi-vie (h) Détection Sang Détection Urine Héroïne 0,05 à 0,15 5 min 1 à 3 h 6-Acétyl morphine 0,6 1 à 2 h 2 à 8 h Morphine 1,9 à 3,1 6 à 12 h 1 à 2 j
36 Durée de détectabilité Urine et sang Amphétamines Temps de demi-vie (h) Détection Sang Détection Urine Amphétamine 7 à 34 h 12 à 24 h 1 à 3 j Ecstasy 7 à 12 h 6 à 12 h 1 à 3 j Seuil de détection (art 4,11- arrêté 05/09/01) 50 ng/ml 1000 ng/ml Ecstasy: MDMA ou méthylènedioxymethamphétamine
37 LES TESTS DISPONIBLES (Drogues) CANNABIS OPIACES AMPHETAMINE/ METAMPHETAMINE COCAINE PCP METHADONE SUBUTEX BZD, BARBITURIQUES
38 LES TESTS DISPONIBLES (Médicaments) BARBITURIQUES BENZODIAZEPINES OXYCODONE PROPOXYPHENE ANTIDEPRESSEURS TRICYCLIQUES
39 Arrêté 12 Aout 2005
40 LA CONFIRMATION LABORATOIRES AGREES POSSIBILITE CONTRE EXPERTISE RECHERCHE D AUTRES PRODUITS PSYCHOTROPES (EPIDEMIOLOGIE)
41 Aptitude professionnelle et traitements de substitution Expérience de l équipe B FONTAINE Liste des postes concernés Subutex Médecin prescripteur et pharmacien désignés Posologie connue, prise unique quotidienne Dépistage urinaire des autres drogues Détection soigneuse des Pb alcool Aptitude générale au poste
42 MERCI POUR VOTRE ATTENTION
Recherche de drogues et de médicaments par tests rapides d urine (immuno-essais) Informations utiles pour les médecins
Recherche de drogues et de médicaments par tests rapides d urine (immuno-essais) Informations utiles pour les médecins Matthias Pfäffli a, Franz Oswald a, Wolfgang Weinmann b Institut für Rechtsmedizin
Plus en détailFORUM STUPEFIANTS ET CONDUITE AUTOMOBILE Paris, Assemblée Nationale, 18 mai 2001 EDITORIAUX
FORUM STUPEFIANTS ET CONDUITE AUTOMOBILE Paris, Assemblée Nationale, 18 mai 2001 EDITORIAUX ---------------------------------------------------------------------------- Encore un accident stupide. Une
Plus en détailEt de 10! Numéro 10, Juin 2002. Bulletin des CEIPs de Caen et Nantes
Bulletin des CEIPs de Caen et Nantes Numéro 10, Juin 2002 Et de 10! epuis novembre 1997, ce n est pas moins de 10 bulletins du Nord-Ouest dépendance que nous avons eu le plaisir de vous présenter. C'est
Plus en détailLa conduite automobile sous l influence de drogues : recueil d études de recherche
La conduite automobile sous l influence de drogues : recueil d études de recherche La conduite automobile sous l influence de drogues : recueil d études de recherche Fondation de recherches sur les blessures
Plus en détailLes usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction
Les usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction OFDT Note n 2010-12 Saint-Denis, le 09/08/2010 Introduction Les premières structures
Plus en détailGuide. d ivresse. de gestion de la crise. en entreprise
Guide de gestion de la crise d ivresse en entreprise L IVRESSE SUR LES LIEUX DE TRAVAIL Ce guide pratique se veut un outil répondant aux besoins exprimés par les entreprises. Il répond uniquement à la
Plus en détailplus savoir drogues Premier ministre livret juridique
Premier ministre drogues savoir plus livret juridique droit et réglementation actions internationales dispositifs publics données statistiques formation politiques publiques prévention science et recherche
Plus en détailPréposé cantonal à la gestion de l information
Préposé cantonal à la gestion de l information Christian Flueckiger Dr. en droit et avocat Rue du Château 16 CH 2000 Neuchâtel 032.889.40.93 1 Sujets traités : 1. Problématique 2. Bases légales 3. Cas
Plus en détailSTUPÉFIANTS ET ACCIDENTS MORTELS (PROJET SAM)
