COMPTE RENDU REUNION DU 14 novembre 2013

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1 Réunion du Groupe de travail en Sciences du Vivant COMPTE RENDU REUNION DU 14 novembre 2013 Participants Excusés Michel- Ange Amorim U. Paris- Sud, STAPS Christian Auclair ENS Cachan Jacques Bittoun U. Paris- Sud, animation groupe Julie Bernauer INRIA Isabelle Bonnin INRA, Délégation régionale Serge Bobin Doyen Médecine U. PSud Pierre Capy U. Paris- Sud Claude Boucheix INSERM Gilles Chiocchia UVSQ Christian Cave U. PSud resp. Master Pharma Hervé Daniel U. Paris- Sud Claude Chappert FCS, DG Marie- Anne Debily UEVE, resp Master SGO Elli Chatzopoulou INSERM Thierry Doré AgroParisTech Anne Collignon U. Paris- Sud Elisabeth Dufour- Gergam FCS, Dir. déléguée à la formation Bruno Colombo UEVE, resp. Master SGO Didier Dumur Supelec remplacé par MA Debily Anne Flury- Herard CEA François Cottin UEVE, resp. Dpt STAPS Patricio Leboeuf FCS, Dir. délégué à la recherche Jean- François Delfraissy INSERM Jane Lecomte U. Paris- Sud Vivienne Fardeau CEA, INSTN Marianne Lefort INRA, animation groupe Sylvain Fisson UEVE, Dir. Dépt Biologie Loïc Lepiniec INRA Jacques Grassi INSERM Anne Mantel U. Paris- Sud Jean- Marc Grognet CEA Thierry Meinnel CNRS Hervé Guéguen Supelec Bernard Mignotte UVSQ Marc Humbert U. Paris- Sud Marc Pallardy U. Paris- Sud Loïc Josseran UVSQ Gérald Peyroche ENS Cachan Marc Lavielle INRIA Laurent Theodore U. Paris- Sud Pierre Legrain Polytechnique Bertrand Thirion INRIA Franck Lethimonnier Aviesan Christelle Monville U. Evry Val d Essonne Invité Laurence Parmantier INSERM Martin Crespi Pour le projet «3P» Dominique Porquet Doyen Pharma U. Paris- Sud Pascale Pottier AgroParisTech Secrétariat Bruno Robert CEA, Représentant CAC Marie- Noëlle Descamps INRA Claire Rogel- Gaillard INRA Tarek Sharshar UVSQ Régine Trebossen CEA Les points traités sont : 1. La validation du compte rendu de la réunion du 15 octobre 2. La préparation de l AG du 22 novembre 3. Le point d avancement des projets des trois schools 4. La présentation du projet IPS2 (Martin Crespi) 5. Questions diverses Page 1/6

2 1. Validation du compte rendu de la réunion du 15 octobre Le groupe approuve la version du compte rendu diffusée en projet. Le document définitif, accompagné des annexes sera transmis à la FCS pour affichage Préparation de l AG du 22 novembre Une première ébauche d ordre du jour a été travaillée ; les sujets qui seront présentés nécessitent d être discutés ce jour. v Accueil Marianne Lefort et Jacques Bittoun accueilleront les participants et rappelleront l enjeu de la constitution du futur département en sciences de la vie. v Schéma organisationnel de l UP- Say Patricio Leboeuf accepte d intervenir pour présenter l élaboration de l ensemble du schéma organisationnel de la future UPSay, sur la base de ce qui a été présenté lors de l assemblée des directeurs d unités organisée par la FCS le 9 septembre dernier. Puis, un zoom plus particulier sera fait sur le département «Sciences de la vie», comme le décrit la présentation jointe en annexe 2. L intervention ne devrait pas durer plus de 25 pour laisser le temps aux participants de poser des questions sur cette première étape générique. v Vers la création du département «Sciences de la vie» Marianne Lefort précise qu elle fera une présentation construite pour l AG. Elle n a sélectionné que certains d entre eux pour la réunion, de façon à préciser les messages à faire passer ce jour là : le périmètre, la gouvernance et la structuration à mettre en place notamment pour l élaboration de la stratégie partagée du département. Le périmètre des unités associées au département SdV commence à se dessiner, sans pour autant être définitif compte- tenu du taux de réponses (50%) remontées jusqu à présent auprès de la FCS : A la liste des unités pressenties (c est à dire identifiées comme susceptibles d être associées au département) il est prévu d ajouter une indication concernant la localisation future des laboratoires répertoriés (horizon 2020, une fois tous les déménagements prévus réalisés). Ainsi, sur une carte géographique pourraient être visualisés les emplacements futurs et le nombre d unités concernées pour celui- ci ; dans un second temps l indication des effectifs sera importante à faire figurer sur les différents sites. à A ce jour, le périmètre des unités en termes de compétences et expertises (y inclus les effectifs associés) et la connaissance de leur projet à 5 ans (déposé auprès de l AERES récemment), font défaut. Il pourrait être proposé de réaliser un inventaire recensant ces informations et de le diffuser largement auprès des unités du département voire de toutes celles de l UPSay (le terme d inventaire est préféré à celui d annuaire). Cet inventaire devrait aussi permettre de mieux identifier les éléments de structuration des communautés, au- delà 1 Voir le lien : paris- saclay.fr/idex- Paris- Saclay/La- concertation/les- groupes- de- travail- Idex 2 Dans la page «ordre du jour», point 2 : le département Sciences de la vie» Page 2/6

3 du périmètre de l Idex (labex, lidex), notamment les instituts intra- et inter- établissements. Compte- tenu de l intérêt d un tel inventaire pour mieux connaître le paysage SdV de l UPSay et pour favoriser de nouvelles synergies, ce projet mérite d être évoqué lors de l AG. Dans ce contexte, il faudra pouvoir pousser plus loin ce projet et étudier les conditions et modalités de réalisation : trame d enquête pour la réalisation de l inventaire, financement et appui possible de la FCS, échéancier prévisionnel, Au niveau de la gouvernance : Le groupe réitère son attachement à avoir une représentation significative des Directeurs d unité au sein du Conseil de département. Il insiste aussi pour que ceux- ci participent au Conseil en tant que représentant d une communauté (celle qui les a élus) et non au nom de leur seule unité. Ils participent au Conseil de département pour le compte de cette communauté et se font relai de celle- ci auprès du dit Conseil. Ils pré- instruisent aussi à l échelle de la communauté qu ils représentent, les dossiers de fond instruits au sein du Conseil. à C est dans cet esprit qu il est proposé que chaque représentant des DU au Conseil ait un suppléant qui représente un DU d une autre unité de la même communauté. Sur le rôle du département, au delà des missions classiques qui seront rappelées lors de l AG (texte CoPil SdV), il pourrait être mis en avant l intérêt pour tous que soit réalisée collectivement une meilleure analyse de l information délivrée par la FCS puis l UPSay voire par d autres. Ceci permettrait de mieux gérer les réponses aux différents appels à projets et de discuter conjointement des priorités à mettre en avant (le manque de candidatures adaptées lors du récent appel d offres «TP Innovants» de la FCS est un bon exemple des marges de progrès qui peuvent être réalisées pour valoriser les compétences des unités du département). Enjeu de structuration et élaboration de la stratégie partagée du département Sciences de la vie Un groupe de travail s est réuni pour avancer sur la question de la structuration du collectif (>1800). Il a conclu que l organisation des communautés au sein du département n avait pas vocation à être structurelle 3, les unités et les instituts 4 actuels et futurs étant déjà en soi des éléments de structuration importants. Le groupe suggère que l organisation des collectifs soit ajustée en fonction des différents objectifs qui seront fixés (ces objectifs pouvant conduire à des organisations différentes), l objectif premier étant l élaboration d une stratégie partagée 5. Le groupe a identifié plusieurs scénarios pour répondre à cet objectif premier dont un des enjeux est de contribuer collectivement au développement de la notoriété internationale de l UPSay dans le champ des SdV (enjeu de visibilité et d attractivité internationales). C est dans ce contexte qu il suggère que les nouveaux collectifs s organisent pour être parties- prenantes de la dynamique H cf. «synthèse de la discussion du groupe de travail SdV du 5 novembre» 4 Les «Instituts» actuels et futurs aujourd hui recensés : IDEEV(Moulon), I2BC (Gif), INPC (Gif), Institut SIVAAE (Palaiseau), 5 la construction d une stratégie partagée sera l une des premières tâches du département et devra être annoncée en fin de période probatoire (1 er semestre 2016) Page 3/6

