MED-Amin: une initiative multilatärale de suivi des marchäs pour la säcuritä alimentaire en MÄditerranÄe
|
|
- Anne Gauvin
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 MED-Amin: une initiative multilatärale de suivi des marchäs pour la säcuritä alimentaire en MÄditerranÄe Christine Ton Nu Adjointe au Directeur, CIHEAM-Montpellier Co-coordinatrice du råseau MED-Amin Nicolas Martin Consultant, CIHEAM-Montpellier Co-coordinateur du råseau MED-Amin Pour obtenir plus d informations sur le råseau et ses activitås, vous pouvez consulter le site mais Ågalement vous abonnez É la Newsletter de MED-Amin La crise alimentaire, associåe aux crises financiñre et Åconomique, en a fait prendre conscience au monde, et en particulier aux pays dåpendant pour se nourrir du commerce extårieur, de la fragilitå des stratågies nationales de såcuritå alimentaire appuyåes principalement sur les marchås internationaux. Les pics de prix enregistrås ces annåes-lé sur les denråes agricoles de base ont engendrå de fortes hausses des factures d importation, des pics de prix sur certains marchås domestiques, et parfois des difficultås, råelles ou surjouåes, É se procurer des approvisionnements en produits de base. Les Åmeutes contre la vie chñre qui en ont råsultå ont contribuå dans certains pays É l instabilitå politique. En 2011, le G20 a råuni les ministres de l agriculture pour Ålaborer un Plan d'action sur la volatilitå des prix alimentaires et sur l'agriculture fondå sur cinq piliers : råinvestir dans l'agriculture mondiale pour "produire plus et mieux" (i) ; Ö accroütre la transparence des marchås á (ii) ; Ö amåliorer la coordination internationale pour pråvenir et gårer les crises á (iii); Ö dåvelopper des outils de gestion du risque liå É la volatilitå des prix agricoles á (iv) ; Ö råguler les marchås de dårivås de matiñres premiñres agricoles á (v). Un systñme d'information sur les marchås internationaux, baptiså AMIS, a ÅtÅ mis en place avec l aide d une dizaine d organisations internationales É partir de Quatre ans aprñs la premiñre ministårielle agricole organisåe par la France en 2011, la PrÅsidence turque du G20 a choisi en 2015 de replacer l agriculture en haut de l agenda pour discuter de la durabilitå des systñmes alimentaires et de lutte contre les pertes et gaspillages. En parallñle d AMIS, initiative É vocation mondiale, des pays partageant des intåràts au niveau rågional se sont par ailleurs Ågalement rapprochås pour råflåchir É la mise en place de systñmes d information partagåe sur les marchås agricoles. MED-Amin pour la MÅditerranÅe et AFSIS pour l Asie en sont deux exemples, que nous pråsenterons en juxtaposition d AMIS (figure 1). Nous nous proposons donc dans cet article de pråsenter l organisation fonctionnelle gånårique des initiatives d information de marchå, de pråsenter les trois initiatives majeures les illustrant (MED-Amin, AMIS, AFSIS), dont le poids dans les productions cåråaliñres mondiales est diffårent (figure 2) et de nous interroger sur les axes de complåmentaritå et de convergence de ces diffårentes initiatives. Nous conclurons en dessinant quelques pistes d Åvolution potentielle, notamment pour MED-Amin.
2 Figure 1 AMIS, MED-AMIN, AFSIS : trois initiatives, trois cartographies MED-Amin Area Figure 2 AMIS, MED-AMIN, AFSIS : trois räalitäs cäräaliåres späcifiques
3 Fournir une information de qualitä sur l Ävolution des marchäs cäräaliers : une näcessitä partagäe L intåràt d une collaboration pour accroütre la transparence des marchås des produits stratågiques que sont les cåråales ne fait aucun doute. Ainsi, en Asie, le riz est l ÅlÅment central de la diñte de millions de personnes. En MÅditerranÅe, le blå constitue la base de l alimentation de la plupart des pays. La rågion Afrique du Nord Moyen Orient est la premiñre rågion importatrice au monde de ce produit (environ 30% des imports mondiaux actuellement). Les cåråales constituent Ågalement des produits sujets aux Åchanges : la part de la production qui se retrouve dans le commerce international va de 8% pour le riz, É 10% pour le maäs, 15% pour l orge et jusqu É 20% pour le blå. Il est ainsi de premiñre importance pour les pouvoirs publics d àtre informås le mieux possible sur les marchås de ces produits vitaux pour leurs populations et pour la stabilitå des pays (Abis, 2015). Krylov (UNCTAD, 2010), citant FAO (1997), dåfinit la fonction d information de marchå (Ö Market information á) comme un service Ö habituellement gårå par une entitå du secteur public, impliquant la collecte råguliñre d information sur les prix, et dans certains cas, sur les volumes de marchandises ÅchangÅs massivement sur les marchås. Cette mission inclut Ågalement la dissåmination d information råguliñre et råactive sur des mådias divers, É l attention des fermiers, traders, dåcideurs, ou tout autre public concernå, y compris les consommateurs. á Dans le màme esprit, le rapport intitulå Ö Panorama des Acteurs ClÅs de la production et l Åchange d information sur la såcuritå alimentaire et nutritionnelle á publiå en mars 2014 par le Food Security Information Network (FSIN) 1 propose un cycle de l information pour la prise de dåcision en matiñre de såcuritå alimentaire et nutritionnelle qui montre tout l intåràt d une bonne base d information pour agir en faveur de la såcuritå alimentaire (figure 3). Figure 3 Cycle de l information pour la prise de däcision en matiåre de säcuritä alimentaire et nutritionnelle (Repris et traduit librement de FSIN, 2014). 1 Le FSIN est une initiative lancåe en collaboration par la FAO, l IFPRI et le PAM et ayant pour objectif la mise en place d une communautå de pratiques, la mise en place d un ensemble de måthodologies, outils, standards et indicateurs orientås acteurs et le renforcement des capacitås nationales et rågionales autour de la collecte, l analyse et la prise de dåcision autour de la såcuritå alimentaire et nutritionnelle. Pour plus d information :
4 Pourquoi suivre les marchäs agricoles? Selon Krylov, l information sur les marchås cåråaliers reste trop souvent concentråe dans les mains d une poignåe d acteurs (notamment les acteurs les plus importants dans le secteur du trading de commoditås), la majoritå des parties prenantes n ayant que peu ou pas d information sur les marchås. Le problñme inverse peut parfois se poser, l information Åtant trop importante ou trop dispersåe : son analyse est alors rendue difficile par le temps nåcessaire É sa compilation et sa vårification. Cette situation peut cråer des dålais dans la prise de dåcision ou amener É l inverse É des prises de dåcision Ö de crise á peu ou mal informåes. Les sources d information, quand elles existent, ne sont pas toujours organisåes. De plus, des biais d interpråtation et un certain manque d objectivitå peuvent parfois àtre relevås dans la maniñre dont elles sont pråsentåes par les diffårents acteurs impliquåes dans la chaüne de production et de commerce. En consåquence, la mission d information publique sur les marchås É laquelle s attachent les råseaux et systñmes d information pråsentås dans cet article peut permettre de favoriser la transparence, c est-é-dire, la connaissance, par toutes les parties prenantes, des prix de marchås ainsi que toute autre information pertinente É leur analyse. Cette transparence permet une allocation des ressources productives plus efficace, une amålioration de la position de någociation des parties, la råduction des coãts de transaction via la råduction des risques, la råduction des incertitudes de marchås liåes au manque d information. Elle amåliore la connaissance des opportunitås de marchås et doit s attacher É fournir des informations utiles pour les parties impliquåes dans les Åchanges, au bon moment. Elle permet enfin d Ålaborer des stratågies de såcuritå alimentaire informåes et d anticiper l offre et la demande, les besoins et les difficultås É venir, É court ou long terme. Cette mission d information de marchå peut se diviser en quatre fonctions successives : La collecte d information La transmission, le traitement (conversion, harmonisation) et le traitement des donnåes La dissåmination de l information L utilisation de l information Le renforcement de ces quatre fonctions successives s appuie en prioritå sur la dåfinition de måthodes d analyse et d indicateurs communs et sur le renforcement des capacitås institutionnelles et humaines susceptibles de porter ce cycle d information. Dans un second temps, la mise en place de systñmes d information adaptås peut faciliter tout É la fois la dissåmination des råsultats et la collecte harmonisåe au sein des diffårents pays participants. Les däcideurs sont les premiers bänäficiaires d un meilleur cycle d information sur les marchäs cäräaliers L information collectåe et le processus d harmonisation des donnåes se veulent råsolument orientås vers les dåcideurs. Le but des systñmes d information est de leur permettre de dåtecter rapidement les modifications dans la structure des marchås, afin d adapter efficacement leurs politiques (politiques d Åchange, de soutien interne, fiscales, etc.). Ce cadre thåorique pouvant se råaliser sous diffårentes configurations, nous pråsentons É la suite, trois exemples d initiatives contraståes ayant pour fonction l amålioration du cycle d information de marchås É l usage des dåcideurs.
