BRAF Va t il prendre une place dans la décision thérapeu7que? S Olschwang G Monges 8 èmes Journées de Cancérologie Diges7ve PACA CORSE
|
|
- Gilles Charles
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 BRAF Va t il prendre une place dans la décision thérapeu7que? S Olschwang G Monges 8 èmes Journées de Cancérologie Diges7ve PACA CORSE
2 BRAF Par7cularités voies de signalisa7on Muta7ons dans les tumeurs solides Facteur pronos7que Facteur prédic7f de réponse thérapeu7que Place dans la décision thérapeu7que à l heure actuelle Dans le futur Traitements
3 La voie RAS RAF Facteurs de croissance Voie de signalisa7on RAS RAF normale 2 Voie de signalisa7on BRAF oncogénique 4 RTK RAS GTP RAS Ac(vé Ac7va7on normale de RAS par des facteurs extracellulaires BRAF BRAF Muté V600 L ac7va7on cons7tu7ve est indépendante des facteurs extracellulaires P MEK P MEK Ne répond pas aux signaux normaux de régula7on P ERK P ERK Proliféra(on cellulaire normale et survie Proliféra(on cellulaire excessive et survie RTK = récepteurs à ac7vité tyrosine kinase ; GTP = guanosine triphosphate ; ERK = kinase régulée par un signal extracellulaire ; MEK = MAP (mitogen ac7vated protein) kinase 2. GarneY MJ, et al. Cancer Cell 2004;6: Wan PTC, et al. Cell 2004;116:
4 Muta7ons BRAF et tumeurs solides Cancers colorectaux 15% Cancers colorectaux métasta7ques 7 à 8% Mélanome Métastatique BRAF > 50 % Colon métastatique BRAF 7 8% Thyroide Métastatique BRAF Papillary % Anaplastic 83 % Ovaire métastatique BRAF ~70 %
5 BRAF: Méthodes d analyse Recherche de muta7ons V600E V600 Immunohistochimie Bonne corréla7on muta7on V600E dans les mélanomes Long GV, WilmoY JS, Capper D, et al. Am J Surg Pathol September Feller JK, Yang S, Mahalingam MMod Pathol.Octobre 2012
6 Muta7ons BRAF dans le mélanome La muta7on la plus fréquente est la muta7on V600E : environ 90 % des muta7ons BRAF. V600 sauvage GTG Valine 600 V600 E GAG 92,5 % Valine par Ac. glutamique V600 K AAG 5,6 % Valine par Lysine V600 R AGG 1,6 % Valine par Arginine V600 D GAT 0,4 % Valine par Ac. aspartique Les muta7ons BRAF induisent une hyperac7va7on de la protéine kinase BRAF et une surac7vité de la voie RAF RAS, ce qui peut conduire à une croissance excessive et au développement de certains cancers. 6. Libra et al. Cell Cycle. 2005;4: Sala et al. Mol Cancer Res. 2008;6: Cho et al. Int J Cancer. 2006;119:
7 Bösmüller H et al. Hum Pathol 2012 Oct 19. Detec(on of the BRAF V600E muta(on in serous ovarian tumors: a compara(ve analysis of immunohistochemistry with a muta(on specific monoclonal an(body and allele specific PCR.
