SURVEILLANCE DE LA QUALITE DE L AIR EN CHAMPAGNE-ARDENNE MDA, 2 rue Léon Patoux, CS 50001, Reims Cedex Tél : Fax :

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1 2014 CAMPAGNE DE MESURE DE LA POLLUTION TRAFIC A VITRY-LE- FRANCOIS Faubourg de Chalons 24 mai au 28 juillet octobre au 31 décembre 2014 SURVEILLANCE DE LA QUALITE DE L AIR EN CHAMPAGNE-ARDENNE MDA, 2 rue Léon Patoux, CS 50001, Reims Cedex Tél : Fax : contact@atmo-ca.asso.fr Website:

2 CONDITIONS DE DIFFUSION Diffusion libre pour une réutilisation ultérieure des données dans les conditions ci-dessous : Toute utilisation partielle ou totale de ce document devra porter la mention : "Source d'information ATMOCA-ETS-AA " Les données contenues dans ce document restent la propriété d'atmo Champagne- Ardenne. ATMO Champagne-Ardenne n est en aucune façon responsable des interprétations, travaux intellectuels et publications diverses issus de ce document et pour lesquels elle n aurait pas donné d accord préalable. PERSONNES EN CHARGE DU DOSSIER Rédaction : Relecture : Approbation : Arounothay Anne, Chargée d études Chrétien Eve, Ingénieur responsable d études Drab-Sommesous Emmanuelle, Directrice Référence du rapport : ATMOCA-ETS-AA Date de publication : 03/07/2015 1/19

3 SOMMAIRE INTRODUCTION... 3 I. PRESENTATION DE L ETUDE POLLUANTS MESURES ENVIRONNEMENT ET CARACTERISTIQUES DU SITE D IMPLANTATION SITE DE MESURE... 5 II. RESULTATS DE L ETUDE CONDITIONS METEOROLOGIQUES EXPLOITATION DES RESULTATS Dioxyde d azote NO Profil de l étude et comparaison avec les stations de fond de Vitry-le-François et Châlons-en- Champagne, et des stations trafic de Reims et Epernay... 8 Profils hebdomadaire et journalier Rapport NO/NO Comparaison à la réglementation Comparaison aux autres stations Poussières fines PM Profils hebdomadaire et journalier Comparaison à la réglementation Comparaison aux autres stations CONCLUSION /19

4 INTRODUCTION En 2012, ATMO Champagne-Ardenne avait déployé des capteurs de dioxyde d azote (NO 2 ) sur l agglomération de Vitry-le-François, afin de réaliser une carte d interpolation statistique en dioxyde d azote (NO 2 ) et d appréhender sur une année la spatialisation du NO 2 à l échelle de l agglomération. La cartographie annuelle obtenue par interpolation statistique a permis de confirmer le respect de la réglementation sur les sites d exposition moyenne. Lors de cette campagne, trois points en bordure de voirie présentaient des teneurs supérieures à la valeur limite annuelle réglementaire (40 μg/m 3 ). Ceci implique une vérification par une méthode de mesure de référence d un éventuel dépassement réglementaire sur l un de ces trois points. Dans ce contexte, une campagne de mesure par unité mobile a été menée en 2014 sur le Faubourg de Chalons, point de mesure ayant présenté la teneur annuelle la plus importante lors de la campagne Cette étude s est déroulée sur deux saisons afin que les mesures soient représentatives de l année : Période de mesure estivale : du 24 mai au 28 juillet 2014 Période de mesure hivernale : du 25 octobre au 31 décembre Les mesures ont concerné le dioxyde d azote (NO 2 ) et les poussières fines (PM 10 ), polluants émis en partie par le trafic routier. 3/19

