LES MADRAGUES AU MAROC : ASPECTS ECONOMIQUES
|
|
- Agnès Ruel
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 SCRS/2011/082 Collect. Vol. Sci. Pap. ICCAT, 67(1): (2012) LES MADRAGUES AU MAROC : ASPECTS ECONOMIQUES Mohammed Malouli Idrissi 1, Mohammed Zahraoui 2, Hassan Nhhala 3 SUMMARY In Morocco, bluefin tuna fishing is of great importance, especially on the economic and commercial level, with a turnover amounting to MAD 200 million in Almost the total production is exported. Morocco is the second biggest producer of blue fin after Spain. The catches of tuna traps have the lion s share, with more than 80% of the total production. The average invested capital per trap is about MAD 36 million. This figure seems to be a heavy investment, but recoverable in short to medium terms. The annual average turnover is about MAD 14 million. The fixed and variable costs are fairly consistent; they vary between MAD 4 and MAD 6. The amortization of the equipment used is the most important component in these costs. The profit rate is very high, i.e., about 30%. Blue fin tuna trap activities ensure high profitability. The positive profits have been achieved thanks to the grouping strategy of trap companies, adopted by Morrocan Fisheries Departement in This strategy may also contribute to the preservation of this species, by reducing fishing capacity and optimizing the operating costs. RÉSUMÉ Au Maroc, la pêche du thon rouge revête une grande importance, notamment au niveau économique et commercial, avec un chiffre d'affaires s'élevant à 200 millions MAD en La production totale est presque entièrement exportée. Le Maroc est le deuxième producteur le plus important de thon rouge, après l Espagne. Les prises des madragues thonières se taillent la part du lion et représentent 80 % de la production totale. Le capital moyen investi par madrague s élève à 36 millions MAD. Ce montant semble constituer un investissement important, mais est récupérable à court-moyen terme. Le chiffre d affaires annuel moyen s élève à 14 millions MAD. Les coûts fixes et variables sont relativement stables, oscillant entre 4 et 6 millions MAD. L amortissement du matériel utilisé constitue la part la plus importante de ces coûts. La marge bénéficiaire est très élevée, à savoir près de 30%. Les activités des madragues de thon rouge garantissent un niveau de rentabilité élevé. Les bénéfices positifs ont été atteints grâce à une stratégie de regroupement des sociétés de madragues adoptée par le ministère marocain des Pêches en Cette stratégie peut également contribuer à la préservation de cette espèce en réduisant la capacité de pêche et en tirant au maximum profit des coûts d exploitation. RESUMEN En Marruecos, la pesca de atún rojo es de gran importancia, especialmente a nivel económico y comercial, con una facturación que ascendió a 200 millones de MAD en Casi toda la producción se destina a la exportación. Marruecos es el segundo mayor productor de atún rojo después de España. Las capturas de las almadrabas de túnidos responden de más del 80% de la producción total. El capital medio invertido por almadraba es de aproximadamente 36 millones de MAD. Esta cifra parece ser una fuerte inversión, pero recuperable de corto a medio plazo. La facturación media anual es de aproximadamente14 millones de MAD. Los costes fijos y variables son bastante coherentes; varían entre 4 y 6 millones de MAD. La amortización del equipo utilizado es el componente más importante en estos costes. La tasa de beneficios es muy elevada, es decir de aproximadamente el 30%. Las actividades de las almadrabas de atún rojo garantizan una elevada rentabilidad. Estos beneficios positivos se han logrado gracias a la estrategia de agrupación de las empresas de almadrabas, adoptada por el 1 Fishery economist, INRH/ArtFiMed, Tangier, Morocco. malouliinrh@yahoo.fr 2 Fishery biologist, DPM, Rabat, Morocco. zahraoui@mpm.gov.ma 3 Fishery biologist, DPM, Tangier, Morocco, nhhalahassan@yahoo.fr 372
2 Departamento de pesca marroquí en Esta estrategia puede contribuir también a la conservación de esta especie, reduciendo la capacidad pesquera y optimizando los costes operativos. KEYWORDS Traps, bluefin tuna, economic indicators, Morocco 1. Introduction Le thon rouge est sous les feux de l actualité ces dernières années, il est devenu emblématique du problème de la pêche durable en Méditerranée. En effet, la forte demande Japonaise et l élargissement des marchés ont favorisé la modernisation des flottes et l introduction de technologies très avancées pour la détection des bancs du thon rouge sans se préoccuper de l avenir de cette espèce qui devient de plus en plus rare, menaçant ainsi son propre avenir et celui de milliers de pêcheurs. Dans ce contexte, la Commission Internationale pour la Conservation des Thonidés de l Atlantique (ICCAT), a pris récemment un ensemble de mesure de gestion pour assurer la durabilité de l exploitation du thon rouge. Au Maroc, les pêcheries marocaines du thon rouge sont en grandes parties à caractère artisanale (Madragues, pêche côtière et artisanale). Le niveau de capture du thon rouge est fortement conditionné par celui des madragues calées en Atlantique qui représentent en moyenne plus de 70% en poids du total des captures. Dans de tel cas, la question qui se pose au niveau national est la suivante: Les madragues marocaines, représentant le segment le plus important de la pêcherie nationale de thon rouge, avec une part de plus de 70% des prises totales, seront- elles rentables avec les nouvelles mesures de gestion? Pour répondre à cette question il est important d étudier l aspect économique des madragues marocaines. 2. Méthodologie de travail Cette étude a été basée sur la documentation disponible acquise soit par recherche sur internet (ICCAT, CGPM, FAO, etc.), auprès des institutions et administrations concernées ou auprès de spécialistes et professionnels. 2.1 Collecte des données Des données d une enquête réalisée en mars et juillet 2010, auprès de 3 concessionnaires. Des données de l embarquement à bord d une madrague en mai Flottille échantillonnée: Deux madragues calées en Atlantique (20%) Les indicateurs retenus pour l étude économique des madragues sont : Capital Investi (CI) : Ce paramètre permet d exprimer la valeur actuelle des moyens de production constitués principalement de la madrague, des bateaux de transport et des accessoires de la pêche. Produit Brut ou Chiffre d'affaire (CA) : Il s'agit de la valeur des débarquements, à la première vente. Il est calculé suivant la formule suivante : Chiffre d affaire = Production x prix unitaire moyen Charges de la production : Les charges de la production sont de deux types, il s agit notamment des charges fixes et des charges variables. Les charges fixes : Il s agit en général des charges annuelles supportées par les armateurs et qui sont constituées principalement des charges d entretien et d amortissement des moyens de production, des salaires permanents du personnel et des marins pêcheurs, de l assurance des personnels et du matériel et des redevances. 373
