DIRECTIVES AUX PLAISANCIERS ET CAPITAINE. DE NAVIRES D'EXCURSION POUR PREVENIR TOUT DERANGEMENT ET HARCELEMENT DES BALE'

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "DIRECTIVES AUX PLAISANCIERS ET CAPITAINE. DE NAVIRES D'EXCURSION POUR PREVENIR TOUT DERANGEMENT ET HARCELEMENT DES BALE'"

Transcription

1 DIRECTIVES AUX PLAISANCIERS ET CAPITAINE. DE NAVIRES D'EXCURSION POUR PREVENIR TOUT DERANGEMENT ET HARCELEMENT DES BALE'

2 DIRECTIVES AUX PLAISANCIERS ET CAPITAINES DE NAVIRES D'EXCURSION POUR PREVENIR TOUT DERANGEMENT ET HARCELEMENT DES BALEINES MINISTERE DES PECHES ET DES OCEANS REGION DU QUEBEC JUIN 1991 APPROUVE PAR:.~~~ ~;l Denis Mar.l.tTn- ~ -- ""' ~ Directeur général Région du Québec

3 -i- INTRODUCTION Le ministère des Pêches et des Océans du gouvernement du Canada a la responsabilité de veiller à la protection des mammifères marins. La Loi sur les pêches interdit de déranger les bélugas et de harceler, de quelque façon que ce soit, les cétacés. Des pénalités, tel que prévu par la Loi sur les pêches, peuvent être encourues par un capitaine et/ou propriétaire d'un bateau, mais aussi par un groupe de capitaines et/ou propriétaires de bateaux troµvés coupables de harcèlement (ex.: s'il y a encerclement). Afin d'aider les plaisanciers et les capitaines de navires d'excursion à respecter les règlements de la Loi sur les pêches, des directives sont revues et/ou établies et diffusées chaque année au début de la saison touristique. Ces directives sont élaborées le Comité consul ta tif québécois des représentants des propriétaires et naturalistes, des plaisanciers et des et revues annuellement en collaboration avec cétacés du Saint-Laurent qui regroupe des capitaines de navires d'excursion, des associations touristiques. Elles se basent.sur les données scientifiques disponibles sur la distribution des cétacés, leur utilisation de l'habitat et leur comportement ainsi que sur les connaissances acquises sur l'impact du harcèlement.

4 -1- TABLE DES MATIERES Page PARTIE I - DIRECTIVES S'APPLIQUANT A L'OBSERVATION DES BALEINES DANS LE SAINT-LAURENT... 2 Préambule... 2 Principes de base... 3 Directives d'observation... 4 I. Mesures réglementaires... 4 II. Permis... 4 III. Saisons IV. Directives régissant l'observation des cétacés en mer... 5 A) Bélugas... 5 B) Tous les autres cétacés Directives s'appliquant lorsqu'un seul bateau fait de l'observation; vise tout type d'embarcation Directives lorsque plus d'un bateau sont au même site d'observation..., Directives pour les aéronefs Conseil général... 7 PARTIE II - DIRECTIVES AUX PLAISANCIERS ET CAPITAINES DE NAVIRES D'EXCURSION POUR PREVENIR TOUT DERANGEMENT DES BELUGAS DU SAINT-LAURENT... 8 Préambule... 8 Principes de base... 9 Mesures de contrôle du dérangement... 9 I. Mesures réglementaires...,... 9 II. Permis... 9 III. Saisons IV. Zones V. Directives pour prévenir le dérangement des bélugas VI. Directives pour favoriser l'observation à partir des sites terrestres aménagés CARTE 1: CARTE 2: Carte illustrant les habitats du béluga du Saint-Laurent durant l'été et les secteurs où s'appliquent des directives particulières Zones à respecter pour faciliter les observations faites à partir de sites terrestres aménagés... 13

5 -2- PARTIE I - DIRECTIVES S'APPLIQUANT A L'OBSERVATION DES CETACES DU SAINT-LAURENT PREAMBULE En plus des populations résidentes comme celle du béluga, les caractéristiques océanographiques de l'estuaire et du golfe du Saint-Laurent attirent annuellement plusieurs espèces de cétacés dont le rorqual bleu, le rorqual commun, le rorqual à bosse, le petit rorqual, le marsouin commun et quelques espèces de dauphins. Certaines de ces espèces ou populations (bélugas, rorquals bleui, rorquals à bosse, baleines noires) sont protégées mondialement ou sur la liste des espèces menacées du "Comité sur le statut des espèces fauniques menacées d'extinction au Canada". La faible densité relative de leur population locale ou mondiale exige que des mesures particulières soient mises en oeuvre afin d'assurer leur conservation. Rorqual bleu: Rorqual co-un: Rorqual à bosse: Baleine noire: Bélugas du Saint-Lamrent: Marsouin commun: Vulnérable (1983) Vulnérable ( ) Vulnérable (1985) Menacée ( ) Menacés (1983) En danger (1990) La période correspondant à la présence d'individus de ces populations dans le Saint-Laurent, soit de mai à octobre environ, constitue une période critique de leur cycle annuel. En effet, les grands cétacés profitent de cette saison de forte productivité biologique des eaux de l 'Estuaire et du Golfe pour accumuler des réserves d'énergie sous forme de graisses. De plus, cette période correspond à celle des naissances pour les bélugas. Aussi, toute interférence répétée avec ces comportements d'alimentation ou de soin des jeunes risque d'entraîner une diminution de leur efficacité, de causer du stress et même de blesser les animaux dont la santé et peut-être à plus long terme la survie seront ainsi menacées. Amorcée timidement au début des années 1970, l'observation des baleines du Saint-Laurent attire un nombre croissant de touristes sur les rives de l'estuaire et du Golfe. Cette activité estivale a donné naissance à une industrie dont l'infrastructure de base est composée par des navires d'excursion de diverses dimensions, de postes d'accueil ainsi que de bases d'observation aménagées et de centres d'interprétation. L'apport économique relié à cette industrie dépasse les dix millions de dollars.

6 -3- A cause de la demande croissante, le nombre de navires ainsi que le nombre de départs quotidiens ont augmenté. Comme l'intérêt s'est aussi propagé localement, la navigation de plaisance s'est aussi intensifiée dans les secteurs fréquentés par les cétacés. Il résulte de cet achalandage accru que les cétacés de certains secteurs, et plus spécialement le nombre relativement petit de rorquals se trouvant dans l'estuaire du Saint-Laurent à l'ouest de Portneuf-sur-Mer, sont en présence continue de navires d'excursion ou de plaisance en manoeuvre d'approche, de juin à septembre, pendant la journée. Afin que l'observation des cétacés se fasse en sécurité, sans interférer avec leur comportement et sans les éloigner de certains habitats à des périodes critiques le ministère des Pêches et des Océans et les divers intervenants impliqués dans l'observation de ces animaux définissent et mettent en application des directives visant à réduire les risques de harcèlement ou de dérangement, depuis Ces directives s'appliquent autant aux embarcations de plaisance qu'aux bateaux d'excursions. PRINCIPES DE BASE 1. Eliminer les risques de harcèlement et les possibilités de dérangement des cétacés fréquentant l'estuaire et le golfe du Saint-Laurent. 2. Exclure les bélugas des espèces recherchées pour l'observation, les bélugas du Saint-Laurent étant une population menacée d'extinction. 3. Créer un cadre d'auto-contrôle visant à encourager les intervenants de l'industrie d'observation des baleines à assumer leurs responsabilités face à cette ressource. 4. Sensibiliser les plaisanciers et autres propriétaires d'embarcations à respecter les normes reliées à l'observation des baleines puisque les règlements interdisant le harcèlement s'appliquent également à eux.

