Pour la mise en place d une licence de conseil stratégique au service de l agroécologie
|
|
- Antoine St-Laurent
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Conférence de presse Arvalis, Cetiom, InVivo AgroSolutions Paris, le 25 octobre 2013 Pour la mise en place d une licence de conseil stratégique au service de l agroécologie 1- Pourquoi un partenariat? 2- L offre de Conseil Stratégique au service de l agro-écologie 3- Témoignage de Bernard FRANÇOIS, Directeur de la coopérative COREA 4- Conclusion 0
2 1- Pourquoi un partenariat pour mettre en place un Conseil Stratégique au service de l agroécologie? La mise en place d un conseil stratégique s impose de plus en plus pour apporter davantage que des conseils ciblés, procédant d une démarche tactique. Il s agit de favoriser une vision systémique à moyen et long termes. Les expériences acquises par INVIVO AGROSOLUTIONS, ARVALIS et le CETIOM en recherche, en développement, en connaissance du terrain et des agriculteurs, les conduisent à associer leurs savoir-faire complémentaires dans un projet commun. Plusieurs raisons sont à l origine du projet commun porté par INVIVO AGROSOLUTIONS, ARVALIS - Institut du végétal et le CETIOM. De natures différentes, elles nous semblent néanmoins pertinentes aujourd hui pour relever le défi du développement d un conseil stratégique, complémentaire du conseil tactique traditionnel. Le rapport de Marion Guillou (Le projet agro-écologique. Vers des agricultures doublement performantes pour concilier productivité et respect de l environnement, publié en mai 2013), pour lequel nous avons été consultés, propose des orientations pour structurer la nouvelle loi d Avenir pour l agriculture, évoquant très explicitement la nécessité de faire évoluer le conseil agricole actuel, très souvent ponctuel (un problème/une solution) vers un conseil plus global, capable d identifier l ensemble des leviers permettant de construire une solution durable. Cette approche systémique correspond à une réalité déjà vécue sur le terrain. On peut citer l exemple précurseur du conseil en matière de lutte contre les adventices dans la rotation. Il ne suffit plus d appliquer le bon herbicide pour résoudre la question de la concurrence des adventices mais de concevoir un système de culture qui combine plusieurs leviers (rotation, travail du sol, date de semis, variétés, ), donnant de la durabilité à la solution, et s inscrivant dans la double performance «économique et environnementale». D autres exemples illustrent la nécessité de combiner les leviers pour mettre en place des systèmes de culture plus résilients et mieux adaptés aux contraintes de demain : volatilité des prix, hausse du prix des intrants, exigence en qualité et quantité des marchés, réduction de l impact environnemental. L expérience que nous vivons dans le cadre du réseau «FERMEcophyto réseau coopératives» nous éclaire, à bien des égards, sur les marges de progrès encore possibles en matière d optimisation des pratiques culturales et des systèmes de production. Il est possible de développer des solutions de lutte contre les bioagresseurs sans systématiser le recours aux produits phytosanitaires, mais cela passe par une analyse approfondie de chaque système d exploitation, la prise en compte des contraintes inhérentes au milieu et l appropriation par l agriculteur d un nouveau mode de raisonnement. La remise à plat de l ensemble des pratiques culturales a cependant besoin de s appuyer sur des connaissances agronomiques élémentaires et des outils capables d évaluer et d éclairer des choix stratégiques. Au cours de la journée portes ouvertes «1 e Journée Nationale des Coopératives FERMEcophyto», nous avons rencontré des agriculteurs attentifs aux actions pilotes visant à réduire l impact environnemental de leurs pratiques. Il y a une véritable attente vis-à-vis de la recherche pour la mise au point de nouveaux modes de production, mais il y a aussi des inquiétudes concernant notamment la performance économique des systèmes alternatifs proposés. Sur la problématique de la reconquête de la qualité de l eau, notamment dans les bassins d alimentation de captages, INVIVO AGROSOLUTIONS, ARVALIS et le CETIOM sont déjà parties prenantes en étant force de proposition en outils et services d analyse de risques spatialisés (Aquasite, Aquavallée, Aquaflore, développés par les instituts) et aussi prestataire en tant que bureau d étude pour diagnostiquer les risques et proposer des solutions (INVIVO AGROSOLUTIONS). L objectif de nos actions va au-delà de la réduction des usages des intrants car, nous visons la mise en place de pratiques permettant de réduire les impacts sur la qualité de l eau. La réussite des plans 1
3 d action repose, entre autre chose, sur la convergence des actions des organismes de conseil (coopératives, chambres d agriculture, négoces, ) et aussi sur la capacité d animation des agriculteurs concernés. On voit donc toute l importance et l intérêt de mettre en place un nouveau type de conseil s appuyant sur l analyse stratégique. La proximité et les contacts fréquents entre les producteurs et leurs organismes économiques est un atout pour accompagner ce changement. Aujourd hui, il y a des experts techniques compétents pour diffuser un conseil tactique (un problème/une solution). Le défi qui nous est lancé est celui de réussir à constituer un corps de conseillers capable de réaliser un conseil stratégique s appuyant sur une analyse globale du système d exploitation. Cet objectif aboutira très probablement à une structuration organisationnelle au sein des organismes économiques et de développement, et à une séparation entre le Conseil Stratégique et la préconisation ciblée. L analyse de ces éléments contextuels, la convergence de nos objectifs et nos expériences antérieures au contact des producteurs, nous a conduits à associer nos savoirs faires complémentaires dans un projet commun. 