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1 Rapport d expertise : Cadre de l expertise : Commune de Guilmécourt (76). Effondrement à proximité d une maison d habitation. Avis du BRGM BRGM/RP FR Mai 2012 Appuis aux administrations Appuis à la police de l eau Date de réalisation de l expertise : 2 mai 2012 Localisation géographique du sujet de l expertise : Commune de Guilmécourt. Propriété située 21, rue des marronniers. Auteur BRGM : P. Pannet Demandeur : Préfecture de Seine-Maritime

2 L original du rapport muni des signatures des Vérificateurs et Approbateurs est disponible aux Archives du BRGM. Le système de management de la qualité du BRGM est certifié AFAQ ISO 9001:2008. Ce rapport est le produit d une expertise institutionnelle qui engage la responsabilité civile du BRGM. Ce document a été vérifié et approuvé par : Approbateur : Nom : E. Gomez Date : 21/05/2012 Vérificateur : Nom : C. Mathon Date : 21/05/2012 Le système de management de la qualité du BRGM est certifié AFAQ ISO 9001:2008. Mots clés : expertise appuis aux administrations Cavité souterraine, craie, effondrement, limons, argiles à silex, marnière, Guilmécourt, Seine-Maritime, Haute-Normandie. En bibliographie, ce rapport sera cité de la façon suivante : Pannet P. (2012) Commune de Guilmécourt (76). Effondrement à proximité d une maison d habitation. Avis du BRGM. Rapport final. Rapport BRGM/RP FR. 20 p., 3 ill., 4 ph., 1ann. BRGM, 2012, ce document ne peut être reproduit en totalité ou en partie sans l autorisation expresse du BRGM. 2 BRGM\RP FR

3 Synthèse Contexte : Date de la formulation de la demande d expertise au BRGM : 2 mai Demandeur : Préfecture de Seine-Maritime. Nature de l expertise / question posée : Visite d expertise sur l apparition d une excavation. Commune de Guilmécourt. Situation du sujet : Guilmécourt, 21, rue des marronniers, parcelle cadastrée A 569. Date d occurrence : 30 avril Nature de l intervention du BRGM : visite de terrain le 2 mai Faits constatés / dossier examiné : Un effondrement s est produit le 30 avril 2012 en fin de journée, dans un jardin privé, à proximité d une maison d habitation, rue des marronniers, commune de Guilmécourt. A la demande de la Préfecture de Seine-Maritime, le BRGM est intervenu le 2 mai 2012, dans le cadre de ses opérations d «appui aux administrations», afin de donner un avis sur l origine du phénomène et d évaluer les risques encourus sur le site. Diagnostic du BRGM : Le phénomène est la conséquence de la ruine partielle d une cavité en profondeur, dont l origine ne peut être définie avec certitude à ce stade des investigations. Il s agit toutefois très probablement d un effondrement lié à la présence d une marnière, et plus précisément, et selon toute vraisemblance, d une remontée de cloche de fontis liée à la ruine du toit d une galerie en profondeur. Les fortes pluies précédant le phénomène ont été l élément déclencheur du phénomène. Les matériaux mis à jour par l effondrement étaient d ailleurs très humides lors de notre visite. Il faut noter que les dimensions surfaciques de l effondrement seront amenées à évoluer (la faible cohésion des limons argileux combinée aux intempéries et l état d imbibition des sols fait que les limons alentour vont probablement fluer dans l excavation en suivant un angle par rapport à l horizontale allant de 30 à 45, soit une augmentation du diamètre de l effondrement allant de 2 à 3 m). Etant donnée sa distance par rapport à la maison d habitation la plus proche, il n est pas improbable que l évolution surfacique de l effondrement lui permette d impacter le bâtiment. Toutefois, la maison d habitation n est pas à considérer, en l état actuel, comme présentant un péril grave et imminent. Enfin, il faut noter que les galeries éventuellement présentes en profondeur, dont l état de stabilité est inconnu, pourraient se trouver au droit de la maison d habitation. BRGM\RP FR 3

