TEST SUR LA CLASSIFICATION DES ANTIOXYDANTS. Répondez par oui ou non en cliquant sur la case correspondante :

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "TEST SUR LA CLASSIFICATION DES ANTIOXYDANTS. Répondez par oui ou non en cliquant sur la case correspondante :"

Transcription

1 TEST SUR LA CLASSIFICATION DES ANTIOXYDANTS Question 1 Les caroténoïdes : Ce sont des pigments végétaux Hydrophile contenant une chaîne centrale hautement polyinsaturée pouvant comporter une structure cyclique à chaque extrémité En effet, un composé est dit hydrophile ou polaire quand il est soluble dans l'eau. Contrairement, les caroténoïdes sont hydrophobe (Hydrophobe: Qui montre une forte répulsion pour l'eau, qui repousse l'eau.) ou lipophile c est à dire soluble dans les corps gras, mais insoluble dans l'eau. Question 2 La Famille des caroténoïdes se divisent en deux sous classes les polyphenols et les vitamines En effet, on distingue deux grandes classes : Les carotènes contenant uniquement du carbone et de l hydrogène. Exemple : le Lycopène Les xanthophylles Renferment du carbone, hydrogène et des atomes d oxygènes. Exemple : la Luteine Question 3 Les polyphénols regroupent une grande famille de composés élaborés à partir d'une unité de phénylpropanoïde, ils regroupent une multitude de composés et représentent un des groupes les plus importants distribués dans les végétaux. Les polyphenols se composent de plusieurs classes Glissez les étiquettes dans la case correspondante Acides phénoliques Stilbènes Lignanes Flavonols Flavanols Flavanones Chalcones

2 ?? Flavonoides??? Polyphenols? Anthocyanes? Alcool Phenoliques Réponse : en couleur jaunes Flavonols Flavanols Flavonoides Flavanones Acides phénoliques Chalcones Polyphenols Lignanes Anthocyanes Stilbènes Alcool Phenoliques Question 4 Les composés chimiques suivantes, faisant partie des antioxydants. Ils appartiennent tous à la famille des flavonoïdes.

3 Répondez par oui ou non en cliquant sur la case correspondante : En effet Le termee flavonoïde rassemble une très large gamme de composés naturels appartenant à la famille des polyphénols. Les flavonoïdes possèdent un squelette de base à quinze atomes de carbone constitué de deux cycles en C6 (A et B) reliés par une chaîne en C3 Faux Flavanol Flavanones Flavone Isoflavones Question5. Le β tocophérol, est la vitamine E proprement dite, est un antioxydant appartenant à la famille des oligo-elements Répondez par oui ou non en cliquant sur la case correspondante : En effet La vitamine E fait partie de la famille des vitamines antioxydants et non des oligoelements. Chimiquement elle fait partie de la famille des tocophérols Cette famille comprend 4 substances : l α-tocophérol, qui est la vitamine E proprement dite, le β- tocophérol, le γ-tocophérol et le δ- tocophérol. Ces composés ont, par ailleurs, beaucoup de similitudes structurelles avec 4 autres molécules appartenant à la famille des tocotriénols : l α-tocotriénol, le β- tocotriénol, le γ-tocotriénoll et le δ-tocotriénol

4 Question6 La figure suivante représente Structure chimique de la Vitamine C En effet, la structure est composé d un cycle chromanol mono-, di-, ou triméthylé auquel se trouve rattachée une chaîne carbonée latérale (chaîne phytyle) saturée et insaturée de 16 carbones. Donc c est la Vitamine E. Les doubles liaisons indiquées en rouge ne sont pas présentes dans les tocophérols. Question 7 Le Thé vert est réputé avoir les propriétés thérapeutiques les plus efficaces, grâce aux vitamines que contienne l infusion. Les vitamines se décomposent en solution à des températures relativement élevé. Par contre le thé vert est réputé pour sa richesse en oligoéléments essentielle le sélénium

5 TEST SUR LE ROLE DES ANTIOXYDANTS Question1 Les caroténoïdes sont des métabolismes secondaires qui sont associés à de nombreux processus physiologiques comme la croissance cellulaire, la différenciation organogène, la dormance des bourgeons et la floraison. Les caroténoïdes jouent un rôle dans la photosynthèse, sont les précurseurs de la chlorophylle. Question2 Dans les huiles surtout celles qui possèdent un fort taux d acides gras polyinsaturés, le β-carotène agit comme protecteur contre l oxydation des AGPI, et ce en désactivant l oxygène singulet produit par les chlorophylles Structure de la Chlorophylle En effet, par désactivation physique éliminant l énergie d excitation de l oxygène singulet sans changement chimique : 1 O2 + β-carotène = O2 + β-carotène* Les AGPI se trouve préservé contre une éventuelle oxydation

6 Question3. Le brunissement est accéléré si la pomme est talée ou meurtrie, car dans ce cas les enzymes et les Vitamines sont déjà en contact. Le brunissement est accéléré si la pomme est talée ou meurtrie, car dans ce cas les enzymes et les phénols sont déjà en contact. D'autres facteurs comme la chaleur et la lumière, ou la présence de métaux favorisent l'oxydation : ils agissent comme catalyseurs Question 4. Chez la plante, les polyphénols interviennent dans les mécanismes de défense contre les insectes et les champignons Conséquence d une attaque des chenilles de l écorce d un arbre

7 Effectivement, une plante attaquée par des ravageurs comme des chenilles synthétise une grande quantité de phénols indigeste et inapparents. Question 5. L oxygène est un gaz indispensable à la vie mais il peut être toxique par lui-même et par la formation de radicaux libres qui ont de nombreux effets délétères. Les organismes vivant en aérobiose possèdent des systèmes de défense ; ainsi à l état physiologique il existe un équilibre entre la production des radicaux libres et les systèmes antioxydants. Dans certaines conditions, il apparaît un déséquilibre provoqué par une production exagérée de radicaux libres ou par une diminution des défenses antioxydantes ; on parle alors de stress! Cliquez sur la bonne réponse on parle alors de stress radicalaire Question6. on parle alors de stress physiologique on parle alors de stress oxydant JUSTE La figure suivante représente les processus possibles pour la synthèse de l eau à partir du dioxygène à l intérieur des cellules vivantes.. Les composés incriminés dans la production des radicaux libres (stress oxydants) sont Les dérivés réactifs de l'oxygène (ERO), qui lors de la réduction du dioxygène peut conduire aux espèces réactives de l oxygène (ERO) qui sont : le radical superoxyde O2 -, et son acide conjugué (le radical hydroperoxyle HO 2 ), le radical hydroxyle OH et le peroxyde d hydrogène H 2 O 2 qui oxydent des molécules biologiques