8 Muta(on BRAF place dans la décision thérapeu(que pour les cancers colorectaux K colorectaux avec instabilité des microsatellites si ex(nc(on des protéines MLH1 et PMS2 2 possibilités: Instabilité vraie (pas de muta(on de BRAF, syndrome de Lynch) ou hyperméthyla(on D où recherche systéma(que de muta(on BRAF
9 Analyse par génotypage de l ADN tumoral 1) Sélection d une région riche en cellules tumorales (HES) par cerclage 2) Prélèvement de 3 carottes dans la zone sélectionnée 3) Extraction de l ADN avec le kit Qiagen pour tissu 4) Amplification par PCR-multiplex avec le kit Promega et électrophorèse NR21 Bat26 Bat25 NR24 Mono27
10 Analyse complémentaire des protéines MMR En cas d instabilité de l ADN microsatellite (MSI), il y a perte de l expression (détectée par immunohistochimie) - MSH2/MSH6 (rarement MSH2 seul) - MSH6 - MLH1/PMS2 (rarement MLH1 seul) - PMS2 Résultat : Absence d expression complète isolée de MSH2 ou PMS2 ou MSH6 ou combinée du dimère MSH2/MSH6 (avec témoins internes positifs) Commentaire : Ce résultat est compatible avec l'existence d'une anomalie constitutionnelle du gène XXX. Une consultation d'oncogénétique à la recherche d'un syndrome de Lynch est indiquée. ou MSH2- MSH6- Résultat : Absence d expression complète isolée de MLH1 ou du dimère MLH1/ PMS2 (avec témoins internes positifs) Commentaire : Ce résultat traduit l existence d une inactivation du gène MLH1, dont l origine est en cours de caractérisation (analyse de l exon 15 du gène BRAF)
11 Analyse complémentaire du gène BRAF (Tumeur MSI avec absence complète de la protéine MLH1) c.1799t>a (p.val600glu) Résultat : Absence de la muta7on c.1799t>a (p.val600glu) Commentaire : L'absence de muta7on est compa7ble avec l'existence d'une anomalie cons7tu7onnelle du gène MLH1. Une consulta(on d'oncogéné(que à la recherche d'un syndrome de Lynch est indiquée. ou Résultat : Présence de la muta7on c.1799t>a (p.val600glu) Commentaire : La présence d une muta7on du gène BRAF est en faveur d une hyperméthyla(on de l ADN. Ce résultat est très en faveur d une a\einte sporadique ; il ne permet cependant pas d exclure totalement un syndrome de Lynch, qui requiert une quan7fica7on des différents sites de méthyla7on du promoteur du gène MLH1.
12 Muta(on BRAF place dans la décision thérapeu(que des cancers colorectaux Impact indirect pour le TRT des pa(ent MSI TRT an( EGFR et muta(on BRAF K pas de données validées
13 Découverte de la muta7on BRAF dans les mélanomes En 2002, une muta7on de l oncogène BRAF a pu être mise en évidence dans certaines variétés de mélanomes 13
14 Muta7on BRAF impact dans les mélanomes Rôle cri7que dans le développement du mélanome A l origine d une hyperac7vité kinase de la protéine BRAF mutée, dont découle le début du processus oncogène BRAF : possible facteur pronos7que péjora7f? Indicateur d une survie plus courte Houben R et al.constitutive activation of the Ras-Raf signaling pathway in metastatic melanoma is associated With poor prognosis. J Carcinog.2004;3:6
15 Muta7ons BRAF Un facteur de mauvais pronos7c Influence des muta(ons BRAF ou NRas sur la survie globale Tumeur primaire Trait plein: Absence de muta7ons BRAF ou NRAS Poin7llés: Présence de muta7ons BRAF ou NRAS. Survie Survie P = 0,28 Métastases Temps (années) P = 0,02 Temps (années) Courbes de Kaplan Meier de survie globale (A) Tumeur primaire (B) Métastases stra7fiées en fonc7on de l absence (trait plein) ou de la présence (poin7llés) des muta7ons BRAF ou NRAS. La survie globale a été évaluée de la résec7on de la tumeur primaire ou de la métastase jusqu au décès. 16. Houben et al. J Carcinog Mar 26;3(1):6 15
