Evolution de la situation économique, financière et monétaire des Comores au cours de l année

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1 Evolution de la situation économique, financière et monétaire des Comores au cours de l année AVRIL 2012

2 SOMMAIRE 1 EVOLUTION DU SECTEUR REEL EVOLUTION DES PRIX EVOLUTION DU SECTEUR EXTERIEUR Les exportations Les Importations La Balance des paiements EVOLUTION DES FINANCES PUBLIQUES L exécution du budget en Les prévisions budgétaires de l Etat pour l année EVOLUTION DU SECTEUR MONETAIRE La masse monétaire Les contreparties

3 Dans un environnement international marqué par la crise de la dette publique, le taux de croissance de l économie mondiale a atteint 4% contre 5,1% en Ce ralentissement a surtout concerné les pays avancés, tandis que les pays en développement et émergents affichent une croissance moyenne de 6,5%. Aux Comores, l activité économique a évolué dans un contexte plutôt favorable, marqué par une production agricole abondante, une demande intérieure soutenue par des ressources extérieures en hausse, notamment les envois des fonds de la diaspora et une croissance régulière des crédits au secteur privé. Selon les données encore provisoires du Commissariat Général au Plan, le taux de croissance du PIB réel serait de 2,6% contre 2,2% en En dépit de la hausse des prix des produits alimentaires et énergétiques, accentuée par la hausse du cours du dollar, le taux d inflation annuel moyen est projeté à 1,8% contre 3,8% en En glissement annuel, la hausse est beaucoup plus marquée, avec une variation de +4,9% de l indice des prix entre décembre 2010 et décembre Dans le domaine des finances publiques, l exécution des opérations financières de l Etat a été caractérisée par une amélioration des principaux soldes budgétaires du fait de l amélioration des recettes intérieures, notamment non fiscales, qui se sont accrues de 75,4% en dépit de l augmentation des dépenses courantes primaires. Les données encore provisoires des comptes extérieurs ont affiché une détérioration du déficit du solde des transactions courantes, qui s établit à 29,1 milliards FC contre 19,4 milliards FC en 2010, représentant respectivement 14,1% du PIB contre 9,8%. Cette évolution est notamment imputable à l accroissement du déficit commercial (68,1 milliards FC contre 60,3 milliards FC en 2010), que n a pu compenser la consolidation de l excédent des transferts courants (+2,9%). Dans le domaine monétaire, l expansion observée ces dernières années s est poursuivie en 2011, à un rythme moins soutenu, avec une croissance de 9,6% après 19,4% en Cette croissance a reposé en grande partie sur la hausse des avoirs extérieurs nets (+16,1%), le crédit intérieur ne s accroissant que de 4,3% après 17,6%en Le taux de couverture extérieure de la monnaie s est amélioré, s établissant à 70,9% à fin décembre 2011 contre 66,9% une année plus tôt. 1 EVOLUTION DU SECTEUR REEL Le taux de croissance en volume du PIB est projeté à 2,6% en 2011 contre 2,2% en 2010, soutenu par une production abondante dans le domaine de l agriculture, de l élevage et de la pêche. En effet, ce secteur enregistrerait une progression de 4,1% en 2011 contre un recul de 0,7% en 2010 et sa contribution à la croissance s établirait à 2,1 points. En revanche, la contribution du secteur secondaire s établirait à 0,4 point en 2011 contre 1,7 point en 2010 et celle du secteur tertiaire à 0,2% en 2011 contre 2,9% en