8 Question7. Donner un titre à la figure suivante en cliquant sur la réponse correspondante Lysosome Mitochondrie Cellule Lipoprotéine de basse densité Effectivement, Les lipoprotéines de basse densité (ou LDL pour Low density lipoprotein en anglais) sont un groupe de lipoprotéines de types et de tailles variables (18 à 25 nm de diamètre), qui transportent le cholestérol, libre ou estérifié, dans le sang et à travers le corps pour les apporter aux cellules. Les LDL sont produites par le foie à partir des lipoprotéines de très basse densité (ou VLDL). Elles portent des apolipoprotéines B-100 et des vitamines antioxydantes (vitamine E et caroténoïdes).

9 Question8. Lipoprotéine de basse densité sont il athérogenèse? Surement! que les lipoprotéines de faible densité (LDL) sont catabolisées par la voie des récepteurs LDL, ne sont pas athérogènes. C'est l'oxydation de certaines lipoprotéines qui est aujourd'hui considérée comme une étape importante de l'athérogenèse. En effet, les LDL oxydées ne sont pas reconnues par les récepteurs habituels (récepteur cellulaire B/E) et sont alors catabolisées par d'autres voies. Elles vont s'accumuler dans les cellules spumeuses observées au stade initial de la formation de la plaque d'athérome Question9 L Athérosclérose est définit comme une maladie inflammatoire de la paroi artérielle. La formation plaque d'athérome par le processus d athèrogenèse, implique une réduction du diamètre de vaisseau, se traduisant par une HTA (Hyper Tension Artérielle. La rupture de la plaque d'athérome, provoque une obstruction, d où une embolie. Si le vaisseau endommagé par la plaque se localise au niveau du myocarde on parle alors de l Infarctus du Myocarde. Juste

10 Question 10. Les acides gras insaturés contenus dans les lipides ne sont pas la cible des oxydations. Effectivement Tous les lipides contenant des acides gras insaturés quelle que soit leur origine (huiles végétales, huiles de poissons, graisses animales, membranes cellulaires, lipoprotéines) sont le cible d oxydation par l oxygène. Question 11. L oxygène moléculaire dans son état fondamental ( 3 O 2 ) est très réactif et se fixera sur les acides gras directement. L oxygène moléculaire dans son état fondamental ( 3 O 2 ) est peu réactif et ne se fixera sur les acides gras qu après une étape d initiation induite par les radicaux libres. Question 12. L oxygène peut exister sous une forme excitée ( 1 O 2 ) qui permet une addition lente et indirecte de l oxygène sur l acide gras. L oxygène peut exister sous une forme excitée ( 1 O 2 ) qui permet une addition rapide et directe de l oxygène sur l acide gras

11 Question 13. L oxydation des acides gras libère des peroxydes L oxydation des acides gras libère des peroxydes qui se décomposent rapidement pour donner de très nombreux produits de décomposition qui vont contribuer à propager des dommages vis-à-vis d autres molécules comme les protéines, les acides nucléiques et d autres lipides Question 14. Selon Buettner, les antioxydants susceptibles de protéger les lipides de l oxydation peuvent être répartis en deux types : les antioxydants préventifs qui interceptent les radicaux propagateurs de la peroxydation lipidique et retardent la peroxydation (période d induction) et les antioxydants «chain breaking» qui empêchent la formation d espèces réactives de l oxygène ou interceptent les espèces responsables de l initiation de la lipoperoxydation. IL fallait inverser les rôles et dire que : 1- les antioxydants préventifs empêchent la formation d espèces réactives de l oxygène ou interceptent les espèces responsables de l initiation de la lipoperoxydation 2- les antioxydants «chain breaking» interceptent les radicaux propagateurs de la peroxydation lipidique et retardent la peroxydation (période d induction).

12 Question 1. TEST SUR LES METHODES D EXTRACTIONS DES ANTIOXYDANTS Le montage suivant sert à extraire les antioxydants d une manière saine et rapide, sans utiliser des solvants contaminant. Cliquer sur la bonne réponse Montage Cleavenger Montage d entrainement à la vapeur Extracteur Sans Solvant Assistée par Micro-Ondes Oui, la technique d extraction par micro-ondes la plus utilisée est incontestablement l extraction par solvant assistée par micro-ondes («MAE», ou «MAP»). Si sa rapidité de mise en œuvre en fait une technique de choix pour l extraction et plus particulièrement pour l extraction de composés aromatiques d origine végétale

13 Question 2. Pour extraire les polyphenols tels que : l EpiGalloCathéchineGallate (EGCG) prépondérant dans le thé vert, la Catéchine et Epicatéchine dans le chocolat on doit procéder a des différentes étapes d extraction. Le tableau suivant contient des étiquettes des différentes étapes d extraction des polyphenols dans le désordre. Placez chaque étiquette selon l ordre adéquat Etapes d extractions dans le désordre Etapes d extractions dans l ordre Etape1 Etape2 Etape3 Etape4 Etape5 Etape6 Etape7 Etape8 Etape9 Etape10.

