Consommations d énergie et émissions de GES du secteur agricole Communauté d Agglomération du Bocage Bressuirais

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1 Les synthèses de l AREC Consommations d énergie et émissions de GES du secteur agricole Communauté d Agglomération du Sources de données et méthodologie L état des lieux des consommations d énergie et des émissions de gaz à effet de serre (GES) du secteur agricole sur le territoire de la Communauté d Agglomération du (CA2B) a été réalisé à l aide d un outil nommé «ClimAgri» développé par l ADEME. Il s appuie sur les données du Recensement Agricole 2010, fournies par la DRAAF, ainsi que sur des données issues de l IGN (Institut Géographique et forestier National) pour la partie forestière. Ces données ont été complétées quand cela s avérait nécessaire par des informations locales ou des avis d experts émanant de la chambre d agriculture ou du CRPF (Centre Régional de la Propriété Forestière). Les données de cadrage générales proviennent de l AREC et s appuient sur des chiffres issus des ministères, de l INSEE et du CITEPA (Centre Interprofessionnel Technique d Etudes de la Pollution Atmosphérique). Spécificités et limites de la méthode Le diagnostic couvre l ensemble des consommations d énergie et des émissions des GES, qu elles soient directes ou indirectes. Les consommations et émissions directes sont générées par l activité agricole du territoire. Les impacts indirects sont essentiellement dus à la fabrication et au transport des intrants (engrais azotés, aliments pour bétail, ). L état des lieux s arrête à la porte des fermes du territoire. Il ne prend donc pas en compte les consommations et les émissions générées par la transformation ou la distribution des produits agricoles. La mise en œuvre de circuits courts, par exemple, ne peut pas être prise en compte par l outil ClimAgri. Profil agricole et forestier Le est un territoire à caractère rural d environ ha. Rapportée à l habitant, la SAU (Surface Agricole Utile ha) est de 2,06 ha / hab, alors qu elle n est respectivement que de 0,95 et 0,43 aux niveaux régional et national. Les exploitations agricoles du territoire représentent environ 30% des exploitations départementales et emploient 450 salariés permanents (hors emplois familiaux), soit 0,25 salarié par exploitation. La surface moyenne d une exploitation est de 58 ha, contre 65 ha au niveau régional. Le taux de boisement du est très faible, soit 4%. Il passe à 10% en intégrant les surfaces de haies. Répartition des surfaces 79% 10% 11% Surfaces Agricoles Utiles 64% 17% 19% Surfaces Boisées 51% 27% 22% Autres surfaces 1

2 Répartition des surfaces agricoles utiles 36,6% 67,2% 38,8% 15,8% 24,5% 5,1% 11,5% Grandes cultures Prairies naturelles Prairies temporaires 49,9% 35,3% 3,6% 10,3% Viticulture-arboriculture Maraichage-horticulture Les surfaces agricoles du territoire sont majoritairement des prairies, pour plus de 63% de la SAU. 80% des exploitations agricoles (1500) du sont spécialisées en élevage. Parmi elles, près de 500 sont spécialisées en élevage hors sol, ce qui représentent 40% des élevages hors-sol régionaux. Les surfaces en grandes cultures ne représentent que 37% de la SAU, contre 67% au niveau régional. Les surfaces agricoles consacrées à la viticulture, au maraichage ou à l horticulture sont négligeables. Effectifs d'animaux (UGB/hectare) Equidés Volailles-Lapins Porcins Ovins Caprins Bovins UGB : Unité Gros Bétail Unité permettant de comparer le cheptel à l aide d un facteur normalisé. Par exemple : 1 vache = 1 UGB 1 brebis traite = 0,25 UGB 1 chèvre traite = 0,2 UGB - 0,20 0,40 0,60 0,80 1,00 L élevage local est caractérisé par une présence importante de volailles et lapins (40% des effectifs régionaux, soit 65% des effectifs départementaux), et de bovins (20% du cheptel régional, mais plus de 40% des bovins du département). Les élevages de porcins, caprins et ovins sont également très développés. Globalement, ramené à l UGB, le concentre plus de 20% du cheptel régional, soit plus de 40% du cheptel départemental, toutes espèces confondues. Consommations énergétiques Consommations directes totales Point méthodologique Afin de pouvoir mettre en regard les consommations énergétiques des principaux secteurs, il est indispensable de travailler à partir des consommations directes. En effet, comme énoncé précédemment, les consommations indirectes de l agriculture proviennent essentiellement de la fabrication et du transport des intrants, consommations déjà prises en compte dans les secteurs «Industrie» et «Transport-Déplacements». tep : tonne équivalent pétrole 1 tep = kwh 2

