CENTRE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE DE LA CONSTRUCTION GUIDE PRATIQUE ET TECHNIQUE DE L ÉCLAIRAGE RÉSIDENTIEL

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "CENTRE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE DE LA CONSTRUCTION GUIDE PRATIQUE ET TECHNIQUE DE L ÉCLAIRAGE RÉSIDENTIEL"

Transcription

1 CENTRE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE DE LA CONSTRUCTION GUIDE PRATIQUE ET TECHNIQUE DE L ÉCLAIRAGE RÉSIDENTIEL 2011

2 CENTRE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE DE LA CONSTRUCTION GUIDE PRATIQUE ET TECHNIQUE DE L ÉCLAIRAGE RÉSIDENTIEL A. Deeyer, P. D Herdt et B. Deroisy (Cetre scietifique et techique de la costructio) B. Roisi, M. Bodart et J. Deltour (Uiversité catholique de Louvai) Documet rédigé das le cadre du projet de recherche ECLOS souteu via le programme Miergibat du Service public de Walloie 2011

3

4 SOMMAIRE 1. INTRODUCTION QU EST-CE QUE L ÉCLAIRAGE? Termiologie et otios de photométrie L éclairage aturel L éclairage artificiel Compositio d u appareil d éclairage QUELLES SONT LES LAMPES ET LUMINAIRES DISPONIBLES? Caractéristiques des lampes Descriptio des différets types de lampes à usage domestique Caractéristiques des lumiaires Les différets types de lumiaires Quelle lampe utiliser das quel lumiaire? Quelle lampe efficace pour remplacer ma lampe? LA GESTION DE L ÉCLAIRAGE Types d actio Stratégies de cotrôle Outils de cotrole LA QUALITÉ DE L ÉCLAIRAGE Le iveau d éclairemet La distributio de la lumière Les ombres gêates L éblouissemet Le redu des couleurs La température de couleur L ÉVALUATION D UNE INSTALLATION Qualité de l éclairage Efficacité éergétique d ue istallatio QUEL ÉCLAIRAGE POUR QUEL LOCAL? La cuisie La salle à mager Le séjour La salle de bais et les toilettes La chambre Hall d etrée, couloirs, escaliers Débarras, cave, buaderie LA CONSTRUCTION NEUVE, SOLUTION IDÉALE POUR UN ÉCLAIRAGE EFFICACE ET ESTHÉTIQUE Mise e œuvre Exemples de ouvelles istallatios COMMENT AMÉLIORER L INSTALLATION D ÉCLAIRAGE EN RÉNOVATION? Le remplacemet des lampes Le remplacemet des lumiaires CONCLUSIONS BIBLIOGRAPHIE

5 1 INTRODUCTION Face aux défis du réchauffemet climatique et de l épuisemet des ressources fossiles, l efficacité éergétique est deveue u des sujets clefs das tous les domaies d activités, y compris le secteur résidetiel. Das ce derier, les besois e éergie sot très variés et l éclairage, après l électroméager, représete ue part o égligeable de la cosommatio électrique des familles. Plusieurs études ot idetifié la part d éergie électrique utilisée pour s éclairer à plus de 10 % de la cosommatio électrique totale d u méage. Pourtat, au cotraire des istallatios de chauffage et de l électroméager, les systèmes d éclairage écoomes e éergie sot peu mis e avat et peu utilisés. Pour ces raisos, ue directive européee prévoyat le retrait progressif du marché (etre 2009 et 2011) des lampes à icadescece, peu efficaces et gourmades e éergie a été votée e Le marché de l éclairage domestique, les habitudes des occupats et les istallatios vot devoir s adapter aux effets de cette directive qui ecourage d autres techologies comme la lampe fluocompacte, l halogèe à recouvremet ifrarouge ou les diodes électrolumiescetes. Souligos aussi que la problématique de l éclairage des logemets est assez complexe. E effet, cotrairemet aux bâtimets idustriels et tertiaires, il existe actuellemet aucue orme i recommadatio quat aux iveaux d éclairemet à atteidre das les habitatios. De plus, les préféreces des habitats variet fortemet e foctio de coditios tat objectives et quatifiables (besoi de plus d éclairemet pour les persoes âgées) que socioculturelles et subjectives (préférece pour u type de lumiaire, pour ue température de couleur, etc.). De ce fait, les architectes et les usagers peiet à istaller u éclairage efficace, cofortable et esthétique das les logemets. L objectif de ce guide est de fourir ue aide à la coceptio et au choix de l istallatio d éclairage. Il aborde la techologie des lampes et des lumiaires existats. Il iforme égalemet sur les puissaces à istaller de maière à ce que la solutio d éclairage soit la plus efficace possible sas toutefois égliger les aspects de cofort et d esthétisme et propose des solutios pour chaque type de local. 4

6 2 QU EST-CE QUE L ÉCLAIRAGE? Fig. 1 Flux lumieux d ue source. 2.1 TERMINOLOGIE ET NOTIONS DE PHOTOMÉTRIE Avat de passer e revue les différets moyes permettat d assurer u éclairage efficace das les logemets, ous rappelos ci-dessous quelques pricipes théoriques de base relatifs à la lumière et à l éclairagisme. Cette sectio a pour seul objectif d itroduire les otios fodametales de termiologie et de photométrie écessaires pour compredre les cocepts abordés das ce guide LE FLUX LUMINEUX Le flux lumieux (F) est la quatité de lumière rayoée par ue source das toutes les directios de l espace. Il s exprime e lumes (symbole : lm). Les valeurs d éclairemet recotrées à l extérieur variet cosidérablemet : de 0,2 lux sous ue uit de pleie lue à lux sous u soleil d été. EXEMPLES Fig. 2 Eclairemet d ue surface. Sol extérieur par uit de pleie lue : 0,2 lx Surface de travail das u bureau : de 300 à 1000 lx Sol extérieur par ciel couvert : de 5000 à lx Sol extérieur par ciel clair : de 7000 à lx Surface perpediculaire au soleil d été : lx L INTENSITÉ LUMINEUSE C est d ue certaie maière la puissace lumieuse qu ue source émet; c est doc sur cette base que les sources lumieuses peuvet être e partie comparées. Deux sources émettat le même flux lumieux doerot, a priori, la même quatité de lumière das la pièce. La otio d itesité lumieuse pred e compte l aspect directioel de la lumière. Elle correspod au flux lumieux émis par uité d agle solide das ue directio doée et s exprime e cadelas (lumes par stéradia; symbole : cd). Fig. 3 Itesité lumieuse d ue source L ÉCLAIREMENT L éclairemet est la quatité de flux lumieux (de lumière) reçue par ue surface. Il est exprimé e lux (ou lm/m²; symbole : lx) : 1 lx = 1 lm/m². 5

7 Fig. 4 Lumiace d ue surface éclairée par ue source. EXEMPLES LA LUMINANCE La lumiace est la seule gradeur réellemet perçue par l œil humai. Elle est directemet liée à l éclairemet rétiie et correspod à la sesatio visuelle de lumiosité créée par ue source ou par ue surface éclairée. Elle représete le rapport etre l itesité de la source das ue directio doée et la surface apparete de cette source. Elle s exprime e cadelas par mètre carré (symbole : cd/m²). Itesité lumieuse Eclairemet Paysage octure : 10-3 cd/m² Lumiace Paysage par pleie lue : 10-2 à 10-1 cd/m² Paysage par ciel couvert : 300 à 5000 cd/m² Lue : 2500 cd/m² L œil humai perçoit des valeurs de lumiace allat d u millième de cd/m² à cd/m². Papier blac au soleil : eviro cd/m² Soleil : 1,5 x 10 9 cd/m² 2.2 L ÉCLAIRAGE NATUREL Depuis toujours, l homme a vécu au rythme des saisos et de l éclairage aturel. Ce est que depuis l apparitio des sources artificielles qu il a étedu so rythme de vie et de travail. Néamois, l éclairage aturel reste u choix prépodérat das ombre de situatios et de modes de vie. Il faut différecier deux types de sources de lumière aturelle : la lumière aturelle directe et la lumière aturelle diffuse. Aisi, le soleil fourit u éclairage direct, puissat et chageat, alors que le ciel est ue source de lumière plutôt diffuse et stable. L utilisatio de l éclairage aturel apporte de ombreux avatages tat physiologiques que psychologiques : la lumière fourie par le soleil et le ciel est rayoée sur tout le spectre, ce qui red la couleur des objets réelle la lumière aturelle e cosomme pas d éergie. La quatité de lumière dispoible varie e foctio du jour de l aée, de l heure et des coditios climatiques; das u certai ombre de cas, la lumière aturelle peut être suffisate pour éclairer coveablemet os itérieurs les ouvertures créées das les bâtimets pour laisser etrer la lumière aturelle sot aussi des sources de visio vers l extérieur, permettat le cotact visuel et reliat les occupats itérieurs au mode extérieur. La lumière aturelle est cepedat pas parfaite : elle chage costammet d itesité et de couleur. Il peut doc être difficile d éclairer, de maière stable, u local uiquemet à l aide de celle-ci elle peut atteidre de très fortes valeurs de lumiace et créer u certai éblouissemet (par exemple, si les rayos directs du soleil péètret das u local). Il pourra doc être écessaire de prévoir des moyes de protectio vis-à-vis de cette source la péétratio des rayos du soleil das u bâtimet peut égalemet etraîer ue surchauffe das les locaux. C est la raiso pour laquelle u système de protectio solaire peut être écessaire das certais cas. 2.3 L ÉCLAIRAGE ARTIFICIEL Depuis l ivetio de l ampoule à icadescece au xix e siècle par Thomas Ediso, l éclairage artificiel s est développé das tous les secteurs : éclairage routier, éclairage des logemets et des bureaux, éclairage décoratif, etc. L éclairage artificiel présete l avatage d être cotiuellemet dispoible, à la coditio d être alimeté e éergie. Quelle que soit l heure du jour ou de la uit, il est possible de s éclairer. Mais l éclairage artificiel a égalemet ses limites car, ayat besoi d éergie pour foctioer, il etraîe uisaces, pollutio et épuisemet des res- 6