7 -4- DIRECTIVES D'OBSERVATION I- Mesures réglementaires Le Règlement sur la protection des cétacés défend spécifiquement de chasser des cétacés (baleines, dauphins, marsouins) (Art. 4). Chasser signifie poursuivre, tirer, harponner, capturer, tuer, tenter de capturer ou de tuer ou harceler de quelque façon que ce soit des cétacés. Harceler inclut toute tentative de poursuite, de dispersion, de rassemblement des animaux ainsi que tout geste volontaire, comme des tentatives d'approches répétées, ou toute négligence perturbant leur comportement normal. Quiconque enfreint les règlements sur la protection des cétacés est coupable d'une infraction et passible, sur déclaration sommaire de culpabilité, d'une amende d'au plus cent mille dollars ( $) et d'une peine d'emprisonnement de douze (12) mois au maximum ou de l'une de ces peines. Sur déclaration de culpabilité par mise en accusation, l'amende est alors d'au plus cinq cent mille dollars ( $) et la peine maximale d'emprisonnement atteint vingtquatre (24) mois (Loi sur les pêches, art. 78). II- Permis Il n'est pas nécessaire actuellement de détenir un permis du ministère des Pêches et des Océans pour effectuer l'observation des baleines à partir d'une embarcation. Le Ministère recommande toutefois fortement de suivre les directives s'appliquant à l'observation des cétacés comprises dans le présent document. Les activités effectuées dans le cadre d'un projet de recherche qui obligeraient à contrevenir aux règlements sur la protection des cétacés, nécessitent un permis scientifique sur lequel sont décrites les modalités d'utilisation de ce permis. Tout détenteur de permis devra installer, d'une manière visible, le fanion fourni par le ministère des Pêches et des Océans, afin d'identifier son navire comme navire de recherche. III- Saisons Les présentes directives s'appliquent pendant toute la période où les grands cétacés sont présents dans le Saint-Laurent, soit globalement de mai à décembre pour les rorquals et toute l'année pour les bélugas.

8 -5- IV- Directives régissant l'observation des cétacés en mer Les directives suivantes ont été établies afin de réduire tout risque de harcèlement et d'encerclement.. Le suivi de ces directives favorise le respect des règlements sur la protection des cétacés. A) Bélugas Les bélugas doivent être exclus des espèces recherchées pour l'observation en mer. Il est impératif de ne pas approcher les bélugas activement (en se dirigeant vers les animaux) ou passivement (en se laissant dériver vers eux). En présence de bélugas, réduire graduellement la vitesse réelle* (5-9 noeuds), sans arrêter, maintenez le cap à vitesse réduite, jusqu'à ce que les animaux soient à distance (400 mètres ou plus), et reprenez votre vitesse. * Vitesse réelle signifie la vitesse par rapport au fond. B) Tous les autres cétacés 1. Directives s'appliquant lorsqu'un seul bateau fait l'observation; vise tout type d'embarcation: bateau d'excursion. bateau de plaisance, voiliers Ne pas chasser, poursuivre, diriger, disperser ou rassembler les baleines; Evitez tout changement soudain de vitesse ou de direction, si une ou. plusieurs baleines sont aperçues dans le voisinage du navire; Evitez de vous diriger directement vers une baleine, ne l'approchez pas de face; N'approchez jamais à moins de 400 mètres d'un animal qui dort ou se repose en surface ou qui est engagé dans une activité d'alimentation;

9 -6- Dans les cas où les approches entre 400 et 100 mètres d'un animal sont possibles, ralentissez et avancez lentement en adoptant une approche en oblique; évitez les "techniques d'arrêt brusque par marche arrière; Ne vous approchez jamais à moins de 100 mètres d'une baleine, d'un dauphin ou d'un marsouin. Les baleines peuvent choisir de s'approcher beaucoup plus près mais ne les chassez pas et soyez vigilants car certains animaux peuvent sembler familiers; restez éloignés de leur queue; Laissez les moteurs au neutre ou au ralenti lorsque-vous êtes à une distance de 100 à 400 mètres.' Si vous devez maintenir votre position, faites-le à basse vitesse. Dans le cas de voiliers possédant un moteur auxiliaire. faitez-le tourner à la plus basse vitesse afin d'indiquer votre présence ou faites fonctionner votre écho-sondeur; Pour quitter les lieux, démarrez doucement et attendez d'être à plus de 400 mètres avant de prendre progressivement de la vitesse; Voyagez parallèlement aux baleines. Même si l'observation des baleines n'est pas l'objectif principal de votre excursion. soyez vigilants pour éviter toute collision, principalement dans les zones où la présence de ces animaux a déjà été observée ou est signalée. S'il est impossible de contourner une baleine ou un groupe de baleines, ralentissez immédiatement et attendez d'être à plus de 400 mètres des animaux avant de reprendre de la vitesse. 2. Directives additionnelles à respecter lorsque plusieurs bateaux (plus d'un) sont au même site d'observation Evitez tout positionnement du navire qui causerait un encerclement des baleines avec les autres navires présents de manière à toujours laisser à l'animal la possibilité de s'éloigner en surface;

10 -7- Les navires doivent demeurer en communication de façon à garder le contrôle de la situation et à appliquer des règles d'éthique; ' Dispersez les navires d'excursion selon la distribution des groupements d'animaux; Limitez la période de contact avec un même individu ou groupe de baleines; Respectez les directives énoncées plus haut dans le cas d'un seul bateau en n'approchant jamais à plus de 200 mètres de l'animal; soit: Les approches d'un animal sont possibles entre 400 et 200 mètres de celui-ci; Ne vous approchez jamais à moins de 200 mètres d'une baleine, d'un dauphin ou d'un marsouin; Laissez les moteurs au neutre ou au ralenti lorsque vous êtes à une distance de 200 à 400 mètres. 3. Directives pour les aéronefs Le vrombissement du moteur d'un avion et particulièrement le bruit du rotor d'un hélicoptère sont perçus par les baleines près de la surface de l'eau. Ne descendez pas à moins de 450 mètres de la surface de l'eau. 4. Conseil général Limitez le nombre d'approches à l'intérieur de 400 à 200 mètres d'un animal, ou d'un groupe, à trois (3) tentatives par bateau par excursion.

11 -8- PARTIE II - DIRECTIVES AUX PLAISANCIERS ET CAPITAINES DE NAVIRES D'EXCURSION POUR PREVENIR LE DERANGEMENT DES BELUGAS DU SAINT-LAURENT PREAMBULE Les bélugas du Saint-Laurent forment une population distincte de celles retrouvées dans les régions arctiques et sub-arctiques. Ils vivent en permanence dans l'estuaire du Saint-Laurent. Décimés par la chasse commerciale, cette population résiduelle d'environ 500 individus a reçu, en 1983, le statut de "aenacée d'extinction" du Comité sur les espèces fauniques menacées d'extinction au Canada. Comme toute forme de chasse du béluga du Saint-Laurent est strictement interdite par voie réglementaire depuis , les facteurs actuels qui ont le potentiel de menacer ces animaux comprennent la contamination par des substances chimiques toxiques et le dérangement par diverses activités pratiquées dans leur habitat comme la navigation de plaisance et les excursions commerciales d'observation. Ces deux (2) facteurs peuvent aussi produire un impact négatif combiné sur les bélugas. Afin de favoriser la survie des bélugas du Saint-Laurent, les ministères des Pêches et des Océans et d'environnement Canada ont publié, en juin 1988, un plan d'action interministériel qui. regroupe des actions portant sur le contrôle du dérangement, sur le contrôle des substances chimiques toxiques et sur l'accroissement des connaissances. Les directives contenues dans le présent document s'inscrivent parmi les démarches de mise en oeuvre des actions de contrôle du dérangement contenues dans le "Plan d'action interainistériel pour favoriser la survie du béluga du Saint Laurent" tel que discuté au Forum international pour l'avenir du béluga, à Tadoussac, en 1988.

12 -9- PRINCIPES DE BASE 1. Eliminer les risques de dérangement et de harcêlement des bélugas du Saint Laurent: En excluant les bélugas des espêces recherchées pour l'observation à partir d'embarcations. En promulguant des directives à l'intention des plaisanciers et capitaines de navires d'excursions susceptibles de croiser des bélugas lors de leurs déplacements. 2. Créer un cadre d'auto-contrôle visant à encourager tous les individus à assumer leurs responsabilités face à cette ressource. MESURES DE CONTROLE DU DERANGEMENT I - Mesures réglementaires Le Rêglement sur la protection du béluga interdit de chasser le béluga dans le golfe du Saint-Laurent, le fleuve Saint-Laurent, la riviêre Saguenay ou leurs tributaires à marée (Art. 12). Ce rêg_lement défend également de déranger volontairement un béluga (Art. 8). Quiconque enfreint les rêglements sur la protection des cétacés est coupable d'une infraction et passible, sur déclaration sommaire de culpabilité, d'une amende d'au plus cent mille dollars ( $) et d'une peine d'emprisonnement de douze (12) mois au maximum ou de l'une de ces peines. Sur déclaration. de culpabilité, par mise en accusation, l'amende est alors d'au plus cinq cent mille dollars ( $) et la peine maximale d'emprisonnement atteint vingtquatre (24) mois (Loi sur les pêches, Art. 78). II- Permis Il n'est pas nécessaire actuellement de détenir un permis du ministêre des Pêches et des Océans pour effectuer l'observation des baleines à partir d'une embarcation. Toutefois, comme il est spécifié dans les principes de base et dans les directives qui suivent, les bélugas ne doivent pas faire l'objet d'excursion d'observation à partir d'embarcations afin d'éliminer tout risque de harcêlement.

