ACCORD COMMERCIAL AVEC LE MERCOSUR UN ÉNORME POTENTIEL COMMERCIAL POUR L UE ET LA FRANCE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "ACCORD COMMERCIAL AVEC LE MERCOSUR UN ÉNORME POTENTIEL COMMERCIAL POUR L UE ET LA FRANCE"

Transcription

1 ACCORD COMMERCIAL AVEC LE MERCOSUR UN ÉNORME POTENTIEL COMMERCIAL POUR L UE ET LA FRANCE Les négociations en cours avec le Mercosur concernent les quatre pays fondateurs du Mercosur que sont l Argentine, le Brésil, le Paraguay et l Uruguay : Une région qui compte 260 millions de consommateurs. La 7e économie mondiale et le 5ème marché mondial, avec un produit intérieur brut de plus de milliards d euros. Des marchés encore fermés avec des barrières tarifaires et non-tarifaires élevées. L UE exporte pour 42 milliards d euros de biens (chiffres 2016) et 22 milliards de services (2015). Une destination importante pour les investissements européens, avec un stock d investissement de 378 milliards d euros en Le commerce est essentiel à la croissance et l emploi dans l Union européenne. Un milliard d euros d exportation soutient emplois au sein de l UE. Le Mercosur et la France La France est l un des Etats-Membres qui bénéficierait le plus de cet accord. La France est le deuxième fournisseur de biens et de services du Mercosur parmi les pays de l Union européenne (derrière l Allemagne). La France exporte chaque année quelque 6 milliards d euros de biens (2016) et 3 milliards d euros de services (2015) vers le Mercosur. Vis-à-vis du Mercosur, elle est : milliards +3 d euro Le premier exportateur européen dans l aéronautique Le second exportateur de services Le troisième exportateur de produits pharmaceutiques et de produits chimiques Le troisième exportateur de produits de la plasturgie Le quatrième fournisseur d instruments de précision et d instruments de mesure

2 Les exportations françaises sont des produits à haute valeur ajoutée qui ont un fort taux de création d emplois. En 2016 la France a importé pour 3 milliards d euros de biens du Mercosur. Plus de la moitié de ces importations sont des matières premières dont dépendent les éleveurs et les producteurs français, comme le soja (1/4 des importations françaises provenant du Mercosur), les graines de café et, le minerai de fer. Agriculture : des opportunités à saisir Depuis le lancement des négociations avec le Mercosur en 1999, l agriculture européenne est devenue beaucoup plus compétitive. L UE est ainsi devenue le 1er exportateur mondial de produits agricoles. Les exportations françaises, selon une étude d impact économique (2011) : Ces chiffres sont liés aux droits de douane élevés dans ces secteurs, jusqu à pour les produits les plus importants, par exemple textiles (), voitures (), produits laitiers (28%), chocolats et bonbons (20%), spiritueux (jusqu à ), champagne (20% au Brésil, en Argentine), d autres vins (20%). 20% 20% 20% 28% Les produits agricoles et agro-alimentaires ne représentent aujourd hui que 5 % des exportations européennes vers le Mercosur. Il s agit essentiellement de produits à haute valeur ajoutée. La France est le premier exportateur de produits laitiers (notamment de fromages) dans le Mercosur, ainsi que de vins et spiritueux. Un accord réduirait significativement ou pourrait même éliminer les restrictions tarifaires et non-tarifaires existant sur ces exportations, apportant des bénéfices tangibles pour le secteur agricole et alimentaire européen. Sur un marché de 260 millions de consommateurs, le potentiel de croissance est considérable. Le Mercosur est un marché clé pour les exportations européennes d huile d olive, de pommes de terre congelées, de malt, de pâtes, de chocolat, de fruits et légumes (notamment de poires, de prunes, de kiwis et de pommes) de vins et de spiritueux, comme la vodka ou le whisky. Les exportateurs de ces produits qui sont très souvent à haute valeur ajoutée bénéficieraient directement de l élimination des droits de douane à l importation. Pour les produits comme les produits laitiers, nos exportations vers le Mercosur restent aujourd hui à des niveaux très limités en comparaison de ce qu on observe dans les pays du voisinage du Mercosur ou sur des marches comparables, du fait des droits de douane prohibitifs sur certains produits clés. L accord traitera aussi de la question de l accès aux matières premières, et notamment des taxes à l exportation qui sont imposées par le Mercosur sur certains produits très utilisés par les Européens comme le soja. L objectif est de garantir une meilleure sécurité d approvisionnement et un meilleur prix pour les éleveurs européens, qui sont très dépendants du Mercosur pour l alimentation du bétail. L accord devrait également garantir un niveau élevé de protection pour les nombreuses boissons et produits alimentaires européens qui bénéficient en Europe d une indication géographique établissant leur lien avec une région bien spécifique. Du fait des liens historiques entre les pays européens et du Mercosur, le Mercosur est en effet une région où les produits européens traditionnels font très souvent l objet de copies et beaucoup de produits français traditionnels ne jouissent aujourd hui que d une

3 protection limitée. Le chapitre de l accord sur les indications géographiques devrait inclure des dizaines de produits français, parmi lesquels les fromages, les charcuteries et les vins les plus réputés, leur offrant au Mercosur le même niveau de protection que celui dont ils bénéficient en Europe. L accord inclut un chapitre sur la sécurité des aliments et sur la santé animale et végétale (questions sanitaires et phytosanitaires). Entre autres choses, les dispositions correspondantes faciliteront l enregistrement des établissements autorisés à exporter et garantira que les audits effectués dans ce domaine sont effectués de manière effective et transparente. Tout en protégeant les produits sensibles Dans certaines filières agricoles, l UE et le Mercosur sont parfaitement complémentaires et atteignent leur pic de production à des moments différents de l année, du fait de leur localisation dans l hémisphère nord et l hémisphère sud. D autres produits, comme le bœuf, l éthanol et le sucre, sont qualifiés de produits sensibles du point de vue européen. Pour conclure cet accord, il est inévitable d octroyer un certain accès au marché au pays du Mercosur dans ces produits, car ils font partie de leurs principaux produits d exportation. Toute ouverture illimitée et incontrôlée est cependant exclue. Il existe des mécanismes, comme les contingents tarifaires, qui permettent à l UE d octroyer une ouverture limitée au Mercosur sur ces produits, tout en sauvegardant les intérêts des producteurs européens. Dans le cadre de ces contingents tarifaires, les pays du Mercosur sont autorisés à exporter à droit réduit un volume de marchandises qui a été préalablement agréé. et en maintenant des normes européennes rigoureuses Les standards de sécurité alimentaire de l UE resteront les mêmes. Aucun accord commercial ne peut affecter la capacité de l UE de prendre les dispositions nécessaires en cas de risque pour la santé. Le Mercosur est déjà une source majeure d importation de viande bovine et de volaille pour l UE. Toutes les importations doivent respecter les normes européennes en matière de sécurité alimentaire, qui sont extrêmement rigoureuses. L accord avec le Mercosur ne changera rien à cela. A l inverse, le chapitre sur la sécurité alimentaire et la santé végétale et animale renforcera la coopération avec les autorités des pays partenaires et permettra, grâce à un système de notifications plus direct et plus efficace, d accélérer l échange d informations sur les risques potentiels. Les principaux gains pour les entreprises européennes 1. Elimination de droits de douanes L accord éliminera les droits de douane très élevés dans les secteurs clés, y compris ceux où le volume des échanges est déjà élevé : voitures et pièces détachées machines 20- produits chimiques produits pharmaceutiques