F O C U S Consommations et conséquences STUPÉFIANTS ET ACCIDENTS MORTELS (PROJET SAM) ANALYSE ÉPIDÉMIOLOGIQUE Bernard LAUMON, Blandine GADEGBEKU, Jean-Louis MARTIN avec la participation du groupe SAM Avril
Plus en détailCompte-rendu de la séance du 20 mars 2014
Séance n 6 Commission des stupéfiants et psychotropes mai 2014 Compte-rendu de la séance du 20 mars 2014 Approuvé par voie électronique le 29 mai 2014 Membres de la Commission présents : Nicolas AUTHIER
Plus en détaild a n s l e t r a i t e m e n t d e
La buprénorphine d a n s l e t r a i t e m e n t d e la dépendance aux opioïdes Lignes directrices du Collège des médecins du Québec et de l Ordre des pharmaciens du Québec juin 2009 table des matières
Plus en détailAlcool et drogues chez les conducteurs
Alcool et drogues chez les conducteurs une enquête routière menée en 21 Douglas J. Beirness et Erin E. Beasley REMERCIEMENTS Ce projet a bénéficié de l appui financier des organismes suivants : Bureau
Plus en détailTableau de bord sur les addictions en Bretagne
DU Addictologie 6 novembre 2014 Tableau de bord sur les addictions en Bretagne Les principaux chiffres clés Tableau de bord sur les addictions en Bretagne http://www.cirdd-bretagne.fr/ http://orsbretagne.typepad.fr/ors_bretagne/
Plus en détailRéponses concrètes. Le Cannabis et l Entreprise
Réponses concrètes Le Cannabis et l Entreprise A propos de ce livret Ce livret prolonge le travail de la rencontre du 29 janvier 2010 «Législation et cannabis de la société à l entreprise» à Lens organisé
Plus en détailma n u e l d e s Dr o i t s d e s Us a g e r s
ma n u e l d e s Dr o i t s d e s Us a g e r s d e Tr a i t e m e n t s d e Su b s t i t u t i o n aux Opiacés Quels sont vos droits? ----------------------------------------- Quel est le cadre légal?
Plus en détailSe libérer de la drogue
Chacun doit savoir qu il peut se libérer de la drogue à tout moment. Se libérer de la drogue Je ne maîtrise plus la situation Longtemps encore après la première prise de drogue, le toxicomane croit pouvoir
Plus en détailRECUEIL DE LEGISLATION. A N 180 27 septembre 2007. S o m m a i r e
MEMORIAL Journal Officiel du Grand-Duché de Luxembourg 3347 MEMORIAL Amtsblatt des Großherzogtums Luxemburg RECUEIL DE LEGISLATION A N 180 27 septembre 2007 S o m m a i r e ABAISSEMENT DU TAUX D ALCOOLEMIE
Plus en détailConsensus SFTA Novembre 2003. Soumission chimique : Prise en charge toxicologique
Consensus SFTA Novembre 2003 Soumission chimique : Prise en charge toxicologique La soumission chimique peut être définie comme l'administration de substances psychoactives à une personne à des fins délictueuses
Plus en détailBases légales. Résumé des articles importants. Loi sur les stupéfiants (Lstup, 812.121)
Résumé des articles importants Bases légales Loi sur les stupéfiants (Lstup, 812.121) Article premier al 1 : Sont des stupéfiants les substances et les préparations ayant des effets du type morphinique,
Plus en détailRÉSUMÉ ANALYTIQUE DRUG MONDIAL SUR LES
RÉSUMÉ ANALYTIQUE RAPPORT WORLD DRUG MONDIAL SUR LES REPORT DROGUES 2014 Résumé analytique Chaque année, le Rapport mondial sur les drogues passe en revue les principales évolutions intervenues sur les
Plus en détailTROUBLES PSYCHIQUES. Troubles addictifs. www.psycom.org
TROUBLES PSYCHIQUES Troubles addictifs www.psycom.org Troubles addictifs SOMMAIRE Quelques définitions p. 02 Diagnostic des troubles addictifs p. 03 Addiction aux drogues illicites p. 04 Addiction aux
Plus en détailAddictions : la continuité des soins des personnes détenues / L articulation entre les professionnels de santé de la prison et du milieu ouvert