4 (1 er pilier : excellence scientifique ; mais aussi les défis sociétaux) et des cercles d influence nationaux et européens 6. En tout état de cause, il est important de bien présenter le cheminement de la réflexion pour faire partager les enjeux identifiés et encourager à initier la réflexion autour des grands axes de programme «Horizon 2020» qui sera lancé le 16 décembre prochain (voir «France Europe 2020» pour la traduction française d Horizon 2020). 3. Point d avancement des projets des 3 schools Elisabeth Dufour- Gergam indique la progression du processus de recensement des «fiches projets» de l ensemble des mentions. Le premier retour des fiches descriptives a permis de mieux identifier les différents partenariats entre établissements. Du côté du MESR, une première version de cadrage sur l accréditation des établissements pour les Licences et les Masters, a été émise. La liste définitive des intitulés de mentions de Master, devrait être disponible d ici fin décembre ou début janvier. La FCS organise ce vendredi 15 novembre une réunion des animateurs de toutes les schools afin de dresser un état des lieux concernant la liste des intitulés de mentions, à ce jour. Il serait encore temps de pointer les absences d intitulés qui pourraient être préjudiciable à la construction d une offre de formation commune, lisible et cohérente. Il est signalé de nouveau qu un intitulé qui apparaît dans la communauté Université Paris- Saclay ne pourra être repris par une mention d établissement en propre. Par ailleurs, des mentions peuvent rester portées par un établissement à condition d être complémentaire et avec des noms différents de ceux de l offre proposée par la future Université Paris- Saclay. v School BMP Gérald Peyroche 7 Un bilan complet des activités est dressé ; celui- ci reprend les missions, l offre de formation Masters et les perspectives pour la school BMP. Dans la page «l offre de formation Master en bref» : les intitulés de mention ne sont pas encore complètement finalisés à ce jour. De même, les effectifs d étudiants pressentis pour la mention «biologie santé» sont à revoir. Une interrogation concernant le rattachement primaire ou secondaire d une mention dans deux schools différentes, persiste. Elisabeth Dufour Gergam rappelle qu une spécialité ne peut être rattachée en principal ou en secondaire, puisqu il n existe plus de spécialité M2 mais des parcours sur deux ans. Dans le cas des mentions «Biologie- santé» de la school BMP et «Biologie intégrative et physiologie» de la school BASE, le fait que des parcours propres à chaque school partagent un même semestre S3 (anciennement M2, hors stage long), n en fait pas pour autant des parcours 6 La pénétration des cercles d influence nationaux et européens a pour objectif de peser sur les futurs appels à projets, au niveau de l ANR comme au niveau de la CE. Il s agit de faire passer les lignes et éléments de langage qui seraient favorables aux collectifs de l UPSay, via différents canaux y inclus à l échelle des Alliances Avisan et Alenvi. 7 Cf. présentation «bilan d activités de la school BMP» Page 4/6

5 identiques : en effet, les constructions pédagogiques des semestres 1 et 2 sont propres à chaque school, différentiant de fait chacun d eux. Laurent Théodore indique qu il n est pas souhaitable que les schools BMP et BASE affichent toutes deux les deux mentions «Biologie intégrative et physiologie» et «Biologie santé». Ce point est acté par tous compte- tenu du point précédent. Ø Dans tous les cas, le groupe pense utile d approfondir collectivement la question de la gouvernance propre à chacune de ces mentions, étant donné les nombreux parcours partageant le semestre 3. Parmi les conséquences de la nomenclature Masters, une difficulté se pose pour deux parcours : «physique et imagerie médicale» et «santé/sciences cliniques en soins». Ceux- ci pourraient faire l objet d une mention spécifique ou être hébergés en tant que parcours dans des mentions existantes, sous réserve d une reconfiguration de l offre au sein de ces mentions. En termes de gouvernance, 80 personnes sont pour l instant identifiées et il reste à structurer la school de façon à permettre une représentation équilibrée des établissements. v School