5 I. PRESENTATION DE L ETUDE 1. POLLUANTS MESURES Conformément aux exigences de la directive 2008/50/CE du 21 mai 2008 concernant la qualité de l air ambiant, une période minimale de 14 % de l année soit 8 semaines est requise pour l évaluation annuelle des teneurs de polluants. Pour cette étude, les mesures se sont déroulées sur 8 semaines en été et également en hiver. Le dioxyde d azote émis en grande partie par le trafic routier et les poussières fines émises dans une moindre mesure ont été suivis. Le tableau 1 récapitule les différents polluants suivis dans le cadre de cette étude, et pour chacun d entre eux, la méthode de mesure et la durée de l échantillonnage. Les sources et les effets de ces polluants figurent en ANNEXE. Tableau 1 : Récapitulatif des polluants mesurés Polluants Méthode de mesure Durée Oxydes d azote (NO 2 +NO) Poussières fines dont le diamètre est inférieur à 10 µm (PM10) Analyseur Norme NF EN d octobre 2012 Analyseur Norme XP CEN/TS de juillet 2013 Mesure en continu Mesure en continu 2. ENVIRONNEMENT ET CARACTERISTIQUES DU SITE D IMPLANTATION Vitry-le-François présente une configuration particulière. Ville de forme carrée, elle représente un carrefour routier grâce à la route RN 4 de Paris à Strasbourg, en direction de Saint-Dizier et du Sud de la France et la RN 44 de Reims à Vitry-le-François. Le Faubourg de Châlons, le long duquel a été implantée l unité mobile d intervention (UMI), fait la jonction avec la RN 44, et de ce fait présente un trafic routier soutenu. En effet, cette 2 voies, d une largeur de 8 mètres et bordée des 2 côtés de pistes cyclables, est empruntée par véhicules par jour, dont 22% de poids lourds. Une règlementation permanente pour la circulation des poids lourds a été mise en place en 2012, leur imposant le contournement du centre-ville. Cet itinéraire imposé fait du Faubourg de Châlons une artère privilégiée pour rejoindre la RN 44, la déviation branche est ou encore la RN4. 4/19

6 Les voies et artères principales ainsi que la densité de population de l agglomération de Vitry-Le- François sont indiqués sur les figures 1 et 2. L implantation de l unité mobile d intervention (UMI) est également indiquée. Avenue du Quai des Fontaines N44 Vers Reims Châlonsen-Champagne Rue Saint-Abdon UMI Faubourg de Chalons UMI Figures 1et 2: Plan des voies et artères principales et densité de population de Vitry-le-François 3. SITE DE MESURE L unité mobile a été placée le long du Faubourg de Chalons, au numéro 69, pour y effectuer des mesures dites de «proximité trafic». Le choix de cet emplacement a permis d allier les objectifs de l étude aux contraintes techniques du terrain (respect des règles d implantation, métrologie, alimentation en électricité). La figure 3 présente la disposition de l unité mobile le long de la rue. 5/19

7 Emplacement de l unité mobile Figure 3 : Localisation du site de mesure Photo 1 : Implantation de l unité mobile 6/19

8 II. RESULTATS DE L ETUDE 1. CONDITIONS METEOROLOGIQUES Du fait du rôle important des conditions atmosphériques sur la dispersion, l abattement et la réactivité chimique des polluants, différents paramètres ont été suivis au cours de la campagne de mesures. Les figures 4 et 5 récapitulent la température moyenne, la pluviométrie, et la rose des vents issues de la station Météo-France de Frignicourt pour les 2 périodes d étude. Figures 4 et 5: Paramètres météorologiques de la campagne de mesure du 24 mai au 28 juillet 2014 Figures 6 et 7: Paramètres météorologiques de la campagne de mesure du 25 octobre au 31 décembre 2014 Du 24 mai au 28 juillet 2014 : Cette période de mesure se caractérise par une alternance de fraicheur et de chaleur, de sécheresse et de pluie, en lien avec des changements de flux d air. Les températures journalières les plus basses avoisinent les 15 C et les maximales atteignant les 26 C. Quant aux précipitations, une nette dégradation pluvieuse est observée les 2 premières de juillet, avec un cumul maximum journalier atteignant les 26 mm le 9 juillet. Concernant les vents, ils proviennent majoritairement des secteurs sud-sud-ouest à nord-nord-est. Les vents les plus forts ont soufflé dans les secteurs nord et ouest-sud-ouest. 7/19

