Termes de référence du séminaire sur le cadre d élaboration et de mise en œuvre du plan de trésorerie de l Etat
|
|
- Anaïs Duquette
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 FONDS MONETAIRE INTERNATIONAL Centre Régional d Assistance Technique pour l Afrique Centrale AFRITAC Centre Libreville, Gabon Termes de référence du séminaire sur le cadre d élaboration et de mise en œuvre du plan de trésorerie de l Etat Pays et Institutions concernés : Burundi, Cameroun, Centrafrique,,Congo, Gabon, Guinée équatoriale, République Démocratique du Congo, Tchad, Banque des Etats d Afrique Centrale (BEAC), Banque de la République du Burundi (BRB), Banque Centrale du Congo (BCC), Commission de la CEMAC. Thème : Le cadre d élaboration et de mise en œuvre du plan de trésorerie de l Etat. Dates et lieu du séminaire : du lundi 29 septembre au vendredi 3 octobre 2014 Libreville Gabon. Composition de l'équipe d'animation : Un expert ayant une solide expérience en matière de plan de trésorerie et les quatre conseillers résidents en charge de la gestion des dépenses publiques, de l administration du revenu et de la gestion de la dette. Participants : cadres des pays membres chargés de l élaboration du plan de trésorerie, de la prévision des recettes, de la régulation budgétaire et de la gestion de la dette, et représentants des banques centrales des pays membres et de la Commission de la CEMAC. Contexte et justification Au cours des dernières années, les pays couverts par l AFRITAC du Centre (AFC) ont entrepris d améliorer le cadre de gestion de leurs finances publiques et plus particulièrement la gestion de la trésorerie de l Etat dans certains cas avec l assistance technique d AFC. C est le cas, notamment, au Gabon, au Cameroun, et au Burundi qui ont également mis en place un programme d émission de titres publics. Des plans de trésorerie sont élaborés et des comités de trésorerie ont été créés et se réunissent plus ou moins régulièrement selon les différents pays. Des efforts de consolidation du Compte unique du Trésor sont également entrepris. Malgré les réformes engagées, d importantes tensions de trésorerie subsistent, les mécanismes de gestion de la trésorerie de l Etat disposent de marge de progression importantes tant sur la fiabilité de la prévision des recettes et des dépenses, que de leurs suivis infra annuels et de l anticipation des besoins temporaires de trésorerie et des moyens de leur couverture, notamment sur le marché des titres publics. Les écarts réguliers et souvent importants entre les prévisions mensuelles des encaissements, et les encaissements effectifs traduisent la faiblesse des techniques de prévision infra annuelle utilisés à cet effet. Les prévisions de dépenses ne sont pas toujours établies sur la base de plans d engagements de AFRITAC Centre Immeuble Saint Georges Kalickak- Libreville, Gabon Téléphone (241) Télécopie (241)
2 2 dépenses des ministères, qui dans la plupart des cas, n existent pas ou ne sont pas fiables. Les tensions de trésorerie observées traduisent une maîtrise insuffisante du rythme d exécution des dépenses, avec d importants dépassements des prévisions d engagements et d ordonnancements des dépenses. Toutes ces faiblesses contribuent au manque de fiabilité de la planification des besoins de trésorerie et nuisent à une programmation efficace des émissions d emprunt publics qui permettrait d assurer le paiement des dépenses au fil de l eau, d éviter la formation des arriérés de paiement, ou des stocks inappropriés de trésorerie. Par ailleurs, la mobilisation de la trésorerie de l Etat se trouverait facilitée si la centralisation de la trésorerie de l Etat était assurée, à travers notamment un compte unique du Trésor au lieu de laisser cette trésorerie se disperser dans de multiples comptes bancaires ouverts dans les banques commerciales au nom de diverses entités publiques. Aussi, répondant à la demande des États, le centre régional d assistance technique du FMI pour l Afrique Centrale organise le présent séminaire régional. Objectif principal : Favoriser les échanges sur les meilleures pratiques et renforcer les capacités des participants en matière de gestion de trésorerie, en améliorant leurs connaissances en matière de prévision des recettes et des dépenses, de suivi de l exécution budgétaire, de détermination des besoins prévisionnels de trésorerie, de programmation d émissions de titres publics. Objectifs spécifiques : Fournir aux participants une méthodologie robuste et adaptable pour prévoir les encaissements selon les natures de recettes ; Montrer le lien entre l exécution et la régulation budgétaire et le plan de trésorerie, grâce, notamment, au plan d engagement des dépenses ; Proposer une démarche de consolidation du compte unique du Trésor et les possibilités de structuration de ce compte ; Montrer aux participants le processus de détermination des besoins de trésorerie et de confection du calendrier d émission de titres publics; Initier les participants, au cours d un atelier, au processus de détermination des besoins temporaires de trésorerie et aux techniques d émission de titres publics; Favoriser les échanges entre les participants de manière à leur faire bénéficier des leçons tirées par les expériences des uns et des autres et des meilleures pratiques Résultats attendus Le séminaire permettra de : Renforcer les connaissances sur les techniques de prévision des encaissements et des décaissements, et de leur suivi ;