soins des personnes détenues Addictions : la continuité des soins des personnes détenues / L articulation entre les professionnels de santé de la prison et du milieu ouvert Pratique(s Addictions: les
Plus en détailEFFICACITE DE LA RPP DANS LA DÉTECTION DE SUBSTANCES ISSUES DES FAMILLES DU MDMA, DES AMPHETAMINES ET DES HALLUCINOGENES TYPE 2CB RECUEILLIES EN MILIEU FESTIF PRADEILLE J.L.*, CHAKROUN N.**, BELTRAN V.*,
Plus en détailLa prise en charge d un trouble bipolaire
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge d un trouble bipolaire Vivre avec un trouble bipolaire Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer
Plus en détailPHÉNOMÈNES ÉMERGENTS TENDANCES RÉCENTES LIÉS AUX DROGUES EN 2005 SUR LE SITE DE PARIS. Tendances récentes et nouvelles drogues
PHÉNOMÈNES ÉMERGENTS LIÉS AUX DROGUES EN 2005 T R E N D Tendances récentes et nouvelles drogues TENDANCES RÉCENTES SUR LE SITE DE PARIS Janvier 2007 PREFECTURE DE LA REGION D ILE-DE-FRANCE REGION ILE-DE-FRANCE
Plus en détailEstimations 2014 des consommations de produits psychoactifs à 17 ans
Estimations des consommations de produits psychoactifs à 17 ans Stanislas Spilka, Olivier Le Nézet et François Beck Note 2015-02 du 21 avril 2015 L enquête ESCAPAD Cette note présente les premières exploitations
Plus en détailINFORMATIONS UTILES À DESTINATION DES ÉTUDIANTS VENANT À MALTE ET GOZO POUR APPRENDRE L ANGLAIS
INFORMATIONS UTILES À DESTINATION DES ÉTUDIANTS VENANT À MALTE ET GOZO POUR APPRENDRE L ANGLAIS INTRODUCTION Bienvenue. Cette brochure a pour but de vous donner des conseils pratiques et des informations
Plus en détailLE SYSTÈME DE JUSTICE PÉNALE DU CANADA GUIDE DES VICTIMES
LE SYSTÈME DE JUSTICE PÉNALE DU CANADA GUIDE DES VICTIMES LE Ce livret est conçu pour aider les victimes à composer avec les séquelles d une collision attribuable à l alcool ou la drogue. Nous souhaitons
Plus en détailDrug Misuse and Treatment in Morocco
Drug Misuse and Treatment in Morocco Fatima El Omari Centre National de Traitement, de Prévention et de Recherche en Addictions, Hôpital Arrazi, CHU Rabat-Salé, Maroc Morocco AFRIQUE Le Maroc Population:
Plus en détailConférence de consensus. Stratégies thérapeutiques pour les personnes dépendantes des opiacés : place des traitements de substitution
Avec la participation de Conférence de consensus Stratégies thérapeutiques pour les personnes dépendantes des opiacés : 23 et 24 juin 2004 Lyon (École normale supérieure) TEXTES DES RECOMMANDATIONS (version
Plus en détailLES TESTS SALIVAIRES EN DBAT
Page 1/6 Drogues au travail LES TESTS SALIVAIRES EN DBAT Que certains salariés se droguent, c'est une évidence statistique. Que certains restent sous l'effet de drogues alors qu'ils sont au travail : c'est
Plus en détailDIRECTION DES SERVICES PROFESSIONNELS GESTION DES STUPÉFIANTS ET DES DROGUES CONTRÔLÉES EN PHARMACIE COMMUNAUTAIRE
NUMÉRO 152 : JUIN 2005 DIRECTION DES SERVICES PROFESSIONNELS GESTION DES STUPÉFIANTS ET DES DROGUES CONTRÔLÉES EN PHARMACIE COMMUNAUTAIRE Depuis quelques années, le Bureau des substances contrôlés (BSC)
Plus en détailLes recommandations de recherche de l expertise INSERM sur la RdR. Patrizia Carrieri INSERM U912 - ORSPACA
Les recommandations de recherche de l expertise INSERM sur la RdR Patrizia Carrieri INSERM U912 - ORSPACA Plan de la présentation Recommandations de recherche de l expertise INSERM Etat d avancement des
Plus en détailInfection par le VIH/sida et travail
Documents publiés dans la collection VIH-sida du ministère de la Santé et de la Protection sociale : COLLECTION VIH/SIDA Sida-MST (maladies sexuellement transmissibles) Transmission - Diagnostic/dépistage