5 Trois initiatives räcentes de suivi des marchäs cäräaliers Le tableau ci-dessous pråsente une vue synthåtique comparative des trois initiatives qui sont dåveloppåes ci-aprñs.
6 MED-Amin (Mediterranean Agricultural Information Network) L initiative a vu le jour gråce É l impulsion politique des ministres de l agriculture du CIHEAM qui ont råclamå la cråation de ce råseau rågional en Sa concråtisation s est faite dåbut 2014 : le råseau MED- Amin a ÅtÅ lancå officiellement par les ministres de l agriculture des 13 Etats membres du CIHEAM lors de la 10Ñme råunion ministårielle tenue É Alger en fåvrier MED-Amin vise É dåvelopper la compråhension mutuelle des pays måditerranåens, afin de fournir une plus grande transparence et une information de plus grande qualitå sur les marchås alimentaires måditerranåens pour relever le dåfi de la såcuritå alimentaire. L intitulå de ce råseau est un signal fort lancå par les pays, car l adjectif amin en arabe renvoi É la notion de Ö confiance á. MED-AMIN, coordonnå par le CIHEAM, vise É favoriser la coopåration et le partage d expåriences entre les systñmes d information nationaux sur les marchås agricoles des 13 pays membres du CIHEAM pour lesquels des points focaux ont ÅtÅ nommås. Ce råseau est dådiå dans un premier temps aux cåråales (blå, maäs, orge et riz), stratågiques pour la såcuritå alimentaire des pays måditerranåens. L Åvolution des prix, les Åchanges et la stabilitå de l offre de ces produits vitaux constituent en effet des pråoccupations majeures pour les populations et les autoritås publiques. L activitå de MED-Amin se caractårise par : - des råunions pråsentielles råguliñres permettant d instaurer la connaissance råciproque et la confiance et d amåliorer la coopåration et l Åchange entre les membres ; - la collecte de donnåes autour des cåråales couvertes par le råseau, la connaissance des måthodologies et des bases statistiques ; - des analyses de ces donnåes de base et leur publication destinåe en prioritå aux dåcideurs ; - une veille permettant d amåliorer la connaissance des marchås cåråaliers, et le renforcement des capacitås auprñs des membres en exprimant le besoin. Ces activitås doivent permettre de poser les bases d un meilleur suivi de la såcuritå alimentaire dans la rågion MÅditerranÅe et pourrait mener É terme É l Åtablissement d une base de donnåes, d un systñme d alerte pråcoce et plus gånåralement d une meilleure coordination entre les pays. Faisant le bilan de sa premiñre annåe d activitå, le råseau a publiå en avril 2015 un rapport d activitås retraçant les grandes lignes de ses premiñres råalisations de La collaboration a pris corps É travers deux råunions É Paris et É Izmir, et s est concråtisåe par une premiñre collecte de donnåes statistiques sur le blå tendre et le blå dur sur les six derniñres annåes calendaires. Un ensemble d outils de communication a Ågalement vu le jour É l usage des membres du råseau et du grand public (site web, newsletter, fil d actualitå, brochures, pråsence sur les råseaux sociaux). Le rapport dågage les constats, lacunes et pistes d amåliorations qui doivent permettre au råseau d approfondir la portåe de ses actions et met ainsi en avant quatre axes de travail : 1. AmÅliorer la complåtude des donnåes recueillies : il est possible d amåliorer la mise É jour des donnåes (annåe en cours ou annåe achevåe), et le recueil de donnåes sur les stocks, les utilisations (humaines, animales, etc.), les pertes ou les prix notamment (rarement reportås et souvent non harmonisås entre les diffårents pays) ; 2. DÅpasser les disparitås entre les måthodologies de collecte de donnåes des pays membres : en 2015, le råseau a ainsi mis en place, dans le cadre d une seconde collecte de donnåes plus complñte, des formulaires adaptås ainsi qu un manuel en français et en anglais visant É guider les points focaux dans la collecte et la vårification de la cohårence des donnåes transmises ; 3. Valider les donnåes : É cette fin, un dialogue bilatåral a ÅtÅ initiå avec les points focaux, afin d approfondir la compråhension du contexte de collecte des donnåes et de mettre en place les corrections nåcessaires, le cas ÅchÅant. MED-Amin travaille en collaboration Åtroite avec AMIS, avec les services de l Union europåenne (CE, CCR/ MARS, GLOBSTAT ) et s inscrit en complåmentaritå des initiatives existantes au plan mondial (CIC, USDA, FAOSTAT, etc.) ; 4. Harmoniser les donnåes recueillies pour leur analyse, comparaison et agrågation : MED-Amin råalise en 2015 des bilans cåråaliers sur la base des annåes commerciales nationales en Åquivalent grains, requårant notamment la collecte de donnåes sur les taux d extraction relatifs au diffårents produits de transformation (farine, semoule, malt, riz usinå, etc.) couverts par le råseau. En 2015, une collecte de donnåes sur les cinq commoditås a donc ÅtÅ effectuåe, dont les råsultats seront discutås lors d une råunion É Rome dåbut octobre. Une publication de type Ö Policy brief á É destination des dåcideurs devrait àtre diffusåe É l automne 2015.