13 -10- Les activités effectuées dans le cadre d'un projet de recherche qui obligeraient à contrevenir aux règlements sur la protection du béluga, nécessitent un permis scientifique sur lequel sont décrites les modalités d'utilisation de ce permis. Tout détenteur de permis devra installer, d'une manière visible, le fanion fourni par le ministère des Pêches et des Océans, afin d'identifier son navire comme navire de recherche. III- Saisons Les présentes directives s'appliquent pendant toute l'année. IV- Zones La région de l'estuaire du Saint-Laurent s'étendant des secteurs de l'ile aux Coudres à celui de l'ile Rouge, constitue la zone de distribution estivale des bélugas et certains secteurs sont fréquentés avec régularité par les animaux (Carte 1). Les secteurs de la baie Ste-Catherine, de la baie Ste-Marguerite, de l'anse St-Etienne et du sud de l'ile aux Lièvres sont désignés comme habitats critiques pour le déplacement, l'alimentation et le repos. V- Directives pour prévenir le dérangement des bélugas Les directives suivantes ont été établies afin de réduire tout risque de harcèlement et de dérangement. Leur mise en oeuvre favorise le respect des règlements sur la protection et de dérangement des cétacés et du béluga. Les bélugas doivent être exclus des espèces recherchées pour l'observation en mer. Il est impératif de ne pas approcher les bélugas activement (en se dirigeant vers les animaux) ou passivement (en se laissant dériver vers eux). En présence de bélugas, réduire graduellement la vitesse réelle (5-9 noeuds), sans arrêter, maintenez le cap à vitesse réduite, jusqu'à ce que les animaux soient à distance (400 mètres ou plus), et reprenez votre vitesse.

14 -11- Les mesures additionnelles suivantes doivent être appliquées dans les habitats critiques décrits plus haut (Point IV): Ces secteurs ne doivent pas être fréquentés pour des excursions d'observation de baleines. Toute embarcation ne pouvant éviter ces secteurs ne doit pas s'y déplacer à une vitesse réelle supéri~ure à 5 noeuds. Une attention spéciale doit être portée lorsque ces secteurs sont traversés pour repérer les animaux dès que possible. VI- Directives pour favoriser l'observation à partir des sites terrestres aménagés Les bélugas peuvent être observés dans la baie Ste-Catherine, de façon régulière, à partir de la halte côtière de Pointe Noire et, de façon occasionnelle, dans l'estuaire à partir du centre d'interprétation du phare du Cap de Bon Désir. Afin de ne pas nuire aux observations faites à partir de ces sites. il est recommandé aux diverses embarcations se déplaçant près de ces secteurs, de ne pas circuler dans les zones illustrées sur la Carte 2. soit dans un rayon de 400 mètres au pied da la Pointe Noire et dans un rayon d'un mille marin au pied du phare du Cap de Bon Désir.

15 Secteur B Secte/ /! 1 / / / \o>j ' ~ ""-~ ~ Légende Secteur A: Secteur B: l.l, 1 1 a:i.t... &: Ile-aux-Coudres Ile Rouge Habitat critique Habitat estival CARTE 1: MAP 1: ' HABITATS DU BELUGA DU SAINT-LAURENT DURANT L'ETE ET ZONES CRITIQUES OU S'APPLIQUENT DES DIRECTIVES PARTICULIERES. MAPS SHOWING Sm!MER HABITATS OF THE ST. LAWRENCE' S BELUGA AND THE AREAS WHERE SPECIFIC GUIDELINES APPLY.

16 =. '4oom: , i... ),,.. :::::::.::::.::.: :::::.:::::.: :;:... t... ' ~.,t.... \..... CARTE 2: MAP 2: ZONES A RESPECTER POUR FACILITER LES OBSERVATIONS FAITES A PARTIR DE SITES TERRESTRES AMENAGES AREAS TO BE RESPECTED IN OROER TO FACILITATE OBSERVATIONS PROM ORGANIZED LAND BASES

Recommandation M96-04 du Bureau (le 25 avril 1996)

Recommandation M96-04 du Bureau (le 25 avril 1996) RÉÉVALUATION DES RÉPONSES DE TRANSPORTS CANADA À LA RECOMMANDATION EN MATIÈRE DE SÉCURITÉ MARITIME M96-04 NORMES DE CONSTRUCTION ET INSPECTION PAR TRANSPORTS CANADA Introduction Le 11 août 1993, le Tan

Plus en détail

TITRE 5 - PROTECTION DE LA PERSONNE ET DE LA PROPRIÉTÉ

TITRE 5 - PROTECTION DE LA PERSONNE ET DE LA PROPRIÉTÉ TITRE 5 - PROTECTION DE LA PERSONNE ET DE LA PROPRIÉTÉ CHAPITRE 9 - SYSTÈMES D'ALARME Section 1 - Dispositions déclaratoires et interprétatives 5.9.1 Définitions À moins de déclaration contraire, expresse

Plus en détail

Forum du 07 /04 /2011

Forum du 07 /04 /2011 Forum du 07 /04 /2011 Bilan général du tout automobile et de ces conséquences. La voiture est devenue l objet primordial de nos déplacements Infrastructures au détriment de la qualité de la vie Conséquences

Plus en détail

Le monitoring de la qualité

Le monitoring de la qualité SÉDIMENTS RIVES RESSOURCES BIOLOGIQUES 3 e édition Le monitoring de la qualité des eaux marines dans les secteurs coquilliers Cap Piailleur, Îles-de-la-Madeleine Photo : Martin Rodrigue, Environnement

Plus en détail

MUNICIPALITÉ DE NOTRE-DAME-DE-LA-PAIX RÈGLEMENT NUMÉRO : SQ 06-007 AVIS DE MOTION : 8 JANVIER 2007 ADOPTÉ LE : 5 FÉVRIER 2007

MUNICIPALITÉ DE NOTRE-DAME-DE-LA-PAIX RÈGLEMENT NUMÉRO : SQ 06-007 AVIS DE MOTION : 8 JANVIER 2007 ADOPTÉ LE : 5 FÉVRIER 2007 MUNICIPALITÉ DE NOTRE-DAME-DE-LA-PAIX RÈGLEMENT NUMÉRO : SQ 06-007 AVIS DE MOTION : 8 JANVIER 2007 ADOPTÉ LE : 5 FÉVRIER 2007 PUBLICATION : 9 FÉVRIER 2007 ENTRÉE EN VIGUEUR : 9 FÉVRIER 2007 Avis de motion

Plus en détail

Annexe III du Protocole au Traité sur l'antarctique, relatif à la protection de l'environnement Elimination et gestion des déchets

Annexe III du Protocole au Traité sur l'antarctique, relatif à la protection de l'environnement Elimination et gestion des déchets Annexe III du Protocole au Traité sur l'antarctique, relatif à la protection de l'environnement Elimination et gestion des déchets ARTICLE 1 OBLIGATIONS GENERALES 1. La présente Annexe s'applique aux activités

Plus en détail

BEPECASER ÉPREUVE DE CONTRÔLE DES CONNAISSANCES. 16 mai 2012

BEPECASER ÉPREUVE DE CONTRÔLE DES CONNAISSANCES. 16 mai 2012 J. 121300 MINISTÈRE DE L INTÉRIEUR, DE L OUTRE-MER, DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE L IMMIGRATION BEPECASER ÉPREUVE DE CONTRÔLE DES CONNAISSANCES 16 mai 2012 Question 1 Le fait pour un conducteur

Plus en détail

Volume 2 Guide d ouverture et de gestion de compte

Volume 2 Guide d ouverture et de gestion de compte Volume 2 Guide d ouverture et de gestion de compte CITSS Système de suivi des droits d émission (Compliance Instrument Tracking System Service) Mars 2013 Table des matières 1.0 Introduction... 6 1.1 Volume