2- L offre de Conseil Stratégique au service de l agroécologie Conformément aux propositions du rapport Guillou, l offre de conseil stratégique proposée par INVIVO AGROSOLUTIONS, ARVALIS et le CETIOM est constituée de plusieurs fonctions complémentaires qui doivent permettre la constitution d un nouveau corps de conseillers. La formation assurera le transfert de connaissances vers les conseillers stratégiques et les dotera de méthodes et d outils d aide à la décision. Enfin, le déploiement de ce nouveau type de conseil sera accompagné pour faciliter le changement. Notre partenariat est l aboutissement d une évolution perceptible depuis plusieurs années dans l accompagnement des agriculteurs et de leurs conseillers : la nécessité d avoir une approche «holistique», qui considère le fonctionnement de l exploitation comme un tout, pour délivrer un conseil pertinent, y compris aux échelles fines. Cette approche doit s appuyer sur un diagnostic territorialisé assurant une connaissance précise de l environnement économique et des enjeux techniques et environnementaux auxquels les exploitations agricoles sont confrontées. Ce diagnostic, établi avec les acteurs de terrain, sert de support aux échanges et partages entre l ensemble des parties prenantes du territoire. Plus précisément, il s agit d identifier avec les acteurs, l ensemble des moteurs qui animent la fonction de production agricole dans leur contexte. Cela couvre à la fois l identification des besoins des filières présentes (en volume et qualité de produit), le niveau de recours nécessaire aux ressources naturelles, l identification des enjeux environnementaux propres au territoire, les contraintes techniques de la production (potentialités) et le contexte économique et social des exploitations. C est bien cet ensemble qui définit le cadre dans lequel on se doit d accompagner l agriculteur en délivrant un conseil qui lui permet d assurer une production dans la durée. Les choix stratégiques engagées sur le moyen terme pour optimiser les performances des systèmes de culture (et de production) relèvent de cette logique. Le conseil en agroécologie nécessite cette première phase d état des lieux pour ensuite aller puiser dans le référentiel technique - largement alimenté par l innovation technologique, les moyens et outils nécessaires au renforcement du raisonnement agronomique. 2
4 Nous avons décliné cette approche dans une offre globale constituée de quatre fonctions : 1 ère fonction : bureau d études et d expertises Les partenaires rassemblent leurs compétences et outils pour constituer un centre de ressources et d expertises. Il s agit de mobiliser, en fonction des enjeux identifiés, l expertise d ARVALIS, du CETIOM et d INVIVO AGROSOLUTIONS dans la compréhension des phénomènes d une part et la proposition de solutions techniques permettant de déployer des préconisations très opérationnelles sur le terrain. Les structures économiques, par leur présence sur le terrain, sont bien placées pour intégrer dans le conseil les dimensions territoire et filière (marché, débouchés, ). Elles sont les premières intéressées par les démarches collectives de progrès s appuyant sur un diagnostic territorial des risques. A titre d illustration, nous avons déjà développé des expertises de pointe dans un certain nombre de domaines relevant de l activité de bureau d études que nous proposons de déployer : - études d analyse de cycle de vie (ACV) et gaz à effet de serre (GES) pour le compte de diverses filières végétales, - évaluation du gisement en biomasse énergétique, - évaluation de l offre alimentaire en nectar et pollen au niveau d un territoire, - optimisation quantitative de la ressource en eau (Watermodel + LORA logiciel d optimisation des assolements), - mise en place de réseaux équipes pour l agriculture de précision, etc... Un autre exemple emblématique est la démarche déjà entreprise depuis quelques années par INVIVO AGROSOLUTIONS ou ARVALIS sur des territoires très particuliers que sont les bassins d alimentation de captage, où nous sommes en mesure d apporter notre expertise à plusieurs niveaux: - Le diagnostic des pressions et de risques en nitrates et phytosanitaires Nos démarches et outils de diagnostic s appuient sur notre connaissance à la fois des milieux et des pratiques des agriculteurs. C est ce qui nous permet à travers des diagnostics tels que ceux réalisés par ARVALIS dans l Aisne (Agriperon et Agriper Aisne) ou par INVIVO AGROSOLUTIONS dans plus de 40 bassins d alimentation de captages (BAC), d avoir dès cette phase de diagnostic des approches orientées vers les actions de progrès futures. Ainsi, lorsque sur des bassins versants comme celui de Dormelles ( ha, 77-89), nous sommes en mesure de quantifier par modélisation hydrogéologique les contributions de chaque parcelle aux flux d eau et de polluants captés, c est l assurance que nous sommes en mesure de proposer des actions ciblées permettant d atteindre sur l ensemble du bassin versant ou du BAC une efficacité optimale en matière de protection des eaux en perturbant a minima les optimisations techniques et économiques des exploitations. - La proposition de plan d action et de progrès Les partenaires peuvent mettre à profit une double compétence, technique, qui s appuie en l espèce sur les référentiels techniques des instituts, mais aussi organisationnelle par la connaissance qu ils ont (et en particulier INVIVO AGROSOLUTIONS) des mécanismes du conseil et du déploiement de celuici. Pour être complet, il convient de préciser que notre projet ne s adresse pas qu aux BAC, il peut être mis en œuvre sur tout le territoire car certains organismes stockeurs/distributeurs entrent dans des 3
