L ENTREPRENEURIAT EN FRANCE : UNE COMPARAISON INTERNATIONALE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "L ENTREPRENEURIAT EN FRANCE : UNE COMPARAISON INTERNATIONALE"

Transcription

1 L ENTREPRENEURIAT EN FRANCE : UNE COMPARAISON INTERNATIONALE Dossier de presse 11 juin 2013 Global Entrepreneurship Monitor Rapport France 2012 Contact Valérie Jobard jobard@em-lyon.com

2 SOMMAIRE 1. Document de synthèse de l enquête h 2. Global Entrepreneurship Monitor (GEM) h 3. Biographie Alain Fayolle h 4. Centre de Recherche en Entrepreneuriat (CRE) h 5. Mémento des recommandations des Assises de l entrepreneuriat

3 EDUCATING ENTREPRENEURS FOR THE WORLD GLOBAL ENTREPRENEURSHIP MONITOR 2012 L entrepreneuriat en France aujourd hui Synthèse et mise en perspective L ENTREPRENEURIAT EN FRANCE : UNE COMPARAISON INTERNATIONALE Global Entrepreneurship Monitor 2012 France Report Emeran Nziali et Alain Fayolle

4 «À l heure où la France vient de clore les premières Assises de l entrepreneuriat, il apparaît utile de mettre en perspective les mesures annoncées en avril 2013 avec les données de l enquête annuelle du Global Entrepreneurship Monitor (GEM). Les propositions émises par plus de 300 personnalités au sein de neuf groupes de travail sont-elles à la hauteur des enjeux et des défis qui sont devant nous? Le rapport GEM 2012 pour la France décrit et analyse les principales évolutions de l activité entrepreneuriale au niveau national ainsi que les différences constatées avec des économies comparables, comme celles de l Allemagne, de la Grande-Bretagne, du Japon et des Etats-Unis, choisies pour leurs niveaux de développement similaires. Entre désir et peur d entreprendre De très nombreux français ont le désir et l intention d entreprendre. De plus en plus d individus perçoivent des opportunités de création d entreprise Il existe donc en France un gisement potentiel d entrepreneurs. Ce qui pose problème concerne le passage à l acte et ce, pour au moins deux raisons. Tout d abord les normes socioculturelles véhiculent un message qui relativise, voire inhibe, le bénéfice social du comportement entrepreneurial. En France, la notion de réussite est avant tout associée à l obtention des diplômes les plus prestigieux dans les établissements qui ont pour mission de produire l élite de la nation. Une conséquence de cette valorisation sociale, fruit d une méritocratie scolaire qui sélectionne ses élites, une fois pour toutes, à l orée de leur entrée dans la vie professionnelle, est le rapport que les français entretiennent avec l échec. Ce système ne laisse pas de place à l expérimentation, aux essais ou aux erreurs de parcours. Or l entrepreneuriat, est tout cela à la fois. Les résultats de GEM 2012 montrent une fois de plus que les français ont peur de l échec. La formation, un enjeu majeur La perception qu ils n ont pas les compétences nécessaires à l acte d entreprendre est une seconde difficulté qui explique que les français hésitent à passer à l acte. Cette question des compétences entrepreneuriales renvoie à l inadaptation de l offre en matière d enseignement et de formation à l entrepreneuriat. En définitive, ces freins agissent sur l activité entrepreneuriale, en France, qui se situe à un niveau faible dans une comparaison avec les pays qui relèvent de la même catégorie. Avec la crise économique, cette activité peut être caractérisée par une baisse de l entrepreneuriat d opportunité et une légère hausse de l entrepreneuriat de nécessité. Par ailleurs, l activité entrepreneuriale se déploie très majoritairement dans les services. Elle porte sur des contenus faiblement novateurs avec des entrepreneurs aux ambitions de développement et de croissance très limitées. Une petite lueur d espoir apparaît avec la légère hausse de l entrepreneuriat féminin. Une volonté politique forte Dans ces conditions, comment faire pour inverser le cours des choses? Assouplir les contraintes administratives et alléger la charge fiscale sont des mesures qui vont dans le bons sens, à condition d aller jusqu au bout de la logique et de tout mettre en œuvre pour libérer l esprit d initiative et d entreprendre. Mais il nous semble que les mesures les plus significatives sont liées à un changement de mentalité des français en général et des décideurs économiques et politiques en particulier. Vouloir enseigner l entrepreneuriat dans les classes primaires et secondaires est un objectif pertinent et courageux, d autres pays, notamment la Finlande, l ont fait avant nous. Cet objectif est une condition nécessaire du changement de mentalité souhaité. Mais l enseignement n est pas le seul levier sur lequel il convient d agir. Mettre les discours en phase avec les réalités du monde tel qu il est en en est un autre. Revoir les politiques publiques pour en faire des leviers de changement des facteurs institutionnels au bénéfice des comportements entrepreneuriaux constitue certainement un autre moyen. Tout cela ne sera possible qu avec une très forte volonté politique, alimentée par une conscience aigüe des problèmes ou situations qui freinent, voire bloquent, la nécessaire adaptation des structures et des règles qui gouvernent le fonctionnement de notre pays aux réalités et aux exigences d un monde en profonde mutation.» Alain Fayolle

5 MÉTHODOLOGIE Le rapport s appuie sur deux enquêtes distinctes effectuées en Juin La première réalisée sur une population d adultes de 18 à 64 ans, a permis de constituer un échantillon de 2000 personnes résidantes en France et représentatives de la population française. L échantillon est composé de manière à respecter la distribution de la population par âge et sexe. La seconde a été effectuée à partir d un panel d experts dans le domaine de l entrepreneuriat résidant et opérant en France. ZOOM SUR LES RÉSULTATS Un taux d ensemble de l activité entrepreneuriale (TEA) parmi les plus faibles L année 2012 se caractérise par une légère inflexion du taux d ensemble de l activité entrepreneuriale (5,2% en 2012 comparé à 5,7 en 2011), mais les évolutions sont contrastées suivant le sexe, l âge ou la phase du processus. Economies tirées par l innovation (TEA 2012 en %) Une hausse de l entreprenariat établi Le taux d entrepreneuriat à plus de 42 mois (3,2%) a connu une amélioration de près de 25% par rapport à son niveau de 2011 (2,4%) Une légère hausse de l entrepreneuriat féminin Alors qu il est considérablement en baisse pour les individus de sexe masculin - passant de 8,6% (2011) à 6,4% (2012), le TEA est en hausse pour les acteurs de sexe féminin - passant de 2,9% (2011) à 4% (2012). Le rapport s intéresse principalement aux attitudes, aspirations et intentions de la population vis-à-vis de l entrepreneuriat ainsi qu aux comportements en matière de création d entreprise. Dans ce dernier cas, il met en avant un indicateur clé qui mesure l activité entrepreneuriale des pays, le TEA (Taux d Ensemble de l Activité Entrepreneuriale), lequel est complété par ses variantes renvoyant à divers aspects du phénomène étudié comme ceux distinguant les créations de nécessité(1) et d opportunité (2) (1) TAE nécessité : Taux d activité entrepreneuriale de nécessité (2) TAE opportunité : Taux d activité entrepreneuriale d opportunité Des créations au contenu novateur très faible 8,62% des entrepreneurs déclarent être les seuls à offrir un produit comparable au leur, sur le marché. Ce taux est très loin derrière ceux de la Belgique (17,12%), des États-Unis (14,82%), de l Espagne (13,46%), ou du Danemark (14,61%). Par contre, ils sont 12,96% à déclarer qu ils utilisent des technologies nouvelles (moins d un an), loin derrière l Italie (19,77%) et l Allemagne (14,39%) mais devant les États-Unis (6,81%), les Pays-Bas (7,63%) ou encore la Grande-Bretagne (6,06%). De l intention à l action De plus en plus d individus perçoivent des opportunités de création mais la peur de l échec demeure Le taux d individus déclarant percevoir des opportunités entrepreneuriales, en 2012, (38%), continue d évoluer favorablement et est le plus élevé depuis Toutefois il est atténué par la peur de l échec, dont le taux est aussi l un des plus élevés (43%) de la décade. Le taux d intention de création parmi les plus élevés des pays comparables La France dispose avec 17,3% du taux d intention de création (à trois ans) le plus élevé des pays de la catégorie à laquelle notre pays appartient, même s il se situe à un niveau très légèrement inférieur à celui de 2011 (17,7%). Intentions de création à 3 ans (% en 2012) Un dynamisme entrepreneurial essentiellement localisé dans les services Plus des trois quart des créations d entreprise de 2012 (77,5%) sont issues des services dont 44,5% des services à la personne et 33% des services aux entreprises. Des variations marginales et contrastées de l entrepreneuriat d opportunité et de nécessité L entrepreneuriat d opportunité (4,17%) est à la baisse (4,83% en 2011) contrairement à celui de nécessité (0,94%), en hausse (0,85% en 2011). Ces variations ne changent pas cependant la structure d ensemble des motivations donnant une part plus importante à la première (59%) et une moindre à la seconde (18%). Des entrepreneurs aux ambitions très modestes En France, 8,7% des entrepreneurs naissant (soit 0,45% de TEA) envisagent de créer au-delà de 15 emplois dans les 5 prochaines années, tandis que 83% se voient créer un emploi à brève échéance ou dans 5 ans. Si ce taux est moins élevé qu aux États-Unis (13% du TEA) et en Grande-Bretagne (9,7% de TEA), il est plus élevé qu en Suisse (7,4% de TEA), en Belgique (3,9% de TEA) et en Italie (6,24% TEA). Une auto perception des compétences entrepreneuriales en deçà de la moyenne Le taux d individus déclarant disposer des compétences pour démarrer une entreprise (38%) est supérieur à la moyenne des dix dernières années (30,7%) mais reste inférieur à celui de la plupart des pays comparables. Auto-perception des compétences (% en 2012)

