ACTES COMITE PARTENARIAL. Marseille le 07 Décembre 2010
|
|
- Virgile Bordeleau
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 ACTES COMITE PARTENARIAL Marseille le 07 Décembre
2 Gaby Olmeta : «Nous invitons Manuel Pinto, Directeur des petits frères des Pauvres. Les petits frères des Pauvres, c est 17 salariés, 350 bénévoles et plus de 500 personnes accompagnées. Nous allons avoir peut-être un regard différent.» Manuel Pinto Directeur des petits frères des Pauvres : «Je voudrais juste commencer par ce témoignage : "- Mon mari quand il était malade, pour apporter un certain confort, on a fait des prêts. C est malheureux, mais c est comme ça. Quand il est mort, je n ai plus eu droit à la pension de réversion parce que ma retraite dépasse le plafond de la sécurité sociale. Donc, avec ce manque à gagner, je me suis retrouvée en surendettement. Je ne pouvais plus payer mes créanciers. Alors, comme je ne savais pas quoi faire, j ai téléphoné à la Banque de France : qu est-ce qu il faut faire?. Ils m ont dit : on va vous envoyer un dossier. J ai monté toute seule le dossier et j ai été reconnue en surendettement. Je dois payer pendant 7 ans." (Mme K., 80 ans, 12 ème arrondissement de Marseille Source : extrait d une enquête réalisée auprès de personnes âgées vivant à domicile, réalisée en juillet 2010 par le CCAS de la Ville de Marseille). Je vais présenter les chiffres de 4 associations propres mais c était juste pour rappeler que derrière des chiffres il y a toujours des hommes et des femmes. Au regard de Médecins du Monde, 80 % des personnes rencontrées par Médecins du Monde sont des hommes, 90 % présentent une dépendance alcoolo-tabagique. Les équipes signalent en 2009 une proportion croissante de personnes âgées venant à leur contact. Bien que disposant d un logement, elles sollicitent une aide alimentaire, vestimentaire, médicale ou encore administrative. Les problèmes d accès aux soins sont au premier plan : tiers payant trop élevé, absence de mutuelle complémentaire, revenus insuffisants. La précarité des personnes d âge avancé s accentue, souvent accompagnée de signes dépressifs et de troubles mnésiques. En 2009, l équipe mobile de santé mentale a réalisé 100 tournées de rues, établissant des contacts réguliers auprès de 130 personnes. 90 % d entre elles sont dans la rue depuis plus d un an. Les femmes représentent 30 % des personnes rencontrées, soit une augmentation de 10 % par rapport à Ces personnes souffrent d une absence quasi-totale de liens familiaux et leurs troubles psychiatriques les laissent même à l écart des liens de compagnonnage parfois observés chez les sans-abri. L année 2009 est marquée par une forte progression du nombre d hospitalisations sous contrainte (51 % contre 18 % en 2008), dues à une approche plus volontariste de l équipe, de meilleures relations avec les services hospitaliers et surtout suite aux retours positifs des personnes précédemment hospitalisées sous contrainte. Pour les petits frères des Pauvres, 524 personnes sont suivies régulièrement. 65% de femmes et 35% d hommes. Chaque année, le nombre d hommes isolés croît, 2
3 lentement mais régulièrement, surtout dans la tranche d âge ans. Les situations de vie rencontrées sont de plus en plus complexes et préoccupantes. Dans la région, le bilan du projet associatif «Ensemble vers les plus Pauvres» est marqué par une forte hausse du nombre de personnes accompagnées : l augmentation de 10 % de cet effectif entre 2008 et 2009 contribue à la continuité de l augmentation sur ces 5 dernières années qui atteint 63 % depuis Cette tendance s explique par un partenariat développé en région pour renforcer et pérenniser les actions entreprises et l extension sur de nouveaux territoires. Il s agit notamment d aller à la rencontre de trois publics définis comme prioritaires : les personnes SDF vieillissantes, les migrants âgés et les malades isolés. On compte par exemple, en 2009, 29 % de personnes accompagnées, majoritairement «vieux migrants», vivant en résidence sociale et 25 % vivant en EHPAD ou USLD 1. Entre 50 et 65 ans, les personnes entrent dans l isolement par la pauvreté, tandis qu entre 75 et 85 ans, elles entrent dans la pauvreté par l isolement, la maladie, la dépendance. C est cette convergence entre pauvreté et isolement qui rend plus complexes les situations rencontrées. Le rapport d activité national évoque l augmentation des demandes urgentes pour faire face aux dépenses de la vie quotidienne, avec une augmentation de 20 % en 2009 des aides individuelles ponctuelles, tandis que les aides dans la durée ont diminué de 13 %. Sur la région, c est notamment dans le domaine de la santé que ces demandes ponctuelles se sont accrues. En 2009, c est l engagement régulier de 361 bénévoles (69 de plus que l an dernier), rejoints sur les temps forts par 248 bénévoles ponctuels, qui a donné vie à cette fraternité : 524 personnes sont accompagnées régulièrement, ont partagé une action Noël, 225 sont parties en vacances, 991 activités collectives ont été organisées pour réunir participants. Pour le Secours Catholique, en 2009, les bénévoles de cette association ont rencontré personnes (appelées ici «situations») en région PACA, ce qui représente une diminution de 5 % au regard de l année précédente. Cependant, la proportion de nouveaux contacts, souvent envoyés par les services sociaux, est plus importante. Parmi les situations analysées, la part des ressortissants des pays d Europe de l Est a été multipliée par 2,5 dans la région, alors qu elle n a progressé que d un point à l échelle nationale. Le nombre de situations en attente de statut progresse de 18 points en un an. La précarité professionnelle a augmenté : la part des inactifs a progressé de 1,7 point, principalement du fait des étrangers sans droit au travail. 12 % des personnes qui se rendent au Secours Catholique ont un emploi, soit un recul de 1,8 point par rapport à % des familles secourues sont sans ressources au moment de leur rencontre (20,7 % si l on ne tient pas compte des étrangers sans- 1 Etablissement d Hébergement pour Personnes Agées Dépendantes ou Unité de Soins Longue Durée. 3