14 Solution Etapes d extractions dans l ordre Etape1 Etape2 Etape3 Etape4 Etape5 Etape6 Etape7 Etape8 Etape9 Etape10.

15 Question 3. La distillation moléculaire, ou distillation à court trajet, permet aussi de : purifier des substances liquides ou solides (point de fusion < 150 C), même thermosensibles et/ou de masses moléculaires élevées, qu'elles soient d'origine naturelle ou synthétique, extraction d une huile essentielle désodoriser et/ou décolorer de nombreux produits, désolvater diverses substances d'origine naturelle ou synthétique. élaboration de vitamines à partir d'huiles animales, pour la concentration des essences aromatiques Question 4. Le montage suivant, se compose d'un corps en verre (4) dans lequel est placée une cartouche en papier-filtre épais (5), d'un tube siphon (6-7) et d'un tube d'adduction (3). Dans le montage, l'extracteur est placé sur un ballon (2) contenant le solvant d'extraction (1). Dans l'extracteur est insérée une cartouche dans laquelle est placé le matériel végétal riche en antioxydant ; puis un réfrigérant ( ). Donner un titre a ce montage, en cliquant sur la bonne réponse. Cleavenger Non, le cleavenger est un système d extraction par Hydrodistillation : Entrainement à la vapeur Non Soxhlet Oui, c est un extracteur Soxhlet, qui permet le traitement de solides de toutes tailles, avec des solvants en phase liquide ou partiellement vaporisés

16 TEST SUR L EVALUATION DE L ACTIVITE ANTIOXYDANTE Question1. Cinétique de réduction du radical DPPH : Les antioxydants sont ajoutés à une solution méthanolique de DPPH à raison de 8 radicaux par phénol à 25 C Les phénols de l huile d olive (Acide férulique, Oleuropéine, Acide caféique, Hydroxytyroso) ont été comparés entre eux ainsi qu avec l acide chlorogénique et l acide dihydrocafeique des phénols absent dans l huile d olive et utilisé à titre de comparaison. Deux paramètres cinétiques sont évalués la constante de vitesse k1 et la stœchiométrie n tot. n tot représente le nombre total de DPPH réduit par molécule d antioxydant. Il est donc déterminée en fin de réaction Les résultats sont exprimés dans la figure suivante Cliquer sur la bonne reponse 1-Les phénols ont chacun des comportements identiques vis-à-vis du DPPH (Non, Ils ont chacun des comportements différents) 2- k 1 correspond à la constante de vitesse de transfert du premier atome d hydrogène de l antioxydan vers le DPPH. Elle est donc déterminée lors de la phase rapide de la cinétique.

17 (Oui) 3- La constante de la vitesse k 1 et la stœchiométrie n tot sont proportionnelles Faux : Par exemple la k 1 de l acide caféique semble plus élevée celle de l acide dihydrocaféique. Alors que le n tot de l acide dihydrocaféique est supérieur au n tot de l acide caféique. Question 2. Identifiez le radical suivant : -O 3 S S N+. Et N N Et N S SO 3-1- Radical DPPH (2,2-diphényl-1- picrylhydrazyl) Non le radical DPPH a la structure chimique suivante Non l APPH est un générateur hydrophyle des radicaux libres. Il a la structure chimique suivante 2- APPH (2,2 -azobis-(2- amidinopropane) + H 2 N C H 2 N CH 3 CH 3 C N N C CH 3 CH 3 + NH 2 C NH 2 AAPH R 3- Radical cation ABTS +, Ou,i Dans la méthode TEAC (Trolox equivalent antioxidant capacity), l activité antioxydante totale d une molécule est déduite

18 de sa capacité à inhiber le radical ABTS +, obtenu à partir de l ABTS (sel d ammonium de l acide 2,2 -azinobis-(3-éthylbenzothiazoline- 6- sulfonique)) Question 3. Afin de mesurer le potentiel antioxydan des polyphénols dans le chocolat, on introduit le substrat, l AAPH et les polypéhnols comme l indique le schéma suivant, puis on mesure l absorbance à 234 nm en fonction du temps. Choisissez la bonne réponse : La longueur d onde 234 nm, représente le maximum d absorption des polypenols du chocolat Faux La longueur d onde 234 nm représente le maximum d absorption de l APPH Faux La longueur d onde 234 représente le maximum d absorption des diènes conjugués, résultat de la dégradation de l acide linoléique. Oui, En effet, l oxydation de l acide linoléique par les radicaux générés par l APPH, libère des diènes conjugués. La détermination du temps d inhibition (voir graphe ci-dessous) de l oxydation de l acide linoléique, traduis l efficacité de l antioxydant à protéger le acides gras instaurés contre une éventuellee oxydation : en effet plus le temps d inhibition es élevé plus l antioxydan est efficace.

19 Question 4. Le test de Rancimat consiste à mesurer la dégradation d un corps gras face à une autooxydation accélérée. Oui. Juste!, en effet dans un appareil automatisé ( voir ci-dessous) qui chauffe les solutions à 100 C environ avec un apport d air constant (20 L/h).On détecte les composés volatils libérés qui indiquent indirectement le degré d oxydation du corps gras. Ce test est spécifique aux corps gras telque les huiles végétales (olive plus ou moins raffinée, tournesol) voire les graisses animales. Non : Faux! Question 5. Le malonaldéhyde est un antioxydants de référence. Oui : Faux! Non : En effet le malonaldhéyde est un produit résultant de l oxydation et non un antioxydant.son dosage par photométriques, nous permet de suivre l évolution en fonction du temps la dégradation des lipides dans les aliments.

20 Question 6. Le pouvoir antioxydant d une solution comme le plasma est déterminé grâce au test DPPH. Oui Faux! Non : Le pouvoir antioxydant d une solution comme le plasma est déterminé grâce au test FRAP (Ferric reducing abitity of plasma). A faible ph et à 37 C, le complexe tripyridyltriazine ferreux (TPTZ-Fe 3+ ) est ajouté à l échantillon. Les antioxydants présents réduisent le complexe en sa forme Fe 2+ et son absorbance est lue à 593 nm toutes les 15 s durant la période de mesure. Ce test est rapide et donne des résultats reproductibles pour des solutions biologiques ainsi que pour des solutions pures d antioxydants où la réaction est indépendante de la concentration car la réponse est linéaire.

- pellicule de fruits qui a un rôle de prévention contre l'évaporation, le développement de moisissures et l'infection par des parasites

- pellicule de fruits qui a un rôle de prévention contre l'évaporation, le développement de moisissures et l'infection par des parasites LES LIPIDES Quelles Sont les Idées Clés? Les lipides sont les huiles et les graisses de la vie courante. Ils sont insolubles dans l eau. Pour les synthétiser, une réaction : l Estérification. Pour les

Plus en détail

«Boire un verre de vin par jour augmente la longévité.»