6 EVALUATION DE L ENVIRONNEMENT ENTREPRENEURIAL EN FRANCE Des conditions favorables Une activité entrepreneuriale largement soutenue par les programmes gouvernementaux Les programmes gouvernementaux pour la promotion de l entrepreneuriat et les infrastructures physiques sont les mieux évalués avec respectivement des scores de 3,61/5 et 3,91/5. et défavorables Le faible taux d enseignement de l entrepreneuriat dans les secteurs primaire et secondaire est l un des principaux freins L enseignement de l entrepreneuriat aux niveaux primaire et secondaire (1,96/5) et la diffusion des compétences de création d entreprises (2,11/5) sont considérés en France comme les freins les plus importants à l activité entrepreneuriale. Pour le premier cas, la France fait certes mieux que certains pays comme le Japon, l Espagne, l Italie et le Portugal mais beaucoup moins bien que les autres pays comparables. Pour le second, elle a une courte avance sur le Japon (1,93/5) mais est très loin derrière les Pays-Bas qui semblent être la référence en la matière (3,96/5). Un autre frein est le poids des normes socioculturelles Les experts interviewés font nettement ressortir les normes socioculturelles comme handicapant le développement d une culture entrepreneuriale nécessaire au processus entrepreneurial. Résultats sommaires de l évaluation de l environnement entrepreneurial par les experts Catégorie de condition Accès à l infrastructure physique et aux services Programmes gouvernementaux et infrastructures pour la promotion de l entrepreneuriat Politique gouvernementale (en faveur des jeunes entreprises) priorité locale, régionale Qualité des infrastructures commerciales et professionnelles et accessibilité Formation à l entrepreneuriat: niveau professionnel, collège et université Score moyen 3,91 3,61 3,52 3,27 3,24 Dynamique interne de marché 3,05 Politique gouvernementale (fiscalité, formalité administrative, etc.) 2,89 Financement de l entrepreneuriat 2,86 Ouverture du Marché Intérieur 2,74 Transfert en R&D 2,72 Prédisposition des facteurs culturels et des normes sociales pour l entrepreneuriat Formation à l entrepreneuriat en primaire et secondaire 2,52 1,96 Contacts Elisabeth Gelas gelas@em-lyon.com Danielle Rousson rousson@em-lyon.com Pour télécharger le rapport complet : EMLYON Business School CAMPUS EUROPE 23 avenue Guy de Collongue CS Ecully cedex France CAMPUS ASIE East China Normal University Global Education Center 3663, Zhongshan Rd North Shanghai CHINE

7 EVALUATION DE L ENVIRONNEMENT ENTREPRENEURIAL EN FRANCE Des conditions favorables Une activité entrepreneuriale largement soutenue par les programmes gouvernementaux Les programmes gouvernementaux pour la promotion de l entrepreneuriat et les infrastructures physiques sont les mieux évalués avec respectivement des scores de 3,61/5 et 3,91/5. et défavorables Le faible taux d enseignement de l entrepreneuriat dans les secteurs primaire et secondaire est l un des principaux freins L enseignement de l entrepreneuriat aux niveaux primaire et secondaire (1,96/5) et la diffusion des compétences de création d entreprises (2,11/5) sont considérés en France comme les freins les plus importants à l activité entrepreneuriale. Pour le premier cas, la France fait certes mieux que certains pays comme le Japon, l Espagne, l Italie et le Portugal mais beaucoup moins bien que les autres pays comparables. Pour le second, elle a une courte avance sur le Japon (1,93/5) mais est très loin derrière les Pays-Bas qui semblent être la référence en la matière (3,96/5). Un autre frein est le poids des normes socioculturelles Les experts interviewés font nettement ressortir les normes socioculturelles comme handicapant le développement d une culture entrepreneuriale nécessaire au processus entrepreneurial. Résultats sommaires de l évaluation de l environnement entrepreneurial par les experts Catégorie de condition Accès à l infrastructure physique et aux services Programmes gouvernementaux et infrastructures pour la promotion de l entrepreneuriat Politique gouvernementale (en faveur des jeunes entreprises) priorité locale, régionale Qualité des infrastructures commerciales et professionnelles et accessibilité Formation à l entrepreneuriat: niveau professionnel, collège et université Score moyen 3,91 3,61 3,52 3,27 3,24 Dynamique interne de marché 3,05 Politique gouvernementale (fiscalité, formalité administrative, etc.) 2,89 Financement de l entrepreneuriat 2,86 Ouverture du Marché Intérieur 2,74 Transfert en R&D 2,72 Prédisposition des facteurs culturels et des normes sociales pour l entrepreneuriat Formation à l entrepreneuriat en primaire et secondaire 2,52 1,96 Contacts Elisabeth Gelas gelas@em-lyon.com Danielle Rousson rousson@em-lyon.com Pour télécharger le rapport complet : EMLYON Business School CAMPUS EUROPE 23 avenue Guy de Collongue CS Ecully cedex France CAMPUS ASIE East China Normal University Global Education Center 3663, Zhongshan Rd North Shanghai CHINE