4 papiers ou en attente de statut, ce qui représente la plus forte proportion de familles sans ressources de France métropolitaine). La région compte également la proportion d hommes seuls la plus importante de France, bien qu ils soient en léger recul par rapport à La progression de la part des pères isolés (+ 0,7 point) est à souligner, ainsi que celle des couples avec enfants (+ 2 points). La part des moins de 25 ans continue à progresser depuis 2007 tandis que celle des plus de 50 ans recule. La part des logements précaires augmente de 2 points. Cette augmentation est surtout le fait d un plus grand recours aux hôtels et pensions ainsi qu à l hébergement dans la famille ou chez des amis. La part des personnes se rendant en centre d hébergement ou vivant dans des abris de fortune diminue de 6 points mais reste supérieure à celle enregistrée à l échelle nationale (16,5 % en PACA contre 10,2 % pour l ensemble de la France métropolitaine). Dans son rapport, le Secours Catholique se positionne. Généralement, on pense que les personnes sont en difficulté parce qu elles ne savent pas gérer. L analyse montre que leur budget n est pas viable. Ces personnes n ont objectivement pas les moyens financiers de s en sortir et ne peuvent agir seules sur leur situation pour faire face à leur charge. Les Banques Alimentaires collectent et stockent des denrées alimentaires qu elles redistribuent à des associations. Celles-ci distribuent ensuite les repas ou les colis aux personnes les plus démunies qu elles accompagnent. Le plus gros fournisseur de denrées est l Union Européenne, qui représente 30 à 50 % de l approvisionnement des Banques Alimentaires de la région. Les collectes auprès du grand public représentent pour leur part de 7 % (Var, Vaucluse) à 25 % (Bouches-du-Rhône, Alpes du sud) des denrées collectées. En 2009, les cinq Banques Alimentaires de la région PACA ont distribué environ tonnes de denrées, soit 900 de plus qu en Cela représente l équivalent de repas, soit une progression de 25 % par rapport à l année précédente Année Européenne de lutte contre la pauvreté et l exclusion sociale. Pour faire suite à l engagement des Etats membres en 2002 d éradiquer la pauvreté. Le 30 novembre 2010 avait lieu à Paris la cérémonie de clôture. Monsieur Soulage, ambassadeur de l année européenne 2010 et par ailleurs Président du Secours Catholique a émis 6 propositions dans son discours. Ces propositions résultent des rencontres qui ont eu lieu au cours de l année et constituent une base de travail soumise aux pouvoirs publics par l ambassadeur de l année européenne. 1 er point, un plan national d action et de lutte contre la pauvreté et l exclusion sociale intégrant 3 dimensions : Territorialiser, Créer des chefs de files, 4
5 Définir des parcours continus au-delà des dispositifs trop ciblés qui exposent à de continuels sauts de puce. Une méthode : la co-construction pour élaborer au niveau des territoires des conventions de cohésion sociale et non pas des chartes. Ce plan a un double objectif. Il s accompagne d une forte communication : 1. Changer le regard de la population sur la grande pauvreté, 2. Permettre à chaque acteur de se situer par rapport aux autres. Il doit être conçu avec les intéressés et avec les associations afin que chaque citoyen puisse trouver un lieu d engagement. Ce sera l occasion de réfléchir ainsi à un nouveau partage des richesses dans une période où les ressources publiques sont limitées. Cette campagne peut trouver sa place au cours de l année européenne du bénévolat 2011, à condition qu elle soit orientée vers un bénévolat complémentaire de l action publique et non en substitution de celle-ci. 2 ème point, l accès au droit. Cela peut prendre plusieurs formes. Aujourd hui un accès plus compliqué, un accès non respecté des inégalités de traitement. Dans beaucoup de cas, il n est pas besoin de créer de nouveaux droits, mais de faire respecter et appliquer ceux qui existent. 3 ème point, revisiter les minima sociaux. Par exemple, lier les minima sociaux et l évolution du seuil de pauvreté. 4 ème point, définir des parcours d insertion à partir de la volonté de fournir un accompagnement global. 5 ème point, développer une représentation, instituer de la parole des usagers. 6 ème point, favoriser l inclusion financière, la prévention des incidents bancaires, l utilisation du micro crédit personnel. Pour ne pas conclure, je citerai Armand Marquiset, fondateur des petits frères des Pauvres, «J ai cru à l amour, c est la seule solution possible, la seule réponse. L échec, c est de ne pas donner assez.» Merci» 5
Lutter contre les exclusions
D 2 COHESION SOCIALE ENTRE LES POPULATIONS, LES TERRITOIRES, LES GENERATIONS Si, globalement, la population vélizienne semble peu exposée au risque d exclusion (taux d emploi élevé, revenu médian moyen,
Plus en détailLUTTER POUR UNE MEILLEURE SANTÉ : QUE PEUT-ON FAIRE DANS NOTRE QUARTIER?