16 Zelboraf (vemurafenib) Résultats cliniques chez les patients BRAF V600 mutés : essai BRIM-3 ASCO 2011 (Cut off December 30, 2010) ASCO 2012 online abstract (Cut off October 3, 2011) ASCO 2012 (Cut off February 1, 2012) DTIC Zelboraf DTIC Zelboraf DTIC Zelboraf Median follow up (mos) Median OS (mos) Not reliably esamated HR for OS [0.57;0.87] p<0.001 Median PFS (mos) HR for PFS 0.28 [0.20;0.33] p< ( ) p<0.001 ORR, % *P Chapman et al. ASCO 2012 Comm. Orale Abstract #8502
17 BRAF réponse thérapeu7que Traitements Vemurafenib (Zelboraf) premier traitement pour des tumeurs BRAF muté 50% de mélanomes mutés BRAF Août 2011 autorisa7on aux USA (mélanomes métasta7ques) Février 2012 autorisa7on en Europe
18 Muta(on BRAF et tumeurs solides Cancer papillaire de la thyroide (essai en cours) Autres cancers premiers tests en cours (essai Basket)
19 Muta(on BRAF place dans la décision thérapeu(que dans le futur Essais en cours sur les cancers papillaires de la thyroide Sur les tumeurs solides V Basket
20 Inclusion de 8 Cohortes : cancer BRAF V600 posi(fs Tumeurs solides (cohorte 1 à 6) Myélome Mul7ple (cohorte 7) Autres tumeurs solides (cohorte 8) PS:0 2 Toutes les muta(ons V600 BRAF Mise en évidence par méthode locale (technique ualisée à préciser) Détec7on rétrospec7ve op7onnelle centralisée avec le test Cobas 4800 CBNPC Ovaire Colorectal Cholangiocarcinome Sein Prostate Myélome Mul(ple Autres tumeurs solides vemurafenib (960 mg BID orally) Objec(f principal: Taux de réponse à 8 semaines * * Analyse intermédiaire d efficacité Réponse à 8 semaines pour 7 pa7ents dans chaque cohorte n= Objec(fs secondaires: - Tolérance - Taux de réponse globale, Taux de réponse tumorale - Durée de réponse, délai de réponse - Temps jusqu à progression - Survie sans progression - Survie globale
M2.6. 2012 Cancer du colon et du rectum. Coordination : Pr Hahnloser
M2.6. 2012 Cancer du colon et du rectum Coordination : Pr Hahnloser Pathologie Dr. Maryse Fiche Cancers colo-rectaux Précurseurs : Images et figures : Robbins 8è Edition Objectifs d apprentissage : SCLO
Plus en détailProgramme AcSé. Accès Sécurisé aux Innovations Thérapeutiques Deux études pilotes : AcSé - crizotinib et AcSé - vémurafenib
Programme AcSé Accès Sécurisé aux Innovations Thérapeutiques Deux études pilotes : AcSé - crizotinib et AcSé - vémurafenib G. Vassal, J.Y. Blay, C. Cailliot, N. Hoog-Labouret, F. Denjean, M. Jimenez, A.L.
Plus en détailALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse
ALK et cancers broncho-pulmonaires Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse Toulouse, le 19 Février 2013 Adénocarcinomes : Lung Cancer Mutation Consortium Identification
Plus en détailLes plateformes de génétique
Thérapies ciblées : de l anatomopathologie th l à la biothérapie i Les plateformes de génétique moléculaire PO Schischmanoff UF Génétique moléculaire et oncogénétique CHU Avicenne ACP FHF 29 mars 2012
Plus en détailLes grandes voies de transmission du signal en cancérologie : où en sommes-nous?
Les grandes voies de transmission du signal en cancérologie : où en sommes-nous? Dynamique des réseaux de signalisation et réponse aux thérapies ciblées Pascal GAUDUCHON Unité "Biologie et Thérapies Innovantes
Plus en détailOBJECTIFS 2013-02- 14 LE TRAITEMENT DU CANCER DU POUMON DE STADE AVANCÉ: " OÙ EN SOMMES-NOUS " EN 2013?