8 Global Entrepreneurship Monitor (GEM) Initiée conjointement en 1997 par la London Business School et le Babson College, GEM est à ce jour la plus grande étude annuelle en matière de dynamique entrepreneuriale dans le monde. Lancée en 1999, la première enquête portait sur dix pays. Aujourd hui, GEM a évolué en un consortium de plus de 400 chercheurs issus du monde entier. En 2012, 69 pays ont participé à l enquête, fournissant une photographie de l entrepreneuriat au sein du plus grand échantillon de pays jamais analysé, couvrant ainsi une importante diversité de régions géographiques et de niveaux de développement économique. Depuis l origine, EMLYON Business School pilote l enquête pour la France. Liste des pays ayant participé à l enquête 2012 Algérie Angola Argentine Autriche Barbade Belgique Bosnie Herzégovine Botswana Brésil Chili China Colombie Costa Rica Croatie Danemark Equateur Egypte Salvador Estonie Ethiopie Finlande France Allemagne Ghana Grèce Hongrie Inde Iran Irlande Israël Italie Jamaïque Japon Corée du Sud Lettonie Lituanie Macédoine Malawi Malaisie Mexique Namibie Pays-Bas Nigéria Norvège Pakistan Palestine Paname Pérou Pologne Portugal Roumanie Russie Singapour Slovaquie Slovénie Afrique du Sud Espagne Suède Suisse Taïwan Thaïlande Trinité et Tobago Tunisie Turquie Ouganda Royaume Uni États- Unis Uruguay Zambie GEM France Le rapport du Global Entrepreneurship Monitor 2012 pour la France relate les principales évolutions de l activité entrepreneuriale au niveau national ainsi que les différences constatées avec les économies comparables. Il s agit de pays géographiquement proches, comme l Allemagne et la Grande Bretagne ou plus éloignés comme le Japon, mais tous choisis pour leurs niveaux de développement similaires. Le rapport s appuie sur deux enquêtes distinctes effectuées en juin La première, réalisée sur une population d adultes âgés de 18 à 64 ans, a permis de constituer un échantillon de 2000 personnes résidant en France. La seconde a été effectuée à partir d un panel d experts en entrepreneuriat (consultants, enseignants-chercheurs, décideurs économiques, etc.) dans le domaine de l entrepreneuriat résidant et opérant en France. Le rapport s intéresse donc aux attitudes, aspirations et intentions de la population vis-à-vis de l entrepreneuriat et de la création d entreprise. Dans ce dernier cas, il met en avant le principal indicateur de l activité entrepreneuriale de GEM, le Taux d Ensemble de l Activité entrepreneuriale (TEA). Les indicateurs de performance, tels que les ambitions des entrepreneurs en termes de croissance ou de création d emploi. L orientation internationale des marchés visés ou le choix en matière d innovation rentrent également dans cette description. L ensemble est complété par l exploration de certains facteurs institutionnels qui conditionnent le déploiement de l activité entrepreneuriale à l échelle nationale.

9 ALAIN FAYOLLE Parcours Alain Fayolle est professeur de management stratégique et directeur du centre de recherche en entrepreneuriat d EMLYON Business School. Habilité à diriger des recherches en sciences et gestion depuis 2000, il est également titulaire d un doctorat en sciences de gestion. Missions Membre du conseil scientifique d EMLYON, Alain Fayolle est aussi directeur de recherches des universités Lyon III, Pierre-Mendès France de Grenoble et de l Université Libre de Bruxelles. Il est membre de la Chaire d Entrepreneuriat Rogers J.A. Bombardier de HEC Montréal et membre du CA - responsable de l animation de la recherche de l Académie de l Entrepreneuriat (association française d enseignants et chercheurs en entrepreneuriat). Ancien président de l Académie de l Entrepreneuriat et de l Innovation, il est le fondateur et le rédacteur en chef de la revue «Entreprendre & Innover», première revue de vulgarisation scientifique consacrée à la création d entreprise, à la croissance et à l innovation. Il vient d être élu au comité exécutif de la division entrepreneuriat (2700 membres dans le monde) de l Academy of Management, première association scientifique mondiale en management, confirme cette reconnaissance. Publications Alain Fayolle est l auteur d une série de cinq ouvrages et de nombreux articles académiques à destination des éducateurs, des praticiens et des étudiants visant à mieux articuler les champs de l entrepreneuriat et de l éducation. Entrepreneuriat. Apprendre à entreprendre (2012, Editions Dunod) Entrepreneurship research in Europe: Evolving concepts and processes (2011, Edward Elgar) European Entrepreneurship in the Globalizing Economy (2011, Edward Elgar) L art d entreprendre (2007, Pearson Education) Devenir entrepreneur : des enjeux aux outils (2006, Village mondial)... Distinctions Le 17 mai dernier, Alain Fayolle s est vu remettre le 2013 European Entrepreneurship Education Award. Ce prix lui a été décerné par l université de Lund en Suède, en reconnaissance de ses travaux dans le domaine de l éducation entrepreneuriale.

10 CENTRE DE RECHERCHE EN ENTREPRENEURIAT (CRE) D EMLYON BUSINESS SCHOOL Dirigé par Alain Fayolle, professeur de Management Stratégique, le Centre de Recherche en Entrepreneuriat d EMLYON examine cinq thèmes prioritaires : l étude des processus de création d activités innovantes, l entrepreneuriat organisationnel, l enseignement et l évaluation de l efficacité des programmes d enseignement en entrepreneuriat, l évaluation des politiques publiques en matière de création et reprise d entreprise et la dynamique des startups de forte croissance. Les chercheurs de ce centre sont actuellement mobilisés par plusieurs projets clés, comme l étude des processus d'émergence des nouvelles entreprises de haute technologie, les effets de l'enseignement de l'entrepreneuriat sur l'intention d'entreprendre et les orientations de carrière des étudiants, l'impact des changements générationnels sur le management et les stratégies des PME familiales, ou encore les processus entrepreneuriaux à l'intérieur des grandes entreprises. Le Centre de Recherche en Entrepreneuriat d'emlyon Business School est composé d une dizaine de personnes. Il collabore activement avec plusieurs institutions en France et à l étranger. Dans le cadre de ses activités, le CRE a organisé cette année deux grands colloques internationaux. En novembre, le colloque scientifique RENT (Research in Entrepreneurship and Small Business) s est tenu à EMLYON. Il réunit chaque année environ 250 universitaires pour présenter leurs résultats de recherche de très haut niveau sur un large éventail de sujets en rapport avec l entrepreneuriat et les petites entreprises. La BABSON College Entrepreneurship Research Conference (BCERC) vient quant à elle de se dérouler du 5 au 8 juin et a rassemblé à Lyon plus de 330 chercheurs. C est la plus grande conférence sur cette thématique. Son objectif est de relier théorie et pratique de manière dynamique et d encourager la recherche de haut niveau en entrepreneuriat.

11 Mémento des recommandations des Assises de l entrepreneuriat * La clôture des Assises de l entrepreneuriat, lancées en janvier dernier par Fleur Pellerin, Ministre déléguée aux PME, à l'innovation et à l'économie numérique, s est tenue le 29 avril à l Elysée. A cette occasion, le président de la République a annoncé plusieurs mesures. Celles-ci répondent à trois objectifs prioritaires : stimuler l'esprit d'entreprise et mobiliser tous les talents ; aider les entreprises à se développer ; reconnaître la prise de risque de l investissement au service de l emploi. Leur mise en œuvre reposera sur un dialogue dans la durée entre les entrepreneurs, les partenaires sociaux et l ensemble des ministères concernés. D ici à l été 2013, une stratégie de développement de l entrepreneuriat sera adoptée par le Gouvernement autour de dix engagements forts, présentés lors de la clôture des Assises. Stimuler l esprit d entreprise et mobiliser tous les talents La formalisation d un programme éducatif sur l esprit d initiative et l innovation dans le Secondaire (de la sixième à la terminale) et dans l enseignement supérieur ; La mise en place dès l été 2013 d un fonds pour la création d entreprises dans les quartiers les moins favorisés ; La création d un dispositif Entrepreneur Etudiant, qui permettra à ceux qui créent une entreprise à l issue de leurs études de continuer à bénéficier du statut d étudiant ; La suppression de l indicateur «040» du fichier FIBEN de la Banque de France afin de favoriser le rebond des entrepreneurs ; La création d un «visa entrepreneur» ou équivalent, pour attirer les jeunes talents étrangers en France. Pour aider les entreprises à se développer Le développement à titre expérimental de «maisons de l international» aux Etats-Unis et en Asie pour faciliter l implantation de nos PME à l étranger ; L incitation des grandes entreprises à investir dans les jeunes PME innovantes, par l ouverture d un droit à un amortissement fiscal de l investissement ; L extension du champ des dépenses éligibles aux exonérations de charges sociales du statut Jeunes Entreprises Innovantes (JEI) aux charges de personnel affectées à l innovation ; La création d un fonds pour l innovation sociale de la BPI pour faciliter le développement des entreprises à caractère social et solidaire en France ; La création d un «pass entrepreneur numérique», qui améliorera l accompagnement personnalisé de l entrepreneur et comportera un mécanisme de signalement des complexités administratives vécues par les entreprises. Pour reconnaître la prise de risque de l investissement au service de l emploi La réforme du régime des plus-values mobilières dans le sens de la simplification et de l attractivité ; La volonté de voir dynamisé le segment boursier dédié aux PME et aux ETI ; La réforme du Plan Epargne en Actions avec la revalorisation de son plafond à euros et la possibilité d y investir en plus dans les PME et ETI ; La mise en place d un cadre juridique de développement de la finance participative («Crowdfunding») en France. * Source :

12 Pour télécharger le rapport GEM France complet Contact presse EMLYON Business School Valérie Jobard

Quel est le temps de travail des enseignants?

