VII COMMUNIQUÉ DE PRESSE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "VII COMMUNIQUÉ DE PRESSE"

Transcription

1 VII COMMUNIQUÉ DE PRESSE UN NOUVEAU DISPOSITIF POUR 2003/2004 Campagne nationale de prévention et d information sur le risque d intoxication au monoxyde de carbone Face aux intoxications au monoxyde de carbone, les professionnels se mobilisent pour informer le public Santé : l intoxication au monoxyde de carbone Chaque année, on recense 6000 intoxications et 300 décès dus au monoxyde de carbone, un gaz inodore, invisible mais mortel. C est pourquoi, dès les premiers froids, une nouvelle campagne nationale de prévention et d information est lancée par un groupe de partenaires associant les Pouvoirs Publics (Ministères, Sapeurs Pompiers, Commission de la Sécurité des Consommateurs), les distributeurs d énergie, les professionnels de la filière énergétique (constructeurs, installateurs et professionnels spécialisés). La nouvelle campagne de sensibilisation 2003/ la diffusion aux radios locales et nationales d un spot d alerte de 20 secondes qui insiste sur deux conseils simples : l entretien des appareils de chauffage ou d eau chaude, la ventilation des locaux. Ce spot est accompagné de plusieurs chroniques thématiques d une minute sous la forme d interviews de professionnels concernés (médecin, artisan installateur, sapeur pompier, victime) qui recommandent les conseils pratiques essentiels. - une carte postale tirée à exemplaires pour sensibiliser le grand public par un visuel et diffuser les conseils de prévention. A savoir C est la mauvaise combustion des combustibles organiques : bois, butane, charbon, essence, fuel, gaz naturel, pétrole, propane (utilisés pour des appareils de chauffage, de production d eau chaude ou le fonctionnement des moteurs : groupe électrogène, par exemple) qui produit du monoxyde de carbone, ce gaz inodore, invisible mais mortel. Les victimes lors d une intoxication aigüe nécessitent des soins immédiats et hospitaliers lourds de type assistance respiratoire et oxygénation par caisson hyperbare. Ces accidents peuvent laisser des séquelles à vie. Deux conseils de prévention - Faire entretenir les appareils de chauffage par un professionnel qualifié. - Veiller à entretenir les ventilations et à les laisser libres et dégagées. Contacts presse : Ministère de la Santé, de la famille et des personnes handicapées Direction Générale de la Santé : Cellule communication : Laurence Danand Tél. : laurence.danand@sante.gouv.fr Décembre 2003 Ministère de l Intérieur, de la sécurité intérieure et des libertés locales Direction de la défense et de la sécurité civiles : Cellule communication : Commandant Eric Soupra Tél. : eric.soupra@interieur.gouv.fr Préfectures : Bureau de la communication Autres partenaires de la campagne : voir liste et coordonnées en annexe du dossier 5

2 Dossier de presse Nouvelle campagne nationale de prévention et d information sur les intoxications au monoxyde de carbone 2003/2004 Contacts presse : Ministère de la Santé, de la famille et des personnes handicapées Direction Générale de la Santé : Cellule communication : Laurence Danand Tél. : laurence.danand@sante.gouv.fr Décembre 2003 Ministère de l Intérieur, de la sécurité intérieure et des libertés locales Direction de la défense et de la sécurité civiles : Cellule communication : Commandant Eric Soupra Tél. : eric.soupra@interieur.gouv.fr Préfectures : Bureau de la communication Autres partenaires de la campagne : voir liste et coordonnées en annexe du dossier MINISTÈRE DE L INTÉRIEUR, DE LA SÉCURITÉ INTÉRIEURE ET DES LIBERTÉS LOCALES MINISTÈRE DE LA SANTÉ, DE LA FAMILLE ET DES PERSONNES HANDICAPÉES

3 VII Sommaire I LE MONOXYDE DE CARBONE, UN GAZ INCOLORE, INODORE MAIS MORTEL Page 1 II LA SANTE ET L INTOXICATION AU MONOXYDE DE CARBONE Page 2 III LE DISPOSITIF DE LA CAMPAGNE Pages 3-4 IV LES TEMOIGNAGES Pages 5-6 V LES DIX CONSEILS PRATIQUES DE TOUS LES JOURS Page 7 VI QUE FAIRE EN CAS D ACCIDENT? Page 8 VII L ACCIDENTOLOGIE Page 10 VIII ANNEXES Carte et tableaux : Répartition géographique des intoxications au monoxyde de carbone en 2001 (source Ministère de la Santé) Tableaux statistiques relatifs aux intoxications à Paris et (source Laboratoire central de la Préfecture de Police) Les orientations de la Direction Générale de la Santé (2003/2004) La présentation des partenaires Les adresses utiles

4 I LE MONOXYDE DE CARBONE Un gaz incolore, inodore mais mortel. UNE DES PREMIERES CAUSES DE MORT TOXIQUE ACCIDENTELLE Le monoxyde de carbone (CO) est une des principales causes d intoxication accidentelle en milieu domestique. Les diverses sources statistiques convergent pour estimer à 6000 le nombre des victimes d intoxications au monoxyde de carbone chaque année et à 300 le nombre des décès (chiffres obtenus par extrapolation des chiffres obtenus en région parisienne). Dans la seule région Nord Pas de Calais, le monoxyde est à l origine de 40 décès et de 1000 hospitalisations par an. Les causes d intoxication sont accentuées par les conditions sociales (habitat vétuste, défaut d entretien des appareils, chauffages d appoint), par les phénomènes météorologiques, (froid intense, brouillard) et les habitudes locales. Les causes 1) Qu est ce que le monoxyde de carbone? Un gaz incolore, inodore, combustible. Sa densité est voisine de celle de l air. Sa présence résulte d une combustion incomplète quel que soit le combustible utilisé : bois, butane, charbon, essence, fuel, gaz naturel, pétrole, propane. Il se diffuse très vite dans l environnement. Il agit comme un gaz asphyxiant très toxique qui absorbé en quelques minutes par l organisme se fixe sur l hémoglobine - 0,1 % de CO dans l air tue en 1 heures - 1 % de CO dans l air tue en 15 minutes - 10% de CO dans l air tuent immédiatement 2) Comment survient une intoxication? Dans une majorité des cas, les accidents résultent de : -la mauvaise évacuation des produits de combustion (conduit de fumée obstrué ou mal dimensionné) - l absence de ventilation dans la pièce où est installé l appareil (pièces calfeutrées, sorties d air bouchées) - du défaut d entretien des appareils de chauffage et de production d eau chaude ainsi que les inserts, poêles, cuisinières, chauffages mobiles d appoint - la vétusté des appareils - la mauvaise utilisation de certains appareils (appareils de chauffage d appoint utilisés en continu par exemple, groupes électrogènes ) Parfois deux ou plusieurs facteurs cités interviennent dans l accident. 3) Quels sont les appareils à surveiller? Tous les types d appareils sont concernés : - les chaudières (bois, charbon, gaz, fioul) - les chauffe-eau et chauffe-bains - les inserts de cheminés, poêles - les chauffages mobiles d appoint - les cuisinières (bois, charbon, gaz) - les moteurs automobiles dans les garages - les groupes électrogènes à essence ou à fioul et tout moteur thermique fixe ou mobile - les appareils de fortune type brasero 4) L entretien des appareils? L entretien des appareils doit être réalisé par un professionnel qualifié. Il est recommandé de signer un contrat d entretien qui garantit une visite annuelle de prévention (réglage, nettoyage et remplacement des pièces défectueuses) et un dépannage gratuit sur simple appel. 51

5 II LA SANTE ET L INTOXICATION AU MONOXYDE Les symptômes Les victimes Le monoxyde de carbone provoque une asphyxie des cellules du sang. Il existe deux types d intoxication : - l intoxication faible dite chronique qui se manifeste par des maux de tête, des nausées, une confusion mentale. C est pourquoi l intoxication peut être lente et ne pas se manifester immédiatement, - l intoxication aigüe qui entraîne des vertiges, une perte de connaissance, une impotence musculaire, voire le coma et le décès. Les familles socialement et économiquement fragiles sont plus exposées à ce risque car l entretien des appareils et des ventilations peut être négligé par souci d économies. Il y a rarement une seule victime mais plus souvent toute une famille : parents et enfants. Parfois, l accident se produit dans une salle collective (dans un restaurant par exemple). On peut compter plusieurs dizaines de victimes de tous âges. Des situations exceptionnelles d intempéries ou de froid entraînent une élévation des risques, avec l utilisation massive des chauffages de fortune. Comment soigner une intoxication? L intoxication dite chronique ne peut être décelée que par les médecins de famille, des auxiliaires médicaux ou sociaux qui effectuent des visites à domicile et sont parfois équipés de détecteurs spécialisés. L intoxication aigüe est spectaculaire car souvent plusieurs membres d une même famille sont touchés, voir une collectivité toute entière (salle de réunion, de mariage, église, restaurant). Les intoxiqués même légers sont transportés vers l hôpital et mis sous oxygénation pour accélérer l élimination du monoxyde de carbone. A l hôpital, les intoxiqués les plus graves sont placés en caisson hyperbare pour une séance de 90 minutes. Après l accident un suivi médical est assuré par l hôpital et une enquête technique est lancée par la Direction des Affaires Sanitaires et Sociales en particulier pour éviter les récidives. Le coût de la prise en charge d un patient intoxiqué (transfert et hospitalisation) a été évalué entre et euros. Quelles sont les sequelles? En cas d intoxication grave, les personnes qui ont été traités à l oxygène au moment de l intervention des secours risquent par la suite d être atteints de migraines chroniques, de dépendances neurologiques (troubles de la coordination motrice, paralysies de toutes formes) invalidantes. 52

6 III LE DISPOSITIF DE LA CAMPAGNE POUR LA PREMIERE FOIS, UNE CAMPAGNE RADIO La nouvelle campagne 2003/2004 a choisi un nouveau média : la radio pour informer le grand public et diffuser des conseils pratiques et des témoignages. Les cibles - le grand public : toutes les tranches d âge sont concernées et en particulier les familles, les intoxications touchant souvent plusieurs membres d une même famille. Des régions sont plus touchées (Nord, Pas-de-Calais, Lorraine, Centre) mais les accidents se produisent dans tous les départements. - les publics relais (médecins, travailleurs médicaux et sociaux, services d urgence, hôpitaux, professionnels installateurs, revendeurs, associations de consommateurs, établissements scolaires) trouveront sur les site internet des Ministères et de leurs partenaires les informations spécialisées dont ils ont besoin (voir en annexe du dossier : présentation des partenaires ). Le message Chez vous, soyez attentif : vérifiez vos ventilations et faites entretenir vos appareils par un professionnel qualifié, tel est le message principal rappelé dans le spot radio d alerte. Pour illustrer ces recommandations, les professionnels (médecin, pompier, artisan, victime ) témoignent sur ce risque et invitent à suivre des conseils pratiques. Les moyens - un spot radio d alerte de vingt secondes, interpellatif et explicatif accompagné de plusieurs témoignages de professionnels prescripteurs. Ce spot et les témoignages ont été gravés sur CD et insérés dans des pochettes pour être diffusés aux 750 stations radios locales invitées à relayer la campagne. - une carte postale tirée à exemplaires, qui sera disponible dans les Préfectures, les centres de santé, les centres EDF-GDF et chez les professionnels du bâtiment associés à la campagne. 53