5 démarches volontaires préventives. En revanche, il est vrai que les BAC prioritaires seront probablement à traiter en priorité. Considérant uniquement le territoire des BAC Grenelle et celui des captages prioritaires, c est environ 7 millions d hectares qui peuvent être concernés prioritairement par notre offre sans compter les demandes volontaires préventives. 2 ème fonction : Formation des conseillers stratégiques et mise à disposition d outils La formation des conseillers stratégiques ressort comme un enjeu prioritaire, que ce soit dans le rapport Guillou ou dans les différentes expériences et clubs de réflexion conduits par, ou avec, les coopératives depuis plusieurs années. La complexité des enjeux techniques à maîtriser, la nécessaire évolution en profondeur du mode de relation avec l agriculteur, le perpétuel besoin de s enrichir des expériences des autres, et enfin l avancée très rapide de la science et de la réglementation, rendent essentielle l organisation d un parcours de formation continue des conseillers stratégiques. Celui-ci sera complété par la mise à disposition des outils (OAD) nécessaires pour délivrer conseil et formation à leur utilisation. Les prémices, partiels, de ce parcours sont aujourd hui déployés par INVIVO AGROSOLUTIONS auprès des animateurs des réseaux FERMEcophyto (formés à l approche globale et agro-écono-écologique), et par le CETIOM via son portail en ligne MyPIC. 3 ème fonction : Accompagnement du changement Le changement induit par le déploiement de ce nouveau type de conseil ne se limite bien évidement pas aux seuls conseillers stratégiques, qu ils soient embauchés spécialement pour déployer ce type de conseil ou qu il s agisse d une nouvelle étape de la carrière de conseiller culture. Les conséquences sont bien plus larges. C est pourquoi une démarche d entreprise structurée d accompagnement et de pilotage de ce changement sera proposée en parallèle. Il s agira de définir et planifier le déploiement du conseil stratégique, d informer, sensibiliser et accompagner tous les échelons et les équipes concernées (conseil d administration, direction générale, équipes techniques, achats et commerciales, service informatique ). Enfin, l insuffisance des ressources en interne à l instant t, ou la réticence à s engager dans ce nouveau projet peu réversible peut apparaître comme un frein. C est pourquoi les partenaires proposent une prestation de portage salarial temporaire des conseillers stratégiques, afin de donner plus de souplesse dans l affectation et la gestion de ressources humaines dédiées. Ce type d accompagnement aux projets de déploiement est d ores et déjà proposé par InVivo AgroSolutions dans le cadre de la certification des distributeurs ou lors du déploiement d une nouvelle génération d outils informatiques de traçabilité et de conseil. 4 ème fonction : Inscrire la démarche dans les référentiels actuels et futurs qui régissent le conseil certifié. La très grande majorité des acteurs économiques se sont clairement positionnés pour la délivrance d un conseil certifié avec certification d entreprise. Cette démarche, qui fait l objet d un référentiel spécifique débute en octobre 2013 pour la délivrance de préconisations aux agriculteurs. La démarche qui est proposée, vise à capitaliser l effort déjà réalisé ou à venir et à l inscrire dans un référentiel plus large, permettant une prise en compte du conseil stratégique. Celui-ci sera bâti à partir d une analyse globale partant du territoire économique de l opérateur pour définir une stratégie de diversification en terme de filières à développer sur son territoire, qui devra se traduire par des systèmes de cultures spécifiques adaptés aux différentes zones de cultures du territoire caractérisées par des contraintes propres comme par exemple : la sensibilité vis-à-vis de l eau, le potentiel agronomique des parcelles, la disponibilité en eau d irrigation, la topographie. Cette démarche de co-construction avec les acteurs pilotes du projet sera valorisée et finalisée par la rédaction d un référentiel spécifique. Il devra être bien entendu compatible avec le référentiel du 4
6 conseil stratégique prévu dans la loi d orientation agricole afin d optimiser l investissement consenti par la structure contractante. Une telle démarche relativement novatrice encore à ce jour constituera d ailleurs une source d expériences intéressantes pour alimenter la réflexion sur le futur référentiel du conseil stratégique aux agriculteurs, qui devra nécessairement trouver sa place dans le tissu économique des territoires. Par ailleurs, afin de piloter et objectiver l efficacité de la démarche, nous souhaitons définir avec les acteurs pilotes du projet des indicateurs de résultats en lien avec la stratégie d entreprise, vérifiables par des organismes tiers certificateurs. Cela permettra de mettre en place une réelle démarche de management par la qualité (boucle de progrès), à l image de ce que nous avons déjà développé pour certaines filières, comme par exemple la filière biocarburant pour le colza avec le référentiel 2BSvs et la démarche de progrès piloté par le CETIOM et INVIVO AGROSOLUTIONS. Dans le même esprit certaines actions récentes proposées par ARVALIS avec des formations qualifiantes, «Aquasite» et «Aquaflore» par exemple, pour aider à définir une stratégie d action pour la maitrise de la qualité de l eau sur une zone sensible, type bassin d alimentation de captage prioritaire, devraient également permettre un retour d expérience précieux pour engager cette démarche globale au niveau du territoire. 3- Témoignage de la coopérative COREA par son Directeur, Bernard FRANCOIS COREA Poitou-Charentes, sur le seuil du Poitou, est une coopérative de taille moyenne : 300 M de chiffre d affaires, 260 collaborateurs, environ 2000 adhérents professionnels grandes cultures ou polyculture élevage. Sa vocation : «fournir aux agriculteurs les meilleures solutions pour leur exploitation». Les meilleures solutions reposent sur le triptyque : De bons débouchés Des approvisionnements au bon rapport qualité/prix Un conseil agronomique pertinent L activité Conseil est dense : le service agronomie et expérimentation comprend 5 personnes, le conseil technique auprès des adhérents comprend 35 techniciens et ingénieurs, relayés dans les 60 sites de la coopérative par des agents de maîtrise en charge de la logistique. Le Conseiller est bien souvent le principal référent de l exploitation pour les choix techniques et économiques. Le professionnalisme des équipes repose sur la gestion des compétences, la formation et sur l organisation. Comme toutes les activités de la Coopérative, le conseil est managé sous assurance qualité, selon le référentiel de certification S 314 «Services et conseils agricoles» pour la fertilisation et la protection des cultures, depuis Cette avance nous a permis d être, en décembre 2012, la première coopérative à obtenir le nouvel agrément de distribution dit «Certiphyto». 75 % de la sole de la coopérative soit ha sont pilotés par nos outils d aide à la décision (OAD) en fertilisation et protection des cultures qui alimentent nos bases de données et servent à l évaluation des programmes de préservation de la qualité de l eau. 5