LUTTER POUR UNE MEILLEURE SANTÉ : QUE PEUT-ON FAIRE DANS NOTRE QUARTIER? Résumé des trois enjeux présentés lors de l Assemblée publique du comité de lutte en santé de la Clinique communautaire de Pointe-Saint-Charles
Plus en détailDE BIENVENUE GUIDE. Banques Alimentaires. Ensemble, aidons l homme à se restaurer BANQUE ALIMENTAIRE EURE ET LOIR
GUIDE DE BIENVENUE Banques Alimentaires Ensemble, aidons l homme à se restaurer BANQUE ALIMENTAIRE EURE ET LOIR sommaire Le réseau/ma BA Militer Agir au quotidien Agir en équipe S engager S informer, se
Plus en détailENQUETE MARS 2014 L HEBERGEMENT D URGENCE EN 2014 ETAT DES LIEUX ET PARCOURS DES PERSONNES SANS DOMICILE FIXE DANS 5 VILLES DE FRANCE
ENQUETE MARS 2014 L HEBERGEMENT D URGENCE EN 2014 ETAT DES LIEUX ET PARCOURS DES PERSONNES SANS DOMICILE FIXE DANS 5 VILLES DE FRANCE MEDECINS DU MONDE MARS 2014 2 SOMMAIRE INTRODUCTION... 3 CONTEXTE ET
Plus en détailCOMMUNIQUE DE PRESSE Saint-Denis, le 4 mars 2014
COMMUNIQUE DE PRESSE Saint-Denis, le 4 mars 2014 Aider les plus démunis à rester connectés Connexions Solidaires ouvre à Saint-Denis Grâce au soutien de la Mairie, du Centre Communal d Action Sociale (CCAS)
Plus en détailObservatoire National de la santé des jeunes. Accès aux droits et aux soins
Observatoire National de la santé des jeunes Accès aux droits et aux soins Données septembre 2012 «Observatoire santé UNHAJ - accès aux droits et aux soins» La santé des jeunes sous observationerreur!
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. Améliorer l hébergement des plus défavorisés : Un plan triennal pour réduire le recours aux nuitées hôtelières
DOSSIER DE PRESSE Améliorer l hébergement des plus défavorisés : Un plan triennal pour réduire le recours aux nuitées hôtelières Paris, le mardi 3 février 2015 Contact presse Ministère du Logement, de
Plus en détailB2V lance le Prix Solidarité Autonomie Seniors
DOSSIER DE PRESSE B2V lance le Prix Solidarité Autonomie Seniors Sommaire Page 2 : Le Prix B2V en quelques dates Page 3 : Un prix destiné à encourager l innovation sociale en matière d accompagnement du
Plus en détailComité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS.
Comité des produits Discours du Directeur général. 29 mai 2012 1 DISCOURS D OUVERTURE DU DIRECTEUR GÉNÉRAL AU COMITÉ DES PRODUITS 28 mai 2012 Madame la Représentante permanente adjointe de Sri Lanka, Présidente
Plus en détailÀ retenir... 1. Ce qu en disent les acteurs communautaires
1 Volet 4 : Ainé-e-s Table des matières À retenir... 1 Ce qu en disent les acteurs communautaires... 1 1. Un portrait des aîné e s du quartier... 2 1.1 Répartition des personnes âgées de 65 ans et plus...
Plus en détailNOTRE ACTION SOCIALE PREND SOIN DE VOUS
NOTRE ACTION SOCIALE PREND SOIN DE VOUS NOTRE ACTION SOCIALE EN QUELQUES CHIFFRES * 35 délégations régionales 218 collaborateurs dédiés, dont 154 sur le terrain 12 500 membres d associations bénévoles
Plus en détailcontre la pauvreté et pour l inclusion sociale
PREMIER MINISTRE PLAN PLURIANNUEL contre la pauvreté et pour l inclusion sociale 3 mars 2015 SYNTHÈSE Adopté à la suite d un comité interministériel de lutte contre l exclusion en 2013, le plan pluriannuel
Plus en détailPacte européen pour la santé mentale et le bien-être
Pacte européen pour la santé mentale et le bien-être CONFERENCE DE HAUT-NIVEAU DE L UE ENSEMBLE POUR LA SANTÉ MENTALE ET LE BIEN-ÊTRE Bruxelles, 12-13 juin 2008 Slovensko predsedstvo EU 2008 Slovenian
Plus en détailPour certains, la maladie est assimilée à une faiblesse (consulter constitue un aveu de défaillance physique).
P.R ALPS. Re tour sommaire P ages précédentes Les professionnels de santé ne sont pas toujours bien perçus par les bénéficiaires du RMI, ils éprouvent souvent une certaine méfiance (peur du diagnostic?
Plus en détailBELGIQUE. 1. Principes généraux.
BELGIQUE Les dépenses de protection sociale en Belgique représentent 27,5%PIB. Le système belge est de logique bismarckienne. La principale réforme récente concerne le risque maladie. 1. Principes généraux.