8 sources aturelles. De plus, s il est mal utilisé (trop de lumière, flux mal dirigé, etc.), il sera source de pollutio lumieuse, empêchat aisi l observatio de la voûte céleste et dérégulat l écosystème. 2.4 COMPOSITION D UN APPA- REIL D ÉCLAIRAGE U appareil d éclairage se compose de plusieurs élémets : d ue part, la source lumieuse (la lampe) aisi que ses évetuels auxiliaires et, d autre part, le corps du lumiaire LA SOURCE LUMINEUSE La source lumieuse (la lampe) est l élémet de base de l appareil d éclairage. Sas elle, l appareil e peut fourir la lumière écessaire pour éclairer. Les sources de lumière artificielle peuvet être classées e trois catégories selo la techologie utilisée pour produire la lumière : l icadescece, la décharge das u gaz et l électrolumiescece. Nous reviedros plus e détail sur ces techologies au 3.2 (p. 10) LES AUXILIAIRES Certaies lampes requièret l usage d auxiliaires afi de foctioer correctemet. Ces auxiliaires s orgaiset e deux catégories pricipales : les trasformateurs et les ballasts. Le trasformateur est gééralemet utilisé e combiaiso avec des lampes halogèes à très basse tesio (TBT). Il peut être de deux types : (ferro)magétique ou électroique. Le rôle du trasformateur est de fourir à la lampe ue tesio plus faible (gééralemet 12 V pour l halogèe) à partir de la tesio du réseau. U des avatages de l utilisatio de lampes TBT réside das le faible risque d électrocutio (du mois, e ce qui cocere les élémets situés du côté TBT du trasformateur). Notos que les diodes électrolumiescetes (DEL; e aglais : LED) foctioet égalemet e TBT, mais e plus de écessiter u trasformateur, elles doivet être muies d u redresseur car elles foctioet e courat cotiu. Le starter et le ballast sot utilisés e combiaiso avec les lampes à décharge. Il existe des ballasts ferromagétiques qui doivet être accompagés d u starter, et des ballasts électroiques avec starter itégré. Les deux rôles fodametaux de ce couple sot d assurer l allumage de la lampe et de limiter le courat das le tube durat so utilisatio afi d empêcher sa destructio LE CORPS DU LUMINAIRE Le troisième élémet d u appareil d éclairage est le corps du lumiaire. Il cotiet la source lumieuse aisi que les évetuels auxiliaires. So rôle est triple : il dirige, au moye de l optique, la lumière fourie par la source lumieuse vers l espace à éclairer il protège la lampe et les évetuels auxiliaires cotre les iflueces exteres (coups, eau, poussières, etc.) il joue u rôle esthétique particulièremet importat das les applicatios résidetielles de par sa forme, ses couleurs et ses matériaux. Das certais cas, il peut arriver qu aucu corps de lumiaire e soit préset. C est le cas typique de l ampoule ue fixée sur u culot simple. 7

9 3 QUELLES SONT LES LAMPES ET LUMINAIRES DISPONIBLES? EXEMPLES Das les applicatios résidetielles, le choix d u système d éclairage est pricipalemet basé sur des critères esthétiques subjectifs, alors que, das le secteur tertiaire, les critères de choix pricipaux sot foctioels, écoomiques et eviroemetaux. Les lumiaires et lampes utilisés diffèret doc d u cas à l autre. Ce chapitre présete les différet types de lampes et de lumiaires que l o peut retrouver das le secteur résidetiel, et précise les avatages et icovéiets de chacu d eux. 3.1 CARACTÉRISTIQUES DES LAMPES Avat d etamer l aalyse détaillée des lampes utilisées das le logemet, il est bo d expliquer les différets paramètres qui permettet de juger de la qualité d ue lampe. Il s agit du redemet lumieux, de l efficacité lumieuse, de la température de couleur, de l idice de redu des couleurs et de la durée de vie LE RENDEMENT LUMINEUX Il est possible de déduire l efficacité lumieuse d ue lampe (h), ou redemet lumieux, e divisat so flux lumieux F, exprimé e lumes, par sa puissace P, exprimée e watts. L uité du redemet lumieux est le lm/w. Soit : h = F/P [lm/w]. Ue ampoule icadescete stadard de 60 W présetat u flux lumieux de 700 lm a ue efficacité lumieuse de 11,7 lm/w. A flux lumieux équivalet, ue lampe fluocompacte à globe possède ue puissace de 15 W. Cette lampe fourit la même quatité de lumière (700 lm), alors que sa puissace est quatre fois moidre. So efficacité lumieuse est doc quatre fois plus élevée (46,7 lm/w). Depuis 1999, ue directive européee impose ue labellisatio éergétique des lampes à usage domestique. Cette labellisatio se présete sous ue forme comparable à celle des appareils électroméagers (lave-lige, frigo, etc.), à savoir ue étiquette metioat l efficacité de la lampe par u code couleur et ue lettre, A état le plus efficace et G le mois efficace. Cette étiquette doit e pricipe égalemet idiquer le flux lumieux et la puissace de la lampe. La durée de vie peut aussi être stipulée à titre iformatif. Cette labellisatio est foctio de l efficacité lumieuse et de la puissace de la lampe comme le motre la figure 5 (p. 9). Ce graphique fait apparaître que le domaie de classificatio B est très large. E effet, pour ue même puissace, l efficacité de la lampe peut varier pratiquemet du simple au triple, tout e restat das la catégorie B. Il coviet dès lors de se motrer critique lorsqu o choisit ue lampe de classe B. EXEMPLE Ue ampoule halogèe d ue puissace de 30 W muie d u revêtemet ifrarouge (IRC) possède u flux lumieux de 620 lm. Elle a ue efficacité lumieuse de 21 lm/w et appartiet doc à la classe B. Pour u flux lumieux du même ordre de gradeur (610 lm), ue lampe fluocompacte à globe présete ue puissace de 12 W. Elle possède aisi ue efficacité lumieuse de 51 lm/w et se retrouve, elle aussi, das la classe B. Cet exemple motre que, pour ue même labellisatio éergétique, o peut trouver des lampes beaucoup plus efficaces que d autres. Il est doc plus précis de se baser sur l efficacité lumieuse d ue lampe plutôt que sur sa classe. 8

10 Efficacité [lm/w] Classe A Ballast extere Ballast itégré Classe B Limite flux > 6500 lm Fig. 5 Classe d efficacité éergétique des lampes e foctio de leur puissace et de leur efficacité lumieuse Classe C Classe D Classe E Classe F 10 0 Classe G Puissace [W] Toutes les lampes e sot toutefois pas cocerées par la directive de labellisatio. Sot exclues de la labellisatio et e doivet doc pas arborer le label de classe éergétique : les lampes d ue puissace iférieure à 4 W (la plupart des LED) les lampes d u flux lumieux supérieur à 6500 lm les lampes directioelles (spots) les autres lampes plus spécifiques (ampoules de lampes de poche, de fours, etc.) LA TEMPÉRATURE DE COU- LEUR La température de couleur d ue source lumieuse caractérise pricipalemet la couleur de la lumière émise et doc l ambiace lumieuse créée. Elle s exprime e kelvis (K) et correspod à la température à laquelle o devrait porter u corps oir pour qu il émette ue couleur idetique à celle émise par la source L INTENSITÉ LUMINEUSE La otio d itesité lumieuse pred tout so ses lorsqu o parle de spots. E effet, comme l itesité lumieuse est le flux émis par uité d agle solide das ue directio doée, elle est très représetative du caractère directioel du spot. Toutefois, lorsqu o parle d itesité lumieuse, il faut impérativemet predre e compte l agle d ouverture de la lampe. De maière géérale, les fabricats e metioet pas le flux lumieux des lampes de type spot; il peut doc être utile de coaître l agle d ouverture de la lampe et so itesité lumieuse car ces valeurs idiquet la maière dot la lumière sera émise. A puissace égale, plus l agle d ouverture est grad, plus l itesité das l axe pricipal dimiue et meilleur est le redemet K 2700 K 3500 K 5000 K 7500 K K Rouge Chaud Neutre Froid Très froid Glacé Fig. 6 Plage de températures de couleur. O parle de couleurs froides (tirat vers le bleu) lorsque la température de couleur est élevée (supérieure à 5000 K) et de couleurs chaudes (tirat vers le rouge orage) lorsque cette température est iférieure à 3300 K. EXEMPLES DE TEMPÉRATURES DE COULEUR Ampoule icadescete classique : ± 2700 K Lampe halogèe : ± 3000 K Lampe fluorescete : de 2700 à 6000 K Lumière aturelle : de 2000 à plus de K 9

11 ombre d heures de foctioemet de ces lampes avat que 50 % d etres elles e soiet hors service. La otio de hors service peut différer d ue régio du mode à l autre. E Europe, ue lampe est cosidérée comme état hors service lorsqu elle émet plus que 70 % de so flux lumieux iitial (85 % pour les lampes icadescetes). Aux Etats- Uis, ue lampe est cosidérée comme hors service lorsqu elle e foctioe plus, ce qui chage fodametalemet la perceptio de cette otio K 4000 K 5000 K Fig. 7 Tubes de couleur différete : chaud à gauche, eutre au cetre et froid à droite L INDICE DE RENDU DES COULEURS L idice de redu des couleurs (Ra) reflète la maière dot ue source restitue les différetes logueurs d ode du spectre visible, c est-à-dire la précisio avec laquelle les couleurs d u objet serot redues e comparaiso avec ses couleurs sous lumière aturelle. L idice de redu des couleurs s établit sur ue échelle de 0 (médiocre) à 100 (parfait). Ue source caractérisée par u bo idice de redu des couleurs émet ue lumière coteat toutes les couleurs (toutes les logueurs d ode) du spectre visible, restituat aisi la couleur réelle des objets. A cotrario, ue source moochromatique émettra ue lumière e coteat qu ue seule couleur (ue seule logueur d ode). EXEMPLES DE RENDU DES COULEURS (Ra) Lumière du jour : 100 Lampes icadescetes (classiques et halogèes) : ± 100 Lampes fluorescetes (e gééral) : de 60 à 95 Lampes au sodium haute pressio (éclairage routier à tedace moochromatique, exemple même de source lumieuse à mauvais idice de redu des couleurs) : < 25 EXEMPLES DE DURÉE DE VIE TYPE Lampe icadescete classique : 1000 h Spot halogèe à basse tesio : 2000 à 4000 h Lampe fluocompacte : 6000 à h Tube fluorescet : à h 3.2 DESCRIPTION DES DIFFÉ- RENTS TYPES DE LAMPES À USAGE DOMESTIQUE Les lampes sot le premier élémet détermiat d ue istallatio d éclairage. Celle-ci atteidra ue boe efficacité ou o e foctio de la lampe et doc de la techologie utilisée. Le préset paragraphe décrit les différets types de lampes utilisées das les applicatios domestiques et leurs caractéristiques géérales. Cette liste est pas exhaustive car il existe des lampes particulières destiées à des usages spécifiques (lampes pour aquariums, par exemple) L INCANDESCENCE Le pricipe d émissio de lumière par icadescece cosiste e l échauffemet d u filamet par le passage d u courat. Deux types d icadescece sot à distiguer : l icadescece classique et l icadescece halogèe LA DURÉE DE VIE Il existe plusieurs défiitios de la durée de vie d ue lampe. Gééralemet, o parle de la durée de vie moyee d u lot de lampes comme état le LES LAMPES INCANDESCENTES CLASSIQUES Ces lampes sot parmi les plus utilisées das les applicatios résidetielles. Elles existet sous des formes et des tailles diverses (figures 8, 9 et 10). 10