4 Ceci profitera aussi aux secteurs où le commerce a jusqu à présent été limité à un niveau extrêmement limité du fait de droits de douanes prohibitifs, par example aux produits textiles, un secteur où les exportations vers le Mercosur restent très limitées en comparaison des pays voisins, à cause des droit de douane de l ordre de pour l habillement et pour les chaussures et de 26% pour les tissus. Les nombreuses entreprises européennes déjà établies dans les pays du Mercosur seront en mesure d importer des pièces de rechange et des biens intermédiaires plus facilement, ce qui favorisera leur compétitivité Un accès privilégié Un accès privilégié à son marché par rapport à ce qu il offre aux entreprises non-européennes. L UE sera la première puissance commerciale de son niveau à conclure un tel accord avec le Mercosur, ce qui lui permettra de bénéficier d une prime du premier entrant sur le marché. 3. Prise en compte des barrières non-tarifaires Les deux parties de l accord vont simplifier leurs procédures douanières respectives et travailler ensemble plus étroitement sur les questions de standard et de réglementations techniques, afin d éviter que des différences injustifiées n handicapent les échanges entre les deux blocs. 4. Services and investissement Les engagements pris par les pays du Mercosur dans le cadre de l OMC sont relativement limités. L accord diminuera les nombreuses barrières de toutes sortes qui empêchent les entreprises européennes de fournir des services dans les pays du Mercosur. Les fournisseurs européens de services sont présentes au Mercosur, principalement dans les technologies de l information, les télécoms, les services aux entreprises, les services financiers et les transports, pour un volume d affaire de 21,5 Mds. L accord pourrait ouvrir plus avant le marché des services dans le Mercosur et apporter une plus grande sécurité juridique aux fournisseurs européens. C st particulièrement important pour la France, qui était en 2015 le 2ème plus grand fournisseur européen de services du Mercosur, avec près de 3 milliards de services fournis, notamment dans les transports, le tourisme, les technologies de l information et les services aux entreprises. 5. Marchés publics Les pays du Mercosur ne sont pas membres de l Accord sur les Marchés Publics à l OMC. Cela signifie que les marchés publics importants restent très souvent inaccessibles aux entreprises européennes. L accord entre l UE et le Mercosur a pour but de permettre aux entreprises européennes de participer aux appels d offres dans les pays du Mercosur, comme c est déjà le cas aujourd hui pour les entreprises du Mercosur dans les pays membres de l UE. 6. Dispositions concernant les petites et moyennes entreprises (PME) Les PME représentent 94% de toutes les entreprises françaises actives à l exportation. L accord a pour objectif d assister les entreprises européennes, quelle que soit leur taille, et en particulier les PME. Les PME sont souvent dissuadées de se développer sur de nouveaux marchés du fait de contraintes bureaucratiques inutiles en douane, d exigences de certification et de tests coûteux, et elles peinent dans certains cas à comprendre les exigences réglementaires et les procédures à suivre pour commercialiser leurs produits. Grâce à cet accord, l UE et le Mercosur vont mettre en place des plateformes en ligne qui donneront aux PME un accès facilité à l information nécessaire sur les exigences à l importation et leur permettront de profiter pleinement des dispositions préférentielles contenues dans l accord.

5 Une contribution au developpement durable Tant l UE que le Mercosur restent engagés à mettre en œuvre l accord de Paris sur le climat. Dans ce cadre, l engagement du Brésil inclut les actions pour combattre la déforestation. L accord va: Inclure un chapitre dédié au commerce et au développement durable. Cela va permettre de renforcer les relations commerciales et l investissement tout en respectant pleinement l environnement. Il couvrira les points comme la gestion durable des forêts, la protection de la faune et de la flore et le respect des droits de travailleurs. Créer un nouveau forum de discussion pour rendre le commerce plus durable. Permettre aux deux parties de travailler étroitement pour une agriculture plus durable, par exemple en promouvant le bien-être animal et cherchant des solutions au problème de résistance aux antibiotiques. Assurer l accès pour tous aux médicaments à des prix abordables. Garantir le droit des Etats de réguler. Aborder, dans la partie de l accord d association dédiée au dialogue politique les questions des droits des communautés indigènes. Inclure des dispositions sur la société civile en lui donnant la possibilité de suivre de la mise en œuvre de l accord, y compris pour les questions environnementales. Inclure des dispositions visées à promouvoir la conduite responsable des entreprises. Plusieurs initiatives existent déjà, y compris la moratoire sur le soja entre les entreprises productrices, les ONG environnementales et le gouvernement au Brésil et les initiatives du secteur privé de l UE sur des chaînes d approvisionnement. avec un impact zéro sur la déforestation.

FRUITS ET LEGUMES FRAIS DONNEES REGLEMENTAIRES UE

FRUITS ET LEGUMES FRAIS DONNEES REGLEMENTAIRES UE FRUITS ET LEGUMES FRAIS DONNEES REGLEMENTAIRES UE I. AGRUMES 1. Oranges - Du 1 er décembre au 31 mai Les oranges bénéficient d un contingent en exonération des droits de douane advalorem et à prix d entrée

Plus en détail

«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas»

«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» Énergie «L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» La première fonction de l agriculture est la valorisation de l énergie solaire en énergie alimentaire par la photosynthèse.