7 AMIS (Agricultural Market Information System) CrÅÅ en 2011 É la demande du G20, l initiative AMIS est une plateforme interinstitutionnelle dont l objectif est d accroütre la transparence des marchås alimentaires internationaux et de favoriser une meilleure coordination des politiques visant É råpondre aux incertitudes sur ces marchås. AMIS råpond ainsi É l absence de base de donnåes de råfårence fournissant une information råguliñre et adaptåe sur les grandes såries statistiques nåcessaires au suivi efficace des marchås mondiaux : demande, offre, stocks et disponibilitås É l export. Il råpond ensuite aux faiblesses dans la production de donnåes nationales pråcises, harmonisåes et mises en perspective, pouvant àtre dålivråes dans un horizon temporel adaptå É une prise de dåcision rapide par les dåcideurs (contrairement aux statistiques). Sa cråation a donc ÅtÅ fondåe sur la reconnaissance d un manque d information adaptåe sur les stocks, les prix domestiques, et la transmission des mouvements de prix entre marchås internationaux et domestiques, ainsi que sur les risques affårents de råponses inappropriåes ou non-coordonnåes face aux crises de marchå. AMIS est caractåriså par un double måcanisme. Sa premiñre composante, technique, est portåe par un groupe d experts (le Groupe d information sur le marchå alimentaire mondial) se råunissant deux fois par an et produisant une analyse sur quatre produits de base (blå, maäs, riz, soja) nourrissant le second måcanisme. Celui-ci, politique, est incarnå par une pråsidence tournante, Ålue par les pays membres, un comitå de pilotage repråsentant les organisations internationales, et un Forum de råaction rapide, comitå de dåcideurs de haut niveau se råunissant au minimum une fois par an pour coordonner les Åventuelles råponses aux crises sur les marchås. Une partie importante de l activitå AMIS consiste en l harmonisation des måthodologies permettant d intågrer les statistiques nationales. De plus, AMIS a su installer son Ö Market Monitor á comme une publication mensuelle de råfårence sur les marchås cåråaliers, intågrant analyses, synthñse des tendances et des prix, et repråsentations cartographiques des pråvisions de culture, gråce É sa collaboration avec GEOGLAM (Group on Earth Observation Global Agricultural Monitoring Initiative). CEOGLAM est une initiative du G20 qui produit notamment le Ö Crop Monitor á, synthñse cartographique mensuelle reflåtant les conditions de culture É la fin de chaque mois, et dåveloppe le Ö Crop assessment tool á, un systñme de base de donnåes et de visualisation des donnåes satellitaires couvrant l avancåe et les conditions des råcoltes. L initiative vise É constituer un systñme de suivi et d alerte mondial É partir de donnåes satellitaires. AMIS a par ailleurs mis en place une activitå de recherche en pilotant la mise en place d Åtudes de cas ayant permis d analyser les måthodes É adopter pour une estimation plus pråcise des cåråales utilisåes dans l alimentation animale, d Åtudier les måcanismes de transmission des prix entre l Åchelle mondiale et le niveau local, les liens entre alimentation et Ånergie et d explorer les connaissances mondiales en matiñre d estimation des stocks. AMIS organise des ateliers thåmatiques techniques, dåveloppe un programme d Åchange permettant É des points focaux de se former au cours de såjours intensifs au sein de l Åquipe d AMIS, localisåe dans les locaux de la FAO É Rome et s attache enfin É une activitå de renforcement des capacitås initialement avec cinq pays cibles : Bangladesh, Inde, NigÅria, Philippines et Thaälande. Comme l ont souhaitå les ministres du G2O et du CIHEAM, les liens entre AMIS et MED-Amin sont solides, les experts d AMIS intervenant råguliñrement pour informer ou conseiller les membres de MED-Amin et les duplications Åtant ÅvitÅes autant que possible. AFSIS (Asean Food Security Information System) LancÅe en 2003, AFSIS est une initiative ASEAN+3 (l organisation rågionale Ö Association des Nations du Sud-Est Asiatique á) É laquelle participent par ailleurs la Chine, le Japon et la RÅpublique de CorÅe. Les objectifs d AFSIS incluent la facilitation de la planification face aux problåmatiques de såcuritå alimentaire, ainsi que leur suivi et Åvaluation de cette planification par la mise en place d un processus de collecte, analyse et dissåmination syståmatique des donnåes et informations liåes É la såcuritå alimentaire. Historiquement, son action s est concentråe autour de deux axes stratågiques : le dåveloppement des capacitås et un systñme d information spåcifique. La premiñre phase du projet a ÅtÅ achevåe avec le lancement du site web et de la base de donnåes AFSIS recueillant des informations sur la production, les imports et exports, prix de marchås, utilisations et stocks pour chacune des commoditås suivies (riz, maäs, soja, canne É sucre, manioc).
8 La phase 2 du projet, initiåe en 2008, s est caractårisåe par le renforcement des activitås de la phase 1, auxquelles se sont ajoutås le dåveloppement d un systñme d alerte pråcoce (Early Warning Information Report), une publication prospective sur l Åvolution des commoditås suivies (Agricultural Commodity Outlook), un processus de coopåration technique inter-pays (par binèmes). En , AFSIS a råaliså 7 sessions de formation de deux semaines sur des thñmes divers (Ö SystÑmes d information de såcuritå alimentaire AFSIS á, Ö Collecte de donnåes de statistiques agricoles, Analyse et dissåmination d information á, Ö Techniques de pråvisions et dåveloppement d Åtude prospective agricole á, Ö Introduction aux Techniques et connaissances nåcessaires É la planification statistique agricole á, etc.). S appuyant sur l expertise de JAXA (Japan Aerospace Exploration Agency), AFSIS a commanditå par ailleurs le dåveloppement de JASMIN (JAxa s Satellite-based MonItoring Network), un systñme de suivi satellitaire des avancåes de råcoltes pour le riz. AchevÅe en 2012, la phase 2 a fait place É une råflexion visant É rendre l initiative AFSIS pårenne, É travers la signature d un accord multilatåral engageant les pays É cette fin. En septembre 2014, les ministres assemblås au Myanmar ont notå les progrñs råalisås dans ce processus et la nåcessitå de procåder selon une approche graduelle, nåcessitant en prioritå le renforcement des capacitås au niveau local. Les 16 ministres de l agriculture de l ASEAN+3 se råuniront le 12 septembre 2015 É l International Rice Research Institute (IRRI). Cette råunion sera une nouvelle occasion de renforcer AFSIS. Dans ce cadre, un plan d'action stratågique pour la såcuritå alimentaire rågionale a ÅtÅ conçu, intågrant un plan de dåveloppement agricole É long terme d une part et la facilitation du commerce d autre part. En effet, les pays ont une situation contraståe en matiñre de production agricole : ainsi pour le riz, certains pays, tels que le Vietnam ou la Thaälande, sont exportateurs, tandis que d autres comme les Philippines ou l'indonåsie, en sont importateurs. Un programme national est dåveloppå pour chaque pays de l ASEAN+3 pour renforcer ses capacitås de production durable, et un agenda rågional est Ågalement ÅlaborÅ, les deux Åchelles d action Åtant reliåes par le dåveloppement du commerce inter-pays dans la rågion et par le soutien de la compåtitivitå export vers les marchås europåen et africain. Quelles convergences entre les trois initiatives? Les trois initiatives pråsentent des dynamiques propres reflåtant notamment les objectifs gouvernant leur mise en place ainsi que la culture spåcifique de leur institution d accueil, de leurs membres et secråtariat. Ainsi, le råseau AMIS se distingue par exemple par l accent particulier mis sur les marchås internationaux et leur dynamique, le råseau MED-Amin par les spåcificitås propres aux Åchanges måditerranåens, AFSIS par la mise en place programmåe d un systñme informatique spåcifique de suivi des indicateurs de såcuritå alimentaires. MalgrÅ ces spåcificitås, trois axes sont a minima communs É l ensemble des approches pråsentåes. D une part, le nåcessaire travail d harmonisation des måthodologies spåcifiques de collecte de donnåes des diffårents pays participants. DeuxiÑmement, la nåcessitå d une compråhension plus fine des marchås agricoles, et des dynamiques de transmission des prix entre les diffårents niveaux (local, international, etc.). Enfin, l utilitå de soutenir la transparence sur l information et le renforcement des capacitås en matiñre d analyse de l Åvolution des marchås (accñs aux donnåes, publicitå, objectivitå des ÅlÅments d analyse proposås, etc.). Ces trois axes doivent àtre combinås pour permettre qu É terme, les pays importateurs puissent råduire leur facture d importation. Cet objectif requiert une meilleure compråhension des besoins d importations des pays dåpendants et doit aussi pouvoir s appuyer sur une analyse fine des prix obtenus lors des någociations d achats sur les marchås internationaux. En termes de collaboration, un axe de mutualisation des ressources, tel que recommandå par le FSIN (FSIN 2015), devrait àtre dåveloppå, notamment autour de la diffusion råguliñre d information sur l Åvolution des grands indicateurs (cours du påtrole, taux de change, ) et cours de råfårences cåråaliers, et ce É l usage tant des analystes privås que des instances gouvernementales membres des diffårents råseaux. Un second axe de collaboration peut se dessiner avec les institutions pratiquant une analyse plus micro-åconomique, permettant de nourrir l analyse macroåconomique et de mettre en perspective les statistiques fournies par les pays, notamment en termes d utilisations (humaines, animales, etc.), de pertes, ou de prix observås au niveau local.