«Boire un verre de vin par jour augmente la longévité.» «Boire un verre de vin par jour augmente la longévité.» Boire peu pour boire longtemps. Marcel Aymé Le vin est dans notre pays synonyme de plaisir (gastronomique) ou de déchéance (alcoolique). Le débat

Plus en détail

Suivi d une réaction lente par chromatographie

Suivi d une réaction lente par chromatographie TS Activité Chapitre 8 Cinétique chimique Suivi d une réaction lente par chromatographie Objectifs : Analyser un protocole expérimental de synthèse chimique Analyser un chromatogramme pour mettre en évidence

Plus en détail

VALORISATION DES CO-PRODUITS ISSUS DE LA PRODUCTION INDUSTRIELLE DE BIOCOMBUSTIBLES

VALORISATION DES CO-PRODUITS ISSUS DE LA PRODUCTION INDUSTRIELLE DE BIOCOMBUSTIBLES VALORISATION DES CO-PRODUITS ISSUS DE LA PRODUCTION INDUSTRIELLE DE BIOCOMBUSTIBLES Laboratoire de Génie des Procédés pour l Environnement, l Energie et la Santé (GP2ES EA 21) Plan de l exposé Introduction

Plus en détail

1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.

1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples. Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste

Plus en détail

COMITE SCIENTIFIQUE DE L AGENCE FEDERALE POUR LA SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE

COMITE SCIENTIFIQUE DE L AGENCE FEDERALE POUR LA SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE 1/8 COMITE SCIENTIFIQUE DE L AGENCE FEDERALE POUR LA SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE AVIS 36-2006 Concerne : Contrôle de la composition des denrées alimentaires (dossier Sci Com 2005/25) Le Comité scientifique

Plus en détail

EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points)

EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) Bac S 2015 Antilles Guyane http://labolycee.org EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) La benzocaïne (4-aminobenzoate d éthyle) est utilisée en médecine comme anesthésique local

Plus en détail

Le stress oxydant provoqué par l'exercice : une fatalité?

Le stress oxydant provoqué par l'exercice : une fatalité? Le stress oxydant provoqué par l'exercice : une fatalité? L e métabolisme aérobie est un moyen très efficace de produire de l'énergie en oxydant la matière organique, mais l'utilisation d'oxygène entraîne

Plus en détail

Synthèse et propriétés des savons.

Synthèse et propriétés des savons. Synthèse et propriétés des savons. Objectifs: Réaliser la synthèse d'un savon mise en évidence de quelques propriétés des savons. I Introduction: 1. Présentation des savons: a) Composition des savons.

Plus en détail

Indicateur d'unité Voyant Marche/Arrêt

Indicateur d'unité Voyant Marche/Arrêt Notice MESURACOLOR Colorimètre à DEL Réf. 22020 Indicateur d'unité Voyant Marche/Arrêt Indicateur Etalonnage Bouton Marche/Arrêt Indicateur de sélection de la longueur d'onde Indicateur de mode chronomètre

Plus en détail

PHYSIQUE-CHIMIE DANS LA CUISINE Chapitre 3 : Chimie et lavage

PHYSIQUE-CHIMIE DANS LA CUISINE Chapitre 3 : Chimie et lavage PHYSIQUE-CHIMIE DANS LA CUISINE Chapitre 3 : Chimie et lavage I) Qu'est-ce qu'un savon et comment le fabrique-t-on? D'après épreuve BAC Liban 2005 Physique-Chimie dans la cuisine Chapitre 3 1/6 1- En vous

Plus en détail

2 C est quoi la chimie?

2 C est quoi la chimie? PARTIE 1 AVANT LA CHIMIE VERTE... 2 C est quoi la chimie? L inconnu étant source d angoisse, nous allons essayer de définir les grands domaines de la chimie pour mieux la connaître, l appréhender et donc

Plus en détail

Exercices sur le thème II : Les savons

Exercices sur le thème II : Les savons Fiche d'exercices Elève pour la classe de Terminale SMS page 1 Exercices sur le thème : Les savons EXERCICE 1. 1. L oléine, composé le plus important de l huile d olive, est le triglycéride de l acide

Plus en détail

4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)

4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4) PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com

Plus en détail

Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN

Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre

Plus en détail

Application à l astrophysique ACTIVITE

Application à l astrophysique ACTIVITE Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.

Plus en détail

TRAVAUX PRATIQUESDE BIOCHIMIE L1

TRAVAUX PRATIQUESDE BIOCHIMIE L1 TRAVAUX PRATIQUESDE BICHIMIE L1 PRINTEMPS 2011 Les acides aminés : chromatographie sur couche mince courbe de titrage Etude d une enzyme : la phosphatase alcaline QUELQUES RECMMANDATINS IMPRTANTES Le port

Plus en détail

ATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION

ATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION ATELIER SANTE PREVENTION N 2 : L ALIMENTATION Mardi 24 janvier 2012 au Centre de Formation Multimétiers de REIGNAC L objectif de cet atelier sur la santé est de guider chacun vers une alimentation plus

Plus en détail

Les graisses dans l alimentation infantile

Les graisses dans l alimentation infantile FAMIPED Familias, Pediatras y Adolescentes en la Red. Mejores padres, mejores hijos. Les graisses dans l alimentation infantile Autor/es: Ana Martínez Rubio. Pediatra de Atención Primaria. Centro de Salud

Plus en détail

ACIDES BASES. Chap.5 SPIESS

ACIDES BASES. Chap.5 SPIESS ACIDES BASES «Je ne crois pas que l on me conteste que l acide n ait des pointes Il ne faut que le goûter pour tomber dans ce sentiment car il fait des picotements sur la langue.» Notion d activité et

Plus en détail

Extraction Assistée par Ultrasons

Extraction Assistée par Ultrasons Extraction Assistée par Ultrasons Extraction par ultrasons au laboratoire Deux types d équipements à ultrasons sont couramment utilisés dans le laboratoire. Le premier est le bain de nettoyage à ultrasons