12 Fig. 8 Lampe icadescete à globe. Fig. 9 Lampe icadescete e forme de flamme. Fig. 10 Lampe icadescete de type spot. Pricipe de foctioemet U filamet de tugstèe est chauffé par le passage d u courat et émet aisi de la lumière. Ce filamet est efermé das u globe e verre sous vide ou sous ue atmosphère coteat u gaz spécial. recyclage existe e Belgique pour les lampes icadescetes. Refermat des élémets métalliques, elles e sot pas acceptées das les coteeurs pour verre usagé et doivet par coséquet être traitées comme des déchets méagers classiques. Puissaces et flux lumieux Avatages et icovéiets Les lampes icadescetes classiques existet e différetes gammes de puissaces allat de 25 à plus de 100 W. Leur flux lumieux peut varier de 200 à plus de 1900 lm. Efficacité lumieuse et classificatio éergétique L efficacité des lampes icadescetes est très faible. Elle varie etre 5 et 19 lm/w. Leur classificatio éergétique se situe etre E et G. Les lampes icadescetes présetet u très bo idice de redu des couleurs et existet e u ombre de formes et de tailles très diverses. Elles ot égalemet l avatage de pouvoir être aisémet employées avec u variateur. Leur redemet éergétique est toutefois très faible : près de 95 % de l éergie qu elles cosommet sot trasformés e chaleur, alors que seulemet 5 % sot émis sous forme de lumière. Il faut e outre souliger que ces lampes présetet ue faible durée de vie. Température de couleur et redu des couleurs LES LAMPES INCANDESCENTES HALOGÈNES Les lampes icadescetes émettet ue lumière de couleur d u blac chaud (2700 K). Elles ot, de plus, u excellet redu des couleurs (Ra = 100). Durée de vie La durée de vie des lampes icadescetes est relativemet courte (1000 h) et déped fortemet de la tesio d alimetatio. Filière de récupératio Aucue filière spécifique de récupératio et de Depuis plusieurs aées, l utilisatio de lampes halogèes est e ette augmetatio das le logemet. Ces lampes se répartisset e trois catégories distictes : les spots (230 V ou 12 V), très appréciés de par leur faible taille et leur facilité d ecastremet (figure 11, p. 12) les lampes capsules, de plus e plus utilisées car leur très petite taille permet de ombreuses applicatios (figure 12, p. 12) les miitubes à deux culots, dispoibles e fortes puissaces et pricipalemet utilisés pour les lumiaires extérieurs de type spots et pour les lumiaires itérieurs idirects sur pied (figure 13, p. 12). 11

13 Fig. 11 Spot halogèe. Fig. 12 Lampe halogèe de type capsule. Fig. 13 Miitube halogèe à deux culots. Pricipe de foctioemet Le pricipe de foctioemet des lampes halogèes est pratiquemet idetique à celui des lampes icadescetes classiques. La différece majeure réside das l ajout d u gaz halogèe das le bulbe de la lampe. Ce gaz a pour effet de redéposer le tugstèe du filamet (qui s évapore sous l effet de la chaleur) sur le filamet lui-même, augmetat aisi la durée de vie et empêchat le oircissemet de l ampoule et doc la perte de flux lumieux. Des lampes halogèes à revêtemet ifrarouge (IRC ifrared coatig) sot apparues depuis plusieurs aées sur le marché. Ces lampes itègret u recouvremet spécifique du bulbe qui redirige le rayoemet ifrarouge (chaleur) sur le filamet de maière à le chauffer e utilisat mois d éergie. Le redemet de ces halogèes est doc ettemet supérieur à celui d u halogèe classique (de 20 à 30 %). Puissaces et flux lumieux La puissace des lampes halogèes varie de 5 à 500 W (tube miiature), le flux lumieux état, quat à lui, compris etre 50 et plus de lm. Efficacité lumieuse et classificatio éergétique L efficacité des lampes halogèes est supérieure à celle des lampes icadescetes classiques, bie que, comme elles, la majeure partie de l éergie utilisée soit dissipée sous forme de chaleur. Elle varie de 10 à 12 lm/w pour ue lampe stadard à pratiquemet 30 lm/w pour les lampes IRC. Leur label éergétique varie etre G et B. Température de couleur et redu des couleurs La couleur des lampes halogèes est de l ordre de 3000 K, soit u blac eutre, et leur redu des couleurs est excellet (Ra = 100). Durée de vie La durée de vie des lampes halogèes est variable d u type à l autre et est comprise etre 2000 et 5000 h. D ue maière géérale, les lampes halogèes à très basse tesio de 12 V présetet ue durée de vie supérieure à leurs homologues foctioat e 230 V. Filière de récupératio Comme pour les lampes icadescetes classiques, aucue filière spécifique de récupératio et de recyclage existe e Belgique pour les lampes halogèes. Celles-ci e sot pas acceptées das les coteeurs pour verre usagé et doivet par coséquet être traitées comme des déchets méagers classiques. Avatages et icovéiets Comme les lampes icadescetes, les lampes halogèes possèdet de très bos idices de redu des couleurs et peuvet être facilemet employées avec u variateur. Leur dispoibilité sous forme de capsule les red très itéressates lorsqu o souhaite utiliser des sources lumieuses de petite taille. Les spots halogèes sot égalemet très appréciés pour leur aspect directioel lorsque des objets ou des espaces particuliers doivet être mis e évidece. 12

14 Fig. 14 Lampe à décharge liéaire (tube TL). Fig. 15 Lampe à décharge circulaire. Toutefois, comme pour les lampes icadescetes, les lampes halogèes présetet ue faible efficacité lumieuse et possèdet ue durée de vie assez courte (sauf exceptios) LA DÉCHARGE DANS UN GAZ La décharge das u gaz est ue autre techique permettat l émissio de lumière. Les tubes fluorescets et les lampes fluocompactes sot des lampes d éclairage itérieur qui utiliset le pricipe de la décharge pour produire leur lumière LES TUBES FLUORESCENTS Le tube fluorescet est utilisé depuis le début du xx e siècle das les applicatios idustrielles et résidetielles. Si, par le passé, ils étaiet utilisés à l état brut (à u) et émettaiet qu ue lumière peu cofortable d u to verdâtre, les tubes fluorescets aisi que leurs auxiliaires ot fortemet évolué; la majorité de leurs icovéiets ot été élimiés et la gamme de lumiaires pour le marché résidetiel s est étoffée. Pricipe de foctioemet Le pricipe de foctioemet des tubes fluorescets repose sur l amorçage d ue décharge électrique das u tube coteat u gaz (vapeur de mercure sous basse pressio) par l applicatio d ue tesio etre les deux électrodes situées de part et d autre du tube. Ceci etraîe ue ioisatio du mercure aisi que des collisios etre les électros émis de la cathode vers l aode et les ios du gaz. L éergie dégagée par cette collisio est trasformée e lumière visible par la poudre fluorescete qui recouvre l itérieur du tube. Pour faire foctioer u tube à décharge, il est écessaire d utiliser des auxiliaires qui ot pour rôle d iitier la décharge, mais aussi de la limiter et de la cotrôler. Ces auxiliaires se composet, pour la plus aciee techologie, d u ballast ferromagétique composé pricipalemet d u bobiage autour d u oyau ferreux, et d u starter qui va iitier la décharge. La foctio de ce couple ballast-starter peut aussi être assurée par u ballast électroique (techologie plus récete), qui est plus avatageux car : il iduit ue meilleure efficacité lumieuse du tube so mode de foctioemet à fréquece plus élevée élimie tout phéomèe de scitillemet tel qu observé avec les ballasts ferromagétiques sa forme spécifique compatible avec u variateur offre la possibilité de choisir précisémet la quatité de lumière émise par le tube. Trois grades classes de tubes fluorescets existet : les tubes liéaires T8 (d u diamètre de 8/8 e de pouce, soit 26 mm) les tubes liéaires T5 (d u diamètre de 5/8 e de pouce, soit 16 mm), qui doivet être obligatoiremet utilisés e combiaiso avec u ballast électroique les tubes circulaires (gééralemet e 5/8 e de pouce). Certaies istallatios aciees sot équipées de tubes liéaires T12 (d u diamètre de 12/8 e de pouce, soit 37,5 mm) d ue efficacité lumieuse plus faible et d u mois bo redu des couleurs que les tubes T8. Ces produits e peuvet plus être mis e œuvre et devraiet idéalemet faire l objet d u remplacemet systématique. Puissaces et flux lumieux La puissace de la majorité des tubes à décharge présets sur le marché domestique est comprise etre 14 et 58 W, leur logueur variat e foctio de leur puissace et leur flux lumieux état compris etre 1300 et 5000 lm. 13

15 Efficacité lumieuse et classificatio éergétique Les tubes fluorescets présetet ue très boe efficacité lumieuse variat de 60 à 105 lm/w; leur label éergétique est gééralemet de classe A. Température de couleur et redu des couleurs La température de couleur des tubes à décharge est foctio de la poudre utilisée. Pour les usages domestiques, elle peut varier du blac chaud (2700 K) au blac froid (6700 K). Le spectre de la lumière émise par les lampes à décharge état de type discotiu, la couleur de la lumière émise est détermiée par les rais d éergie les plus importats. Du fait des propriétés de la décharge et de la poudre, il est actuellemet pas possible de produire u spectre de couleurs totalemet cotiu. L idice de redu des couleurs est doc pas parfait, mais reste éamois assez bo (gééralemet de 80 à 95). A oter qu il existe aussi des tubes présetat u redu des couleurs plus faible (de 60 à 70, souvet appelé blac idustriel ou 133 ) qu il coviet d éviter pour l éclairage résidetiel. Durée de vie La durée de vie d u tube fluorescet déped e partie du type de ballast et du type d allumage. Les tubes équipés d u ballast ferromagétique ou électroique à allumage à froid présetet ue durée de vie oscillat etre 8000 et heures e foctio du ombre de cycles d allumage et d extictio. La durée de vie des tubes utilisés e combiaiso avec u ballast électroique à préchauffage est plus importate. Elle peut s élever à près de heures car les électrodes sot chauffées avat d amorcer la décharge, ce qui limite fortemet leur dégradatio. Filière de récupératio E raiso de leur teeur e mercure, les tubes à décharge doivet suivre ue filière de recyclage spécifique et doivet être cosidérés comme apparteat à la catégorie des petits déchets dagereux. Des poits de collecte spécifiques des lampes usagées existet das les parcs à coteeurs. Le système Recupel-LightRec état d applicatio, les commerçats sot das l obligatio de repredre les tubes usagés lors de tout achat de ouveaux tubes. Avatages et icovéiets Les pricipales qualités des tubes fluorescets résidet das leur efficacité éergétique et leur flux lumieux élevé. Leur grade taille est le pricipal frei à leur gééralisatio das le logemet, où les tubes à décharge circulaires, plus compacts, recotret gééralemet plus de succès LES LAMPES ÉCONOMIQUES OU LAMPES FLUOCOMPACTES (CFL) Le secod type de lampes à décharge destiées à u usage itérieur est celui des lampes fluocompactes, qui sot e réalité des tubes fluorescets miiaturisés et recourbés. Ces lampes sot pricipalemet utilisées comme solutio de substitutio aux lampes icadescetes. Pricipe de foctioemet Deux grades familles de lampes fluocompactes sot dispoibles sur le marché : les lampes à ballast itégré, qui ot u culot idetique à celui des lampes icadescetes, de maière à permettre u remplacemet aisé de celles-ci les lampes fluocompactes à ballast extere, qui possèdet u culot bie spécifique et écessitet u ballast extere pour foctioer. Fig. 16 Lampes fluocompactes à ballast itégré (de gauche à droite : tube u, à globe, spot). 14