9 Conclusion CrÅÅes initialement comme un måcanisme de renforcement des capacitås (AFSIS), comme un outil de coordination des råponses politiques (AMIS), ou comme le våhicule d une coopåration renforcåe entre les pays d une màme zone (MED-Amin), les trois initiatives pråsentåes font avancer progressivement la transparence des marchås cåråaliers, la coopåration multilatårale et la connaissance des problåmatiques cåråaliñres ; elles contribuent en cela É l objectif d amålioration de la såcuritå alimentaire tel qu identifiå dans les futurs Objectifs de DÅveloppement Durable de l agenda international post-2015 (objectif nä2). Elles partagent des dåfis communs de travail en coopåration en confiance et d harmonisation des donnåes, mais aussi des questionnements. Les prochaines Åtapes du dåveloppement de ces initiatives ouvrent diffårentes alternatives : utilisation de donnåes gåo-satellitaires (plutèt orientåe vers des pråvisions de production), utilisation de donnåes micro collectåes directement auprñs des agriculteurs, des intermådiaires ou des consommateurs (permettant de s interroger sur les problåmatiques de råsilience), amålioration de l information douaniñre (permettant de mieux suivre les questions logistiques et commerciales), recherches d options politiques permettant de råduire la dåpendance alimentaire de maniñre soutenable, etc. Nul doute que de nombreuses avancåes sont possibles dans ces domaines. Bibliographie / Plus d informations Abis, S. (2015), GÄopolitique du blä, Un produit vital pour la säcuritä mondiale, Editions IRIS-Armand Colin. AMIS (2014), Rapport intärimaire sur le syståme d information sur les marchäs agricoles (AMIS), 70Ñme session du ComitÅ des Produits de la FAO. AMIS: Market Monitor FAO, 1997, Market Information Services and Their Problems, Andrew Sheperd, Programme FAO Approvisionnement et distribution alimentaires des villes, Collection ÖAliments dans les Villesá FSIN (2014), Landscape of Key Actors Producing and Sharing Information for Food and Nutrition Security: Global Overview. FSIN (2015), Review of Global Food Price Databases: Overlaps, Gaps and Opportunities to Improve Harmonization. Krylov, A. (2010), Market Information Systems, Course on Economics of Commodity Production and Trade, Special Unit on Commodities, CNUCED. Philippine News Agency (2015), ASEAN ministers tackle food security, Manilla Times, 5 Septembre 2015 MED-Amin (2014), Activities Report Webographie AFSIS AMIS MED-Amin
6.1. Quels indicateurs peuvent Étre mis au point au niveau de l Union pour assurer le suivi des caractäristiques et des tendances de la
4.4. Comment peut-on favoriser la complämentaritä des politiques communautaires et nationales dans un souci d amälioration de la cohäsion territoriale? Si on considäre que la cohåsion territoriale råpond
Plus en détail[Programme pluriannuel et Plan Stratégique 2012-2015]
[ w w w. l a c i t e - n a n t e s. f r ] [Programme pluriannuel et Plan Stratégique 2012-2015] Annexe 1 PLAN STRATEGIQUE 2012-2015 1 Sommaire Introduction...3 I Notre cadre de räfärence...6 II Une gouvernance
Plus en détailA. Conditions de pråparation et d organisation des travaux du Conseil d Administration
RAPPORT DU PRESIDENT DU CONSEIL D ADMINISTRATION SUR LES CONDITIONS DE PREPARATION ET D ORGANISATION DES TRAVAUX DU CONSEIL D ADMINISTRATION ET SUR LES PROCEDURES DE CONTROLE INTERNE MISES EN PLACE PAR
Plus en détailCONSEIL EN MANAGEMENT ORGANISATION ET SYSTEME D INFORMATION. ALTER ORGA SARL 3 rue Desgenettes 93110 Rosny sous Bois
CONSEIL EN MANAGEMENT ORGANISATION ET SYSTEME D INFORMATION ALTER ORGA SARL 3 rue Desgenettes 93110 Rosny sous Bois Contact : Daniel BERTRAND TÅl : 06 80 03 18 78 E-mail : daniel.bertrand@alter-orga.com
Plus en détailPROCES-VERBAL DE LA SEANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DU 16 MAI 2002
1 PROCES-VERBAL DE LA SEANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DU 16 MAI 2002 Le Conseil Municipal de la ville de Fontenay-aux-Roses, lägalement convoquä le dix mai deux mille deux, s est assemblä au lieu ordinaire
Plus en détailNon, l externalisation ne m a pas tuer!
Non, l externalisation ne m a pas tuer! Retour d expårience Jean MARCHAL, CFO EBREX France, Directeur associå IRC EBREX France en quelques mots DÄmarrage d activitä en 2007 ActivitÄs principales : transport,
Plus en détailUn document du GT3P - groupe de travail partenarial public-privé - sur l approche commune des crises. Édition de mai 2011
Maîtrise des risques et des crises : une réflexion croisée Édition de mai 2011 Un document du GT3P - groupe de travail partenarial public-privé - sur l approche commune des crises MINISTÈRE DU TRAVAIL,
Plus en détailStatuts CITEC Suisse
Statuts CITEC Suisse I. Nom, siäge, buts Art. 1 Art. 2 Nom et siäge Sous le nom de CITEC Suisse (dånommåe ci-apräs association), est crååe une sociåtå dans le sens du Code civil suisse. L'association a
Plus en détailTARIFS CONDITIONS GÉNÉRALES
Centrale d emplois pour la Distribution TARIFS et CONDITIONS GÉNÉRALES http://www.distrijob.fr Offres d Emploi HT OFFRE D EMPLOI STANDARD Parution 2 x 30 jours - 1 poste, multi-rägions 1 offre 325.00 TARIFS
Plus en détailCollecte et archivage des donnäes Älectroniques issues :
8, alläe Evariste Galois 63000 CLERMONT-FERRAND +33 (0)4.73.28.99.75 tg2s@tg2s.com www.tg2s.com Collecte et archivage des donnäes Älectroniques issues : - des cartes conducteurs - des chronotachygraphes
Plus en détailOBSERVATOIRE des Vacances et des Loisirs des Enfants et des jeunes
OBSERVATOIRE des Vacances et des Loisirs des Enfants et des jeunes LES STAGIAIRES BAFA DU FINISTERE Octobre 2008 EnquÄte råalisåe pour La Direction DÅpartementale de la Jeunesse et des Sports du FinistÇre
Plus en détailCatalogue professionnel Ä. Ç Licence d exploitation du logiciel Ä MERCATOS Ç DÑveloppement SEEG NTIC Edition
Catalogue professionnel Ä. Ç Licence d exploitation du logiciel Ä MERCATOS Ç DÑveloppement SEEG NTIC Edition PROPOSITION COMMERCIALE - LICENCE D EXPLOITATION (rayer toutes les mentions inutiles avant signature
Plus en détail1. Introduction... Page 3. 2. Les principaux atouts du WCC... Page 4. 3. SpÄcificitÄ du catalogue en ligne... Page 5. 4. SpÄcificitÄ du WCC...
Sommaire 1. Introduction... Page 3 2. Les principaux atouts du WCC... Page 4 3. SpÄcificitÄ du catalogue en ligne... Page 5 4. SpÄcificitÄ du WCC... Page 6 5. DÄmonstration... Page 7 6. Tarification...