Plus en détail

TECHNIQUES: Principes de la chromatographie

TECHNIQUES: Principes de la chromatographie TECHNIQUES: Principes de la chromatographie 1 Définition La chromatographie est une méthode physique de séparation basée sur les différentes affinités d un ou plusieurs composés à l égard de deux phases

Plus en détail

LABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage

LABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage LABORATOIRES DE CHIMIE Techniques de dosage Un dosage (ou titrage) a pour but de déterminer la concentration molaire d une espèce (molécule ou ion) en solution (généralement aqueuse). Un réactif de concentration

Plus en détail

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les

Plus en détail

33-Dosage des composés phénoliques

33-Dosage des composés phénoliques 33-Dosage des composés phénoliques Attention : cette manip a été utilisée et mise au point pour un diplôme (Kayumba A., 2001) et n a plus été utilisée depuis au sein du labo. I. Principes Les composés

Plus en détail

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules

Plus en détail

Partie 1. Addition nucléophile suivie d élimination (A N + E) 1.1. Réactivité électrophile des acides carboxyliques et groupes dérivés

Partie 1. Addition nucléophile suivie d élimination (A N + E) 1.1. Réactivité électrophile des acides carboxyliques et groupes dérivés Molécules et matériaux organiques Partie 1. Addition nucléophile suivie d élimination (A N + E) 1.1. Réactivité électrophile des acides carboxyliques et groupes dérivés bjectifs du chapitre Notions à connaître

Plus en détail

Résonance Magnétique Nucléaire : RMN

Résonance Magnétique Nucléaire : RMN 21 Résonance Magnétique Nucléaire : RMN Salle de TP de Génie Analytique Ce document résume les principaux aspects de la RMN nécessaires à la réalisation des TP de Génie Analytique de 2ème année d IUT de

Plus en détail

Transport des gaz dans le sang

Transport des gaz dans le sang UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

Effets électroniques-acidité/basicité

Effets électroniques-acidité/basicité Université du Maine Faculté des Sciences Retour Révisions de cours Effets électroniquesacidité/basicité Il est très important dans un cours de himie organique de connaitre ces notions qui vont intervenir

Plus en détail

Transport des gaz dans le sang

Transport des gaz dans le sang UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

ne définition de l arbre.

ne définition de l arbre. LA PHYSIOLOGIE DES ARBRES. U ne définition de l arbre. L es arbres sont des êtres vivants qui occupent une place à part dans le monde végétal. Ils sont indispensables à la vie sur terre et ils ont largement

Plus en détail

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique

Plus en détail

Végétaux Exemples d individus

Végétaux Exemples d individus Végétaux Formation Biologie 2011 2012 Végétaux Exemples d individus Végétaux Embranchement Classification Description Reproduction Mode de vie Exemples d individu Végétaux Règne > Etymologie «Végetaux»

Plus en détail

Le VIH et votre cœur

Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Le VIH et votre cœur Que dois-je savoir au sujet de mon cœur? Les maladies cardiovasculaires représentent une des cause les plus courante de décès, elles incluent: les maladies coronariennes,

Plus en détail

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices : Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur

Plus en détail

------- SESSION 2013 ÉPREUVE À OPTION. (durée : 4 heures coefficient : 6 note éliminatoire 4 sur 20) CHIMIE

------- SESSION 2013 ÉPREUVE À OPTION. (durée : 4 heures coefficient : 6 note éliminatoire 4 sur 20) CHIMIE CNCURS SUR ÉPREUVES UVERT AUX CANDIDATS TITULAIRES D UN DIPLÔME U TITRE CNFÉRANT LE GRADE DE MASTER U D'UN DIPLÔME U TITRE HMLGUÉ U ENREGISTRÉ AU RÉPERTIRE NATINAL DES CERTIFICATINS PRFESSINNELLES AU NIVEAU

Plus en détail

TP : Suivi d'une réaction par spectrophotométrie

TP : Suivi d'une réaction par spectrophotométrie Nom : Prénom: n groupe: TP : Suivi d'une réaction par spectrophotométrie Consignes de sécurité de base: Porter une blouse en coton, pas de nu-pieds Porter des lunettes, des gants (en fonction des espèces

Plus en détail

PHYSIQUE Discipline fondamentale

PHYSIQUE Discipline fondamentale Examen suisse de maturité Directives 2003-2006 DS.11 Physique DF PHYSIQUE Discipline fondamentale Par l'étude de la physique en discipline fondamentale, le candidat comprend des phénomènes naturels et

Plus en détail

Fiche 19 La couleur des haricots verts et cuisson

Fiche 19 La couleur des haricots verts et cuisson Fiche 19 La couleur des haricots verts et cuisson Objectif : Valider ou réfuter des «précisions culinaires»* permettant de "conserver une belle couleur verte" lors la cuisson des haricots verts frais (gousses

Plus en détail

PREMIERE CAUSE DE MORTALITE: 180.000/an

PREMIERE CAUSE DE MORTALITE: 180.000/an DEFINITION APPAREIL CARDIO-VASCULAIRE Buts : apporter aux organes ce dont ils ont besoin(o2 ) eliminer les déchets(co2.) APPAREIL : Pompe=cœur Tuyaux=artéres/veines PREMIERE CAUSE DE MORTALITE: 180.000/an

Plus en détail

Rappels sur les couples oxydantsréducteurs

Rappels sur les couples oxydantsréducteurs CHAPITRE 1 TRANSFORMATIONS LENTES ET RAPIDES 1 Rappels sur les couples oxydantsréducteurs 1. Oxydants et réducteurs Un réducteur est une espèce chimique capable de céder au moins un électron Demi-équation

Plus en détail

SANTÉ. E-BOOK équilibre. stop. cholesterol diabete hypertension. Réduire le cholestérol, l hypertension et le diabète SANS MEDICAMENT!