3 Amortissement des moyens de production : Les charges liées à l'amortissement des moyens de production, comprennent l amortissement de madragues, l amortissement des bateaux de transports. Le coût d amortissement annuel est calculé comme suit : Coût annuel d amortissement du bateau = Valeur de remplacement / durée de vie économique Les charges variables : Appelées également charges communes, il s agit des charges relatives aux intrants dépensés lors des sorties de pêche (réparation, carburant, huile, transports, etc.) et des prélèvements retenus du chiffre d affaire lors de chaque vente. Ce sont des charges réservées uniquement aux concessionnaires. Résultat d exploitation : Le résultat d exploitation est calculé comme suit: Résultat d'exploitation = Chiffre d affaires charges variables charges fixes. Estimation des profits: a) Profit Brut Estimé (PBE) Profit Brut Estimé = Chiffre d affaires Charges annuelles coût d opportunité b) Profit Net Estimé (PNE) Profit Net Estimé = PBE Amortissement c) Taux du Profit ou Taux de Rentabilité (TP ou TR) : Taux de profits = PNE/CI 3. Résultats 3.1 Capital investit Le capital investi pour les deux madragues étudiées est de 77,6 (40,6 et 37) millions de Dhs. Cet investissement comprend plusieurs composantes, dont les principales sont le matériel technique (filets, bouées, cordes, câbles, ancres, etc.) et le matériel logistique (embarcations et navires de différentes tailles, équipés ou non de treuil, de grue, etc.). 75% du CI sont consacrés à l acquisition de ce matériel alors que 14% du CI sont destinés à la préparation et au calage des structures de la madrague et environ 11 % du CI pour l entretien et la réparation de ses structures (Figure 1). En général, le Capital investi varie entre un minimum de 30 millions de Dhs et un maximum de 41 millions de Dhs. Cette différence est due essentiellement à la qualité et au type de matériel choisi. 3.2 Chiffre d affaires La madrague 1 et la madrague 2, réalisent respectivement un chiffre d affaire moyen annuel de l ordre de 12 millions de Dhs, sur une période de neuf ans ( ) et de 8,06 millions de Dhs sur une période de 7ans ( ) (Figure 2). Dans le cas présent, le chiffre d affaires de la madrague 1 a connu une augmentation importante de l ordre de 60% en 2004 par rapport à 2003 avant de connaître une chute continue sur deux années consécutives pour atteindre 5,6 MDH en 2006 (Figure 2). L année 2007 a été marquée par la réalisation de la valeur maximale du chiffre d affaires (21,7 MDH), soit 10% du chiffre d affaires global enregistré en A partir de 2009, le chiffre d affaires a connu une importante croissance, pour atteindre 19,2 MDhs en 2010, soit une augmentation de 82% par rapport à En général, la variation du chiffre d affaires d une madrague donnée est liée aux quantités capturées et aux prix de vente du thon rouge à l export. 374
4 3.3 Charges de production Charges fixes Les charges fixes sont des charges supportées par le concessionnaire de la madrague. Elles varient, en général, entre 3 MDH et 4 MDH en moyenne. Les coûts d amortissement annuels sont calculés à hauteur de 10%. En effet, selon le concessionnaire, la madrague est prévue d être amortie en 10 ans (Figure 3). Les charges fixes sont des charges supportées par le concessionnaire de la madrague. Elles varient, en général, entre 3 MDH et 4 MDH en moyenne. Les coûts d amortissement annuels sont calculés à hauteur de 10%. En effet, selon le concessionnaire, la madrague est prévue d être amortie en 10 ans. Pour les coûts d opportunité, ils sont calculés suivant les taux d intérêt appliqués actuellement au niveau des banques marocaines, en tenant compte des taux d inflation des prix Charges variables Ces charges sont de l ordre de 1 à 1,5 MDH. Cependant, dans certains cas, notamment lors de la réparation de la madrague ou de la perte de certains matériels tels que les bouées ou les crochets, les charges peuvent doubler et atteindre 3MDH (Figure 4) Résultats d exploitation (RE) La madrague 1 et la madrague 2 faisant l objet d enquête réalisent respectivement un résultat d exploitation net moyen annuel de l ordre de 4,2 millions de Dhs, sur une période de neuf ans ( ) et de 0,74 millions de Dhs sur une période de 7ans ( ) (Figure 5). L évolution du résultat d exploitation montre des situations très variables (Figure 5): L étape comprise entre 2002 et 2004, la madrague 1 a enregistré un résultat d exploitation net moyen de 4,15 MDH/an. En 2003, la madrague 2 a réalisé un RE net de 5,4 millions de Dhs, suivie d un déficit de 5,6 millions de Dhs en En 2005 et 2006, les deux madragues ont enregistré un déficit moyen de 4,2 millions de Dhs/an, avec un quota global de pêche potentiel de plus de Tonnes. Cette situation peut être expliquée par: Les caractéristiques de la madrague comme étant un engin passif et aléatoire. La révision à la baisse de la distance réglementaire de séparation entre deux madragues voisines. Cette distance a été réduite à 5 miles au lieu de 10 miles. Le nombre de madragues a augmenté, par conséquent, de 14 unités en L année 2007 est caractérisée par l enregistrement d un pic historique du RE net qui était de l ordre de 15,32 millions de Dhs pour la madrague 1 et de 5,94 millions de Dhs pour la madrague 2. Cette situation est expliquée par la forte abondance du thon rouge au cours de cette campagne. 3.4 Estimation des profits Madrague1 (2010) COUT D'INVESTISSEMENT CI: 40,6 CHIFFRE D'AFFAIRES 19,28 TOTAL DES CHARGES 5 Amortissement annuel (2010) 1,75 RESULTAT D'EXPLOITATION 12,53 COUT D'OPPORTUNITE 0,524 Profit brut estimé 13,75 Profit Net estimé 12 TP=(PNE/CI) ( ) 8% 375