3 3 Initier aux techniques de programmation des émissions de titres publics ainsi que sur les modalités pratiques d émission des titres publics ; Donner des éléments pour la mise en place, la consolidation et la structuration du compte unique du Trésor. Au cours du séminaire, les participants auront, dans le cadre d un atelier, à résoudre un cas pratique d élaboration de plan de trésorerie et d élaboration du calendrier d émission des titres. Thèmes proposés Thème 1 : Le cadre institutionnel et technique de la gestion de la trésorerie de l Etat : techniques de prévisions des encaissements, plan d engagement des dépenses. Définitions et préalables de la gestion de la trésorerie ; Cadre technique, organisationnel et contenu du plan de trésorerie (recettes, dépenses et financement) et sa mise à jour ; La prévision des recettes : examen de la structure des recettes publiques à partir des séries passées en vue de déterminer les porteurs de flux, la nature, la catégorie de chaque flux ainsi que leur saisonnalité ; La prévision des dépenses : le plan d engagement des dépenses. Thème 2 : Elaboration du plan de trésorerie et compte unique du trésor : La gestion des recettes encaissées ; L apport de la bancarisation des recettes dans la prévisibilité des recettes fiscales ; La régulation budgétaire ; Dispositifs pour la collecte des données nécessaires à l élaboration du plan de trésorerie ; L apport du compte unique du Trésor dans la gestion de la trésorerie. Thème 3 : Besoins de trésorerie de l Etat, sources de financement et choix du mode de financement. Les différentes sources de financement ; La détermination des besoins de trésorerie ; La programmation des émissions de titres publics : élaboration du calendrier annuel d émission des titres publics ; Les techniques d émission des titres publics. Approche méthodologique Les conseillers d AFRITAC en charge de la gestion des dépenses publiques présenteront une communication introductive pour préciser les objectifs et le contexte du séminaire. Deux autres conseillers (Dette et Administration du Revenu) et un expert du panel des experts du FMI recruté par le Centre feront des présentations sur les thèmes indiqués ci-dessus. Leurs apports seront théoriques (présentation des thèmes) et pratiques (études de cas). Ils participeront à l animation du séminaire. Les présentations des personnes ressources, les exercices pratiques qui cadrent avec leurs thèmes, seront rédigés en français, sous format power point et charte graphique AFRITAC Centre. Des présentations d expériences d une dizaine de minutes seront demandées à chaque délégation des pays membres d AFRITAC Centre concernant l état d avancement de la gestion de la trésorerie, les difficultés rencontrées et les perspectives.
4 4 Dans le but de faciliter les échanges entre participants, au cours du séminaire, les participants des États les plus avancés en matière d émissions de titres publics (Cameroun, Gabon, Burundi) seront invités à présenter, en sus de la présentation ci-dessus, leurs expériences en matière, d émissions des titres publics en précisant le processus de détermination des besoins de trésorerie, des échéances et des montants d émission, les expériences de réussite ou d échec, ainsi que les défis qui leur restent à relever Toutes les présentations doivent être envoyées à l AFRITAC Centre avant le 19 septembre Libreville le 8 août 2014
5 5 RECAPITULATION DES OBJECTIFS, TACHES ET RESULTATS ATTENDUS DU SEMINAIRE OBJECTIFS TACHES RESULTATS Favoriser les échanges Elaborer les présentations Les participants : sur les meilleures sur les différents thèmes pratiques et renforcer les retenus ; capacités des participants en matière de gestion de trésorerie, Renforcer les capacités en améliorant les connaissances en matière de prévision des recettes et des dépenses, de suivi de l exécution budgétaire, de détermination des besoins prévisionnels de trésorerie, de programmation d émissions de titres publics. Présenter les thèmes en se fondant sur des exemples pratiques, des expériences et les meilleures pratiques ; Animer les débats ; Préparer et superviser les travaux pratiques de l atelier ; Contribuer à la finalisation du rapport général du séminaire Ont renforcé leurs connaissances sur les techniques de prévision des encaissements et des décaissements, et de leur suivi ; Se sont initiés aux techniques de programmation des émissions de titres publics ainsi qu aux modalités pratiques d émission des titres publics ; Ont renforcé leurs connaissances en matière de mise en place, de consolidation et structuration du Compte Unique du Trésor.