9 Du 25 octobre au 31 décembre 2014 : Cette période de mesure alterne entre douceur et ambiance hivernale pour se terminer sous un important refroidissement à partir du 26 décembre. Un temps perturbé est observé du 10 au 25 décembre, s accompagnant de passages pluvieux fréquents et d un net radoucissement. Les vents proviennent majoritairement du secteur sud-sud-ouest et dans une moindre mesure du nordnord-est, secteurs dans lesquels ont été observés les vents forts. 2. EXPLOITATION DES RESULTATS Définitions : Station dite de «fond» : station permettant le suivi de l exposition moyenne de la population aux phénomènes de pollution atmosphérique de fond dans les centres urbains. Station dite «trafic» : station permettant la fourniture d informations sur les concentrations mesurées dans des zones représentatives du niveau maximum d exposition auquel la population, située en proximité d une infrastructure routière, est susceptible d être exposée. Avant-Propos : Suite à un problème de température à l intérieur de l unité mobile, les données ont été invalidées du 5 au 18 juin puis du 23 au 25 juin D autre part, une coupure de courant a occasionné la perte de données du 14 au 16 décembre. L analyseur de NO 2 de la station de fond de Vitry-le-François était indisponible du 25 octobre au 10 décembre. La station de fond la plus proche du site étudié a donc été employée pour les comparaisons Dioxyde d azote NO 2 Profil de l étude et comparaison avec les stations de fond de Vitry-le-François et Châlons-en-Champagne, et des stations trafic de Reims et Epernay La figure 8 présente l évolution des teneurs moyennes journalières en dioxyde d azote au niveau : De l unité mobile «trafic» installée «Faubourg de Chalons», Des stations fixes de fond de Vitry-le-François et de Châlons-en-Champagne, Des stations dites «trafic» de Reims et Epernay. 8/19

10 24/05/14 27/05/14 30/05/14 02/06/14 05/06/14 08/06/14 11/06/14 14/06/14 17/06/14 20/06/14 23/06/14 26/06/14 29/06/14 02/07/14 05/07/14 08/07/14 11/07/14 14/07/14 17/07/14 20/07/14 23/07/14 26/07/14 27/10/14 30/10/14 02/11/14 05/11/14 08/11/14 11/11/14 14/11/14 17/11/14 20/11/14 23/11/14 26/11/14 29/11/14 02/12/14 05/12/14 08/12/14 11/12/14 14/12/14 17/12/14 20/12/14 23/12/14 26/12/14 29/12/14 Concentration (µg/m3) Vitry_Trafic_NO2 Vitry_Fond_NO2 Reims_Trafic_NO2 Chalons_Fond_NO2 Epernay_Trafic_NO Période estivale Période hivernale Figure 8: Evolution journalière en dioxyde d azote au cours de la campagne de mesure Les concentrations en dioxyde d azote issues des sites en proximité trafic et des stations de fond sont fortement corrélées. L unité mobile installée «Faubourg de Chalons» présente des niveaux plus faibles que ceux de la station «trafic» de Reims mais plus élevés que sur la station «trafic» d Epernay. D autre part, les concentrations de l unité mobile sont supérieures à celles des stations de fond. On observe ainsi que sur ce site, les émissions provenant du trafic routier s ajoutent aux concentrations de fond. D une façon générale, en fond ou en proximité du trafic routier, les moyennes mesurées sont plus élevées lors de la période hivernale. Plusieurs phénomènes en sont à l origine : Des conditions de dispersion des polluants moins favorables durant la période dite hivernale du fait de phénomènes d inversion thermique, Des températures plus basses en période froide impliquant l utilisation d une nouvelle source d émissions de dioxyde d azote : le chauffage. Pour les stations trafic de Vitry-le-François et de Reims, cette variabilité saisonnière est beaucoup plus faible. Les niveaux sont dans l ensemble homogènes sur les 2 périodes étudiées, en lien avec un trafic routier plus soutenu et les émissions de dioxyde d azote qui en émanent. Le tableau 2 présente les concentrations moyennes ainsi que les maximas horaires et journaliers enregistrés pour le dioxyde d azote au niveau : Des stations «trafic» de Reims et Epernay De les stations «de fond» de Vitry-le-François et de Châlons-en-Champagne De l unité mobile situé «Faubourg de Chalons». 9/19