7 III Le dispositif de la campagne Des actions de prévention - Des comités départementaux de prévention des intoxications au monoxyde de carbone se sont créés pour réunir les partenaires concernés dans une vingtaine de département. Des sessions de formation des personnels médicaux et sociaux, des rencontres professionnelles, des actions de sensibilisation dans les écoles et collèges, des sites internet se sont créés à leur initiative. - Les syndicats professionnels du chauffage, de l entretien et de l installation des appareils de chauffage ou d eau chaude organisent des réunions d information à l intention de leurs adhérents pour relayer l information auprès de leurs clients. - La Fédération Nationale des Sapeurs Pompiers a diffusé ces trois dernières années le dépliant de la campagne aux brevetés de l Attestation de Formation aux gestes de Premiers Secours (AFPS) que les unions départementales de sapeurs pompiers forment chaque année. C est la carte postale qui constituera le nouveau support à distribuer. - Gaz de France, pour renforcer la sécurité des installations intérieures, réalise Diagnostics Qualité par an. Lors de chaque Diagnostic Qualité, des conseils de prévention spécifiques sont diffusés sur l entretien de l installation et des ventilations. Un livret conseil rappelant les gestes essentiels et les pictogrammes de sécurité est remis au client. Par ailleurs, les accueils clientèle mettent à disposition du public les dépliants de la campagne. 54

8 IV LES TÉMOIGNAGES Médecin Colonel Jean-Yves Bassetti Service d incendie et de secours de l Aude Tél : O Un tueur invisible et silencieux L obsession du sapeur pompier Ce gaz est un peu l obsession du sapeur pompier. Son action est insidieuse. Il trompe la vigilance du professionnel des secours. Sa recherche est synonyme d enquête policière : on ne le voit pas, on ne le sent pas...mais il tue. Même l état des victimes peut le tromper : les signes cliniques sont plus proches d une atteinte cardiaque, neurologique ou digestive que d une asphyxie. Les premiers secours Seul le détecteur va permettre d identifier ce gaz et de mesurer son taux de concentration dans l air ambiant. Bien sûr, l expérience des secouristes et leurs connaissances de ce type d environnement les amène à aérer immédiatement les locaux en ouvrant toutes les issues, à sortir les victimes de ce milieu toxique et à pratiquer une oxygénothérapie pour les sauver. Suivant la gravité de l état de la victime, il faut parfois pratiquer également des gestes de réanimation et diriger les victimes vers les hôpitaux où ils sont alors placés dans un caisson hyperbare. Docteur Monique MATHIEU NOLF Du Centre de Toxicologie de Lille Tél : Fax : Numéro d urgence : minutes sous pression Antoine, cinq ans, en caisson hyperbare N importe qui peut être victime d une intoxication. Souvent c est en pratiquant les gestes simples de la vie quotidienne, mise en route du chauffage, de l eau chaude que se produit le drame. La maison n est pas vide et souvent c est toute la famille qui est touchée. Je revois ce petit garçon de cinq ans environ, Antoine, sortant du scaphandre jaune, le caisson hyperbare du CHRU de Lille, où il était resté 90 minutes avec l infirmier à ses côtés. Il était encore sous le choc. Les pompiers les avaient trouvés lui et sa mère étendus sur le carrelage de la salle de bains. Il avait repris connaissance dans l ambulance avec un gros mal de tête. 5

9 IV Les témoignages 90 minutes sous pression (suite) L hiver, c est une urgence quotidienne dans cette région du Nord Pas de Calais si touchée? Hélas oui. En période hivernale, ce sont cinq ou six personnes par jour qui vont bénéficier d une séance d oxygénothérapie hyperbare. En cas d épidémie, le nombre de personnes accueillies peut atteindre le chiffre de 75 victimes Il faut jongler avec les patients habituels du caisson, soignés pour d autres maladies (ulcères, infections), et les autres urgences (anoxie cérébrale ) et répartir au mieux les patients dans les différents caissons, le plus grand pouvant recevoir neuf patients. Rappelons que l oxygénothérapie hyperbare est le seul traitement efficace à ce jour. Le coût de la séance est d environ 120 euros. Après le traitement d urgence, que se passe-t-il? Les victimes bénéficient d un suivi médical du centre anti-poison trois mois après l intoxication pour évaluer si la guérison est totale. Il peut y avoir des séquelles chez les plus fragiles (enfants, personnes âgées). Il faut convaincre également les patients de faire réaliser les travaux nécessaires pour supprimer le risque. L intervention de la DDASS Pour sa part, la Direction Départementale des Affaires Sanitaires et Sociales est informée de l accident et chargée de lancer une enquête technique. Cette enquête servira à repérer les causes de l accident et éviter qu il ne se reproduise en liaison souvent avec tous les partenaires médicaux et sociaux (commune, médecin de famille ). 56

10 V LES DIX CONSEILS PRATIQUES > Faites entretenir votre chaudière par un professionnel qualifié. Faites la vérifier avant la période de froid. Demandez une fois par an à un professionnel qualifié de venir faire une vérification complète. Si vous devez vous absenter, vous pouvez la laisser fonctionner au ralenti pour protéger votre installation de chauffage individuel contre le gel. > Veillez à ce que le conduit de cheminée soit en bon état si la chaudière est raccordée, quel que soit le matériau qui le compose (conduit maçonné, éléments emboîtés ou tubage, réalisés en aluminium ou en acier inoxydable). > Vérifiez que l évacuation des fumées s effectue en dehors de l immeuble. Attention, les appareils mobiles de chauffage d appoint fonctionnant au butane, au propane, au pétrole, ne doivent être utilisés que par intermittence. > Ne vous chauffez jamais avec des panneaux radiants (prévus pour des locaux de grand volume très ventilés) ou des radiateurs de camping destinés à l extérieur, ni en allumant le four de la cuisinière, porte ouverte. > Les appareils neufs fonctionnant au gaz naturel doivent obligatoirement présenter le marquage CE et pour certains appareils de cuisson de haut de gamme, la marque NF GAZ Sélection. > N utilisez les petits chauffe-eau sans évacuation de fumées que de façon intermittente et pour une courte durée (8 minutes maximum). Ils doivent être installés dans une pièce suffisamment grande et aérée. Le volume minimal pour une pièce doit être de 8 m 2 lorsque on utilise un appareil de cuisson et de 15 m 3 avec un petit chauffe eau. Ils sont interdits dans une salle de bains ou une douche, une chambre à coucher ou une salle de séjour. > Il est interdit d installer une hotte raccordée à l extérieur dans une pièce où se trouve également un appareil raccordé à un conduit de fumée. Cela peut perturber gravement son fonctionnement. Préférez une hotte à recyclage d air et consultez un installateur. > Faites effectuer un entretien spécifique régulier si votre logement est équipé d une Ventilation Mécanique Contrôlée. Renseignez vous auprès de votre gestionnaire d immeuble. > Les appareils récents raccordés à un conduit de fumée en tirage naturel, possèdent désormais un système de sécurité supplémentaire contre le refoulement des produits de combustion, appelé SPOTT : Système permanent d Observation du Tirage Thermique. > Nettoyez régulièrement les brûleurs de votre cuisinière à gaz (on doit voir la flamme dans chaque orifice). S ils sont encrassés le mélange air-gaz ne s effectue pas dans de bonnes conditions et le brûleur peut s éteindre, notamment quand il est au ralenti. Une flamme bien réglée ne doit pas noircir le fond des casseroles. Enfin, informez vous auprès des professionnels qualifiés, lisez attentivement les notices d utilisation et d entretien de vos appareils 57

11 VI QUE FAIRE EN CAS D ACCIDENT Les consignes de sécurité en cas d accident dû au monoxyde de carbone sont simples : 1> Aérer immédiatement les locaux en ouvrant portes et fenêtres. 2> Faire évacuer les locaux et vider les lieux de leurs occupants. 3> Appeler les secours : - Pompiers : 18 - SAMU : 15 4> Ne réintégrer les locaux qu après le passage d un professionnel qualifié qui recherchera la cause de l intoxication et proposera les travaux à effectuer. 5> Contacter : La Direction Départementale des Affaires Sanitaires et Sociales ou le Laboratoire Central de la Préfecture de Police pour Paris et les départements 92, 93 et 94. Ces services sont en mesure de vous donner des informations complémentaires et peuvent intervenir pour vous permettre d obtenir une aide. 58