Plus en détail

ÉLÉMENTS DE DONNÉES DU CERTIFICAT D'ASSURANCE-AUTOMOBILE

ÉLÉMENTS DE DONNÉES DU CERTIFICAT D'ASSURANCE-AUTOMOBILE ÉLÉMENTS DE DONNÉES DU CERTIFICAT D'ASSURANCE-AUTOMOBILE Remarque : 1. Tous les éléments sont des champs de données, à moins d'indication contraire. 2. Les éléments de «texte» doivent être reproduits à

Plus en détail

RAPPORT D'ENQUÊTE SUR ÉVÉNEMENT AÉRONAUTIQUE

RAPPORT D'ENQUÊTE SUR ÉVÉNEMENT AÉRONAUTIQUE RAPPORT D'ENQUÊTE SUR ÉVÉNEMENT AÉRONAUTIQUE COLLISION AVEC UN VÉHICULE AIR FRANCE BOEING 747-200 F-BPVV AÉROPORT INTERNATIONAL DE MONTRÉAL / MIRABEL (QUÉBEC) 15 OCTOBRE 1995 RAPPORT NUMÉRO A95Q0206 Le

Plus en détail

Garde côtière canadienne Direction générale des services maritimes. Garde côtière canadienne Stratégie relative à la navigation électronique

Garde côtière canadienne Direction générale des services maritimes. Garde côtière canadienne Stratégie relative à la navigation électronique Garde côtière canadienne Direction générale des services maritimes Garde côtière canadienne Stratégie relative à la navigation électronique Octobre 2008 Introduction La navigation électronique a été définie

Plus en détail

Plan d action de développement durable 2009-2013. Société du Parc industriel et portuaire de Bécancour

Plan d action de développement durable 2009-2013. Société du Parc industriel et portuaire de Bécancour Société du Parc industriel et portuaire de Bécancour Plan d action de développement durable 2009-2013 Favoriser une meilleure concertation des industries du territoire Octobre 2009 Avant propos La Société

Plus en détail

BILAN ROUTIER UNE RESPONSABILITÉ PARTAGÉE! 7 principales causes de collisions à Montréal. Portrait de la sécurité routière et de la circulation

BILAN ROUTIER UNE RESPONSABILITÉ PARTAGÉE! 7 principales causes de collisions à Montréal. Portrait de la sécurité routière et de la circulation BILAN ROUTIER Portrait de la sécurité routière et de la circulation 2010 UNE RESPONSABILITÉ PARTAGÉE! Le partage de la route en milieu urbain est l enjeu qui pose le plus grand défi autant aux usagers

Plus en détail

Conditions Générales Location d équipements terminaux

Conditions Générales Location d équipements terminaux Conditions Générales Location d équipements terminaux Vous trouverez dans le présent document les conditions générales qui s'appliquent à la location des équipements terminaux de Orange. Elles peuvent

Plus en détail

AVERTISSEMENT. Cette codification intègre les modifications apportées au règlement VS-R-2007-28.

AVERTISSEMENT. Cette codification intègre les modifications apportées au règlement VS-R-2007-28. CODIFICATION ADMINISTRATIVE DU RÈGLEMENT VS-R-2007-28 DE LA VILLE DE SAGUENAY CONCERNANT LE CONTRÔLE DES SYSTÈMES D ALARME POUR LA PROTECTION CONTRE LES INTRUS AVERTISSEMENT Le présent document constitue

Plus en détail

Qui mange quoi? Filtrer avec des fanons

Qui mange quoi? Filtrer avec des fanons Filtrer avec des fanons Malgré leur taille gigantesque, les baleines se nourrissent de petites proies : du krill ou des petits poissons qu elles piègent à travers leurs fanons. Ces «peignes» peuvent faire

Plus en détail

Présenté par Constable Perry Madelon Road Safety Unit Traffic Branch

Présenté par Constable Perry Madelon Road Safety Unit Traffic Branch Présenté par Constable Perry Madelon Road Safety Unit Traffic Branch Qu est-ce que la distraction au volant? La distraction au volant s entend de tout ce qui détourne l attention accordée à la conduite.

Plus en détail

POLITIQUE DE BIOSÉCURITÉ

POLITIQUE DE BIOSÉCURITÉ Date d entrée en vigueur: Mai 2006 Remplace/amende: VRS-52/s/o Origine: Vice-rectorat aux services Numéro de référence: VPS-52 DÉFINITION Une substance biologique dangereuse se définit comme un organisme

Plus en détail

Formant quorum sous la présidence de Monsieur le Maire Roger Carette. AVIS DE MOTION ET DISPENSE DE LECTURE

Formant quorum sous la présidence de Monsieur le Maire Roger Carette. AVIS DE MOTION ET DISPENSE DE LECTURE À une séance régulière du Conseil de la Ville de Saint-Georges, tenue au lieu ordinaire le 14 avril 2003 à laquelle sont présents mesdames les Conseillères Irma Quirion et Maxime Fortin, messieurs les

Plus en détail

La conduite automobile exige toute votre attention

La conduite automobile exige toute votre attention La conduite automobile exige toute votre attention et votre concentration. Au volant, vous devez constamment être à l affût des nombreux imprévus qui peuvent survenir sur la route. Or, utiliser un appareil

Plus en détail

CONDUIRE UNE VOITURE EN ALBERTA

CONDUIRE UNE VOITURE EN ALBERTA CONDUIRE UNE VOITURE EN ALBERTA QUELLES SONT LES CONDITIONS POUR POUVOIR CONDUIRE UNE VOITURE EN ALBERTA? Vous devez être âgé d au moins 16 ans et être détenteur d un permis de conduire valide. Il y a

Plus en détail

RÈGLEMENT RELATIF À L'UTILISATION DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION

RÈGLEMENT RELATIF À L'UTILISATION DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION RÈGLEMENT RELATIF À L'UTILISATION DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION Adopté par le Conseil le 7 février 2006 En vigueur le 7 février 2006 Abrogé par le Conseil et entré en vigueur le 24 avril 2012 Règlement

Plus en détail

Règlement sur la protection des personnes et des biens

Règlement sur la protection des personnes et des biens Le texte que vous consultez est une codification administrative des Règlements de l'uqam. Leur version officielle est contenue dans les résolutions adoptées par le Conseil d'administration de l'uqam. La

Plus en détail

Politique d'utilisation (PU)

Politique d'utilisation (PU) CONSERVEZ CE DOCUMENT POUR VOUS Y REFERER ULTERIEUREMENT Politique d'utilisation (PU) Systèmes réseaux, Internet, e-mail et téléphone Toute violation de la Politique d'utilisation de Garmin France SAS

Plus en détail

HILLENBRAND, INC. ET FILIALES. Politique anti-coruption internationale et Guide de conformité

HILLENBRAND, INC. ET FILIALES. Politique anti-coruption internationale et Guide de conformité HILLENBRAND, INC. ET FILIALES Politique anti-coruption internationale et Guide de conformité Hillenbrand, Inc. et toutes ses filiales (appelées collectivement la "Société"), tient à jour une politique

Plus en détail

Les 5 étapes du management des. risques routiers. pour les entreprises et les collectivités

Les 5 étapes du management des. risques routiers. pour les entreprises et les collectivités Les 5 étapes du management des risques routiers pour les entreprises et les collectivités Qu'est-ce que le C.P.A.T.S.? Le C.P.A.T.S., Centre de Psychologie Appliquée aux Transports et à leur Sécurité,

Plus en détail

Décision-cadre 2002/475/JAI du Conseil (13 juin 2002)

Décision-cadre 2002/475/JAI du Conseil (13 juin 2002) Décision-cadre 2002/475/JAI du Conseil (13 juin 2002) Légende: Exemple de décision-cadre arrêtée par le Conseil dans le cadre du troisième pilier. Source: Journal officiel des Communautés européennes (JOCE).