11 Heure (TU) Tableau 2 : Moyennes, maximas journaliers et horaires en dioxyde d'azote au cours de l'étude Moyenne de la campagne (µg/m 3 ) Maximum journalier (µg/m 3 ) (de minuit à minuit) Vitry_Trafic Epernay_Trafic Reims_Trafic Chalons_Fond Vitry_Fond 33 27(28*) 44(47*) 14(15*) le 12/11 47 le 30/10 98 le 16/07 37 le 31/12 27 le 30/12 Maximum horaire (µg/m 3 ) 94 le 01/ le 30/ le 17/07 60 le 31/12 60 le 16/12 *Moyenne annuelle réelle Pour la station de Vitry, la moyenne annuelle réelle ne peut être calculée car il y a eu moins de 75% de données valides sur l année. Un écart de 1 µg/m 3 est observé entre la moyenne de la campagne de mesure et la moyenne annuelle sur la station «de fond» de Châlons-en-Champagne. Pour les stations «trafic», cet écart varie de 1 à 3 µg/m 3 pouvant laisser pressentir une possible sous-estimation de la concentration mesurée sur le site «trafic» de Vitry-le-François. Pour le vérifier, un outil de reconstitution des données a été utilisé pour reconstituer la moyenne obtenue sur la campagne à partir des données des stations «de fond» de Vitry-le-François et de Châlons-en-Champagne. Cet outil ne démontre pas de différence entre la moyenne reconstituée et la moyenne obtenue sur la campagne, et confirme ainsi la valeur de 33 µg/m 3. La station «trafic» de Reims présente une moyenne plus élevée que celle du site «trafic» de Vitryle-François, ainsi que des maxima horaires et journaliers 2 fois plus élevés. Le site «trafic» de Vitry-le-François présente en revanche une moyenne plus élevée que celle de la station «trafic» d Epernay. Les maxima horaires et journaliers sont du même ordre de grandeur. Profils hebdomadaire et journalier Les figures 9 et 10 présentent l évolution moyenne, durant la campagne de mesure, des teneurs en dioxyde d azote au cours d une semaine type et au cours d une journée type au niveau des cinq sites de mesures. 23:00 22:00 21:00 20:00 19:00 18:00 17:00 16:00 15:00 14:00 13:00 12:00 11:00 10:00 9:00 8:00 7:00 6:00 5:00 4:00 3:00 2:00 1:00 0:00 Epernay_Trafic_NO2 Chalons_Fond_NO2 Reims_Trafic_NO2 Vitry_Fond_NO2 Vitry_Trafic_NO Concentration (µg/m3) Figure 9 : Profil journalier des teneurs en dioxyde d'azote au cours de la campagne de mesure 10/19