12 VII L ACCIDENTOLOGIE INTOXICATIONS ET 300 DECES CHAQUE ANNEE Les intoxications au monoxyde de carbone ne font l objet d aucune déclaration obligatoire. Aux intoxications aigues nécessitant une intervention des secours, il faut ajouter toutes les intoxications dites chroniques plus difficilement détectables (nausées, maux de tête ) qui génèrent à la longue des troubles cardiaques ou respiratoires. Ces intoxications sont actuellement suspectées de perturber le développement cérébral des enfants et notamment leur fonctionnement intellectuel. Des sources différentes alimentent les chiffres relatifs aux intoxications (Inserm, Direction Générale de la Santé, Laboratoire Central de la Préfecture de Police) suivant les aspects traités qui, donc, de l avis de tous les spécialistes sont sous estimées. Une étude 2001 de la Direction Générale de la Santé Une étude de la Direction générale de la Santé effectuée en 2001 portant sur près de personnes intoxiquées ayant fait l objet d un suivi hospitalier livre des informations précieuses sur la répartition géographique des intoxications par exemple, ou le devenir des victimes hospitalisées pour lesquelles des informations détaillées sont disponibles. 1) Les victimes La Direction Générale de la Santé a basé son étude 2001 sur : 3425 intoxiqués déclarés dont 2/3 ont été hospitalisés. Ces intoxications déclarées sont réparties géographiquement suivant la carte ci-jointe (p.10). On observe que les régions Nord Pas de Calais, Picardie, Haute Normandie, Pays de la Loire, Limousin, Massif Central, Bourgogne, Rhône Alpes, l Hérault sont les plus touchés. Pour sa part, l Inserm a recensé (hors incendie et suicides) : 197 décès annuels dus au CO, soit en moyenne 3,3 décès par million d habitant (sur la période de 1985 à 1998). Là également les recensements sous estiment la réalité. Il manque les décès à domicile dont la cause CO n a pas été définie ainsi que les décès dus au CO non signalés (par les Instituts médicaux légaux, les urgences hospitalières..) 2) Les hospitalisés Les statistiques fournies à la DGS pour 2001 montrent que parmi les victimes hospitalisées, 960 sont passées en réanimation (soit 50 %), 586 ont été placées en caisson hyperbare (30%), 399 ont bénéficié d une hospitalisation simple (20 %) et 4 sont décédées à l hôpital. La durée moyenne du séjour est de 1,29 jours. L âge des hospitalisés montre que la majorité (3/4?) a moins de quarante cinq ans. Les jeunes enfants et adolescents de 0 à 18 ans représentent 34 % des hospitalisés. 3) Les appareils en cause Une étude de la DGS portant sur 670 appareils ayant provoqué des intoxications montre que les accidents étaient dus principalement à : 1) des appareils de chauffage raccordés (dans 68% des cas) 2) des chauffe-eau ou chauffe-bains raccordés (dans 19 % des cas) Les combustibles utilisés par ces appareils sont le gaz (butane, gaz naturel et propane) (61 %), le charbon (32 %) et le fioul (7%) Dans 54 % des cas on constate une absence d aération des locaux. 59

13 VI L accidentologie Les statistiques 2002 Paris et région parisienne ( ) Le Laboratoire Central de la Préfecture de Police depuis plusieurs dizaines d années, assure le suivi (mise en sécurité, expertises et prescriptions de travaux de mise en conformité) des intoxications oxycarbonées qui se produisent à Paris et dans les trois départements limitrophes. Il fait partie, depuis 2000, du réseau de toxico-vigilance en région parisienne. Il dispose de spécialistes formés à cet effet et d'outils statistiques modernes afin d'évaluer avec précision cette accidentologie. Les chiffres fournis, ci-après, correspondent à l année ) Les victimes Sur Paris, les Hauts-de-Seine, le Val-de-Marne et la Seine-Saint-Denis, le LCPP a recensé : cas d'intoxications oxycarbonées soit 1289 victimes en dix ans (graphique 1 : Évolution du nombre des victimes joint en annexe) - 12 décès soit 116 depuis dix ans (graphique 2 : Répartition des décès par département joint en annexe). Depuis dix ans le nombre des décès, tous départements considérés confondus, a fluctuée de 19 en 1993 à 3 en Il semblerait que le nombre de décès augmente depuis ces trois dernières années. 2) Les appareils en cause - 64,6% accidents concernent des appareils à gaz de chauffage et de production d'eau chaude raccordés à un conduit de fumée. Pour ces affaires, trois anomalies principales ont été constatées qui, dans de nombreux cas, ne sont pas exclusives l'une de l'autre. - un défaut d entretien de l appareil (57,6%). L entretien annuel demandé n est réalisé que dans 28% des cas. - une mauvaise ventilation du local (48%) - un défaut du conduit de fumée (37,6% conduit obstrué, 65,9% débouché du conduit non réglementaire) - les appareils à gaz non raccordés représentent 11,5% des accidents. Dans la majorité des cas, l encrassement des appareils et/ou la ventilation non réglementaire du local où ils étaient installés, ont entraîné leur dysfonctionnement. - les appareils à gaz raccordés à une installation de ventilation mécanique contrôlée (VMC Gaz) ont été mis en cause dans 1,7% des cas. - les appareils de chauffage alimentés par un autre combustible que le gaz et les chauffages d'appoint ont concerné 17,7% des accidents, les chauffages de fortune tels que les braseros, 8,8% et les moteurs thermiques 4,4% des accidents. 3) Les types d habitat immeubles (53%), pavillon (13,3%), HLM (3,5%), restaurant (2,6%). 510

14 VIII ANNEXES Carte et tableaux INTOXICATIONS AU MONOXYDE DE CARBONE EN 2001 (ETUDE DE LA DIRECTION GENERALE DE LA SANTE) Pas de données 511

15 VIII Annexes Carte et tableaux INTOXICATIONS DUES AU MONOXYDE DE CARBONE STATISTIQUES PARIS, 92,93,94 (Source : Laboratoire central de la Préfecture de Police) 512

16 VIII Annexes Les orientations de la Direction Générale de la Santé ( ) Le monoxyde de carbone, (CO) est une des principales causes d intoxication accidentelle en milieu domestique. C est pourquoi, l objectif de santé publique poursuivi par la Direction Générale de la Santé est la réduction du nombre réel d intoxications au monoxyde de carbone. La prévention doit être placée au cœur de la politique de santé publique. LES OBJECTIFS Les efforts de la Direction Générale de la Santé portent ainsi sur : - la connaissance de l intoxication chronique dite à bas bruit (connaissance médicale, population exposée, conséquences sanitaires) et de la connaissance de l intoxication CO chronique professionnelle. - l obtention d un recueil exhaustif des cas d intoxication aigüe par CO, - la recherche de seuils sanitaires limites, ou de valeurs recommandées, dans l habitat pour le CO - La refonte de la réglementation CO visant notamment à définir des règles sanitaires applicables aux installations à risque CO. A cet égard, la loi n du 2 juillet 2003, loi urbanisme et habitat (article 81) renvoie à un décret permettant de définir les règles techniques et sanitaires applicables aux installations faisant courir des risques d intoxication à leurs utilisateurs. LES OUTILS DE PREVENTION Ces outils utilisent : 1. le fonctionnement du système national de surveillance des intoxications oxycarbonées. 2. les campagnes d information et de prévention annuelles du grand public locales ou nationales 513

17 VIII Annexes Présentation des partenaires Association Française du Gaz (AFG) L association Française du Gaz regroupe près de 2000 membres qui se sont fixés plusieurs axes : - offrir des services (formation, certification, normalisation, audit ) - représenter l industrie gazière et dialoguer avec les pouvoirs publics, ministères tant en France qu à l étranger. Pour travailler ensemble, l association a constitué quatre commissions métiers (transport stockage, distribution, négoce, métiers de l aval) qui participent activement à l évolution réglementaire et technique du secteur dans un contexte d ouverture de marché et de changements ainsi que deux commissions transverses (formation et économie gazière). Structurée au niveau régional, l AFG s est dotée de neuf unités régionales qui tissent des relations auprès de l ensemble des partenaires de la filière (gaz naturel et GPL). C est à l occasion des réunions et manifestations qu elles organisent que ces sections régionales relaient la campagne d information et de prévention des intoxications au monoxyde de carbone auprès de leurs adhérents, installateurs, prescripteurs, industriels, formateurs, fabricants 62 rue de Courcelles PARIS Tél : Télécopie : Site internet : La Brigade des Sapeurs Pompiers de Paris (BSPP) La Brigade de sapeurs-pompiers de Paris (BSPP) est une unité militaire de sapeurs-pompiers de l'armée de Terre. Toujours novatrice, le casque d'intervention qu'elle a conçu en 1985 en est un des symboles : Il est aujourd'hui porté par les pompiers de plus 80 pays. La Brigade a en outre créé le Plan rouge, les DICA (détachement d'intervention pour catastrophe aéromobile) et est à l'origine de divers concepts ou matériels d'intervention comme le Premier secours évacuation. Unité prestigieuse et internationalement reconnue, c'est le plus grand corps de sapeurs-pompiers en Europe, il est jumelé avec des pompiers de différentes villes comme, New York, Pékin, Santiago du Chili. La zone d'action interdépartementale de la Brigade Paris et les trois départements de la petite couronne est un cas unique en France. L'originalité de la BSPP se trouve accentuée par sa subordination, car elle est placée sous les ordres du général gouverneur militaire de Paris, commandant la Région Terre Ile-de-France, et est mise, pour emploi, sous l autorité du préfet de police agissant dans le cadre de ses attributions en matière de secours, de défense contre l incendie et de lutte contre les sinistres et catastrophes. En 2002 la BSPP a réalisé interventions dont feux. Elle reçoit par jour plus de 5000 appels au 18/112 et après un tri effectue malgré tout plus de 1100 interventions par jour, soit 1 intervention tous les 70 secondes. 1 Place Jules Renard Paris Tel : Telecopie : Site internet : http// 514

18 VIII Annexes Présentation des partenaires Comité Français du Butane Propane (CFBP) Le Comité Français du Butane et du Propane représente la filière GPL auprès des pouvoirs publics, des Industries et des associations professionnelles nationales, ou internationales. La qualité et la sécurité, dans tous les domaines : matériel, stockage, transport, installations en clientèle, applications gazières, utilisation de l énergie Butane Propane, sont au cœur des préoccupations des sociétés distributrices et de l ensemble des adhérents du CFBP. L engagement sécurité et la compétence de l ensemble du personnel intervenant permet de donner, pour la filière GPL, l assurance qualité de la sécurité à nos clients. Dans ce cadre des plans d actions précis sont mis en œuvre comme, pour ne citer qu un exemple concret, la campagne de Diagnostic Sécurité des Installations intérieures GPL. Partenaire des pouvoirs publics, le CFBP participe activement à la campagne de prévention contre les risques liés au monoxyde de carbone. Les informations et conseils de prévention diffusés au cours de cette campagne sont relayés dans chaque département par les délégués régionaux du CFBP et les sociétés distributrices de GPL. 5, rue Bellini Puteaux Tél : Télécopie : Site internet : Commission de la Sécurité des Consommateurs (CSC) La Commission de la Sécurité des Consommateurs est une autorité administrative indépendante créée par la loi du 21 juillet 1983 (article L224 du Code de la Consommation). Elle a pour mission la prévention des risques liés à l utilisation des produits et des services. Pour ce faire, elle fournit des avis aux pouvoirs publics relatifs à des produits ou des services dangereux. Elle informe les consommateurs par le biais de communiqués de presse, de campagnes de prévention et de fiches pratiques. Elle participe à l élaboration des recensements statistiques relatifs aux accidents domestiques. Elle travaille sur saisine de toute personne physique ou morale et peut s autosaisir en cas de besoin. Sur le risque lié au monoxyde de carbone, la CSC a rendu un avis le 20 avril 1988 relatif aux intoxications provoquées par des appareils raccordés à des ventilations mécaniques contrôlées (VMC) et a publié plusieurs dossiers ou articles dans sa lettre d information accompagnée du dépliant. Elle participe activement au groupe de pilotage qui prépare la campagne. Cité Martignac 111, rue de Grenelle PARIS 07 SP Tél : Télécopie : Site internet : 515