Plus en détailConcours d accås en 4 Äme annåe (Master 1) du Programme Grande Ecole Examen Type Epreuve de spåcialitå Marketing (Master Marketing) DurÅe : 3 heures
Concours d accås en 4 Äme annåe (Master 1) du Programme Grande Ecole Examen Type Epreuve de spåcialitå Marketing (Master Marketing) DurÅe : 3 heures Partie I : Questions (8 points) DÄfinissez les concepts
Plus en détailDonnez nous le sens, nous vous donnerons la direction
COMPTABLE GESTIONNAIRE Formation de Niveau III HomologuÄ par le MinistÅre de l Emploi, de la CohÄsion Sociale et du Logement Date de publication au Journal officiel : 27/08/2013 Formateur : Michel Lemaire
Plus en détailRAPPORT DE STAGE GUIL Fr d ric 1 I.U.P. Sciences de gestion 2001 / 2002
1 AVANT-PROPOS Je tiens Å remercier tout particuliçrement Monsieur WOJTAZEWSKI, Directeur du magasin, Monsieur EFFROI, Directeur gestion logistique, HÄlÇne MATEO, Juliette RAKOTO, Corinne REY, Florelle
Plus en détailDELIBERATION DU CONSEIL MUNICIPAL COMMUNE de LAFFREY
REPUBLIQUE FRANCAISE DEPARTEMENT DE L ISERE DELIBERATION DU CONSEIL MUNICIPAL COMMUNE de LAFFREY SÅance du 1er dåcembre 2008 L an deux mil huit et le premier dåcembre Ç vingt heures trente, le Conseil
Plus en détailLe modäle conceptuel de donnåes (MCD)
BTS Informatique de Gestion 1 Äre annåe DAIGL (ModÅlisation) Chapitre 1 Page 1 / 14 LycÄe Jean Rostand CHANTILLY Jean-Marie Cardoni Cours DAIGL (analyse) (1 Äre annåe) BTS INFORMATIQUE DE GESTION 1 Condition
Plus en détailREFERENTIEL DE CERTIFICATION DU SYSTEME DE GESTION DE LA QUALITE DES EAUX DE BAIGNADE
REFERENTIEL DE CERTIFICATION DU SYSTEME DE GESTION DE LA QUALITE DES EAUX DE BAIGNADE Version 1 : 6 juin 2009 LISTE DES PARTICIPANTS A L ELABORATION DU REFERENTIEL ReprÄsentants des collectivitäs territoriales
Plus en détailPROCES-VERBAL DE LA SEANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DU 26 JUIN 2002
1 PROCES-VERBAL DE LA SEANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DU 26 JUIN 2002 Le Conseil Municipal de la ville de Fontenay-aux-Roses, lägalement convoquä le vingt juin deux mille deux, s est assemblä au lieu ordinaire
Plus en détailConcours d accås en 4 Äme annåe du Programme Grande Ecole Examen Type Epreuve de spåcialitå Finance (Master Finance) DurÅe : 3H
Concours d accås en 4 Äme annåe du Programme Grande Ecole Examen Type Epreuve de spåcialitå Finance (Master Finance) DurÅe : 3H Partie I : Gestion financiäre Cas nå 1 Une sociätä späcialisäe dans la production
Plus en détail26, rue du Faubourg Poissonni re 75010 Paris T l : 01 46 22 07 00
Dossier de commande 26, rue du Faubourg PoissonniÄre 75010 Paris TÇl : 01 46 22 07 00 SociÄtÄ Anonyme au capital de 291 666 euros RCS Paris 432 735 082 - http://www.oodrive.com Nom SociÇtÇ Adresse TÇlÇphone
Plus en détailFavoriser l accès aux soins des bénéficiaires de minima. sociaux. Expliquer la CMU-C et l ACS aux populations potentiellement éligibles. 2009.
Favoriser l accès aux soins des bénéficiaires de minima sociaux. Expliquer la CMU-C et l ACS aux populations potentiellement éligibles Catherine Chauveaud, Philippe Warin To cite this version: Catherine
Plus en détailLe programme EPS au collège
Le programme EPS au collège Structure générale IA-IPR EPS. Fév/Mars 2009 L EPS,, un rçle É jouer tout au long de la scolaritä Vise la räussite de tous les ÄlÖves Contribue É l instruction, la formation
Plus en détailFICHE D ACCESSIBILITE
FICHE D ACCESSIBILITE AUX ETABLISSEMENTS RECEVANT DU PUBLIC (E.R.P.) Lorsqu il y a du public, il y a toujours des personnes en situation de handicap. Ne pas en tenir compte, c est råaliser un bçtiment
Plus en détailASSURANCE DOMMAGES-OUVRAGE TOUS RISQUES CHANTIER CAHIER DES CLAUSES PARTICULIERES VALANT CAHIER DES CHARGES
ASSURANCE DOMMAGES-OUVRAGE ET TOUS RISQUES CHANTIER CAHIER DES CLAUSES PARTICULIERES VALANT CAHIER DES CHARGES Pouvoir Adjudicateur : EPSoMS Intercommunal Georges Couthon & Nicolas Roussel 5-7 rue Pierre
Plus en détailagissant en son nom personnel et en qualitå d'administrateur lågal de la personne et des biens de ses enfants mineurs :
COUR D'APPEL DE LYON 6Äme Chambre ARRET DU 28 FÅvrier 2012 APPELANTS : M. Jean B. nå le 08 AoÇt 1939 repråsentå par la SCP L. DE M. ET L. assistå de la SELARL P. & ASSOCIES, avocats au barreau de LYON,
Plus en détailEtude de faisabilit et de pr conisations pour la d couverte du patrimoine des murs p ches et la cr ation d un parcours d interpr tation du patrimoine
Etude de faisabilit et de pr conisations pour la d couverte du patrimoine des murs p ches et la cr ation d un parcours d interpr tation du patrimoine Comit de pilotage du 17 F vrier 2011 Sommaire 1. Rappel
Plus en détailRÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM 9ÈME DECLARATION FINALE
9ÈME RÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM La Valette 27 septembre 2012 DECLARATION FINALE page 1 A l invitation de S.E. George Pullicino,
Plus en détailRapport Régional Afrique. Abou THIAM & Mamadou Bamba SAGNA Pesticide Action Network Africa Dakar, Sénégal
MONITORING DES PESTICIDES AU NIVEAU DES COMMUNAUTES A LA BASE Rapport Régional Afrique Abou THIAM & Mamadou Bamba SAGNA Pesticide Action Network Africa Dakar, Sénégal Dakar, Décembre 2009 1 SOMMAIRE INTRODUCTION
Plus en détailLogiciel RECIPEÇ. Gestion des formules
Logiciel RECIPEÇ Gestion des formules Recipe Developer est un produit de Hamilton Grant, distribuå par ABT Informatique Recipe est un logiciel simple d utilisation et trñs flexible permettant de gårer
Plus en détailSituations d urgence : savoir råagir COMMUNICATION ENVIRONNEMENTALE COMMUNICATION DE CRISE - CONCERTATION
Situations d urgence : savoir råagir COMMUNICATION ENVIRONNEMENTALE COMMUNICATION DE CRISE - CONCERTATION SITUATIONS D URGENCE : QUELS ENJEUX? Quelques unes des consåquences possibles d une crise: Atteintes
Plus en détailCONVENTION COLLECTIVE NATIONALE POUR LE PERSONNEL DES ENTREPRISES DE RESTAURATION DE COLLECTIVITES
CONVENTION COLLECTIVE NATIONALE POUR LE PERSONNEL DES ENTREPRISES DE RESTAURATION DE COLLECTIVITES Syndicat National de la Restauration Collective 9 rue de la TrÄmoille 75008 PARIS TÄl : 01 56 62 16 16
Plus en détailLES PROCESSUS DE CONTROLE DANS LA STRUCTURATION DE L ORGANISATION TOME 2
UniversitÄ Paris I PanthÄon Sorbonne Sciences Economiques Sciences Humaines Sciences Juridiques et Politiques U.F.R. Gestion et Economie d Entreprise David AUTISSIER Novembre 1997 LES PROCESSUS DE CONTROLE
Plus en détailCOUR D'APPEL DE LYON. 6Äme Chambre. ARRET DU 22 Mai 2014 APPELANTS : M. Bernard COTTIER. nå le 18 Octobre 1950
COUR D'APPEL DE LYON 6Äme Chambre ARRET DU 22 Mai 2014 APPELANTS : M. Bernard COTTIER nå le 18 Octobre 1950 ReprÅsentÅ par la SELARL VITAL-DURAND ET ASSOCIES, avocats au barreau de LYON Compagnie d'assurances
Plus en détaildäcembre 2012 AFEGAZ, 26 rue de Calais, 75009 Paris http://lumiara.perso.neuf.fr/afegaz/pagefr.html http://www.copagaz.asso.