Plus en détail

Procédures pour l importation et l exportation de denrées alimentaires et objets usuels

Procédures pour l importation et l exportation de denrées alimentaires et objets usuels Service de la consommation et des affaires vétérinaires 155, ch.des Boveresses 1066 EPALINGES Téléphone +41 (0)21 316 43 43 Télécopie +41 (0)21 316 43 00 Courriel info.labocant@vd.ch Procédures pour l

Plus en détail

MegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant

MegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant MegaStore Manager Simulation de gestion d un hypermarché.......... Manuel du Participant 1. Introduction 1.1. La simulation de gestion Vous allez participer à une simulation de gestion. Cette activité

Plus en détail

STATISTIQUE DU COMMERCE E X T E R I E U R STATISTIQUES DU COMM- MERCE EXTERIEUR

STATISTIQUE DU COMMERCE E X T E R I E U R STATISTIQUES DU COMM- MERCE EXTERIEUR STATISTIQUE DU COMM- DU COMMERCE MERCE EXTERIEUR E X T E R I E U R Statistique du Commerce Extérieur S E R I E Statistiques du commerce extérieur I - Introduction Les statistiques des échanges commerciaux

Plus en détail

Négociations commerciales entre le Canada et l Union européenne 7. Les obstacles techniques au commerce et la coopération en matière de réglementation

Négociations commerciales entre le Canada et l Union européenne 7. Les obstacles techniques au commerce et la coopération en matière de réglementation Négociations commerciales entre le Canada et l Union européenne 7. Les obstacles techniques au commerce et la coopération en matière de réglementation Publication n o 2010-58-F Le 3 septembre 2010 Alexandre

Plus en détail

(BO N 4181 DU 16.12. 1992) (BO N 4259 DU 15.6. 1994) (BO N 4482 DU 15.05. 1997) Dispositions générales. Article premier

(BO N 4181 DU 16.12. 1992) (BO N 4259 DU 15.6. 1994) (BO N 4482 DU 15.05. 1997) Dispositions générales. Article premier Loi n 13-89 relative au commerce extérieur promulguée par le dahir n 1-91-261 du 13 joumada I 1413 (9 novembre 1992), telle quelle a été modifiée et complétée par la loi n 37-93 promulguée par le dahir

Plus en détail

GROUPE CASINO. L INTEGRATION DU DEVELOPPEMENT DURABLE DANS LE CHOIX DES PRODUITS. Claudine QUENTEL et Philippe IMBERT.02.07.

GROUPE CASINO. L INTEGRATION DU DEVELOPPEMENT DURABLE DANS LE CHOIX DES PRODUITS. Claudine QUENTEL et Philippe IMBERT.02.07. GROUPE CASINO. L INTEGRATION DU DEVELOPPEMENT DURABLE DANS LE CHOIX DES PRODUITS Claudine QUENTEL et Philippe IMBERT.02.07.2007/Uniagro Sommaire ORGANISATION DU GROUPE CASINO LES PRODUITS «TERRE ET SAVEUR»

Plus en détail

Synthèse. Loyauté et réciprocité des échanges entre l Union Européenne et les pays tiers. Propositions et axes de réflexion des IEEC

Synthèse. Loyauté et réciprocité des échanges entre l Union Européenne et les pays tiers. Propositions et axes de réflexion des IEEC Synthèse Loyauté et réciprocité des échanges entre l Union Européenne et les pays tiers Propositions et axes de réflexion des IEEC Introduction Alors que les marchés internationaux ont toujours été un

Plus en détail

L industrie agricole et agroalimentaire canadienne et l économie mondiale en 2013-2014

L industrie agricole et agroalimentaire canadienne et l économie mondiale en 2013-2014 L industrie agricole et agroalimentaire canadienne et l économie mondiale en 2013-2014 Introduction L économie canadienne est tributaire des exportations, en particulier dans les secteurs agricoles et

Plus en détail

Le secteur agroalimentaire en Provence-Alpes-Côte d Azur

Le secteur agroalimentaire en Provence-Alpes-Côte d Azur Le secteur agroalimentaire en Provence-Alpes-Côte d Azur Panorama élaboré à partir d une étude Ernst & Young pour la MDER mai 2004 Sommaire Organisation de la filière en PACA p. 3 Chiffres clés p. 4 Productions

Plus en détail

«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY

«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY «Cette action contribue au PNNS». «IL FAIT BIO À CHÂTEAU THIERRY A Chateau Thierry, la Municipalité souhaite développer les produits BIO et issus de filières de proximité dans les menus de la restauration

Plus en détail

La Commission européenne

La Commission européenne La Commission européenne Représentation en France Conférence - débat «Le Partenariat pour le Commerce et l Investissement entre les Etats-Unis et l'europe» Olivier Coppens, Attaché économique Représentation

Plus en détail

Food Safety System Certification 22000. fssc 22000

Food Safety System Certification 22000. fssc 22000 Food Safety System Certification 22000 fssc 22000 CERTIFICATION DES SYSTÈMES DE SÉCURITÉ ALIMENTAIRE 22000 Le protocole de certification des systèmes de sécurité alimentaire 22000 (FSSC 22000) est un protocole

Plus en détail

AVANT-PROPOS. Directeur de la Division de la statistique de la FAO

AVANT-PROPOS. Directeur de la Division de la statistique de la FAO AVANT-PROPOS L Annuaire statistique de la FAO fournit une sélection d indicateurs par pays sur l alimentation et l agriculture. Les données proviennent de FAOSTAT, la base de données statistique de l Organisation

Plus en détail

Premières estimations pour 2014 Le revenu agricole réel par actif en baisse de 1,7% dans l UE28

Premières estimations pour 2014 Le revenu agricole réel par actif en baisse de 1,7% dans l UE28 194/2014-15 décembre 2014 Premières estimations pour 2014 Le revenu agricole réel par actif en baisse de 1,7% dans l UE28 Par rapport à 2013, le revenu agricole réel par actif 1 a diminué de 1,7% dans

Plus en détail

P A P 1 D 1 -S 1 S 1 D 1

P A P 1 D 1 -S 1 S 1 D 1 Les instruments de la politique commerciale - tarifs: source de revenu et protection des industries nationales -pécifiques : montant fixe par unité de bien importé (exemple: 100 par voiture) -Ad-valorem:

Plus en détail

Analyse prospective des marchés à l export, par secteur et par pays

Analyse prospective des marchés à l export, par secteur et par pays Analyse prospective des marchés à l export, par secteur et par pays Octobre 2012 RESULTATS DE L ANALYSE DES COUPLES PAYS/SECTEURS PORTEURS EN FAVEUR DU COMMERCE EXTERIEUR DE LA FRANCE SOMMAIRE Résumé 2

Plus en détail

COMMUNIQUE DU DEPARTEMENT DU COMMERCE EXTERIEUR *** AVIS AUX IMPORTATEURS N 04/13

COMMUNIQUE DU DEPARTEMENT DU COMMERCE EXTERIEUR *** AVIS AUX IMPORTATEURS N 04/13 Royaume du Maroc Ministère de l Industrie, du Commerce et des Nouvelles Technologies Département du Commerce Extérieur Direction de la Politique des Echanges Commerciaux COMMUNIQUE DU DEPARTEMENT DU COMMERCE

Plus en détail

Qu est-ce que le commerce équitable?