Plus en détailLes durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes
Revenus Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Marie-Émilie Clerc, Pierre Lamarche* Entre 2005 et 2011, l endettement des ménages a fortement augmenté, essentiellement du fait de la hausse
Plus en détailEdito du Maire. Frédéric Béatse Maire d Angers Président du CCAS
2 Edito du Maire C est avec plaisir que je vous présente l Analyse des Besoins Sociaux réalisée par la Ville d Angers et son Centre Communal d Action Sociale, qui se décline autour des trois thématiques
Plus en détailProchaine rencontre: jeudi 15 mai, 10h00/12h00 Maison des Habitants Centre-ville - 2 rue du Vieux Temple - Grenoble
Prochaine rencontre: jeudi 15 mai, 10h00/12h00 Maison des Habitants Centre-ville - 2 rue du Vieux Temple - Grenoble mortderuegrenoble.wordpress.com La «barque-mémoire» et «la passerelle», construits en
Plus en détailLes conséquences du sous-financement des organismes communautaires montréalais
Les conséquences du sous-financement des organismes communautaires montréalais Des conclusions qui appellent à la mobilisation Rapport du RIOCM sur le sous-financement des organismes communautaires de
Plus en détailEXTRAIT DU REGISTRE DES DÉLIBÉRATIONS DU CONSEIL D'ADMINISTRATION
EXTRAIT DU REGISTRE DES DÉLIBÉRATIONS DU CONSEIL D'ADMINISTRATION Séance du mardi 17 décembre 2013 à 9h00 présidée par Monsieur Christian BATY, Vice-Président DATE DE CONVOCATION 12 DECEMBRE 2013 NOMBRE
Plus en détailLe projet de loi relatif à l adaptation de la société au vieillissement
Le projet de loi relatif à l adaptation de la société au vieillissement DOSSIER PRESSE Mars 2015 Contact : cab-fpa-presse@sante.gouv.fr www.social-sante.gouv.fr Introduction Le projet de loi relatif à
Plus en détailFondation Sanofi Espoir. Charte de sélection des projets
Fondation Sanofi Espoir Charte de sélection des projets Décembre 2010 1 La Charte de sélection des projets Vous êtes porteur d un projet de terrain lié à la santé, dans le domaine de la solidarité ou de
Plus en détailAIDES FORMATION / ACCES A LA QUALIFICATION. Région Département 04 05 06 13 83 84 Local
AIDES FORMATION / ACCES A LA QUALIFICATION Bourse d études Conseil régional Provence-Alpes-Côte d Azur Mise à jour : Février 2011 (Réf. FO00001) Secteur géographique concerné Région Département 04 05 06
Plus en détailMission France Réseau Social Dentaire Val de Marne 2015
Mission France Réseau Social Dentaire Val de Marne 2015 Objectif AOI Accompagner une amélioration de la santé dentaire de populations démunies Pays en développement France AOI - France - Val de Marne Faciliter
Plus en détailL allocataire dans un couple : l homme ou la femme?
L allocataire dans un couple : l homme ou la femme? par Alain Jacquot CNAF-Bureau des Prévisions Les CAF versent une trentaine de prestations (prestations familiales stricto sensu, aides au logement, et
Plus en détailPositionnement de l UNCCAS relatif au registre national des crédits aux particuliers ou «fichier positif»
Positionnement de l UNCCAS relatif au registre national des crédits aux particuliers ou «fichier positif» Ce registre national des crédits aux particuliers a été introduit (article 22) dans le projet de
Plus en détailAllocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins
Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Université d été de la performance en santé - 29 août 2014- Lille Monsieur le président, Monsieur le directeur général,
Plus en détailDroits et aides pour les aidants familiaux «Être aidant être soi» Prendre soin de soi c est prendre soin de l autre.
Droits et aides pour les aidants familiaux «Être aidant être soi» Prendre soin de soi c est prendre soin de l autre. 1 Qu est-ce qu un aidant familial Une personne qui vient en aide, à titre non professionnel
Plus en détailL état de la pauvreté en France
Notes de l Observatoire N 1, octobre 2013 L état de la pauvreté en France Combien compte-t-on de pauvres en France? Comment évolue leur nombre? Qui est le plus concerné par la crise? A l heure où une partie
Plus en détailProjets loisirs et vacances Aide scolaire Aides facultatives du CCAS en partenariat avec le Conseil général
Projets loisirs et vacances Aide scolaire Aides facultatives du CCAS en partenariat avec le Conseil général 1 EDITORIAL L édition 2012-2013 du Livret d Accueil du Centre Communal d Action Sociale rassemble
Plus en détailAIDES SOCIALES 2015 Cocher la case correspondante à l aide concernée
Pour tout renseignement, contacter le Centre de la Relation Clients : Tél. 01 44 90 13 33 Fax 01 44 90 20 15 Formulaire de contact accessible sur notre site Internet www.crpcen.fr AIDES SOCIALES 2015 Cocher
Plus en détailAssociation Nationale des Retraités de La Poste, de France Télécom et de leurs filiales
Association Nationale des Retraités de La Poste, de France Télécom et de leurs filiales Groupe MEUSE Compte rendu de l Assemblée Générale Groupe Meuse du 19 mars 2015 L ANR Meuse organise son Assemblée
Plus en détailEnsemble, soutenons le Bleuet de France!
DOSSIER DE PRESSE Il ne peut y avoir de Solidarité sans Mémoire Depuis 1991, les fonds récoltés par l Œuvre Nationale du Bleuet de France (ONBF) permettent d accompagner la politique mémorielle de l ONACVG.