Quel est le temps de travail des enseignants? Quel est le temps de travail des enseignants? Dans les établissements publics, les enseignants donnent, en moyenne et par an, 779 heures de cours dans l enseignement primaire, 701 heures de cours dans

Plus en détail

BOURSES SCOLAIRES. au bénéfice des enfants français résidant avec leur famille à l étranger AGENCE POUR L ENSEIGNEMENT FRANÇAIS À L ÉTRANGER

BOURSES SCOLAIRES. au bénéfice des enfants français résidant avec leur famille à l étranger AGENCE POUR L ENSEIGNEMENT FRANÇAIS À L ÉTRANGER BOURSES SCOLAIRES au bénéfice des enfants français résidant avec leur famille à l étranger AGENCE POUR L ENSEIGNEMENT FRANÇAIS À L ÉTRANGER ÉTABLISSEMENT PUBLIC NATIONAL À CARACTÈRE ADMINISTRATIF SOUS

Plus en détail

REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA

REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA Regards sur l éducation est un rapport annuel publié par l Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et portant sur

Plus en détail

à la Consommation dans le monde à fin 2012

à la Consommation dans le monde à fin 2012 Le Crédit à la Consommation dans le monde à fin 2012 Introduction Pour la 5 ème année consécutive, le Panorama du Crédit Conso de Crédit Agricole Consumer Finance publie son étude annuelle sur l état du

Plus en détail

Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve publics

Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve publics Extrait de : Panorama des pensions 2013 Les indicateurs de l'ocde et du G20 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/pension_glance-2013-fr Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve

Plus en détail

ACCORD RELATIF AU TRANSIT DES SERVICES AÉRIENS INTERNATIONAUX SIGNÉ À CHICAGO LE 7 DÉCEMBRE 1944

ACCORD RELATIF AU TRANSIT DES SERVICES AÉRIENS INTERNATIONAUX SIGNÉ À CHICAGO LE 7 DÉCEMBRE 1944 ACCORD RELATIF AU TRANSIT DES SERVICES AÉRIENS INTERNATIONAUX SIGNÉ À CHICAGO LE 7 DÉCEMBRE 1944 Entrée en vigueur : L Accord est entré en vigueur le 30 janvier 1945. Situation : 130 parties. Cette liste

Plus en détail

La BRI. Au service de la stabilité monétaire et financière

La BRI. Au service de la stabilité monétaire et financière La BRI Au service de la stabilité monétaire et financière Fondée le 17 mai 1930, la BRI est la plus ancienne organisation financière internationale. Outre son siège social, à Bâle (Suisse), elle possède

Plus en détail

Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation?

Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? Indicateur Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? En 2008, les pays de l OCDE ont consacré 6.1 % de leur PIB cumulé au financement de leurs établissements d enseignement.

Plus en détail

LA SOCIETE DE PARTICIPATIONS FINANCIERES «LA SOPARFI»

LA SOCIETE DE PARTICIPATIONS FINANCIERES «LA SOPARFI» LA SOCIETE DE PARTICIPATIONS FINANCIERES «LA SOPARFI» La SOPARFI n'est pas régie par une loi spécifique, mais se définit comme une société de capitaux luxembourgeoise soumise à une fiscalité tant directe

Plus en détail

L IMMIGRATION AU SEIN DE L UE

L IMMIGRATION AU SEIN DE L UE L IMMIGRATION AU SEIN DE L UE Source: Eurostat, 2014, sauf indication contraire Les données se rapportent aux ressortissants de pays tiers, dont le lieu de résidence habituel se trouvait dans un pays hors

Plus en détail

Les clés de l amélioration des systèmes scolaires

Les clés de l amélioration des systèmes scolaires Education Les clés de l amélioration des systèmes scolaires Comment passer de "bon" à "très bon"? "Les clés de l amélioration des systèmes scolaires" est le titre du nouveau rapport publié par McKinsey

Plus en détail

Base de données sur l'économie mondiale Alix de Saint Vaulry *

Base de données sur l'économie mondiale Alix de Saint Vaulry * Base de données sur l'économie mondiale Alix de Saint Vaulry * 1) Base de données 2) Sources et définitions * Alix de Saint Vaulry est économiste au CEPII, responsable de la production de la base de données

Plus en détail

Le coût du rachat de trimestres pour carrière à l étranger multiplié par 4 au plus tard le 1 er janvier 2011

Le coût du rachat de trimestres pour carrière à l étranger multiplié par 4 au plus tard le 1 er janvier 2011 Le coût du rachat de trimestres pour carrière à l étranger multiplié par 4 au plus tard le 1 er janvier 2011 Un article de la loi de financement de la sécurité sociale 2010 aligne le coût de ce rachat

Plus en détail

EMLYON. Janvier 2015. www.em-lyon.com

EMLYON. Janvier 2015. www.em-lyon.com Educating Entrepreneurs for the world EMLYON BUSINESS SCHOOL EMLYON en bref Chiffres clés Janvier 2015 www.em-lyon.com Une business school européenne dédiée à l apprentissage du management entrepreneurial

Plus en détail

Louvain School of Management The Preferred International Management School in Belgium CAMPUS UCL MONS

Louvain School of Management The Preferred International Management School in Belgium CAMPUS UCL MONS Louvain School of Management The Preferred International Management School in Belgium CAMPUS UCL MONS Our mission : Educating Responsible Leaders For a Responsible World LSM the Business School of UCL

Plus en détail

Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres

Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres LE POINT SUR LES INÉGALITÉS DE REVENU Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres Résultats issus de la Base de données de l OCDE sur la distribution des revenus

Plus en détail

Étude EcoVadis - Médiation Inter-Entreprises COMPARATIF DE LA PERFORMANCE RSE DES ENTREPRISES FRANCAISES AVEC CELLE DES PAYS DE L OCDE ET DES BRICS

Étude EcoVadis - Médiation Inter-Entreprises COMPARATIF DE LA PERFORMANCE RSE DES ENTREPRISES FRANCAISES AVEC CELLE DES PAYS DE L OCDE ET DES BRICS Étude EcoVadis - Médiation Inter-Entreprises COMPARATIF DE LA PERFORMANCE RSE DES ENTREPRISES FRANCAISES AVEC CELLE DES PAYS DE L OCDE ET DES BRICS 23 mars 2015 Synthèse Avec plus de 12.000 évaluations

Plus en détail

Le point sur les marchés des pensions. des pays de l OCDE OCDE

Le point sur les marchés des pensions. des pays de l OCDE OCDE CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 17 décembre 2013 à 14h30 «Etat des lieux sur l épargne en prévision de la retraite» Document N 13 Document de travail, n engage pas le Conseil Le

Plus en détail

Les concepts et définitions utilisés dans l enquête «Chaînes d activité mondiales»

Les concepts et définitions utilisés dans l enquête «Chaînes d activité mondiales» Les concepts et définitions utilisés dans l enquête «Chaînes d activité mondiales» Les chaînes d activité mondiales (CAM) Les chaînes d activité recouvrent la gamme complète des fonctions et des tâches

Plus en détail

Principaux partenaires commerciaux de l UE, 2002-2014 (Part dans le total des échanges de biens extra-ue, sur la base de la valeur commerciale)