5 4. Conclusion Les principales conclusions déduites à partir de ces résultats sont : le Profit Net de la madrague 1 est de 12 MDHS; l activité de pêche du thon rouge par les madragues se porte bien et assure une rentabilité très importante. Le taux de profit moyen de la madrague 1 (sur 9 ans) est de 8%; il dépasse largement le taux d intérêt réel, ce qui a justifié l intérêt des concessionnaires à investir plus dans ce secteur (à partir de 2003). En 2010, le Profit net de la madrague 1 est de 12 millions de Dhs. Ces profits ont pu être réalisés grâce à la stratégie de regroupement des madragues adoptée par le DPM en 2010 et encouragent les concessionnaires de se regrouper davantage. Cette stratégie permettra également à contribuer à la préservation de l espèce (Relâchement de plus de 5000 Pièces) et à optimiser les charges d exploitation des concessionnaires. Les résultats économiques sont positifs, ce qui signifie que l activité de pêche par madrague du thon rouge se porte très bien malgré l application des dernières mesures de gestion relatives à une diminution du quota et à une réduction de la capacité de pêche. Cela veut dire que ces mesures de gestion ont un impact positif sur le secteur du thon rouge au Maroc. 5. Recommandations Vu l importance socio-économique du thon rouge, il est recommandé ce qui suit: Entreprendre une étude plus approfondie sur l activité madraguière au Maroc pour mieux cerner les facteurs influençant la production aléatoire et non encore bien maitrisée de ces engins afin d en tirer les meilleurs profits; Encourager la création d une coopérative des concessionnaires des madragues pour mieux valoriser le produit pêché; Valoriser les captures du thon rouge par la création d une unité de transformation industrielle au niveau national pour éviter de les exporter à l état brut et pour pouvoir avoir la possibilité de les écouler sur le marché pendant des périodes éloignées des pics de production (rassemblement génétique). A cet effet, le Maroc doit se pencher d avantage sur la mise en place d une coopération entre privé marocains et privé japonais. Ce mode avancé de coopération permettra de donner tout l appui nécessaire pour la concrétisation des projets d intérêt commun, notamment, la valorisation du thon rouge; Les madragues devraient bénéficier d une attention particulière de la part de l Administration de tutelle : Des études technico-socio-économiques devraient être entreprises pour évaluer leur coût de fonctionnement, leur marge de manœuvre et leur seuil inferieur de production en dessous du quel leur viabilité et leur durabilité seront compromises. Protection de l activité des madragues contre tout projet d aménagement côtier susceptible de porter atteinte à leur environnement et par conséquent à leur bon fonctionnement. Références Abid, N. et Idrissi, M. 2010, Updated standardized CPUE of bluefin tuna (Thunnus thynnus) caught by the Moroccan Atlantic traps in the area of influence of the strait of Gibraltar during the period Collect. Vol. Sci. Pap. ICCAT, 65(3): Abid, N. et Idrissi, M. 2007, Détermination a partir des déchets biologiques de la structure demographiques du thon rouge capturé par les madragues de l Atlantique nord Marocain: Résultats préliminaires de la compagne de pêche Collect. Vol. Sci. Pap. ICCAT, 60(4): Franquesa, R., Malouli Idrissi, M., Alarcon, JA, 2001, Feasibility Assessment Study on the Setting-up of a Socio-economic Indicator Database for Mediterranean Fisheries. GFCM Studies No. 71. ICCAT, 2010, Rapport de la période biennale, II ème partie, Vol 2. Version française 376
6 Malouli Idrissi, M., Srour, A. et Abid, N. 2003, La pêcherie du thon rouge dans la région de Ksar Sghir: aspects biologiques et socio-économiques. INRH et COPEMED. Malouli Idrissi, M. 2006, Pêcherie de l espadon en Méditerranée marocaine : exploitation, aspects socioéconomiques et commercialisation. Master of Science en Economie et gestion des pêches, de l Université de Barcelone. Zahraoui, M. 2010, Evolution récente de l exploitation du thon rouge (Thunnus thynnus) au Maroc et perspectives de développement en relation avec son milieu Méditerranéen. Mémoire pour l obtention du grade Ingénieur en Chef. Figure 1. Répartition du capital investi moyen par une madrague. Figure 2. Evolution annuelle du chiffre d affaires de deux madragues. 377
7 Figure 3. Répartition des charges fixes. Figure 4. Répartition des charges variables. 378
8 Figure 5. Evolution du résultat d exploitation des deux madragues. 379
STATISTIQUES DE LA PÊCHERIE THONIERE IVOIRIENNE DURANT LA PERIODE EN 2012
SCRS/213/167 Collect. Vol. Sci. Pap. ICCAT, 7(6): 281-285 (214) STATISTIQUES DE LA PÊCHERIE THONIERE IVOIRIENNE DURANT LA PERIODE EN 212 Amandè M.J. 1, Konan K.J. 1, Diaha N.C. 1 et Tamégnon A. SUMMARY
Plus en détailCollecte des données. Un impératif pour le succès de la gestion des pêches. L expérience canadienne de la pêche au thon rouge de l Atlantique
Collecte des données Un impératif pour le succès de la gestion des pêches L expérience canadienne de la pêche au thon rouge de l Atlantique Le contexte global Obligés en tant que membres d organisations
Plus en détail12-03 BFT. I ère Partie Dispositions générales
12-03 BFT RECOMMANDATION DE L ICCAT POUR AMENDER LA RECOMMANDATION DE L ICCAT VISANT À L ÉTABLISSEMENT D UN PROGRAMME PLURIANNUEL DE RÉTABLISSEMENT POUR LE THON ROUGE DE L ATLANTIQUE EST ET DE LA MÉDITERRANÉE
Plus en détailCOMMISSION INTERNATIONALE POUR LA CONSERVATION DES THONIDES DE L ATLANTIQUE. GT sur les espèces. Sous-comité des statistiques
CHAPITRE 1 : PERSPECTIVE GLOBALE 1. PERSPECTIVE GLOBALE 1.1 Qu est-ce que l ICCAT? Introduction AUTEUR : SECRÉTARIAT DERNIÈRE MISE À JOUR : 25 janv. 2006 Les thonidés et les autres grandes espèces de grands
Plus en détailLA FONDATION: MISSION ET VISION
Premier symposium régional sur la pêche artisanale en Méditerranée et en mer Noire Gestion durable de la pêche artisanale: Actions menées par la Fondation Mohammed VI pour la Protection de l'environnement
Plus en détailOverview of Marine activities in the Mediterranean Coast of Morocco and the need of Maritime Spatial Planning
Second Working group meeting on Integrated Maritime Policy in the Mediterranean Brussels, 07 July 2010 Overview of Marine activities in the Mediterranean Coast of Morocco and the need of Maritime Spatial
Plus en détailApplication SIG : élaboration d une carte de bathymétrie de la Méditerranée marocaine et de la lagune de Nador Par :
Application SIG : élaboration d une carte de bathymétrie de la Méditerranée marocaine et de la lagune de Nador Par : Rachida HOUSSA & Benyounes ABDELLAOUI Avril 2002 La présente étude a été menée au Centre
Plus en détailA 1 auteur. Captures accessoires par les chalutiers gu~b~cois en 1979
Ne pas citer sans faire r~f~rence A 1 auteur Comit~ scientifique consultatif des peches canadiennes dans l 1 Atlantique CSCPCA Document de recherche 81/66 Captures accessoires par les chalutiers gu~b~cois