Plus en détailSTATISTIQUES D ACCUEIL FAMILLES, ENFANCE ET PAUVRETÉS. avec le soutien du CRÉDIT COOPÉRATIF
STATISTIQUES D ACCUEIL 2007 FAMILLES, ENFANCE ET PAUVRETÉS avec le soutien du CRÉDIT COOPÉRATIF Le Crédit Coopératif est promoteur par vocation et par choix d une économie au service de l homme. Il est
Plus en détailEquipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris)
Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) 1. Contexte local Géographie La psychiatrie adulte de l hôpital Sainte-Anne est orientée vers 7 secteurs psychiatriques adultes, que ce soit pour les hospitalisations,
Plus en détailDébat participatif. La vie chère. «Les Français n ont pas seulement le sentiment, mais la démonstration, que leur pouvoir d achat baisse»
Débat participatif La vie chère «Les Français n ont pas seulement le sentiment, mais la démonstration, que leur pouvoir d achat baisse» Ségolène ROYAL Les enjeux de notre débat : Réconcilier les Français
Plus en détailUniterres. Rapprocher l aide alimentaire et les producteurs locaux
Le réseau des épiceries solidaires A.N.D.E.S. Uniterres Assurer la sécurité alimentaire des plus démunis et soutenir une agriculture durable et locale Rapprocher l aide alimentaire et les producteurs locaux
Plus en détailDes solutions pour les seniors à revenus insuffisants
Des solutions pour les seniors à revenus insuffisants IStock - FredFroese Source de croissance de d opportunités, le vieillissement de la population française constitue cependant un défi pour notre pays.
Plus en détailIntentions de prière du Saint Père confiées à l Apostolat de la Prière. pour l année 2015 JANVIER FEVRIER MARS AVRIL
Intentions de prière du Saint Père confiées à l Apostolat de la Prière pour l année 2015 Universelle La promotion de la paix JANVIER Pour que ceux qui appartiennent aux différentes traditions religieuses
Plus en détailListe des pièces à fournir pour une demande de prise en charge des frais d hébergement en maison de retraite au titre de l aide sociale
Centre Communal d Action Sociale 01.34.90.89.73 Liste des pièces à fournir pour une demande de prise en charge des frais d hébergement en maison de retraite au titre de l aide sociale - Livret de Famille
Plus en détailInégalités sociales de santé et accès aux soins. Inégalités sociales de santé et protection sociale 2006-07 Psychomot 1 UPMC/VHF
Inégalités sociales de santé et accès aux soins INEGALITES SOCIALES DE SANTE Définition : Inégalités/ sociales /de santé Inégalités face à la mort Comparaisons européennes Les maladies inégalitaires Inégalités
Plus en détailAction sociale de la Mutuelle Audiens. de la presse, du spectacle et de la communication. Notice d information. À vos côtés tout au long de la vie
Action sociale de la Mutuelle Audiens de la presse, du spectacle et de la communication Notice d information À vos côtés tout au long de la vie Les aides complémentaires aux dépenses de santé Nature de
Plus en détailAnalyse des besoins sociaux
La commune de Le Verger réalise une analyse sur les besoins sociaux de sa population. Afin d améliorer la qualité de vie et de services sur notre commune, nous vous remercions par avance de remplir ce
Plus en détailJe m inscris au forfait, donc je consulte toujours dans ma maison médicale
Je m inscris au forfait, donc je consulte toujours dans ma maison médicale Ma mutuelle paye un montant fixe chaque mois à ma maison médicale LE FORFAIT est un contrat entre patient, maison médicale et
Plus en détailLe patrimoine des ménages retraités : résultats actualisés. Secrétariat général du Conseil d orientation des retraites
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 08 juillet 2015 à 9 h 30 «Le patrimoine des retraités et l épargne retraite» Document N 2 bis Document de travail, n engage pas le Conseil Le patrimoine
Plus en détailà rebondir le mini-prêt qui vous aide Paris Ile-de-France LE MICROCRÉDIT PERSONNEL, Nom et prénom du demandeur : Cachet de la structure instructrice :
Nom et prénom du demandeur : Paris Ile-de-France LE MICROCRÉDIT PERSONNEL, le mini-prêt qui vous aide à rebondir Cachet de la structure instructrice : Nom et prénom de l instructeur : Coordonnées de l
Plus en détailBien plus qu un investisseur...