OBJECTIFS LE TRAITEMENT DU CANCER DU POUMON DE STADE AVANCÉ: " OÙ EN SOMMES-NOUS " EN 2013? Connaître les différentes options de traitement disponibles pour le cancer du poumon de stade avancé Connaître
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailBiomarqueurs en Cancérologie
Biomarqueurs en Cancérologie Définition, détermination, usage Biomarqueurs et Cancer: définition Anomalie(s) quantitative(s) ou qualitative(s) Indicative(s) ou caractéristique(s) d un cancer ou de certaines
Plus en détailSecond cancers après cancer du sein. M. Espié Centre des maladies du sein
Second cancers après cancer du sein M. Espié Centre des maladies du sein Second cancer après cancer du sein 376 825 pa=entes diagnos=quées entre 1943 et 2002 ayant au moins survécu un an en Scandinavie
Plus en détailEtat des lieux de l accès aux plateformes de génétique moléculaire
12 juin 2014 Etat des lieux de l accès aux plateformes de génétique moléculaire CONTEXTE ET OBJECTIFS DE l ETUDE : L action 6.2 du plan cancer 3 «conforter l accès aux tests moléculaires» stipule en particulier
Plus en détailCancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques. Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006
Cancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006 Cancer du rein à cellules claires métastatique (CRM) Plus de 30 % des CR deviendront métastatiques
Plus en détailLes tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2011
Mesure 21 SOINS ET VIE DES MALADES Les tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2011 COLLECTION Rapports & synthèses POUR UN ACCÈS AUX THÉRAPIES CIBLÉES : - LES PLATEFORMES
Plus en détailDévelopper l accès précoce pour tous les patients, aux thérapie ciblées en France. Pr. Fabien Calvo Institut National du Cancer
Développer l accès précoce pour tous les patients, aux thérapie ciblées en France Pr. Fabien Calvo Institut National du Cancer Plan cancer 2009-2013 Organisation des tests de génétique en France 2 programmes
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailTHERANOSTIC. Pr. C. BOHUON Conférence CORATA Namur 08 juin 2011
THERANOSTIC Pr. C. BOHUON Conférence CORATA Namur 08 juin 2011 THERANOSTIC Therapy + Diagnostic Nouveau mot reliant le choix d un médicament à la détection d une anomalie génétique (mutation ). Ex.: Cancers
Plus en détailLes tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2010
Mesure 21 SOINS ET VIE DES MALADES Les tests de génétique moléculaire pour l accès aux thérapies ciblées en France en 2010 COLLECTION Rapports & synthèses POUR UN ACCÈS AUX THÉRAPIES CIBLÉES : - LES PLATEFORMES
Plus en détailObjectifs. La prise en charge du cancer du poumon métastatique: vers une approche personnalisée. Dre Lise Tremblay
2 e journée scientifique en oncologie thoracique de l IUCPQ Vers un nouveau visage La prise en charge du cancer du poumon métastatique: vers une approche personnalisée Dre Lise Tremblay Vendredi 14 novembre
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailAnormalies moléculaires et ciblage thérapeutique des cancers broncho-pulmonaires non à petites cellules
J Fran Viet Pneu 2015; 17(6): 1-53 2015 JFVP. All rights reserved. www.afvp.info CrossRef: http://doi.dox:10.12699 JOURNAL FRANCO-VIETNAMIEN DE PNEUMOLOGIE Journal of French-Vietnamese Association of Pulmonology
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 4 novembre 2009
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 4 novembre 2009 IRESSA 250 mg, comprimé pelliculé Boîte de 30 (CIP 395 950-7) ASTRAZENECA géfitinib Liste I Médicament soumis à prescription hospitalière. Prescription
Plus en détailEvaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés
Evaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés Evaluations de la survie sans progression et du contrôle locoregional comme critère de substitution
Plus en détailStatistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon
Statistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon Bernard Fortin Mars 2014 Source: Comité consultatif de la Société canadienne du cancer : Statistiques canadiennes sur le cancer 2013. Toronto
Plus en détailValidation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon
Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice
Plus en détailAnnick.robinson@merck.com dquirion@national.ca 514 428-2890 514 843-2302
Communiqué de presse Relations avec les médias : Annick Robinson Dominique Quirion Merck NATIONAL Annick.robinson@merck.com dquirion@national.ca 514 428-2890 514 843-2302 Relations avec les investisseurs
Plus en détailBases moléculaires des mutations Marc Jeanpierre
Bases moléculaires des mutations Marc Jeanpierre Chaque enfant qui naît hérite de 10 à 30 nouvelles mutations ponctuelles. L essentiel des ces mutations sont heureusement des variations neutres de séquence
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailL identification d altérations. Bonnes pratiques pour la recherche à visée théranostique de mutations somatiques dans les tumeurs solides
Mesure 21 SOINS ET VIE DES MALADES Bonnes pratiques pour la recherche à visée théranostique de mutations somatiques dans les tumeurs solides AOÛT 2010 LE PRÉLÈVEMENT QUELLES MUTATIONS RECHERCHER? LA RECHERCHE
Plus en détailDépistage du cancer colorectal :
Dépistage du cancer colorectal : Quels enjeux? Robert Benamouzig Gastro-entérologie Hôpital Avicenne Bobigny Le cancer colorectal dans le monde 3ème cause de cancer Augmentation 1975 : 500 000 cas 1990
Plus en détailNewsletter. Crizotinib
Newsletter rizotinib Accès sécurisé au crizotinib pour les patients souffrant d une tumeur porteuse d une altération génomique sur une des cibles biologiques de la molécule n Avril o «Accès sécurisé au
Plus en détailM Gamaz K Bouzid CPMC- HDJ Oncologie Médicale
M Gamaz K Bouzid CPMC- HDJ Oncologie Médicale Plan Deux situations: Adjuvante Métastatique Pas de scoop Des nouveautés. Des espoirs, lumières. En situation adjuvante Abstract 7513 Adjuvant erlotinib (E)
Plus en détailQuel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?
Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe
Plus en détailTransgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010
Parc d Innovation d Illkirch, France, le 10 mars 2010 Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Transgene (Euronext
Plus en détailActualités s cancérologiques : pneumologie
Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique
Plus en détailMétastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési
Métastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési Deux grandes questions Cette modalité de présentation, requiert elle une prise en charge
Plus en détailCancer Bronchique «Sujet Agé» Etat de la litterature
Cancer Bronchique «Sujet Agé» Etat de la litterature Situation en 2011 M CHAKRA Secteur Oncologie Thoracique CHU Arnaud de Villeneuve, Montpelier Qu est ce qu un sujet âgé? 70 ans est habituellement considéré
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailPemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var
Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var SFPO Octobre 2009 EPIDEMIOLOGIE Incidence : 1.35 M par an dans le monde (12,4%) 28 000
Plus en détailLes soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio
Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les
Plus en détailRadiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires. J. Palussière, X. Buy Département imagerie
Radiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires J. Palussière, X. Buy Département imagerie Radiofréquence Interac*on courant électro- magné*que ma*ère agita*on ionique chaleur Coagula*on Nécrose
Plus en détailVolume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques
2 V o l u m e Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques Volume 2 : Epidémiologie - Situation et actions Recherche des données d incidence estimée des cancers au Maroc Recherche des données
Plus en détailThérapies ciblées des cancers :
Thérapies ciblées des cancers : Pr. Gilles VASSAL Directeur de la Recherche Clinique et Translationnelle Institut Gustave Roussy, Villejuif Thérapies ciblées du cancer: Conséquences pour le biologiste
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailDr Bertrand Michy Département de Pneumologie CHU de Nancy 25 octobre 2013
Dr Bertrand Michy Département de Pneumologie CHU de Nancy 25 octobre 2013 Conflits d intérêts Aucun Introduction Constat : CB = Moins de motivation des pneumologues à obtenir le sevrage tabagique (versus
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détail28 octobre. Session institutionnelle (10h00-10h30)
28 octobre Session institutionnelle (10h00-10h30) L Institut National du Cancer Jean-Baptiste HERBET, Directeur du Département Recherche en Sciences Humaines et Sociales Le Cancéropôle du Grand-Est - Pierre
Plus en détailPolymorphismes génétiques et interactions gènes-environnement 4545
50 Polymorphismes génétiques et interactions gènes-environnement 4545 Les études sur les facteurs génétiques de susceptibilité au cancer différencié de la thyroïde sont rares et de petite taille. Réparation
Plus en détailGUSTAVE ROUSSY À L ASCO
GUSTAVE ROUSSY À L COMMUNIQUÉ DE PRESSE 29 MAI 02 JUIN THÉRAPIES CIBLÉES www.gustaveroussy.fr/asco Communiqué de presse Gustave Roussy au 51 e congrès de l American Society of Clinical Oncology THÉRAPIES
Plus en détailAUTRES MUTATIONS (NON EGFR ET NON ALK) CHEZ LES NON EPIDERMOIDES. Gaëlle ROUSSEAU BUSSAC CHI Créteil
AUTRES MUTATIONS (NON EGFR ET NON ALK) CHEZ LES NON EPIDERMOIDES Gaëlle ROUSSEAU BUSSAC CHI Créteil Fréquence des mutations Étude Biomarqueurs France Sur 10 000 prélèvements Mutations Fréquence Aucune
Plus en détailThérapies ciblées en Onco-Hématologie
Thérapies ciblées en Onco-Hématologie 1 er au 4 avril 2014 salle de séminaire Institut Universitaire d Hématologie Hôpital Saint-Louis, Paris Coordination: Dr Guilhem Bousquet Comité scientifique: Philippe
Plus en détailPeut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant
Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Institut Cancérologie de l Ouest CHIRURGIE Dr. Isabelle Jaffré CAS CLINIQUE 1 36 ans 90B sans CI radiothérapie
Plus en détailRapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa
Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa Au titre de son initiative de transparence, le CEPMB publie les résultats des examens des prix des nouveaux médicaments brevetés effectués par les membres
Plus en détailFirst Line and Maintenance in Nonsquamous NSCLC: What Do the Data Tell Us?