12 Dimanche Samedi Vendredi Mercredi Epernay_Trafic_NO2 Chalons_Fond_NO2 Reims_Trafic_NO2 Vitry_Fond_NO2 Vitry_Trafic_NO2 Jeudi Mardi Lundi Concentration (µg/m3) Figure 10 : Profil hebdomadaire des teneurs en dioxyde d'azote au cours de la campagne de mesure Ces graphiques mettent en évidence l influence du trafic routier sur les teneurs en dioxyde d azote. L évolution journalière et hebdomadaire est similaire sur les trois sites «trafic» avec : Des niveaux moyens plus élevées en milieu de semaine, et les niveaux les plus bas le weekend en lien avec la diminution sensible du trafic routier, principale source d émission du dioxyde d azote. Des niveaux horaires moyens plus élevés associés aux heures de pointes de circulation du matin et du soir, et les valeurs les plus basses au cours de la nuit et de l après-midi. Les sites à proximité du trafic routier se distinguent par des niveaux de concentration bien plus élevés ainsi que par une variabilité des teneurs plus prononcée, traduisant la proximité de la source automobile. Rapport NO/NO 2 Le tableau 3 présente les rapports de concentrations NO/NO 2 au niveau de l unité mobile, de la station de fond de Vitry-le-François et des stations trafic de Reims et Epernay durant la campagne de mesure. Tableau 3 - Ratios NO/NO 2 durant la campagne Vitry_Fond Vitry_Trafic Reims_Trafic Epernay_Trafic Ratio NO/NO 2 (ppb) Du fait de la conversion progressive du NO en NO 2 par oxydation avec différents constituants présents dans l air, un rapport élevé en un point permet de traduire la proximité de la source. Dans le cas présent, le rapport NO/NO 2 au niveau de l unité mobile et de la station trafic de l agglomération rémoise apparait nettement supérieur à ceux de la station de fond de Vitry-le-François, ce qui confirme la proximité de la source de l unité mobile, à savoir le trafic routier. Le ratio sur le site «trafic» de Vitry-le-François est plus élevé que celui du site «trafic» de Reims, qui est situé avenue Doumer. La composition du trafic et notamment la répartition «véhicules légers/poids lourds» a une influence sur le ratio, qui tend à l augmentation avec le nombre de poids 11/19

13 lourds 1. Sur le Faubourg de Chalons à Vitry-le-François, les poids lourds représentent à eux seuls 22% du trafic moyen journalier (soit 3400 poids lourds par jour), alors que sur l avenue Doumer ils ne représentent que 3.3% du trafic moyen journalier (soit 800 poids lourds par jour). Comparaison à la réglementation Le tableau 4 confronte les résultats obtenus sur le site «Faubourg de Chalons» à la réglementation en vigueur pour l année 2014 (Décret n du 21 octobre 2010). Tableau 4 - Réglementation pour le NO 2 (Décret n du 21 octobre 2010) NO 2 en µg/m 3 Moyenne de la campagne Maximum horaire Unité mobile Faubourg de Chalons Réglementation Seuil d évaluation inférieur Valeurs annuelles Seuil d évaluation supérieur 32 Valeur limite 40 Valeur horaire Seuil d information et de recommandation 200 Avec une moyenne annuelle estimée de 33 µg/m 3, le seuil d évaluation supérieur, niveau au-delà duquel il est permis pour évaluer la qualité de l air, d utiliser une combinaison de mesures fixes et de techniques de modélisation et/ou de mesures indicatives, a été dépassé. La valeur limite en NO 2 en revanche n est pas dépassée. Avec un maximum horaire de 93 µg/m 3, le seuil d information et de recommandation n a pas été atteint. Comparaison aux autres stations La figure 11 récapitule la situation de la concentration moyenne en NO 2 mesurée lors de cette étude avec celles de l ensemble des stations fixes de Champagne-Ardenne. Figure 11- Comparaison des teneurs en NO 2 à celles des autres stations La concentration moyenne en dioxyde d azote au niveau de l unité mobile implantée «Faubourg de Chalons» se situe dans la fourchette de concentrations des stations «trafic» de la région. 1 «Observations du ratio [NO2]/[NO x] en tunnel routier», Pollution Atmosphérique n /19