Qu est-ce que le commerce équitable? FAIR TRADE RULES! Position du mouvement international du commerce équitable en vue de la VI e Conférence Ministérielle de l OMC à Hong Kong Octobre 2005 «Nous, les membres du mouvement international du

Plus en détail

TEXTES REGLEMENTAIRES EN MATIERE D IMPORT-EXPORT AU BENIN

TEXTES REGLEMENTAIRES EN MATIERE D IMPORT-EXPORT AU BENIN TEXTES REGLEMENTAIRES EN MATIERE D IMPORT-EXPORT AU BENIN REGLEMENTATIONS INTERNATIONALES L Organisation Mondiale du Commerce La Convention Afrique Caraïbes Pacifique (ACP) et Union Européenne (UE) Regroupements

Plus en détail

PARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE

PARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE PARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE Par Madame F. Bintou DJIBO, COORDONNATRICE DU SYSTÈME DES NATIONS UNIES AU SENEGAL Plan

Plus en détail

Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005. Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005.

Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005. Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005. Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005 Summary in French Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005 Résumé Le soutien accordé aux producteurs

Plus en détail

L AGROALIMENTAIRE DANS BROME-MISSISQUOI C EST: 124 ENTREPRISES PLUS DE 1000 EMPLOIS

L AGROALIMENTAIRE DANS BROME-MISSISQUOI C EST: 124 ENTREPRISES PLUS DE 1000 EMPLOIS FOCUS AGROALIMENTAIRE BROME-MISSISQUOI 2011 L AGROALIMENTAIRE DANS BROME-MISSISQUOI C EST: 124 ENTREPRISES UN CHIFFRE D AFFAIRE ANNUEL DE PRÈS DE 67MILLIONS PLUS DE 1000 EMPLOIS La transformation agroalimentaire

Plus en détail

Tout savoir sur les accords bilatéraux Suisse-UE

Tout savoir sur les accords bilatéraux Suisse-UE Tout savoir sur les accords bilatéraux Suisse-UE Table des matières 1. Introduction Présentation des 7 accords : Qu est-ce que les Accords bilatéraux et que vont-ils changer? Ce qui ne change pas 2. Libre

Plus en détail

Le statut Exportateur agréé. Origine Préférentielle

Le statut Exportateur agréé. Origine Préférentielle Le statut Exportateur agréé Origine Préférentielle Audit l Conseil l Contentieux l Opérateur Economique Agréé l Dédouanement l Régimes douaniers l Accises l Exportateur Agréé l Entrepôt sous douane Pourquoi

Plus en détail

Etendue de l assujettissement aux droits. de lois ou par des ordonnances du Conseil fédéral édictées en vertu de la présente loi.

Etendue de l assujettissement aux droits. de lois ou par des ordonnances du Conseil fédéral édictées en vertu de la présente loi. Loi sur le tarif des douanes (LTaD) 632.10 du 9 octobre 1986 (Etat le 1 er janvier 2013) L Assemblée fédérale de la Confédération suisse, vu les art. 28 et 29 de la constitution 1, vu le message du Conseil

Plus en détail

L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE

L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE I- Champ de l étude L industrie agroalimentaire (IAA) regroupe l ensemble des industries de transformation de matières premières, d origine végétale ou animale, destinées à

Plus en détail

la voie bilatérale reste la meilleure option

la voie bilatérale reste la meilleure option WWW.ELECTIONS.CH FICHE THEMATIQUE : SUISSE-UE la voie bilatérale reste la meilleure option L UE est un des principaux partenaires commerciaux de la Suisse. A l inverse, la Suisse est le deuxième partenaire

Plus en détail

Quelles sont les conditions sociales favorisant les stratégies d'intensification écologique? Petit tour d'horizon international...

Quelles sont les conditions sociales favorisant les stratégies d'intensification écologique? Petit tour d'horizon international... Quelles sont les conditions sociales favorisant les stratégies d'intensification écologique? Petit tour d'horizon international... Véronique LUCAS Angers Entretiens de l'aei 29/10/2010 Mon regard particulier

Plus en détail

LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE?

LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE? LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE? Françoise Lemoine & Deniz Ünal CEPII Quel impact de l expansion chinoise sur l économie mondiale? Rencontres économiques, 18 septembre

Plus en détail

CBI La garantie d un partenariat sur mesure

CBI La garantie d un partenariat sur mesure CBI La garantie d un partenariat sur mesure CBI, l expert pour la promotion des exportations en provenance des pays en développement L achat de produits ou l externalisation d activités dans des pays en

Plus en détail

PROTECTION DE PRODUITS EN IG

PROTECTION DE PRODUITS EN IG PROTECTION DE PRODUITS EN IG Ousman ABDOU Ingénieur Agrométéorologue Expert de l Agriculture en IG Point focal IG/OAPI Direction Générale de l Agriculture Tel: (00227) 90 34 09 28 Email: ous_ab@yahoo.fr

Plus en détail

PREFET DES BOUCHES-DU-RHONE

PREFET DES BOUCHES-DU-RHONE PREFET DES BOUCHES-DU-RHONE DIRECTION DEPARTEMENTALE INTERMINISTERIELLE DE LA PROTECTION DES POPULATIONS Siège : 22, Rue Borde - 13285 MARSEILLE CEDEX 08 Publipostage MARSEILLE, 03.04.2013 Téléphone :

Plus en détail

LA NOMENCLATURE DOUANIERE ET TARIFAIRE (Cameroun)

LA NOMENCLATURE DOUANIERE ET TARIFAIRE (Cameroun) LA NOMENCLATURE DOUANIERE ET TARIFAIRE (Cameroun) Afin de faciliter l application du tarif extérieur commun (application des mêmes droits de douane quelque soit le point d entrée de la marchandise sur