SANTÉ. E-BOOK équilibre. stop. cholesterol diabete hypertension. Réduire le cholestérol, l hypertension et le diabète SANS MEDICAMENT! SANTÉ stop cholesterol diabete hypertension E-BOOK équilibre Réduire le cholestérol, l hypertension et le diabète SANS MEDICAMENT! un peu d histoire... Il y a 200 ans, un Français faisait en moyenne entre

Plus en détail

LA A RESPIRATION CELLULAIRE

LA A RESPIRATION CELLULAIRE Instructions aux professeurs Domaine : 1.1 Le transport de substances, réaction chimique de la respiration cellulaire, p. 6 Travail à réaliser : Les élèves répondent aux questions. Matériel : Feuilles

Plus en détail

AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE

AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE CONCOURS EXTERNE Session 2005 TRAVAUX PRATIQUES DE BIOCHIMIE PHYSIOLOGIE ALCOOL ET FOIE L éthanol, psychotrope puissant, est absorbé passivement dans l intestin

Plus en détail

FICHE DE DONNEES DE SECURITE

FICHE DE DONNEES DE SECURITE PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille

Plus en détail

EXERCİCE N 1 : «Synthèse de l éthanamide» (7 pts)

EXERCİCE N 1 : «Synthèse de l éthanamide» (7 pts) Terminale S Lycée Massignon DEVİR MMUN N 4 Durée : 2h Les calculatrices sont autorisées. Il sera tenu compte de la qualité de la rédaction et de la cohérence des chiffres significatifs. EXERİE N 1 : «Synthèse

Plus en détail

5.5.5 Exemple d un essai immunologique

5.5.5 Exemple d un essai immunologique 5.5.5 Exemple d un essai immunologique Test de grossesse Test en forme de bâtonnet destiné à mettre en évidence l'hormone spécifique de la grossesse, la gonadotrophine chorionique humaine (hcg), une glycoprotéine.

Plus en détail

A B C Eau Eau savonneuse Eau + détergent

A B C Eau Eau savonneuse Eau + détergent 1L : Physique et chimie dans la cuisine Chapitre.3 : Chimie et lavage I. Les savons et les détergents synthétiques 1. Propriétés détergentes des savons Le savon est un détergent naturel, les détergents

Plus en détail

Mesure de la teneur en alcool

Mesure de la teneur en alcool 37 Mesure de la teneur en alcool 1 Rôle de l alcool dans les vins 285 1.1. Sur le plan organoleptique 285 1.2. Sur le plan biologique 285 1.3. Sur le plan réglementaire 285 1.4. Sur le plan commercial

Plus en détail

Tout ce qu il faut savoir pour comprendre le cholestérol et l alimentation lipidique Les questions que l on se pose

Tout ce qu il faut savoir pour comprendre le cholestérol et l alimentation lipidique Les questions que l on se pose Tout ce qu il faut savoir pour comprendre le cholestérol et l alimentation lipidique Les questions que l on se pose Questions : cherchez la réponse Comment se présente le cholestérol dans le sang? Quels

Plus en détail

Conception de Médicament

Conception de Médicament Conception de Médicament Approche classique HTS Chimie combinatoire Rational Drug Design Ligand based (QSAR) Structure based (ligand et ou macromolec.) 3DQSAR Docking Virtual screening Needle in a Haystack

Plus en détail

Chapitre II La régulation de la glycémie

Chapitre II La régulation de la glycémie Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique

Plus en détail

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière

Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière Seconde / P4 Comprendre l Univers grâce aux messages de la lumière 1/ EXPLORATION DE L UNIVERS Dans notre environnement quotidien, les dimensions, les distances sont à l échelle humaine : quelques mètres,

Plus en détail

Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline

Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction

Plus en détail

www.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage

www.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage 2 HTS 3 Immunologie / Immunologie Informations Techniques 3 I 2 ELISA 96 Puits 3 I 4 ELISA 96 Puits en Barrettes 3 I 6 en Barrettes de 8 Puits 3 I 7 en Barrettes de 12 Puits 3 I 8 en Barrettes de 16 Puits

Plus en détail

AIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE TABLE DES MATIERES

AIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE TABLE DES MATIERES Collège Voltaire, 2014-2015 AIDE-MÉMOIRE LA THERMOCHIMIE http://dcpe.net/poii/sites/default/files/cours%20et%20ex/cours-ch2-thermo.pdf TABLE DES MATIERES 3.A. Introduction...2 3.B. Chaleur...3 3.C. Variation

Plus en détail

L ÉNERGIE C EST QUOI?

L ÉNERGIE C EST QUOI? L ÉNERGIE C EST QUOI? L énergie c est la vie! Pourquoi à chaque fois qu on fait quelque chose on dit qu on a besoin d énergie? Parce que l énergie est à l origine de tout! Rien ne peut se faire sans elle.

Plus en détail

Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?

Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la

Plus en détail

Seignalet. 100 maladies. avec le régime. Réduire au silence

Seignalet. 100 maladies. avec le régime. Réduire au silence Jean-Marie Magnien Pharmacien, biologiste, nutritionniste, nutrithérapeute avec la participation du Dr Moncef Jemmali Réduire au silence 100 maladies avec le régime Seignalet Polyarthrite rhumatoïde, spondylarthrite

Plus en détail

TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY)

TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY) TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY) Lise Vézina, technicienne de laboratoire Michel Lacroix, agronome-phytopathologiste Direction de l innovation scientifique et technologique Au Laboratoire

Plus en détail

K W = [H 3 O + ] [OH - ] = 10-14 = K a K b à 25 C. [H 3 O + ] = [OH - ] = 10-7 M Solution neutre. [H 3 O + ] > [OH - ] Solution acide

K W = [H 3 O + ] [OH - ] = 10-14 = K a K b à 25 C. [H 3 O + ] = [OH - ] = 10-7 M Solution neutre. [H 3 O + ] > [OH - ] Solution acide La constante d autoprotolyse de l eau, K W, est égale au produit de K a par K b pour un couple acide/base donné : En passant en échelle logarithmique, on voit donc que la somme du pk a et du pk b d un

Plus en détail

Visite à l ICV. En 2009, la création du GIE ICV-VVS permet de franchir un cap en regroupant toutes les ressources disponibles aux filiales ICV et VVS.