Plus en détailNOR: MERP9200054D. Version consolidée au 28 septembre 2011
Le 28 septembre 2011 DECRET Décret n 93-33 du 8 janvier 1993 relatif au permis de mise en exploitation des navires de pêche pris pour l application de l article 3-1 du décret du 9 janvier 1852 modifié
Plus en détailMISE À JOUR SUR LES PROGRÈS CONCERNANT L ÉVALUATION DES PERFORMANCES (RÉSOLUTION 09/01)
MISE À JOUR SUR LES PROGRÈS CONCERNANT L ÉVALUATION DES PERFORMANCES (RÉSOLUTION 09/01) PREPARE PAR : SECRETARIAT DE LA CTOI, 27 MARS 2013 OBJECTIF Fournir au d Application (CdA) une opportunité de mettre
Plus en détailBASE DE DONNÉES DES ASPECTS SOCIOÉCONOMIQUES EN MÉDITERRANÉE OCCIDENTALE
BASE DE DONNÉES DES ASPECTS SOCIOÉCONOMIQUES EN MÉDITERRANÉE OCCIDENTALE CETMO-ASE Version 08.01 Année de référence 2008 Février 2013 BASE DE DONNÉES DES ASPECTS SOCIOÉCONOMIQUES EN MÉDITERRANÉE OCCIDENTALE
Plus en détailPlateforme d informations climatiques au Niger Présentation de l opportunité
Plateforme d informations climatiques au Niger Présentation de l opportunité 23 Novembre 2012 Pour diffusion publique Résumé Exécutif Une opportunité Pour un opérateur privé, la plateforme d'informations
Plus en détailSAC GFCM Sub-Committee on Stock Assessment
SAC GFCM Sub-Committee on Stock Assessment 1 DAY MONTH YEAR 1 1 1 1 1 Date* 18 October 2010 Code* BOG0310Naj Authors* Najib ELOUAMARI Affiliation* Institut National de Recherche Halieutique GFCM Priority
Plus en détailCALCUL DE LA CONTRIBUTION - FONDS VERT Budget 2008/2009
Société en commandite Gaz Métro CALCUL DE LA CONTRIBUTION - FONDS VERT Budget 2008/2009 Taux de la contribution au Fonds vert au 1 er janvier 2009 Description Volume Coûts Taux 10³m³ 000 $ /m³ (1) (2)
Plus en détailINSTITUT MARITIME DE PREVENTION. For improvement in health and security at work. Created in 1992 Under the aegis of State and the ENIM
INSTITUT MARITIME DE PREVENTION For improvement in health and security at work Created in 1992 Under the aegis of State and the ENIM Maritime fishing Shellfish-farming Sea transport 2005 Le pilier social
Plus en détailPréconisations pour une gouvernance efficace de la Manche. Pathways for effective governance of the English Channel
Préconisations pour une gouvernance efficace de la Manche Pathways for effective governance of the English Channel Prochaines étapes vers une gouvernance efficace de la Manche Next steps for effective
Plus en détail09-10 GEN LA COMMISSION INTERNATIONALE POUR LA CONSERVATION DES THONIDES DE L'ATLANTIQUE (ICCAT) RECOMMANDE:
09-10 GEN RECOMMANDATION DE L ICCAT AMENDANT DE NOUVEAU LA RECOMMANDATION DE L ICCAT VISANT L ETABLISSEMENT D UNE LISTE DE NAVIRES PRESUMES AVOIR EXERCE DES ACTIVITES DE PECHE ILLICITES, NON DECLAREES
Plus en détailImproving the breakdown of the Central Credit Register data by category of enterprises
Improving the breakdown of the Central Credit Register data by category of enterprises Workshop on Integrated management of micro-databases Deepening business intelligence within central banks statistical
Plus en détailRevision of hen1317-5: Technical improvements
Revision of hen1317-5: Technical improvements Luca Felappi Franz M. Müller Project Leader Road Safety Consultant AC&CS-CRM Group GDTech S.A., Liège Science Park, rue des Chasseurs-Ardennais, 7, B-4031
Plus en détailMais où est donc passé le thon rouge de Méditerranée?
Mais où est donc passé le thon rouge de Méditerranée? Comment la pratique de l engraissement, les dérives des armateurs et la pêche pirate sont en train de tuer un des trésors communs à 21 pays. Mais
Plus en détailGTT annonce un excellent premier semestre 2014 avec un résultat net en hausse de 18 % Confirmation des objectifs 2014
GTT annonce un excellent premier semestre 2014 avec un résultat net en hausse de 18 % Confirmation des objectifs 2014 Forte croissance du chiffre d affaires semestriel qui reflète les prises de commandes
Plus en détailThème 3. LA GESTION DES RECIFS ARTIFICIELS : CAS DU PARC MARIN DE LA COTE BLEUE
Séminaire récifs artificiels en Languedoc : bilan et perspectives. 20 novembre 2008 Sète Thème 3. LA GESTION DES RECIFS ARTIFICIELS : CAS DU PARC MARIN DE LA COTE BLEUE Frédéric BACHET & Eric CHARBONNEL,
Plus en détailWomen s State of the Media Democracy 2012 L observatoire international des usages et interactions des médias
Women s State of the Media Democracy 2012 L observatoire international des usages et interactions des médias Women s Forum - Deauville - Octobre 2012 Présentation de l étude Women s State of the Media
Plus en détailASSEMBLY INSTRUCTIONS DIRECTIVES POUR L'ASSEMBLAGE ombre pendant lamp lampe suspendue à tons dégradés, chocolat
ASSEMBLY INSTRUCTIONS DIRECTIVES POUR L'ASSEMBLAGE ombre pendant lamp lampe suspendue à tons dégradés, chocolat SKU 2728089 INSTRUCTIONAL MANUAL MANUEL D'INSTRUCTIONS 270/2707 COMPONENT LIST LISTE DES
Plus en détailPLAN DIRECTEUR DES PARCS, MILIEUX NATURELS ET ESPACES VERTS PARKS, NATURAL HABITATS AND GREEN SPACES MASTER PLAN
PLAN DIRECTEUR DES PARCS, MILIEUX NATURELS ET ESPACES VERTS PARKS, NATURAL HABITATS AND GREEN SPACES MASTER PLAN Présentation publique du jeudi 10 septembre, 2009 Public presentation of Thursday, September
Plus en détailProjet du service «ON DEMAND BUS» à Kashiwa (Japon)
Module COSMI Master TRADD PFR Mina KAGAWA (Japon) Youssef MHIMRA (Maroc) Projet du service «ON DEMAND BUS» à Kashiwa (Japon) Aperçu général sur la ville de Kashiwa : La ville de Kashiwa est située à environ
Plus en détailUne banque engagée et responsable
Une banque engagée et responsable Chiffres clés juin 2014 www.bmci.ma C hiffres clés au 30 juin 2014 Un résultat avant impôt du premier semestre 2014 en progression par rapport au second semestre 2013
Plus en détailATELIER DE RESTITUTION DU 27 NOVEMBRE 2014 ETUDE SECTEUR AGROALIMENTAIRE PROGRAMME EDEC
Ministère Chargé du Commerce Extérieur ATELIER DE RESTITUTION DU 27 NOVEMBRE 2014 ETUDE SECTEUR AGROALIMENTAIRE PROGRAMME EDEC Présentation du secteur agroalimentaire (IAA) Le secteur des industries agroalimentaires
Plus en détailCIHEAM. Année académique Academic Year. Programmes Master of Science et de spécialisation post-universitaire
Année académique Academic Year CIHEAM 2015 2016 Programmes Master of Science et de spécialisation post-universitaire Master of Science & Postgraduate Specialisation Programmes Productions alimentaires
Plus en détailPIB : Définition : mesure de l activité économique réalisée à l échelle d une nation sur une période donnée.