Plus en détail

REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DU COMMERCE

REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DU COMMERCE REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DU COMMERCE Accord d Association entre l Algérie et l Union européenne Nouveau schéma du démantèlement tarifaire des produits industriels et les

Plus en détail

COM(2013) 737 final QUATORZIÈME LÉGISLATURE SESSION ORDINAIRE DE 2013-2014. Le 13 novembre 2013 Le 13 novembre 2013

COM(2013) 737 final QUATORZIÈME LÉGISLATURE SESSION ORDINAIRE DE 2013-2014. Le 13 novembre 2013 Le 13 novembre 2013 COM(2013) 737 final ASSEMBLÉE NATIONALE S É N A T QUATORZIÈME LÉGISLATURE SESSION ORDINAIRE DE 2013-2014 Reçu à la Présidence de l'assemblée nationale Enregistré à la Présidence du Sénat Le 13 novembre

Plus en détail

Comment exporter vers l Union européenne?

Comment exporter vers l Union européenne? Comment exporter vers l Union européenne? Export Helpdesk de l UE Commission européenne, DG Trade Qu est-ce que l Export Helpdesk? Un site web qui vous explique comment exporter vers l UE www.exporthelp.europa.eu

Plus en détail

CASE 44 DOCUMENTS MESURES DE CONTROLE TARIF A L IMPORT

CASE 44 DOCUMENTS MESURES DE CONTROLE TARIF A L IMPORT TABLE DES MATIERES GENERALITES... 2 PLDA TARWEB... 3 AIRWO SUSPENSION TARIFAIRE SUBORDONNÉE À LA PRÉSENTATION D UN CERTIFICAT D APTITUDE AU VOL... 6 APPEU DROIT NON PRÉFÉRENTIEL SOUS LE RÉGIME DE LA

Plus en détail

Liste des diplômes français généralement comparables au niveau du Diplôme d études collégiales en formation technique

Liste des diplômes français généralement comparables au niveau du Diplôme d études collégiales en formation technique Liste des diplômes français généralement s au niveau du Diplôme en formation technique Ministère de l Immigration et des Communautés culturelles Service d évaluation comparative des études effectuées hors

Plus en détail

MINISTERE DE L'AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT (articles L361-1à 21 et D361-1 à R361-37 du Code rural)

MINISTERE DE L'AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT (articles L361-1à 21 et D361-1 à R361-37 du Code rural) MINISTERE DE L'AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT (articles L3611à 21 et D3611 à R36137 du Code rural) DEMANDE D INDEMNISATION DES PERTES PROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES PERTES DE RECOLTE

Plus en détail

PRODUITS MORTELS LES PESTICIDES DANS LE COTON

PRODUITS MORTELS LES PESTICIDES DANS LE COTON Pe s t i c i d e A c t i o n N e t w o r k U K PRODUITS MORTELS LES PESTICIDES DANS LE COTON Résumé exécutif et Recommendations 5 St Peter s St London N1 8JD Royaume Uni t: +44 (0)20 7359 0440 f: +44 (0)20

Plus en détail

Comment exporter vers l Union européenne?

Comment exporter vers l Union européenne? Comment exporter vers l Union européenne? Export Helpdesk de l UE Commission européenne, DG Trade Qu est-ce que l Export Helpdesk? Un site web qui vous explique comment exporter vers l UE www.exporthelp.europa.eu

Plus en détail

L accord de libre-échange entre l UE et la Corée en pratique

L accord de libre-échange entre l UE et la Corée en pratique Commission européenne Commerce L accord de libre-échange entre l UE et la Corée en pratique La Commission européenne, ou toute autre personne agissant au nom de la Commission, ne peut être tenue responsable

Plus en détail

Analyse tarifaire en ligne (TAO) de l'omc

Analyse tarifaire en ligne (TAO) de l'omc Analyse tarifaire en ligne (TAO) de l'omc L'analyse tarifaire en ligne (TAO) permet d'effectuer des recherches et d'analyser les données tarifaires conservées dans deux bases de données de l'omc, à savoir

Plus en détail

Sustainable Development and Trade Issues. ICTSD Resource Paper No. 3. Isabelle Mamaty Economiste du développement, Congo

Sustainable Development and Trade Issues. ICTSD Resource Paper No. 3. Isabelle Mamaty Economiste du développement, Congo Sustainable Development and Trade Issues ICTSD Resource Paper No. 3 Les pays africains et l Accord sur l agriculture Quelle place pour le développement durable? Isabelle Mamaty Economiste du développement,

Plus en détail

RAPPORT D ETUDE FINAL RAPPORT FINAL

RAPPORT D ETUDE FINAL RAPPORT FINAL Groupe de recherche et d échanges technologiques RAPPORT D ETUDE FINAL Etude prospective sur les mesures de protection nécessaires pour le développement du secteur agricole en Afrique de l Ouest (illustration

Plus en détail

Avis et communications de la. Direction générale des douanes et droits indirects

Avis et communications de la. Direction générale des douanes et droits indirects Avis et communications de la Direction générale des douanes et droits indirects Avis aux importateurs de certains produits agricole et agricoles transformés originaires d Israël L attention des importateurs

Plus en détail

BULLETIN OFFICIEL DES DOUANES ET DES IMPOTS NOTE COMMUNE N 24/2007 R E S U M E. Aménagement des taux de la taxe sur la valeur ajoutée

BULLETIN OFFICIEL DES DOUANES ET DES IMPOTS NOTE COMMUNE N 24/2007 R E S U M E. Aménagement des taux de la taxe sur la valeur ajoutée BULLETIN OFFICIEL DES DOUANES ET DES IMPOTS DIFFUSION GENERALE Documents Administratifs N 2007/05/18 0.1.0.0.1.2. (IMPOTS) Texte n DGI 2007/35 NOTE COMMUNE N 24/2007 O B J E T : Commentaire des dispositions

Plus en détail

FORMATIONS OUVRANT DROIT AU VERSEMENT DE LA TAXE D'APPRENTISSAGE Année Universitaire 2014-2015

FORMATIONS OUVRANT DROIT AU VERSEMENT DE LA TAXE D'APPRENTISSAGE Année Universitaire 2014-2015 FORMATIONS OUVRANT DROIT AU VERSEMENT DE LA TAXE D'APPRENTISSAGE Année Universitaire 2014-2015 Organisme gestionnaire : UNIVERSITE LILLE 1 59655 Villeneuve d'ascq Cedex Siret : 19593559800019 Tél 03 20

Plus en détail

Pourquoi est-il important pour une banque de sécuriser le chiffre d affaires des entreprises agricoles?