däcembre 2012 Editorial,.......5 ATOUTS Gaz Strasbourg et notre AG Ç Reichstett, septembre 2012.... 6 Inauguration du musäe de M.E.G.E...9 Les mätiers du gaz, par Jacques Deschamps.....12 Un lave-vaisselle
Plus en détailLa diffärenciation näcessaire des enseignes de la grande distribution franåaise en consäquence de l Ävolution du consommateur
I.A.E NANTES DUESMO Séverine GILLET La diffärenciation näcessaire des enseignes de la grande distribution franåaise Sous la direction du professeur : Jean-François Lemoine Année universitaire 2004-2006
Plus en détailREMPLACEMENT DU SYSTEME TELEPHONIQUE DE LA MAIRIE DE HOERDT
COMMUNE DE HOERDT 1, rue de la Tour BP 302 67728 HOERDT CEDEX Tel. : 03.88.68.20.10 Fax. : 03.88.51.74.24 Mail. : mairie@hoerdt.fr www.hoerdt.fr REMPLACEMENT DU SYSTEME TELEPHONIQUE DE LA MAIRIE DE HOERDT
Plus en détailBIBUS-S pråsentation et fonctionnalitås
BIBUS-S pråsentation et fonctionnalitås De base la centrale dispose de: > 6 zones Ä bord > 8 groupes (8 partitions indåpendantes ou interdåpendantes). > 3 Relais pour siränes extårieures, intårieures et
Plus en détailCALM/RV : Rando du samedi 4 juin 2011 LA VALLÄE DE LA JUINE : Lardy Janville sur Juine plateau de Pocancy Bourray sur Juine et ForÇt de Cheptainville.
CALM/RV : Rando du samedi 4 juin 2011 LA VALLÄE DE LA JUINE : Lardy Janville sur Juine plateau de Pocancy Bourray sur Juine et ForÇt de Cheptainville. Le soleil est au rendez-vous et il fait träs chaud
Plus en détailDOMMAGE OUVRAGE/CONSTRUCTEUR NON REALISATEUR MARCHE A LOTS SEPARES
MARCHE DE PRESTATION DE SERVICE D ASSURANCES DOMMAGE OUVRAGE/CONSTRUCTEUR NON REALISATEUR MARCHE A LOTS SEPARES CAHIER DES CLAUSES ADMINISTRATIVES PARTICULIERES Procédure adaptée Pouvoir Adjudicateur :
Plus en détail5, 10 ou 25 utilisateurs!! Ä Symantec AntiVirus Ç
5, 10 ou 25 utilisateurs!! Ä Symantec AntiVirus Ç Des solutions pour protéger vos données stratégiques : Les moyens de communication modernes, comme le courrier Älectronique et Internet, rendent les entreprises
Plus en détailÄ Un CRM, pour quoi faire? Å
Ä Un CRM, pour quoi faire? Å page 1 Un CRM, pour quoi faire? DÇroulÇ de la prçsentation: DÇfinitions Attentes: au-delé de l outil StratÇgies d implantation: la stratçgie est essentielle Exemples de contenus
Plus en détailChapitres 1 et 2 Langage d interrogation des donnåes - Partie 1 -
Chapitres 1 et 2 Langage d interrogation des donnåes - Partie 1-1. Introduction...2 2. Les bases de donnåes...2 2.1. DÄfinition... 2 2.2. UtilitÄ... 3 2.3. SGBD et SGBDR... 3 2.4. Les contraintes d intägritä...
Plus en détailCONTRAT DE MAINTENANCE INFORMATIQUE OPTION :
Entre les soussignäs : CONTRAT DE MAINTENANCE INFORMATIQUE OPTION : La sociätä aidespc immatriculäe au Registre des Entreprises Å CompiÇgne sous le numäro 534757240 repräsentäe en la personne de Monsieur
Plus en détailLe non-recours aux soins des actifs präcaires (NOSAP)
Le non-recours aux soins des actifs präcaires (NOSAP) Rapport scientifique final Novembre 2008 Pour l Agence Nationale de la Recherche - Programme SantÅ Environnement SantÅ Travail Convention né 00083
Plus en détailASSURANCE DOMMAGES-OUVRAGE TOUS RISQUES CHANTIER
ASSURANCE DOMMAGES-OUVRAGE ET TOUS RISQUES CHANTIER CAHIER DES CHARGES SOMMAIRE ARTICLE 1 PRESENTATION DE L OPERATION...3 1.1 - Lieu d implantation...3 1.2 - CaractÅristiques de l ouvrage...3 1.3 - Nature
Plus en détailNote d Åtonnement. Session du mercredi 24 octobre 2012. Comment rester leader sur le marchä des lanceurs?
Note d Åtonnement Session du mercredi 24 octobre 2012 Comment rester leader sur le marchä des lanceurs? INTRODUCTION Arianespace et Ä travers elle, l Europe spatiale, sont aujourd hui les acteurs leaders,
Plus en détailMastÄre professionnel en Optimisation et Modernisation des Entreprises MOME. Etude d industrialisation de véhicules Électriques en Tunisie
جامعة تونس الافتراضیة UniversitÄ Virtuelle de Tunis MastÄre professionnel en Optimisation et Modernisation des Entreprises MOME Présenté par Yassine KCHAOU Pour l obtention du DiplÅme de mastäre professionnel
Plus en détailLe tambour de Villy. Janvier 2014 SOMMAIRE
Le tambour de Villy Janvier 2014 SOMMAIRE Le mot du Maire...2 Infos diverses...3 Etat Civil...4 Infos pratiques...4 Finances Budget...6 Travaux...11 CollectivitÅs locales...12 Canton...12 Plan Communal
Plus en détailCOMMENT CHOISIR VOTRE POUSSETTE?