Plus en détail

Règlement numéro 13-2000 concernant les systèmes d alarme

Règlement numéro 13-2000 concernant les systèmes d alarme Règlement numéro 13-2000 concernant les systèmes d alarme Adopté lors de la séance ordinaire tenue le 5 février 2001 Entré en vigueur le 11 février 2001. Modifié par : Règlement numéro 07-2001 - Modification

Plus en détail

Politique sur l accès aux documents et sur la protection des renseignements personnels

Politique sur l accès aux documents et sur la protection des renseignements personnels Recueil de gestion POLITIQUE Code : 1511-00-12 Nombre de pages : 6 Politique sur l accès aux documents et sur la protection des renseignements personnels Amendée par le Comité exécutif le 4 octobre 2006

Plus en détail

Municipalité de la paroisse de Saint-Lazare

Municipalité de la paroisse de Saint-Lazare Municipalité de la paroisse de Saint-Lazare PROVINCE DE QUÉBEC MUNICIPALITÉ DE LA PAROISSE DE SAINT-LAZARE M.R.C. DE VAUDREUIL-SOULANGES RÈGLEMENT NUMÉRO 627 RÈGLEMENT VISANT À INTERDIRE L UTILISATION

Plus en détail

GUIDE INTERMINISTERIEL SUR LES SYSTEMES D'INFORMATION ET APPLICATIONS SENSIBLES

GUIDE INTERMINISTERIEL SUR LES SYSTEMES D'INFORMATION ET APPLICATIONS SENSIBLES REPUBLIQUE FRANÇAISE PREMIER MINISTRE Secrétariat Général de la Défense Nationale N 730/ SCSSI Issy-les-Moulineaux, le 13 janvier 1997 GUIDE INTERMINISTERIEL SUR LES SYSTEMES D'INFORMATION ET APPLICATIONS

Plus en détail

Canada Province de Québec Ville de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson

Canada Province de Québec Ville de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson Canada Province de Québec Ville de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson RÈGLEMENT # 72-2013 Règlement concernant l utilisation des pesticides et des engrais sur le territoire de la Ville de Sainte- Marguerite-du-Lac-Masson.

Plus en détail

Discovering Hidden Value

Discovering Hidden Value Discovering Hidden Value A la découverte de la valeur cachée Consultation pour les Opérations de Forage Proposées en Offshore Marocain 2013 Qui est Cairn Energy? Cairn est une société de pétrole et de

Plus en détail

Arbitrer. LE FUTSAL.quelques éléments de compréhension

Arbitrer. LE FUTSAL.quelques éléments de compréhension Arbitrer Un exercice complexe que ce livret du jeune arbitre essaie de rendre abordable et simple. Il contient : - des éléments de compréhension du futsal (esprit du jeu, sens général du règlement) - 10

Plus en détail

Les responsabilités des professionnels de santé

Les responsabilités des professionnels de santé Chapitre 5 : UE6 - Le Droit pharmaceutique Les responsabilités des professionnels de santé Martine DELETRAZ-DELPORTE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.

Plus en détail

CONSIDÉRANT qu un avis de présentation de ce règlement a été donné lors de la séance ordinaire du Conseil de Ville, tenue le 17 mai 1999;

CONSIDÉRANT qu un avis de présentation de ce règlement a été donné lors de la séance ordinaire du Conseil de Ville, tenue le 17 mai 1999; VILLE DE CANDIAC RÈGLEMENT NUMÉRO 1007-99 CONCERNANT LES SYSTÈMES D'ALARME CONSIDÉRANT la création de la Régie intermunicipale de police Roussillon, regroupant les corps policiers des villes de Candiac,

Plus en détail

Thème 3. LA GESTION DES RECIFS ARTIFICIELS : CAS DU PARC MARIN DE LA COTE BLEUE

Thème 3. LA GESTION DES RECIFS ARTIFICIELS : CAS DU PARC MARIN DE LA COTE BLEUE Séminaire récifs artificiels en Languedoc : bilan et perspectives. 20 novembre 2008 Sète Thème 3. LA GESTION DES RECIFS ARTIFICIELS : CAS DU PARC MARIN DE LA COTE BLEUE Frédéric BACHET & Eric CHARBONNEL,

Plus en détail

INTERNATIONAL TRIBUNAL FOR THE LAW OF THE SEA TRIBUNAL INTERNATIONAL DU DROIT DE LA MER Communiqué de Presse (Publié par le Greffe)

INTERNATIONAL TRIBUNAL FOR THE LAW OF THE SEA TRIBUNAL INTERNATIONAL DU DROIT DE LA MER Communiqué de Presse (Publié par le Greffe) INTERNATIONAL TRIBUNAL FOR THE LAW OF THE SEA TRIBUNAL INTERNATIONAL DU DROIT DE LA MER Communiqué de Presse (Publié par le Greffe) LE TRIBUNAL EST SAISI DU FOND DANS L'AFFAIRE "D'AVITAILLEMENT" DE NAVIRES

Plus en détail

Dernière chance de participer au concours de photo du Comité ZIP Les Deux Rives

Dernière chance de participer au concours de photo du Comité ZIP Les Deux Rives Dernière chance de participer au concours de photo du Comité ZIP Les... 1 sur 2 2008-09-18 13:54 Sujet : Dernière chance de participer au concours de photo du Comité ZIP Les Deux Rives De : Guy Guilbert

Plus en détail

Journal officiel des Communautés européennes. (Actes dont la publication est une condition de leur applicabilité)

Journal officiel des Communautés européennes. (Actes dont la publication est une condition de leur applicabilité) 17.4.2001 L 106/1 I (Actes dont la publication est une condition de leur applicabilité) DIRECTIVE 2001/18/CE DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL du 12 mars 2001 relative à la dissémination volontaire d'organismes

Plus en détail

KeContact P20-U Manuel

KeContact P20-U Manuel KeContact P20-U Manuel Remarques générales à propos de ce manuel Ce manuel contient des informations et des mises en garde sur les dangers potentiels. La signification des symboles utilisés est la suivante

Plus en détail

COMMISSION ÉCONOMIQUE POUR L'EUROPE COMITÉ DES TRANSPORTS INTÉRIEURS. Groupe de travail des transports par voie navigable. Genève.

COMMISSION ÉCONOMIQUE POUR L'EUROPE COMITÉ DES TRANSPORTS INTÉRIEURS. Groupe de travail des transports par voie navigable. Genève. COMMISSION ÉCONOMIQUE POUR L'EUROPE COMITÉ DES TRANSPORTS INTÉRIEURS Groupe de travail des transports par voie navigable Genève MENUES EMBARCATIONS UTILISÉES EXCLUSIVEMENT POUR LA NAVIGATION DE PLAISANCE

Plus en détail

OUTILS DE SENSIBILISATION : PIÉTON / CYCLISTE / AUTOMOBILISTE / CYCLOMOTEUR

OUTILS DE SENSIBILISATION : PIÉTON / CYCLISTE / AUTOMOBILISTE / CYCLOMOTEUR OUTILS DE SENSIBILISATION : PIÉTON / CYCLISTE / AUTOMOBILISTE / CYCLOMOTEUR Piétons Les causes possibles d'accidents impliquant des piétons et des véhicules sont bien connues. La négligence, l'inattention

Plus en détail

que ce conseil ordonne et statue par le présent règlement portant le numéro 2003-04-7775 ce qui suit, à savoir:

que ce conseil ordonne et statue par le présent règlement portant le numéro 2003-04-7775 ce qui suit, à savoir: CANADA Province de Québec Ville de Fossambault-sur-le-Lac RÈGLEMENT NO: 2003-04-7775 Sur les alarmes et systèmes d alarme Séance spéciale du conseil municipal de la Ville de Fossambault-sur-le-Lac, tenue

Plus en détail

La Loire et nous : rêve d acteur NGE. Envoyé le 05/02/15

La Loire et nous : rêve d acteur NGE. Envoyé le 05/02/15 La Loire et nous : rêve d acteur NGE Envoyé le 05/02/15 NGE est une société d économie mixte locale dont les actionnaires majoritaires sont la Métropole de Nantes et la Ville, aux côtés d'actionnaires

Plus en détail

ACCORD RELATIF A L'APPLICATION DE L'AMENAGEMENT ET DE LA REDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL AUX INTERIMAIRES

ACCORD RELATIF A L'APPLICATION DE L'AMENAGEMENT ET DE LA REDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL AUX INTERIMAIRES ACCORD RELATIF A L'APPLICATION DE L'AMENAGEMENT ET DE LA REDUCTION DU TEMPS DE TRAVAIL AUX INTERIMAIRES PREAMBULE Les organisations signataires veulent par le présent accord, préciser la situation des

Plus en détail

Nom : Prénom : Fait à : PESSAC Le : SIGNATURE :