14 24/05/14 27/05/14 30/05/14 02/06/14 05/06/14 08/06/14 11/06/14 14/06/14 17/06/14 20/06/14 23/06/14 26/06/14 29/06/14 02/07/14 05/07/14 08/07/14 11/07/14 14/07/14 17/07/14 20/07/14 23/07/14 26/07/14 27/10/14 30/10/14 02/11/14 05/11/14 08/11/14 11/11/14 14/11/14 17/11/14 20/11/14 23/11/14 26/11/14 29/11/14 02/12/14 05/12/14 08/12/14 11/12/14 14/12/14 17/12/14 20/12/14 23/12/14 26/12/14 29/12/14 Concentration (µg/m3) 2.2. Poussières fines PM 10 La figure 12 présente l évolution des teneurs moyennes journalières en poussières fines (PM10) au cours de la campagne de mesure au niveau : De l unité mobile «en proximité trafic» installée Faubourg de Chalons, Des stations fixes de fond de Reims (station Jean d Aulan) et Châlons-en-Champagne, Des stations «trafic» de Reims et Epernay. Pour information, la station «de fond» de Vitry-le-François» est dédiée uniquement à la surveillance de l ozone et du dioxyde d azote, et de ce fait n est pas équipée d un analyseur de poussières. Vitry_Trafic_PM10 Reims_Fond_PM10 Reims_Trafic_PM10 Chalons_Fond_PM10 Epernay_Trafic_PM Période estivale Période hivernale Figure 12: Evolution journalière en poussières fines au cours de la campagne de mesure Les concentrations en poussières fines issues des deux sites en proximité trafic et des stations de fond sont fortement corrélées. A noter que les niveaux observés en période hivernale sont plus élevés, du fait de conditions de dispersions des polluants moins favorables à cette période avec des phénomènes d inversion thermique, et des émissions dues au chauffage. Pour les stations trafic de Vitry-le-François et de Reims, à l image du dioxyde d azote cette variabilité saisonnière est beaucoup moins marquée, avec des niveaux dans l ensemble homogènes sur les 2 périodes étudiées. Le tableau 5 présente les concentrations moyennes ainsi que les maximas horaires et journaliers enregistrés pour les poussières fines au niveau de l unité mobile «en proximité trafic» installée 13/19

15 Heure (TU) Faubourg de Chalons, ainsi que des stations fixe de fond de Reims et Châlons-en-Champagne, et des stations «trafic» de Reims et Epernay. Tableau 5 : Moyennes, maximas journaliers et horaires en poussières fines au cours de l'étude Moyenne de la campagne (µg/m 3 ) Maximum journalier (µg/m 3 ) (de minuit à minuit) Vitry_Trafic Epernay_Trafic Reims_Trafic Reims_Fond Chalons_Fond 22 20(22*) 24(26*) 17 (19*) 19(19*) 53 le 31/12 47 le 30/10 47 le 18/11 37 le 18/07 43 le 18/07 Maximum horaire (µg/m 3 ) 97 le 01/ le 18/07 92 le 18/11 84 le 18/ le 18/07 *Moyenne annuelle réelle. Une possible sous-estimation de la moyenne est pressentie au regard de la comparaison entre la moyenne annuelle réelle des stations «trafic» et «fond» et la moyenne obtenue à partir de la campagne. Pour le vérifier, la moyenne sur la campagne du site trafic a été reconstituée à l aide d un outil statistique et par le biais des deux stations «de fond» de Reims et Châlons-en-Champagne. Elle se révèle être de 23 µg/m 3, confirmant la sous-estimation de la concentration moyenne du site «Faubourg de Chalons». Profils hebdomadaire et journalier Les figures 13 et 14 présentent l évolution moyenne au cours de la campagne de mesure des teneurs en poussières fines au cours d une semaine type et au cours d une journée type au niveau des cinq sites de mesures. 23:00 22:00 21:00 20:00 19:00 18:00 17:00 16:00 15:00 14:00 13:00 12:00 11:00 10:00 9:00 8:00 7:00 6:00 5:00 4:00 3:00 2:00 1:00 0:00 Epernay_Trafic_PM10 Chalons_Fond_ PM10 Reims_Fond_PM10 Reims_Trafic_PM10 Vitry_Trafic_PM Concentration (µg/m3) Figure 13- Profil journalier des teneurs en poussières fines 14/19