4 Recommandations du BRGM : Compte-tenu de l enjeu, le BRGM recommande : - De ne pas approcher de l excavation, et de maintenir les barrières en place afin de matérialiser la dangerosité tant que des investigations complémentaires n auront pas été réalisées ; - L intervention d un Bureau d études spécialisé dans les délais les plus brefs - qui devra confirmer la nature du vide à l origine de l effondrement et définir sa géométrie avec précision (notamment afin de savoir si l extension d une galerie atteint la proximité de la maison d habitation). Il pourra s agir de forages destructifs avec enregistrement des paramètres de foration, d un minimum de 20 m de profondeur). Le bureau d études devra ensuite proposer des solutions de suivi ou de confortement adaptées (il pourra s agir d un comblement partiel ou total de la cavité) ; - Une surveillance régulière de l évolution du phénomène tant que les travaux d investigation complémentaire et de confortement n auront pas été réalisés. Toute évolution rapide du phénomène ou apparition de fissures sur la maison la plus proche devra être signalée à la Préfecture de Seine-Maritime ; - Etant donnée la proximité entre l excavation et la maison d habitation et bien qu il soit préférable d éviter une telle mesure avant les travaux d investigation : en cas d augmentation du périmètre de l excavation approchant très près de la maison et pouvant mettre en péril cette dernière, un comblement de l excavation par des matériaux inertes pourra être effectué. 4 BRGM\RP FR

5 Sommaire 1. Introduction Situation géographique / Contexte géologique SITUATION GEOGRAPHIQUE CONTEXTE GEOLOGIQUE Faits constatés / Eléments recueillis OBSERVATION DU PHENOMENE ELEMENTS RECUEILLIS Diagnostic, conclusions et recommandations Bibliographie Annexes BRGM\RP FR 5

6 Liste des illustrations Illustration 1 : Localisation de la zone d'étude ( IGN) Illustration 2 : Extrait de la carte géologique de la France au 1/ e ( BRGM) Illustration 3 : Vue aérienne de la zone et localisation précise du phénomène (Géoportail) Photo 1 : Vue de l'effondrement et de la maison la plus proche Photo 2 : Vue de l excavation : forme d entonnoir dans les limons ; rétrécissement dans les argiles à silex Photo 3 : Craie, forme de voute et déviation du vide visibles à la base de l'excavation Photo 4 : Vue du fond de l'excavation prise après la visite du BRGM BRGM\RP FR

7 1. Introduction Un effondrement s est produit le 30 avril 2012 en fin de journée, dans un jardin privé, à proximité d une maison d habitation, rue des marronniers, commune de Guilmécourt. A la demande du SIRACEDPC, le BRGM est intervenu le 2 mai 2012, dans le cadre de ses opérations d «appui aux administrations», afin de donner un avis sur l origine du phénomène et d évaluer les risques encourus sur le site. Ce rapport, qui fait suite à un mail du lendemain de la visite faisant part d un diagnostic succinct et de premières recommandations, présente le contexte du site, les observations recueillies lors de la visite du 2 mai 2012, l avis du BRGM et les recommandations concernant la mise en sécurité du site. Le présent rapport est public dès sa fourniture et peut être communiqué à toute personne qui le demande (un exemplaire est envoyé à la commune de Guilmécourt, un à la Préfecture de Seine- Maritime, deux autres étant archivés au BRGM-SGR Haute-Normandie et à Orléans). La page de synthèse en début de rapport, comme le rapport lui-même, peuvent et pourront être accessibles à la consultation publique via les sites de consultation papier ou numérique du BRGM. BRGM\RP FR 7