7 Nous abordons maintenant une nouvelle phase pour notre conseil face aux enjeux individuels des exploitations et aux enjeux collectifs des territoires pour amplifier la double performance économique et environnementale. L approche globale se complexifie et se raisonne économiquement, géographiquement et dans le temps. Les parties prenantes du progrès agricole ne sont plus la seule coopérative et ses adhérents. Maintenant les collectivités territoriales, les agences de l eau nous accompagnent et nous demandent des comptes et des comptes rendus!... Fastidieux mais nécessaires quand il s agit d argent public. Notre ambition est que l ensemble de l équipe progresse dans sa compétence du conseil stratégique, en liaison avec un back office solide, que la coopérative à elle seule ne peut développer. La création du Partenariat INVIVO-ARVALIS-CETIOM répond particulièrement bien à notre attente et c est pourquoi nous avons décidé de faire partie des coopératives pilotes de ce beau projet. 6
8 4- Conclusion Même si nous anticipons sur certains aspects concernant la future loi d Avenir, il faut garder en tête que le cadre réglementaire n est pas encore complètement défini. De ce fait nous restons prudents et ouverts, dans les prochains mois, à des évolutions de l offre commune de services. Cependant, notre initiative fait force de proposition en faisant valoir des expertises éprouvées, des services concrets et une véritable innovation dans l approche du conseil. Les trois partenaires vont valoriser en priorité leurs savoir-faire acquis sur le terrain pour répondre à cette nouvelle attente. Il n est pas exclus d élargir le partenariat en fonction des compétences nouvelles nécessaires. On peut considérer que la campagne sera une période de test pour notre initiative et quelle nous permettra d améliorer l offre et de consolider ses atouts. ARVALIS- Institut du végétal : Xavier GAUTHIER x.gautier@arvalisinstitutduvégétal.fr tél. : CETIOM : Christine GIGANDON gigandon@cetiom.fr tél. : INVIVO AgroSolutions : Agnès FILHOL afilhol@invivo-group.com tél. :
Action 5.1.1 : Mettre en place des outils d accompagnement technico-économique en matière de pratiques culturales
Orientation stratégique n 5 : Innover pour amélior er la productivité des exploitations Objectif opérationnel 5.1 : acquérir des références technico-économiques sur des techniques alternatives Action 5.1.1
Plus en détailL agrément des entreprises pour le conseil indépendant à l utilisation de produits phytopharmaceutiques. Ordre du jour
L agrément des entreprises pour le conseil indépendant à l utilisation de produits phytopharmaceutiques Ordre du jour 1. Le cadre réglementaire 2. Les exigences organisationnelles et leurs applications
Plus en détailAgriculture biologique et qualité de l eau Une question d intérêt général
Agriculture biologique et qualité de l eau Une question d intérêt général 10 propositions du réseau FNAB pour une nouvelle politique de l eau (2013-2018) Cahier propositionnel du réseau FNAB dans le cadre
Plus en détailFiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008
Fiche Technique Production Peu Développée en Languedoc-Roussillon Filière Maraichage Mais doux Septembre 2008 Rédigée par : Julien GARCIA Chambre Régionale d Agriculture du Languedoc-Roussillon Potentiel
Plus en détailPROJET DE REFERENTIEL D ACTIVITES ET DE COMPETENCES CADRE DIRIGEANT D ENTREPRISE AGRICOLE FRUITS ET LEGUMES
29 septembre 2006 PROJET DE REFERENTIEL D ACTIVITES ET DE COMPETENCES CADRE DIRIGEANT D ENTREPRISE AGRICOLE FRUITS ET LEGUMES DOCUMENT DE TRAVAIL REMARQUES PREALABLES SUR LES MODALITES D ELABORATION DU
Plus en détailCertificat de Spécialisation «RESPONSABLE TECHNICO-COMMERCIAL : AGRO-FOURNITURES»
Certificat de Spécialisation «RESPONSABLE TECHNICO-COMMERCIAL : AGRO-FOURNITURES» S appuyant sur le Brevet de Technicien Supérieur Agricole : Analyse et conduite des systèmes d exploitation Arrêté du 27
Plus en détailRÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM 9ÈME DECLARATION FINALE
9ÈME RÉUNION DES MINISTRES DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DE LA PÊCHE DES PAYS MEMBRES DU CIHEAM La Valette 27 septembre 2012 DECLARATION FINALE page 1 A l invitation de S.E. George Pullicino,
Plus en détailMutualisation des compétences
Premières Rencontres richesses humaines associatives 2 & 3 décembre 2014 ATELIER PROSPECTIF Mutualisation des compétences DEFINITIONS Mutualisation La mutualisation se définit comme la synergie entre deux
Plus en détailPAC. ce qui change. vraiment
PAC 2014 2020 ce qui change vraiment Dotée d un budget préservé de l ordre de 9,1 milliards par an, la nouvelle pac entrera pleinement en application en 2015 et sera le cadre commun de l agriculture européenne
Plus en détailEtude de marché de la gazéification en Languedoc Roussillon Présentation Séminaire BioénergieSud du 26 Novembre 2013
Présentation Séminaire BioénergieSud du 26 Novembre 2013 Document produit par ENEA Consulting I 89 rue Réaumur, 75002 Paris I +33 (0) 1 82 83 83 83 I www.enea-consulting.com Sommaire ENEA : qui sommes-nous?
Plus en détail10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive»
10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive» Préambule Si l actuelle majorité peut indéniablement se prévaloir d un très bon bilan,
Plus en détailCompte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris
Compte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris Thème : Commercialiser la campagne : les questions de base posées aux territoires
Plus en détailLe Crédit Coopératif, partenaire des entreprises et autres organisations dans leur démarche environnementale
Octobre 2012 Le Crédit Coopératif, partenaire des entreprises et autres organisations dans leur démarche environnementale Convaincu de l impérieuse nécessité pour les entreprises de prendre en compte les
Plus en détail3 ème année. Cet appel à proposition s inscrit dans la continuité du travail engagé en année 1 et 2.
Appel à proposition Projet Alimen terre Un système d'alimentation local sur le Pays de Vannes 3 ème année Avec près de 60 % de surfaces agricoles, l agriculture demeure prépondérante sur notre territoire.