TERMES DE REFERENCE POUR LE RECRUTEMENT d un(e) ASSISTANT ADMINISTRATIF CONTRATS-FINANCES-MARCHES (AACFM) auprès du RAF ECOFAC V du RAPAC
TERMES DE REFERENCE POUR LE RECRUTEMENT d un(e) ASSISTANT ADMINISTRATIF CONTRATS-FINANCES-MARCHES (AACFM) auprès du RAF ECOFAC V du RAPAC Autorité hiérarchique : Secrétaire Exécutif du RAPAC (SE), Expert-Responsable
Plus en détailLe Processus de Réforme Comptable de l Etat. Katarína Kaszasová FCCA Ministère des Finances de la République Slovaque. Paris, Septembre 2008
Le Processus de Réforme Comptable de l Etat Katarína Kaszasová FCCA Ministère des Finances de la République Slovaque Paris, Septembre 2008 Plan de l intervention Pourquoi la Slovaquie a-t-elle lancé une
Plus en détailTermes de référence pour le recrutement d un consultant en communication
Termes de référence pour le recrutement d un consultant en communication A. Contexte La Conférence des Ministres de l Éducation des États et gouvernements de la Francophonie (CONFEMEN) est une organisation
Plus en détailInstitut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010. Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC
Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010 Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC 1. Présentation... 328 2. Méthodologie... 328 3. Définitions... 328 4. Sources de
Plus en détailRépublique de Guinée. Ministère de l Economie et des Finances. Unité de Coordination et d Exécution des Projets
République de Guinée Ministère de l Economie et des Finances Unité de Coordination et d Exécution des Projets PROJET D APPUI AU RENFORCEMENT DES CAPACITES DE GESTION ECONOMIQUE ET FINANCIERE (PARCGEF)
Plus en détailREPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO ET BANQUE CENTRALE DU CONGO
REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO ET BANQUE CENTRALE DU CONGO Janvier 2004 CONVENTION DU CAISSIER DE LA REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO ENTRE La REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO, représentée par le Ministre
Plus en détailCompte d opérations monétaires. Pertes et bénéfices de change
Compte d opérations monétaires Pertes et bénéfices de change Note d analyse de l exécution budgétaire 2014 2 COUR DES COMPTES Pertes et bénéfices de change LFI Exécution 1 Ecart Recettes 25 M 19,3 M -5,7
Plus en détailL impact des réformes en cours sur la budgétisation des dépenses de personnel
L impact des réformes en cours sur la budgétisation des dépenses de personnel Atelier régional sur le pilotage de la masse salariale Abidjan, 8 au 12 avril 2013 Bruno Imbert, Conseiller résident AFRITAC
Plus en détailLES RELATIONS ENTRE LE TRESOR PUBLIC ET LA BCEAO
LES RELATIONS ENTRE LE TRESOR PUBLIC ET LA BCEAO La BCEAO dispose dans chaque Etat membre de l UEMOA, d une agence nationale et des agences auxiliaires. L agence nationale du Niger comprend trois représentations
Plus en détailIndicateur n 1.3 : Ecart entre le taux d intérêt des emprunts de la Sécurité sociale et le taux du marché
82 Partie II Objectifs / Résultats Objectif 1 Garantir la viabilité financière des régimes de Indicateur n 1.3 : Ecart entre le taux d intérêt des emprunts de la Sécurité sociale et le taux du marché 1er
Plus en détailPERTES ET BENEFICES DE CHANGE
ANALYSE DE L EXECUTION DU BUDGET DE L ETAT PAR MISSION ET PROGRAMME EXERCICE 2012 COMPTE D OPERATIONS MONETAIRES PERTES ET BENEFICES DE CHANGE MAI 2013 Compte d opérations monétaires Pertes et bénéfices
Plus en détailMission d assistance technique de l AFRITAC Centre ATELIER TECHNIQUE SUR LA STRUCTURATION DES PROGRAMMES BUDGETAIRES
F O N D S M O N É T A I R E I N T E R N A T I O N A L Centre Régional d Assistance Technique pour l Afrique Centrale AFRITAC Centre - Libreville, Gabon Mission d assistance technique de l AFRITAC Centre
Plus en détailComité monétaire et financier international
Comité monétaire et financier international Vingt-neuvième réunion Le 12 avril 2014 Déclaration de M. Akagha-Mba, Ministre de l Économie et de la Prospective, Gabon Représentant les pays suivants : Bénin,
Plus en détailLA CONDUITE DE L ACTION COMMERCIALE
LA CONDUITE DE L ACTION COMMERCIALE Une fois les objectifs fixés pour son équipe, le manageur doit définir une stratégie et mettre en place un plan d actions. Outil de prévision et de planification, ce
Plus en détailL Afrique Centrale et le FGI
Collège International de l'afnic http://www.afnic.fr/afnic/international/college L Afrique Centrale et le FGI Victor NDONNANG Membre du Collège International de l AFNIC Cameroun Sommaire Introduction Présentation