COMMENT CHOISIR VOTRE POUSSETTE? Les conseils de Caroline ancienne puäricultrice et maman de 4 enfants späcialiste du matäriel de bäbä depuis plus de 10 ans Vous devez vous poser deux questions präalables
Plus en détailC N E C J LA RESPONSABILITE CIVILE ET PENALE DU PROFESSIONNEL COMPTABLE LIBERAL ET LE ROLE DE L EXPERT-COMPTABLE JUDICIAIRE
COMPAGNIE NATIONALE DES EXPERTS-COMPTABLES JUDICIAIRES SECTION AUTONOME AIX-EN-PROVENCE-BASTIA C N E C J LA RESPONSABILITE CIVILE ET PENALE DU PROFESSIONNEL COMPTABLE LIBERAL ET LE ROLE DE L EXPERT-COMPTABLE
Plus en détailDÄLIBÄRATIONS DU CONSEIL MUNICIPAL
DÄLIBÄRATIONS DU CONSEIL MUNICIPAL COMPTE RENDU DE LA REUNION DU CONSEIL MUNICIPAL DU LUNDI 28 SEPTEMBRE 2009 SÄance ordinaire du Conseil Municipal du lundi 28 septembre 2009 Å 20 H, en la salle de la
Plus en détailUniterres. Rapprocher l aide alimentaire et les producteurs locaux
Le réseau des épiceries solidaires A.N.D.E.S. Uniterres Assurer la sécurité alimentaire des plus démunis et soutenir une agriculture durable et locale Rapprocher l aide alimentaire et les producteurs locaux
Plus en détailExtension de l'ecole Maternelle Charles Perrault 38 110 Dolomieu. C.C.T.P. D.P.G.F. Lot NÄ12-13 : Plomberie Sanitaire Ventilation MÅcanique
Le 1Ä avril 2009 DOSSIER 0309-03 Extension de l'ecole Maternelle Charles Perrault 38 110 Dolomieu C.C.T.P. D.P.G.F. Lot NÄ12-13 : Plomberie Sanitaire Ventilation MÅcanique MAITRE D'OUVRAGE: MAIRIE DE DOLOMIEU
Plus en détailNanosciences et nanotechnologies Christian NgÄ Edmonium Conseil
Nanosciences et nanotechnologies Christian NgÄ Edmonium Conseil LTM edmonium@gmail.com Nano, un pråfixe Ç la mode Dimensions 1-100 nm Nanophysique Nanochimie Nanobiologie Nano-Älectronique NanomÄdecine
Plus en détailSUPSCO04 EFFECTUE DANS. Poste GFE reliä au räseau - GFE en monoposte
NOTE DESTINEE UNIQUEMENT AUX LycÄes du 77, 93, 94, CollÅges du 77, 93. SUPSCO04 EFFECTUE DANS GEP- SCOLARITE- INSTALLE EN RESEAU Poste GFE reliä au räseau - GFE en monoposte Rappels : L application GFE
Plus en détailCONCERTATION ESPACES PUBLICS : PLACE CENTRALE ET SQUARE AVERROES. Compte rendu de l atelier du 10 janvier 2007 de 18h30 Å 20h30
CONCERTATION ESPACES PUBLICS : PLACE CENTRALE ET SQUARE AVERROES Compte rendu de l atelier du 10 janvier 2007 de 18h30 Å 20h30 Ouverture de l atelier par M. Bochard PrÇsentation de propositions d amçnagement
Plus en détailN 46 AEROMED. Le lien aéronautique ISSN : 1773-0260
N 46 AEROMED Le lien aéronautique ISSN : 1773-0260 Copyright 15 déc. 2010 DIRECTEUR DE PUBLICATION, DE REALISATION, DE CONCEPTION : DR SIMONE M. BECCO Publication et Ädition :AMC/ SMB 24 ch. Savit 31300
Plus en détailSUITE DES ACTES DES QUATRIEMES ENTRETIENS DE LA PETITE ENFANCE
NÄ16 SUITE DES ACTES DES QUATRIEMES ENTRETIENS DE LA PETITE ENFANCE QUALITE DE L EDUCATION DE LA PETITE ENFANCE ET BIEN-ETRE DES JEUNES ENFANTS Lettre de l observatoire de l enfance en France www.observatoiredelenfance.org
Plus en détailDocument d information 1. Principaux aspects de la proposition de la Commission COM (2000) 716 du point de vue de l alimentation animale
Proposition de la Commission COM (2000) 716 établissant les principes généraux et les prescriptions générales du droit alimentaire, instituant l Autorité Alimentaire Européenne et fixant des procédures
Plus en détailConseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL
BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL GB.277/ESP/4 (Add.1) 277 e session Conseil d administration Genève, mars 2000 Commission de l'emploi et de la politique sociale ESP QUATRIÈME QUESTION À L ORDRE DU JOUR
Plus en détailRÄglement. de fonctionnement. ALJT - SiÄge Social : 18/26 rue Goubet - PARIS
RÄglement de fonctionnement L Association pour le logement des jeunes travailleurs (ALJT) est une association qui œuvre dans le domaine de l Çconomie sociale et qui s est spçcialisçe dans l administration
Plus en détailRapport d évaluation du master
Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Etudes internationales de l Université Paris-Sud Vague E 2015-2019 Campagne d évaluation 2013-2014 Section des Formations et des diplômes
Plus en détailComité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS.
Comité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS 28 mai 2012 Madame la Représentante permanente adjointe de Sri Lanka, Présidente
Plus en détaildiffusion externe les services d'orange pour l agriculture en Afrique
les services d'orange pour l agriculture en Afrique ce catalogue a pour objectif d éclairer sur les méthodes développées par Orange pour améliorer la productivité dans le monde rural 2 sommaire 1 2 3 l'apport
Plus en détailFormat de rapport pour la notation finale (REF. 4)
Processus 1 : Rassembler les parties prenantes autour d'un même espace Donner une note à chaque étape : 0 (ne s'applique pas), 1 (lancé), 2 (en cours), 3 (presque terminé), 4 (terminé) ÉTAPE 1. Choisir
Plus en détailConception et mise en œuvre de l Alerte Précoce par FEWS NET
Le Réseau de Systèmes d Alerte Précoce contre la Famine Conception et mise en œuvre de l Alerte Précoce par FEWS NET Ouagadougou, Burkina Faso 18-20 Novembre 2013 Plan A. Qu est-ce que FEWS NET? B. Les
Plus en détailLe Conseil d administration. L Article VI du Statut du PAM définit comme suit les fonctions du Conseil:
1. L E C O N S E I L D A D M I N I S T R A T I O N E T S E S F O N C T I O N S 1er janvier 1996, suite à l adoption de résolutions parallèles par l Assemblée générale des Nations Unies et la Conférence
Plus en détailLES DÉFIS DE L EXPANSION
LES DÉFIS DE L EXPANSION DU MONDE 49 e ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DES ÉLEVEURS DE PORCS DU QUÉBEC JEAN-LOUIS ROY, 28 MAI 2015 L ESPACE AGRICOLE GLOBAL JEAN-LOUIS ROY, MAI 2015 Tous les pays du monde 1,35 milliards
Plus en détailHarmonisation des politiques forestières et fiscales en Afrique centrale : Défis et perspectives
Harmonisation des politiques forestières et fiscales en Afrique centrale : Défis et perspectives Système de communication du réseau COMIFAC Une Stratégie TIC au Service de la mise en œuvre du Plan de Convergence
Plus en détailInstitut Delyl Informatique ComptabilitÅ - langues TEL : 524 03 00 201 33 03 -=== Installation de Windows XP ===-
-=== Installation de Windows XP ===- Etant donnä les nombreuses questions sur l installation de Windows XP, voici une petite explication pour vous donner un coup de main! -=== TABLE DES MATIERES ===- 1e
Plus en détailCadre général du Forum sur les questions relatives aux minorités
Nations Unies Assemblée générale Distr. générale 17 septembre 2012 Français Original: anglais A/HRC/FMI/2012/2 Conseil des droits de l homme Forum sur les questions relatives aux minorités Cinquième session
Plus en détailInformations générales
PHARMACEUTICAL INSPECTION CONVENTION PHARMACEUTICAL INSPECTION CO-OPERATION SCHEME Informations générales PS/INF 71/2012 26 septembre 2012 Le schéma de coopération dans le domaine de l inspection pharmaceutique
Plus en détailWebMapping : La migration en Open Source du SIG-PyrÄnÄes
AcadÄmie de Toulouse DIPLOME D'ETUDES SUPERIEURES SPECIALISEES SCIENCE DE L INFORMATION GEOREFERENCEE POUR LA MAITRISE DE L ENVIRONNEMENT ET L AMENAGEMENT DES TERRITOIRES RAPPORT DE STAGE WebMapping :