> Bien plus qu un investisseur... Tertium La Palmeraie du Canet 13014 Marseille www.tertium-invest.com contact@tertium-invest.com Tél. : +33 (0)4 91 78 77 85 bien plus qu un investisseur > est une société
Plus en détailLe calcul du barème d impôt à Genève
Le calcul du barème d impôt à Genève Plan : 1. Historique Passage d un système en escalier à une formule mathématique 2. Principe de l imposition Progressivité, impôt marginal / moyen ; barème couple/marié
Plus en détailOrganiser une permanence d accès aux soins de santé PASS
Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout
Plus en détailIntroduction. Consultation nationale sur l éducation artistique et culturelle : Pour un accès de tous à l art et à la culture
Introduction Depuis leur création par Coluche en 1985, les Restos du cœur poursuivent une mission fondamentale de lutte contre la pauvreté et l exclusion sous toutes ses formes en France, en apportant
Plus en détailLES AINES RURAUX. 8677 adhérents. : 191 clubs. En Saône-et
LES AINES RURAUX Fédération Départementale de Saône-et-Loire 46 rue de Paris 71000 MACON Tél. : 03.85.39.51.34 e-mail : aines.ruraux71@orange.fr Site internet national : www.ainesruraux.org départemental
Plus en détailPRÊT SOCIAL Pour les agents de l AP-HP
DOSSIER N :. PRÊT SOCIAL Pour les agents de l AP-HP Emprunteur Co-emprunteur Mr Mme Mr Mme Nom d usage (en majuscules) :..... Nom de famille (nom de jeune fille) :.. Prénoms :.. Nom d usage (en majuscules)
Plus en détail22 Nous Reconnaissons la force du pardon
22 Nous Reconnaissons la force du pardon 23 Par le rite pénitentiel, les chrétiens se tournent vers Dieu pour lui demander son pardon. Dieu nous reçoit tels que nous sommes et nous pardonne pour que nous
Plus en détailLes guides pratiques de la MNT
Les guides pratiques de la MNT Tout ce qu il faut savoir sur... Les aides à l acquisition d une complémentaire santé Les aides à l acquisition d une complémentaire santé : mode d emploi à l usage des agents
Plus en détailPermanences accueil, écoute, orientation, revues de presse, consultations Du lundi au vendredi de 9h à 12h et 13h à 17h30.
Bulletin bibliographique du Janvier 2014 n 46 Le de l'udaf de l'isère vous propose son bulletin bibliographique. Les articles sélectionnés sont consultables à l'udaf ou envoyés selon la demande. N'hésitez
Plus en détailIntervention de Monsieur le Préfet de police Réunion «Ambassadeurs visibles» Seul le prononcé fait foi
Intervention de Monsieur le Préfet de police Réunion «Ambassadeurs visibles» Seul le prononcé fait foi Madame la Maire du 8 ème arrondissement, Mesdames et Messieurs les élus, Mesdames, Messieurs, Bonjour
Plus en détailJEF. Programme pour les Jeunes en Formation
1 JEF Programme pour les Jeunes en Formation 2, un programme du BCAS, fondation privée reconnue d utilité publique, qui agit : Pour les enfants et les jeunes : SOS-Enfants Genève Le Biceps Pour les adultes
Plus en détailSynthèse du rapport d activité 2007 du CCAS
Synthèse du rapport d activité 2007 du CCAS I- Moyens financiers Budget 2007 : Recettes totales = 3.604.581 dont : Budget CCAS : 1.487.913 Budget annexe SSIAD : 438.284 Budget annexe MAD : 1.678.384 Dépenses
Plus en détailau service de chacun!
Les associations sanitaires et sociales : au service de chacun! Petite enfance Handicap Jeunes en danger Santé Personnes âgées Pauvreté, Exclusion * «L association est la convention par laquelle deux ou
Plus en détailVotre guide 2015 Régime enregistré d épargne-retraite (REER)
Votre guide 2015 Régime enregistré d épargne-retraite (REER) en termes simples Présenté par ept notions simples pour mieux comprendre le REER : 1 2 3 4 5 6 7 Qu est-ce qu un REER? Combien pouvez-vous verser
Plus en détailCet article s attache tout d abord
Méthodes internationales pour comparer l éducation et l équité Comparaison entre pays des coûts de l éducation : des sources de financement aux dépenses Luc Brière Marguerite Rudolf Bureau du compte de
Plus en détailAction sociale. Demande d aide pour Bien vieillir chez soi
Nous sommes là pour vous aider Action sociale Demande d aide pour Bien vieillir chez soi Action sociale Vivre chez soi Cette notice a été réalisée pour vous aider à compléter votre demande. Pour nous contacter
Plus en détailDes aides individuelles pour prévenir votre perte d autonomie
Action Sociale I janvier 2013 I Des aides individuelles pour prévenir votre perte d autonomie Plan d actions personnalisé Aides d urgence : ARDH et ASIR Logement et cadre de vie Secours exceptionnels Le
Plus en détailInterview de Hugo, coordinateur de l espace de coworking de La Cordée Perrache (Lyon)
12/06/2013 Interview de Hugo, coordinateur de l espace de coworking de La Cordée Perrache (Lyon) Coop alternatives 47, rue de la Garde 69005 Lyon - 06 48 03 74 14 - contact@coop-alternatives.fr This document
Plus en détailLa politique marseillaise en faveur des Seniors
La politique marseillaise en faveur des Seniors Le Centre Communal d Action Sociale de la Ville de Marseille est un établissement public administratif communal. Il oriente ses actions en faveur des personnes
Plus en détailEditorial. Sommaire. Vous vivez à votre domicile Vous vivez en établissement
2014-2015 Editorial La politique du Conseil général vise à accompagner les personnes âgées dépendantes tout au long de leur parcours, que ce soit à domicile ou en établissement. Afin d améliorer encore
Plus en détailGUIDE PRATIQUE. Faire face à la perte d autonomie Épargner selon ses objectifs DÉCEMBRE 2014 GUIDE PRATIQUE / FAIRE FACE À LA PERTE D AUTONOMIE
GUIDE PRATIQUE Faire face à la perte d autonomie Épargner selon ses objectifs DÉCEMBRE 2014 03 AVANT-PROPOS 1 La perte d autonomie touche de plus en plus de personnes, en raison principalement du vieillissement
Plus en détailau départ en vacances www.francealzheimer.org Un malade, c est toute une famille qui a besoin d aide