PIB : Définition : mesure de l activité économique réalisée à l échelle d une nation sur une période donnée. Il y a trois approches possibles du produit intérieur brut : Optique de la production Optique
Plus en détailDEMANDE D'UN PERMIS DE MISE EN EXPLOITATION D'UN NAVIRE DE PECHE PROFESSIONNELLE
ANNEXE 1 (réf. Circulaire DPMA/SDRH/C2010-9634 du 11/10/2010) DEMANDE D'UN PERMIS DE MISE EN EXPLOITATION D'UN NAVIRE DE PECHE PROFESSIONNELLE Identité du demandeur Personne physique Personne morale Nom
Plus en détailASSEMBLY INSTRUCTIONS DIRECTIVES POUR L'ASSEMBLAGE luster chandelier lamp chandelier à trois branches en verre lustré
ASSEMBLY INSTRUCTIONS DIRECTIVES POUR L'ASSEMBLAGE luster chandelier lamp chandelier à trois branches en verre lustré SKU 2711592 INSTRUCTIONAL MANUAL MANUEL D'INSTRUCTIONS 270/2707 COMPONENT LIST LISTE
Plus en détailCOMPTABILITÉ. PCG : provisions pour grosses réparations vs amortissements par composants. Cette étude a pour objet. reflexion. Résumé de l article
PCG : provisions pour grosses réparations vs amortissements par composants Eric DELESALLE Expert-comptable, Commissaire aux comptes Professeur agrégé CNAM-INTEC Président de la Commission de droit comptable
Plus en détailMASSEY COLLEGE & UNIVERSITY OF TORONTO
MASSEY COLLEGE & UNIVERSITY OF TORONTO The William Southam Journalism Fellowships Les Bourses d études de Journalisme William Southam Application Form Formule de demande Application deadline March 2 limite
Plus en détailCirculaire du 24 juin 2013 relative à l organisation des missions du Centre national de surveillance des pêches (CNSP)
Infrastructures, transports et mer MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L ÉNERGIE Direction des pêches maritimes et de l aquaculture Sous-direction des ressources halieutiques Bureau
Plus en détailVERS L EXCELLENCE DANS LA FORMATION PROGRAMME D APPUI A LA QUALITE AMELIORATION SUPERIEUR DE LA QUALITE DE L ENSEIGNEMENT TITRE DU PROJET
PROGRAMME D APPUI A LA QUALITE AMELIORATION DE LA QUALITE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR TITRE DU PROJET VERS L EXCELLENCE DANS LA FORMATION ETABLISSEMENT GESTIONNAIRE DU PROJET ISET DE NABEUL JUILLET 2009
Plus en détailINSTRUMENTATIONS OCÉANOGRAPHIQUES MÉTÉOROLOGIQUES ET HYDROLOGIQUES DÉVELOPPÉES PAR LA SOCIÉTÉ SAFARE-CROUZET
DOCUMENT 4.7. INSTRUMENTATIONS OCÉANOGRAPHIQUES MÉTÉOROLOGIQUES ET HYDROLOGIQUES DÉVELOPPÉES PAR LA SOCIÉTÉ SAFARE-CROUZET Jean-Jacques PESANDO Ingénieur Chef des Projets Océanographiques Société SAFARE-CROUZET
Plus en détailUPFI URBAN PROJECTS FINANCE INITIATIVE
UPFI URBAN PROJECTS FINANCE INITIATIVE Union pour la Méditerranée Union for the Mediterranean Lors de la conférence ministérielle des 9 et 10 novembre 2011 à Strasbourg sur le développement urbain durable,
Plus en détailGHANA. Les relations commerciales de la Belgique avec le
Les relations commerciales de la Belgique avec le GHANA Cette note est également disponible sur le site internet de l Agence pour le Commerce extérieur : www.abh-ace.be P a g e 1 TABLE DES MATIÈRES 1 La
Plus en détailPérennisation de l entreprise. Participation au contrôle de gestion
btsag.com 1/15 26/09/2011 Pérennisation de l entreprise Auteur : C. Terrier; mailto:webmaster@btsag.com ; http://www.btsag.com Utilisation: Reproduction libre pour des formateurs dans un cadre pédagogique
Plus en détailFrancoise Lee. www.photoniquequebec.ca
Francoise Lee De: Francoise Lee [francoiselee@photoniquequebec.ca] Envoyé: 2008 年 11 月 17 日 星 期 一 14:39 À: 'Liste_RPQ' Objet: Bulletin #46 du RPQ /QPN Newsletter #46 No. 46 novembre 2008 No. 46 November
Plus en détailLa technologie mobile mise à contribution pour améliorer la gestion des petites pêcheries
REGISTERED CHARITY 1098893 La technologie mobile mise à contribution pour améliorer la gestion des petites pêcheries L expansion des réseaux mobiles nous permet d étendre notre portée tout en réduisant
Plus en détailProgramme des Nations Unies pour l environnement
EP Programme des Nations Unies pour l environnement UNEP(DEPI)/MED WG.382/Inf 2 26 Juin 2013 FRANCAIS ORIGINAL: ANGLAIS / FRANCAIS PLAN D'ACTION POUR LA MEDITERRANEE Onzième Réunion des Points Focaux pour
Plus en détailRecueil de formules. Franck Nicolas
Recueil de formules Nous avons répertorié dans cette section, les différentes formules expliquées tout au long de cet ouvrage, afin de vous permettre de trouver rapidement l opération que vous souhaitez
Plus en détailCOMPTE DE RESULTAT PAR DESTINATION ET INFORMATION SECTORIELLE. Presentation de Mr. Christian MULLIEZ
COMPTE DE RESULTAT PAR DESTINATION ET INFORMATION SECTORIELLE Presentation de Mr. Christian MULLIEZ Plan Rappel des impacts IFRS : - sur le chiffre d affaires... 4 - sur le résultat d exploitation. 5 -