Plus en détailTechnical Assistance for Sustainable National Greenhouse Gas Inventory Management Systems in West Africa (West Africa GHG Project)
Technical Assistance for Sustainable National Greenhouse Gas Inventory Management Systems in West Africa (West Africa GHG Project) Dr. Sabin Guendehou, Regional Project Coordinator Cluster Francophone
Plus en détailGestion commerciale. Une réponse fonctionnelle quel que soit votre secteur d activité
Gestion commerciale La rentabilité d une entreprise passe par l augmentation du chiffre d affaires et la maîtrise des coûts de gestion. Avec Sage 100 Gestion Commerciale, vous contrôlez votre activité
Plus en détailAVANT-PROPOS. Directeur de la Division de la statistique de la FAO
AVANT-PROPOS L Annuaire statistique de la FAO fournit une sélection d indicateurs par pays sur l alimentation et l agriculture. Les données proviennent de FAOSTAT, la base de données statistique de l Organisation
Plus en détailAlliance Globale pour la Résilience AGIR Sahel et Afrique de l Ouest
Alliance Globale pour la Résilience AGIR Sahel et Afrique de l Ouest Guide Méthodologique de Conduite du Dialogue Inclusif Pays «Formulation des Priorités Résilience Pays (PRP-AGIR)» Version Finale (Septembre
Plus en détailCIHEAM. Année académique Academic Year. Programmes Master of Science et de spécialisation post-universitaire
Année académique Academic Year CIHEAM 2015 2016 Programmes Master of Science et de spécialisation post-universitaire Master of Science & Postgraduate Specialisation Programmes Productions alimentaires
Plus en détailAssemblée générale. Nations Unies A/AC.105/772
Nations Unies A/AC.105/772 Assemblée générale Distr.: Générale 7 décembre 2001 Français Original: Anglais Comité des utilisations pacifiques de l espace extra-atmosphérique Rapport du deuxième Atelier
Plus en détailPoursuites d Etudes Å l Etranger
Poursuites d Etudes Å l Etranger Mode d emploi Åtudiants IUT 2006/2007 Service des Relations ExtÄrieures de l IUT Information Dossier d inscription Å l Çtranger Suivi DUETI (DiplÇme Universitaire d Etudes
Plus en détailPOL 4470-40 Introduction à l'économie politique des relations internationales Travaux pratiques (un des trois TP au choix à faire en équipe)
Université du Québec à Montréal Département de science politique Session Automne 2008 POL 4470-40 Introduction à l'économie politique des relations internationales Travaux pratiques (un des trois TP au
Plus en détailMarco Lagi, Yavni Bar-Yam, Karla Z. Bertrand et Yaneer Bar-Yam New England Complex Systems Institute 238 Main St. Suite 319 Cambridge MA 02142, USA
MISE A JOUR Février 2012 Les crises alimentaires : validation de la capacité de prévision d'un modèle quantitatif des prix de denrées alimentaires qui comporte les spéculations et la conversion en éthanol.
Plus en détailUnited Nations, World Population Prospects, CD ROM; The 2008 Revision.
SOURCES SOURCE Data Sources Population : Labour Force: Production: Social Indicators: United Nations, World Population Prospects, CD ROM; The 2008 Revision. International Labour Organisation (ILO). LaborStat
Plus en détailAuthentification, Sécurisation, & Tracking de vos équipements et produits
Authentification, Sécurisation, & Tracking de vos équipements et produits La sécurisation de vos produits par l implémentation d une solution fiable, économique et performante Sommaire 1. L intérêt de
Plus en détailCONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE
CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE Exploiter le Potentiel de la Science, de la Technologie et de l Innovation dans les chaînes Agro-alimentaires en Afrique : Créer emplois et richesse
Plus en détailà la Consommation dans le monde à fin 2012
Le Crédit à la Consommation dans le monde à fin 2012 Introduction Pour la 5 ème année consécutive, le Panorama du Crédit Conso de Crédit Agricole Consumer Finance publie son étude annuelle sur l état du
Plus en détailComment développer les métiers agroalimentaires en Afrique subsaharienne? Extraits d étude
Note d information / Politiques agricoles n 13 Comment développer les métiers agroalimentaires en Afrique subsaharienne? Extraits d étude 27 mai 2013 / Sélection par l équipe technique RECA RECA Réseau
Plus en détailLE RENFORCEMENT DES CAPACITÉS DES ACTEURS DES FILIÈRES AGRICOLES: L EXPERIENCE DU PROJET MISTOWA. Plan
LE RENFORCEMENT DES CAPACITÉS DES ACTEURS DES FILIÈRES AGRICOLES: L EXPERIENCE DU PROJET MISTOWA Plan Le Projet MISTOWA Activités et Outils Quelques résultats Leçons et recommandations MISTOWA En Bref
Plus en détailL ouverture des marchés àterme basés sur les matières premières agricoles en Europe
L ouverture des marchés àterme basés sur les matières premières agricoles en Europe Les réformes successives de la PAC depuis 1992 ont induit une plus forte variabilitédes prix Baisse des prix institutionnels,
Plus en détailAPPEL A COMMUNICATIONS
APPEL A COMMUNICATIONS Colloque régional UEMOA-CRDI sur Intégration régionale et stratégies régionales de réduction de la pauvreté 8-10 décembre 2009, Ouagadougou, Burkina Faso Délai de soumission de résumé
Plus en détailATELIER DE RESTITUTION DU 27 NOVEMBRE 2014 ETUDE SECTEUR AGROALIMENTAIRE PROGRAMME EDEC
Ministère Chargé du Commerce Extérieur ATELIER DE RESTITUTION DU 27 NOVEMBRE 2014 ETUDE SECTEUR AGROALIMENTAIRE PROGRAMME EDEC Présentation du secteur agroalimentaire (IAA) Le secteur des industries agroalimentaires
Plus en détailLes marchés agricoles ont connu en quelques années deux épisodes
VI / Les prix agricoles Michel Aglietta et Charlotte Emlinger * Les marchés agricoles ont connu en quelques années deux épisodes spectaculaires de flambée des prix. À la crise alimentaire de 2007-2008
Plus en détailLa culture du résultat au sein des systèmes statistiques nationaux des Etats membres d AFRISTAT
La culture du résultat au sein des systèmes statistiques nationaux des Etats membres d AFRISTAT SOMMAIRE Introduction... 2 I. Aperçu sur le fondement de la gestion axée sur les résultats... 3 1.1. De nouveaux
Plus en détailLes marchés à terme, plus d une raison de s y intéresser
Les marchés à terme, plus d une raison de s y intéresser MICHEL MORIN, AGR. AGROÉCONOMISTE (CDPQ) COLLABORATEURS: STÉPHANE D AMATO, AGR., AXIS AGRICULTURE JEAN-DENIS LABRECQUE, CTA 2003 RÉJEAN LEBLANC,
Plus en détailBurundi. Rapport national intermédiaire du suivi de la mise en oeuvre du Cadre d'action de Hyogo. Nom du point focal : Mr SERVILIEN Nitunga
Burundi Rapport national intermédiaire du suivi de la mise en oeuvre du Cadre d'action de Hyogo Nom du point focal : Mr SERVILIEN Nitunga Organisation : Ministère de l'intérieur et de la Sécurite Publique
Plus en détailLa volatilité des marchés mondiaux des matières premières agricoles et l évolution des prix à la consommation de l alimentation en France
N 12 mars 2013 Service du soutien au réseau Sous-direction de la communication, programmation et veille économique Bureau de la veille économique et des prix La volatilité des marchés mondiaux des matières
Plus en détailEstimations définitives des prix pour les bobines d acier laminé à chaud européens, reconnues par le secteur
Estimations définitives des prix pour les bobines d acier laminé à chaud européens, reconnues par le secteur Marchés concernés Rejoignez la tendance Si vous êtes activement impliqué sur le marché des tôles
Plus en détail