Visite à l ICV. En 2009, la création du GIE ICV-VVS permet de franchir un cap en regroupant toutes les ressources disponibles aux filiales ICV et VVS. Visite à l ICV Cette entreprise analyse les échantillons que les viticulteurs leur transmettent de toute la région PACA (départements 13, 83, 84 et un peu du 06, ce sont en général des coopératives viticoles

Plus en détail

FORMATION ASSURANCE QUALITE ET CONTROLES DES MEDICAMENTS QUALIFICATION DES EQUIPEMENTS EXEMPLE : SPECTROPHOTOMETRE UV/VISIBLE

FORMATION ASSURANCE QUALITE ET CONTROLES DES MEDICAMENTS QUALIFICATION DES EQUIPEMENTS EXEMPLE : SPECTROPHOTOMETRE UV/VISIBLE FORMATION ASSURANCE QUALITE ET CONTROLES DES MEDICAMENTS ISO/IEC 17025 Chapitre 5 : EXIGENCES TECHNIQUES QUALIFICATION DES EQUIPEMENTS EXEMPLE : SPECTROPHOTOMETRE UV/VISIBLE Nicole GRABY PA/PH/OMCL (07)

Plus en détail

La reconnaissance moléculaire: la base du design rationnel Modélisation moléculaire: Introduction Hiver 2006

La reconnaissance moléculaire: la base du design rationnel Modélisation moléculaire: Introduction Hiver 2006 La reconnaissance moléculaire: la base du design rationnel En 1890 Emil Fisher a proposé le modèle "serrure et clé" pour expliquer la façon de fonctionner des systèmes biologiques. Un substrat rentre et

Plus en détail

Qu est ce qu un gaz comprimé?

Qu est ce qu un gaz comprimé? Qu est ce qu un gaz comprimé? Il existe plusieurs produits à base de gaz ou de mélanges de gaz sous pression conservés dans des bouteilles 1. La plupart de ces gaz sont classés dans la catégorie des «gaz

Plus en détail

Origine du courant électrique Constitution d un atome

Origine du courant électrique Constitution d un atome Origine du courant électrique Constitution d un atome Electron - Neutron ORIGINE DU COURANT Proton + ELECTRIQUE MATERIAUX CONDUCTEURS Électrons libres CORPS ISOLANTS ET CORPS CONDUCTEURS L électricité

Plus en détail

Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission

Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1re B et C 11 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 129 Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les

Plus en détail

Chapitre 7 Les solutions colorées

Chapitre 7 Les solutions colorées Chapitre 7 Les solutions colorées Manuel pages 114 à 127 Choix pédagogiques. Ce chapitre a pour objectif d illustrer les points suivants du programme : - dosage de solutions colorées par étalonnage ; -

Plus en détail

RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 Date de création/révision: 25/10/1998 FICHE DE DONNEES DE SECURITE NON CLASSE

RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 Date de création/révision: 25/10/1998 FICHE DE DONNEES DE SECURITE NON CLASSE RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 RAISON SOCIALE JOHNSONDIVERSEY FICHE DE DONNEES DE SECURITE RISQUES SPECIFIQUES NON CLASSE 1 IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE - NOM DU PRODUIT RAID PIEGES ANTI-FOURMIS

Plus en détail

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin

Plus en détail

LES OMEGA 3 OU LES ACIDES GRAS ESSENTIELS D ORIGINE MARINE

LES OMEGA 3 OU LES ACIDES GRAS ESSENTIELS D ORIGINE MARINE LES OMEGA 3 OU LES ACIDES GRAS ESSENTIELS D ORIGINE MARINE Pourquoi les Oméga 3 : Les huiles de poisson riches en EPA et DHA constituent les principaux apports en acides gras poly-insaturés de la famille

Plus en détail

Nous vous présentons la technologie du traitement de surfaces du 21 ème siècle

Nous vous présentons la technologie du traitement de surfaces du 21 ème siècle Nous vous présentons la technologie du traitement de surfaces du 21 ème siècle 2009 NADICO Ltd. Germany www.nadico.de Le revêtement Titan Effect TE1022 améliorer la rentabilité des installations solaires

Plus en détail

Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?

Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Les solutions techniques Principes et critères de choix Par Sébastien LIBOZ - Hydrogéologue Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?

Plus en détail

Cuves pour Spectrophotomètres

Cuves pour Spectrophotomètres Cuves pour Spectrophotomètres Tél : 01.45.12.90.80 Fax : 01.45.12.94.75 info@bioserv.fr Page 25 TRAYCELL Ultra Micro Cuve à Fibres Optiques La TrayCell Hellma est une ultra micro cuve à fibres optiques

Plus en détail

Objectifs pédagogiques : spectrophotomètre Décrire les procédures d entretien d un spectrophotomètre Savoir changer l ampoule d un

Objectifs pédagogiques : spectrophotomètre Décrire les procédures d entretien d un spectrophotomètre Savoir changer l ampoule d un CHAPITRE 6 : LE SPECTROPHOTOMETRE Objectifs pédagogiques : Citer les principaux éléments d un dun spectrophotomètre Décrire les procédures d entretien d un spectrophotomètre p Savoir changer l ampoule

Plus en détail

TP N 3 La composition chimique du vivant

TP N 3 La composition chimique du vivant Thème 1 : La Terre dans l'univers, la vie et l'évolution du vivant : une planète habitée Chapitre II : La nature du vivant TP N 3 La composition chimique du vivant Les conditions qui règnent sur terre

Plus en détail

Compléments - Chapitre 5 Spectroscopie

Compléments - Chapitre 5 Spectroscopie ompléments - hapitre 5 Spectroscopie Spectroscopie par résonance magnétique nucléaire (RMN 13 ) Tandis que la spectroscopie RMN 1 H fournit des données sur la disposition des atomes d'hydrogène dans une

Plus en détail

ANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES

ANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES L OUTIL IDEAL POUR TOUTES LES DETECTIONS IMMUNOCHIMIQUES pour toutes les techniques immunodosages (EIA/ELISA) dot/ westernblot immunohistochimie immunocytochimie cytométrie en flux quel que soit le système