Plus en détailwww.u-bordeaux3.fr Master professionnel Urbanisme : stratégie, projets, maîtrise d ouvrage (USPMO)
www.u-bordeaux3.fr Master professionnel Urbanisme : stratégie, projets, maîtrise d ouvrage (USPMO) Former des urbanistes Le master Urbanisme : stratégie, projets, maîtrise d ouvrage (USPMO) s appuie sur
Plus en détailPROJET SENIOR COMPETENCE. Présentation synthétique 1. L OBJECTIF DU PROJET...2 2. LE PARTENARIAT LOCAL ET TRANSNATIONAL...3
PROJET SENIOR COMPETENCE Présentation synthétique 1. L OBJECTIF DU PROJET...2 2. LE PARTENARIAT LOCAL ET TRANSNATIONAL...3 3. ACTIONS ET CALENDRIER DU PROJET...5 3.1. ETAT DES LIEUX ET DIAGNOSTIC (1 ER
Plus en détailStratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services
1 Stratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services Pays Cœur de Flandre I Phase II La formulation de la stratégie Région Nord Pas de Calais Avril 2013 Région Communauté Nord Pas de
Plus en détailMicro-irrigation à Madagascar
P R AVSF - J. Mas A X IS LES EXPÉRIENCES I N N O VA N T E S D AV S F PAYS Madagascar TITRE DU PROJET SCAMPIS Développement des Systèmes de Micro-irrigation BÉNÉFICIAIRES DIRECTS Plus de 10 000 familles
Plus en détailrepères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis
repères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis Version 2 : 20 juillet 2012 L expérimentation conduite par l Agence nationale de lutte contre l illettrisme
Plus en détailPLAN BIO MIDI-PYRENEES 2014-2020, UN PLAN SANS AMBITION
PLAN BIO MIDI-PYRENEES 2014-2020, UN PLAN SANS AMBITION Pourquoi les élu-es EELV au Conseil Régional ne voteront pas le Plan Bio Midi-Pyrénées 2014-2020 en l état? Plan Bio Midi-Pyrénées, un plan sans
Plus en détailUNE INITIATIVE DE : ASSOCIÉS A :
UNE INITIATIVE DE : ASSOCIÉS A : Cette charte est le résultat de trois années de travaux de consultations nationales et locales menées en région Rhône-Alpes, visant à identifier et adapter les principes
Plus en détailREFERENTIEL STRATEGIQUE DES COMPETENCES DU RESPONSABLE DE FORMATION EN ENTREPRISE INTERVENTION DU 13 OCTOBRE DE VERONIQUE RADIGUET GARF (*) FRANCE
REFERENTIEL STRATEGIQUE DES COMPETENCES DU RESPONSABLE DE FORMATION EN ENTREPRISE INTERVENTION DU 13 OCTOBRE DE VERONIQUE RADIGUET GARF (*) FRANCE Le monde de la formation est en plein bouleversement,
Plus en détailCrédit d impôt en faveur de l agriculture biologique
Crédit d impôt en faveur de l agriculture biologique Note d information et d analyse FNAB Paris, le 10 avril 2014 Mode d emploi du dispositif CI-Bio pour les exercices 2011 à 2014 (pour les déclarations
Plus en détailLes projets d investissement en PME
Le point sur Les projets d investissement en PME Concilier performance économique et conditions de travail L investissement reste un moment clé du développement d une entreprise. C est l occasion de repenser
Plus en détailInvestir, Épargner et Produire durablement :
Investir, Épargner et Produire durablement : les territoires relèvent le défi Repères pour l action LES CAHIERS DE L OBSERVATOIRE N 7 Investir, Épargner et Produire durablement : les territoires relèvent
Plus en détailFormation de dirigeant de PME
Formation Dirigeant de PME Public : Cette formation est centrée sur le chef d entreprise ou futur chef d entreprise qui a besoin de s approprier ou de perfectionner les outils du management global d entreprise
Plus en détailSEMER DES IDÉES RÉCOLTER LE SUCCÈS
SEMER DES IDÉES RÉCOLTER LE SUCCÈS ME Spécialiste et leader de l électronique embarquée et de l agriculture de précision Précurseur et accompagnateur DES VALEURS FAMILIALES À LA BASE D UN PARTENARIAT RÉUSSI
Plus en détailPlan d orientations stratégiques 2012-2016
Plan d orientations stratégiques 2012-2016 Agence Française de Développement Établissement public, l Agence Française de Développement (AFD) agit depuis soixante-dix ans pour combattre la pauvreté et favoriser
Plus en détailéco-construction bâtiments d élevage
éco-construction bâtiments d élevage Jacques Capdeville, service Bâtiment-Environnement, Institut de l Elevage Michel Colache, Maison Régionale de l Elevage SIMA février 2011 un contexte Des préoccupations
Plus en détailLe contrôle et la certification en agriculture biologique
Version Tunisie 1 ère édition 2006 AGRICULTURE BIOLOGIQUE REPUBLIQUE TUNISIENNE Ministère de l agriculture et des ressources hydrauliques Direction Générale de la Production Agricole TCP/TUN/2903 Le contrôle
Plus en détailLes services d efficacité énergétique et environnementale
Les services d efficacité énergétique et environnementale Sommaire Notre organisation Page 4 Notre offre Page 6 Nos métiers Améliorer la performance énergétique et environnementale des bâtiments Page 8
Plus en détailSciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION
Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion Préambule Présentation Les technologies de l information
Plus en détailNotre modèle d engagement
Notre modèle d engagement 1. EVALUER L évaluation des compétences que vous souhaitez améliorer implique un vrai échange entre nos deux équipes, et une étude plus approfondie des écarts et des actions préalablement
Plus en détailSPECIALISATIONS DU MASTER GRANDE ECOLE
SPECIALISATIONS DU MASTER GRANDE ECOLE Finance, Contrôle des Organisations Cette spécialisation se fonde sur la nécessité de prendre des décisions et/ou d organiser les différents processus au cœur de
Plus en détailLa campagne 2004/05 a vu des livraisons globalement stables:
Conférence de presse UNIFA - 23 septembre 2005 Sommaire Le marché des engrais : campagne 2004-2005 La hausse des prix de l énergie pèse sur la nouvelle campagne Le contexte réglementaire : la nouvelle
Plus en détailGuide pour aider à l évaluation des actions de formation
Guide pour aider à l évaluation des actions de formation Pourquoi évaluer? L évaluation constitue la dernière étape du service d ingénierie que le conseiller de l AGEFOS PME Bretagne peut apporter à l
Plus en détailCHARTE DE PARTENARIAT DU RESEAU DE CABINETS PARTENAIRES DE LA FONDATION CONDORCET
CHARTE DE PARTENARIAT DU RESEAU DE CABINETS PARTENAIRES DE LA FONDATION CONDORCET Février 2010 Fondation Condorcet / Paris Dauphine Bureau B019 - Place du Maréchal de Lattre de Tassigny - 75775 Paris cedex
Plus en détailDIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable
DIAGNOSTIC DE DURABILITE du Réseau Agriculture Durable Guide de l utilisateur 2010 Si vous êtes amenés à utiliser cet outil, merci d indiquer votre source. Réseau agriculture durable - Inpact Bretagne
Plus en détailCaisse régionale de Crédit Agricole Mutuel Charente-Maritime Deux-Sèvres. 18 septembre 2012
Caisse régionale de Crédit Agricole Mutuel Charente-Maritime Deux-Sèvres 18 septembre 2012 Sommaire Communiqué de synthèse P. 1 Le projet de regroupement des fonctions support : un projet stratégique P.
Plus en détailComment réussir le déploiement de votre communauté B2B et réduire les coûts de votre chaîne logistique?
Comment réussir le déploiement de votre communauté B2B et réduire les coûts de votre chaîne logistique? La chaîne d approvisionnement ne saurait plus fonctionner sans EDI. L enjeu est à présent d accélérer
Plus en détailProjet Fish & Catering Sector (Mise à jour du 13/10/08)
Projet Fish & Catering Sector (Mise à jour du 13/10/08) Une initiative conjointe de : En association avec : A. Introduction de la notion «d alimentation durable» en restauration collective. La notion «d
Plus en détailLa couverture des risques agricoles
PACIFICA - ASSURANCES DOMMAGES La couverture des risques agricoles Patrick Degiovanni Directeur Général Adjoint Page 1 Marrakech, Jeudi 28 octobre 2010 Sommaire Le contexte Les risques du métier en Agriculture
Plus en détailComment réussir la mise en place d un ERP?