16 Filière de récupératio Fig. 17 Lampes fluocompactes à ballast extere (de gauche à droite : tube u à simple broche, tube u à double broche). Puissaces dispoibles et flux lumieux La gamme des puissaces dispoibles est très large et s éted de 3 à 23 W pour les lampes à ballast itégré et de 5 à plus de 80 W pour les lampes à ballast extere, les flux lumieux variat de 100 lm à plus de 6000 lm. Efficacité lumieuse et classificatio éergétique Les lampes fluocompactes présetet ue boe efficacité lumieuse allat de 35 à 80 lm/w; leur label éergétique est gééralemet de classe A. Température de couleur et redu des couleurs Comme pour les tubes fluorescets, la couleur des lampes fluocompactes peut varier du blac chaud (2700 K) au blac froid (6500 K). Leur idice de redu des couleurs est élevé et est gééralemet compris etre 80 et 90. Durée de vie La durée de vie des lampes fluocompactes à ballast itégré est eviro huit fois plus élevée que celle des lampes icadescetes (de 6000 à heures cotre 1000 heures pour ces derières). Les lampes fluocompactes à ballast extere ot ue durée de vie ecore supérieure (de 8000 à heures). Comme pour les tubes fluorescets de type TL, la durée de vie de certaies lampes est fortemet ifluecée par le ombre de cycles d allumage et d extictio. Il existe cepedat des lampes spécifiques qui e sot pas ou peu sesibles à ce paramètre, ce qui permet, par exemple, de les commader au moye d u détecteur de présece ou d u autre système et de les utiliser das des situatios iduisat des allumages et extictios fréquets. Les lampes fluocompactes doivet être traitées comme les tubes TL. Coteat quelques milligrammes de mercure, elles e peuvet être cosidérées comme des déchets méagers classiques, mais appartieet à la catégorie des petits déchets dagereux. Des poits de collecte spécifiques pour lampes fluorescetes usagées (tubes TL et lampes fluocompactes) se trouvet das les parcs à coteeurs. Le système Recupel-LightRec état d applicatio, les commerçats ot l obligatio de repredre les lampes usagées lors de tout achat de ouvelles lampes fluocompactes. Avatages et icovéiets Les trois pricipaux avatages des lampes fluocompactes résidet das leur boe efficacité lumieuse, leur compacité et l importate variété de leurs formes qui permettet de les substituer aisémet aux lampes à icadescece. Leurs pricipaux icovéiets sot, pour certaies, le temps écessaire à la mise e régime (avat qu elles e fourisset leur plei flux) et la variatio de couleur (colorshift) à l allumage. Les lampes fluocompactes sot souvet décriées e raiso de leur rayoemet électromagétique trop importat pour l être humai. Différetes études ot cepedat motré qu il y avait aucue craite à avoir face à ue expositio cotiue aux lampes à décharge tat que la distace à la lampe restait supérieure à 30 cetimètres L ÉLECTROLUMINESCENCE L électrolumiescece est u procédé de productio de la lumière qui existe depuis de ombreuses aées déjà. Tout le mode coaît les diodes lumieuses vertes ou rouges de cotrôle des appareils électriques. C est le développemet de la LED (light emittig diode, diode électrolumiescete ou DEL) bleue qui géère ue lumière blache, qui a permis la gééralisatio des LED pour l éclairage itérieur et extérieur. Pricipe de foctioemet La LED est u semi-coducteur associat deux matériaux dot l u présete u excès d électros et l autre u maque d électros. Lorsque cette joctio est soumise à ue différece de tesio, les 15

17 Fig. 18 Diodes électrolumiescetes (DEL). électros e excès passet das la zoe e maque pour s y recombier. Cette recombiaiso géère u rayoemet dot la couleur déped des élémets des matériaux de joctio (voir tableau 1). La lumière blache est émise par combiaiso des couleurs rouge, verte et bleue ou par coversio grâce à ue poudre phosphorescete selo u pricipe semblable à celui mis e œuvre das les tubes fluorescets. Das ce derier cas, la lumière blache est créée à partir d ue LED bleue dot o covertit ue partie du rayoemet e jaue, l autre partie état pas modifiée. La combiaiso du jaue et du bleu doe la lumière blache. Il est à oter que les LED foctioet e courat cotiu et écessitet doc d être coectées à u trasformateur-redresseur qui peut leur être itégré ou o. Puissaces dispoibles et flux lumieux Les LED sot e costate évolutio depuis leur apparitio sur le marché de l éclairage. A ce jour, les puissaces dispoibles vot de 0,007 à 15 W, leur flux lumieux état situé etre 1,5 et 400 lm. Il faut oter que le flux lumieux des LED varie fortemet avec la température : plus celle-ci est élevée, plus faible sera le flux lumieux (et, e coséquece, le redemet). Efficacité lumieuse et classificatio éergétique L efficacité lumieuse des LED varie grademet d u produit à l autre. Elle est toutefois e cotiue augmetatio. A l heure actuelle, il est possible de se procurer des LED émettat ue lumière blache et présetat ue efficacité de 20 à 30 lm/w. De par leur faible puissace, les LED tombet gééralemet hors de la catégorie de classificatio des sources lumieuses mais, le cas échéat, seraiet reprises das les classes B à D. Température de couleur et redu des couleurs Les LED actuellemet dispoibles présetet des températures de couleur variat du chaud (2700 K) au froid (6500 K), leur redemet état meilleur das les couleurs froides et leur redu des couleurs variat de 50 à 80. Durée de vie La durée de vie des LED est très variable e foctio de la température ambiate et de la tesio appliquée. Elle peut aisi varier de 5000 heures à plus de heures. Notos qu u de leurs avatages pricipaux est leur faible sesibilité aux chocs. Filière de récupératio E raiso de leur teeur e métaux rares (idium, gallium, etc.), les LED doivet suivre ue filière de recyclage spécifique et doivet être cosidérées comme apparteat à la catégorie des petits déchets dagereux. Des poits de collecte spécifiques des lampes usa- Tableau 1 Couleur d émissio de la lumière par ue LED e foctio de la compositio de sa joctio. 16 Elémets de la joctio Abréviatio Couleur du rayoemet émis Alumiium-Gallium-Arseic AlGaAs Rouge Alumiium-Idium-Gallium-Phosphore AlIGaP Rouge, orage, jaue Gallium-Arseic-Phosphore GaAsP Rouge, orage, jaue Idium-Gallium-Azote IGaN Vert, bleu

18 gées existet das les parcs à coteeurs. Le système Recupel-LightRec état d applicatio, les commerçats sot das l obligatio de repredre les LED usagées lors de tout achat de ouvelles lampes. Avatages et icovéiets Outre leur très logue durée de vie et leur résistace aux chocs, les LED, état très petites, sot facilemet combiables avec ue optique et s itègret aisémet das diverses applicatios. Elles peuvet géérer ue gamme impressioate de couleurs saturées et, de par leur cotrôle électroique, offret la possibilité de créer u éclairage dyamique aux couleurs chageates. L applicatio gééralisée des LED est toutefois ecore limitée de par leur faible flux lumieux absolu, qui red leur utilisatio foctioelle e éclairage itérieur difficile. Malgré u prix élevé, les LED trouvet tout leur itérêt das des applicatios spécifiques telles que la sigalisatio, l éclairage extérieur et l éclairage architectural. Leur développemet s avérat toutefois particulièremet rapide, de ouvelles sources lumieuses apparaisset costammet sur le marché. Notos aussi qu il existe actuellemet aucue véritable orme de mesure i doées précises relatives aux LED. Cette situatio iduit quelques cofusios : la durée de vie des LED est pas toujours clairemet explicitée et il est écessaire de se reseiger sur leur flux lumieux e fi de vie il est pas rare o plus de voir, das les gammes de fabricats peu scrupuleux, des variatios de près de 20 % du flux lumieux sur u même lot, aucue orme e spécifiat les coditios de mesures photométriques des LED certais fabricats spécifiet o pas le flux lumieux e régime, mais le flux lumieux iitial de leur produit. Or, ce flux dimiue de 5 à 10 % das les premières secodes qui suivet l allumage. La valeur metioée est doc pas correcte et e peut être comparée avec celle des autres lampes CONCLUSION De ce descriptif, il ressort que les lampes à décharge fluorescetes à ballast électroique séparé doivet être privilégiées pour réaliser u éclairage efficace (tubes liéaires, circulaires ou lampes fluocompactes). Les lampes à décharge fluocompactes à ballast itere serot reteues das u secod temps (lors d u remplacemet das u lumiaire existat, par exemple). Les lampes icadescetes et halogèes sot, quat à elles, décoseillées e raiso de leur faible efficacité lumieuse. Das l évetualité où le recours aux halogèes est réellemet idispesable, o veillera à choisir des lampes à recouvremet ifrarouge (IRC) présetat u redemet supérieur aux sources halogèes classiques et à icadescece. Les LED sot, à l heure actuelle, pricipalemet utilisées pour le balisage, la décoratio et l éclairage extérieur. Leur applicatio à l itérieur commece à se développer. Elles devraiet, das u futur plus ou mois proche, s itégrer das le logemet à titre d éclairage pricipal. 3.3 CARACTÉRISTIQUES DES LUMINAIRES Avat toute descriptio de lumiaires destiés à l éclairage résidetiel, il est écessaire de rappeler la défiitio de quelques-ues de leurs caractéristiques RENDEMENT DU LUMINAIRE U des rôles des lumiaires état de distribuer das l espace la lumière émise par la source, il est éces- Même si la foctio pricipale du lumiaire est de répartir au mieux la lumière das le local, il costitue lui-même u frei à la diffusio lumieuse. E effet, tout lumiaire absorbe ue partie plus ou mois importate du rayoemet lumieux de la source qu il cotiet. C est la qualité des élémets de l optique qui détermie la quatité de lumière absorbée et doc perdue. Pour cette raiso, la caractéristique optique pricipale d u lumiaire est so redemet lumieux (LOR light output ratio). Celui-ci est défii comme état le rapport du flux lumieux émis par le lumiaire au flux lumieux émis par ses lampes, soit : lu mi aire LOR = F [-]. F lampe Ue distictio supplémetaire tiet à la directio de la lumière émise par le lumiaire. E effet, certais lumiaires émettet ue partie (ou la totalité) de la lumière vers le haut. O cosidère doc séparémet le redemet iférieur et le redemet supérieur d u lumiaire. Ceux-ci sot défiis comme état le rapport etre le flux lumieux iférieur, respectivemet, supérieur émis par le lumiaire et le flux lumieux total de la ou des sources lumieuses DISTRIBUTION LUMINEUSE DU LUMINAIRE 17