Dr Jean-Charles Soria : Bonjour et bienvenue dans ce programme. Je suis Jean Charles Soria, Professeur de Médecine et Directeur du programme de développement précoce des médicaments à l université Paris
Plus en détailCirculating Tumor Cell Kit (épithélial)
REF 7900001 Kit de 16 tests Circulating Tumor Cell Kit (épithélial) I e631600001_fr APPLICATION Pour usage in vitro. Le kit CELLSEARCH Circulating Tumor Cell Kit est conçu pour l énumération des cellules
Plus en détailvoies de signalisation
Olivier Lascols Faculté de Médecine ierre et Marie Curie Généralités s sur les voies de signalisation 1 I. Caractérisation risation d une d voie de transduction d un d signal Exemple du Signal Mitogénique
Plus en détailCibles et mécanismes d action des traitements par cytokines et anti-cytokines
Cibles et mécanismes d action des traitements par cytokines et anti-cytokines Jean Daniel Lelièvre, Yves Lévy, Pierre Miossec I-Introduction... 2 II-Les interférons... 2 II-1.L interféron... 3 II-1-a.
Plus en détailQuels sont les facteurs qui font augmenter les risques de cancer du rein?
Qu est-ce que le cancer du rein? L adénocarcinome rénal est le type le plus fréquent de cancer du rein 1. Le rôle des reins consiste à filtrer le sang et à évacuer les déchets de l organisme dans l urine.
Plus en détailIntérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire
Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire T. Mognetti et F. Giammarile Introduction La TEP-FDG (Tomographie par Émission de Positons après injection de 18 F- Fluoro-2-Déoxy-Glucose) est un des
Plus en détailEssai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR
CLIMAT - PRODIGE 30 Etude de phase III randomisée évaluant l Intérêt de la colectomie première chez les patients porteurs d un cancer colique asymptomatique avec métastases hépatiques synchrones non résécables
Plus en détailMAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de
Mabsolut-DEF-HI:Mise en page 1 17/11/11 17:45 Page1 le département prestataire de services de MABLife de la conception à la validation MAB Solut intervient à chaque étape de vos projets Création d anticorps
Plus en détailPremière partie: Restitution + Compréhension (08 points)
Lycée M hamdia Année scolaire : 2011/2012 Prof : Saïd Mounir Date : 17/05/2012 Première partie: Restitution + Compréhension (08 points) EXERCIE N O 1: (4 points) : 1 : a-b 2 : b 3 : a-b 4 : d 5 : d 6 :
Plus en détailL EMEA accepte d évaluer la demande d autorisation de mise sur le marché de la LENALIDOMIDE
L EMEA accepte d évaluer la demande d autorisation de mise sur le marché de la LENALIDOMIDE NEUCHATEL, Suisse, 7 avril/prnewswire/ -- - LA LENALIDOMIDE est évaluée par l EMEA comme thérapie orale pour
Plus en détailCancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons.
Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Un taux de récidive de 30% dans les dix premières années chez des patientes en rémission complète après un traitement curatif, requiert
Plus en détailCOMPARAISON DE QUATRE PROTOCOLES DE CHIMIOTHERAPIE POUR DES CANCERS DU POUMON NON A PETITES CELLULES (CBP NAPC) AVANCES
COMPARAISON DE QUATRE PROTOCOLES DE CHIMIOTHERAPIE POUR DES CANCERS DU POUMON NON A PETITES CELLULES (CBP NAPC) AVANCES Approximativement, un tiers de tous les décès dus au cancer sont en relation avec
Plus en détailMontréal, 24 mars 2015. David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting. DL Consulting Strategies in Healthcare
Montréal, 24 mars 2015 David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting 1 RSSPQ, 2013 2 MÉDECINE INDIVIDUALISÉE Médecine personnalisée Médecine de précision Biomarqueurs Génomique
Plus en détailLes différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07
Les différents types de cancers et leurs stades Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 CARCINOGENESE multiple steps, accumulation d altd altérations continuum lésionnel
Plus en détailRAPPORT D ACTIVITE AIDEA 2008. Sommaire
Sommaire 1. Introduction 2. Attentes exprimées 3. Les questions fréquentes 4. Les statistiques 5. Les enquêtes 6. Retours et témoignages 7. Evaluations et indicateurs Notre MISSION : Informer, Conseiller
Plus en détailCancer colo-rectal : situation belge
Cancer colo-rectal : situation belge J.-L. Van Laethem, MD, PhD Unité d'oncologie digestive Département médico-chirurgical de Gastro-entérologie Pas de conflit d intérêt déclaré Cancer du colon 7000 nouveaux
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détail.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203 .(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3 .( @.*" '!%2"+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!
!"#! $ %#&' (!"#$!% & % ' (!%' ) )''! *)+* *! %#"+, ' ( ', -) " *.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203.(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3.( -.* %)!(2"+ %#(30! &' 4!!%.+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!%(%' 0.(89.*
Plus en détailHMB-45 + Mart-1 (Melan A) + Tyrosinase (HMB-45+A103+T311)
HMB-45 + Mart-1 (Melan A) + Tyrosinase Identification du Produit Réf. cat. Description 45318 IMPATH HMB-45&MART-1 RTU M (HMB-45&MelanA) Définitions Des Symboles P A E S DOC# DIS prêt à l emploi ascite
Plus en détailEssai de Phase II. Médecin coordonnateur : Statisticien : Ouverture 23 juillet 2013. Pr Gilles VASSAL Gustave Roussy - Villejuif
Essai de Phase II Accès sécurisé au crizotinib pour les patients souffrant d une tumeur porteuse d une altération génomique sur une des cibles biologiques de la molécule. Sponsor N : UC-5/ EudraCT N :
Plus en détailLes tests thyroïdiens
Les tests thyroïdiens Mise à jour de juin 2007 par S. Fatio Réf: les images et les graphiques sont tirés de www.endotext.org (textbook d endocrinologie online et libre d accès) QuickTime et un décompresseur
Plus en détailMétastases cérébrales
Métastases cérébrales Ce référentiel, dont l'utilisation s'effectue sur le fondement des principes déontologiques d'exercice personnel de la médecine, a été élaboré par un groupe de travail pluridisciplinaire
Plus en détailInsulinothérapie et diabète de type 1
Insulinothérapie et diabète de type 1 Introduction: la molécule d insuline L instauration de l insulinothérapie Dispositif d administration de l insuline Les propriétés de l insuline Insuline et schémas
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détailESMO 14. L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie
ESMO 14 L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie Cancer du SEIN Taxotere hebdo pas mieux et plus toxique Perrone F et al Ann Oncol 2014 Phase III : CMF vs Taxotere hebdo
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailAssurance maladie grave
ASSURANCE COLLECTIVE Le complément idéal à votre assurance collective Assurance maladie grave Votre partenaire de confiance. Assurance maladie grave La tranquillité d esprit à votre portée Les progrès
Plus en détailCancer de l ovaire. traitements, soins et innovation. traitements adjuvants et de consolidation. www.e-cancer.fr. juin 2009
traitements, soins et innovation juin 2009 recommandations professionnelles Cancer de l ovaire traitements adjuvants et de consolidation COLLECTION recommandations & référentiels RECOMMANDATIONS DE PRISE