Plus en détailDéterminer et financer le cycle d exploitation. Animé par : Stéphane Carton Cabinet In Extenso, Rennes
Déterminer et financer le cycle d exploitation Animé par : Stéphane Carton Cabinet In Extenso, Rennes Définition du : C est l'ensemble des opérations réalisées, de l'achat (matières premières, fournitures,
Plus en détailCOMPTES D OPÉRATIONS MONÉTAIRES
R É P U B L I Q U E F R A N Ç A I S E COMPTES SPÉCIAUX RAPPORTS ANNUELS DE PERFORMANCES ANNEXE AU PROJET DE LOI DE RÈGLEMENT DES COMPTES ET RAPPORT DE GESTION POUR 2007 COMPTES D OPÉRATIONS MONÉTAIRES
Plus en détailQui sommes-nous? Nos atouts
Présentation de la société Qui sommes-nous? BFI est spécialisée depuis 1994 dans l édition et l intégration de solutions destinées aux banques et institutions financières. Bien implantée sur le marché
Plus en détailSchéma du plan d affaires
Plan d affaires Schéma du plan d affaires SOMMAIRE EXÉCUTIF DESCRIPTION DU PROJET OBJECTIFS FORME JURIDIQUE ÉQUIPE DIRIGEANTE MARKETING PRODUCTION SOUTIEN ADMINISTRATIF ANALYSE MARCHÉ ANALYSE MARKETING
Plus en détailLa gestion du compte de l État
FINANCES PUBLIQUES TRÉSORERIE Nouvelle convention MINÉFI/Banque de France La gestion du compte de l État Article d Olivier Cuny, administrateur civil à l Agence France Trésor, en collaboration avec Dominique
Plus en détailIII.2 Rapport du Président du Conseil
III.2 Rapport du Président du Conseil de Surveillance sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques Rapport du directoire rapports du conseil de surveillance 2012 1 Obligations légales
Plus en détailLa culture du résultat au sein des systèmes statistiques nationaux des Etats membres d AFRISTAT
La culture du résultat au sein des systèmes statistiques nationaux des Etats membres d AFRISTAT SOMMAIRE Introduction... 2 I. Aperçu sur le fondement de la gestion axée sur les résultats... 3 1.1. De nouveaux
Plus en détailGUIDE DIDACTIQUE DU PLAN COMPTABLE DE L ETAT CEMAC TOME 2 RELATIF AUX FONCTIONNEMENT DES COMPTES DIVISIONNAIRES
COMMUNAUTE ECONOMIQUE ET MONETAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE GUIDE DIDACTIQUE DU PLAN COMPTABLE DE L ETAT CEMAC TOME 2 RELATIF AUX DES COMPTES DIVISIONNAIRES Directive n 03/11-UEAC-195-CM-22 relative au plan
Plus en détailJournal Officiel - Numéro Spécial - 18 août 2006. 47 ème année OFFICIEL. de la République Démocratique du Congo. Cabinet du Président de la République
1 47 ème année JOURNAL OFFICIEL de la République Démocratique du Congo Cabinet du Président de la République LA NOMENCLATURE DES ACTES GENERATEURS DES RECETTES ADMINISTRATIVES, JUDICIAIRES, DOMANIALES
Plus en détailGESTION BUDGETAIRE. BTS MUC, Gestion commerciale. Lycée Charles de Gaulle Vannes 56 000 INTRODUCTION :
BTS MUC, Gestion commerciale. GESTION BUDGETAIRE INTRODUCTION : Les outils statistiques permettent de chiffrer l activité d une entreprise (méthode Mayer, lissages, régression linéaire), la gestion budgétaire
Plus en détailBAREME GENERAL DES CONDITIONS APPLICABLES A LA CLIENTELE
BAREME GENERAL DES CONDITIONS APPLICABLES A LA CLIENTELE A PARTIR DU 1ER JUIN 2008 (Document non limitatif et modifiable) 2 I - OUVERTURE DE COMPTE Compte épargne Marina : 100.000 FCFA Dantokpa, Jéricho,
Plus en détailVous voudrez bien indiquer au greffe de la juridiction la date de cette réunion.
Le Président REF. : N 1027 Poitiers, le 29 décembre 2006 Rod2-1 RECOMMANDE AVEC A.R. Monsieur le Maire, Le rapport d observations définitives sur la gestion de la commune de Saint-Sauveur-d Aunis, arrêté
Plus en détailTHEME 1 : Le contrôle des ressources financières allouées au secteur de la santé publique
OBJECTIFS THEME 1 : Le contrôle des ressources financières allouées au secteur de la santé publique Présenté par l Inspection Générale d Etat de la Guinée Conakry Dans le cadre du programme de contrôle
Plus en détailRapport final IGF-AC, edition 2013, Kinshasa
Rapport final IGF-AC, edition 2013, Kinshasa L an 2013, le 28 et 29 août, s est tenue dans la salle du Campus Numérique Francophone de Kinshasa, le Forum sur la Gouvernance de l Internet en Afrique Centrale,
Plus en détailBILAN DES ACTIVITES DE L AMPI 2014-2015 Yamoussoukro, Côte d Ivoire 24 juillet 2015. The African Mobile Phone Financials Services Policy Inititive
BILAN DES ACTIVITES DE L AMPI 2014-2015 Yamoussoukro, Côte d Ivoire 24 juillet 2015 Sommaire 1. ACTIVITES REALISEES SUR LA PERIODE DE FEVRIER 2014 A JUILLET 2015 2. CHANTIERS EN COURS 3. DEFIS 4. PERSPECTIVES
Plus en détailLe cadre juridique et fiscal des relations d affaires franco-africaines: un atout pour les entrepreneurs?