Principaux partenaires commerciaux de l UE, 2002-2014 (Part dans le total des échanges de biens extra-ue, sur la base de la valeur commerciale) 55/2015-27 mars 2015 Commerce international de biens en 2014 Principaux partenaires commerciaux de l UE en 2014: les États-Unis pour les exportations, la Chine pour les importations Le commerce entre États

Plus en détail

A. Liste des pays tiers dont les ressortissants doivent être munis d un visa pour traverser la frontière nationale. 1.

A. Liste des pays tiers dont les ressortissants doivent être munis d un visa pour traverser la frontière nationale. 1. Liste des pays tiers dont les ressortissants doivent être munis d un visa pour traverser la frontière nationale et pays dont les ressortissants en sont exemptés A. Liste des pays tiers dont les ressortissants

Plus en détail

Âge effectif de sortie du marché du travail

Âge effectif de sortie du marché du travail Extrait de : Panorama des pensions 2013 Les indicateurs de l'ocde et du G20 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/pension_glance-2013-fr Âge effectif de sortie du marché du travail Merci

Plus en détail

Thème 1: l environnement pédagogique et scolaire dans le primaire et le secondaire

Thème 1: l environnement pédagogique et scolaire dans le primaire et le secondaire FRANCE Cette note sur la France se focalise sur trois grands thèmes que l on retrouve dans cette édition de Regards sur l éducation et qui concernent plus particulièrement la France. Il s agit de l environnement

Plus en détail

REGARDS SUR L ÉDUCATION RAPPORT INTERMÉDIAIRE MISE À JOUR DES INDICATEURS RELATIFS A L EMPLOI ET AU NIVEAU DE FORMATION

REGARDS SUR L ÉDUCATION RAPPORT INTERMÉDIAIRE MISE À JOUR DES INDICATEURS RELATIFS A L EMPLOI ET AU NIVEAU DE FORMATION REGARDS SUR L ÉDUCATION RAPPORT INTERMÉDIAIRE MISE À JOUR DES INDICATEURS RELATIFS A L EMPLOI ET AU NIVEAU DE FORMATION Regards sur l éducation Rapport intermédiaire Mise à jour des indicateurs relatifs

Plus en détail

Global WorkPlace Solutions. Créer un avantage concurrentiel

Global WorkPlace Solutions. Créer un avantage concurrentiel Global WorkPlace Solutions Créer un avantage concurrentiel Prêt pour le business? Etre un business international profitable n est pas chose facile. Le maintenir en tête requiert pensée innovante, courage

Plus en détail

THESAURUS ENTREPRISES PUBLIQUES

THESAURUS ENTREPRISES PUBLIQUES THESAURUS ENTREPRISES PUBLIQUES I. SECTEURS D ACTIVITES - Aéronautique - Agriculture - Assurances - Banques (épargne, office des chèques postaux) - Bâtiment et génie civil - Communications - Postes - Télécommunications

Plus en détail

Conditions tarifaires des principaux services financiers et bancaires au 1 er février 2015. intermédiaire en opérations de banque de Socram Banque

Conditions tarifaires des principaux services financiers et bancaires au 1 er février 2015. intermédiaire en opérations de banque de Socram Banque maif.fr Conditions tarifaires des principaux services financiers et bancaires au 1 er février 2015 intermédiaire en opérations de banque de Socram Banque Services financiers et bancaires La MAIF a fondé

Plus en détail

Programme «Lecteurs Formateurs»

Programme «Lecteurs Formateurs» [Objectifs : Programme «Lecteurs Formateurs» Promotion de la langue française par l internationalisation des jeunes Jeunes diplômés en philologie romane, en traduction, en philologie classique ou autres

Plus en détail

EGALITÉ ENTRE LES FEMMES

EGALITÉ ENTRE LES FEMMES ÉGALITÉ CHERCHEUSE FEMME ENSEIGNEMENT HOMME ÉTUDIANTE RECHERCHE EGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES Chiffres clés de la parité dans l enseignement supérieur et la recherche ÉGALITÉ entre les FEMMES

Plus en détail

de résultat opérationnel courant (3) en hausse de 20,7 % (4) Ratings AA-, perspective stable par Fitch Ratings et A2, perspective stable par Moody s

de résultat opérationnel courant (3) en hausse de 20,7 % (4) Ratings AA-, perspective stable par Fitch Ratings et A2, perspective stable par Moody s REGARD SUR COFACE / Le Groupe Coface est un leader mondial de l assurance-crédit et un expert reconnu des risques commerciaux. Il propose aux entreprises du monde entier des solutions pour les protéger

Plus en détail

Pension AOW pour les assurés hors des Pays-Bas

Pension AOW pour les assurés hors des Pays-Bas Pension AOW pour les assurés hors des Pays-Bas Sommaire Qu est-ce que la pension AOW? 2 A qui est destinée la pension AOW? 2 Quand aurez-vous droit à la pension AOW? 4 Résider dans un pays et travailler

Plus en détail

TAXE D APPRENTISSAGE

TAXE D APPRENTISSAGE En 2010, le Pôle Universitaire Léonard de Vinci fêtera ses 15 ans! Avant même cette date anniversaire s impose aujourd hui le constat d un pari gagné, celui de la proximité avec les entreprises : plus

Plus en détail

Le Conseil d administration. L Article VI du Statut du PAM définit comme suit les fonctions du Conseil:

Le Conseil d administration. L Article VI du Statut du PAM définit comme suit les fonctions du Conseil: 1. L E C O N S E I L D A D M I N I S T R A T I O N E T S E S F O N C T I O N S 1er janvier 1996, suite à l adoption de résolutions parallèles par l Assemblée générale des Nations Unies et la Conférence

Plus en détail

Comité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP)

Comité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP) F CDIP/12/INF/4 ORIGINAL : ANGLAIS DATE : 3 OCTOBRE 2013 Comité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP) Douzième session Genève, 18 21 novembre 2013 RÉSUMÉ DE L ÉTUDE SUR LA PROPRIÉTÉ

Plus en détail

Bienvenue au service d audioconférence sans réservation de Bell. Guide de démarrage de votre nouveau service de Bell

Bienvenue au service d audioconférence sans réservation de Bell. Guide de démarrage de votre nouveau service de Bell Bienvenue au service d audioconférence sans réservation de Bell Guide de démarrage de votre nouveau service de Bell Table des matières Bienvenue au service d audioconférence sans réservation de Bell...

Plus en détail

Bénéficiaires du droit d asile dans l UE, par nationalités, 2014. Irak 5% Afghanistan

Bénéficiaires du droit d asile dans l UE, par nationalités, 2014. Irak 5% Afghanistan 82/2015-12 mai 2015 Décisions sur les demandes d asile dans l UE Les États membres de l UE ont accordé la protection à plus de 185 000 demandeurs d asile en 2014 Les Syriens demeurent les premiers bénéficiaires

Plus en détail

CONFERENCE DE PRESSE > LANCEMENT DU «MANIFESTE POUR UNE SOCIÉTÉ POSITIVE»

CONFERENCE DE PRESSE > LANCEMENT DU «MANIFESTE POUR UNE SOCIÉTÉ POSITIVE» CONFERENCE DE PRESSE > LANCEMENT DU «MANIFESTE POUR UNE SOCIÉTÉ POSITIVE» > PRÉSENTATION DES RÉSULTATS DE L INDICE DE LA PERFORMANCE ÉCONOMIQUE POSITIVE 2014 UNE INITIATIVE DE DÉROULÉ DE LA CONFÉRENCE

Plus en détail

FRANCE. PISA 2012 : Faits marquants. Performance en mathématiques. Performance en compréhension de l écrit et en sciences

FRANCE. PISA 2012 : Faits marquants. Performance en mathématiques. Performance en compréhension de l écrit et en sciences FRANCE PISA 2012 : Faits marquants Performance en mathématiques La performance des élèves de 15 ans en mathématiques se situe en France au niveau de la moyenne des pays de l OCDE, avec un score de 495