Plus en détail

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle

Plus en détail

SPECTROSCOPIE D ABSORPTION DANS L UV- VISIBLE

SPECTROSCOPIE D ABSORPTION DANS L UV- VISIBLE 18 CHAPITRE III SPECTROSCOPIE D ABSORPTION DANS L UV- VISIBLE La spectroscopie d absorption dans l UV et le visible est une méthode très commune dans les laboratoires. Elle est basée sur la propriété des

Plus en détail

LE SPECTRE D ABSORPTION DES PIGMENTS CHLOROPHYLLIENS

LE SPECTRE D ABSORPTION DES PIGMENTS CHLOROPHYLLIENS Fiche sujet-élève Les végétaux chlorophylliens collectent l énergie lumineuse grâce à différents pigments foliaires que l on peut classer en deux catégories : - les chlorophylles a et b d une part, - les

Plus en détail

Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX

Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX T ale S Introduction : Une réaction nucléaire est Une réaction nucléaire provoquée est L'unité de masse atomique est une unité permettant de manipuler aisément

Plus en détail

4. Conditionnement et conservation de l échantillon

4. Conditionnement et conservation de l échantillon 1. Objet S-II-3V1 DOSAGE DU MERCURE DANS LES EXTRAITS D EAU RÉGALE Description du dosage du mercure par spectrométrie d absorption atomique de vapeur froide ou par spectrométrie de fluorescence atomique

Plus en détail

Séquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière

Séquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices

Plus en détail

Toxicité à long-terme d un herbicide Roundup et d un maïs modifié génétiquement pour tolérer le Roundup

Toxicité à long-terme d un herbicide Roundup et d un maïs modifié génétiquement pour tolérer le Roundup A l attention de toutes les personnes qui se méfient des jugements de valeur fussent-ils émis par des scientifiques- et qui préfèrent capter les informations à leur source pour s en faire une opinion personnelle.

Plus en détail

GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG

GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte

Plus en détail

PROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE

PROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Votre correspondant : Romain CRESSON INRA Transfert Environnement Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Tel: +33 (0)4 68 46 64 32 Fax: +33 (0)4 68 42 51

Plus en détail

L École nationale des pompiers du Québec. Dans le cadre de son programme de formation Pompier I

L École nationale des pompiers du Québec. Dans le cadre de son programme de formation Pompier I L École nationale des pompiers du Québec Dans le cadre de son programme de formation Pompier I QUATRIÈME ÉDITION MANUEL DE LUTTE CONTRE L INCENDIE EXPOSÉ DU PROGRAMME D ÉTUDES POMPIER 1 SUJET 4 Énergie

Plus en détail

Les Confitures. Photo : M.Seelow / Cedus. Dossier CEDUS Avec la collaboration de l Université de Reims : Prof Mathlouthi, MC Barbara Rogè.

Les Confitures. Photo : M.Seelow / Cedus. Dossier CEDUS Avec la collaboration de l Université de Reims : Prof Mathlouthi, MC Barbara Rogè. Photo : M.Seelow / Cedus Dossier CEDUS Avec la collaboration de l Université de Reims : Prof Mathlouthi, MC Barbara Rogè. LES CONFITURES TABLE DES MATIERES DYNAMIQUE INTRODUCTION I. DEFINITION DES CONFITURES

Plus en détail

TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE

TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE TP 2: LES SPECTRES, MESSAGES DE LA LUMIERE OBJECTIFS : - Distinguer un spectre d émission d un spectre d absorption. - Reconnaître et interpréter un spectre d émission d origine thermique - Savoir qu un

Plus en détail

Capteur optique à dioxygène

Capteur optique à dioxygène Capteur optique à dioxygène Référence PS- 2196 Connectique de la sonde mini DIN Tête de la sonde Embout de protection et stockage Port mini DIN du capteur Eléments inclus 1. Capteur à dioxygène optique

Plus en détail

DM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique

DM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique DM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique Le centre spatial de Kourou a lancé le 21 décembre 200, avec une fusée Ariane, un satellite

Plus en détail

101 Adoptée : 12 mai 1981

101 Adoptée : 12 mai 1981 LIGNE DIRECTRICE DE L OCDE POUR LES ESSAIS DE PRODUITS CHIMIQUES 101 Adoptée : 12 mai 1981 «Spectres d'absorption UV-VIS» (Méthode spectrophotométrique) 1. I N T R O D U C T I O N I n f o r m a t i o n

Plus en détail

Titre alcalimétrique et titre alcalimétrique complet

Titre alcalimétrique et titre alcalimétrique complet Titre alcalimétrique et titre alcalimétrique complet A Introduction : ) Définitions : Titre Alcalimétrique (T.A.) : F m / L T.A. T.A.C. Définition : C'est le volume d'acide (exprimé en ml) à 0,0 mol.l

Plus en détail

Déshydratation, Inclusions, Coupes, et microscopie électronique à transmission

Déshydratation, Inclusions, Coupes, et microscopie électronique à transmission Déshydratation, Inclusions, Coupes, et microscopie électronique à transmission Valérie Messent Lobservation de tissus vivants en microscopie électronique à transmission impose des techniques de préparations

Plus en détail

STÉRILISATION. Réduction des populations. nonus 1

STÉRILISATION. Réduction des populations. nonus 1 Réduction des populations nonus 1 nonus 2 Taux de survie N/No Taux de mortalité No-N /No No : nombre initial de cellules vivantes N : nombre de cellules vivantes après le cycle de stérilisation nonus 3

Plus en détail

I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable.

I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable. DE3: I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable. Aujourd hui, nous obtenons cette énergie électrique en grande partie

Plus en détail

SKW. Les enzymes dans la technologie des détergents. Schweizerischer Kosmetikund Waschmittelverband

SKW. Les enzymes dans la technologie des détergents. Schweizerischer Kosmetikund Waschmittelverband SKW Schweizerischer Kosmetikund Waschmittelverband Association suisse des cosmétiques et des détergents The Swiss Cosmetic and Detergent Association Les enzymes dans la technologie des détergents Les enzymes

Plus en détail