19 VIII Annexes Présentation des partenaires Confédération de l Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment (CAPEB) La CAPEB est l organisation professionnelle représentative de l artisanat du bâtiment. Depuis cinquante ans, elle défend les intérêts matériels et moraux de toutes les entreprises du bâtiment. Les 105 syndicats départementaux qui lui sont affiliés informent leurs cent mille adhérents de tous les domaines utiles à leurs entreprises : technique, économique, fiscal, social, juridique. Elle représente les entreprises artisanales du bâtiment dans toutes les instances de concertation et de décision, et devant les pouvoirs publics auxquels elle propose les mesures jugées nécessaires et adaptées aux entreprises du secteur. Pour répondre aux problèmes particuliers de chaque profession, huit unions nationales artisanales ont été constituées autour des différents corps d état du bâtiment. L UNA couverture plomberie chauffage de la CAPEB participe activement à la campagne de prévention et d information sur le risque d intoxication au monoxyde de carbone au travers d actions de sensibilisation menées au niveau local. Au delà de la réflexion menée dans le cadre des groupes de travail, la CAPEB assure par l intermédiaire de ses syndicats départementaux la diffusion de dépliants et d affiches, le développement d actions locales placées sous l autorité des préfectures ainsi que l incitation des professionnels du bâtiment à relayer l information auprès du public. 46, avenue d Evry Paris Cédex 13 Tél : Fax : Fédération Française du Bâtiment (FFB) - Union Climatique de France (UCF) L union Climatique de France fait partie de la Fédération Française du Bâtiment. Elle regroupe plus de entreprises de l équipement technique du bâtiment ayant des qualifications Qualibat en génie climatique (chauffage, climatisation, ventilation et maintenance ), dont plus de 50% d entreprises artisanales. L UCF a essentiellement un rôle de soutien et de promotion de la profession. Elle est souvent sollicitée par les pouvoirs publics afin de donner un reflet du terrain, aidant ainsi à faire appliquer les mesures de manière pratique. L UCF a un rôle de conseil auprès de ses membres. Dans le cadre de la campagne de prévention sur le risque d intoxication au monoxyde de carbone, les entreprises membres de l UCF contribuent à l information des particuliers en distribuant les dépliants. La fonction des entrepreneurs est de réaliser des prestations, toute l année. Ils participent directement à la modernisation du parc immobilier, public et privé, et à la maintenance (entretien et dépannage) des installations de chauffage, neuves ou anciennes, et cela quelle que soit l énergie. Pour mieux faire prendre conscience des risques liés aux installations non conformes et/ou non entretenues, l UCF a organisé en 2001/2002, plus d une trentaine de réunions dans toute la France, à destination de ses membres. Cela a permis de relancer les thèmes de la sécurité et de la qualité. Par exemple, en habilitant un ou plusieurs responsables gaz, les installateurs obtiennent l appellation PGN et/ou PGP (professionnel du gaz naturel et/ou propane), signalant ainsi leurs compétences. 9, rue La Pérouse Paris Cedex Tél : Fax : (UCF) 516

20 VIII Annexes Présentation des partenaires Fédération Nationale des Sapeurs-Pompiers (FNSP) Fondée en 1882, la FNSP forte de plus de membres actifs, rassemble la quasi totalité des sapeurs pompiers civils sans distinction de catégorie ou de grade. Sa très large représentativité et la légitimité démocratique de ses élus lui donnent vocation à être une force de proposition en matière de lutte contre l incendie et de secours d urgence. De fait, elle est un interlocuteur privilégié des pouvoirs publics et en particulier de la Direction de la défense et de la sécurité civiles au ministère de l Intérieur, de la Sécurité intérieure et des libertés locales. Elle a aussi vocation à définir et à promouvoir l image nationale des sapeurs pompiers auprès du public et des forces vives de la Nation (élus locaux, associations, milieux professionnels ). 24 commissions fédérales conduisent des travaux sur une palette aux multiples registres : politique, jeunes sapeurs pompiers, statuts et techniques de la profession, sports, secourisme grand public, histoire et culture sans oublier l action internationale et humanitaire. C est précisément la commission secourisme qui a décidé, suite à une proposition, de remettre le dépliant de la campagne à chacune des personnes formées chaque année, par les unions départementales de sapeurs pompiers, aux gestes de premiers secours, en même temps que leur diplôme (AFPS). Cette opération a commencé en 2002 et se poursuivra en Maison des sapeurs pompiers de France 32, rue Breguet Paris Tél : Télécopie : Site internet : Gaz de France Au premier rang des entreprises gazières européennes, le groupe Gaz de France intègre tous les métiers du gaz naturel, de l exploration-production jusqu aux services associés à la livraison d énergie, pour répondre aux attentes de ses clients. La sécurité sur ses propres ouvrages et sur les installations intérieures de ses clients est une préoccupation constante de Gaz de France. A ce titre, Gaz de France a mis en place le Programme Qualité Sécurité des Installations Intérieures avec pour objectifs de : - améliorer la qualité et la sécurité des installations intérieures de gaz naturel neuves ou existantes - informer et sensibiliser les clients vis à vis de leur responsabilité. Depuis 1997, la réalisation de plus de 3 millions de Diagnostic Qualité Gaz de France et les campagnes de communication mises en place ont permis de faire progresser significativement la sécurité des installations intérieures. Le Diagnostic Qualité est un service Dolce Vita. Il permet, en moins de trente minutes, de faire un bilan complet de l installation : tuyauterie fixe, raccordement de l appareil de cuisson, ventilation et combustion des appareils. Depuis plusieurs années, Gaz de France est partenaire des pouvoirs publics dans la lutte contre les intoxications au monoxyde de carbone. Les dépliants de la campagne sont mis à disposition dans les accueils clientèle et les unités locales de Gaz de France diffusent les messages de prévention. 23, rue Philibert Delorme Paris Cedex 17 Tél : (service de presse) Télécopie : Site internet : Numéro Azur des Conseillers Gaz de France : (prix d un appel local) 517

21 VIII Annexes Présentation des partenaires Laboratoire Central de la Préfecture de Police (LCPP) Le Laboratoire Central de la Préfecture de Police intervient 24h/24 à Paris et dans les trois départements limitrophes des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne dès le signalement d'une intoxication oxycarbonée suspecte ou avérée, pour en rechercher l'origine. Il détermine les causes de l'accident, prescrit le cas échéant les travaux de mise en conformité des installation et prodigue recommandations et conseils aux usagers d'appareils à combustion pour une utilisation en toute sécurité. Participer à la campagne d'information lui permet d'en diffuser les dépliants auprès des services communaux, des écoles et des particuliers. Chaque année, un communiqué de presse repris sur le site Internet de la Préfecture de Police rappelle les précautions permettant d'éviter une intoxication oxycarbonée. 39bis, rue de Dantzig Paris tél : télécopie : Ministère de l'intérieur de la sécurité publique et des libertés locales Direction de la défense et de la sécurité civiles (DDSC). Sous direction de la défense civile et de la prévention des risques (Bureau de la réglementation incendie et des risques pour le public). La Direction de la Défense et de la Sécurité Civiles du ministère de l Intérieur, de la Sécurité intérieure et des Libertés locales s implique largement depuis plusieurs années dans la prévention et l information sur le risque d intoxications au monoxyde de carbone. Elle a ainsi participé à une première campagne en 97, 98 et 99 avec le ministère de la Santé et Gaz de France et depuis quatre ans assure le pilotage de l actuelle campagne qui associe une douzaine de partenaires. Le ministère de la Santé, de la Famille et des Personnes handicapées est engagé à ses côtés. Elle fait appel au réseau des préfectures pour diffuser les supports de la campagne et animer des actions de prévention avec les partenaires locaux et les autres services déconcentrés de l Etat (mise en place de comités départementaux de lutte centre le monoxyde dans une vingtaine de départements, actions de sensibilisation dans les écoles en liaison avec l Inspection académique, informations sur les sites internet des préfectures ). Adresse postale : Place Beauvau PARIS CEDEX 08 Adresse des locaux : Quai du Docteur Dervaux Asnières sur Seine Tél : (cellule communication) Télécopie : Mel : ddsc@interieur.gouv.fr Site internet : 518

22 VIII Annexes Présentation des partenaires Ministère de la Santé, de la Famille et des Personnes handicapées Direction générale de la santé (DGS). Sous direction de la gestion des milieux (Bureau des bâtiments, du bruit et des milieux de travail) Le ministère de la Santé, de la Famille et des Personnes handicapées est engagé aux côtés du ministère de l Intérieur, de la sécurité intérieure et des libertés locales, de Gaz de France et de tous les autres partenaires dans la campagne de prévention et d information sur le risque d intoxication au monoxyde de carbone, relayée par les directions départementales des affaires sanitaires et sociales. Pour lutter contre ces intoxications, la Direction générale de la santé fait porter ses efforts sur la connaissance de l intoxication, l obtention d un recueil exhaustif des cas d intoxications, le refonte de la réglementation CO. 8 avenue de Ségur Paris 07 SP Tél : (Cellule communication de la DGS) Télécopie : Site internet : Syndicat Professionnel des Entreprises Gazières Municipales et assimilées (SPEGNN) Le syndicat professionnel des entreprises gazières non nationalisées a été créé en 1949 et a concerné dès cette date la totalité du secteur exclu de la loi de nationalisation sur le gaz. Il s est par la suite appelé syndicat professionnel des entreprises gazières municipales et assimilées (Gaz de Bordeaux, Gaz de Strasbourg.). Son but est de renforcer la représentation des différentes entreprises adhérentes auprès des pouvoirs publics afin que leurs spécificités soient prises en compte notamment dans le cadre de la construction européenne. Le SPEGNN est membre de nombreux organismes tels que l Association Française du Gaz et Qualigaz. Son engagement en termes de qualité et de sécurité l ont conduit à rejoindre le groupe de pilotage de la campagne de prévention sur le risque d intoxication au monoxyde et à assurer une large diffusion des supports auprès de ses adhérents ainsi que la conduite d actions de sensibilisation auprès d élèves d établissements scolaires spécialisés dans le bâtiment. 27, rue Saint Ferdinand Paris Cedex 17 Tél : Télécopie :