Plus en détail

Atlas économique de Paris 2013 du greffe du tribunal de commerce de Paris

Atlas économique de Paris 2013 du greffe du tribunal de commerce de Paris Atlas économique de Paris 213 du greffe du tribunal de commerce de Paris Sommaire INTRODUCTION... 3 PARTIE 1 PARIS DANS SA GLOBALITÉ... 4 GÉOGRAPHIE DES ENTREPRISES PARISIENNES... 5 DENSITÉ DES ENTREPRISES

Plus en détail

d. elle s engage à quitter les Etats-Unis dès l expiration de son visa;

d. elle s engage à quitter les Etats-Unis dès l expiration de son visa; SUITE 1600 1221 BRICKELL AVENUE MIAMI, FL 33131-0014 T E L 3 0 5-416-6880 F A X 3 0 5-416-6887 gray-robinson.com BOCA RATON FORT LAUDERDALE JACKSONVILLE KEY WEST LAKELAND MELBOURNE MIAMI 305-913-0529 GLENN.COOPER@GRAY-ROBINSON.COM

Plus en détail

Relumina. L alternative ECO-Performante aux lampes à vapeur de mercure

Relumina. L alternative ECO-Performante aux lampes à vapeur de mercure L alternative ECO-Performante aux lampes à vapeur de mercure Qu'est-ce que la législation ErP? Pourquoi choisir? La législation relative aux produits liés à l'énergie (ErP, Energy related Product) a été

Plus en détail

DISPOSITIF D INTERVENTION REGIONALE AIDE À LA MOBILITE ETUDIANTE A L'ETRANGER Année universitaire 2015/2016

DISPOSITIF D INTERVENTION REGIONALE AIDE À LA MOBILITE ETUDIANTE A L'ETRANGER Année universitaire 2015/2016 DISPOSITIF D INTERVENTION REGIONALE AIDE À LA MOBILITE ETUDIANTE A L'ETRANGER Année universitaire 2015/2016 OBJECTIFS - Soutenir la mobilité internationale des étudiants lorrains au sein des cursus universitaires

Plus en détail

statut de l office du haut commissaire des nations unies pour les réfugiés

statut de l office du haut commissaire des nations unies pour les réfugiés statut de l office du haut commissaire des nations unies pour les réfugiés Résolution n o 428 (V) de l Assemblée générale du 14 décembre 1950 s t a t u t d u h a u t c o m m i s s a r i a t d e s n a

Plus en détail

Click to edit Master title style

Click to edit Master title style Le Service des délégués commerciaux MAECI: Orientation et rôle Investissement étranger direct (IED) Anderson Blanc Délégué commercial Click to edit Master title style Investissement & Innovation Coordonnateur

Plus en détail

les étudiants d assas au service des professionnels

les étudiants d assas au service des professionnels les étudiants d assas au service des professionnels 2 3 Présentation Générale Les avantages de l Association Pour les professionnels QUI SOMMES-NOUS? Assas Junior Conseil est une association à caractère

Plus en détail

Sommaire. Présentation générale 2. Objectifs 2. Public 2. Procedures de candidature et criteres de recevabilite 2

Sommaire. Présentation générale 2. Objectifs 2. Public 2. Procedures de candidature et criteres de recevabilite 2 Le programme ALBAN Centro Franco- Brasileiro de Documentação Técnica e Científica ALBAN - Programme Communautaire de bourses d études pour les ressortissants de l Amérique Latine en Europe Sommaire Présentation

Plus en détail

Taux de risque de pauvreté ou d exclusion sociale le plus élevé en Bulgarie, le plus faible en République tchèque

Taux de risque de pauvreté ou d exclusion sociale le plus élevé en Bulgarie, le plus faible en République tchèque 168/2014-4 Novembre 2014 Risque de pauvreté ou d'exclusion sociale dans l'ue28 Plus de 120 millions de personnes menacées de pauvreté ou d exclusion sociale en 2013 Soit près d une personne sur quatre

Plus en détail

Activités et résultats 2011

Activités et résultats 2011 Activités et résultats rci en bref RCI Banque est la captive financière de l Alliance Renault Nissan et assure à ce titre le financement des ventes des marques Renault, Renault Samsung Motors (RSM), Dacia,

Plus en détail

NOTE DE SYNTHÈSE DU REM (INFORM)

NOTE DE SYNTHÈSE DU REM (INFORM) NOTE DE SYNTHÈSE DU REM (INFORM) Politiques, pratiques et données statistiques sur les mineurs isolés étrangers (MIE) dans les États membres de l UE et en Norvège 1. INTRODUCTION Cette note de synthèse

Plus en détail

0.941.291 relative à l établissement d un bureau international des poids et mesures

0.941.291 relative à l établissement d un bureau international des poids et mesures Texte original 0.941.291 Convention relative à l établissement d un bureau international des poids et mesures Conclue à Paris le 20 mai 1875 Approuvée par l Assemblée fédérale le 2 juillet 1875 1 Instruments

Plus en détail

TROISIEME REUNION DU FORUM SUR L ADMINISTRATION FISCALE DE L OCDE

TROISIEME REUNION DU FORUM SUR L ADMINISTRATION FISCALE DE L OCDE ORGANISATION FOR ECONOMIC CO-OPERATION AND DEVELOPMENT TROISIEME REUNION DU FORUM SUR L ADMINISTRATION FISCALE DE L OCDE 14-15 septembre 2006 Séoul, Corée Déclaration de Séoul (version définitive) CENTRE

Plus en détail

Premières estimations pour 2014 Le revenu agricole réel par actif en baisse de 1,7% dans l UE28

Premières estimations pour 2014 Le revenu agricole réel par actif en baisse de 1,7% dans l UE28 194/2014-15 décembre 2014 Premières estimations pour 2014 Le revenu agricole réel par actif en baisse de 1,7% dans l UE28 Par rapport à 2013, le revenu agricole réel par actif 1 a diminué de 1,7% dans

Plus en détail

Nom. les. autres États. n de l aviation. Organisation. ATConf/6-WP/49 14/2/12. Point 2 : 2.2. Examen de. des accords bilatéraux. consultées.

Nom. les. autres États. n de l aviation. Organisation. ATConf/6-WP/49 14/2/12. Point 2 : 2.2. Examen de. des accords bilatéraux. consultées. Nom Organisation n de l aviation civile internationale NOTE DE TRAVAIL ATConf/6-WP/49 14/2/12 SIXIÈME CONFÉRENCE MONDIALE DE TRANSPORT AÉRIEN Montréal, 18 22 mars 2013 Point 2 : 2.2 Examen de questions

Plus en détail

Kit Demande de Bourse Etude Erasmus 2014-2016

Kit Demande de Bourse Etude Erasmus 2014-2016 CESI-ERA- 1415 - Informations Programme Erasmus ERASMUS 2014-2016 Période d Etude Note d information aux élèves Les élèves de l ei.cesi et d exia.cesi peuvent bénéficier d une bourse Erasmus : - pour une

Plus en détail

Global Entrepreneurship Monitor

Global Entrepreneurship Monitor Global Entrepreneurship Monitor Rapport 2003 sur l Entrepreneuriat en Suisse 2003 Swiss Executive Report Thierry Volery Georges Haour et Benoît Leleux Avec la participation de Bernard Surlemont et Diego

Plus en détail

Mobilité de l enseignement supérieur

Mobilité de l enseignement supérieur Mobilité de l enseignement supérieur Guide financier 2014 1 SOMMAIRE Introduction... 3 Le calcul de la subvention par l agence... 4 Utilisation de la subvention par l établissement... 7 Exemple d allocation

Plus en détail

REGARDS CROISES ELITES / GRAND PUBLIC SUR LA FRANCE DANS LA MONDIALISATION

REGARDS CROISES ELITES / GRAND PUBLIC SUR LA FRANCE DANS LA MONDIALISATION REGARDS CROISES ELITES / GRAND PUBLIC SUR LA FRANCE DANS LA MONDIALISATION Juillet 2008 2, rue de Choiseul CS 70215 75086 Paris Cedex 02 Tél. : (33) 01 44 94 59 10 Fax : (33) 01 44 94 40 01 www.csa.eu

Plus en détail

Tarif des paiements internationaux, des opérations de change et des opérations documentaires

Tarif des paiements internationaux, des opérations de change et des opérations documentaires Tarif des paiements internationaux, des opérations de change et des opérations documentaires Vous trouverez dans cette brochure un aperçu des tarifs concernant: 1. Paiements internationaux 2 2. Opérations

Plus en détail

Qui sont les enseignants?