Plus en détailLa dépendance aux médicaments
La dépendance aux médicaments 3 ème Forum Citoyen Espace Mendès-France 28 novembre 2013 Denis Richard Pharmacien Hôpital Henri-Laborit, Poitiers Qu est la dépendance? (1) «Perte de la liberté de s asbtenir»
Plus en détailTableau de bord Tableau de bord. Les addictions. à La Réunion
Tableau de bord Tableau de bord Les addictions à La Réunion Décembre 2011 Tableau de bord sur les addictions à La Réunion Décembre 2011 Page 2 sur 52 SOMMAIRE INTRODUCTION...... 5 OFFRE ET PRODUCTION....
Plus en détailDONNÉES RÉCENTES RELATIVES AUX TRAITEMENTS DE SUBSTITUTION AUX OPIACÉS. Consommations et conséquences
F O C U S Consommations et conséquences DONNÉES RÉCENTES RELATIVES AUX TRAITEMENTS DE SUBSTITUTION AUX OPIACÉS ANALYSE DE DONNÉES DE REMBOURSEMENT CONCERNANT UN ÉCHANTILLON REPRÉSEN- TATIF DE PATIENTS
Plus en détailAddictologie. Pr Romain Moirand UF Addictologie CHU de Rennes
Addictologie Pr Romain Moirand UF Addictologie CHU de Rennes Définition addiction Conduites de consommation de substances psychoactives Physiopathologie simplifiée Les différents produits Définition de
Plus en détailLes approches de réduction des méfaits trouvent un certain appui dans la population québécoise*
INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC Les approches de réduction des méfaits trouvent un certain appui dans la population québécoise* Denis Hamel, statisticien Unité Connaissance-surveillance MISE
Plus en détailLes collectivités territoriales face aux conduites addictives
GUIDE PRATIQUE Les collectivités territoriales face aux conduites addictives Stupéfiants Alcool Tabac REMERCIEMENTS Ministère de la Justice et des Libertés Ministère de l Intérieur, de l Outre mer, des
Plus en détailPLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE
PLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE CHEFIRAT B. Les intoxications aiguës constituent un réel problème de santé publique dont l impact reste encore à évaluer. Le nombre total
Plus en détailrogues et addictions, données essentielles
2013 D rogues et addictions, données essentielles Drogues et addictions, données essentielles Contributions Drogues et addictions, données essentielles est un ouvrage collectif de l Observatoire français
Plus en détailVERBATIM. Assises nationales «Drogues illicites et risques professionnels» - Paris, 25 juin 2010 1
VERBATIM Assises nationales «Drogues illicites et risques professionnels» - Paris, 25 juin 2010 1 Assises nationales «Drogues illicites et risques professionnels» Paris 25 juin 2010 VERBATIM Plan de la
Plus en détailBrochure cannabis 21/02/05 4:17 PM Page 1 cannabis au volant
cannabis au volant Réalisation Association des intervenants en toxicomanie du Québec inc. www.aitq.com Cannabis au volant cool ou risqué? Cette brochure a pour but de t informer de l impact du cannabis
Plus en détailTHÈSE POUR LE DIPLÔME D ÉTAT DE DOCTEUR EN MÉDECINE
UNIVERSITÉ PARIS DIDEROT - PARIS 7 F A C U L T É D E M É D E C I N E Année 20 13 n THÈSE POUR LE DIPLÔME D ÉTAT DE DOCTEUR EN MÉDECINE PAR CUSSAC Fanny Née le 24 février 1984 à Brou sur Chantereine Présentée
Plus en détail"La santé des étudiants en 2015"
Dossier de Presse "La santé des étudiants en 2015" 9 ème Enquête Nationale 1999 2015 Enquête Santé d emevia Depuis plus de 16 ans, à l écoute des étudiants 1 Sommaire EmeVia et les mutuelles étudiantes
Plus en détailProjet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer
DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de
Plus en détailPréface. Comment faire la fête en toute légalité, en toute sécurité?