8 Illustration 1 : Localisation de la zone d'étude ( IGN). 8 BRGM\RP FR

9 2. Situation géographique / Contexte géologique 2.1 SITUATION GEOGRAPHIQUE La commune de Guilmécourt est située au nord du département de Seine-Maritime, à une quinzaine de km au nord-est de Dieppe. D un point de vue géomorphologique, le paysage de la commune de Guilmécourt est un paysage de plateau (plateau du petit Caux). A l est de la commune, le plateau est incisé par un vallon sec orienté sud/nord rejoignant la vallée de l Yères à quelques km au nord. La zone d étude, pseudo-plane, est située sur le plateau aux coordonnées suivantes (Lambert II étendu en mètres) : X = ; Y = ; Z = 102 m NGF. 2.2 CONTEXTE GEOLOGIQUE D un point de vue géologique, d après la carte géologique de France au 1/50 000, feuille de Dieppe-est (n 43, Bignot et al., 1978, illustration 2), trois formations sont présentes à proximité de la surface au droit de la zone d étude, avec, de la plus récente (la plus superficielle) à la plus ancienne (la plus profonde) : Des limons des plateaux (LP), amenés par les vents lors de la dernière période glaciaire et qui se sont déposés au-dessus de la série des Argiles à Silex. Leur épaisseur moyenne avoisine 3 à 5 mètres au niveau de la zone d étude ; Des formations argileuses résiduelles à Silex (RS), mélange d argile rouge ou brune très collante, produits d altération de la craie. D une épaisseur fréquente environnant 3 à 5 mètres, elles pénètrent la craie en poches (racines d altération) qui peuvent atteindre plusieurs dizaines de mètres de profondeur ; La craie du Coniacien (c4-5), blanche à nombreux lits de silex, très peu épaisse au droit de la zone d étude, reposant sur la Craie du Turonien (c3, en vert sur l Illustration 2), craie blanche ou grise à silex rares ou absents. Cette craie été exploitée en souterrain (marnières) pour l amendement des limons acides sus-jacents. La craie se situe à cet endroit en moyenne entre 6 et 10 mètres de profondeur. Elle est toutefois très altérée à proximité de la surface et la craie saine ne se trouve qu à une vingtaine de mètres de profondeur. D un point de vue hydrogéologique, on notera que l aquifère majeur est celui de la craie. La carte hydrogéologique de la nappe de la craie et la BSS indiquent que le toit de la nappe est situé à environ 60 m sous la surface du sol au droit de l effondrement. On notera que l incision à proximité des vallées rejoignant la Manche, niveau de base régional situé à une altitude beaucoup plus basse, génèrent un gradient hydraulique important. Ces éléments sont favorables à la mise en place de réseaux karstiques ; ainsi, 9 bétoires sont recensées actuellement sur la commune dans la base de données des bétoires, traçages et exutoires actuellement en cours de réalisation par le BRGM (David et al., 2011). D après la base de données nationale des cavités souterraines du MEDDTL, gérée par le BRGM (bdcavité), librement accessible au public sur internet, 6 cavités sont actuellement recensées sur la commune. Par ailleurs, un inventaire communal des cavités, non encore bancarisé dans la base BRGM\RP FR 9

10 de données fait état de la présence de nombreuses cavités supplémentaires sur le territoire de la commune. Illustration 2 : Extrait de la carte géologique de la France au 1/ e ( BRGM). 10 BRGM\RP FR

11 3. Faits constatés / Eléments recueillis 3.1 OBSERVATION DU PHENOMENE L effondrement se situe dans le jardin privé de la maison située au 21, rue des Marronniers à Guilmécourt, parcelle cadastrée A 569. Il s est produit le 30 avril 2012 en fin de journée. Illustration 3 : Vue aérienne de la zone et localisation précise du phénomène (Géoportail). Il s agit d une excavation pseudo-circulaire, d un diamètre variant de 2,5 à 3,5 m en surface et d environ 1 m en profondeur. Sa profondeur est de l ordre de 7 m, soit un volume de vide de l ordre de 30 m 3. La base de l excavation semble s élargir vers le nord-est. Les bords de l effondrement sont francs et montrent la succession de terrains suivante : limons argileux en partie superficielle (environ 3 mètres d épaisseur) puis argiles à silex en profondeur, avec notamment une partie contenant beaucoup plus de silex entre 4 et 5 mètres de profondeur sur le bord NE de l effondrement (Photos 1 à 3, en annexe). Au fond de l excavation, de la craie blanche est visible ; on semble distinguer une forme de voute là où le vide dévie vers le NE (Photo 2). L excavation se trouve à proximité immédiate (environ 5 m) de la maison d habitation (Photo 1). Enfin, il faut noter qu à proximité de la zone (entre 30 et 200 m vers le SW), plusieurs indices pouvant être reliés à des cavités en profondeur (affaissements, dont un a été reconnu comme ayant une origine karstique) sont alignés selon une orientation SW/NE, et se trouvent dans l alignement de l effondrement qui fait l objet de ce constat. 3.2 ELEMENTS RECUEILLIS Suite à la visite du BRGM, le propriétaire de la parcelle concernée nous a fait parvenir des photos prises par un spéléologue qui permettent de distinguer plus nettement l extension du vide en BRGM\RP FR 11