BASE Jane Lecomte et Thierry Doré 8 L exposé de Jane Lecomte met en exergue les éléments guidant la construction des mentions. Pour les 6 mentions détaillées dans la présentation, l effectif figure en haut à droite de chaque page. Ø Une question est soulevée quant à la mise en visibilité de la participation des organismes de recherche aux formations dans les différentes mentions, outre l accueil et la formation des étudiants en stage dans leurs laboratoires. Doivent- ils aussi être considérés comme «co- opérateurs» de formation pour les mentions au sein desquels ils ont un investissement significatif? Quelle place doivent- ils avoir dans la gouvernance de ces mentions? Ces interrogations méritent d être clarifiées à l échelle de l UPSay et explicitées. Les résultats seront déterminants pour développer et amplifier l articulation entre recherche et formation de l UP- Say. v School SPMH Michel- Ange Amorim 9 L état de l offre de formation Master pour cette school est développé dans l annexe jointe. Il reste un travail commun sur les Licences à entreprendre. v Articulation entre cycles de Licence et de Master L articulation entre les deux cycles «Licence» et «Master», reste à travailler collectivement à l échelle du département, en lien avec les trois schools. En effet, la réflexion conduite il y a plusieurs mois avait souligné l intérêt et la pertinence de construire une Licence commune aux trois schools. Ce point devra être approfondi en s appuyant sur la nouvelle nomenclature des licences. v Appel à projets «TP innovants» Pour compléter ce point sur les Schools, Elisabeth Dufour- Gergam fait part des résultats du dernier appel à projets relatif à la mobilisation de plateformes pour la réalisation de TP innovants. Elle informe qu un compte rendu sera prochainement diffusé à ce sujet, tout en soulignant le peu de 8 Cf. présentation «bilan mentions» 9 cf. «état actuel de la réflexion sur l offre de formation Masters de la school SPMH au 14/11/2013» Page 5/6

6 dossiers candidats pour le département SdV. Elle aimerait qu un travail préliminaire soit fait au niveau des schools, de façon à : o bien préparer la réponse aux prochains appels à projets, par exemple en regroupant les projets qui pourraient se faire concurrence, o procéder à l inventaire des différentes plates formes et indiquer les possibilités d accès pour les étudiants de master et doctorat. 4. Présentation du projet 3P 10 Martin Crespi développe les objectifs et le contexte dans lequel le projet a été élaboré. Il souligne que la nouvelle UMR (Institut Plant Sciences Saclay ou IPS2) s inscrit dans le paysage francilien en biologie végétale, avec une communauté complémentaire de celle des dispositifs existants et notamment de l Institut Jean- Pierre Bourgin (IJPB). Les deux Instituts sont d ailleurs parties prenantes du labex SPS. Puis il présente son projet et notamment la demande de financement d un pipeline de phénotypage dynamique et multi- échelle des plantes A l issue de sa présentation, les échanges avec le groupe permettent de noter que : - Cet institut constitue une extension de l observatoire du végétal de l IJPB, dans lequel certains outils de biologie translationnelle (plate forme de tilling, par exemple) manquent actuellement. - La présentation du projet met en avant des défis sociétaux qui semblent bien éloignés de la recherche en cours et à venir, et peuvent paraître quelque peu artificiels. Il est néanmoins argumenté qu une première étape est en cours pour l enjeu «sustainable agriculture» même si, pour l instant, les parcours pour relever certains défis associés à cet enjeu sont encore loin d être définis. 5. Questions diverses La prochaine réunion du groupe «Sciences du vivant» est organisée vendredi 13 décembre à 14 heures, bâtiment 156, salle de réunion du 2 ème étage, à l INRA de Jouy en Josas. Le groupe pourrait accueillir les porteurs des projets PASBC (J.L. Pernodet), PIM (Irène Buvat) ainsi que Matthieu Réfrégiers pour une présentation de la structuration en sciences de la vie à Soleil. 10 L UMR IPS2 dépose le projet suivant : «The 3P project : dynamic and multiscale plant phenotyping pipeline for basic and translational biology» (voir annexe) Page 6/6