Nom : Prénom : Fait à : PESSAC Le : SIGNATURE : Nom : Prénom : Je reconnais avoir pris connaissance de la présente Charte des utilisateurs des ressources informatiques et des services Internet, m'engage à la respecter, et à signaler tout usage non conforme

Plus en détail

Dans le présent règlement, les mots suivants signifient :

Dans le présent règlement, les mots suivants signifient : PROVINCE DE QUÉBEC VILLE DE MONT-LAURIER RÈGLEMENT NUMÉRO : 119 Règlement sur la salubrité et l entretien des logements. À la séance ordinaire du conseil municipal de la Ville de Mont-Laurier, tenue le

Plus en détail

PROCÉDURE D'APPEL D'OFFRES ET D'OCTROI POUR LES ACHATS D'ÉLECTRICITÉ

PROCÉDURE D'APPEL D'OFFRES ET D'OCTROI POUR LES ACHATS D'ÉLECTRICITÉ PROCÉDURE D'APPEL D'OFFRES ET D'OCTROI POUR LES ACHATS D'ÉLECTRICITÉ INTRODUCTION Hydro-Québec, dans ses activités de distribution d'électricité («Distributeur»), doit conclure des contrats d'approvisionnement

Plus en détail

POLITIQUE FINANCIÈRE

POLITIQUE FINANCIÈRE POLITIQUE FINANCIÈRE SYNDICAT DES ÉTUDIANTS ET ÉTUDIANTES SALARIÉS-E-S DE L'UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À RIMOUSKI (SEES-UQAR) ALLIANCE DE LA FONCTION PUBLIQUE DU CANADA (AFPC)/FTQ Adoptée en AG le 30 octobre

Plus en détail

Responsabilités du transporteur scolaire et des conductrices et conducteurs. Transport -responsabilités. Politique

Responsabilités du transporteur scolaire et des conductrices et conducteurs. Transport -responsabilités. Politique Section Page M04 202 Responsabilités du transporteur scolaire et des conductrices et conducteurs Transport -responsabilités Date 10 juin 2002 1 sur 5 Révision 13 avril 2015 Politique Les transporteurs

Plus en détail

Université du Québec à Trois-Rivières Politique de gestion des documents actifs, semi-actifs et inactifs de l'u.q.t.r.

Université du Québec à Trois-Rivières Politique de gestion des documents actifs, semi-actifs et inactifs de l'u.q.t.r. Université du Québec à Trois-Rivières Politique de gestion des documents actifs, semi-actifs et inactifs de l'u.q.t.r. (Résolution 398-CA-3497, 25 novembre 1996) 1. Énoncé Par cette politique, l'université

Plus en détail

564-2010 2010-08-19 670-2012 2012-02-20. Codification administrative

564-2010 2010-08-19 670-2012 2012-02-20. Codification administrative PROVINCE DE QUÉBEC VILLE DE RIMOUSKI REGLEMENT 33-2002 CONCERNANT LES SYSTEMES D ALARME ADOPTE PAR LE CONSEIL MUNICIPAL LE DIX-NEUF AOUT DEUX MILLE DEUX ET MODIFIE PAR LES REGLEMENTS SUIVANTS: Numéro Date

Plus en détail

RÈGLEMENT CONCERNANT LES ALARMES

RÈGLEMENT CONCERNANT LES ALARMES PROVINCE DE QUÉBEC M.R.C. DE L'AMIANTE MUNICIPALITÉ D ADSTOCK RÈGLEMENT NUMÉRO 7-01 RÈGLEMENT CONCERNANT LES ALARMES CONSIDÉRANT QUE le Conseil juge nécessaire et d'intérêt public de réglementer la possession,

Plus en détail

Sea Tech Week Brest - Mercredi 10 octobre Quartz salle 1

Sea Tech Week Brest - Mercredi 10 octobre Quartz salle 1 Sea Tech Week Brest - Mercredi 10 octobre Quartz salle 1 Parc Naturel Marin d Iroise MERiFIC L étude du bruit des énergies marines renouvelables et impacts sur l environnement. L utilisation de l acoustique

Plus en détail

CONSULTATION SUR PLACE

CONSULTATION SUR PLACE CONSULTATION SUR PLACE GUIDE D UTILISATION DES ORDINATEURS D ACCÈS PUBLIC Équipements disponibles..............2 Règles d usage......................2 Conditions d utilisation................3 Procédurier.........................5

Plus en détail

parcmarin.qc.ca Plan directeur du parc marin du Saguenay Saint-Laurent

parcmarin.qc.ca Plan directeur du parc marin du Saguenay Saint-Laurent parcmarin.qc.ca Plan directeur du parc marin du Saguenay Saint-Laurent 1 Crédits photos de la couverture : 1. Mathieu Dupuis, Sépaq 1 2 Crédits photos de la page I : 1. Robert Michaud, Parcs Canada 2.

Plus en détail

Qu est-ce que je dois faire lorsque je reçois une assignation à comparaître?

Qu est-ce que je dois faire lorsque je reçois une assignation à comparaître? Être un témoin Qu est-ce qu un témoin? Le témoin est celui à qui il est demandé de se présenter devant le tribunal pour répondre à des questions sur une affaire. Les réponses données par un témoin devant

Plus en détail

Niveau CEl CE2. Le grand dauphin ou dauphin souffleur Tursiops truncatus

Niveau CEl CE2. Le grand dauphin ou dauphin souffleur Tursiops truncatus Niveau CEl CE2 Le grand dauphin ou dauphin souffleur Tursiops truncatus INTRODUCTION: non un poisson. Le dauphin souffleur ou grand dauphin est un mammifère marin, et Comme tous les mammifères il suivantes

Plus en détail

GMI 20 Manuel d'utilisation

GMI 20 Manuel d'utilisation GMI 20 Manuel d'utilisation Juin 2013 190-01609-30_0A Imprimé à Taïwan Tous droits réservés. Conformément aux lois relatives au copyright en vigueur, toute reproduction du présent manuel, qu'elle soit

Plus en détail

Charte du Bon usage de l'informatique et des réseaux informatiques au Lycée St Jacques de Compostelle

Charte du Bon usage de l'informatique et des réseaux informatiques au Lycée St Jacques de Compostelle Charte du Bon usage de l'informatique et des réseaux informatiques au Lycée St Jacques de Compostelle I - But de la charte Le but de la présente charte est de définir les règles de bonne utilisation des

Plus en détail

Le défi : L'avantage Videojet :

Le défi : L'avantage Videojet : Note d'application Impression-pose d'étiquettes Améliorez votre rendement : passez des applicateurs mécaniques à l'étiquetage Direct Apply TM Le défi : Au cours de ces 20 dernières années, les systèmes

Plus en détail

Le contrat. Exemple de contrat de location pour fins de chasse récréative

Le contrat. Exemple de contrat de location pour fins de chasse récréative Le contrat Exemple de contrat de location pour fins de chasse récréative Novembre 1995 CONTRAT DE LOCATION POUR FINS DE CHASSE RÉCRÉATIVE AVERTISSEMENT Le propriétaire qui désire louer son boisé privé

Plus en détail

Le réseau @ARCHI.FR CHARTE DE BON USAGE DES RESSOURCES INFORMATIQUES DU RESEAU @ARCHI.FR

Le réseau @ARCHI.FR CHARTE DE BON USAGE DES RESSOURCES INFORMATIQUES DU RESEAU @ARCHI.FR Le réseau @ARCHI.FR CHARTE DE BON USAGE DES RESSOURCES INFORMATIQUES DU 1 DOMAINE D APPLICATION En adhérant au réseau RENATER, l école d architecture s est engagée à respecter une charte d usage et de

Plus en détail

RÈGLEMENT # 302 Règlement concernant les alarmes applicable par la Sûreté du Québec

RÈGLEMENT # 302 Règlement concernant les alarmes applicable par la Sûreté du Québec RÈGLEMENT # 302 Règlement concernant les alarmes applicable par la Sûreté du Québec CONSIDÉRANT QUE le Conseil municipal juge nécessaire et d intérêt public de réglementer la possession, l utilisation

Plus en détail

INFO PRESSE : lancement début juillet 2014 de l appli SeaforYou

INFO PRESSE : lancement début juillet 2014 de l appli SeaforYou INFO PRESSE : lancement début juillet 2014 de l appli SeaforYou L appli communautaire d échange d infos en temps réel entre passionnés de mer! SeaforYou permet aux plaisanciers de partager des infos en

Plus en détail

Art. 8, al. 3 OCR Routes à plusieurs voies, circulation à la file 3

Art. 8, al. 3 OCR Routes à plusieurs voies, circulation à la file 3 Règles et situations exceptionnelles Dépasser par la droite? Ravaldo Guerrini (Texte et graphiques) Dépasser par la droite, c est quoi finalement? Quand peut-on ou non devancer ou dépasser par la droite?