Pourquoi est-il important pour une banque de sécuriser le chiffre d affaires des entreprises agricoles? Pourquoi est-il important pour une banque de sécuriser le chiffre d affaires des entreprises agricoles? Pourquoi est-il important pour une banque de sécuriser le chiffre d affaires des entreprises agricoles?

Plus en détail

LIENS DE LA VISITE AVEC LES PROGRAMMES

LIENS DE LA VISITE AVEC LES PROGRAMMES LIENS DE LA VISITE AVEC LES PROGRAMMES Contexte : Il est important de pouvoir justifier la visite professionnelle au point de vue pédagogique. Il existe de nombreuses transversalités entre la visite dans

Plus en détail

Activité B.2.3. Activité B.2.3

Activité B.2.3. Activité B.2.3 Activité B.2.3 Activité B.2.3 Rédaction de guides sur l'environnement des affaires dans les deux pays et sur les modalités et les réglementations à l'exportation. GUIDE SUR LES MODALITES ET LES REGLEME

Plus en détail

SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS PERSPECTIVES

SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS PERSPECTIVES SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS EN TUNISIE, ETATS DES LIEUX ET PERSPECTIVES Mr. Mohamed Chokri REJEB DG CTAA Le 25 septembre 2010 Yasmine Hammamet Plan Sécurité des aliments dans la politique nationale

Plus en détail

Plan. I) Mise en contexte II) Diagnostic III) Les sources de financement IV) Orientation de la politique fiscale V)Conclusion

Plan. I) Mise en contexte II) Diagnostic III) Les sources de financement IV) Orientation de la politique fiscale V)Conclusion Plan I) Mise en contexte II) Diagnostic III) Les sources de financement IV) Orientation de la politique fiscale V)Conclusion 2 I)Mise en contexte Les politiques de développement axées sur la réduction

Plus en détail

Tarif Douanier Commun. Jean-Michel GRAVE Octobre 2014 Présentation 4.1.1

Tarif Douanier Commun. Jean-Michel GRAVE Octobre 2014 Présentation 4.1.1 Tarif Douanier Commun 1 Jean-Michel GRAVE Octobre 2014 Présentation 4.1.1 Plan I. Tarif Douanier Commun II. Nomenclature combinée III. Classement tarifaire IV. Droits du tarif douanier commun 2 I. Tarif

Plus en détail

Définition des variables présentées dans le RICA

Définition des variables présentées dans le RICA Les termes en gras italique sont définis par ailleurs dans le lexique. Les termes en italique désignent des variables explicitement recueillies dans le Rica. A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V

Plus en détail

Détail des cultures de l'exploitation en 2007

Détail des cultures de l'exploitation en 2007 République et Canton de Genève Département des finances Administration fiscale cantonale Formulaire annexe à la déclaration 2007 servant à déterminer le revenu et la fortune professionnels de l'agriculture

Plus en détail

La volatilité des marchés mondiaux des matières premières agricoles et l évolution des prix à la consommation de l alimentation en France

La volatilité des marchés mondiaux des matières premières agricoles et l évolution des prix à la consommation de l alimentation en France N 12 mars 2013 Service du soutien au réseau Sous-direction de la communication, programmation et veille économique Bureau de la veille économique et des prix La volatilité des marchés mondiaux des matières

Plus en détail

ANAIS LE LOGICIEL DE GESTION PRÉVISIONNELLE DE L ENTREPRISE AGRICOLE ET RURALE. Laboratoire Informatique de l ENITA de Bordeaux Tél.

ANAIS LE LOGICIEL DE GESTION PRÉVISIONNELLE DE L ENTREPRISE AGRICOLE ET RURALE. Laboratoire Informatique de l ENITA de Bordeaux Tél. LE LOGICIEL DE GESTION PRÉVISIONNELLE DE L ENTREPRISE AGRICOLE ET RURALE Laboratoire Informatique de l ENITA de Bordeaux Tél. 05 57 35 07 95 PHILOSOPHIE DU LOGICIEL - CONCEPTS DE BASE ET MECANISMES 1.

Plus en détail

Modalités de Contrôle des Connaissances A partir de septembre 2014

Modalités de Contrôle des Connaissances A partir de septembre 2014 Master 1 semestre 1 1 2 3 4 5 6 Intitulé précis de l Communication, bases de données et projet professionnel personnel Domaine Sciences, Techniques et Santé 1 Session 1 / Contrôle continu Note plancher

Plus en détail

Séminaire de présentation du Programme d'appui à la Diversification de l'économie en Algérie

Séminaire de présentation du Programme d'appui à la Diversification de l'économie en Algérie Programme financé par l Union européenne Séminaire de présentation du Programme d'appui à la Diversification de l'économie en Algérie UN SECTEUR FORTEMENT TYPE Mouvement de privatisation de l économie

Plus en détail

Douanes. Contenu 1 / 22

Douanes. Contenu 1 / 22 Le commerce est exposé à la fois aux exigences économiques et aux réglementations et lois fixées par l Etat. Afin de pouvoir prendre les décisions correctes et conformes aux lois, les commerçants doivent

Plus en détail

RÉSUMÉ TECHNIQUE DES RÉSULTATS FINAUX DE LA NÉGOCIATION

RÉSUMÉ TECHNIQUE DES RÉSULTATS FINAUX DE LA NÉGOCIATION Créer des emplois et des occasions pour les Canadiens et Canadiennes RÉSUMÉ TECHNIQUE DES RÉSULTATS FINAUX DE LA NÉGOCIATION Accord de principe RÉSUMÉ TECHNIQUE DES RÉSULTATS FINAUX DE LA NÉGOCIATION

Plus en détail

L entrepôt sous douane La Procédure de Domiciliation Unique (PDU)

L entrepôt sous douane La Procédure de Domiciliation Unique (PDU) L entrepôt sous douane La Procédure de Domiciliation Unique (PDU) Audit l Conseil l Contentieux l Opérateur Economique Agréé l Dédouanement l Régimes douaniers l Accises l Exportateur Agréé l Entrepôt

Plus en détail

Israël WT/TPR/S/272 Page vii RESUME

Israël WT/TPR/S/272 Page vii RESUME Page vii RESUME 1. Israël n'a pas été épargné par les effets de la crise économique mondiale, mais son système financier a relativement bien résisté. Depuis le dernier examen (2006), le PIB réel a augmenté