Le cadre juridique et fiscal des relations d affaires franco-africaines: un atout pour les entrepreneurs? Me Pierre MARLY Avocat CMS Bureau Francis Lefebvre E-mail : pierre.marly@cms-bfl.com 1 - Le cadre
Plus en détailRapport de mission AFRIQUE 25 mars au 3 avril 2009 Gaston Achoundong Richard Chapel M.-A. Manceau
Rapport de mission AFRIQUE 25 mars au 3 avril 2009 Gaston Achoundong Richard Chapel M.-A. Manceau Contexte : Le secrétariat Sud Expert Plantes a reçu en janvier 2009 les premiers rapports financier et
Plus en détailrelatif aux règles comptables applicables aux fonds communs de créances
COMITE DE LA REGLEMENTATION COMPTABLE Règlement n 2003-03 du 2 octobre 2003 relatif aux règles comptables applicables aux fonds communs de créances (Avis n 2003-09 du 24 juin 2003 du compte rendu CNC)
Plus en détailFormation des Partenaires en Fundraising/Récolte de fonds. Termes de référence
Formation des Partenaires en Fundraising/Récolte de fonds Termes de référence 1 1. Contexte et justification La formation en recherche de financement s inscrit dans le cadre du programme «Promouvoir l
Plus en détailPROJET DOUGORE 2011 SUR LA DECENTRALISATION AU TOGO
PROJET DOUGORE 2011 SUR LA DECENTRALISATION AU TOGO ELABORATION D UN PLAN DE DEVELOPPEMENT COMMUNAL Par : LEGONOU François, Directeur SYDEL AFRIQUE, Consultant En guise d introduction La décentralisation
Plus en détailLa Technique de Prévision Budgétaire. Marrakech le 04 Octobre 2011
La Technique de Prévision Budgétaire Marrakech le 04 Octobre 2011 Introduction La préparation du budget prévisionnel repose principalement sur l analyse rétrospective des comptes des derniers exercices
Plus en détailPilotage de la masse salariale Déploiement de l outil de budgétisation
Pilotage de la masse salariale Déploiement de l outil de budgétisation par Jean-Michel de Guerdavid, expert pour l AFRITAC de l Ouest 1 Présentation de l outil de budgétisation 1. Utilisation de l outil
Plus en détailNouveau processus budgétaire. performance: Le projet tunisien
Nouveau processus budgétaire axé sur le résultat r et la performance: Le projet tunisien Mohsen Thabet Ministère des Finances Unité GBO Atelier GBO Tunis 26-27 27 Juin Plan de l interventionl 1. Système
Plus en détailTermes de référence pour le recrutement d un comptable, d un assistant administratif et un chauffeur
AFRISTAT PROGRAMME DE COMPARAISON INTERNATIONALE-AFRIQUE Termes de référence pour le recrutement d un comptable, d un assistant administratif et un chauffeur Contexte Au cours de l année 2004, AFRISTAT
Plus en détailPour une coopération parlementaire régionale accrue avec les organes de traités relatifs aux droits de l homme
Pour une coopération parlementaire régionale accrue avec les organes de traités relatifs aux droits de l homme Séminaire régional à l intention des parlementaires et fonctionnaires de parlements des pays
Plus en détailLes emprunts assortis d une ligne de trésorerie (crédits revolving)
Comité national de fiabilité des comptes locaux Les emprunts assortis d une ligne de trésorerie (crédits revolving) Écritures budgétaires et comptables Caractéristiques des crédits revolving Ils sont connus
Plus en détailLe besoin en fonds de roulement (BFR) et la trésorerie
Mois AAAA Mois décembre AAAA 2009 mise à jour décembre 2010 Préambule Les associations du secteur social et médico-social qui gèrent un ou plusieurs établissements ou services et proposent des prestations
Plus en détailLA TRESORERIE. mois. Cette donnée est importante pour établir le budget de trésorerie prévisionnel. TOTAL 30 000
LA TRESORERIE 1. Présentation des composantes de la trésorerie 3.2. La TVA à décaisser 1.1. Qu est ce que la trésorerie 2. Les encaissements : de la prévision des ventes au budget prévisionnel des recettes
Plus en détailOuvrage conçu et coordonné par HERVÉ HUTIN TOUTE LA FINANCE. Éditions d Organisation, 1998, 2002, 2005 ISBN : 2-7081-3239-3
Ouvrage conçu et coordonné par HERVÉ HUTIN TOUTE LA FINANCE, 1998, 2002, 2005 ISBN : 2-7081-3239-3 SOMMAIRE DÉTAILLÉ INTRODUCTION : L évolution de l environnement a transformé les métiers de la finance
Plus en détailApproches macroéconomique et fiscale. Introduction à la première partie... 14
TABLE DES MATIERES Préface... 5 Avant- propos... 9 Partie 1 Approches macroéconomique et fiscale Introduction à la première partie... 14 CHAPITRE 1 La politique budgétaire est- elle encore efficace pour
Plus en détailAssociations Dossiers pratiques
Associations Dossiers pratiques Optimisez la gestion financière de votre association (Dossier réalisé par Laurent Simo, In Extenso Rhône Alpes) Les associations vivent et se développent dans un contexte
Plus en détailLES MODIFICATIONS DE L INSTRUCTION M 14 ET M 4
Décembre 2003 Département Finances Développement Économique LES MODIFICATIONS DE L INSTRUCTION M 14 ET M 4 APPLICABLES A COMPTER DU 1 ER JANVIER 2004 Le Comité de Finances Locales, lors de sa séance du
Plus en détailLA GESTION DE LA TRESORERIE : Les outils pour anticiper les difficultés et optimiser les excédents. Mardi 29 novembre 2011
LA GESTION DE LA TRESORERIE : Les outils pour anticiper les difficultés et optimiser les excédents Mardi 29 novembre 2011 SOMMAIRE Introduction : pourquoi la gestion de la trésorerie est-elle indispensable?
Plus en détailNOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE La Commission Département des Politiques Economiques NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA Février 2005 I INTRODUCTION Le Traité instituant
Plus en détailTERMES DE REFERENCE POUR LE COORDONNATEUR DE LA PLATEFORME DE DIALOGUE DU SECTEUR DES TRANSPORTS
TERMES DE REFERENCE POUR LE COORDONNATEUR DE LA PLATEFORME DE DIALOGUE DU SECTEUR DES TRANSPORTS 1. INFORMATIONS GÉNÉRALES... 1 1.1. Pays bénéficiaire... 1 1.2. Autorité contractante... 1 2. CONTEXTE...