Préface Comment faire la fête en toute légalité, en toute sécurité? La recherche d un équilibre entre une traditionnelle convivialité festive et les dangers d une consommation excessive d alcool est délicate.
Plus en détailtestez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité!
: t i u t a r g t i Extra testez-vous! Préparez vos partiels en toute sénérité! Enoncé Un fan de casino Vous êtes praticien dans la belle ville d Enghien (célèbre pour son casino ). Vous recevez Joël 43
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détailSynthèse des réflexions
Synthèse des réflexions 5ème Journée de Rencontres Inter-Professionnelles ADDICTION ET PRÉCARITÉ Le 2 février 2008 À l Auberge de Jeunesse DU PORT DU RHIN ------------------------------------ Organisée
Plus en détailRapport d activités 2009
S O I N S P R E V E N T I O N F O R M A T I O N C O N S E I L EN A D D I C T O L O G I E C E N T R E D E S O I N S D 'AC C O M P A G N E M E N T E T D E P R E V E N T I O N E N A D D I C T O L O G I E
Plus en détailREMERCIEMENTS 336 LE SITE ÉTUDIÉ 341 LES ESPACES ÉTUDIÉS 349 LES MÉTHODES DE TRAVAIL UTILISÉES 350 LES USAGERS DE PRODUITS 353 LES PRODUITS 362
LYON 333 REMERCIEMENTS 336 PRÉFACE 337 INTRODUCTION 339 REPÈRES 341 LE SITE ÉTUDIÉ 341 LES ESPACES ÉTUDIÉS 349 LES MÉTHODES DE TRAVAIL UTILISÉES 350 ÉTAT DES LIEUX ET RÉSULTATS DES OBSERVATIONS RÉALISÉES
Plus en détailDOSSIER MEDICAL (à faire remplir obligatoirement par le Médecin et à retourner accompagné du Dossier administratif au Centre Addictologie d Arzeliers)
DOSSIER MEDICAL (à faire remplir obligatoirement par le Médecin et à retourner accompagné du Dossier administratif au Centre Addictologie d Arzeliers) Chère Consœur, Cher Confrère, Ces renseignements médicaux
Plus en détailLa prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin
Plus en détailLa guerre AUX. Rapport de la Commission MONDIAle POUr la politique des drogues. Juin 2011. (version française publiée en septembre 2011)
La guerre AUX drogues Rapport de la Commission MONDIAle POUr la politique des drogues Juin 2011 (version française publiée en septembre 2011) Rapport de la Commission MONDIAle POur la politique des drogues
Plus en détailL. Clivaz Mariotti. Médecine interne FMH RFSM
L. Clivaz Mariotti Médecine interne FMH RFSM Conflits d intérêts Pas de conflit d intérêt Première partie : problèmes somatiques courants Problèmes cutanés Problèmes nutritionnels Problèmes dentaires Problèmes
Plus en détail15ème anniversaire de l unité d addictologie Jean Schiffer e p ier d Portes Ouvertes Jeudi 24 mai 2012
15 ème anniversaire de l unité d addictologie Jean Schiffer Dossier de presse Portes Ouvertes Jeudii 24 maii 2012 Le dossier Les addictions o Définition o Les grandes tendances en termes de conduites addictives
Plus en détailGLUCOMÈTRES POUR CONTRÔLE QUOTIDIEN DU DIABÈTE LANCETTES ET STYLOS PIQUEURS LANCETTES AUTOMATIQUES DE SÉCURITÉ TAMPONS À L ALCOOL
GLUCOMÈTRES POUR CONTRÔLE QUOTIDIEN DU DIABÈTE Glucomètres de pointe. Disponibles seuls ou en kit complet. Le kit comprend: 10 bandelettes, puce d'étalonnage, solution témoin, 10 lancettes stériles, stylo
Plus en détailPROTECTION MALADIE LA COMPLÉMENTAIRE CMU