Plus en détailMédicaments du futur : Tendances et enjeux. Nicolas PY, Debiopharm International forumofac.14 26/09/2014
Médicaments du futur : Tendances et enjeux Nicolas PY, Debiopharm International forumofac.14 26/09/2014 Quelques mots sur Debiopharm Groupe fondé en 1979 Siège à Lausanne 350 collaborateurs Financièrement
Plus en détailHiver 2013. Paysages changeants, produits en voie de commercialisation et conséquences pour les promoteurs de régimes
Hiver 2013 Paysages changeants, produits en voie de commercialisation et conséquences pour les promoteurs de régimes Paysages changeants, produits en voie de commercialisation et conséquences pour les
Plus en détailLes grandes études de télémédecine en France
Les grandes études de télémédecine en France Optimisation de la Surveillance ambulatoire des Insuffisants CArdiaques par Télécardiologie De Midi-Pyrénées au Sud de la France M Galinier, A Pathak Pôle Cardio-Vasculaire
Plus en détailDe la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I)
De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I) Collaboration: - Laboratoire de Radiotoxicologie et Oncologie (L. Sabatier) CEA, DSV - Laboratoire de Génotoxicité et Modulation de l Expression
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détailIndication (selon la monographie du médicament) : Traitement de l'adénocarcinome rénal métastatique
Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Torisel Par souci de transparence, le CEPMB publie les résultats des examens des prix des nouveaux produits médicamenteux brevetés effectués par les membres
Plus en détailLe don d organes après arrêt des thérapeu2ques Maastricht 3 Une réalité?...
Le don d organes après arrêt des thérapeu2ques Maastricht 3 Une réalité?... François MOUREY Corinne ANTOINE et le COPIL Maastricht 3 Agence de la biomédecine Les jeudis de l urgence: Marseille 9 janvier
Plus en détailUE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire
UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP
Plus en détail28 octobre. Session institutionnelle (10h00-10h30) Epidémiologie et Santé Publique (10h30-12h40)
28 octobre Session institutionnelle (10h00-10h30) L Institut National du Cancer (en attente de réponse) Le Cancéropôle du Grand-Est - Pierre OUDET, Directeur Scientifique Epidémiologie et Santé Publique
Plus en détailPlace de la chirurgie à l heure des thérapies ciblées. The role of surgery in the era of targeted therapy. * Non ouvert en France.
dossier thématique Place de la chirurgie à l heure des thérapies ciblées The role of surgery in the era of targeted therapy P. Bigot*, J.C. Bernhard** Points forts» En association avec l immunothérapie,
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailTUTORAT UE 6 2014-2015 Initiation à la connaissance du médicament CORRECTION d annales Semaine du
TUTORAT UE 6 2014-2015 Initiation à la connaissance du médicament CORRECTION d annales Semaine du Concours PACES 2013-2014 Semaine du 27/04/2015 QCM n 1 : B, D, E A. Faux. Le monde animal et minéral a
Plus en détailAnticorps, vaccins, immunothérapies allergéniques tout savoir sur les progrès de l immunothérapie en 20 questions
Anticorps, vaccins, immunothérapies allergéniques tout savoir sur les progrès de l immunothérapie en 20 questions De quoi se compose le système immunitaire? Chaque jour, des substances étrangères, appelées
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailtout s accélère octobre 2014 DOssier santé La recherche sur Le cancer Quels papiers conserver et pourquoi? Mieux comprendre ma mutuelle
V O T r e M @ G a Z I n e D I n F O r M a T I O n M u T u a L I s T e n 10 octobre 2014 DOssier santé La recherche sur Le cancer tout s accélère actus sociales Mieux comprendre ma mutuelle InFo JurIdIque
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailMutuelle et Santé HORS SÉRIE. Ensemble contre le mélanome LA REVUE DE LA MTRL. Le mélanome en question
Mutuelle et Santé HORS SÉRIE Ensemble contre le mélanome LA REVUE DE LA MTRL Le mélanome en question Epidémiologie et facteurs de risques du mélanome Mélanome : prévention et dépistage Lésions mélanocytaires
Plus en détailTD de Biochimie 4 : Coloration.
TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi
Plus en détailLymphome non hodgkinien
Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détail