16 Epernay_Trafic_NO2 Chalons_Fond_PM10 Reims_Fond_PM10 Reims_Trafic_PM10 Vitry_Trafic_PM10 Dimanche Samedi Vendredi Jeudi Mercredi Mardi Lundi Concentration (µg/m3) Figure 14- Profil hebdomadaire des teneurs en poussières fines Sur cette campagne de mesure, les variations de concentrations en poussières fines au cours de la journée sont moins marquées que pour le dioxyde d azote, les sources de PM 10 étant multiples (le chauffage en particulier l hiver ainsi que les émissions secondaires liées à la source agricole). Par ailleurs, des niveaux moyens plus élevés sont observés en milieu de semaine et les niveaux les plus bas le week-end. Comparaison à la réglementation Le tableau 6 confronte les résultats obtenus sur le site «Faubourg de Châlons» à la réglementation en vigueur pour l année 2014 (Décret n du 21 octobre 2010). PM 10 en µg/m 3 Unité mobile Faubourg de Chalons Réglementation Tableau 6 - Réglementation pour les PM 10 (Décret n du 21 octobre 2010) Seuil d évaluation inférieur 20 Moyenne de la campagne Moyenne maximale sur 24h 23* 42 le 31/12 à 14h Valeurs annuelles Seuil d évaluation supérieur 28 Valeur limite 40 Moyenne sur 24h à 8h et 14h** Seuil d information et de recommandation 50 *Moyenne reconstituée à l aide d un outil statistique **Moyenne journalière calculée à 8h et 14h selon les arrêtés préfectoraux en vigueur en Champagne-Ardenne Avec une moyenne annuelle reconstituée de 23 µg/m 3, seul le seuil d évaluation inférieur est dépassé, niveau au-delà duquel une combinaison de mesures et de techniques de modélisation peut être 15/19

17 employée pour évaluer la qualité de l air ambiant. La valeur limite annuelle en PM 10 n est par conséquent pas non plus dépassée. Aucun dépassement du Seuil d Information et de Recommandation (SIR) fixé à 50 µg/m 3 n a été constaté au niveau de l unité mobile sur cette campagne de mesure. Néanmoins compte tenu des niveaux mesurés, il est fort probable qu il soit dépassé lors des épisodes de grande ampleur de pollution aux particules. Comparaison aux autres stations La figure 15 récapitule la situation de la concentration moyenne en PM 10 mesurée lors de cette étude avec celles de l ensemble des stations fixes de Champagne-Ardenne. Figure 135- Comparaison des teneurs en PM 10 à celles des autres stations La concentration moyenne reconstituée en poussières fines pour le site «trafic» Faubourg de Chalons se situe dans la gamme des concentrations moyennes des sites trafic de la région. 16/19

18 CONCLUSION Une cartographie annuelle réalisée en 2012, à l aide de mesures indicatives, avait mis en évidence un risque de dépassement de la valeur limite réglementaire en NO 2 sur trois sites en bordure de voiries. Ainsi en 2014, ATMO Champagne-Ardenne a déployé une unité mobile équipée d analyseurs de référence sur un des trois secteurs soumis à l influence du trafic à Vitry-Le-François, afin d y évaluer l impact de la pollution trafic. La campagne de mesure a eu lieu «Faubourg de Chalons» du 24 mai au 28 juillet et du 25 octobre au 31 décembre Les mesures ont concerné le dioxyde d azote (NO 2 ) émis en grande partie par le trafic routier et les poussières fines (PM 10 ) émises dans une moindre mesure par ce secteur. Avec une moyenne annuelle estimée en dioxyde d azote de 33 µg/m 3, la valeur limite en NO 2 fixée à 40 µg/m 3 n a pas été dépassée. Avec un maximum horaire de 93 µg/m 3, le seuil d information et de recommandation de 200 µg/m 3 n a pas non plus été atteint au cours de cette campagne de mesure. Néanmoins le seuil d évaluation supérieur fixé pour le NO 2 est dépassé, niveau au-delà duquel une combinaison de mesures et de techniques de modélisation peut être employée pour évaluer la qualité de l air ambiant. D autre part, la concentration moyenne en dioxyde d azote au niveau de l unité mobile implantée «Faubourg de Chalons» se situe dans la fourchette basse de concentrations des stations «trafic» de la région. Avec une concentration moyenne reconstituée en PM 10 de 23 µg/m 3, seul le seuil d évaluation inférieur a été dépassé. La concentration moyenne reconstituée en PM 10 au cours de cette étude se situe en deçà de la valeur de l objectif de qualité et reste donc inférieure à la valeur limite annuelle de 40 µg/m 3. Aucun dépassement de la valeur du Seuil d Information et de Recommandation (SIR) fixé à 50 µg/m 3 n a été constaté au niveau de l unité mobile au cours de la campagne de mesure. D autre part la concentration se situe dans la gamme des concentrations des sites trafic de la région. Au cours de cette campagne de mesure, l étude du ratio NO/NO 2 a mis en évidence l influence du trafic poids lourds sur les teneurs mesurées. Cette étude a ainsi montré que le ratio NO/NO 2 tend à augmenter avec le nombre de poids lourds. 17/19