LA COMPLÉMENTAIRE CMU La complémentaire CMU (Couverture maladie universelle) est une protection maladie complémentaire de service public, gratuite, sous condition de ressources, dont le contenu est défini
Plus en détailSECTION II RELATIVE AU PRÉLEVEUR
SECTION II RELATIVE AU PRÉLEVEUR II-0 INDEX SECTION II Pages Section relative au préleveur Heures d ouvertures des laboratoires pour clients externes Requête régionale II-2 II-2 II-3 Informations requises
Plus en détailProposition de loi. réglementant la vente des substances stupéfiantes et psychotropes dans le cadre d une expérience de santé publique
[1] Proposition de loi réglementant la vente des substances stupéfiantes et psychotropes dans le cadre d une expérience de santé publique (modifiant la loi du 24 février 1921 - Loi concernant le trafic
Plus en détailLES DROGUES ET LA LOI
34 RÉPONSES AUX 34 QUESTIONS LES PLUS FRÉQUENTES SUR LES DROGUES ET LA LOI www.drogues.gouv.fr [rubrique questions / réponses] LES DROGUES ET LES LOIS : ETAT DES LIEUX, ETAT DU DROIT... 3 RAPPELS GENERAUX...
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux (NOAC)
Nouveaux anticoagulants oraux (NOAC) Mécanisme d action Suivi biologique: comment et quand? A.Demulder IRIS-Lab 15/05/2013 1 Anticoagulants «traditionnels»: HNF Parentéral Suivi biologique avec ajustement
Plus en détailLoi sur le transport de voyageurs
Projet de la Commission de rédaction pour le vote final Loi sur le transport de voyageurs (LTV) Modification du 26 septembre 2014 L Assemblée fédérale de la Confédération suisse, vu le message du Conseil
Plus en détailLe coût social de la consommation de drogues illégales en Suisse
Le coût social de la consommation de drogues illégales en Suisse Rapport final Claude Jeanrenaud Gaëlle Widmer Sonia Pellegrini Institut de recherches économiques et régionales 2005 TABLE DES MATIERES
Plus en détailTests rapides de dépistage
Tests rapides de dépistage Maladies infectieuses Marqueurs cardiaques Marqueurs de tumeurs Grossesse Rhumatologie Allergies Drogues > Pour un diagnostic rapide et économique > Résultats exacts et fiables
Plus en détailCAPACITE DE GERIATRIE
TRAITEMENT DE LA DOULEUR CHEZ LE SUJET AGE CAPACITE DE GERIATRIE 11.03.2009 Dr Françoise ESCOUROLLE-PELTIER Unité de Soins Palliatifs - Équipe Mobile Hôpital BRETONNEAU CONSEQUENCES DE LA PRISE EN CHARGE
Plus en détailUSAGES NON SUBSTITUTIFS
USAGES NON SUBSTITUTIFS DE LA BUPRÉNORPHINE HAUT DOSAGE Investigation menée en France, en 2002-2003 T R E N D Tendances récentes et nouvelles drogues Serge ESCOTS Georges FAHET Juin 2004 USAGES NON SUBSTITUTIFS
Plus en détailIntoxication par les barbituriques
Intoxication par les barbituriques GH. Jalal, S. Achour, N. Rhalem, R. Soulaymani 1. Cas clinique : L unité d information toxicologique du Centre Anti Poison du Maroc a été contactée par une clinique privée
Plus en détailTABLEAU DE BORD SUR LES ADDICTIONS
TABLEAU DE BORD SUR LES ADDICTIONS A LA REUNION réalisé par l Observatoire Régional de la Santé de La Réunion 5 ème édition : octobre 27 En 21, le Comité de Lutte contre la Drogue et de Prévention des
Plus en détailSecourisme en milieu de travail et responsabilité des différents acteurs.