19 Fig. 19 Distributio lumieuse des lumiaires. Distributio extesive Distributio itesive Distributio asymétrique saire de décrire commet cette distributio s opère. Pour les gammes professioelles de lumiaires, la distributio lumieuse est spécifiée, das les catalogues techiques, au moye d u diagramme polaire repreat les distributios perpediculaire et parallèle à l axe pricipal du lumiaire. Trois types de distributio sot idetifiés : la distributio extesive, où le faisceau lumieux est large, doat u éclairemet relativemet uiforme la distributio itesive avec u faisceau lumieux étroit, doat u éclairage d accetuatio la distributio asymétrique, qui est utilisée pour éclairer des surfaces verticales comme des murs ou des tableaux. La descriptio de la distributio spatiale du flux lumieux d u lumiaire est, pour les gammes professioelles, souvet dispoible sous format électroique (fichiers photométriques) permettat aisi la modélisatio d ue istallatio d éclairage à l aide de logiciels spécifiques. Ces fichiers photométriques e coceret cepedat pratiquemet que les lumiaires utilisés das le secteur tertiaire. tats et la répartitio de la lumière das le local peut être assez irrégulière ECLAIRAGE INDIRECT L éclairage idirect cosiste à utiliser ue surface (le plus souvet le plafod) vers laquelle la lumière est evoyée et qui va réfléchir cette derière das le local. Ce pricipe a l avatage d offrir u éclairage assez uiforme qui limite les risques d éblouissemet et géère aisi u cofort visuel élevé. La quatité d éclairemet obteue das le local est toutefois fortemet dépedate du coefficiet de réflexio des parois utilisées comme surfaces de réflexio. Fig. 21 Eclairage idirect TYPES D ÉCLAIRAGE O distigue différets types d éclairage e foctio des lumiaires utilisés et de leur placemet ECLAIRAGE DIRECT Das le pricipe de l éclairage direct, la lumière est projetée directemet sur l élémet à éclairer. De ce fait, les puissaces istallées écessaires au cofort visuel sot gééralemet faibles. Toutefois, e foctio de la positio relative des lumiaires, les risques d éblouissemet peuvet être impor- Fig. 20 Eclairage direct. Les puissaces écessaires varierot aisi fortemet d u cas à l autre et pourrot, à éclairemet équivalet, atteidre des valeurs ettemet supérieures à celles utilisées avec des istallatios de type direct. Il faut oter que ce mode d éclairage peut e géérer aucue ombre i cotraste, ce qui a pour effet de redre l espace mootoe et d iduire ue perceptio tridimesioelle des objets plus difficile. Efi, il faut ajouter que les lumiaires à éclairage idirect sot, de par leur géométrie, très sesibles au dépôt de poussières et autres salissures, ce qui etraîe ue réductio rapide de leur efficacité au cours de leur vie ECLAIRAGE MIXTE OU DIRECT-INDIRECT L éclairage mixte réuit les deux types d éclairage précédets. L éclairage direct assure l éclairemet de base, géère le cotraste et crée le relief das le local. L éclairage idirect améliore l uiformité de l éclairemet. Si cette combiai- 18

20 so élimie pas les limites propres à chacu des types d éclairage (risque d éblouissemet direct, forte dépedace vis-à-vis du coefficiet de réflexio des parois, etc.), elle les attéue éamois fortemet. Fig. 22 Eclairage mixte. Fig. 23 Eclairage à deux composates ECLAIRAGE À DEUX COMPO- SANTES Das le cas de l éclairage à deux composates, o utilise deux groupes de lumiaires différets, l u pour réaliser l éclairage gééral du local et le secod pour fourir u éclairage d appoit là où la tâche écessitat ue acuité visuelle doit être exécutée. L avatage de ce type d éclairage est qu il permet, outre ue utilisatio différeciée des lumiaires, ue réductio de la puissace istallée. Sa limitatio tiet au fait qu il peut géérer des cotrastes et des ombres importates si l éclairage d appoit est pas suffisat i uiforme CARACTÉRISTIQUES MÉCA- NIQUES D UN LUMINAIRE Si le rôle pricipal du lumiaire, et plus précisémet de l optique, est de diriger la lumière, l eveloppe peut aussi jouer u rôle de protectio de la lampe et du système électrique. C est aisi qu u système de classificatio des lumiaires a été développé e foctio de leur idice de protectio (IP) cotre la péétratio des corps solides (tableau 2) et de l humidité (tableau 3, p. 20). E ce qui cocere les applicatios résidetielles, les référeces aux idices de protectio coceret pricipalemet l éclairage des salles de bais. E Belgique, le Règlemet gééral des istallatios électriques (RGIE) distigue, das ue salle de bais, différetes zoes où, e foctio de so idice de protectio, u lumiaire peut ou e peut pas être istallé. Ue salle de bais est divisée e quatre zoes pricipales (figure 24, p. 20) e foctio de la proximité de l élémet saitaire (douche ou baigoire) : das le volume 0, les appareils d éclairage alimetés par ue tesio iférieure ou égale à 12 V doivet posséder u idice de protectio IPX7 au miimum. Aucu idice de protectio est requis (IPXX) pour les appareils alimetés par ue tesio iférieure à 6 V das le volume 1, les appareils d éclairage alimetés par ue tesio supérieure ou égale à 12 V doivet posséder u idice de protectio supérieur à IPX4. Comme pour le volume 0, aucu idice de protectio est requis (IPXX) pour les appareils alimetés par ue tesio iférieure à 6 V das le volume 2, les appareils d éclairage alimetés e basse tesio doivet avoir u idice Tableau 2 Idice de protectio des lumiaires cotre les corps solides. Degré de protectio Protectio des persoes Protectio du lumiaire IP1X IP2X IP3X IP4X IP5X IP6X Protégées cotre l accès aux parties dagereuses avec le dos de la mai Protégées cotre l accès aux parties dagereuses avec u doigt Protégées cotre l accès aux parties dagereuses avec u outil Protégées cotre l accès aux parties dagereuses avec u fil Protégé cotre les corps solides étragers d u diamètre supérieur ou égal à 50 mm Protégé cotre les corps solides étragers d u diamètre supérieur ou égal à 12,5 mm Protégé cotre les corps solides étragers d u diamètre supérieur ou égal à 2,5 mm Protégé cotre les corps solides étragers d u diamètre supérieur ou égal à 1,0 mm Protégé cotre la poussière Etache à la poussière 19

21 Tableau 3 Idice de protectio des lumiaires cotre les liquides. Degré de protectio IPX1 IPX2 IPX3 IPX4 IPX5 IPX6 IPX7 Protectio du lumiaire cotre les liquides Protégé cotre les chutes verticales de gouttes d eau Protégé cotre les chutes d eau pour ue icliaiso maximale de 15 Protégé cotre les aspersios d eau e pluie Protégé cotre les projectios d eau Protégé cotre les jets d eau Protégé cotre les paquets de mer Protégé cotre les effets d immersio de protectio de miimum IPX4. Les appareils d éclairage qui e sot pas alimetés e très basse tesio (appareils e 230 V) doivet être placés à ue hauteur miimale de 1,6 m das le volume 3, les appareils d éclairage doivet avoir u idice IPX1 s ils sot alimetés à la tesio du réseau (230 V). S ils sot alimetés e très basse tesio, aucu idice de protectio est requis. A ceci s ajoutet les exigeces relatives au câblage et à la protectio des circuits électriques que ous abordos pas ici. 3.4 LES DIFFÉRENTS TYPES DE LUMINAIRES Différets types de lumiaires peuvet être mis e œuvre das le logemet : plafoiers, lustres ou lumiaires suspedus, appliques murales, spots et dowlights, réglettes liéaires, lumiaires sur pied, lumiaires d appoit et lampes décoratives. Etudios e détail chacu de ces types de lumiaires LE PLAFONNIER Le plafoier est u des lumiaires le plus courammet utilisés pour l éclairage des habitatios. Sa ou ses lampes sot e gééral masquées par u verre diffusat qui répartit assez largemet la lumière das le local. Il est pricipalemet utilisé pour l éclairage gééral et das tous types de locaux (figure 25) LE LUSTRE OU LE LUMINAIRE SUSPENDU Les lustres et lumiaires suspedus sot largemet utilisés das le logemet. Ils jouet souvet u rôle prépodérat das la décoratio du local qu ils éclairet et sot souvet placés au-dessus d ue table. Si, habituellemet, les lumiaires suspedus assuret u éclairage gééral, ils peuvet, das certais cas, fourir u éclairage très localisé et focalisé (figure 26) L APPLIQUE MURALE L applique murale fait, elle aussi, partie itégrate du décor du local et participe e gééral à la créatio d ue ambiace feutrée. Elle costitue raremet l éclairage pricipal. L applique murale est souvet utilisée pour l éclairage d élémets tels que des miroirs (figure 27) LE SPOT ET LE DOWNLIGHT Les spots et les dowlights (littéralemet lumiaires éclairat vers le bas ou spots de plafod) sot gééralemet ecastrés das le plafod et peuvet, de par la distributio de leur flux lumieux, assurer u éclairage gééral du local. Les spots peuvet égalemet être motés sur rail, ce qui assure ue flexibilité de l éclairage (possibilité d ajouter ou Fig. 24 Délimitatio des différets volumes das ue salle de bais. 2,25 m (A < 0,15 m) 2,25 m (A > 0,15 m) A 2,4 m 0,6 m Volume 1 Volume 0 Volume 2 Volume 3 0,6 m 2,4 m 2,25 m (A < 0,15 m) 2,25 m (A > 0,15 m) 2,4 m A 0,6 m Volume 1 Volume 0 0,6 m Volume 2 Volume 3 2,4 m 20

UNIVERSITE MONTESQUIEU BORDEAUX IV. Année universitaire 2006-2007. Semestre 2. Prévisions Financières. Travaux Dirigés - Séances n 4

UNIVERSITE MONTESQUIEU BORDEAUX IV. Année universitaire 2006-2007. Semestre 2. Prévisions Financières. Travaux Dirigés - Séances n 4 UNVERSTE MONTESQUEU BORDEAUX V Licece 3 ère aée Ecoomie - Gestio Aée uiversitaire 2006-2007 Semestre 2 Prévisios Fiacières Travaux Dirigés - Séaces 4 «Les Critères Complémetaires des Choix d vestissemet»

Plus en détail

2 ième partie : MATHÉMATIQUES FINANCIÈRES

2 ième partie : MATHÉMATIQUES FINANCIÈRES 2 ième partie : MATHÉMATIQUES FINANCIÈRES 1. Défiitios L'itérêt est l'idemité que doe au propriétaire d'ue somme d'arget celui qui e a joui pedat u certai temps. Divers élémets itervieet das le calcul

Plus en détail

UNIVERSITÉ DE SFAX École Supérieure de Commerce

UNIVERSITÉ DE SFAX École Supérieure de Commerce UNIVERSITÉ DE SFAX École Supérieure de Commerce Aée Uiversitaire 2003 / 2004 Auditoire : Troisième Aée Études Supérieures Commerciales & Scieces Comptables DÉCISIONS FINANCIÈRES Note de cours N 3 Première

Plus en détail

Chapitre 3 : Transistor bipolaire à jonction

Chapitre 3 : Transistor bipolaire à jonction Chapitre 3 : Trasistor bipolaire à joctio ELEN075 : Electroique Aalogique ELEN075 : Electroique Aalogique / Trasistor bipolaire U aperçu du chapitre 1. Itroductio 2. Trasistor p e mode actif ormal 3. Courats

Plus en détail

La France, à l écoute des entreprises innovantes, propose le meilleur crédit d impôt recherche d Europe

La France, à l écoute des entreprises innovantes, propose le meilleur crédit d impôt recherche d Europe 1/5 Trois objectifs poursuivis par le gouveremet : > améliorer la compétitivité fiscale de la Frace > péreiser les activités de R&D > faire de la Frace u territoire attractif pour l iovatio Les icitatios

Plus en détail

La fibre optique arrive chez vous Devenez acteur de la révolution numérique

La fibre optique arrive chez vous Devenez acteur de la révolution numérique 2 e éditio Edité par l Autorité de régulatio des commuicatios électroiques et des postes RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DÉCEMBRE 2010 La fibre optique arrive chez vous Deveez acteur de la révolutio umérique Petit

Plus en détail

Le marché du café peut être segmenté en fonction de deux modes de production principaux : la torréfaction et la fabrication de café soluble.