Qui sont les enseignants? Extrait de : Regards sur l'éducation 2008 : Panorama Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/9789264040649-fr Qui sont les enseignants? Merci de citer ce chapitre comme suit : OCDE (2009),

Plus en détail

Qu est-ce que la compétitivité?

Qu est-ce que la compétitivité? Qu est-ce que la compétitivité? Le but de ce dossier pédagogique est d expliquer la notion de compétitivité d une entreprise, d un secteur ou d un territoire. Ce concept est délicat à appréhender car il

Plus en détail

L Épargne des chinois

L Épargne des chinois L Épargne des chinois (Patrick ARTUS Johanna MELKA) Colloque Cirem-Cepii-Groupama AM 29 septembre 25 Indicateurs de «qualité de vie» en Chine 199 1995 2 22 23 Nombre d'écoles par 1 habitants 9,1 7,82 6,48

Plus en détail

L offre didactique de l Université des Sciences Gastronomiques

L offre didactique de l Université des Sciences Gastronomiques L Université des Sciences Gastronomiques : une petite université à haut taux de biodiversité Le monde entier à Pollenzo pour apprendre en expérimentant, voyageant, se documentant De sa fondation (2004)

Plus en détail

PISA 2012 : Compétences des jeunes Romands Résultats de la cinquième enquête PISA auprès des élèves de fin de scolarité obligatoire

PISA 2012 : Compétences des jeunes Romands Résultats de la cinquième enquête PISA auprès des élèves de fin de scolarité obligatoire PISA 2012 : Compétences des jeunes Romands Résultats de la cinquième enquête PISA auprès des élèves de fin de scolarité obligatoire Ouvrage coordonné par Christian Nidegger PISA 2012 : Compétences des

Plus en détail

Veufs MARS 2015. Veuvage, vos droits. B Retraite de réversion. B Allocation de veuvage. B Autres prestations

Veufs MARS 2015. Veuvage, vos droits. B Retraite de réversion. B Allocation de veuvage. B Autres prestations Veufs MARS 2015 Veuvage, vos droits B Retraite de réversion B Allocation de veuvage B Autres prestations Veuvage, vos droits À la perte de votre conjoint, de nombreuses démarches sont à accomplir. L Assurance

Plus en détail

Tableau récapitulant au 10 octobre 2014 l'état de la Convention et des accords y relatifs

Tableau récapitulant au 10 octobre 2014 l'état de la Convention et des accords y relatifs Information concernant l état de la Convention, de l'accord relatif à l'application de la Partie XI de la Convention et de l Accord aux fins de l'application des dispositions de la Convention relatives

Plus en détail

Les comptes nationaux et le SEC 2010

Les comptes nationaux et le SEC 2010 Les comptes nationaux et le SEC 2010 7 ème séminaire de la Banque nationale de Belgique pour enseignants en économie du secondaire Bruxelles, le 22 octobre 2014 Catherine RIGO Plan de l exposé Introduction

Plus en détail

COLLOQUE 8 - RELÈVE PME ET SUCCESSION D'ENTREPRISES FAMILIALES. ENJEUX STRATEGIQUES, ORGANISATIONNELS ET HUMAINS

COLLOQUE 8 - RELÈVE PME ET SUCCESSION D'ENTREPRISES FAMILIALES. ENJEUX STRATEGIQUES, ORGANISATIONNELS ET HUMAINS Responsables scientifiques COLLOQUE 8 - RELÈVE PME ET SUCCESSION D'ENTREPRISES FAMILIALES. ENJEUX STRATEGIQUES, ORGANISATIONNELS ET HUMAINS Québec Luis CISNEROS, Professeur agrégé, Directeur de l Institut

Plus en détail

Analyse prospective des marchés à l export, par secteur et par pays

Analyse prospective des marchés à l export, par secteur et par pays Analyse prospective des marchés à l export, par secteur et par pays Octobre 2012 RESULTATS DE L ANALYSE DES COUPLES PAYS/SECTEURS PORTEURS EN FAVEUR DU COMMERCE EXTERIEUR DE LA FRANCE SOMMAIRE Résumé 2

Plus en détail

Fonds internationaux d indemnisation pour les dommages dus à la pollution par les hydrocarbures

Fonds internationaux d indemnisation pour les dommages dus à la pollution par les hydrocarbures Fonds internationaux d indemnisation pour les dommages dus à la pollution par les hydrocarbures Édition 2012 Rôle des FIPOL Le Fonds de 1992 et, le cas échéant, le Fonds complémentaire, fournissent un

Plus en détail

Vous avez du talent, nous protégeons votre indépendance. Demande de pension d invalidité Notice explicative

Vous avez du talent, nous protégeons votre indépendance. Demande de pension d invalidité Notice explicative Vous avez du talent, nous protégeons votre indépendance Demande de pension d invalidité Nature des pensions PENSION POUR INCAPACITE AU METIER (seulement les professions artisanales) Il s agit d une pension

Plus en détail

FORMALITES DOUANIERES

FORMALITES DOUANIERES FORMALITES DOUANIERES En France métropolitaine, pour les envois intra-métropole et vers les pays de l Union Européenne, toute vente de marchandise est soumise à la TVA. En revanche, les marchandises exportées

Plus en détail

LA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE

LA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE LA RÉDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL : UNE COMPARAISON DE LA POLITIQUE DES «35 HEURES» AVEC LES POLITIQUES D AUTRES PAYS MEMBRES DE L OCDE par John P. Martin, Martine Durand et Anne Saint-Martin* Audition

Plus en détail

Note relative à l investissement direct étranger dans le monde et au Maroc

Note relative à l investissement direct étranger dans le monde et au Maroc Royaume du Maroc Département de l Economie, des Finances et de la Privatisation Direction de la Politique Economique Générale Note relative à l investissement direct étranger dans le monde et au Maroc

Plus en détail

Pays 1 où il y a un risque de transmission de la fièvre jaune 2 et pays exigeant la vaccination antiamarile

Pays 1 où il y a un risque de transmission de la fièvre jaune 2 et pays exigeant la vaccination antiamarile ANNEXE 1 Pays 1 où il y a un risque de transmission de la fièvre jaune 2 et pays exigeant la vaccination antiamarile Pays Pays où il y a un Pays exigeant Pays exigeant risque de transmission la vaccination

Plus en détail

PROGRAMME ERASMUS+ Toute mobilité Erasmus+, financée ou non par la bourse, doit faire l objet de justification sur la base des documents suivants

PROGRAMME ERASMUS+ Toute mobilité Erasmus+, financée ou non par la bourse, doit faire l objet de justification sur la base des documents suivants PROGRAMME ERASMUS+ Le programme Erasmus+ concerne les mobilités réalisées dans le cadre d un des accords Erasmus de Sciences Po Grenoble dans les pays suivants : 27 Etats membres de l Union Européenne

Plus en détail

Éléments méthodologiques sur le reporting environnemental 2011

Éléments méthodologiques sur le reporting environnemental 2011 1 Nos performances environnementales, sociales et sociétales en 2011 Éléments méthodologiques sur le reporting environnemental 2011 Sur les données environnementales publiées dans le présent rapport, il

Plus en détail

Vous avez eu ou élevé des enfants Vos droits

Vous avez eu ou élevé des enfants Vos droits Salariés FÉVRIER 2014 Vous avez eu ou élevé des enfants Vos droits B Les majorations de durée d assurance B Le congé parental B La majoration pour 3 enfants Vous avez eu ou élevé des enfants Vous avez

Plus en détail

SAEGIS SUR SERION DES BASES DE DONNÉES DIVERSIFIÉES. UNE COUVERTURE MONDIALE. THOMSON COMPUMARK. Registre international.