Plus en détail

Droits et obligations

Droits et obligations Droits et obligations de titulaires de permis d alcool Permis de restaurant pour vendre Permis de restaurant pour servir Permis de bar Permis de brasserie Permis de taverne Permis de club Le présent document

Plus en détail

Du 1 avril 2015 au 31 mars 2016 FORMULAIRE DE RÉINSCRIPTION AU TABLEAU DES MEMBRES À TITRE DE THÉRAPEUTE CONJUGAL ET FAMILIAL

Du 1 avril 2015 au 31 mars 2016 FORMULAIRE DE RÉINSCRIPTION AU TABLEAU DES MEMBRES À TITRE DE THÉRAPEUTE CONJUGAL ET FAMILIAL er Du 1 avril 2015 au 31 mars 2016 FORMULAIRE DE RÉINSCRIPTION AU TABLEAU DES MEMBRES À TITRE DE THÉRAPEUTE CONJUGAL ET FAMILIAL Réservé à l'ordre Date de réception à l'otstcfq VOIR 015 Vérifiez l'exactitude

Plus en détail

LA REBELLION. a) il faut que l'agent ait agi dans l'exercice de ses fonctions.

LA REBELLION. a) il faut que l'agent ait agi dans l'exercice de ses fonctions. LA REBELLION La rébellion est le fait de s'opposer violemment aux fonctionnaires et officiers publics qui agissent pour l'exécution et l'application des lois. I - ELEMENTS CONSTITUTIFS A - L ELEMENT LEGAL

Plus en détail

Manuel des Cartes du parc automobile d ARI Edition du Gouvernement du Canada

Manuel des Cartes du parc automobile d ARI Edition du Gouvernement du Canada Manuel des Cartes du parc automobile d ARI Edition du Gouvernement du Canada Garder cette brochure à portée de main, dans le véhicule. Guide pour les utilisateurs de la carte du gouvernement du Canada

Plus en détail

Bail commercial. Entre, société par actions dont le siège social est situé

Bail commercial. Entre, société par actions dont le siège social est situé Bail commercial Entre, société par actions dont le siège social est situé au, ici représentée par son/sa président(e),, autorisé(e) à cet effet, tel qu'il (elle) le déclare;(ci-après désigné le "Locateur")

Plus en détail

Les articles modifiés par la loi Macron au 30 janvier 2015

Les articles modifiés par la loi Macron au 30 janvier 2015 Les articles modifiés par la loi Macron au 30 janvier 2015 Pour faciliter lecture, les textes nouveaux ou ajouts à des textes existants figurent en bleu, les suppressions en rouge. Les textes en noir ne

Plus en détail

LES VOITURES DE TOURISME AVEC CHAUFFEUR

LES VOITURES DE TOURISME AVEC CHAUFFEUR PREFECTURE DE LA MANCHE DIRECTION DES LIBERTES PUBLIQUES ET DE LA REGLEMENTATION Bureau de la Circulation LES VOITURES DE TOURISME AVEC CHAUFFEUR Code des transports Articles L 3120-1 à L 3120-5 Articles

Plus en détail

Charte informatique. Ce document n est qu un exemple. Il doit être adapté à chaque entreprise selon ses moyens et ses nécessités.

Charte informatique. Ce document n est qu un exemple. Il doit être adapté à chaque entreprise selon ses moyens et ses nécessités. Charte informatique Ce document n est qu un exemple. Il doit être adapté à chaque entreprise selon ses moyens et ses nécessités. Préambule L'entreprise < NOM > met en œuvre un système d'information et

Plus en détail

Phoenix Roller In line Hockey a.s.b.l.

Phoenix Roller In line Hockey a.s.b.l. Règlement d Ordre Intérieur 1. Objectifs Le club a pour objectifs: de promouvoir le Roller In Line Hockey pour le loisir et la compétition, en organisant des séances d'initiations, d'entraînements et de

Plus en détail

Rapport final d'enquête partiel fourni ultérieurement. le Service d'enquête sur les accidents des transports publics

Rapport final d'enquête partiel fourni ultérieurement. le Service d'enquête sur les accidents des transports publics Unfalluntersuchungsstelle Bahnen und Schiffe UUS Service d enquête sur les accidents des transports publics SEA Servizio d inchiesta sugli infortuni dei trasporti pubblici SII Investigation bureau for

Plus en détail

Règlements du concours de Tourisme Côte-Nord «Cet été, ne perdez pas le Nord» AUCUN ACHAT REQUIS Premier volet du concours Du 2 au 25 mai 2015

Règlements du concours de Tourisme Côte-Nord «Cet été, ne perdez pas le Nord» AUCUN ACHAT REQUIS Premier volet du concours Du 2 au 25 mai 2015 Règlements du concours de Tourisme Côte-Nord «Cet été, ne perdez pas le Nord» AUCUN ACHAT REQUIS Premier volet du concours Du 2 au 25 mai 2015 Ce concours s adresse aux résidents du Québec. Les participants

Plus en détail

Du 1 avril 2013 au 31 mars 2014 DEMANDE D'ADMISSION/ FORMULAIRE D'INSCRIPTION AU TABLEAU DES MEMBRES À TITRE DE TRAVAILLEUR SOCIAL

Du 1 avril 2013 au 31 mars 2014 DEMANDE D'ADMISSION/ FORMULAIRE D'INSCRIPTION AU TABLEAU DES MEMBRES À TITRE DE TRAVAILLEUR SOCIAL er Du 1 avril 2013 au 31 mars 2014 DEMANDE D'ADMISSION/ FORMULAIRE D'INSCRIPTION AU TABLEAU DES MEMBRES À TITRE DE TRAVAILLEUR SOCIAL Étape 1 VOIR 015 Pour assurer le bon traitement de votre dossier, il

Plus en détail

RAPPORT D'ENQUÊTE SUR ÉVÉNEMENT AÉRONAUTIQUE

RAPPORT D'ENQUÊTE SUR ÉVÉNEMENT AÉRONAUTIQUE RAPPORT D'ENQUÊTE SUR ÉVÉNEMENT AÉRONAUTIQUE IMPACT SANS PERTE DE CONTRÔLE CARGAIR LTÉE CESSNA 172N C-GBZG INLET SAINT-PAUL (TERRE-NEUVE) 22 JUILLET 1996 RAPPORT NUMÉRO A96A0134 Le Bureau de la sécurité

Plus en détail

Synthèse SYNTHESE - 1 - DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT. Service du climat et de l efficacité énergétique

Synthèse SYNTHESE - 1 - DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT. Service du climat et de l efficacité énergétique DIRECTION GENERALE DE L ENERGIE ET DU CLIMAT Service du climat et de l efficacité énergétique Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique Synthèse SYNTHESE Prise en compte de l'élévation

Plus en détail

EXIGENCES MINIMALES RELATIVES À LA PROTECTION DES RENSEIGNEMENTS PERSONNELS LORS DE SONDAGES RÉALISÉS PAR UN ORGANISME PUBLIC OU SON MANDATAIRE

EXIGENCES MINIMALES RELATIVES À LA PROTECTION DES RENSEIGNEMENTS PERSONNELS LORS DE SONDAGES RÉALISÉS PAR UN ORGANISME PUBLIC OU SON MANDATAIRE EXIGENCES MINIMALES RELATIVES À LA PROTECTION DES RENSEIGNEMENTS PERSONNELS LORS DE SONDAGES RÉALISÉS PAR UN ORGANISME PUBLIC OU SON MANDATAIRE JUIN 1999 Exigences minimales relatives à la protection des

Plus en détail

» Le passeport des Baleines «

» Le passeport des Baleines « » Le passeport des Baleines «Documentation destinée aux enseignants, aux parents et leurs enfants Baleines en danger! Les baleines sont vraiment des animaux particuliers, comprenant un grand nombre d espèces

Plus en détail

Questionnaire de déclaration du risque Assurance de responsabilité civile Voyages ou séjours (Organisation ou vente)

Questionnaire de déclaration du risque Assurance de responsabilité civile Voyages ou séjours (Organisation ou vente) 53, rue la Boétie 75008 Paris, Tel : 01 74 85 50 52 Fax : 01 72 77 90 37 www.chapka.fr, email = info@chapka.fr Société de courtage d assurances. SARL au capital de 10.000 N de RCS Paris B 441 201 035 Siège:

Plus en détail

POLITIQUE SUR LA SÉCURITÉ LASER

POLITIQUE SUR LA SÉCURITÉ LASER Date d entrée en vigueur: 30 aout 2011 Remplace/amende: VRS-51/s/o Origine: Vice-rectorat aux services Numéro de référence: VPS-51 Les utilisateurs de lasers devront suivre les directives, la politique

Plus en détail

RÈGLEMENT 1 0 0 5-05. Règlement sur les systèmes d'alarme.