Plus en détail

L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE : LE PREMIER SECTEUR ECONOMIQUE FRANCAIS

L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE : LE PREMIER SECTEUR ECONOMIQUE FRANCAIS 1 L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE : LE PREMIER SECTEUR ECONOMIQUE FRANCAIS xz Sabrina TONNERRE Juriste Master II Droit des activités économiques Option Droit de l agroalimentaire Sous la direction de Maître

Plus en détail

PAC. ce qui change. vraiment

PAC. ce qui change. vraiment PAC 2014 2020 ce qui change vraiment Dotée d un budget préservé de l ordre de 9,1 milliards par an, la nouvelle pac entrera pleinement en application en 2015 et sera le cadre commun de l agriculture européenne

Plus en détail

ISO26000. La nouvelle norme internationale de Responsabilité Sociétale. -Juin 2012 - En partenariat avec

ISO26000. La nouvelle norme internationale de Responsabilité Sociétale. -Juin 2012 - En partenariat avec ISO26000 En partenariat avec La nouvelle norme internationale de Responsabilité Sociétale -Juin 2012 - ISO 26000 : le fruit d un long travail international d application concrète des principes du Développement

Plus en détail

Enquête industrie Agroalimentaire

Enquête industrie Agroalimentaire [Texte] Enquête industrie Agroalimentaire La CCI de la Vendée a mené, courant 2013, une enquête auprès des entreprises industrielles vendéennes afin d analyser la structuration et l organisation de ces

Plus en détail

GRENADE / GARONNE 30 janvier 2014. Centrale de Restauration MARTEL Maryse LAFFONT, Diététicienne

GRENADE / GARONNE 30 janvier 2014. Centrale de Restauration MARTEL Maryse LAFFONT, Diététicienne LA RESTAURATION SCOLAIRE GRENADE / GARONNE 30 janvier 2014 Centrale de Restauration MARTEL Maryse LAFFONT, Diététicienne LES OBJECTIFS Apporter aux enfants une alimentation de Qualité pour répondre à leurs

Plus en détail

La couverture des risques agricoles

La couverture des risques agricoles PACIFICA - ASSURANCES DOMMAGES La couverture des risques agricoles Patrick Degiovanni Directeur Général Adjoint Page 1 Marrakech, Jeudi 28 octobre 2010 Sommaire Le contexte Les risques du métier en Agriculture

Plus en détail

Agriculture et Finances

Agriculture et Finances Agriculture et Finances Quelles régulations pour une allocation optimale des capitaux? Cahier n 12 Présentation générale du Cahier Dans les systèmes d économie de marché des pays développés comme des pays

Plus en détail

FEDERATION DE RUSSIE Certification GOST R INTRODUCTION OBJECTIFS PRINCIPAUX DE LA CERTIFICATION GOST R CERTIFCAT DE CONFORMITE GOST R

FEDERATION DE RUSSIE Certification GOST R INTRODUCTION OBJECTIFS PRINCIPAUX DE LA CERTIFICATION GOST R CERTIFCAT DE CONFORMITE GOST R INTRODUCTION La certification GOST R a été instaurée par le gouvernement russe en 1993 avec l objectif principal d assurer la sécurité et de protéger la santé et l environnement de la population russe.

Plus en détail

LES CRÉDITS CARBONE, MEILLEURS AVANT JANVIER 2015 COHABITATION DU MARCHÉ VOLONTAIRE ET DU MARCHÉ RÉGLEMENTÉ DU CARBONE

LES CRÉDITS CARBONE, MEILLEURS AVANT JANVIER 2015 COHABITATION DU MARCHÉ VOLONTAIRE ET DU MARCHÉ RÉGLEMENTÉ DU CARBONE LES CRÉDITS CARBONE, MEILLEURS AVANT JANVIER 2015 COHABITATION DU MARCHÉ VOLONTAIRE ET DU MARCHÉ RÉGLEMENTÉ DU CARBONE Gontran Bage Directeur- Développement durable et gestion des GES GES dans le secteur

Plus en détail

Rabat, le 30 décembre 2005 CIRCULAIRE 4976/222

Rabat, le 30 décembre 2005 CIRCULAIRE 4976/222 Rabat, le 30 décembre 2005 CIRCULAIRE 4976/222 OBJET : - Entrée en vigueur de l'accord de Libre Echange conclu entre le Royaume du Maroc et la République de Turquie. REFER : - Correspondance n 18094/003008

Plus en détail

Les émissions de GES au quotidien et les gains possibles

Les émissions de GES au quotidien et les gains possibles Les émissions de GES au quotidien et les gains possibles Un Français émet environ 2,2 tonnes équivalent carbone par an tous gaz à effet de serre confondus (et en tenant compte des puits de carbone que

Plus en détail

Contribution à l introduction :

Contribution à l introduction : Atelier «Bridge Initiative international» L espace des politiques agricoles entre les logiques de la mondialisation et les objectifs de développement Dakar, les 9 et 10 Juin 2005 Contribution à l introduction

Plus en détail

Savoirs traditionnels et indications géographiques

Savoirs traditionnels et indications géographiques Savoirs traditionnels et indications géographiques Philippe Cadre Responsable de la coopération Afrique, et Océan Indien Sommaire! Elément nouveau! Les mécanismes des DPI! Le besoin! Savoirs traditionnels

Plus en détail

Les 5 à 7 du SYRPA. Photographie et évolution de la population agricole professionnelle française

Les 5 à 7 du SYRPA. Photographie et évolution de la population agricole professionnelle française Les 5 à 7 du SYRPA Photographie et évolution de la population Quels enseignements en tirer pour vos actions de communication? Christophe SEMONT 1. Hyltel en quelques mots 2. Les concepts du recensement

Plus en détail

industrie agroalimentaire

industrie agroalimentaire industrie agroalimentaire agro L élaboration des produits agroalimentaires nécessite la mise en place et le contrôle de nombreux procédés et technologies avancées. De la réception des matières premières

Plus en détail

Conditions Générales pour l achat de biens et services

Conditions Générales pour l achat de biens et services Conditions Générales pour l achat de biens et services 1 Champ d application 1.1 Les conditions générales règlent la conclusion, le contenu et l exécution des accords d achat de biens et services. 1.2

Plus en détail

LISTE V AU PROTOCOLE A MAROC. Description des produits

LISTE V AU PROTOCOLE A MAROC. Description des produits LISTE V AU PROTOCOLE A MAROC 04.03 Babeurre, lait et crème caillés, yoghourt, képhir et autres laits et crèmes fermentés ou acidifiés, même concentrés ou additionnés de sucre ou d'autres édulcorants ou

Plus en détail

Votre Réseau est-il prêt?