SAEGIS SUR SERION DES BASES DE DONNÉES DIVERSIFIÉES. UNE COUVERTURE MONDIALE. THOMSON COMPUMARK. Registre international. DES DIVERSIFIÉES. UNE COUVERTURE MONDIALE. REUTERS/ANDY GAO Registre international Registre international Amérique du Nord Bermudes Canada Mexique États-Unis : Marques fédérales, Marques d État Amérique

Plus en détail

La fiscalité européenne de l épargne. Ce qui va changer pour vous

La fiscalité européenne de l épargne. Ce qui va changer pour vous La fiscalité européenne de l épargne Ce qui va changer pour vous SOMMAIRE LA FISCALITÉ EUROPÉENNE DE L ÉPARGNE 3 De quoi s agit-il? 1 Quand entre-t-elle en vigueur? 3 LA FISCALITÉ EUROPÉENNE DE L ÉPARGNE

Plus en détail

Les banques suisses 2013 Résultats des enquêtes de la Banque nationale suisse

Les banques suisses 2013 Résultats des enquêtes de la Banque nationale suisse Communiqué presse Communication Case postale, CH-8022 Zurich Téléphone +41 44 631 31 11 communications@snb.ch Zurich, le 19 juin 2014 Les banques suisses 2013 Résultats s enquêtes la Banque nationale suisse

Plus en détail

Service d assistance matérielle HP destiné aux voyageurs intervention le jour ouvrable suivant Amériques

Service d assistance matérielle HP destiné aux voyageurs intervention le jour ouvrable suivant Amériques Service d assistance matérielle HP destiné aux voyageurs intervention le jour ouvrable suivant Amériques Services Care Pack HP Données techniques Le Service d assistance matérielle HP destiné aux voyageurs

Plus en détail

Projets Eurêka. i s. E u r ê k a. f r a n ç a. i a t. S e c r é t a r. Innovation européenne Ouverture aux marchés Impact économique

Projets Eurêka. i s. E u r ê k a. f r a n ç a. i a t. S e c r é t a r. Innovation européenne Ouverture aux marchés Impact économique S e c r é t a r i a t f r a n ç a i s Souplesse Réactivité Internationalisation Suivi personnalisé Financement E u r ê k a Projets Eurêka Innovation européenne Ouverture aux marchés Impact économique design

Plus en détail

OBSERVATION ET STATISTIQUES

OBSERVATION ET STATISTIQUES COMMISSARI GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 461 Novembre 2013 Prix du gaz et de l électricité en France et dans l Union européenne en 2012 OBRVION ET STISTIQU ÉNERG En 2012, le prix du gaz a augmenté

Plus en détail

Qui sommes-nous? Motivation Factory propose des solutions web

Qui sommes-nous? Motivation Factory propose des solutions web Qui sommes-nous? Motivation Factory propose des solutions web La Motivation intangible : portails collaboratifs métiers, innovation collaborative, management des idées, brainstorming La Motivation tangible

Plus en détail

WorldShip 2015. Guide d installation. Un guide simple pour installer et mettre à niveau le logiciel WorldShip.

WorldShip 2015. Guide d installation. Un guide simple pour installer et mettre à niveau le logiciel WorldShip. WorldShip 2015 Guide d installation Un guide simple pour installer et mettre à niveau le logiciel WorldShip. 2000-2015 United Parcel Service of America, Inc. UPS, la marque commerciale UPS et la couleur

Plus en détail

Prendre sa retraite en France Droits, conditions et formalités de résidence. Natasha Lavy-Upsdale Service des Relations avec les Pays-hôtes

Prendre sa retraite en France Droits, conditions et formalités de résidence. Natasha Lavy-Upsdale Service des Relations avec les Pays-hôtes Prendre sa retraite en France Droits, conditions et formalités de résidence Natasha Lavy-Upsdale Service des Relations avec les Pays-hôtes Novembre 2011 Droit de libre circulation et de séjour des citoyens

Plus en détail

Nécessité d un «électrochoc» fiscal

Nécessité d un «électrochoc» fiscal Les Analyses du Centre Jean Gol Nécessité d un «électrochoc» fiscal Janvier 2014 Administrateur délégué : Richard Miller Directrice : Laurence Glautier Directeur scientifique : Corentin de Salle Les analyses

Plus en détail

Livre blanc Compta Le SEPA : Comment bien préparer sa migration?

Livre blanc Compta Le SEPA : Comment bien préparer sa migration? Livre blanc Compta Le SEPA : Comment bien préparer sa migration? Notre expertise en logiciels de gestion et rédaction de livres blancs Compta Audit. Conseils. Cahier des charges. Sélection des solutions.

Plus en détail

W PROJECT DOSSIER DE PRÉSENTATION

W PROJECT DOSSIER DE PRÉSENTATION W PROJECT DOSSIER DE PRÉSENTATION DÉCOUVREZ LES ENTREPRENEURS FRANÇAIS DE L ÉTRANGER. Une deuxième édition pour aller encore plus loin... C est par ici! www.wproject.fr W Project : Définition En février

Plus en détail

SOGECASH NET. vos opérations bancaires en ligne

SOGECASH NET. vos opérations bancaires en ligne ENTREPRISES GESTION DES FLUX SOGECASH NET vos opérations bancaires en ligne SOGECASH NET Gestion des comptes bancaires sur Internet Sogecash Net est un ensemble de services sur Internet, depuis un ordinateur,

Plus en détail

PISA 2009 : Compétences des jeunes Romands Résultats de la quatrième enquête PISA auprès des élèves de 9e année

PISA 2009 : Compétences des jeunes Romands Résultats de la quatrième enquête PISA auprès des élèves de 9e année PISA 2009 : Compétences des jeunes Romands Résultats de la quatrième enquête PISA auprès des élèves de 9e année Ouvrage coordonné par Christian Nidegger Institut de recherche et de documentation pédagogique

Plus en détail

125 700 m² LE MARCHÉ LOCATIF - 3T 2014 LA DÉFENSE. Demande placée. Taille des transactions 2010 2011 2012 2013 3T2014 2010 2011 2012 2013 3T2014

125 700 m² LE MARCHÉ LOCATIF - 3T 2014 LA DÉFENSE. Demande placée. Taille des transactions 2010 2011 2012 2013 3T2014 2010 2011 2012 2013 3T2014 LE MARCHÉ LOCATIF - 3T 2014 LA DÉFENSE Demande placée 125 700 m² +41% : confirme son retour en grâce sur le marché locatif, en dépit d un 3 ème trimestre 2014 beaucoup moins flamboyant que le précédent,

Plus en détail

Étude de marché. Critères de qualification Travaux de génie civil et construction de bâtiments industriels au CERN

Étude de marché. Critères de qualification Travaux de génie civil et construction de bâtiments industriels au CERN Étude de marché Critères de qualification Travaux de génie civil et construction de bâtiments industriels au CERN EDMS N : 1382269 MS-4034/GS Afin d être pris en considération en tant que soumissionnaire

Plus en détail

La recherche d assurance maladie à l étranger Procédure à l usage des CPAS

La recherche d assurance maladie à l étranger Procédure à l usage des CPAS La recherche d assurance maladie à l étranger Procédure à l usage des CPAS CAAMI Service Relations internationales (iri.enquete@caami.be) www.caami.be Introduction La Caisse Auxiliaire d Assurance Maladie-Invalidité

Plus en détail

Chapitre 2 : La logistique. Pour le commerce international, les modes de transport utilisés sont :

Chapitre 2 : La logistique. Pour le commerce international, les modes de transport utilisés sont : I) La chaine logistique internationale. A. Le concept de logistique. Chapitre 2 : La logistique. Les activités de logistique et de transport permettent de gérer l ensemble des flux de matières et de produits,

Plus en détail

Prix et prestations Communication mobile

Prix et prestations Communication mobile Enterprise Customers Prix et prestations Communication mobile Valables à partir du 1 er septembre 2015 Table des matières NATEL Tarif forfaitaires NATEL 3 NATEL business infinity 3 Téléphonie NATEL 4 Téléphonie

Plus en détail