4 2 EVOLUTION DES PRIX Selon les chiffres encore provisoires fournis par le commissariat général au plan, le taux d inflation annuel moyen aurait atteint 1,8% contre 3,8% en 2010, en relation avec une meilleure production agricole, en dépit de la hausse des prix des produits pétroliers et de certaines denrées alimentaires et de l appréciation du dollar par rapport à l Euro. En glissement annuel, la hausse est beaucoup plus marquée, avec une variation de +4,9% de l indice des prix entre décembre 2010 et décembre Indice des prix à la consommation Année de base * Taux d inflation annuel (en %) 3,2 3,4 4,5 4,7 4,9 3,8 1,8 Sources: Direction de la Statistique, * Chiffres provisoires 3 EVOLUTION DU SECTEUR EXTERIEUR Les chiffres provisoires sur le commerce extérieur font ressortir un accroissement du flux des échanges, améliorant le degré d ouverture de l économie de 47,8% en 2010 à 52,0% en 2011 et le taux de couverture des importations par les exportations de 8,9% à 9,1% respectivement Taux de couverture (Exports/ Imports) 7,1% 8,9% 9,1% Degré d'ouverture (Exports + Imports) / PIB 43,0% 47,8% 52,0% Les exportations La valeur des exportations s est accrue de 16%, s élevant à 8,9 milliards FC contre 7,7 milliards FC en Cette évolution est liée essentiellement aux exportations de girofle, bénéficiant d une demande extérieure soutenue et de bons prix à l exportation. La valeur des exportations de girofle s est élevée à 6,4 milliards FC en 2011 contre 5,4 milliards FC en Les exportations de vanille sont restées quasiment stables, avec 40 tonnes exportées en 2011 contre 39 tonnes en 2010, représentant respectivement 350 millions FC contre 309 millions FC. En revanche, les exportations d ylang-ylang ont chuté, en quantité et en valeur, ne rapportant que 745 millions FC en 2011 contre 881 millions FC en Produits Evolution des exportations des Comores années 2009 à 2011 Quantités (tonnes) Valeurs fob (millions FC) * * Var (val) 11/10 en % Vanille Girofle Ylang-ylang Autres essences 0, Autres produits Total Source : Direction Générale des Douanes, estimations BCC *Chiffres provisoires 4

5 3.2 - Les Importations La valeur des importations s est élevée à 97,9 milliards FC, en hausse de 13% par rapport à celle de Cette hausse a surtout concerné les produits alimentaires, les matériaux de construction et les produits pétroliers. Ces derniers représentent à eux seuls 22,7% de la valeur totale des importations, en relation notamment avec la progression de 32% de cours du baril. Au niveau des produits alimentaires, les fortes hausses ont porté sur les importations de riz (+68%), de farine (+29%) et de produits laitiers (+27%). Les importations de véhicules (notamment engins de chantier) et de matériaux de construction se sont accrues respectivement de 58% et de 17%, soutenues par les travaux publics. Evolution des importations des Comores 2009 à 2011 Produits Quantités (en tonnes) Valeurs caf (en millions FC) Riz Viande, poisson Farine Sucre Produits laitiers Produits pharmac. Tissus confection Produits pétroliers Ciment Véhicules Fer, fonte, acier Autres produits * * Variat (%) (11/10) Total Source : Direction générale des douanes, * Chiffres provisoires, estimations BCC 3.3 La Balance des paiements Les premières estimations de la balance des paiements affichent une détérioration du déficit du solde des transactions courantes, qui s établirait à 29,1 milliards FC contre 19,4 milliards FC en 2010, représentant respectivement 14,1% du PIB contre 9,8%. BALANCE DES PAIEMENTS DES COMORES (en millions FC) * Compte des transactions courantes Biens Crédit Débit Services Crédit Débit Revenus Crédit Débit Transferts courants Crédit Débit Sources : Banque Centrale des Comores * Chiffres provisoires