23 VIII Annexes Les adresses utiles Centres anti-poison et de toxicovigilance PARIS Hôpital Fernand Widal 200, rue du Faubourg Saint Denis PARIS Tél : ANGERS CHRU 4, rue Larrey ANGERS Cedex 01 Tél. : Fax : BORDEAUX Hôpital Pellegrin Tripode Place Amélie Raba-Léon BORDEAUX Cedex Tél. : Fax : LILLE CHRU 5, avenue Oscar Lambret LILLE Cedex Tél. : Fax : LYON Hôpital Edouard Herriot 5, place d Arsonval LYON Cedex 03 Tél. : Fax : NANCY Hôpital Central 29, avenue du Mal de Lattre de Tassigny NANCY Cedex Tél : Fax : MARSEILLE Hôpital Salvador 249, boulevard Ste Marguerite MARSEILLE Cedex 9 Tél : Fax : RENNES Hôpital Pontchaillou Rue Henri le Guillou RENNES Tél : Fax : STRASBOURG Hôpital civil Place de l hôpital STRASBOURG Tél : Fax : TOULOUSE Hôpital Purpan Place du Dr Baylac TOULOUSE Tél : Fax : Directions départementales des affaires sanitaires et sociales 520

MONOXYDE DE CARBONE UN GAZ INVISIBLE, INODORE MAIS MORTEL

MONOXYDE DE CARBONE UN GAZ INVISIBLE, INODORE MAIS MORTEL DOSSIER DE PRESSE NOVEMBRE 2005 MONOXYDE DE CARBONE UN GAZ INVISIBLE, INODORE MAIS MORTEL «Maux de tête, vertiges, perte de connaissance, coma, voire décès Le monoxyde de carbone (CO) est invisible, inodore

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE OCTOBRE 2006

DOSSIER DE PRESSE OCTOBRE 2006 DOSSIER DE PRESSE OCTOBRE 2006 Intoxication au monoxyde de carbone Incendies domestiques A la maison, un réflexe en plus, c est un risque en moins! 1 Sommaire Intoxication au monoxyde de carbone et incendies

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE. Campagne régionale de prévention des intoxications au monoxyde de carbone

DOSSIER DE PRESSE. Campagne régionale de prévention des intoxications au monoxyde de carbone DOSSIER DE PRESSE Campagne régionale de prévention des intoxications au monoxyde de carbone www.intoxco-npdc.fr Septembre 2014 SOMMAIRE Communiqué de presse.. 3 Pourquoi une alerte SMS... 4 Chiffres clés

Plus en détail

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SPORTS SANTÉ SANTÉ PUBLIQUE

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SPORTS SANTÉ SANTÉ PUBLIQUE SANTÉ SANTÉ PUBLIQUE Santé environnementale MINISTÈRE DE L INTÉRIEUR, DE L OUTRE-MER ET DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SPORTS Direction de la sécurité civile Sous-direction

Plus en détail

Entre nous. n 11. Journal des locataires. inclus cahier central détachable. Chers locataires,

Entre nous. n 11. Journal des locataires. inclus cahier central détachable. Chers locataires, n 11 Décembre 2013 Entre nous Journal des locataires Chers locataires, Le Mouvement HLM s est réuni en Congrès à Lille à la fin du mois de septembre. A cette occasion, il a été affiché une volonté de mobiliser

Plus en détail

Bulletin de veille sanitaire octobre 2012

Bulletin de veille sanitaire octobre 2012 CELLULE DE L INVS EN RÉGION BRETAGNE Bulletin de veille sanitaire octobre 01 Les intoxications au monoxyde de carbone survenues en Bretagne en 011 Page 1 Introduction Page Matériel et méthode Le système

Plus en détail

l entretien des chaudières

l entretien des chaudières Préservez et améliorez les performances de votre installation de chauffage : l entretien des chaudières L H A B I T A T I N D I V I D U E L pour un chauffage sûr et efficace Votre logement est équipé d

Plus en détail

Prévention des intoxications Entretien des chaudières

Prévention des intoxications Entretien des chaudières Journée Information «Monoxyde de Carbone» 18 juin 2012 Clermont-Ferrand Prévention des intoxications Entretien des chaudières Textes réglementaires et pratiques des professionnels Ministère de l'écologie,

Plus en détail

LES FEUX D HABITATION À PARIS

LES FEUX D HABITATION À PARIS BRIGADE DE SAPEURS-POMPIERS DE PARIS LES FEUX D HABITATION À PARIS I GÉNÉRALITÉS En France, les feux tuent environ 800 personnes chaque année, soit 1 décédé pour 77 500 habitants. Sur le secteur de la

Plus en détail

Un avertisseur de monoxyde de carbone peut sauver des vies

Un avertisseur de monoxyde de carbone peut sauver des vies Un avertisseur de monoxyde de carbone peut sauver des vies Protégezvous! Le monoxyde de carbone est un gaz toxique présent dans votre maison il peut tuer rapidement INODORE INCOLORE SANS SAVEUR Pourquoi

Plus en détail

CATALOGUE DE hformation GAZ

CATALOGUE DE hformation GAZ CATALOGUE DE hformation GAZ 6 Rue des Bonnes Gens 68025 COMAR CEDEX Tél : 03.69.28.89.00 Fax : 03.69.28.89.30 Mail : contact@coprotec.net Site : www.coprotec.net SOMMAIRE PRESENTATION... 3 NOS FORMATIONS

Plus en détail

Notice de sécurité de votre. installation au gaz naturel

Notice de sécurité de votre. installation au gaz naturel Notice de sécurité de votre installation au gaz naturel 1 Sommaire 2 3 Le gaz naturel, une énergie d avenir 05 Le gaz naturel. Faire bon usage du gaz naturel 07 Description générale de l installation du

Plus en détail

Profitez au mieux de votre logement économe en énergie. Bâtiment basse consommation. Ce qu il faut savoir et comment vous adapter

Profitez au mieux de votre logement économe en énergie. Bâtiment basse consommation. Ce qu il faut savoir et comment vous adapter CONSEILS AUX PARTICULIERS Bâtiment basse consommation Profitez au mieux de votre logement économe en énergie Ce qu il faut savoir et comment vous adapter Que vous apporte un bâtiment économe en énergie?

Plus en détail

«Votre sécurité, est notre priorité»! D é t e c t e r... E n r e g i s t r e r... C o n s u l t e r... V o i r... T r a n s m e t t r e...

«Votre sécurité, est notre priorité»! D é t e c t e r... E n r e g i s t r e r... C o n s u l t e r... V o i r... T r a n s m e t t r e... D é t e c t e r... E n r e g i s t r e r... C o n s u l t e r... V o i r... T r a n s m e t t r e... A l e r t e r... «Votre sécurité, est notre priorité»! Copyright photo: Dôme Sécurité exerce dans le

Plus en détail

Sommaire. Références 138. 8 Le diagnostic gaz - Sommaire. Le diagnostic gaz - Sommaire

Sommaire. Références 138. 8 Le diagnostic gaz - Sommaire. Le diagnostic gaz - Sommaire Sommaire Chapitre 1. Qu est-ce qu une installation gaz? 10 Généralités 11 1.1 Comment ça marche? 12 1.2 Définitions 14 1.3 Les appareils 19 Chapitre 2. Les tuyauteries fixes 28 Généralités 29 2.1 Tuyauteries

Plus en détail

ETAT DE L INSTALLATION INTERIEURE DE GAZ

ETAT DE L INSTALLATION INTERIEURE DE GAZ SARL CLAUDE MOREAU 401 rue de Bordeaux 16000 ANGOULEME Tél. : 05 45 94 10 94 - Fax : 05 45 94 66 57 http://www.claude-moreau-diagnostic.com ETAT DE L INSTALLATION INTERIEURE DE GAZ Date de la mission :

Plus en détail

guide domestiques des incendies Assurer son logement, c est obligatoire et utile

guide domestiques des incendies Assurer son logement, c est obligatoire et utile 12 Assurer son logement, c est obligatoire et utile Assurer son logement est une obligation légale. Si un dégât se déclare chez vous et que vous n êtes pas assuré, vous devrez supporter les frais de remise

Plus en détail

Des gestes à poser en cas d urgence

Des gestes à poser en cas d urgence D I N SU Le Il s agit d une urgence quand : R L L DR R L R MRT L S C U S U M R L TL C D R R R S UR N T MR 09-203-01FA Gouvernement du Québec, 2009 C L D DR C DR S I Composez le 9-1-1 ou appelez le Centre

Plus en détail

FICHE ROL DEPARTEMENT DU TARN RELEVE D OBSERVATION LOGEMENT (ROL) I:\ENVIR\CB\2008\HABITAT\guide as\fiche ROL.doc

FICHE ROL DEPARTEMENT DU TARN RELEVE D OBSERVATION LOGEMENT (ROL) I:\ENVIR\CB\2008\HABITAT\guide as\fiche ROL.doc FICHE ROL DEPARTEMENT DU TARN RELEVE D OBSERVATION LOGEMENT (ROL) I:\ENVIR\CB\2008\HABITAT\guide as\fiche ROL.doc Le ROL est un document à usage des intervenants de terrain non techniciens du bâtiment.

Plus en détail

Rapport de l Etat de l Installation Intérieure de Gaz

Rapport de l Etat de l Installation Intérieure de Gaz Rapport de l Etat de l Installation Intérieure de Gaz Numéro de dossier : Norme méthodologique employée : Date du repérage : Heure d arrivée : Durée du repérage : AFNOR NF P 45-500 09 h 00 01 h 45 La présente

Plus en détail

L INCENDIE CHEZ VOUS. Comment l éviter? Que faire s il survient? Brigade de sapeurs-pompiers de Paris

L INCENDIE CHEZ VOUS. Comment l éviter? Que faire s il survient? Brigade de sapeurs-pompiers de Paris L INCENDIE CHEZ VOUS Comment l éviter? Que faire s il survient? Brigade de sapeurs-pompiers de Paris P. 6 P. 10 P. 16 P. 17 Le risque incendie p. 4 La chambre p. 6 Le salon et sa cheminée p. 8 La cuisine

Plus en détail

NF X 50-011 GAZ. Sommaire. Page

NF X 50-011 GAZ. Sommaire. Page Sommaire Page Avant-propos...5 1 Domaine d application...6 2 Caractéristiques...6 3 Conditions générales...6 3.1 Services ou prestations compris dans le contrat d abonnement...6 3.2 Durée et dénonciation...7

Plus en détail

MODE D EMPLOI DÉTECTEURS DE FUMÉE. Bien équipé, bien préparé, je suis en sécurité. MARS 2015. Obligatoire à compter du

MODE D EMPLOI DÉTECTEURS DE FUMÉE. Bien équipé, bien préparé, je suis en sécurité. MARS 2015. Obligatoire à compter du DÉTECTEURS DE FUMÉE MODE D EMPLOI FNSPF 2014. Firethinktank.org / Photo : Sébastien Mousnier. Bien équipé, bien préparé, je suis en sécurité. Obligatoire à compter du 8 MARS 2015 LES DÉTECTEURS AUTONOMES

Plus en détail

Le Plomb dans l eau AGENCE NATIONALE POUR L AMÉLIORATION DE L HABITAT

Le Plomb dans l eau AGENCE NATIONALE POUR L AMÉLIORATION DE L HABITAT Le Plomb dans l eau De quoi s agit-il? De quoi parle-t-on? Où le trouve-t-on? Quelle est son origine? Responsabilités Quels sont les effets néfastes du plomb dans l eau sur la santé? Comment les détecter?