46 Jean-François Lange par Denis Molho consultant, DME Spécial Financium La mise en place d un ERP est souvent motivée par un constat d insuffisance dans la gestion des flux de l entreprise. Mais, si on
Plus en détailhttp://www.allier.chambagri.fr/fileadmin/documents_ca03/divers_pdf/bon_usage_des_prdts_phyto.pdf A vos cultures
Février 2015 Service Agronomie, Territoire, Equipement Préconisation variétés maïs 2015 Cette plaquette fait partie du Guide annuel «A vos cultures». Celui-ci regroupe, dans un ensemble cohérent et global,
Plus en détailInvestissements d avenir. Initiative PME - Biodiversité
Investissements d avenir Initiative PME - Biodiversité Calendrier de l Initiative L Initiative est ouverte le 9 juillet 2015. Les relevés des projets sont effectués : 1 re clôture 2 nde clôture 5 octobre
Plus en détailGénie climatique Production de froid Installation - Réalisation Électricité
Génie climatique Production de froid Installation - Réalisation Électricité Préambule Venir chez SE2M, c est vous faire profiter de notre expertise de plus de 10 ans d expérience dans l exercice de notre
Plus en détailBien vivre, dans les limites de notre planète
isstock Bien vivre, dans les limites de notre planète 7e PAE le programme d action général de l Union pour l environnement à l horizon 2020 Depuis le milieu des années 70, la politique environnementale
Plus en détailAide au recrutement, à l accueil et à l intégration des nouveaux entrants Professionnalisation et fidélisation d un salarié Tutorat
Objectifs : Être au plus près des entreprises et de leurs salariés en proposant des services et outils adaptés à leurs besoins. 12 fiches «service» synthétiques, répertoriées en 5 grands thèmes : PROFESSIONNALISATION
Plus en détailEtude de diagnostic territorial et accompagnement de projets en vue de la revitalisation du site de la base aérienne de Brétigny
Etude de diagnostic territorial et accompagnement de projets en vue de la revitalisation du site de la base aérienne de Brétigny Phase 2 Perspectives de développement Proposition de stratégie de mise en
Plus en détailles outils les enjeux les applications locales Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement connaître pour agir
connaître pour agir Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement les enjeux les outils les applications locales Enjeux d une analyse environnementale et leviers d améliorations QU EST-CE
Plus en détailPerspectives d applications de la télédétection en grandes culture à court et moyen terme dans le Sud-Ouest
Perspectives d applications de la télédétection en grandes culture à court et moyen terme dans le Sud-Ouest Jean-François DEJOUX CESBIO & Luc CHAMPOLIVIER CETIOM Télédétection en agriculture : nouveau
Plus en détailM2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager
Formation Management M2S formation Animer son équipe Le management de proximité Manager ses équipes à distance Nouveau manager Coacher ses équipes pour mieux manager Déléguer et Organiser le temps de travail
Plus en détailLa gestion intégrée des produits résiduaires organiques de la micro-régionouest de la Réunion Etat d avancement du projet
La gestion intégrée des produits résiduaires organiques de la micro-régionouest de la Réunion Etat d avancement du projet T. Wassenaar, J. Queste, J.M. Paillat Assemblée Générale du RMT Fertilisation &
Plus en détailConseil Interrégional des Chambres des Métiers de la GR 2
Initiative du CICM Proposition au Sommet de la GR "Green Deal en vue d une politique énergétique et climatique efficiente dans la GR en coopération avec les PME de l artisanat" L Artisanat de la Grande
Plus en détail10 ème Forum IES 2010 Enjeux et Perspectives de l Intelligence Economique Au carrefour des Pratiques REIMS 6-8 octobre 2010
10 ème Forum IES 2010 Enjeux et Perspectives de l Intelligence Economique Au carrefour des Pratiques REIMS 6-8 octobre 2010 Mission Chanvre pour le Cluster Beaujolais Numéro de la communication : IES-2010-28
Plus en détailMaîtriser les mutations
Maîtriser les mutations Avec UNE Supply chain AGILE La réflexion porte ses fruits www.cereza.fr TALAN Group Notre savoir-faire : maîtriser les mutations et en faire une force pour l entreprise Cereza,
Plus en détailJEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL
JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL XXVII e Édition Règlement n o 2014-02 : Règlement sur le développement des toits verts et l agriculture urbaine PRÉSENTATION Présenté par M. Charles Marois, membre du comité exécutif,
Plus en détailDu marketing dans ma PME!
Du marketing dans ma PME! Manque d expérience marketing des managers de sociétés technologiques, difficulté de recruter des profils marketing formés ou expérimentés : pourquoi la mission marketing est-elle
Plus en détailLes dossiers de l enseignement scolaire. l Éducation nationale et la formation professionnelle en France
Les dossiers de l enseignement scolaire 2010 l Éducation nationale et la formation professionnelle en France ministère éducation nationale L Éducation nationale et la formation professionnelle en France
Plus en détailLe système d accréditation n est pas un système basé sur la conformité à la. de ce fait, il se différencie
Système d accreditation des organismes de formation Origine, objectifs et méthodologie du système d accréditation Carlos Capela Coordinateur du projet INOFOR - Institut pour l innovation dans la formation
Plus en détailLes exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures?