Le marché du café peut être segmenté en fonction de deux modes de production principaux : la torréfaction et la fabrication de café soluble. II LE MARCHE DU CAFE 1 L attractivité La segmetatio selo le mode de productio Le marché du café peut être segmeté e foctio de deux modes de productio pricipaux : la torréfactio et la fabricatio de café

Plus en détail

STATISTIQUE : TESTS D HYPOTHESES

STATISTIQUE : TESTS D HYPOTHESES STATISTIQUE : TESTS D HYPOTHESES Préparatio à l Agrégatio Bordeaux Aée 203-204 Jea-Jacques Ruch Table des Matières Chapitre I. Gééralités sur les tests 5. Itroductio 5 2. Pricipe des tests 6 2.a. Méthodologie

Plus en détail

Chapitre 3 : Fonctions d une variable réelle (1)

Chapitre 3 : Fonctions d une variable réelle (1) Uiversités Paris 6 et Paris 7 M1 MEEF Aalyse (UE 3) 2013-2014 Chapitre 3 : Foctios d ue variable réelle (1) 1 Lagage topologique das R Défiitio 1 Soit a u poit de R. U esemble V R est u voisiage de a s

Plus en détail

Statistique descriptive bidimensionnelle

Statistique descriptive bidimensionnelle 1 Statistique descriptive bidimesioelle Statistique descriptive bidimesioelle Résumé Liaisos etre variables quatitatives (corrélatio et uages de poits), qualitatives (cotigece, mosaïque) et de types différets

Plus en détail

3.1 Différences entre ESX 3.5 et ESXi 3.5 au niveau du réseau. Solution Cette section récapitule les différences entre les deux versions.

3.1 Différences entre ESX 3.5 et ESXi 3.5 au niveau du réseau. Solution Cette section récapitule les différences entre les deux versions. 3 Réseau Le réseau costitue u aspect essetiel d u eviroemet virtuel ESX. Il est doc importat de compredre la techologie, y compris ses différets composats et leur coopératio. Das ce chapitre, ous étudios

Plus en détail

Sommaire Chapitre 1 - L interface de Windows 7 9

Sommaire Chapitre 1 - L interface de Windows 7 9 Sommaire Chapitre 1 - L iterface de Widows 7 9 1.1. Utiliser le meu Démarrer et la barre des tâches de Widows 7...11 Démarrer et arrêter des programmes...15 Épigler u programme das la barre des tâches...18

Plus en détail

LES ÉCLIPSES. Éclipser signifie «cacher». Vus depuis la Terre, deux corps célestes peuvent être éclipsés : la Lune et le Soleil.

LES ÉCLIPSES. Éclipser signifie «cacher». Vus depuis la Terre, deux corps célestes peuvent être éclipsés : la Lune et le Soleil. Qu appelle-t-o éclipse? Éclipser sigifie «cacher». Vus depuis la Terre, deu corps célestes peuvet être éclipsés : la Lue et le Soleil. LES ÉCLIPSES Pour qu il ait éclipse, les cetres de la Terre, de la

Plus en détail

20. Algorithmique & Mathématiques

20. Algorithmique & Mathématiques L'éditeur L'éditeur permet à l'utilisateur de saisir les liges de codes d'u programme ou de défiir des foctios. Remarque : O peut saisir directemet des istructios das la cosole Scilab, mais il est plus

Plus en détail

Dénombrement. Chapitre 1. 1.1 Enoncés des exercices

Dénombrement. Chapitre 1. 1.1 Enoncés des exercices Chapitre 1 Déombremet 1.1 Eocés des exercices Exercice 1 L acie système d immatriculatio fraçais était le suivat : chaque plaque avait 4 chiffres, suivis de 2 lettres, puis des 2 uméros du départemet.

Plus en détail

FEUILLE D EXERCICES 17 - PROBABILITÉS SUR UN UNIVERS FINI

FEUILLE D EXERCICES 17 - PROBABILITÉS SUR UN UNIVERS FINI FEUILLE D EXERCICES 7 - PROBABILITÉS SUR UN UNIVERS FINI Exercice - Lacer de dés O lace deux dés à 6 faces équilibrés. Calculer la probabilité d obteir : u double ; ue somme des deux dés égale à 8 ; ue

Plus en détail

Chap. 6 : Les principaux crédits de trésorerie et leur comptabilisation

Chap. 6 : Les principaux crédits de trésorerie et leur comptabilisation 1 / 9 Chap. 6 : Les pricipaux crédits de trésorerie et leur comptabilisatio Le cycle d exploitatio des etreprises (achats stockage productio stockage vetes) peut etraîer des décalages de trésorerie plus

Plus en détail

Deuxième partie : LES CONTRATS D ASSURANCE VIE CLASSIQUES

Deuxième partie : LES CONTRATS D ASSURANCE VIE CLASSIQUES DEUXIEME PARTIE Deuième partie : LES CONTRATS D ASSURANCE VIE CLASSIQUES Chapitre. L assurace de capital différé Chapitre 2. Les opératios de retes Chapitre 3. Les assuraces décès Chapitre 4. Les assuraces

Plus en détail

Statistiques appliquées à la gestion Cours d analyse de donnés Master 1

Statistiques appliquées à la gestion Cours d analyse de donnés Master 1 Aalyse des doées Statistiques appliquées à la gestio Cours d aalyse de doés Master F. SEYTE : Maître de coféreces HDR e scieces écoomiques Uiversité de Motpellier I M. TERRAZA : Professeur de scieces écoomiques

Plus en détail

Consolidation. C r é e r un nouveau classeur. Créer un groupe de travail. Saisir des données dans un groupe

Consolidation. C r é e r un nouveau classeur. Créer un groupe de travail. Saisir des données dans un groupe Cosolidatio La société THEOS, qui commercialise des vis, exerce so activité das trois villes : Paris, Nacy et Nice. Le directeur de la société souhaite cosolider les résultats de ses vetes par ville das

Plus en détail

Faites prospérer vos affaires grâce aux solutions d épargne et de gestion des dettes

Faites prospérer vos affaires grâce aux solutions d épargne et de gestion des dettes Faites prospérer vos affaires grâce aux solutios d éparge et de gestio des dettes Quelques excelletes raisos d offrir des produits bacaires et de fiducie à vos cliets Vous avez la compétece écessaire pour

Plus en détail

Chap. 6 : Les principaux crédits de trésorerie et leur comptabilisation

Chap. 6 : Les principaux crédits de trésorerie et leur comptabilisation Chap. 6 : Les pricipaux crédits de trésorerie et leur comptabilisatio Les etreprises ot souvet besoi de moyes de fiacemet à court terme : elles ot alors recours aux crédits bacaires (découverts bacaires

Plus en détail

Chap. 5 : Les intérêts (Les calculs financiers)

Chap. 5 : Les intérêts (Les calculs financiers) Chap. 5 : Les itérêts (Les calculs fiaciers) Das u cotrat de prêt, le prêteur met à la dispositio de l empruteur, à u taux d itérêt doé, ue somme d arget (le capital) qu il devra rembourser à ue certaie

Plus en détail

Limites des Suites numériques

Limites des Suites numériques Chapitre 2 Limites des Suites umériques Termiale S Ce que dit le programme : CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES Limite fiie ou ifiie d ue suite. Limites et comparaiso. Opératios sur les ites. Comportemet

Plus en détail

Simulations interactives de convertisseurs en électronique de puissance

Simulations interactives de convertisseurs en électronique de puissance Simulatios iteractives de covertisseurs e électroique de puissace Jea-Jacques HUSELSTEIN, Philippe ENII Laboratoire d'électrotechique de Motpellier (LEM) - Uiversité Motpellier II, 079, Place Eugèe Bataillo,

Plus en détail

SÉRIES STATISTIQUES À DEUX VARIABLES

SÉRIES STATISTIQUES À DEUX VARIABLES 1 ) POSITION DU PROBLÈME - VOCABULAIRE A ) DÉFINITION SÉRIES STATISTIQUES À DEUX VARIABLES O cosidère deux variables statistiques umériques x et y observées sur ue même populatio de idividus. O ote x 1

Plus en détail

STRATÉGIE DE REMPLACEMENT DE LUTTE CONTRE LA PUNAISE TERNE DANS LES FRAISERAIES DE L ONTARIO

STRATÉGIE DE REMPLACEMENT DE LUTTE CONTRE LA PUNAISE TERNE DANS LES FRAISERAIES DE L ONTARIO Des résultats du Programme de réductio des risques STRATÉGIE DE REMPLACEMENT DE LUTTE CONTRE LA PUNAISE TERNE DANS LES FRAISERAIES DE L ONTARIO 1. Cotexte La puaise tere Lygus lieolaris (figure 1) est

Plus en détail

Examen final pour Conseiller financier / conseillère financière avec brevet fédéral. Recueil de formules. Auteur: Iwan Brot

Examen final pour Conseiller financier / conseillère financière avec brevet fédéral. Recueil de formules. Auteur: Iwan Brot Exame fial pour Coseiller fiacier / coseillère fiacière avec brevet fédéral Recueil de formules Auteur: Iwa Brot Ce recueil de formules sera mis à dispositio des cadidats, si écessaire. Etat au 1er mars

Plus en détail

Télé OPTIK. Plus spectaculaire que jamais.

Télé OPTIK. Plus spectaculaire que jamais. Télé OPTIK Plus spectaculaire que jamais. Vivez toute la puissace de la télévisio sur IP grâce au réseau OPTIK 1 de TELUS et découvrez-e l extraordiaire potetiel. Télé OPTIK MC vous doe la parfaite maîtrise

Plus en détail

Microscope de mesure sans contact pour inspection et mesures de précision

Microscope de mesure sans contact pour inspection et mesures de précision KESTREL ELITE KESTREL ELITE Microscope de mesure sas cotact pour ispectio et mesures de précisio Microscope à deux axes sas cotact, idéal pour la mesure de caractéristiques 2-D de pièces techiques de petite

Plus en détail

La maladie rénale chronique

La maladie rénale chronique La maladie réale chroique Qu est-ce que cela veut dire pour moi? Natioal Kidey Disease Educatio Program La maladie réale chroique: l essetiel Vous avez été iformé(e) que vous êtes atteit(e) de la maladie

Plus en détail

CARRELER SUR DES SUPPORTS CRITIQUES

CARRELER SUR DES SUPPORTS CRITIQUES CARRELER SUR DES SUPPORTS CRITIQUES 6 5 4 3 1 COMPOSITION DU SYSTÈME Sol. Carrelable rapidemet! Natte de désolidarisatio pour ue applicatio sous u carrelage Faible épaisseur de 0,87 mm seulemet. Uiquemet

Plus en détail

LES MESURES CLÉS DU PROJET DE LOI ÉCONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE

LES MESURES CLÉS DU PROJET DE LOI ÉCONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE LES MESURES CLÉS DU PROJET DE LOI ÉCONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE Qu est-ce que l Écoomie sociale et solidaire? Coopératives Etreprises sociales Scop Fiaceurs sociaux Scic CAE Mutuelles Coopératives d etreprises

Plus en détail

Donnez de la liberté à vos données. BiBOARD. www.biboard.fr

Donnez de la liberté à vos données. BiBOARD. www.biboard.fr Doez de la liberté à vos doées BiBOARD www.biboard.fr Le décisioel pour tous Le décisioel évolue. L etreprise quelle que soit sa taille, a besoi de piloter so activité à l aide d outils simples, fiables,

Plus en détail

RECHERCHE DE CLIENTS simplifiée

RECHERCHE DE CLIENTS simplifiée RECHERCHE DE CLIENTS simplifiée Nous ous occupos d accroître votre clietèle avec le compte Avatage d etreprise Pour trouver des cliets potetiels grâce à u simple compte bacaire Vous cherchez des idées

Plus en détail

Compte Sélect Banque Manuvie Guide du débutant

Compte Sélect Banque Manuvie Guide du débutant GUIDE DU DÉBUTANT Compte Sélect Baque Mauvie Guide du débutat Besoi d aide? Preez quelques miutes pour lire attetivemet votre Guide du cliet. Le préset Guide du débutat vous facilitera l utilisatio de

Plus en détail

Comportement d'une suite

Comportement d'une suite Comportemet d'ue suite I) Approche de "ses de variatio et de ite d'ue suite" : 7 Soit la suite ( ) telle que = 5 ( + ) 2 Représetos graphiquemet la suite das u pla mui d' u repère. Il suffit de placer

Plus en détail

Hareon Solar HR-Mono Panneaux à cellules monocristallines

Hareon Solar HR-Mono Panneaux à cellules monocristallines Paeaux cadrés Hareo Solar HR-Moo Paeaux à cellules moocristallies Hareo Solar Hareo Solar Techology Co., Ltd. a été fodée e 2004 et s'est hissée au rag des plus grads fabricats de wafers siliciumde Chie.