3 Répartition des consommations énergétiques par secteur d'activité (hors transports-déplacements) Résidentiel-Tertiaire Industrie Agriculture-Pêche Les consommations énergétiques directes totales des trois secteurs s élèvent à tep (1 370 GWh). Le caractère rural du territoire ressort au travers de la répartition des consommations sectorielles : Une part du secteur résidentiel et tertiaire (52%) plus faible qu aux niveaux régional et national Une consommation du secteur agricole (19%) proportionnellement plus élevée Par contre, le secteur industriel, notamment les industries agro-alimentaires, sont également très présentes sur la Communauté d Agglomération du. Consommations directes de l agriculture Répartition des consommations d'énergie directe par usage Cultures Prairies Bois Serres Séchage et conservation Irrigation Pratiques d'élevage Les consommations d énergie directes du secteur agricole (et forestier) représentent tep (255 GWh). Elles sont marquées par l orientation «élevage» de l agriculture locale. Les consommations liées aux pratiques d élevage, mais aussi aux prairies, correspondent à près de 75% des consommations directes de l agriculture du. A contrario, les consommations liées aux pratiques culturales sont proportionnellement bien plus faibles qu aux niveaux régional et national. Le n étant pas une région où le maraîchage est développé, les consommations des serres y sont très faibles. De même, la consommation d énergie liée à la forêt est négligeable au regard des pratiques agricoles. Consommations indirectes de l agriculture Répartition des consommations d'énergie par type 35% 65% 48% 52% 49% 51% Energie directe Energie indirecte L intégration des consommations d énergie indirectes ( tep, soit 475 GWh) revient à presque tripler les consommations d énergie directe sur le Bocage Bressuirais. 3

4 Répartition des consommations énergétiques indirectes par usage Fabrication produits azotés Autres fertilisants et amendements Produits phytosanitaires Le bilan des consommations indirectes de l agriculture est fortement influencé par la part relative (73%) des consommations liées à l alimentation animale. La forte présence d élevages, et notamment d élevages hors-sol, consommant des tourteaux d importation en est la cause principale. A contrario, la part imputable à la fabrication de produits azotés est nettement plus réduite (16% contre plus de 50% sur les autres niveaux territoriaux de référence). Consommations énergétiques totales de l agriculture Emissions de gaz à effet de serre (GES) Emissions directes totales 0% 50% 100% Consommations énergétiques ramenées à la surface agricole et boisée (tep/ha) - 0,20 0,40 0,60 Fabrication du matériel Aliments pour bétail En intégrant les consommations d énergie indirectes, le secteur de l agriculture et de la forêt engendre une consommation globale annuelle de tep (730 GWh). Ramenée à la surface agricole et boisée, cette consommation est nettement supérieure à celle engendrée aux niveaux régional et national. Pour le niveau national, la prise en compte de zones de montagne ou très boisées (massif des Landes par exemple) explique ce plus faible ratio. Point méthodologique Afin de pouvoir comparer les émissions de GES des principaux secteurs, il est indispensable de travailler à partir des consommations directes. En effet, les émissions indirectes de l agriculture proviennent essentiellement de la fabrication et du transport des intrants, émissions déjà imputées aux secteurs «Industrie» et «Transports-Déplacements». Spécificités du secteur agricole Les émissions des autres secteurs d activités proviennent essentiellement des consommations énergétiques, sous forme de dioxyde de carbone (CO 2 ). Le secteur agricole émet quant à lui deux autres gaz à effet de serre : Le méthane (CH 4 ) généré principalement par la fermentation entérique des ruminants et la décomposition anaérobie de la matière organique, notamment des déjections animales Le protoxyde d azote (N 2 O) issu en majorité de la fertilisation azotée et des transformations de l azote minéral Le pouvoir de réchauffement global (PRG) de ces trois gaz est différent. Pour pouvoir les cumuler, une unité de comptabilisation des émissions de GES a été définie : la tonne-équivalent CO 2 : 1 tonne de CO 2 = 1 t éq CO 2 1 tonne de CH 4 = 25 t éq CO 2 1 tonne de N 2 O = 298 t éq CO 2 4

5 Répartition des émissions de GES par secteur (hors transports et déplacements) 12% 8% 79% 1% Résidentiel-tertiaire Industrie manufacturière 27% 23% 1% 46% 3% Industrie de l'énergie 25% 28% 19% 26% 3% Agriculture-sylviculture Traitement de déchets Les émissions directes totales de GES s élèvent à t éq CO 2. La répartition des émissions de GES est assez contrastée par rapport à celles des consommations énergétiques : Les émissions d origine non énergétique (CH 4 et N 2 O) entrainent le secteur agricole (79%) bien au-dessus du secteur résidentiel-tertiaire et de l industrie Emissions de GES de l agriculture Emissions de GES ventilées par type de gaz et par origine Bocage Bressuirais N2O : 24% CH4 : 47% CO2 : 29% N2O : 33% CH4 : 40% CO2 : 27% N2O : 33% CH4 : 41% CO2 : 26% N2O (émissions directes des sols) N2O (émissions lessivage + NH3) N2O (fabrication des engrais azotés) N2O (effluents d'élevage) CH4 (fermentation entérique) CH4 (effluents d'élevage) CO2 (consommation d'énergie) CO2 (engrais azoté) CO2 (autres postes) Le bilan des émissions de GES du secteur agricole reflète la présence importante d élevage, responsable directement ou indirectement de près de 70% de ces émissions. La prépondérance des émissions de CH 4 en est un indicateur fiable, tandis que la part plus restreinte des émissions de N 2 O confirme une activité en grandes cultures plus réduite. 5