Les exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures? Benoît Pagès 1, Valérie Leveau 1 1 ARVALIS Institut du
Plus en détailGuide de la documentation parcellaire
Guide de la documentation parcellaire Agrar-Office AgroWIN Agrar-Office AgroWIN 0 200 m 0 200 m 40% 30% 20% 10% 0% Statistik gespeichert am 26.09.2007 Mittelwert 69,43 % 25% 20% 15% 10% 5% 0% Legende [%]
Plus en détailSéance du Conseil Municipal du 27/06/2013
Direction Générale Développement / Direction du Développement urbain Question n 182 Direction de l'urbanisme REF : DU2013027 Signataire : SM/NL Séance du Conseil Municipal du 27/06/2013 RAPPORTEUR : Jean-Yves
Plus en détailJournée scientifique 21 novembre «Base de données e-prpv Etat des lieux et perspectives Bernard Reynaud, Henri Brouchoud, Bruno Hostachy»
Journée scientifique 21 novembre «Base de données e-prpv Etat des lieux et perspectives Bernard Reynaud, Henri Brouchoud, Bruno Hostachy» Sécurité alimentaire et Changement climatique : l Indianocéanie
Plus en détailLE PROJET D ÉTABLISSEMENT DE L ENIL DE MAMIROLLE. Réunion du 28 mars 2014
LE PROJET D ÉTABLISSEMENT DE L ENIL DE MAMIROLLE Réunion du 28 mars 2014 SOMMAIRE PARTIE 1 : Le Cadre de travail Pourquoi réaliser un Projet d Etablissement? Qu est-ce qu un Projet d Etablissement? Un
Plus en détailCOMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE
COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 125 Mai 2012 ECONOMIE ET EVALUATION DÉVELOPPEMENT DURABLE Expérimentation de l affichage environnemental sur les produits agro-alimentaires Premier retour
Plus en détailLE référentiel des métiers
LE référentiel des métiers 2 Le référentiel des métiers de Pôle emploi FILIÈRE RELATION DE SERVICES Métiers MISSIONS ACTIVITÉS COMPÉTENCES Le référentiel des métiers de Pôle emploi 3 4 Le référentiel des
Plus en détailDirection des Ressources Humaines 14/10/04 CLASSIFICATION DU GROUPE CREDIT COOPERATIF
CLASSIFICATION DU GROUPE CREDIT COOPERATIF SOMMAIRE PREAMBULE P. 4 DISPOSITIONS GENERALES : I. Généralités P. 05 I.1. Définition de la classification P. 05 I.2. Relation classification emploi P. 05 I.3.
Plus en détailDEVENIR ANIMATEUR CERTIFIE DE LA DEMARCHE LEAN
DEVENIR ANIMATEUR CERTIFIE DE LA DEMARCHE LEAN Certification CQPM réf : 2008 07 69 0272 Animateur de la démarche LEAN pour l amélioration de la performance et des processus. BUTS DE LA FORMATION : Etre
Plus en détailEvaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo
Evaluation du projet Fonds pour la consolidation de la paix, Welthungerhilfe Butembo République Démocratique du Congo Numéro WHH du projet: AF 1519 / COD 1063-07 Numéro KfW du projet : KfW 2007 65 537
Plus en détailSOMMAIRE 1 LA POLITIQUE GENERALE ET LA POLITIQUE QUALITE 2 UNE ORGANISATION PROFESSIONNELLE FORTE ET GARANTE DE SES MEMBRES 3 NOTRE SMQ
Manuel Qualité 5 place du Rosoir 21000 DIJON Tél. : 03.80.59.65.20 Fax : 03.80.53.09.50 Mèl : contact@bfc.experts-comptables.fr www.bfc.experts-comptables.fr SOMMAIRE 1 LA POLITIQUE GENERALE ET LA POLITIQUE
Plus en détailCENTRE DE GESTION DE LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE. Le partage de solutions
CENTRE DE GESTION DE LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE Le partage de solutions RH Partageons nos solutions RH... Dans chaque collectivité, la collaboration active entre élus et personnels est la clé de
Plus en détailDIRECTION DES ACHATS RESPONSABILITÉ SOCIALE ET ENVIRONNEMENTALE. Ensemble, agissons pour des achats responsables
DIRECTION DES ACHATS RESPONSABILITÉ SOCIALE ET ENVIRONNEMENTALE Ensemble, agissons pour des achats responsables CONVICTIONS De l intention à l action systématique André SÉPANIAK Directeur des achats Le
Plus en détailLes leviers régionaux de soutien de la structuration de l offre en produits alimentaires de proximité
Les leviers régionaux de soutien de la structuration de l offre en produits alimentaires de proximité Lycée agricole Edgar Pisani, Montreuil-Bellay (49) 11 octobre 2012 1. La PRI Jules Rieffel 1.1 Les
Plus en détailAllocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins
Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Université d été de la performance en santé - 29 août 2014- Lille Monsieur le président, Monsieur le directeur général,
Plus en détailChoisissez la filière de l excellence. Vers les métiers de l expertise comptable du conseil et de l audit
Choisissez la filière de l excellence Vers les métiers de l expertise comptable du conseil et de l audit L expertise comptable : un large éventail de possibilités La profession libérale L expertise comptable
Plus en détailI. Les points essentiels abordés en introduction par P. VINARD (IGEN)
Compte-rendu du Séminaire sur la mise en oeuvre du BTS Technico-commercial - le 14 mars 2012 à Paris - Programme : 9 heures : accueil 9 h 30 : présentation de la journée par Pierre VINARD, IGEN Economie
Plus en détailLe miscanthus : opportunités énergétiques à la ferme. Laurent Somer, ValBiom asbl Sankt Vith / Saint-Vith 13 juin 2014
Le miscanthus : opportunités énergétiques à la ferme Laurent Somer, ValBiom asbl Sankt Vith / Saint-Vith 13 juin 2014 Plan de l exposé Pourquoi du miscanthus? Chaudières polycombustibles : aspects techniques
Plus en détailTechniques agronomiques innovantes de la conduite du maïs fourrage
Techniques agronomiques innovantes de la conduite du maïs fourrage Romain LEGERE- Arvalis(station de la Jaillière Collaboration Bruno Couilleau-CA44 (Ferme de Derval) Techniques agronomiques innovantes
Plus en détailUne gamme d outils qui s étoffe
Une gamme d outils qui s étoffe 1 Une gamme d outils à la disposition de tous Tous ces outils sont disponibles sur www.cetiom.fr Gratuits et sans inscription Nouveautés : les 2 premières applications smartphone
Plus en détailMémoire de présentation du programme 2015
CONTRAT TERRITORIAL DU BLAVET MORBIHANNAIS 2014-2018 Mémoire de présentation du programme 2015 Après une première année consacrée à la mise en place de la cellule d'animation et à l'installation du nouvel
Plus en détailLe projet Chorus a été conçu pour doter. Chorus : résultats et perspectives
Danièle LAJOUMARD Inspecteur Général des Finances Chorus : résultats et perspectives Le projet Chorus destiné à permettre la mise en œuvre intégrale de la loi organique relative aux lois de finances (LOLF)
Plus en détailNotre cabinet de conseil spécialisé dans le domaine des systèmes d information géographique est engagé dans une démarche de cession.