Plus en détail

Renseignements et monitoring. Renseignements commerciaux et de solvabilité sur les entreprises et les particuliers.

Renseignements et monitoring. Renseignements commerciaux et de solvabilité sur les entreprises et les particuliers. Reseigemets et moitorig. Reseigemets commerciaux et de solvabilité sur les etreprises et les particuliers. ENSEMBLE CONTRE LES PERTES. Reseigemets Creditreform. Pour plus de trasparece. Etreteir des rapports

Plus en détail

STATISTIQUE AVANCÉE : MÉTHODES

STATISTIQUE AVANCÉE : MÉTHODES STATISTIQUE AVANCÉE : MÉTHODES NON-PAAMÉTIQUES Ecole Cetrale de Paris Arak S. DALALYAN Table des matières 1 Itroductio 5 2 Modèle de desité 7 2.1 Estimatio par istogrammes............................

Plus en détail

Neolane Message Center. Neolane v6.0

Neolane Message Center. Neolane v6.0 Neolae Message Ceter Neolae v6.0 Ce documet, aisi que le logiciel qu'il décrit, est fouri das le cadre d'u accord de licece et e peut être utilisé ou copié que das les coditios prévues par cet accord.

Plus en détail

One Office Voice Pack Vos appels fixes et mobiles en un seul pack

One Office Voice Pack Vos appels fixes et mobiles en un seul pack Uique! Exteded Fleet Appels illimités vers les uméros Mobistar et les liges fixes! Oe Office Voice Pack Vos appels fixes et mobiles e u seul pack Commuiquez et travaillez e toute liberté Mobistar offre

Plus en détail

14 Chapitre 14. Théorème du point fixe

14 Chapitre 14. Théorème du point fixe Chapitre 14 Chapitre 14. Théorème du poit fixe Si l o examie de plus près les méthodes de Lagrage et de Newto, étudiées au chapitre précédet, elles revieet das leur pricipe à remplacer la résolutio de

Plus en détail

COMMENT ÇA MARCHE GUIDE DE L ENSEIGNANT 9 E ANNÉE

COMMENT ÇA MARCHE GUIDE DE L ENSEIGNANT 9 E ANNÉE GUIDE DE L ENSEIGNANT 9 E ANNÉE TROUSSE PÉDAGOGIQUE 9 E ANNÉE Le préset Guide de l eseigat, qui accompage la trousse pédagogique COMMENT ÇA MARCHE : PRODUCTION D ÉLECTRICITÉ 9 e aée a été coçu à l itetio

Plus en détail

Exercice I ( non spé ) 1/ u 1 = 3 4. 2 3 u 2 4 + 3 9. 19 4 2/ Soit P la propriété : u n + 4. > 0 pour n 1. P est vraie au rang 1 car u 1

Exercice I ( non spé ) 1/ u 1 = 3 4. 2 3 u 2 4 + 3 9. 19 4 2/ Soit P la propriété : u n + 4. > 0 pour n 1. P est vraie au rang 1 car u 1 Bac blac TS Correctio Exercice I ( Spé ) / émotros par récurrece que 5x y = pour tout etier aturel 5x y = 5 8 = La propriété est doc vraie au rag = Supposos que la propriété est vraie jusqu au rag, o a

Plus en détail

sçíêé=ã~áëçå L ABC des fenêtres

sçíêé=ã~áëçå L ABC des fenêtres sçíêé=ã~áëçå CF 58 L ABC des feêtres Les feêtres remplisset ue foctio importate das la maiso. E plus d e rehausser l esthétique, elles permettet d assurer u apport d air frais et la vetilatio, d éclairer

Plus en détail

Etude Spéciale SCORING : UN GRAND PAS EN AVANT POUR LE MICROCRÉDIT?

Etude Spéciale SCORING : UN GRAND PAS EN AVANT POUR LE MICROCRÉDIT? Etude Spéciale o. 7 Javier 2003 SCORING : UN GRAND PAS EN AVANT POUR LE MICROCRÉDIT? MARK SCHNEIDER Le CGAP vous ivite à lui faire part de vos commetaires, de vos rapports et de toute demade d evoid autres

Plus en détail

Les Nombres Parfaits.

Les Nombres Parfaits. Les Nombres Parfaits. Agathe CAGE, Matthieu CABAUSSEL, David LABROUSSE (2 de Lycée MONTAIGNE BORDEAUX) et Alexadre DEVERT, Pierre Damie DESSARPS (TS Lycée SUD MEDOC LETAILLAN MEDOC) La première partie

Plus en détail

[http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 10 juillet 2014 Enoncés 1. Exercice 6 [ 02475 ] [correction] Si n est un entier 2, le rationnel H n =

[http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 10 juillet 2014 Enoncés 1. Exercice 6 [ 02475 ] [correction] Si n est un entier 2, le rationnel H n = [http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 1 juillet 14 Eocés 1 Nombres réels Ratioels et irratioels Exercice 1 [ 9 ] [correctio] Motrer que la somme d u ombre ratioel et d u ombre irratioel est u ombre irratioel.

Plus en détail

Mobile Business. Communiquez efficacement avec vos relations commerciales 09/2012

Mobile Business. Communiquez efficacement avec vos relations commerciales 09/2012 Mobile Busiess Commuiquez efficacemet avec vos relatios commerciales 9040412 09/2012 U choix capital pour mes affaires Pour gérer efficacemet ses affaires, il y a pas de secret : il faut savoir predre

Plus en détail

PageScope Enterprise Suite. Gestion des périphériques de sortie de A à Z. i-solutions PageScope Enterprise Suite

PageScope Enterprise Suite. Gestion des périphériques de sortie de A à Z. i-solutions PageScope Enterprise Suite Eterprise Suite Gestio des périphériques de sortie de A à Z i-solutios Eterprise Suite Eterprise Suite Ue gestio cetralisée, ue admiistratio harmoisée, l'efficacité absolue Le temps est u élémet essetiel

Plus en détail

Gérer les applications

Gérer les applications Gérer les applicatios E parcourat les rayos du Widows Phoe Store, vous serez e mesure de compléter les services de base de votre smartphoe à travers plus de 10 000 applicatios. Gratuites ou payates, ces

Plus en détail

PREPARER SA RETRAITE

PREPARER SA RETRAITE PREPARER SA RETRAITE Combie éparger pour compléter sa retraite? Pour répodre à cette questio, la première étape cosiste à imagier so trai après 65 as. Des postes de dépeses aurot disparu (otammet ceux

Plus en détail

Le chef d entreprise développe les services funéraires de l entreprise, en

Le chef d entreprise développe les services funéraires de l entreprise, en Le chef d etreprise développe les services fuéraires de l etreprise, e assurat lui-même tout ou partie des activités de vete et e ecadrat directemet le persoel techique et commercial et d exploitatio.

Plus en détail

Guide des logiciels de l ordinateur HP Media Center

Guide des logiciels de l ordinateur HP Media Center Guide des logiciels de l ordiateur HP Media Ceter Les garaties des produits et services HP sot exclusivemet présetées das les déclaratios expresses de garatie accompagat ces produits et services. Aucu

Plus en détail

Formation d un ester à partir d un acide et d un alcool

Formation d un ester à partir d un acide et d un alcool CHAPITRE 10 RÉACTINS D ESTÉRIFICATIN ET D HYDRLYSE 1 Formatio d u ester à partir d u acide et d u alcool 1. Nomeclature Acide : R C H Alcool : R H Groupe caractéristique ester : C Formule géérale d u ester

Plus en détail

Logiciel de synchronisation de flotte de baladeurs MP3 / MP4 ou tablettes Androïd

Logiciel de synchronisation de flotte de baladeurs MP3 / MP4 ou tablettes Androïd easylab Le logiciel de gestio de fichiers pour baladeurs et tablettes Visualisatio simplifiée de la flotte Gestio des baladeurs par idividus / classes / groupes / activités Activatio des foctios par simple

Plus en détail

. (b) Si (u n ) est une suite géométrique de raison q, q 1, on obtient : N N, S N = 1 qn+1. n+1 1 S N = 1 1

. (b) Si (u n ) est une suite géométrique de raison q, q 1, on obtient : N N, S N = 1 qn+1. n+1 1 S N = 1 1 Premières propriétés des ombres réels 2 Suites umériques 3 Suites mootoes : à faire 4 Séries umériques 4. Notio de série. Défiitio 4.. Soit (u ) ue suite de ombres réels ou complexes. Pour N N, o ote S

Plus en détail

EXERCICES : DÉNOMBREMENT

EXERCICES : DÉNOMBREMENT Chapitre 7 ECE 1 - Grad Nouméa - 015 EXERCICES : DÉNOMBREMENT LISTES / ARRANGEMENTS Exercice 1 : Le code ativol Pour so vélo, Toto possède u ativol a code. Le code est ue successio de trois chiffres compris

Plus en détail

Convergences 2/2 - le théorème du point fixe - Page 1 sur 9

Convergences 2/2 - le théorème du point fixe - Page 1 sur 9 Au sommaire : Suites extraites Le théorème de Bolzao-Weierstrass La preuve du théorème de Bolzao-Weierstrass3 Foctio K-cotractate4 Le théorème du poit fixe5 La preuve du théorème du poit fixe6 Utilisatios

Plus en détail

S-PENSION. Constituez-vous un capital retraite complémentaire pour demain tout en bénéficiant d avantages fiscaux dès aujourd hui.