12 profondeur (Photo 4). Il s agit d un vide pseudo circulaire, large de 2 à 3 m dans la craie en place et non ouvert verticalement vers la surface, ce qui semble exclure la présence d un puits à cet endroit. Le vide est en partie comblé par les éléments limono-argileux issus des parties supérieures, probablement lors de l effondrement. 12 BRGM\RP FR

13 4. Diagnostic, conclusions et recommandations Le phénomène est la conséquence de la ruine partielle d une cavité en profondeur, dont l origine ne peut être définie avec certitude à ce stade des investigations. Il s agit toutefois très probablement d un effondrement lié à la présence d une marnière, et plus précisément, et selon toute vraisemblance, d une remontée de cloche de fontis liée à la ruine du toit d une galerie. D autres hypothèses, moins probables ne sont pas à exclure concernant l origine du vide : - La présence d une cavité peu profonde type glacière ou cave ; - La présence d une marnière de type «catiche» exploitée en forme de bouteille. Les fortes pluies précédant le phénomène en ont été l élément déclencheur. Les matériaux mis à jour par l effondrement étaient d ailleurs très humides lors de notre visite. Il faut noter que les dimensions surfaciques de l effondrement seront amenées à évoluer (la faible cohésion des limons argileux combinée aux intempéries fait que les limons alentour vont probablement fluer dans l excavation en suivant un angle par rapport à l horizontale allant de 30 à 45, soit une augmentation du diamètre de l effondrement allant de 2 à 3 m). Etant donné sa distance par rapport à la maison d habitation la plus proche, il n est pas improbable que l évolution surfacique de l effondrement lui permette d impacter directement le bâtiment. Toutefois, la maison d habitation n est pas à considérer, en l état actuel, comme présentant un péril grave et imminent. Enfin, il faut noter que les galeries éventuellement présentes en profondeur et potentiellement peu profondes, dont l état de stabilité est inconnu, pourraient se trouver au droit de la maison d habitation, c est pourquoi, compte-tenu de l enjeu, le BRGM recommande : - De ne pas approcher de l excavation, et de maintenir les barrières en place afin de matérialiser la dangerosité tant que des investigations complémentaires n auront pas été réalisées ; - L intervention d un Bureau d études spécialisé dans les délais les plus brefs qui devra déterminer la nature du vide à l origine de l effondrement et définir sa géométrie avec précision (notamment afin de savoir si l extension d une galerie atteint la proximité de l aplomb de la maison d habitation). Il pourra s agir de forages destructifs avec enregistrement des paramètres de foration, d un minimum de 20 m de profondeur). Le bureau d études devra ensuite proposer des solutions de suivi ou de confortement adaptées (il pourra s agir d un comblement partiel ou total de la cavité) ; - Une surveillance régulière de l évolution du phénomène tant que les travaux d investigation complémentaire et de confortement n auront pas été réalisés. Toute évolution rapide du phénomène ou apparition de fissures sur la maison la plus proche devra être signalée à la Préfecture de Seine-Maritime ; - Etant donné la proximité entre l excavation et la maison d habitation et bien qu il soit préférable d éviter une telle mesure avant les travaux d investigation : en cas d augmentation du périmètre de l excavation approchant très près de la maison et pouvant mettre en péril cette dernière, un comblement de l excavation par des matériaux inertes pourra être effectué. BRGM\RP FR 13

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15 5. Bibliographie Bignot G., Auffret J.P., Monciardini C., Moal A. (1978) Carte géologique de la France au 1/50 000, feuille n 43 (Dieppe-Est). Ed. BRGM. BRGM\RP FR 15

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17 6. Annexes Photo 1 : Vue de l'effondrement et de la maison la plus proche. Photo 2 : Vue de l excavation : forme d entonnoir dans les limons ; rétrécissement dans les argiles à silex. BRGM\RP FR 17

18 Photo 3 : Craie, forme de voute et déviation du vide visibles à la base de l'excavation. Photo 4 : Vue du fond de l'excavation prise après la visite du BRGM. 18 BRGM\RP FR

19 Centre scientifique et technique 3, avenue Claude-Guillemin BP Orléans Cedex 2 - France Tel Service Géologique Régional Haute-Normandie Parc de la Vatine 10, rue Sakharov Mont-Saint-Aignan France Tél. :

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