Lyon, le 27 avril 2015 Objet : Cession de GAIAGO, motivation, métier et compétences Madame, Monsieur, Notre cabinet de conseil spécialisé dans le domaine des systèmes d information géographique est engagé
Plus en détailAvis sur la 1 ère révision du schéma d'aménagement et de gestion des eaux «Nappes profondes de Gironde»
Commission Planification Séance du 24 mai 2012 Délibération n DL/CB/12-XX Avis sur la 1 ère révision du schéma d'aménagement et de gestion des eaux «Nappes profondes de Gironde» Le comité de bassin délibérant
Plus en détailLE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION
LE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION Face à une rationalisation croissante du secteur social et médico-social, accentuée par les effets de crise, comment un directeur de structure
Plus en détailSystèmes et réseaux d information et de communication
233 DIRECTEUR DES SYSTÈMES ET RÉSEAUX D INFORMATION ET DE COMMUNICATION Code : SIC01A Responsable des systèmes et réseaux d information FPESIC01 Il conduit la mise en œuvre des orientations stratégiques
Plus en détailSession d accompagnement de la rénovation du BTSA GEMEAU Bordeaux, mai 2011. Atelier n 4. Formation en milieu professionnel EPREUVE E7- SPV/SPS
Session d accompagnement de la rénovation du BTSA GEMEAU Bordeaux, mai 2011 Atelier n 4 Formation en milieu professionnel EPREUVE E7- SPV/SPS L épreuve 7 permet d évaluer la capacité intégrative 10 du
Plus en détailFACE AUX DÉFIS ÉCOLOGIQUES
L ENVIRONNEMENT EN FRANCE 2 FACE AUX DÉFIS ÉCOLOGIQUES des initiatives locales et des actions de long terme VERS UN RAPPROCHEMENT DES ACTIVITÉS ÉCONOMIQUES ET DE L ENVIRONNEMENT? INTRODUCTION L OBSERVATION
Plus en détailCONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO-
CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO- ALIMENTAIRE AU QUÉBEC RÉSULTATS D UNE CONSULTATION DES ACTEURS DU SECTEUR AGROALIMENTAIRE AU SUJET DE LEUR CONFIANCE ENVERS LEURS PERSPECTIVES FUTURES Préparé pour l Union
Plus en détailAccompagnement renforcé du public PLIE Cadre de référence de Plaine Commune, Le PLIE
Accompagnement renforcé du public PLIE Cadre de référence de Plaine Commune, Le PLIE I- PREAMBULE 2 II- CAHIER DES CHARGES 2 II-1-Objectifs /Finalité 2 II-2-Public visé 3 II-3-Durée des parcours 3 II-4-Missions
Plus en détailPROGRAMME D APPUI A MAÎTRISE D OUVRAGE DES ADMINISTRATIONS DU SECTEUR RURAL MINADER-MINEPIA (AMO) PHASE II 2013-2016 FINANCEMENT C2D
MINISTERE DE L AGRICULTURE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL MINISTERE DE L ELEVAGE, DES PÊCHES ET DES INDUSTRIES ANIMANES PROGRAMME D APPUI A MAÎTRISE D OUVRAGE DES ADMINISTRATIONS DU SECTEUR RURAL MINADER-MINEPIA
Plus en détailACCOMPAGNEMENT A LA CERTIFICATION ISO 9001 DE L AGENCE POUR LA RECHERCHE ET L INNOVATION EN CHAMPAGNE-ARDENNE - CARINNA
1 APPEL D OFFRES ACCOMPAGNEMENT A LA CERTIFICATION ISO 9001 DE L AGENCE POUR LA RECHERCHE ET L INNOVATION EN CHAMPAGNE-ARDENNE - CARINNA JUILLET 2013 2 1. OBJET DE L APPEL D OFFRE Réalisation d un accompagnement
Plus en détailPosition de l ASTEE sur l innovation en matière de services d eau et de déchets
Position de l ASTEE sur l innovation en matière de services d eau et de déchets Les services publics locaux de l environnement : des services discrets mais moteurs de développement Depuis leur mise en
Plus en détailL équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015
L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 Synthèse Juin 2015 Sommaire Analyse globale 4 1. Prévision de consommation 5 2. Disponibilité du parc de production 7 3. Étude du risque
Plus en détailLogistar, la solution haute p récision de votre Supply Chain
Logistar, la solution haute p récision de votre Supply Chain Notre différence : concilier décisions stratégiques et réponses opérationnelles Pour planifier et exécuter votre Supply Chain avec la meilleure
Plus en détailN O R D - P A S D E C A L A I S
NORD-PAS DE CALAIS NORD-PAS DE CALAIS Ensemble pour une éco-rénovation responsable de notre habitat Avant-propos Dans une région où le poids du parc de logements anciens publics et privés prédomine, l
Plus en détailDossiers méthodologiques DURANTON Consultants. Maîtriser la gestion du parc automobile
Dossiers méthodologiques DURANTON Consultants Maîtriser la gestion du parc automobile Version actualisée le 17 octobre 2013 Adresse du siège social : 190 rue Lecourbe 75015 Paris Adresse de correspondance
Plus en détailAssurance et développement durable, les principaux chiffres 2012/2013
Assurance et développement durable, les principaux chiffres 2012/2013 Depuis 2009, les sociétés d assurance de la FFSA et du GEMA ont engagé une démarche volontaire de réflexion et d actions en matière
Plus en détailLEADER... LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : UN OBJECTIF FORT : LEADER ACCOMPAGNE : LES 4 THÉMATIQUES : POUR VOUS ACCOMPAGNER
LE DISPOSITIF DE FINANCEMENT EUROPÉEN LEADER AU SERVICE DE L ATTRACTIVITÉ TERRITORIALE LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : Le programme LEADER est un outil au service de la mise en œuvre du projet de territoire
Plus en détailRéforme du du BTS Comptabilité Gestion. Comptabilité Gestion. Jean-Charles Diry Nathalie Freydière Jean-Philippe Minier Amélie Zurita
Réforme du du BTS Jean-Charles Diry Nathalie Freydière Jean-Philippe Minier Amélie Zurita 1 Bacs Généraux S & ES Retours d université Bacs Professionnels (notamment Gestion Administration) Bacs Technologiques
Plus en détail