Plus en détailSTATUTS DE L ASSOCIATION DES BANQUES CENTRALES AFRICAINES ------------------------------------
STATUTS DE L ASSOCIATION DES BANQUES CENTRALES AFRICAINES ------------------------------------ (version amendée à Kampala, en Ouganda, le 19 août 2003) 2 Les signataires des présents Statuts, Reconnaissant
Plus en détailElaboration et Suivi des Budgets
Elaboration et Suivi des Budgets 1 1- La Notion Du contrôle de Gestion 2- La Place du Contrôle de Gestion dans le système organisationnel 3- La Notion des Centres de responsabilité 4- La procédure budgétaire
Plus en détailC ) Détail volets A, B, C, D et E. Hypothèses (facteurs externes au projet) Sources de vérification. Actions Objectifs Méthode, résultats
C ) Détail volets A, B, C, D et E Actions Objectifs Méthode, résultats VOLET A : JUMELAGE DE 18 MOIS Rapports d avancement du projet. Réorganisation de l administration fiscale Rapports des voyages d étude.
Plus en détailGESTION DE PROJET. www.ziggourat.com - Tél : 01 44 61 96 00 N enregistrement formation : 11752861675
GESTION DE PROJET www.ziggourat.com - Tél : 01 44 61 96 00 N enregistrement formation : 11752861675 Introduction à la Gestion de Projet... 3 Management de Projet... 4 Gestion de Projet informatique...
Plus en détailCharte d audit du groupe Dexia
Janvier 2013 Charte d audit du groupe Dexia La présente charte énonce les principes fondamentaux qui gouvernent la fonction d Audit interne dans le groupe Dexia en décrivant ses missions, sa place dans
Plus en détailen 10 questions Tout savoir pour faire une demande de préfinancement en ligne www.prets.caissedesdepots.fr
en 10 questions Tout savoir pour faire une demande de préfinancement en ligne Annoncé par le Président de la République et détaillé par le Premier ministre Manuel Valls le 8 avril, le dispositif de préfinancement
Plus en détailREUNION DE COORDINATION DU CARN RBM YAOUNDE, 13-15 JUILLET 2010
REPORT RBM/EXD/2010/REP. 15 JUL 2010 Official document General distribution Français REUNION DE COORDINATION DU CARN RBM YAOUNDE, 13-15 JUILLET 2010 RAPPORT Le groupe de coordination du réseau Faire Reculer
Plus en détailLe besoin de trésorerie
JUIN 2013 ENTREPRENEURS N 3 lesclesdelabanque.com Le site pédagogique sur la banque et l argent FINANCEMENT LES MINI-GUIDES BANCAIRES & banques-sepa.fr les banques accompagnent les entreprises pour le
Plus en détailCommission pour la consolidation de la paix Configuration pays République centrafricaine
Commission pour la consolidation de la paix Configuration pays République centrafricaine La politique nationale et le soutien de la Communauté internationale au développement de la Réforme du Secteur de
Plus en détailConférence régionale du Forum d Action pour la gouvernance Locale en Afrique Francophone
Conférence régionale du Forum d Action pour la gouvernance Locale en Afrique Francophone Hôtel Teranga, Saly, Sénégal, du 18-19 Octobre 2011 Note de cadrage Contexte et justification L importance que revêt
Plus en détailLe Conseil canadien des consultants en immigration du Canada États financiers Pour la période du 18 février 2011 (date de création) au 30 juin 2011
Le Conseil canadien des consultants États financiers Pour la période du 18 février 2011 (date de création) au 30 juin 2011 Contenu Rapport d un vérificateur indépendant 2 États financiers Bilan 3 État
Plus en détailBANQUE DES ETATS DE L AFRIQUE CENTRALE COMPTES ANNUELS
BANQUE DES ETATS DE L AFRIQUE CENTRALE EXERCICE CLOS AU 31 DECEMBRE 2012 SOMMAIRE ETATS FINANCIERS... 4 Bilan... 4 Compte de Résultat... 6 NOTES ANNEXES AUX ETATS FINANCIERS... 7 Note 1 : Cadre juridique,
Plus en détail1 Informations générales
PAMEC-CEEAC Programme d Appui aux Mécanismes de Coordination et au renforcement des capacités de la CEEAC pour la mise en œuvre et le suivi du PIR Communauté Economique des Etats de l Afrique Centrale
Plus en détail1. Contexte et justification
Termes de Référence pour l assistance technique à la Cellule de Gestion des Projets et des Marchés Publics du Ministère de la Santé Publique en République Démocratique du Congo 1. Contexte et justification
Plus en détailen juste valeur par résultat Placements détenus jusqu à échéance
Normes IAS 32 / Instruments financiers : Présentation Normes IAS 39 / Instruments financiers : Comptabilisation et Evaluation Normes IFRS 7 / Instruments financiers : Informations à fournir Introduction
Plus en détailSOMMAIRE. 2/ Phase de travaux et de lancement
SOMMAIRE Tout projet doit être mûrement réfléchi pour juger de sa pertinence, de sa faisabilité et des enjeux économiques qui en résultent, de ses coûts et finalement de sa rentabilité. La constitution
Plus en détailFormation Atmansoft :
La particularité de la mise en place d une gestion de trésorerie, c'est-à-dire afin de devancer ses engagements, de connaître ses besoins et de respecter ses lignes d autorisations de découvert est devenu
Plus en détailAnnexe IV : rapport du Président du Conseil d Administration
Annexe IV : rapport du Président du Conseil d Administration joint au rapport de gestion rendant compte des conditions de préparation et d organisation des travaux du Conseil ainsi que des procédures de
Plus en détailMinistère de la Coopération Internationale, de l'intégration Régionale et de la Francophonie Ministère du Plan et de l Economie Ministère du Plan, de
Table des Matières RÉSUMÉ ANALYTIQUE... i I. CONTEXTE... 1 1. Situation politique et économique... 1 2. Situation actuelle de la dette publique... 3 3. Cadre institutionnel de gestion de la dette publique...