19 Sources ANNEXE : Sources et effets des polluants mesurés Dioxyde d azote NO 2 Le monoxyde d azote (NO) et le dioxyde d azote (NO 2 ) sont émis lors des phénomènes de combustion. Le NO 2 est issu de l oxydation du NO. En Champagne-Ardenne, les sources principales sont le transport routier à 58% puis l agriculture à 18%. Pour l agglomération de Vitry-le-François, les sources principales sont le transport routier à 60% puis le bâtiment et l industrie respectivement à 20% et 19%. Le pot catalytique a permis, depuis 1993, une diminution des émissions des véhicules à essence. Par ailleurs, l entrée en vigueur de la norme EURO III pour les poids lourds en 2002 et la norme EURO IV en 2005 pour les véhicules particuliers accompagnée d une stabilité du parc roulant contribue également à cette diminution. (Source : Inventaire ATMO Champagne Ardenne A10M12-01-Secten12) Contributions aux émissions de NOx en Champagne-Ardenne pour l année 2010 Contributions aux émissions dans l agglomération de Vitry-le-François pour l année 2010 Effets sur la santé et sur l environnement Le dioxyde d azote est un gaz irritant pour les bronches. Chez les asthmatiques, il augmente la fréquence et la gravité des crises. Chez l enfant, il favorise les infections pulmonaires. Le dioxyde d azote participe au phénomène des pluies acides, à la formation de l ozone troposphérique, dont il est l un des précurseurs, à l atteinte de la couche d ozone stratosphérique et à l effet de serre. Sources Poussières fines PM 10 Les particules ou poussières en suspension liées à l activité humaine proviennent majoritairement d activités industrielles très diverses (sidérurgie, incinération ), des transports (gaz d échappement, usure, frottements ) et du secteur résidentiel (chauffage, ). Leur taille et leur composition sont très 18/19

20 variables. Les particules sont souvent associées à d autres polluants (HAP). Dans cette étude sont mesurées les poussières de diamètre inférieur à 10 micromètres (PM 10 ). En Champagne-Ardenne les contributeurs principaux d émissions sont l agriculture à 55%, suivi par le bâtiment à 22% et l industrie à 14%, le transport routier ne représente que 8% de la contribution. En revanche à Vitry-le-François, les contributeurs principaux sont le bâtiment à 45%, suivi du transport routier à 28% et de l industrie à 19%. (Source : Inventaire ATMO Champagne Ardenne A10M12-01-Secten12) Contributions aux émissions de PM 10 en Champagne-Ardenne pour l année 2010 Contributions aux émissions de PM 10 dans l agglomération de Vitry-le-François pour l année 2010 Effets sur la santé et sur l environnement Selon leur taille (granulométrie), les particules pénètrent plus ou moins profondément dans l arbre pulmonaire. Les particules les plus fines peuvent, à des concentrations relativement basses, irriter les voies respiratoires inférieures et altérer la fonction respiratoire dans son ensemble. Certaines particules ont des propriétés mutagènes et cancérigènes. Les effets de salissure des bâtiments et des monuments sont les atteintes à l environnement les plus perceptibles. 19/19

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