Plus en détailBulletin de service Bureaux d agents, de courtiers en immeubles et d évaluateurs de biens immobiliersetdes autres activités liées à l immobilier
N o 63-238-X au catalogue. Bulletin de service Bureaux d agents, de courtiers en immeubles et d évaluateurs de biens immobiliersetdes autres activités liées à l immobilier 2012. Faits saillants Le revenu
Plus en détailLe FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc
Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008
Plus en détailAPPENDIX 6 BONUS RING FORMAT
#4 EN FRANÇAIS CI-DESSOUS Preamble and Justification This motion is being presented to the membership as an alternative format for clubs to use to encourage increased entries, both in areas where the exhibitor
Plus en détailCOMMUNIQUE DE PRESSE 1. Chiffre d affaires : 243,6 M (- 6%) Résultat d exploitation : 3,2 M (+ 53%) Résultat net de la période : 2,3 M (+ 64%)
COMMUNIQUE DE PRESSE 1 RESULTATS 2014 : Le 20 février 2015, 16 h 30 INFORMATION REGLEMENTEE Chiffre d affaires : 243,6 M (- 6%) Résultat d exploitation : 3,2 M (+ 53%) Résultat net de la période : 2,3
Plus en détailMETHODES D EVALUATION
METHODES D EVALUATION C.R.A. PANSARD & ASSOCIES Présentation du 27 septembre 2004 G. Lévy 1 METHODES D EVALUATION SOMMAIRE 1 Définition et approche de la «valeur» 2 - Les principales méthodes d évaluation
Plus en détailThe impacts of m-payment on financial services Novembre 2011
The impacts of m-payment on financial services Novembre 2011 3rd largest European postal operator by turnover The most diversified European postal operator with 3 business lines 2010 Turnover Mail 52%
Plus en détailRISK-BASED TRANSPORTATION PLANNING PRACTICE: OVERALL METIIODOLOGY AND A CASE EXAMPLE"' RESUME
RISK-BASED TRANSPORTATION PLANNING PRACTICE: OVERALL METIIODOLOGY AND A CASE EXAMPLE"' ERTUGRULALP BOVAR-CONCORD Etwiromnental, 2 Tippet Rd. Downsviel+) ON M3H 2V2 ABSTRACT We are faced with various types
Plus en détailRésultats de l exercice clos au 31 Août 2013 (Période du 1 er Septembre 2012 au 31 Août 2013) Résultat net pénalisé par la faiblesse de l activité
Communiqué de presse La Fouillouse, le lundi 9 décembre 2013 Résultats de l exercice clos au 31 Août 2013 (Période du 1 er Septembre 2012 au 31 Août 2013) Résultat net pénalisé par la faiblesse de l activité
Plus en détailEnvironment and more GTZ Conference Funding and Financing Issues Casablanca, May 18th, 2010 Dr. Joachim Richter
Environment and more GTZ Conference Funding and Financing Issues Casablanca, May 18th, 2010 Dr. Joachim Richter 28.04.2010 0 Profile de l entreprise Project Finance International Entreprise de conseil
Plus en détailRÉSUMÉ DE THÈSE. L implantation des systèmes d'information (SI) organisationnels demeure une tâche difficile
RÉSUMÉ DE THÈSE L implantation des systèmes d'information (SI) organisationnels demeure une tâche difficile avec des estimations de deux projets sur trois peinent à donner un résultat satisfaisant (Nelson,
Plus en détailLes contraintes de financement des PME en Afrique : le rôle des registres de crédit
Les contraintes de financement des PME en Afrique : le rôle des registres de crédit Ondel ansek Kay Sommaire Il ressort du débat sur le développement économique de l Afrique subsaharienne (ASS) que les
Plus en détailphysicien diplômé EPFZ originaire de France présentée acceptée sur proposition Thèse no. 7178
Thèse no. 7178 PROBLEMES D'OPTIMISATION DANS LES SYSTEMES DE CHAUFFAGE A DISTANCE présentée à l'ecole POLYTECHNIQUE FEDERALE DE ZURICH pour l'obtention du titre de Docteur es sciences naturelles par Alain
Plus en détailUNIVERSITE LYON 3 (JEAN MOULIN) Référence GALAXIE : 4140
UNIVERSITE LYON 3 (JEAN MOULIN) Référence GALAXIE : 4140 Numéro dans le SI local : Référence GESUP : 0202 Corps : Professeur des universités Article : 51 Chaire : Non Section 1 : 01-Droit privé et sciences
Plus en détailSMALL CITY COMMERCE (EL PEQUEÑO COMERCIO DE LAS PEQUEÑAS CIUDADES)
CIUDADES) ES/08/LLP-LdV/TOI/149019 1 Project Information Title: Project Number: SMALL CITY COMMERCE (EL PEQUEÑO COMERCIO DE LAS PEQUEÑAS CIUDADES) ES/08/LLP-LdV/TOI/149019 Year: 2008 Project Type: Status:
Plus en détailGUIDE CONSO-CITOYEN : LES ESPÈCES PROFONDES
GUIDE CONSO-CITOYEN : LES ESPÈCES PROFONDES CRIME EN EAUX PROFONDES LE MOBILE DU CRIME ET LE COMPLICE Parce qu on pêche trop, trop loin, trop profond, nos océans sont en train de mourir, tout spécialement
Plus en détailIndustrial Phd Progam
Industrial Phd Progam Catalan Government: Legislation: DOGC ECO/2114/2012 Modification: DOGC ECO/2443/2012 Next: Summary and proposal examples. Main dates March 2013: Call for industrial Phd projects grants.