Plus en détail

TOUT SAVOIR SUR LE CHAUFFAGE URBAIN

TOUT SAVOIR SUR LE CHAUFFAGE URBAIN TOUT SAVOIR SUR LE CHAUFFAGE URBAIN QU EST-CE QUE LE CHAUFFAGE URBAIN? Tout simplement un chauffage central, mais à l échelle d un quartier! La chaufferie urbaine de Nemours assure la production et la

Plus en détail

Centre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37

Centre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37 Centre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37 Les CAP français en 2009 Réponse téléphonique Toxicovigilance Flesch Françoise QU EST CE QU UN CENTRE ANTIPOISON Art D.711-9-1 1 (Décret

Plus en détail

mode d emploi PROTÉGEZ LA VIE DE CEUX QUE VOUS AIMEZ 18 Sapeurs-Pompiers 15 Samu 112 N d urgence européen d urgence gratuits

mode d emploi PROTÉGEZ LA VIE DE CEUX QUE VOUS AIMEZ 18 Sapeurs-Pompiers 15 Samu 112 N d urgence européen d urgence gratuits PROTÉGEZ LA VIE E CEUX QUE VOUS AIMEZ mode d emploi 18 Z Z Z 18 Sapeurs-Pompiers 15 Samu 112 N d urgence européen Les numéros d urgence gratuits Cette brochure peut vous sauver la vie, ne la jetez pas,

Plus en détail

La prévention des incendies domestiques

La prévention des incendies domestiques La prévention des incendies domestiques Comment éviter les risques d incendie : vigilance et gestes simples pour tous > Dans la chambre, éteindre complètement les cigarettes et ne pas fumer au lit. > Une

Plus en détail

CRÉDIT D IMPÔT LES GRANDS PRINCIPES. Un crédit d impôt : pourquoi? AVANT-PROPOS. Un crédit d impôt : comment? Un crédit d impôt : dans quels cas?

CRÉDIT D IMPÔT LES GRANDS PRINCIPES. Un crédit d impôt : pourquoi? AVANT-PROPOS. Un crédit d impôt : comment? Un crédit d impôt : dans quels cas? Mise à jour mars 2006 CRÉDIT D IMPÔT LES GRANDS PRINCIPES AVANT-PROPOS Le crédit d impôt en faveur des économies d énergie et du développement durable constitue une triple opportunité : Il offre à l utilisateur

Plus en détail

Avertisseur de monoxyde de carbone

Avertisseur de monoxyde de carbone Avertisseur de monoxyde de carbone À quoi sert l avertisseur de monoxyde de carbone? L avertisseur de monoxyde de carbone est un petit appareil conçu pour mesurer, sur une base continue, la concentration

Plus en détail

Mode d emploi Détecteur de monoxyde de carbone fonctionnant sur pile BCN 1221

Mode d emploi Détecteur de monoxyde de carbone fonctionnant sur pile BCN 1221 Mode d emploi Détecteur de monoxyde de carbone fonctionnant sur pile BCN 1221 Important : Lisez et conservez ce mode d emploi. Respectez et suivez les indications de sécurité. Index Détecteur de monoxyde

Plus en détail

Quels travaux confier à un professionnel?

Quels travaux confier à un professionnel? CONSEILS AUX PARTICULIERS Travaux dangereux dans votre logement Quels travaux confier à un professionnel? Vous voulez réaliser des travaux chez vous, attention, certains présentent des risques importants!

Plus en détail

TITRE PROFESSIONNEL DU MINISTERE CHARGE DE L EMPLOI INSTALLATEUR D EQUIPEMENTS SANITAIRES

TITRE PROFESSIONNEL DU MINISTERE CHARGE DE L EMPLOI INSTALLATEUR D EQUIPEMENTS SANITAIRES TITRE PROFESSIONNEL DU MINISTERE CHARGE DE L EMPLOI INSTALLATEUR D EQUIPEMENTS SANITAIRES Le titre professionnel de : INSTALLATEUR D EQUIPEMENTS SANITAIRES1 niveau V (code NSF : 233 s) se compose de deux

Plus en détail

Mél : Nom de l ACMO : Mél ACMO :

Mél : Nom de l ACMO : Mél ACMO : Etat des lieux en hygiène et sécurité dans un établissement scolaire Rectorat Inspection en Hygiène et sécurité Dossier suivi par M. Gilbert ROUSSEAU Téléphone 05 57 57 39 82 Fax 05 57 57 87 40 Mél: Gilbert.rousseau@acbordeaux.fr

Plus en détail

Dossier de demande d autorisation temporaire d exploiter une centrale d enrobage à chaud SRTP le Petit Nazé ARGENTRE (53) Indice : 1.

Dossier de demande d autorisation temporaire d exploiter une centrale d enrobage à chaud SRTP le Petit Nazé ARGENTRE (53) Indice : 1. Dossier de demande d autorisation temporaire d exploiter une centrale d enrobage à chaud SRTP le Petit Nazé ARGENTRE (53) Indice : 1 Juin 2015 NOTICE D HYGIENE ET DE SECURITE P. 2 sur 8 SOMMAIRE 1 Hygiène...

Plus en détail

BRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES

BRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES Septembre 2014 CARTOGRAPHIE DES MÉTIERS DES PRESTATAIRES BRANCHE DU NÉGOCE ET PRESTATIONS DE SERVICES DANS LES DOMAINES MÉDICO-TECHNIQUES www.metiers-medico-techniques.fr CPNEFP de la branche Négoce et

Plus en détail

Ensemble nous aurons l air meilleur!

Ensemble nous aurons l air meilleur! Les bons gestes au quotidien pour préserver la qualité de notre air Ensemble nous aurons l air meilleur! Saviez-vous que nous avons besoin d un litre et demi d eau et de 14 000 litres d air par jour pour

Plus en détail

Séquence 1 : La place du MSP et de l ISP

Séquence 1 : La place du MSP et de l ISP Séquence 1 : La place du MSP et de l ISP 1- Sécurité civile et police administrative L activité opérationnelle des sapeurs pompiers s exercent dans le cadre de la police administrative. La police administrative

Plus en détail

La sécurité, c est l affaire de tous LE GAZ NATUREL. Informations et conseils utiles pour une utilisation sûre du gaz naturel

La sécurité, c est l affaire de tous LE GAZ NATUREL. Informations et conseils utiles pour une utilisation sûre du gaz naturel La sécurité, c est l affaire de tous Informations et conseils utiles pour une utilisation sûre du gaz naturel LE GAZ NATUREL 2 3 La production, le transport et l utilisation de l énergie, comme d autres

Plus en détail

Avertisseur de monoxyde de carbone

Avertisseur de monoxyde de carbone Page 1 sur 5 http://www.msss.gouv.qc.ca/sujets/santepub/environnement/index.php?avertisseur Santé environnementale > Environnement intérieur > Monoxyde de carbone > Avertisseur Avertisseur de monoxyde

Plus en détail

de faible capacité (inférieure ou égale à 75 litres) doivent être certifiés et porter la marque NF électricité performance.

de faible capacité (inférieure ou égale à 75 litres) doivent être certifiés et porter la marque NF électricité performance. 9.5. PRODUCTION D EAU CHAUDE sanitaire Les équipements doivent être dimensionnés au plus juste en fonction du projet et une étude de faisabilité doit être réalisée pour les bâtiments collectifs d habitation

Plus en détail

Le changement de fournisseur ne nécessite pas d intervention technique sur le réseau, ni de modification de votre installation de gaz.

Le changement de fournisseur ne nécessite pas d intervention technique sur le réseau, ni de modification de votre installation de gaz. FAQ - Professionnels Thématiques Votre projet Equipements Le marché de l'énergie La société Votre projet Le gaz peut-il être coupé si je change de fournisseur? Non! Le gestionnaire de réseau assure la

Plus en détail

CONVENTION DE MISE A DISPOSITION SALLES COMMUNALES EMILE ROUSSEAU

CONVENTION DE MISE A DISPOSITION SALLES COMMUNALES EMILE ROUSSEAU CONVENTION DE MISE A DISPOSITION SALLES COMMUNALES EMILE ROUSSEAU ENTRE : Monsieur le Maire, agissant es-qualité en vertu des délibérations du 25 septembre 2014 et du 24 octobre 2013, Désigné ci-après

Plus en détail

PARTIE 5 NOTICE HYGIENE ET SECURITE

PARTIE 5 NOTICE HYGIENE ET SECURITE de en Martinik NOTICE HYGIENE ET SECURITE BUREAU VERITAS ASEM Dossier n 6078462 Révision 2 Octobre 2014 Page 1 de en Martinik SOMMAIRE 1. INTRODUCTION... 3 1.1 OBJET DE LA NOTICE... 3 1.2 CADRE REGLEMENTAIRE...

Plus en détail

développement informatiquee DES ACVC]

développement informatiquee DES ACVC] Octobre 2010 CALYXIS, pôle d expertise du risque Anthony SIEUW, chargé d études statistiques et de développement informatiquee [BAROMETRE DES ACVC] ] Le 29 Septembre 2010, un questionnaire internet (www.barometre

Plus en détail

Fiche de données de sécurité

Fiche de données de sécurité Produit 2T QUAD R BIODEGRADABLE Page 1/5 Etiquette du produit ETIQUETAGE (d usage ou CE) Phrases de risque Conseils de prudence ETIQUETAGE TRANSPORT Non concerné Néant Néant Non concerné 1. IDENTIFICATION

Plus en détail

QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE?

QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE? QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE? > Le chauffe-eau thermodynamique est un appareil de production d eau chaude sanitaire. Il se compose d une pompe à chaleur et d une cuve disposant d une isolation

Plus en détail

Installateur en Chauffage, Climatisation, Sanitaire et Energies Renouvelables en alternance

Installateur en Chauffage, Climatisation, Sanitaire et Energies Renouvelables en alternance Installateur en Chauffage, Climatisation, Sanitaire et Energies Renouvelables en alternance Domaine : Bâtiment, éco-construction, rénovation Durée : 5 mois ROME : F603 Code AFPA : 9 Objectifs : Poser,

Plus en détail

DIAGNOSTIC DE PERFORMANCE ENERGETIQUE TERTIAIRE

DIAGNOSTIC DE PERFORMANCE ENERGETIQUE TERTIAIRE DATE : 14/02/2011 N AFFAIRE : 003387/2255629/1/1 ANNEE DE CONSTRUCTION : NON COMMUNIQUE SURFACE UTILE : 489.44 TYPE DE BATIMENT : IMMEUBLE D HABITATION + BUREAUX TYPE D ACTIVITES : ADMINISTRATION - BUREAUX

Plus en détail

LE PLAN DE PREVENTION

LE PLAN DE PREVENTION 1 Association des Directeurs et Responsables de Services Généraux Facilities Manag ers Association LE PLAN DE PREVENTION Avertissement : ce document est un exemple établi pour un besoin particulier. Il

Plus en détail

LE CHAUFFAGE. Peu d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien. Pas d entretien. Pas d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien.

LE CHAUFFAGE. Peu d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien. Pas d entretien. Pas d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien. LE CHAUFFAGE 1. LE CHAUFFAGE ELECTRIQUE Le chauffage électrique direct ne devrait être utilisé que dans les locaux dont l isolation thermique est particulièrement efficace. En effet il faut savoir que

Plus en détail

Réussir son installation domotique et multimédia

Réussir son installation domotique et multimédia La maison communicante Réussir son installation domotique et multimédia François-Xavier Jeuland Avec la contribution de Olivier Salvatori 2 e édition Groupe Eyrolles, 2005, 2008, ISBN : 978-2-212-12153-7

Plus en détail

Plombier, c'est quoi?

Plombier, c'est quoi? Plombier, c'est quoi? Un plombier est un ouvrier qui s occupe / d installer et réparer les canalisations d eau et de gaz. Certains plombiers se spécialisent dans des domaines particuliers ou complètent

Plus en détail

Ce qu il faut savoir en matière d habitat et de santé, de plomberie et d installations de chauffage ou d eau chaude sanitaire

Ce qu il faut savoir en matière d habitat et de santé, de plomberie et d installations de chauffage ou d eau chaude sanitaire Ce qu il faut savoir en matière d habitat et de santé, de plomberie et d installations de chauffage ou d eau chaude sanitaire Quels sont les risques en matière de santé pour ces rénovations? Avant travaux

Plus en détail

... au confort du gaz en réseau!

... au confort du gaz en réseau! ... au confort du gaz en réseau! OUI, le gaz en réseau arrive près de chez vous! Suite à un appel d offre public, votre commune a choisi de confier l installation du réseau local de gaz propane à TOTALGAZ,

Plus en détail

Et après mes travaux?

Et après mes travaux? 10 Et après mes travaux? Voilà, les travaux sont terminés! Vous vous (ré)installez confortablement dans votre logement. Comment profiter le plus longtemps possible des améliorations que vous venez d apporter

Plus en détail

Eau chaude sanitaire FICHE TECHNIQUE

Eau chaude sanitaire FICHE TECHNIQUE FICHE TECHNIQUE Eau chaude sanitaire 2 5 6 6 CONNAÎTRE > Les besoins d eau chaude sanitaire > Les modes de production > La qualité de l eau > Les réseaux de distribution > La température de l eau REGARDER

Plus en détail

1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT ARRÊTÉ

1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT ARRÊTÉ 1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT NOR : SOCU 00611881A ARRÊTÉ relatif au diagnostic de performance énergétique pour les bâtiments existants proposés à

Plus en détail

LIVRET GESTES VERTS. GEMME CORIOLIS Saint-Martin d Hères Maître d ouvrage : INPG. JUIN 2013 / Version 3 Diffusé le 08 juillet 2013

LIVRET GESTES VERTS. GEMME CORIOLIS Saint-Martin d Hères Maître d ouvrage : INPG. JUIN 2013 / Version 3 Diffusé le 08 juillet 2013 LIVRET GESTES VERTS GEMME CORIOLIS Saint-Martin d Hères Maître d ouvrage : INPG JUIN 2013 / Version 3 Diffusé le 08 juillet 2013 Adresse Postale CS 60013-38702 - La Tronche Cedex Siège Social / Rue de

Plus en détail

Les textes et règlements

Les textes et règlements Réglementation applicable aux chapiteaux, tentes et Note : cette fiche est extraite pour l essentiel de l ouvrage «Organiser un événement artistique dans l espace public : Guide des bons usages», édité

Plus en détail

Le choix du système de chauffage dans les logements neufs

Le choix du système de chauffage dans les logements neufs Le choix du système de chauffage dans les logements neufs Constats et propositions Octobre 2007 D après une enquête conduite par Batim-Etudes auprès des maîtres d ouvrages (particuliers et professionnels)

Plus en détail

Sommaire. Séquence 5. Les dangers des combustions. Séance 1. Séance 2. Séance 3. Séance 4 Je fais le point sur la séquence 5

Sommaire. Séquence 5. Les dangers des combustions. Séance 1. Séance 2. Séance 3. Séance 4 Je fais le point sur la séquence 5 Sommaire Les dangers des combustions Séance 1 Les combustions incomplètes Séance 2 Les risques d explosion Séance 3 Les risques du tabac Séance 4 Je fais le point sur la séquence 5 100 Cned, Physique -

Plus en détail

la climatisation automobile

la climatisation automobile Un équipement en question : la climatisation automobile LES TRANSPORTS la climatisation en question La climatisation automobile, grand luxe il y a encore peu de temps, devient presque banale pour tous

Plus en détail

SERVICES TECHNIQUES CENTRE HOSPITALIER. d AURILLAC. 1er congrès de l AFGRIS

SERVICES TECHNIQUES CENTRE HOSPITALIER. d AURILLAC. 1er congrès de l AFGRIS SERVICES TECHNIQUES CENTRE HOSPITALIER henri MONDOR d AURILLAC 1er congrès de l AFGRIS METHODE D ANALYSE ET DE PREVENTION DES RISQUES ET CERTIFICATION ISO 9002 Un couple pertinent pour les services techniques

Plus en détail

Dossier de presse. La campagne d information sur les métiers de l artisanat, du bâtiment et les métiers de bouche. Synthèse page 2

Dossier de presse. La campagne d information sur les métiers de l artisanat, du bâtiment et les métiers de bouche. Synthèse page 2 Dossier de presse La campagne d information sur les métiers de l artisanat, du bâtiment et les métiers de bouche Synthèse page 2 Le contexte de la campagne page 5 Le déroulement de la campagne page 7 Faits

Plus en détail

Programme des épreuves des concours externes de recrutement des personnels techniques et administratifs de recherche et de formation

Programme des épreuves des concours externes de recrutement des personnels techniques et administratifs de recherche et de formation G1 Recrutements des assistants de recherche et de formation...2 G1.1 Assistant gestion de données patrimoniales...2 G1.2 Assistant technique en génie climatique...2 G1.3 Assistant technique en électricité...2

Plus en détail

Etablissement Recevant du Public (ERP) de 5 ème catégorie avec locaux à sommeil

Etablissement Recevant du Public (ERP) de 5 ème catégorie avec locaux à sommeil Notice de sécurité Etablissement Recevant du Public (ERP) de 5 ème catégorie avec locaux à sommeil Cette notice a été établie à l'attention des exploitants d Etablissements Recevant du Public (ERP), afin

Plus en détail

Fiche d application. 7 octobre 2013 1.0

Fiche d application. 7 octobre 2013 1.0 MINISTÈRE DE L ÉGALITÉ DES TERRITOIRES ET DU LOGEMENT MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L ÉNERGIE Diagnostic de Performance Energétique Fiche d application Date Version 7 octobre

Plus en détail

Département du Val-de-Marne. Charte départementale de partenariat sécurité routière. entre l État,

Département du Val-de-Marne. Charte départementale de partenariat sécurité routière. entre l État, Département du Val-de-Marne Charte départementale de partenariat sécurité routière entre l État, la Caisse Régionale d Assurance Maladie d Ile-de-France (CRAMIF) et la profession du transport routier de

Plus en détail

SÉCURITÉ INCENDIE. Détecteurs de fumée : bientôt obligatoires I L S C O N S E P R É V E N I O N. www.groupama.fr

SÉCURITÉ INCENDIE. Détecteurs de fumée : bientôt obligatoires I L S C O N S E P R É V E N I O N. www.groupama.fr SÉCURITÉ INCENDIE C O N S E I L S P R É V E N T I O N Détecteurs de fumée : bientôt obligatoires www.groupama.fr SÉCURITÉ INCENDIE Pourquoi équiper son logem Une mesure obligatoire et préventive Devant

Plus en détail

Manuel d entretien. Présentation de votre chauffe-eau. Poignées de préhension (haut et bas) Protection intérieure par émaillage. Isolation thermique

Manuel d entretien. Présentation de votre chauffe-eau. Poignées de préhension (haut et bas) Protection intérieure par émaillage. Isolation thermique Présentation de votre chauffe-eau Poignées de préhension (haut et bas) Isolation thermique Protection intérieure par émaillage Canne de prise d eau chaude Doigt de gant du thermostat Anode magnésium Résistance

Plus en détail

Organisation de la gestion de crise à Mayotte. Préfecture de Mayotte- SIDPC Mise à jour août 2011

Organisation de la gestion de crise à Mayotte. Préfecture de Mayotte- SIDPC Mise à jour août 2011 Organisation de la gestion de crise à Mayotte Préfecture de Mayotte- SIDPC Mise à jour août 2011 SOMMAIRE INTRODUCTION AVANT LA CRISE PENDANT LA CRISE APRES LA CRISE 2 Service interministériel de défense

Plus en détail

Union des Métiers et des Industries de l Hôtellerie. Le règlement de Sécurité contre les risques d incendie. ERP et IGH de Type O

Union des Métiers et des Industries de l Hôtellerie. Le règlement de Sécurité contre les risques d incendie. ERP et IGH de Type O Union des Métiers et des Industries de l Hôtellerie JURIDIQUE Date : 31/01/2012 N : 04.12 Le règlement de Sécurité contre les risques d incendie ERP et IGH de Type O L arrêté du 25 octobre 2011 portant

Plus en détail

Guide. Qui fait Quoi dans mon logement? L entretien de mon logement

Guide. Qui fait Quoi dans mon logement? L entretien de mon logement Guide Qui fait Quoi dans mon logement? L entretien de mon logement L entretien de votre logement Qui fait quoi? Un évier bouché, une chaudière en panne... Que dois je faire? A qui m adresser? Pièce par