6 En données douanières FOB, le déficit commercial s est creusé de 7,8 milliards FC, s établissant à 68,1 milliards FC contre 60,3 milliards FC en 2010, en liaison avec le rythme très soutenu des importations, que n a pu atténuer l amélioration des exportations. En effet, portées par le renchérissement des cours du pétrole, mais également par les commandes de produits alimentaires (riz notamment) et de véhicules, les importations en valeur CAF ont augmenté de 11,4 milliards FC, soit une hausse de 13%, pendant que la valeur des exportations progressait de 1,2 milliard FC (+16%). Au niveau des services, le déficit devrait se creuser encore plus, en liaison avec le poids important des coûts d assurance et de fret, et la baisse sensible du poste «Voyages», tandis que le compte des revenus devrait s améliorer, en rapport avec l effet mécanique d un niveau correct des flux créditeurs et d une baisse des flux débiteurs, notamment ceux relatifs aux règlements de la dette extérieure. En revanche, les transferts courants devraient se consolider, masquant toutefois des évolutions diverses, les transferts privés s accroissant sous l effet du rythme soutenu des envois de fonds de la diaspora. 4 EVOLUTION DES FINANCES PUBLIQUES 4.1 L exécution du budget en 2011 Recettes et Dépenses budgétaires courantes Recettes fiscales Dont : Impôts sur les revenus et les bénéfices TC et assimilées Commerce international (en millions FC) * Recettes non-fiscales Dont : Recettes des services Total des recettes Traitements et salaires Biens et services Transferts Intérêts de la dette Autres dépenses courantes Total des dépenses Sources : Ministère des Finances, FMI * Chiffres provisoires Dans le domaine des finances publiques et selon les chiffres provisoires fournis par le Ministère des Finances, l exécution des opérations financières de l Etat a été caractérisée par une nette amélioration du solde primaire, qui ressort positif à 3,4 milliards FC après un déficit de 3,3 milliards FC en Cette évolution résulte de l amélioration des recettes intérieures, notamment non fiscales qui se sont accrues de 75,4%, en dépit de l augmentation des dépenses courantes primaires. En relation avec la bonne tenue des recettes douanières induites par l accroissement de la valeur des importations, les recettes fiscales ont augmenté de 4,8% par rapport à 2010, s établissant 23,5 milliards FC contre 22,4 milliards FC, le taux de pression fiscale se maintenant à 11,4% du PIB. 6

7 Les dépenses totales et prêts nets se sont accrus de 21,5%, représentant 26,4% du PIB contre 22,7% en Cette progression est portée uniquement par les dépenses en capital, notamment celles financées sur ressources extérieures, qui sont passées de 9,1 milliards FC à 17,2 milliards FC, soit une hausse de 90%. Les dépenses courantes primaires ont augmenté de 6,7%, masquant des évolutions diverses, avec d une part une maitrise de la masse salariale (-0,5%) et une baisse des intérêts payés sur la dette (-14,9%), en liaison avec les allègements PPTE obtenus, et d autre part, des hausses des postes «biens et services», «transferts» et «autres dépenses courantes». Au total, le solde budgétaire de base s est considérablement amélioré, s établissant à 1,1% du PIB contre un déficit de 2,2% en 2010, tandis que le déficit global hors dons s est creusé, représentant 9,5% du PIB contre 8,0% du PIB en L excédent du solde global (dons inclus) s est aussi détérioré, s établissant à 0,6% du PIB contre 7,2% l année dernière. Le ratio de l endettement public s est amélioré régulièrement, avec un taux de 59,9% en 2011 contre 65,4% et 66,9% en 2010 et Les prévisions budgétaires de l Etat pour l année 2012 Conformément aux objectifs du plan d action triennal du programme avec le FMI, la loi de finances 2012, adoptée en décembre 2011 par l Assemblée de l Union des Comores, a fixé les prévisions budgétaires comme suit : millions FC de recettes publiques internes, réparties à millions FC de recettes fiscales et millions FC de recettes non fiscales, millions FC de recettes externes, dont millions FC pour les projets, millions FC de dépenses courantes primaires, dont millions FC pour le seul poste «salaires», millions FC de dépenses en capital, dont millions FC financées sur ressources extérieures. Les recettes à partager entre les différentes entités de l Union des Comores sont réparties conformément aux quotes-parts suivantes : Union (37,5%), Ngazidja (27,4%), Anjouan (25,7%) et Mohéli (9,4%). Les principaux postes budgétaires sont indiqués dans le tableau ci-dessous : BUDGET GENERAL (en millions FC) Recettes fiscales Recettes non-fiscales Recettes exceptionnelles Recettes externes Total des recettes Dépenses courantes Rémunération du personnel Biens et services Transferts Intérêts de la dette Dépenses courantes sur financement extérieur Dépenses en capital Sur financement propre Sur financement extérieur Financées sur fonds de contrepartie Total des dépenses Solde Primaire Sources : Loi de Finances Rectificative 2011 et Loi de Finances