Plus en détailLa construction du budget communal. 25 avril 2015
La construction du budget communal 25 avril 2015 Le budget : un acte fondamental, très encadré Un acte de prévision et d autorisation Prévoit chaque année les recettes et dépenses de la commune Autorise
Plus en détailSociété anonyme au capital de 10 130 830,84 euros Siège social : 8, rue de la Ville l Evêque 75008 Paris 342 376 332 R.C.S. PARIS
Société anonyme au capital de 10 130 830,84 euros Siège social : 8, rue de la Ville l Evêque 75008 Paris 342 376 332 R.C.S. PARIS Rapport du Président du conseil d administration sur les conditions de
Plus en détailCOOPÉRATION EN ÉDUCATION
CENTRE INTERNATIONAL D ÉTUDES PÉDAGOGIQUES Au service du français et de l éducation dans le monde COOPÉRATION EN ÉDUCATION Un établissement public pour la coopération internationale en éducation, opérateur
Plus en détailPOURQUOI LE GABON A-T-IL BESOIN DE STATISTIQUES FIABLES?
Mai 2010 POURQUOI LE GABON A-T-IL BESOIN DE STATISTIQUES FIABLES? Direction Générale des Statistiques Ministère de l Economie, du Commerce, de l Industrie et du Tourisme Pourquoi le Gabon a-t-il besoin
Plus en détailTHÈME: «INTÉGRATION DU COMMERCE DES SERVICES DANS LES PLANS NATIONAUX ET RÉGIONAUX DE DÉVELOPPEMENT»
ATELIER UNION AFRICAINE / COMMUNAUTÉS ECONOMIQUE RÉGIONALES SUR LE COMMERCE DES SERVICES EN COLLABORATION AVEC JEICP ET LA BAD 29-30 MARS 2012, LUSAKA (ZAMBIE) THÈME: «INTÉGRATION DU COMMERCE DES SERVICES
Plus en détailMardi 23 octobre 2007. Séminaire. Schumann-bourse
Mardi 23 octobre 2007 Séminaire Schumann-bourse La Bourse : environnement économique et monétaire Définition de la bourse et de son rôle dans l'économie Influence des taux d'intérêts Déterminer les cycles
Plus en détailB. Le rapprochement bancaire
D autres signataires peuvent éventuellement être désignés mais il n est pas prudent de multiplier inconsidérément le nombre de personnes habilitées à effectuer des règlements sur le compte du comité d
Plus en détailEVALUATION FINALE SEN/024. Programme d Appui à la Mise en Œuvre de la Réforme de l Enseignement technique et Formation professionnelle
EVALUATION FINALE SEN/024 Programme d Appui à la Mise en Œuvre de la Réforme de l Enseignement technique et Formation professionnelle FICHE SYNTHETIQUE Pays Titre long du projet Titre court du projet Code
Plus en détailObservatoire des Fonctions Publiques Africaines (OFPA)
Observatoire des Fonctions Publiques Africaines (OFPA) PLACE ET RÔLE DE L ADMINISTRATION - DE LA FONCTION PUBLIQUE - DANS LA MISE EN ŒUVRE DES MISSIONS DE L ETAT ET DE LA VISION NATIONALE DE DEVELOPPEMENT
Plus en détailCOMPOSANTE 3 Objectif 3.C
TERMES DE RÉFÉRENCE POUR LE RECRUTEMENT D UN CABINET POUR LE DÉVELOPPEMENT DE LA PLATEFORME DE GESTION DES CONNAISSANCES POUR LA REFORME DE LA GOUVERNANCE COMPOSANTE 3 Objectif 3.C Sous-objectif 3.C.02
Plus en détailFonds monétaire international 2006 Aout 2006 Rapport du FMI no 06/321
Fonds monétaire international 2006 Aout 2006 Rapport du FMI no 06/321 Communauté économique et monétaire de l Afrique centrale Évaluation de la stabilité du système financier et rapports d observation
Plus en détailLa boite à outils du dirigeant, Dispositif packagé ou modularisable en fonction des besoins
La boite à outils du dirigeant, Dispositif packagé ou modularisable en fonction des besoins Durée : Minimum 14h Maximum 182h (Ce choix permet de valider 10% du Titre de niveau II «chef d entreprise développeur
Plus en détailDYNAMIQUE DE GROUPE et EFFICACITE COLLECTIVE
DYNAMIQUE DE GROUPE et EFFICACITE COLLECTIVE CONTENU Journée 1 matin : Communication et efficacité de travail de groupe. - Approche de la communication en groupe et de ses effets sur les modes de participation,
Plus en détailTERMES DE REFERENCE POUR LE RECRUTEMENT CONSULTANT POUR LA MISE EN ŒUVRE DE LA STRATEGIE DE MISE EN PLACE DU LMS
TERMES DE REFERENCE POUR LE RECRUTEMENT CONSULTANT POUR LA MISE EN ŒUVRE DE LA STRATEGIE DE MISE EN PLACE DU LMS (Learning Management System) DU CENTRE DE FORMATION POUR LE DEVELOPPEMENT CFD/MADAGASCAR
Plus en détailCPOM 2013-2018. Guide méthodologique d élaboration et de suivi des contrats pluriannuels d objectifs et de moyens en Ile-de-France
CPOM 2013-2018 Guide méthodologique d élaboration et de suivi des contrats pluriannuels d objectifs et de moyens en Ile-de-France FICHE D AIDE AU DIAGNOSTIC ET A LA NEGOCIATION Annexe 2 Moyens Volet 3
Plus en détailExpert(e) International(e) en santé publique Délégué(e) à la co-gestion de la composante «Appui à la demande de soins» Sénégal