Plus en détailProjet Nador West Med
ROYAUME DU MAROC Projet Nador West Med NOTE DE PRESENTATION SOMMAIRE Mai 2014 Sommaire EXECUTIVE SUMMARY 3 PARTIE I - PRESENTATION GENERALE DU PROJET NWM 5 1. Positionnement stratégique du Projet 2. Composantes
Plus en détailwww.droit-afrique.com concessionnaire, le permissionnaire ou l amodiataire déclare avoir produites au cours du mois précédent.
concessionnaire, le permissionnaire ou l amodiataire déclare avoir produites au cours du mois précédent. Pour permettre l établissement des états de liquidation, une déclaration signée, affirmée sincère
Plus en détailCollaborations avec la Thaïlande Enseignement, Recherche
Collaborations avec la Thaïlande Enseignement, Recherche (non exhaustif ) Un pays économiquement avancé Un réseau d'universités, des centres de recherche Des structures de coopération en place (CIRAD,
Plus en détailMonitoring des classes de neige des calottes polaires par Envisat
Monitoring des classes de neige des calottes polaires par Envisat (Résultats de WOOPI) N. Tran, A. Vernier (CLS) F. Rémy R (LEGOS) P. Féménias F (ESA) Calottes glaciaires & classification de la neige/glace
Plus en détailNORME INTERNATIONALE INTERNATIONAL STANDARD. Dispositifs à semiconducteurs Dispositifs discrets. Semiconductor devices Discrete devices
NORME INTERNATIONALE INTERNATIONAL STANDARD CEI IEC 747-6-3 QC 750113 Première édition First edition 1993-11 Dispositifs à semiconducteurs Dispositifs discrets Partie 6: Thyristors Section trois Spécification
Plus en détailINVESTMENT REGULATIONS R-090-2001 In force October 1, 2001. RÈGLEMENT SUR LES INVESTISSEMENTS R-090-2001 En vigueur le 1 er octobre 2001
FINANCIAL ADMINISTRATION ACT INVESTMENT REGULATIONS R-090-2001 In force October 1, 2001 LOI SUR LA GESTION DES FINANCES PUBLIQUES RÈGLEMENT SUR LES INVESTISSEMENTS R-090-2001 En vigueur le 1 er octobre
Plus en détailLE BRUIT A BORD DES NAVIRES DE PECHE
LE BRUIT A BORD DES NAVIRES DE PECHE SOMMAIRE ENJEUX EN MATIERE DE PREVENTION ETAT DES LIEUX : ENSEIGNEMENTS DE L ETUDE «ERGOSPACE» EVOLUTION REGLEMENTAIRE EXEMPLE DANOIS ACTIONS ENGAGEES ENJEUX - 1 Le
Plus en détailPaxton. ins-20605. Net2 desktop reader USB
Paxton ins-20605 Net2 desktop reader USB 1 3 2 4 1 2 Desktop Reader The desktop reader is designed to sit next to the PC. It is used for adding tokens to a Net2 system and also for identifying lost cards.
Plus en détailCCI DECAEN EQUIPEMENTSGÉRÉS
CCI DECAEN EQUIPEMENTSGÉRÉS BILAN2008 Bassin d Hérouville 14200 Hérouville Saint Clair Tél : 02.31.35.63.00 Fax : 02.31.35.63.06 E-mail : port.commerce@caen.cci.fr / Site internet : www.caen.port.fr E-mail
Plus en détailAudit de la filière halieutique de Saint Pierre et Miquelon
CONFIDENTIEL Audit de la filière halieutique de Saint Pierre et Miquelon Réalisé par COFREPECHE - 31 octobre 2007 1 Préliminaires Commanditaire de l audit : OFIMER Durée de l audit : du 10 septembre au
Plus en détailCONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES. Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole
CONGRES INTERNATIONAL SUR L ASSURANCE ET LA RÉASSURANCE DES RISQUES AGRICOLES 1 Marrakech -29, 30 et 31janvier 2014 Session 2 Partenariat Public Privé dans l Assurance Agricole L expérience de la Compagnie
Plus en détailDOSSIER DE GESTION. Sommaire
102 Allée de Barcelone 31000 TOULOUSE Forme juridique : ENTREPRISE INDIVIDUELLE Régime fiscal : R. Simplifié Date exercice : 01/07/2012 au 30/06/2013-12 DOSSIER DE GESTION Sommaire Présentation de l'exploitation
Plus en détailA. Bilan. B. Compte de résultat. Comptes sociaux au 31 décembre 2013. ACTIF (en milliers d euros) Notes Brut
Comptes sociaux au 31 décembre 2013 A. Bilan ACTIF (en milliers d euros) Notes Brut 2013 Amort. et dépréc. Immobilisations incorporelles 3-4 21 280 1 926 19 354 19 071 Immobilisations corporelles 3-4 7
Plus en détailInstitut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010. Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC
Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010 Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC 1. Présentation... 328 2. Méthodologie... 328 3. Définitions... 328 4. Sources de
Plus en détailINVESTIR AU MAROC région Tanger-Tétouan
INVESTIR AU MAROC région Tanger-Tétouan FINANCES & CONSEIL MEDITARRANEE 23 Octobre Avril 2012 I. Généralités Superficie Capitale Villes principales Langue officielle Monnaie Population 710 000 Km² Rabat
Plus en détailOrientations stratégiques en matière de développement minier
Ministère de l Energie et des Mines Orientations stratégiques en matière de développement minier Journées Nationales de l Industrie Minérale Marrakech, 23-25 novembre 2005 1 Plan de l exposé Place de l
Plus en détailINVENTAIRES NATIONAUX SERVICES DANS LE SECTEUR DE LA PÊCHE PAYS-BAS
INVENTAIRES NATIONAUX SERVICES DANS LE SECTEUR DE LA PÊCHE PAYS-BAS Services fournis à tous les maillons de la chaîne de valeur X Reconversion (professionnelle) Promotion des exportations Installations
Plus en détailImpact on revenue requirements no Description (000$)
IMPACT OF THE CHANGE IN COST OF GAS ON THE REVENUE REQUIREMENT RESULTING FROM THE 2010 VOLUMES COMPONENTS: Transportation, load balancing and commodity 2010 RATE CASE Impact on revenue Line requirements
Plus en détailCanada-Inde Profil et perspective
Canada-Inde Profil et perspective Mars 2009 0 L Inde et le Canada : un bref profil Vancouver Calgary Montréal Toronto INDE 3 287 263 km² 1,12 milliard 1 181 milliards $US 1 051 $US Source : Fiche d information
Plus en détail«garanties publiques» Direction des garanties publiques Marie-Claire SARLIEVE
«garanties publiques» 25 05 2012 Direction des garanties publiques Marie-Claire SARLIEVE Profil de Coface Coface commercialise des solutions pour gérer les créances commerciales que les entreprises détiennent
Plus en détailAPPENDIX 2. Provisions to be included in the contract between the Provider and the. Holder
Page 1 APPENDIX 2 Provisions to be included in the contract between the Provider and the Obligations and rights of the Applicant / Holder Holder 1. The Applicant or Licensee acknowledges that it has read
Plus en détailPARTAGER LES CONNAISSANCES POUR UNE PÊCHE DURABLE
CCR.S ComEX 140313 DOC7 PARTAGER LES CONNAISSANCES POUR UNE PÊCHE DURABLE RAPPORT D AVANCEMENT DU PROJET GEPETO ÉTABLI À L ATTENTION DU COMITÉ EXÉCUTIF DU CCR- S 1. RAPPEL DES OBJECTIFS 2. MÉTHODOLOGIE
Plus en détailData issues in species monitoring: where are the traps?