8 5 EVOLUTION DU SECTEUR MONETAIRE L expansion monétaire observée ces dernières années s est poursuivie en 2011, à un rythme moins soutenu, avec une croissance de 9,6% après 19,4% en Cette croissance est imputable en grande partie à la hausse des avoirs extérieurs nets (+16,1%), le crédit intérieur ne s accroissant que de 4,2% après une hausse de 17,6% en Le taux de couverture extérieure de la monnaie s est amélioré, s établissant à 70,9% à fin décembre 2011 contre 66,9% une année plus tôt. 5.1 La masse monétaire EVOLUTION DE LA MASSE MONETAIRE Encours (millions FC) Variation (%) Déc 2011 déc-09 déc-10 juin-11 déc-11 déc-09 déc-10 juin-11 M1 / Moyens de paiements ,5% 14,5% 7,9% Circulation Fiduciaire hors BEF ,8% 10,3% 17,8% Dépôts à vue ,3% 17,5% 2,0% Banque Centrale ,6% -28,2% 28,1% Banques et Etablissements Financiers ,7% 18,5% 1,7% M2 - M1 / Epargne Liquide ,6% 1,6% 3,1% Compte-Epargne ,4% 7,1% 2,9% Dépôts à Terme ,9% -16,3% 4,0% M2 / Masse Monétaire ,9% 9,6% 6,2% Source : Banque Centrale des Comores, DEEMF L agrégat «M1, Moyens de paiements» a progressé de 6,2 milliards FC sur un an, enregistrant une hausse de 14,5%. La circulation fiduciaire s est maintenue à un niveau élevé, atteignant près de 20 milliards FC en 2011 après 18,1 milliards en décembre 2010, soit une hausse de 10,3%. Les dépôts à vue se sont également accrus de 4,3 milliards FC, soit une hausse de 17,5%. Les dépôts auprès des établissements bancaires se sont accrus de 18,5%. L agrégat «M2 - M1, Epargne liquide» a également évolué dans le même sens, mais à un rythme moins soutenu, avec une hausse de 1,6%. Le niveau d épargne s est établi à 26,5 milliards FC après 26,1 milliards FC en décembre 2010, alors que sa part dans la masse monétaire a diminué, passant de 38% à 35,2% sur la période Les contreparties Les avoirs extérieurs nets se sont établis à 53,4 milliards FC en décembre 2011 contre 46 milliards FC un an plus tôt, soit une hausse de 16,1%. Cette évolution est imputable à la hausse des envois de fonds de la diaspora, à l amélioration des exportations et les transferts reçus dans le cadre du programme «Citoyenneté Economique». Après la forte croissance de 17,6% enregistrée en 2010, le crédit intérieur ne s est accru que de 4,3%, portant l encours à 45,5 milliards FC en décembre 2011 contre 43,7 milliards FC en décembre Les crédits à l économie ont constitué le moteur de cette croissance, l encours s établissant à 39,8 milliards FC après 38 milliards FC en décembre Ces crédits aux entreprises privées et aux ménages portent sur des échéances à court terme (plus de 60% de l encours) et sont destinés essentiellement aux activités de commerce. Les créances nettes à l Etat sont restées quasiment stables à 5,7 milliards FC. 8

9 EVOLUTION DES CONTREPARTIES DE M2 Encours (millions FC) Variation (%) Déc 2011 déc-09 déc-10 juin-11 déc-11 déc-09 déc-10 juin-11 AVOIRS EXTERIEURS (NETS) ,0% 16,1% 17,0% Banque Centrale des Comores ,8% 9,7% 16,7% Banques et Etablissements Financiers ,3% 189,7% 20,7% CREDIT INTERIEUR ,5% 4,2% -4,6% Créances nettes sur l'administration Centrale ,5% -0,6% -25,3% Créances brutes (sur l'administration Centrale) ,0% 5,7% 0,4% Dépôts (de l'administration Centrale) ,0% 10,9% 34,5% Crédits à l'économie ,2% 4,9% -0,6% Autres Sociétés Financières ,0% -100,0% - Adm. États Fédérés et Locales ,2% -6,3% Sociétés Non Financières Publiques ,9% -39,9% -4,5% Autres Sociétés Non Financières ,5% 6,6% -3,9% Autres Secteurs Résidents ,6% 11,0% 4,8% AUTRES POSTES NETS ,6% 12,7% 5,4% Total des Contreparties ,9% 9,6% 6,2% Source : Banque Centrale des Comores, DEEMF

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