Plus en détail

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion

Plus en détail

Note de synthèse 2012

Note de synthèse 2012 ARTISANAT DU BTP - EDITION N 2 NOVEMBRE 2014 Note de synthèse 2012 DANS CE NUMERO 2 ème publication de l Observatoire des formations à la prévention, cette notre présente les principaux chiffres clés de

Plus en détail

Nettoyeur en bâtiment/nettoyeuse en bâtiment. Règlement d apprentissage et d examen de fin d apprentissage

Nettoyeur en bâtiment/nettoyeuse en bâtiment. Règlement d apprentissage et d examen de fin d apprentissage 80101 Nettoyeur en bâtiment/nettoyeuse en bâtiment Gebäudereiniger/Gebäudereinigerin Pulitore di edifici/pulitrice di edifici A. Règlement d apprentissage et d examen de fin d apprentissage B. Programme

Plus en détail

PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR :

PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR : PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR : IDENTIFICATION DU POSTE : Titre de la fonction : Conducteur Ambulancier SMUR*. Etablissement : Centre Hospitalier Régional Universitaire de Brest. Service

Plus en détail

Le bois, la première des énergies renouvelables

Le bois, la première des énergies renouvelables Le bois, la première des énergies renouvelables Chiffres clés du bois-énergie en France La France dispose de l un des plus importants massifs européens avec une forêt qui couvre près de 1/3 du territoire

Plus en détail

40 ECO-CONSEILS 7 fiches pour une consommation annuelle d énergie plus légère.

40 ECO-CONSEILS 7 fiches pour une consommation annuelle d énergie plus légère. «Consommer moins en consommant mieux» 40 ECO-CONSEILS 7 fiches pour une consommation annuelle d énergie plus légère. Maîtriser notre consommation en électricité, c est nous engager à adopter des gestes

Plus en détail

Le niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule.

Le niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule. ANNEXE FICHE 10 : NIVEAU 3 - ALERTE CANICULE Le niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule. I. MESURES PRISES AU NIVEAU 3 - ALERTE CANICULE 1.

Plus en détail

Vertuoz Habitat : l offre d individualisation des charges de gaz naturel en collectif

Vertuoz Habitat : l offre d individualisation des charges de gaz naturel en collectif Vertuoz Habitat : l offre d individualisation des charges de gaz naturel en collectif Conforme RT 2012 Découvrez la nouvelle offre «Vertuoz Habitat» de GDF SUEZ, une offre qui distingue et valorise votre

Plus en détail

Programme détaillé de la formation AVEC PRE REQUIS ( Bac+2 bâtiment ou 3ans d expérience dans les techniques du bâtiment)

Programme détaillé de la formation AVEC PRE REQUIS ( Bac+2 bâtiment ou 3ans d expérience dans les techniques du bâtiment) FORMATION TECHNICIEN EN DIAGNOSTICS IMMOBILIERS Programme détaillé de la formation AVEC PRE REQUIS ( Bac+2 bâtiment ou 3ans d expérience dans les techniques du bâtiment) Tél : 06 01 744 2 33 http:/ /www.

Plus en détail

Vous êtes artisan PLOMBIER CHAUFFAGISTE

Vous êtes artisan PLOMBIER CHAUFFAGISTE Vous êtes artisan PLOMBIER CHAUFFAGISTE Le mot des Présidents Le décret du 5 novembre 2001 impose une nouvelle obligation aux entreprises : formaliser les risques de l entreprise sur un document unique.

Plus en détail

Camfil Saint-Martin-Longueau, une démarche d efficacité énergétique pour la certification ISO 50 001

Camfil Saint-Martin-Longueau, une démarche d efficacité énergétique pour la certification ISO 50 001 FICHE OPÉRATION INDUSTRIE Camfil Saint-Martin-Longueau, une démarche d efficacité énergétique pour la certification ISO 50 001 CAS PRATIQUE Activité : produits et service dans le domaine de la filtration

Plus en détail

Le pétitionnaire pourra remplir une notice par établissement isolé les uns des autres au sens de l article GN 3.

Le pétitionnaire pourra remplir une notice par établissement isolé les uns des autres au sens de l article GN 3. NOTICE DESCRIPTIVE DE SECURITE Pour tous les ERP du 1er groupe et les ERP du 2ème groupe (5ème catégorie) Avec locaux à sommeil. (Arrêté du 25/06/1980 modifié Arrêté du 22/06/1990 modifié) La présente

Plus en détail

Détecteurs de Monoxyde de Carbone avec pile de 10 ans scellée

Détecteurs de Monoxyde de Carbone avec pile de 10 ans scellée 2539-7206-01_Ajax_FR.QXP:_ 2014.12.19 12:55 PM Page 1 Détecteurs de Monoxyde de Carbone avec pile de 10 ans scellée 10LLCO 10LLDCO EN50291-1 : 2010 License No. KM98848 2539-7206-01_Ajax_FR.QXP:_ 2014.12.19

Plus en détail

Service Prévention des Risques Professionnels. 26, rue d Aubigny - 69436 Lyon cedex 03 téléphone : 04 72 91 96 96 - télécopie : 04 72 91 97 09

Service Prévention des Risques Professionnels. 26, rue d Aubigny - 69436 Lyon cedex 03 téléphone : 04 72 91 96 96 - télécopie : 04 72 91 97 09 CAISSE RÉGIONALE D ASSURANCE MALADIE RHÔNE -ALPES Service Prévention des Risques Professionnels 26, rue d Aubigny - 69436 Lyon cedex 03 téléphone : 04 72 91 96 96 - télécopie : 04 72 91 97 09 FT 1022 OCTOBRE

Plus en détail

Document unique d évaluation des risques professionnels

Document unique d évaluation des risques professionnels Document unique d évaluation des risques professionnels La loi n 91-1414 du 31 décembre 1991 (article L.230-2 du Code du travail), demande au chef d établissement de prendre toutes les mesures nécessaires

Plus en détail

ENTRETIENS, CONTROLES ET VERIFICATIONS TECHNIQUES

ENTRETIENS, CONTROLES ET VERIFICATIONS TECHNIQUES ENTRETIENS, CONTROLES ET VERIFICATIONS TECHNIQUES 1 SOMMAIRE SOMMAIRE PAGE 1 INTRODUCTION PAGE 2 I ENTRETIEN CONTROLE ET VERIFICATION TECHNIQUES PAGE 3-4 II CLASSEMENTS ET CATEGORIES DES ETABLISSEMENTS

Plus en détail

Détecteurs de Monoxyde de Carbone avec piles remplacables Modèle 5CO Modèle 5DCO. EN50291-1 : 2010 License No. KM98848

Détecteurs de Monoxyde de Carbone avec piles remplacables Modèle 5CO Modèle 5DCO. EN50291-1 : 2010 License No. KM98848 Détecteurs de Monoxyde de Carbone avec piles remplacables Modèle 5CO Modèle 5DCO EN50291-1 : 2010 License No. KM98848 Sommaire 1. Qu est-ce que le monoxyde de carbone (CO)? 2. Informations de sécurité

Plus en détail

Détecteurs de Monoxyde de Carbone Kidde 7CO & 7DCO

Détecteurs de Monoxyde de Carbone Kidde 7CO & 7DCO Détecteurs de Monoxyde de Carbone Kidde 7CO & 7DCO 7CO 7DCO EN50291-1 : 2010 EN50291-2 : 2010 License No. KM98848 Sommaire 1. Qu est-ce que le monoxyde de carbone (CO)? 2. Informations de sécurité importantes

Plus en détail

Livret de chaufferie

Livret de chaufferie Livret de chaufferie Edition 2011 Livret de chaufferie ÉTABLI LE ADRESSE DE LA CHAUFFERIE CACHET Apave P R É A M B U L E La tenue de ce livret est demandée par la réglementation sur l utilisation de l

Plus en détail

Ken Bell s Sommaire des Abréviations

Ken Bell s Sommaire des Abréviations Ken Bell s Sommaire des Abréviations AUG: CSAM: DSA: PUI: RCP: RIA: SCR: Arrêt Urgence Général CERN Safety Alarm Monitoring Défibrillateur Semi-Automatique Plan Urgence D Intervention Réanimation Cardio-Pulmonaire

Plus en détail

Votre Stratégie Énergétique, Performante et Écologique, avec cette petite flamme en plus qui change tout!

Votre Stratégie Énergétique, Performante et Écologique, avec cette petite flamme en plus qui change tout! Votre Stratégie Énergétique, Performante et Écologique, avec cette petite flamme en plus qui change tout! «Nous n héritons pas de la terre de nos ancêtres, nous l empruntons à nos enfants» Antoine de Saint-Exupéry

Plus en détail

Equipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical. - Annie PAPON Cadre responsable

Equipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical. - Annie PAPON Cadre responsable Equipe de Direction : -Docteur Christine BOURDEAU Responsable médical - Annie PAPON Cadre responsable 1 AFGSU Niveau 1 page 4 AFGSU Niveau 2 page 5 AFGSU face aux risques NRBC page 6 Recyclage AFGSU Niveau

Plus en détail

Comment l éviter? Que faire s il survient?

Comment l éviter? Que faire s il survient? Prévention L incendie chez vous Comment l éviter? Que faire s il survient? P. 6 P. 10 P. 16 P. 17 Le risque incendie p. 4 La chambre p. 6 Le salon et sa cheminée p. 8 La cuisine p. 10 La salle de bains

Plus en détail

Appel à projets 5,2. Se déplacer Se nourrir Se loger Le reste

Appel à projets 5,2. Se déplacer Se nourrir Se loger Le reste Appel à projets " Plan Climat Régional» Soutien de l investissement participatif dans les énergies renouvelables et la maîtrise de l énergie au bénéfice des territoires 1 Contexte : Les grands objectifs

Plus en détail

Stratégie Régionale. envers les Jeunes. l Artisanat

Stratégie Régionale. envers les Jeunes. l Artisanat Stratégie Régionale de l Artisanat envers les Jeunes Stratégie Régionale de l Artisanat envers les Jeunes La Stratégie Régionale de l Artisanat envers les Jeunes (S.R.A.J.) constitue une offre globale

Plus en détail

Prévention et sécurité dans les établissements hospitaliers et assimilés

Prévention et sécurité dans les établissements hospitaliers et assimilés Prévention et sécurité dans les établissements hospitaliers et assimilés Aide-mémoire Edition juin 2005 [Table des matières] Page 1 Généralités 1 2 Les mesures constructives 1 3 Les installations techniques

Plus en détail