1 Secourisme en milieu de travail et responsabilité des différents acteurs. S. ARTIGNAN 1 (1) assistant en médecine du travail, Ecole d application du service de santé des armées, BP n 1, 00466 - Armées
Plus en détailRéduction des risques
Réduction des risques chez les usagers de drogues Synthèse et recommandations Expertise collective Expertise collective - 2-30/06/2010 Ce document présente la synthèse et les recommandations du groupe
Plus en détailSommaire des documents de la base documentaire 15189 v2012 01/11/2013
La base documentaire a été complètement révisée pour être en conformité avec cette version 2012 de l ISO 15189. La cartographie des différents processus du LBM a également été modifiée (suppression du
Plus en détail«Dépistage et gestion du mésusage de substances psychoactives (SPA) susceptibles de générer des troubles du comportement en milieu professionnel»
«Dépistage et gestion du mésusage de substances psychoactives (SPA) susceptibles de générer des troubles du comportement en milieu professionnel» PREAMBULE (rédigé par la SFMT) La surveillance médicale
Plus en détailCHEZ LES ADOLESCENTS ET LES JEUNES, À DESTINATION DES ADULTES. Risques routiers et consommation de produits psychoactifs
ZAP06 Zoom Addictions Prevention 06 LETTE D INFOMATIONS PATAGÉES SU LA PÉVENTION DES ADDICTIONS CHEZ LES ADOLESCENTS ET LES JEUNES, À DESTINATION DES ADULTES isques routiers et consommation de produits
Plus en détailL immunoenzymologie. Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic cificité des anticorps pour leurs nes
L immunoenzymologie Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic Basée e sur la très s grande spécificit cificité des anticorps pour leurs antigènes nes Test qualitatif Détection
Plus en détailPrise de position sur les biosimilaires. Résumé
Prise de position sur les biosimilaires Résumé Les médicaments biotechnologiques, appelés également biomédicaments, occupent une place importante dans le traitement de maladies comme le cancer, la polyarthrite
Plus en détailEXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE
EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation
Plus en détailTITRE III SANTÉ DES SPORTIFS ET LUTTE CONTRE LE DOPAGE. Chapitre II. Lutte contre le dopage. Section 3. Agissements interdits et contrôles
TITRE III SANTÉ DES SPORTIFS ET LUTTE CONTRE LE DOPAGE Chapitre II Lutte contre le dopage Section 3 Agissements interdits et contrôles Sous-section 1 Organisation des contrôles Paragraphe 2 Examens et
Plus en détailwww.fgtb.be Travail & vie privée Votre employeur peut-il TOUT savoir de vous?
www.fgtb.be Travail & vie privée Votre employeur peut-il TOUT savoir de vous? Travail & vie privée Votre employeur peut-il TOUT savoir de vous? -5- Tables des matières Avant-propos.................................................................................................................................................................................