Data issues in species monitoring: where are the traps? French breeding bird monitoring : Animations locales : - dealing with heterogenous data - working with multi-species multi-sites monitoring schemes
Plus en détailPHOTO ROYAUME DE BELGIQUE /KINDOM OF BELGIUM /KONINKRIJK BELGIE. Données personnelles / personal data
1 ROYAUME DE BELGIQUE /KINDOM OF BELGIUM /KONINKRIJK BELGIE Service Public Fédéral Affaires Etrangères, Commerce et Coopération au développement Federal Public Service Foreign Affairs, External Trade and
Plus en détailhttp://www.international.umontreal.ca/echange/cap-udem/guide.html#finaliser
Requisitos de conocimiento de idioma* CANADÁ Université de Montréal http://www.international.umontreal.ca/echange/cap-udem/guide.html#finaliser Une attestation de votre connaissance du français, si ce
Plus en détailGROUPE NSE INDUSTRIES. Comptes intermédiaires consolidés Période du 1 er janvier au 30 juin 2014
GROUPE NSE INDUSTRIES Comptes intermédiaires consolidés Période du 1 er janvier au 30 juin 2014 BILAN (en milliers d euros) ACTIF Note 30/06/14 30/06/13 Ecarts d'acquisition 1 3 872 3 972 Immobilisations
Plus en détail10.CARBON DESKTOP : RÉDUIRE SES COÛTS GRÂCE A UN SUIVI INFORMATISE DES DONNÉES DÉCHETS ET ÉNERGIE
ÉTUDE DE BENCHMARKING SUR LES DÉCHETS DANS LES MÉTHODOLOGIES D ACTION SUR LES COÛTS ET SUR LES 10.CARBON DESKTOP : RÉDUIRE SES COÛTS GRÂCE A UN SUIVI INFORMATISE DES DONNÉES DÉCHETS ET ÉNERGIE Type de
Plus en détailANALYSE FINANCIÈRE ET COMPTABILITÉ DE GESTION DUT - GEA
ANALYSE FINANCIÈRE ET COMPTABILITÉ DE GESTION DUT - GEA Sommaire Partie 1 : Analyse des documents de synthèse Cours 1 - Soldes Intermédiaires de Gestion... 3 Cas 1-1 : Marie (SIG sans retraitement)...
Plus en détailComprendre l impact de l utilisation des réseaux sociaux en entreprise SYNTHESE DES RESULTATS : EUROPE ET FRANCE
Comprendre l impact de l utilisation des réseaux sociaux en entreprise SYNTHESE DES RESULTATS : EUROPE ET FRANCE 1 Objectifs de l étude Comprendre l impact des réseaux sociaux externes ( Facebook, LinkedIn,
Plus en détailResident Canadian (Insurance Companies) Regulations. Règlement sur les résidents canadiens (sociétés d assurances) CONSOLIDATION CODIFICATION
CANADA CONSOLIDATION CODIFICATION Resident Canadian (Insurance Companies) Regulations Règlement sur les résidents canadiens (sociétés d assurances) SOR/92-284 DORS/92-284 Current to August 4, 2015 À jour
Plus en détailPRESENTATION. CRM Paris - 19/21 rue Hélène Boucher - ZA Chartres Est - Jardins d'entreprises - 28 630 GELLAINVILLE
PRESENTATION Spécialités Chimiques Distribution entreprise créée en 1997, a répondu à cette époque à la demande du grand chimiquier HOECHTS (CLARIANT) pour distribuer différents ingrédients en petites
Plus en détailGuide d établissement des budgets des propositions soumises aux appels à projets de
Guide d établissement des budgets des propositions soumises aux appels à projets de l ANR 1. INTRODUCTION...3 2. PRINCIPES GENERAUX...4 2.1. Assiette et taux de l aide... 4 2.2. TVA... 5 2.3. Règles spécifiques
Plus en détailDEFINTIONS ET FORMULES
DEFINTIONS ET FORMULES Comptabilité financière (I) BILAN COMPTABLE : Photographie à un moment t de la situation financière. tableau à 2 colonnes : Actif (emploi des ressources disponibles) et Passif (ressources,
Plus en détailOPTIMISATION DE LA MAINTENANCE DES EQUIPEMENTS DE MANUTENTION DU TERMINAL A CONTENEURS DE BEJAIA (BMT)
OPTIMISATION DE LA MAINTENANCE DES EQUIPEMENTS DE MANUTENTION DU TERMINAL A CONTENEURS DE BEJAIA (BMT) LAGGOUNE Radouane 1 et HADDAD Cherifa 2 1,2: Dépt. de G. Mécanique, université de Bejaia, Targa-Ouzemour
Plus en détailOutils d évaluation des réseaux routiers (RONET) Version 1.0
1 Assemblée annuelle 2007 du SSATP Ouagadougou, Burkina Faso 5-7 novembre 2007 Outils d évaluation des réseaux routiers (RONET) Version 1.0 Rodrigo Archondo-Callao, Banque mondiale Olav E. Ellevset, SSATP/Banque
Plus en détailNOM ENTREPRISE. Document : Plan Qualité Spécifique du Projet / Project Specific Quality Plan
Document : Plan Qualité Spécifique du Projet Project Specific Quality Plan Référence Reference : QP-3130-Rev 01 Date Date : 12022008 Nombre de Pages Number of Pages : 6 Projet Project : JR 100 Rédacteur
Plus en détailArchived Content. Contenu archivé
ARCHIVED - Archiving Content ARCHIVÉE - Contenu archivé Archived Content Contenu archivé Information identified as archived is provided for reference, research or recordkeeping purposes. It is not subject
Plus en détailPOULAKIDAS, Angela Département : Commerce et négociation. Matières enseignées. Intervient dans les programmes. Principaux diplômes
POULAKIDAS, Angela Département : Commerce et négociation Matières enseignées Stratégie internationale Commerce international Entrepreneuriat international International marketing Ventes et négociation
Plus en détail32 Coûts fixes, coûts variables
cterrier.com 1/14 24/09/2012 32 Coûts fixes, coûts variables Variabilité des charges cterrier cterrier.com 2/14 24/09/2012 32 Coût fixes, coûts variables Concepts clés Définitions Charges fixes : charges
Plus en détail