RÈGLEMENT 1 0 0 5-05. Règlement sur les systèmes d'alarme. RÈGLEMENT 1 0 0 5-05 Règlement sur les systèmes d'alarme. CONSIDÉRANT QUE le Conseil désire réglementer l'installation et le fonctionnement des systèmes d'alarme sur le territoire de la municipalité; CONSIDÉRANT

Plus en détail

Le Crabe commun des eaux côtières du Québec

Le Crabe commun des eaux côtières du Québec Pêches et Océans Canada Sciences Fisheries and Oceans Canada Science MPO Sciences Région Laurentienne Rapport sur l état des stocks C-2 (21) 5 16B 16A 17A-C D 16C 16D 16E YZ E-X A-C Le Crabe commun des

Plus en détail

LE DÉCRET SOLS RÉFÉRENCES RÉGLEMENTAIRES NOTIONS IMPORTANTES SOL TERRAIN BANQUE DE DONNÉE DE L'ETAT DES SOLS (BDES)

LE DÉCRET SOLS RÉFÉRENCES RÉGLEMENTAIRES NOTIONS IMPORTANTES SOL TERRAIN BANQUE DE DONNÉE DE L'ETAT DES SOLS (BDES) LE DÉCRET SOLS Dernière révision du document : juillet 2012 RÉFÉRENCES RÉGLEMENTAIRES Décret du 5 décembre 2008 (MB 18/02/2009 & 6/03/2009) relatif à la gestion des sols, modifié par le décret programme

Plus en détail

Assurance Responsabilité Civile liée aux Yachts

Assurance Responsabilité Civile liée aux Yachts Assurance Responsabilité Civile liée aux Yachts Comprehensive Cover. Exceptional Service. Le Club Principales caractéristiques de notre produit: Grâce à sa stabilité financière, à sa longue expérience

Plus en détail

CODE DE CONDUITE POUR UNE PECHE RESPONSABLE

CODE DE CONDUITE POUR UNE PECHE RESPONSABLE CODE DE CONDUITE POUR UNE PECHE RESPONSABLE ORGANISATION DES NATIONS UNIES POUR L'ALIMENTATION ET L'AGRICULTURE Rome, 1995 Réimpression, 1996 Référence bibliographique: FAO. Code de conduite pour une pêche

Plus en détail

CHARTE D UTILISATION DU VEHICULE

CHARTE D UTILISATION DU VEHICULE CHARTE D UTILISATION DU VEHICULE 1 A. MODALITÉS DE MISE A DISPOSITION DU VÉHICULE RESERVATION 1) Faire la demande auprès du CDH53, définir la date à laquelle vous viendrez chercher le véhicule (hors samedi

Plus en détail

RÈGLEMENT N O 9. Règlement sur l utilisation des actifs informatiques et de télécommunication. du Cégep de l'abitibi-témiscamingue

RÈGLEMENT N O 9. Règlement sur l utilisation des actifs informatiques et de télécommunication. du Cégep de l'abitibi-témiscamingue RÈGLEMENT N O 9 Règlement sur l utilisation des actifs informatiques et de télécommunication du Cégep de l'abitibi-témiscamingue Adopté à la réunion ordinaire du Conseil d administration, le 22 juin 2004

Plus en détail

CODE DU TRAVAIL Art. R. 233-15 Art. R. 233-16 Art. R. 233-17 Art. R. 233-18

CODE DU TRAVAIL Art. R. 233-15 Art. R. 233-16 Art. R. 233-17 Art. R. 233-18 CODE DU TRAVAIL Art. R. 233-15.- Les éléments mobiles de transmission d'énergie ou de mouvements des équipements de travail présentant des risques de contact mécanique pouvant entraîner des accidents doivent

Plus en détail

N/Réf. : CODEP-PRS-2010-037299 Monsieur le Directeur Institut Gustave Roussy (IGR) 39, rue Camille Desmoulins 94800 VILLEJUIF

N/Réf. : CODEP-PRS-2010-037299 Monsieur le Directeur Institut Gustave Roussy (IGR) 39, rue Camille Desmoulins 94800 VILLEJUIF RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE PARIS N/Réf. : CODEP-PRS-2010-037299 Monsieur le Directeur Institut Gustave Roussy (IGR) 39, rue Camille Desmoulins 94800 VILLEJUIF Paris, le 06 juillet 2010 Objet : Inspection

Plus en détail

CONSOLIDATION ADMINISTRATIVE RÈGLEMENT NUMÉRO: 1 8 3 7

CONSOLIDATION ADMINISTRATIVE RÈGLEMENT NUMÉRO: 1 8 3 7 PROVINCE DE QUÉBEC COMTÉ DE DEUX-MONTAGNES ADMINISTRATIVE RÈGLEMENT NUMÉRO: 1 8 3 7 RÈGLEMENT CONCERNANT LA BIBLIOTHÈQUE MUNICIPALE. À une séance ordinaire du Conseil municipal de la Ville de Saint-Eustache

Plus en détail

AÉRIENNE UNE STRATÉGI. Organisation. n de l aviation. Montréal, 19 1.1. SOMMAIRE et à moyen terme. la surveillance. fusion de. tions du 5.3.

AÉRIENNE UNE STRATÉGI. Organisation. n de l aviation. Montréal, 19 1.1. SOMMAIRE et à moyen terme. la surveillance. fusion de. tions du 5.3. Organisation n de l aviation civile internationale NOTE DE TRAVAIL AN-Conf/12-WP/146 31/10/12 Français et anglais seulement 1 DOUZIÈME CONFÉRENCE DE NAVIGATION AÉRIENNE Montréal, 19 30 novembre 2012 Point

Plus en détail

LES SERVICES ET UTILISATION DU RADAR

LES SERVICES ET UTILISATION DU RADAR LES SERVICES ET UTILISATION DU RADAR A partir du grade : et programme examen du grade et supérieurs 1. FONCTIONNEMENT DES RADAR : Les radars de contrôles aériens sont des instruments de télédétection utilisés

Plus en détail

GESTIONS DE CRISE Gestion de crise et coopération au niveau d'un groupe européen

GESTIONS DE CRISE Gestion de crise et coopération au niveau d'un groupe européen GESTIONS DE CRISE Gestion de crise et coopération au niveau d'un groupe européen Crisis management Crisis management and cooperation in a European group Oléagineux, Corps Gras, Lipides. Volume 7, Numéro

Plus en détail

CHARTE D UTILISATION DES MATERIELS, DE L INTERNET, DES RESEAUX ET DES SERVICES MULTIMEDIAS DANS LE CADRE EDUCATIF DE L ETABLISSEMENT SCOLAIRE

CHARTE D UTILISATION DES MATERIELS, DE L INTERNET, DES RESEAUX ET DES SERVICES MULTIMEDIAS DANS LE CADRE EDUCATIF DE L ETABLISSEMENT SCOLAIRE CHARTE D UTILISATION DES MATERIELS, DE L INTERNET, DES RESEAUX ET DES SERVICES MULTIMEDIAS DANS LE CADRE EDUCATIF DE L ETABLISSEMENT SCOLAIRE ENTRE : L établissement scolaire Jean Baptiste de la Salle,

Plus en détail

Les résultats Clefs du Sommet

Les résultats Clefs du Sommet Les résultats Clefs du Sommet Le Sommet a réaffirmé le développement durable comme un élément central de l'ordre du jour international et a donné la nouvelle impulsion à l'action globale(mondiale) pour

Plus en détail