Plus en détailEVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines
EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet
Plus en détaildonnées à caractère personnel (ci-après la "LVP"), en particulier l'article 29 ;
1/9 Avis n 22/2014 du 19 mars 2014 Objet : demande d'avis concernant un projet d'arrêté royal réglementant les traitements par les médicaments de substitution (CO-A-2014-006) La Commission de la protection
Plus en détailLes cyberaddictions. Daniele Zullino Médecin chef de service Privatdocent Faculté de Médecine UNIGE. Service d addictologie
Les cyberaddictions Daniele Zullino Médecin chef de service Privatdocent Faculté de Médecine UNIGE Centre collaborateur OMS pour la recherche sur les addictions Agenda C est quoi une addiction? L addiction
Plus en détailMédicaments contre la douleur Ce que vous devez savoir au sujet des analgésiques opiacés
Médicaments contre la douleur Ce que vous devez savoir au sujet des analgésiques opiacés Médicaments contre la douleur Ce que vous devez savoir au sujet des analgésiques opiacés Developé pour le Centre
Plus en détailLES ADDICTIONS. Docteur Sandrine TRAPE Chef de Clinique Assistante en Psychiatrie CHU de Fort de France. le 15/04/11
LES ADDICTIONS Docteur Sandrine TRAPE Chef de Clinique Assistante en Psychiatrie CHU de Fort de France Du produit à l addiction Auparavant l accent était mis sur la substance alcool/drogue qui était diabolisée
Plus en détailAPERÇU DE LA CONSOMMATION À DES FINS NON MÉDICALES DES MÉDICAMENTS SUR ORDONNANCE ET DES QUESTIONS DE JUSTICE PÉNALE AU CANADA
APERÇU DE LA CONSOMMATION À DES FINS NON MÉDICALES DES MÉDICAMENTS SUR ORDONNANCE ET DES QUESTIONS DE JUSTICE PÉNALE AU CANADA Rédigé par : Benedikt Fischer 1, PhD Jürgen Rehm 2, PhD Jude Gittins 3, M.Sc
Plus en détailLe cannabis en question(s)
Le cannabis en question(s) Quelle nocivité présente le cannabis? Il n y a pas de réponse simple à cette question. Les risques liés à la consommation de cannabis sont en effet variables. Ils sont différents
Plus en détailGUIDE PRATIQUE. Repères pour une politique de prévention des risques liés à la consommation de drogues en milieu professionnel
GUIDE PRATIQUE Repères pour une politique de prévention des risques liés à la consommation de drogues en milieu professionnel Stupéfiants Alcool REMERCIEMENTS Ont contribué à la rédaction de ce guide :
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détailLa formation comme levier de changement des pratiques
Place des pharmaciens d officine au sein du réseau Onco 94 Ouest La formation comme levier de changement des pratiques 2 ème congrès des Réseaux de cancérologie Rouen Atelier : place de la formation 3
Plus en détailLe cannabis en question(s)
Le cannabis en question(s) Quelle nocivité présente le cannabis? Il n y a pas de réponse simple à cette question. Les risques liés à la consommation de cannabis sont en effet variables. Ils sont différents
Plus en détailApplication de l ingénierie des systèmes d information institutionnels au domaine financier dans le contexte des accords de Bâle II Abdelaziz KHADRAOUI Contact: abdelaziz.khadraoui@cui.unige.ch Forum International
Plus en détailBien vous soigner. avec des médicaments disponibles sans ordonnance. juin 2008. Douleur. de l adulte
Bien vous soigner avec des médicaments disponibles sans ordonnance juin 2008 Douleur de l adulte Douleur de l adulte Ce qu il faut savoir La douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable,
Plus en détailSi seulement j avais su. Informations sur les effets de l alcool sur la conduite automobile.
Si seulement j avais su Informations sur les effets de l alcool sur la conduite automobile. Chère lectrice, cher lecteur Consommation d alcool et conduite automobile ne font pas bon ménage. On le sait
Plus en détailDiagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux
Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055
Plus en détailALCOOL ET AUTRES DROGUES
ALCOOL ET AUTRES DROGUES RISQUES PSYCHOSOCIAUX ALCOOL ET AUTRES DROGUES Manuel pour une politique de prévention au travail risques psychosociaux Novembre 2012 SPF Emploi, Travail et Concertation sociale
Plus en détailMERCI DE RETOURNER LE BON DE PRISE EN CHARGE ET/OU LA FICHE RÉCAPITULATIVE DANS L ENVELOPPE T
À l attention du bénéficiaire : BILAN SANTÉ RETRAITE AUTO-QUESTIONNAIRE Ce questionnaire servira de fil conducteur à la consultation avec votre médecin traitant. À l issue de l entretien, vous pouvez soit
Plus en détail