VOS aides au départ en vacances www.francealzheimer.org Un malade, c est toute une famille qui a besoin d aide Cabourg, Autrans, Grasse, Pornichet, La Rochelle, La carte des destinations de vacances laisse
Plus en détailSanté des étudiants et précarité : éléments de contexte
Santé des étudiants et précarité : éléments de contexte Dossier de synthèse documentaire et bibliographique Réactualisation - novembre 2011 Marseille : 18, rue Stanislas Torrents 13006 Marseille Tél. :
Plus en détailAVANTAGES EN NATURE 4 AVANTAGE EN NATURE REPAS 4 TITRES - RESTAURANT 4 AVANTAGE EN NATURE LOGEMENT (EVALUE FORFAITAIREMENT) 4
LETTRE D ACTUALITE SOCIALE GROUP S MANAGEMENT SERVICES DONNEES ET CHIFFRES CLES POUR 2015 SOCIAL : GENERALITES ET ELEMENTS DE COTISATIONS 2 SMIC ET MINIMUM GARANTI 2 PLAFOND DE LA SECURITE SOCIALE 2 FORFAIT
Plus en détailLa création d entreprise en milieu rural
La création d entreprise en milieu rural Une définition du milieu rural Définir le monde rural à partir de la taille des communes nous paraît insuffisant. En effet, il est important de prendre en compte
Plus en détailComment les pratiques en milieu scolaire agissent-elles au regard des inégalités sociales de santé? Regard sur trois continents
Comment les pratiques en milieu scolaire agissent-elles au regard des inégalités sociales de santé? Regard sur trois continents Rencontre francophone internationale sur les inégalités sociales de santé
Plus en détailLES CONSTATS. Les difficultés généralement pointées par les usagers et les partenaires sont :
QUELQUES ÉLÉMENTS DE CONTEXTE La conférence nationale contre la pauvreté et pour l inclusion sociale de (le 10 et 11 décembre 2012) a fait de la lutte contre les inégalités sociales une priorité nationale
Plus en détailDirecteur de la publication : André-Michel ventre, Directeur de l INHESJ Rédacteur en chef : Christophe Soullez, chef du département de l ONDRP
repères Premier ministre 20 institut national des hautes études de la sécurité et de la justice Janvier 2013 n Directeur de la publication : André-Michel ventre, Directeur de l INHESJ Rédacteur en chef
Plus en détailAvoir un emploi rend la pauvreté plus difficile à vivre
ISSN 029-997 N 2 avril 07 Avoir un emploi rend la pauvreté plus difficile à vivre Marie-Odile Simon, Christine Olm, Élodie Alberola L emploi ne protège plus de la pauvreté, même la plus extrême: 28% des
Plus en détail26 et 27 mai 2015. Discours de clôture de la Présidente du Conseil Général
26 et 27 mai 2015 Discours de clôture de la Présidente du Conseil Général Mesdames, Messieurs, Lors de mes propos introductifs à ces débats, je vous ai dit que le développement social, comme le développement
Plus en détailCompas études. compas. Les enjeux du vieillissement. n 7 - juin 2013
n 7 - juin 2013 Compas études compas Au service du sens Les enjeux du vieillissement La population française vieillit. Ce phénomène n est pas nouveau mais le processus va s accélérer dans les années à
Plus en détailRhône Développement Initiative 1993-2013. Au service de l entrepreneuriat 20 ans et de l économie de proximité. www.rdi.asso.fr
Rhône Développement Initiative 1993-2013 Au service de l entrepreneuriat 20 ans et de l économie de proximité www.rdi.asso.fr Jean-Jacques MARTIN, Président de RDI Membre des réseaux nationaux RDI Edito
Plus en détail«Selon les chiffres de la BNS, l évasion fiscale prospère»
«Selon les chiffres de la BNS, l évasion fiscale prospère» * Précision apportée par l auteur, publiée le 26 novembre. Voir en fin d'article Gabriel Zucman vient de publier un livre, «La Richesse cachée
Plus en détailVENIR SE SOIGNER EN FRANCE
Quel qu en soit le motif, l entrée sur le territoire français est soumise à une obligation de «visa» (sauf nationalités dispensées). Le visa «pour raison médicale» ou «sanitaire» est un visa spécialement
Plus en détailAssurance et prévoyance
Assurance et prévoyance Assistance famille en cas d accident. IDCP Des prestations d assistance sont prévues en cas d accident par le contrat IDCP. Elles peuvent être déclenchées après appel préalable
Plus en détailMOBILISEZ VOS COLLABORATEURS POUR UNE JOURNEE DE VOLONTARIAT SOLIDAIRE
MOBILISEZ VOS COLLABORATEURS POUR UNE JOURNEE DE VOLONTARIAT SOLIDAIRE 1 Unis-Cité vous propose de concevoir, organiser et animer des Journées d Action Solidaire pour vos salariés Fédérez vos salariés
Plus en détailLa place des seniors dans le bénévolat
La place des seniors dans le bénévolat On sait que les seniors jouent un rôle très important dans le bénévolat, notamment en qualité d élus aux seins des associations, bénéficiant de l expérience qu ils
Plus en détailUn de vos proches ou vous-même avez été diagnostiqué malade d Alzheimer, ce guide peut vous aider
Guide d aide à l orientation des malades et des familles Un de vos proches ou vous-même avez été diagnostiqué malade d Alzheimer, ce guide peut vous aider La maladie d Alzheimer et les maladies apparentées
Plus en détailBaromètre 2014 Club de l Epargne Salariale - Harris Interactive
Baromètre 2014 Club de l Epargne Salariale - Harris Interactive La perception des salariés sur l épargne salariale Toute diffusion de résultats tirés de cette étude doit être accompagnée de la mention
Plus en détailCLUB 2/3 Division jeunesse d Oxfam-Québec 1259, rue Berri, bureau 510 Montréal (Québec) H2L 4C7
CLUB 2/3 Division jeunesse d Oxfam-Québec 1259, rue Berri, bureau 510 Montréal (Québec) H2L 4C7 Téléphone : 514 382.7922 Télécopieur : 514 382.3474 Site Internet : www.2tiers.org Courriel : club@2tiers.org
Plus en détailMaltraitance Technophobie Technophilie Technopénie Pr Robert Moulias Commission Age Droits Liberté Fédération 39 77 contre la Maltraitance (ex ALMA
Maltraitance Technophobie Technophilie Technopénie Pr Robert Moulias Commission Age Droits Liberté Fédération 39 77 contre la Maltraitance (ex ALMA et HABEO) 1 RAPPEL Vieillesse ne signifie pas : - DEPENDANCE
Plus en détailA-T-ON DES ATTENTES IRRÉALISTES POUR NOS RÉGIMES PRIVÉS ET PUBLICS DE PENSION?