Votre Réseau est-il prêt? Adapter les Infrastructures à la Convergence Voix Données Votre Réseau est-il prêt? Conférence IDG Communications Joseph SAOUMA Responsable Offre ToIP Rappel - Définition Voix sur IP (VoIP) Technologie

Plus en détail

CONSOLIDATIONS TARIFAIRES, PROTECTION INUTILISÉE ET LIBÉRALISATION DES ÉCHANGES AGRICOLES

CONSOLIDATIONS TARIFAIRES, PROTECTION INUTILISÉE ET LIBÉRALISATION DES ÉCHANGES AGRICOLES Revue économique de l OCDE n 36, 2003/I CONSOLIDATIONS TARIFAIRES, PROTECTION INUTILISÉE ET LIBÉRALISATION DES ÉCHANGES AGRICOLES Peter Walkenhorst et Nora Dihel TABLE DES MATIÈRES Rappel... 256 Questions

Plus en détail

COOPERATION BELGIQUE - BURUNDI Programme 2012 de bourses d études et de stage hors-projet

COOPERATION BELGIQUE - BURUNDI Programme 2012 de bourses d études et de stage hors-projet COOPERATION BELGIQUE - BURUNDI Programme 2012 de bourses d études et de stage hors-projet Les bourses d études ou de stages sont financées par la coopération belge dans le cadre d un accord de coopération

Plus en détail

TABLEAUX STATISTIQUES

TABLEAUX STATISTIQUES Continentalisation Cahier de recherche 9-9 Décembre 199 ----------------------------- COMMERCE, CROISSANCE ET EMPLOI : LE CAS DU MEXIQUE TABLEAUX STATISTIQUES Afef Benessaieh et Christian Deblock Groupe

Plus en détail

Document de consultation sur le cadre pour les négociants fiables

Document de consultation sur le cadre pour les négociants fiables Document de consultation sur le cadre pour les négociants fiables Réunion du Comité consultatif sur les activités commerciales à la frontière (CCACF) Le 1 février 2011 Ottawa 1 Introduction Les programmes

Plus en détail

L Inde, un marché prometteur

L Inde, un marché prometteur Présentation Inde Cahors - 21 Juin 2012 L Inde, un marché prometteur Mme. Laura Prasad Secrétaire Général IFCCI Agenda 1. Présentation macro-économique de l Inde 2. Pratique des affaires en Inde 3. Opération

Plus en détail

Information destinée aux patients et aux proches. Comment s alimenter après une diverticulite? Conseils nutritionnels pour le retour à domicile

Information destinée aux patients et aux proches. Comment s alimenter après une diverticulite? Conseils nutritionnels pour le retour à domicile Information destinée aux patients et aux proches Comment s alimenter après une diverticulite? Conseils nutritionnels pour le retour à domicile Qu est-ce que la diverticulite? Cette brochure vous informe

Plus en détail

COMPÉTITIVITÉS ET REVENUS AGRICOLES DANS LES SECTEURS AGRO-ALIMENTAIRES DES PECO

COMPÉTITIVITÉS ET REVENUS AGRICOLES DANS LES SECTEURS AGRO-ALIMENTAIRES DES PECO Octobre 2001 COMPÉTITIVITÉS ET REVENUS AGRICOLES DANS LES SECTEURS AGRO-ALIMENTAIRES DES PECO IMPLICATIONS AVANT ET APRÈS ADHÉSION POUR LES MARCHÉS ET LES POLITIQUES DE L UE Par Alain Pouliquen* * Directeur

Plus en détail

Dossier de presse. SIAL 2010 : Groupama Assurance-Crédit présente la nouvelle plaquette Défaillances d entreprises 2010-2011

Dossier de presse. SIAL 2010 : Groupama Assurance-Crédit présente la nouvelle plaquette Défaillances d entreprises 2010-2011 19 octobre 2010 Dossier de presse SIAL 2010 : Groupama Assurance-Crédit présente la nouvelle plaquette Défaillances d entreprises 2010-2011 «Les bilans des entreprises gardent les stigmates de la crise»

Plus en détail

Les réformes de la PAC

Les réformes de la PAC www.supagro.fr Les réformes de la PAC Sophie Thoyer thoyer@supagro.inra.fr Centre international d études supérieures en sciences agronomiques La PAC d aujourd hui (2006 2014) En 2014, comment sont attribuées

Plus en détail

Agence Fédérale pour la Sécurité de la Chaîne Alimentaire

Agence Fédérale pour la Sécurité de la Chaîne Alimentaire Agence Fédérale pour la Sécurité de la Chaîne Alimentaire Circulaire relative aux conditions d exportation en vue d être conforme aux exigences spécifiques des pays tiers au niveau des limites maximales

Plus en détail

DOSSIER D INFORMATION

DOSSIER D INFORMATION DOSSIER D INFORMATION PRESSE SOMMAIRE TECNOMA 2- Entreprise Champenoise créée en 1952 2- De TECNOMA au groupe EXEL Industries 3 - De la conception à la production 4 & 5- Des domaines d application variés

Plus en détail

NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis

NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis TITRE NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis Selon le règlement NOP de l USDA 205.406(a), un opérateur certifié doit transmettre chaque année à son

Plus en détail

RECUEIL DE LEGISLATION

RECUEIL DE LEGISLATION MEMORIAL Journal Officiel du Grand-Duché de Luxembourg 1565 MEMORIAL Amtsblatt des Großherzogtums Luxemburg RECUEIL DE LEGISLATION A N o 85 25 octobre 1993 Sommaire Règlement ministériel du 20 septembre

Plus en détail

N 1020 ASSEMBLÉE NATIONALE PROPOSITION DE RÉSOLUTION EUROPÉENNE

N 1020 ASSEMBLÉE NATIONALE PROPOSITION DE RÉSOLUTION EUROPÉENNE N 1020 ASSEMBLÉE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 QUATORZIÈME LÉGISLATURE Enregistré à la Présidence de l Assemblée nationale le 7 mai 2013. PROPOSITION DE RÉSOLUTION EUROPÉENNE sur le mandat de

Plus en détail