Agence belge de développement, la CTB mobilise ses ressources et son expertise pour éliminer la pauvreté dans le monde. Contribuant aux efforts de la Communauté internationale, la CTB agit pour une société
Plus en détailEVALUATION DE LA GESTION DES FINANCES PUBLIQUES AU MALI SELON LA METHODOLOGIE PEFA. Rapport sur la performance de la gestion des finances publiques
EVALUATION DE LA GESTION DES FINANCES PUBLIQUES AU MALI SELON LA METHODOLOGIE PEFA Rapport sur la performance de la gestion des finances publiques Version définitive du 28 juin 2011 Rapport élaboré par
Plus en détailTout dossier client est affecté à un binôme leader 1 / assistante :
Assistance administrative et financière Intuitae vous propose de prendre en charge vos problématiques administratives, comptables et financières : collecte et classement de vos documents administratifs,
Plus en détailAnnexe 1. Stratégie de gestion de la dette 2014 2015. Objectif
Annexe 1 Stratégie de gestion de la dette 2014 2015 Objectif La Stratégie de gestion de la dette énonce les objectifs, la stratégie et les plans du gouvernement du Canada au chapitre de la gestion de ses
Plus en détailGert Van Der Linde. Conférence de l'icgfm, 1-5 Juin 2015 La GFP, le fondement de la gouvernance publique
Gert Van Der Linde Spécialiste en chef, Gestion de la trésorerie La mondiale, région Afrique Conférence de l'icgfm, 1-5 Juin 2015 La GFP, le fondement de la gouvernance publique 1 Problèmes affectant la
Plus en détailNote sur la simplification de l instruction budgétaire et comptable M14
Note sur la simplification de l instruction budgétaire et comptable M14 L instruction budgétaire et comptable M14 est appliquée aux collectivités locales depuis 1997 soit bientôt près de dix ans. Elle
Plus en détailTraduction de la lettre d introduction. 23 janvier 2015. Chères Mme. Peters et Mme. Moreno Fernandez,
Traduction de la lettre d introduction 23 janvier 2015 Chères Mme. Peters et Mme. Moreno Fernandez, Au nom de l Entité des Nations Unies pour l'égalité des sexes et l'autonomisation des femmes (ONU ),
Plus en détailProgramme de formation. «S organiser à plusieurs pour développer et mettre en œuvre son projet artistique»
Intitulé de la formation Programme de formation «S organiser à plusieurs pour développer et mettre en œuvre son projet artistique» Organisateur Organisme de formation : ARMETI : Email : armetiformations@gmail.com
Plus en détailREGLEMENT ET CRITERES DU CONCOURS DE PROJETS 4.2 PROGRAMME DE PETITES INITIATIVES (PPI)
REGLEMENT ET CRITERES DU CONCOURS DE PROJETS 4.2 PROGRAMME DE PETITES INITIATIVES (PPI) 1. PRESENTATION DU PROGRAMME Le Fonds Français pour l Environnement Mondial (FFEM) lance une quatrième phase du Programme
Plus en détailNOTE D INFORMATION N 127 À substituer à la note d information n 106 LA ZONE FRANC
NOTE D INFORMATION N 127 À substituer à la note d information n 106 LA ZONE FRANC La Zone franc constitue un espace monétaire, économique et culturel sans équivalent dans le monde. Cet ensemble, formé
Plus en détailFORMATION D EXPERTS REGIONAUX POUR UNE GESTION DURABLE DES FORETS DU BASSIN DU CONGO
ANNEE UNIVERSITAIRE 2005-2006 FORMATION D EXPERTS REGIONAUX POUR UNE GESTION DURABLE DES FORETS DU BASSIN DU CONGO Informations générales, conditions d admission, frais de participation et dossier de candidature.
Plus en détailLa comptabilité de gestion : Fiche pourquoi?
La comptabilité de gestion : Fiche pourquoi? 1 Définition Selon le plan comptable général, la comptabilité de gestion fait apparaître deux aspects : Connaître les coûts et les résultats par produit. Agir
Plus en détailGuide synthétique de la comptabilité des dépenses engagées
Guide synthétique de la comptabilité des dépenses engagées La tenue de la comptabilité d engagement ou comptabilité administrative est de la responsabilité de l exécutif de la collectivité. Le CGCT prévoit
Plus en détailDocteur Bendeddouche Badis Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Directeur EP SNV
Docteur Bendeddouche Badis Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Directeur EP SNV 1 CONTEXTE EN ALGERIE Recrudescence des TIA HACCP obligatoire depuis 2010 Mise à niveau
Plus en détailLA COMPTABILITE ASSOCIATIVE
LA COMPTABILITE ASSOCIATIVE 1. Pourquoi une comptabilité? 2. Les principes comptables 3. Le plan comptable associatif 4. La tenue de la comptabilité CDOS90-Formations/Juin 2009 1 1 1. POURQUOI UNE COMPTABILITE?
Plus en détail