L épargne, la fiscalité et les régimes de retraite Congrès 2012 de l ASDEQ, Session 1, conférence 3, A-T-ON DES ATTENTES IRRÉALISTES POUR NOS RÉGIMES PRIVÉS ET PUBLICS DE PENSION? Jean-Pierre Aubry, fellow
Plus en détailSECTEUR SANITAIRE ET SOCIAL
SECTEUR SANITAIRE ET SOCIAL Etat du tissu associatif et bilan de l emploi du secteur non lucratif en 2013 En bref Le Centre de ressources DLA (CRDLA) du champ social, médico-social et santé poursuit son
Plus en détailREFORME DU CREDIT A LA CONSOMMATION DECRET SUR LE REMBOURSEMENT MINIMAL DU CAPITAL POUR LES CREDITS RENOUVELABLES
REFORME DU CREDIT A LA CONSOMMATION DECRET SUR LE REMBOURSEMENT MINIMAL DU CAPITAL POUR LES CREDITS RENOUVELABLES DOSSIER DE PRESSE FICHE 1 Une réforme pour réduire le coût des crédits renouvelables et
Plus en détailDECISION FORMULAIRE UNIQUE DE DEMANDE D'AIDE FINANCIERE OU D'ACCOMPAGNEMENT SOCIAL OU MEDICO-SOCIAL NATURE DE L AIDE SOLLICITÉE :
FORMULAIRE UNIQUE DE DEMANDE D'AIDE FINANCIERE OU D'ACCOMPAGNEMENT SOCIAL OU MEDICO-SOCIAL NATURE DE L AIDE SOLLICITÉE : N dossier familial (IODAS) : Centre Médico-Social de Mende Travailleur Social Travailleur
Plus en détailEOVI ENTREPRENEUR Des solutions pour ne plus jouer
EOVI ENTREPRENEUR Des solutions pour ne plus jouer en SOLO SANTÉ PRÉVOYANCE ÉPARGNE RETRAITE dépendance la qui renouvelle la mutuelle ARTISANS, COMMerçANTS, professions LIBÉRAles, INDÉPENDANTS... Vous
Plus en détailLES MODES D ADAPTATION ET DE COMPENSATION DU HANDICAP : Les personnes handicapées motrices à domicile (enquête HID 1999)
Délégation ANCREAI Ile-de-France CEDIAS - 5 rue Las-Cases 75007 PARIS Tél : 01 45 51 66 10 Fax : 01 44 18 01 81 E-mail : creai.idf@9online.fr Contact : Carole PEINTRE LES MODES D ADAPTATION ET DE COMPENSATION
Plus en détailLE PASS-TRAVAUX. Edition 2008. Le prêt PASS-TRAVAUX concerne principalement les propriétaires, seuls 2% des bénéficiaires étaient locataires en 2007.
Edition 2008 LE PASS-TRAVAUX Le prêt PASS-TRAVAUX concerne principalement les propriétaires, seuls 2% des bénéficiaires étaient locataires en 2007. A la demande de l ANPEEC, MV2 Conseil a réalisé, en 2007,
Plus en détailLa qualité de l emploi dans l économie sociale et solidaire: analyse et enjeux. une enquête en Alsace et en Lorraine
La qualité de l emploi dans l économie sociale et solidaire: analyse et enjeux Les associations et la question de la qualité de l emploi: une enquête en Alsace et en Lorraine Etude réalisée pour la DIIESES
Plus en détailLe Centre Communal. avec et pour ses séniors
Le Centre Communal d'action Sociale de la ville de Béziers avec et pour ses séniors Le service Vie Sociale et Animation : maintenir le lien social... Les clubs d'animation : des lieux de rencontre, d'échange
Plus en détailLes bénéficiaires de la CMU en Rhône-Alpes au 31 décembre 2003
La Lettre de la DRASS N 2006-03-L Avril 2006 Les bénéficiaires de la CMU en Rhône-Alpes au 31 décembre 2003 Au 31 décembre 2003, 40 000 rhônalpins sont affi liés à l assurance maladie par le dispositif
Plus en détail