6 Emissions de GES du secteur agricole ramenées à la surface agricole et boisée (t éq CO 2 /ha) - 2,00 4,00 6,00 8,00 Sur le territoire du, le secteur de l agriculture et de la forêt engendre des émissions globales de GES (directes et indirectes) de t éq CO 2. Ramenées à la surface agricole et boisée, les émissions du territoire sont plus du double de celles engendrées au niveau régional. L écart est accru par le faible taux de boisement du territoire, la forêt étant à l origine d une infime part des émissions. Stockage annuel de carbone Point méthodologique Les émissions de GES présentées dans le paragraphe précédent sont des émissions brutes qui ne tiennent pas compte du stockage annuel de carbone dans les espaces boisés ou les sols agricoles. Stockage annuel de carbone (en kt éq CO2) Stockage Haies Stockage Forêt Stockage sols agricoles Stockage total annuel Emissions agricoles annuelles La forêt engendre très peu de consommations énergétiques, et encore moins d émissions de gaz à effet de serre. Par contre, elle permet un stockage annuel important de carbone, compensant ainsi les émissions générées sur le territoire Le stockage annuel cumulé dans les haies, les forêts et les sols agricoles (prairies) correspond à 19% des émissions annuelles brutes de l agriculture (et de la forêt) sur le, contre environ 70% en région. La gestion durable des espaces boisés, ainsi que la bonne gestion de la matière organique présente dans les sols, sont des leviers pertinents pour limiter l impact des activités humaines sur le climat. Si le stockage réalisé dans les haies et les sols agricoles peut être entièrement imputé à l agriculture, il convient d être plus prudent sur le domaine de la forêt : le stockage dans les bois participe à la compensation de l ensemble des émissions du territoire, qu elles soient d origine agricole ou non. 6

7 Potentiel nourricier Préambule La vocation première de l agriculture n est pas de consommer de l énergie et d émettre des GES, mais bien de produire des denrées pour nourrir les populations de son territoire, ou d autres contrées plus lointaines. Afin de définir, pour le territoire concerné, la capacité à nourrir des êtres humains, deux types d informations ont été intégrées dans l outil ClimAgri : les besoins moyens quotidiens d un individu de référence (sexe masculin, 70 kg, activité physique moyenne) en calories, protéines et protéines animales, et les consommations moyennes du même individu en (sources FAO) Nombre de personnes nourries par an par rapport aux besoins moyens d'un humain énergie protéines végétales protéines animales par rapport à la consommation réelle moyenne d'un français Population du Bocage Du fait de la particularité de son agriculture très orientée en élevage, le est largement excédentaire en protéines animales puisqu il peut nourrir jusqu à 8 fois sa population, en se référant à la consommation actuelle d un français. Par contre, et pour les mêmes raisons, le territoire est déficitaire en calories et en protéines végétales, essentiellement utilisées pour l alimentation du bétail. 7

8 Axes d amélioration Afin de réduire les consommations d énergie et les émissions de GES du secteur agricole en Bocage Bressuirais, des actions peuvent être mises en œuvre. Quel qu il soit, le plan d actions retenu devra être élaboré et validé en partenariat avec les acteurs agricoles du territoire. A titre d exemple, quelques grands axes d intervention peuvent être d ores et déjà explorés : I : Carburation et travail du sol (techniques culturales simplifiées, ) II : Optimisation de la fertilisation azotée (couverts végétaux, cultures associées, ) III : Recherche d une plus grande autonomie alimentaire du territoire pour le bétail (fourrages à base de légumineuses, cultures de protéagineux, ) IV : Economies d énergie sur les élevages (hors sol volailles, blocs traite, ) V : Développement de la méthanisation à partir d effluents d élevage VI : Gestion durable des espaces boisés (haies, bois, agroforesterie, ) L impact de telles mesures, qui préserve le potentiel nourricier du territoire, reste assez limité et permet des réductions de consommations d énergie et d émissions de GES de l ordre de 10%. Pour aller au-delà, il conviendrait d envisager de profondes mutations de l agriculture puisque les émissions de ce secteur sont en grande partie liées à des processus biologiques naturels. Cette mutation ne pourra se faire qu à travers un bouleversement de nos habitudes et de notre régime alimentaire. Conclusions Sur la Communauté d Agglomération du, l agriculture c est : Une consommation énergétique de tep (y compris consommations indirectes) Des émissions de GES de t éq CO 2 (y compris émissions indirectes) Une production agricole annuelle de t de protéines animales La mise en œuvre d un plan d actions ne remettant pas en cause le potentiel nourricier permettrait de réduire les émissions totales de GES issues du secteur agricole de l ordre de 10%. Des actions concrètes et élaborées en partenariat avec les acteurs du secteur agricole devront être mises en œuvre afin de concourir à la baisse des impacts de l agriculture sur le climat, sans pour autant négliger les autres impacts environnementaux, économiques ou sociétaux. Pour en savoir plus : savetier.d@arecpc.com Agence Régionale d Evaluation environnement et Climat 60, rue Jean Jaurès CS POITIERS Cedex Tél : Fax :

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