S-PENSION. Constituez-vous un capital retraite complémentaire pour demain tout en bénéficiant d avantages fiscaux dès aujourd hui. S-PENSION Costituez-vous u capital retraite complémetaire pour demai tout e bééficiat d avatages fiscaux dès aujourd hui. Sommaire 1. Il est temps de predre l iitiative 4 2. Profitez dès aujourd hui des

Plus en détail

Exo7. Déterminants. = 4(b + c)(c + a)(a + b). c + a c + b 2c Correction. b + a 2b b + c. Exercice 2 ** X a b c a X c b b c X a c b a X

Exo7. Déterminants. = 4(b + c)(c + a)(a + b). c + a c + b 2c Correction. b + a 2b b + c. Exercice 2 ** X a b c a X c b b c X a c b a X Exo7 Détermiats Exercices de Jea-Louis Rouget Retrouver aussi cette fiche sur wwwmaths-fracefr * très facile ** facile *** difficulté moyee **** difficile ***** très difficile I : Icotourable T : pour

Plus en détail

Neolane Leads. Neolane v6.0

Neolane Leads. Neolane v6.0 Neolae Leads Neolae v6.0 Ce documet, aisi que le logiciel qu'il décrit, est fouri das le cadre d'u accord de licece et e peut être utilisé ou copié que das les coditios prévues par cet accord. Cette publicatio

Plus en détail

Séquence 5. La fonction logarithme népérien. Sommaire

Séquence 5. La fonction logarithme népérien. Sommaire Séquece 5 La foctio logarithme épérie Objectifs de la séquece Itroduire ue ouvelle foctio : la foctio logarithme épérie. Coaître les propriétés de cette foctio : sa dérivée, ses variatios, sa courbe, sa

Plus en détail

Un nouvel opérateur de fusion adaptatif. A new adaptive operator of fusion. 1. introduction

Un nouvel opérateur de fusion adaptatif. A new adaptive operator of fusion. 1. introduction A ew adaptive operator of fusio par Fraçois DELMOTTE LAMIH, Uiversité de Valeciees et du Haiaut-Cambrésis, Le Mot Houy, BP 3, 5933 Valeciees CEDEX 9 fdelmott@flore.uiv-valeciees.fr résumé et mots clés

Plus en détail

Chapitre 2 SONDAGE ALEATOIRE SIMPLE OU A PROBABILITES EGALES. 2.1 DEFINITIONS 2.2 SONDAGE ALEATOIRE SIMPLE SANS REMISE (PESR) 2.2.

Chapitre 2 SONDAGE ALEATOIRE SIMPLE OU A PROBABILITES EGALES. 2.1 DEFINITIONS 2.2 SONDAGE ALEATOIRE SIMPLE SANS REMISE (PESR) 2.2. Chapitre 2 SONDAGE ALEATOIRE SIMPLE OU A PROBABILITES EGALES PLAN DU CHAPITRE 2 2.1 DEFINITIONS 2.2 SONDAGE ALEATOIRE SIMPLE SANS REMISE (PESR) 2.2.1 Pla de sodage 2.2.2 Probabilités d iclusio 2.3 SONDAGE

Plus en détail

Université Victor Segalen Bordeaux 2 Institut de Santé Publique, d Épidémiologie et de Développement (ISPED) Campus Numérique SEME

Université Victor Segalen Bordeaux 2 Institut de Santé Publique, d Épidémiologie et de Développement (ISPED) Campus Numérique SEME Uiversité Victor Segale Bordeaux Istitut de Saté Publique, d Épidémiologie et de Développemet (ISPED) Campus Numérique SEME MODULE Pricipaux outils e statistique Versio du 8 août 008 Écrit par : Relu par

Plus en détail

TRANSFERT DE CHARGE DANS UN RÉSEAU DE PROCESSEURS TOTALEMENT CONNECTÉS (*) par Maryse BÉGUIN ( 1 )

TRANSFERT DE CHARGE DANS UN RÉSEAU DE PROCESSEURS TOTALEMENT CONNECTÉS (*) par Maryse BÉGUIN ( 1 ) RAIRO Operatios Research RAIRO Oper. Res. 34 (2000) 99-129 TRANSFERT DE CHARGE DANS UN RÉSEAU DE PROCESSEURS TOTALEMENT CONNECTÉS (*) par Maryse BÉGUIN ( 1 ) Commuiqué par Berard LEMAIRE Résumé. L étude

Plus en détail

Réseaux d ondelettes et réseaux de neurones pour la modélisation statique et dynamique de processus

Réseaux d ondelettes et réseaux de neurones pour la modélisation statique et dynamique de processus Réseaux d odelettes et réseaux de euroes pour la modélisatio statique et dyamique de processus Yacie Oussar To cite this versio: Yacie Oussar. Réseaux d odelettes et réseaux de euroes pour la modélisatio

Plus en détail

LE WMS EXPERT DE LA SUPPLY CHAIN DE DÉTAIL

LE WMS EXPERT DE LA SUPPLY CHAIN DE DÉTAIL LE WMS EXET DE LA SULY HAIN DE DÉTAIL QUELS SNT LES ENJEUX DE LA SULY HAIN? garatir la promesse cliet es derières aées, la distributio coaît ue véritable mutatio avec l évolutio des modes de cosommatio.

Plus en détail

Mécanismes de protection contre les vers

Mécanismes de protection contre les vers Mécaismes de protectio cotre les vers Itroductio Au cours de so évolutio, l Iteret a grademet progressé. Il est passé du réseau reliat quelques cetres de recherche aux États-Uis au réseau actuel reliat

Plus en détail

Augmentation de la demande du produit «P» Prévision d accroître la capacité de production (nécessité d investir) Investissement

Augmentation de la demande du produit «P» Prévision d accroître la capacité de production (nécessité d investir) Investissement Augmetatio de la demade du produit «P» Prévisio d accroître la capacité de productio (écessité d ivestir) Ivestissemet Etude de retabilité du produit «P» Jugemet de l opportuité et de la retabilité du

Plus en détail

Les solutions mi-hypothécaires, mi-bancaires de Manuvie. Guide du conseiller

Les solutions mi-hypothécaires, mi-bancaires de Manuvie. Guide du conseiller Les solutios mi-hypothécaires, mi-bacaires de Mauvie Guide du coseiller 1 2 Table des matières Itroductio... 5 La Baque Mauvie...5 Le compte Mauvie U...5 Le compte Sélect Baque Mauvie...5 1. Les solutios

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE ENERGIE «ECLAIRAGE»

FICHE TECHNIQUE ENERGIE «ECLAIRAGE» FICHE TECHNIQUE ENERGIE «ECLAIRAGE» Sources : syndicat de l éclairage et CNIDEP A. ETAT DE L ART 1. Caractéristiques générales L éclairage a pour vocation : - D assurer de bonnes conditions de travail,

Plus en détail

GUIDE METHODOLOGIQUE INDUSTRIES, OUVREZ VOS PORTES

GUIDE METHODOLOGIQUE INDUSTRIES, OUVREZ VOS PORTES GUIDE METHODOLOGIQUE INDUSTRIES, OUVREZ VOS PORTES SOMMAIRE Les visites d etreprises : pourquoi ouvrir ses portes?.... 8 1.1 Des motivatios variées pour les etreprises... 8 1.2 Les freis à l ouverture

Plus en détail

Dénombrement. Introduction. 1 Cardinaux d'ensembles nis. ECE3 Lycée Carnot. 12 novembre 2010. 1.1 Quelques dénitions

Dénombrement. Introduction. 1 Cardinaux d'ensembles nis. ECE3 Lycée Carnot. 12 novembre 2010. 1.1 Quelques dénitions Déombremet ECE3 Lycée Carot 12 ovembre 2010 Itroductio La combiatoire, sciece du déombremet, sert comme so om l'idique à compter. Il e s'agit bie etedu pas de reveir au stade du CP et d'appredre à compter

Plus en détail

Manuel d initiation à l ordinateur HP Media Center

Manuel d initiation à l ordinateur HP Media Center Mauel d iitiatio à l ordiateur HP Media Ceter Les garaties des produits et services HP sot exclusivemet présetées das les déclaratios expresses accompagat ces produits et services. Aucu élémet de ce documet

Plus en détail

55 - EXEMPLES D UTILISATION DU TABLEUR.

55 - EXEMPLES D UTILISATION DU TABLEUR. 55 - EXEMPLES D UTILISATION DU TABLEUR. CHANTAL MENINI 1. U pla possible Les exemples qui vot suivre sot des pistes possibles et e aucu cas ue présetatio exhaustive. De même je ai pas fait ue étude systématique

Plus en détail

CHAPITRE 2 SÉRIES ENTIÈRES

CHAPITRE 2 SÉRIES ENTIÈRES CHAPITRE 2 SÉRIES ENTIÈRES 2. Séries etières Défiitio 2.. O appelle série etière toute série de foctios ( ) f dot le terme gééral est de la forme f ()=a, où (a ) désige ue suite réelle ou complee et R.

Plus en détail

Principes et Méthodes Statistiques

Principes et Méthodes Statistiques Esimag - 2ème aée 0 1 2 3 4 5 6 7 0 5 10 15 x y Pricipes et Méthodes Statistiques Notes de cours Olivier Gaudoi 2 Table des matières 1 Itroductio 7 1.1 Défiitio et domaies d applicatio de la statistique............

Plus en détail

II LES PROPRIETES DES ESTIMATEURS MCO 1. Rappel : M1 LA REGRESSION : HYPOTHESES ET TESTS Avril 2009

II LES PROPRIETES DES ESTIMATEURS MCO 1. Rappel : M1 LA REGRESSION : HYPOTHESES ET TESTS Avril 2009 M LA REGRESSION : HYPOTHESES ET TESTS Avril 009 I LES HYPOTHESES DE LA MCO. Hypothèses sur la variable explicative a. est o stochastique. b. a des valeurs xes das les différets échatillos. c. Quad ted

Plus en détail

Nous imprimons ce que vous aimez!

Nous imprimons ce que vous aimez! Nous imprimos ce que vous aimez! Persoalisé simple différet Catalogue de produits Tapis stadard tapis logo tapis publicitaire Nous imprimos ce que vous aimez! 2 I JOBET JOBET Vous et vos cliets serez coquis...

Plus en détail

c. Calcul pour une évolution d une proportion entre deux années non consécutives

c. Calcul pour une évolution d une proportion entre deux années non consécutives Calcul des itervalles de cofiace our les EPCV 996-004 - Cas d u ourcetage ou d ue évolutio e oit das la oulatio totale des méages - Cas d u ourcetage ou d ue évolutio das ue sous oulatio das les méages

Plus en détail

Manuel d'utilisation de l'ordinateur portable Sony PCG-C1MHP

Manuel d'utilisation de l'ordinateur portable Sony PCG-C1MHP Mauel d'utilisatio de l'ordiateur portable Soy PCG-C1MHP Commecez par lire ce documet! Commecez par lire ce documet! Avis 2002 Soy Corporatio. Tous droits réservés. Aucue partie du préset mauel et des

Plus en détail

Création et développement d une fonction audit interne*

Création et développement d une fonction audit interne* Créatio et développemet d ue foctio audit itere* Ue démarche e 10 étapes [ Sommaire] Dix étapes pour réussir... 7 Étapes 1 à 4 Défiitio du cadre d itervetio... 9 1 Idetifier les attetes des parties preates...

Plus en détail

for a living planet WWF ZOOM: votre carte de crédit personnalisée

for a living planet WWF ZOOM: votre carte de crédit personnalisée for a livig plaet WWF ZOOM: votre carte de crédit persoalisée Le meilleur pour vous. Le meilleur pour l eviroemet. Ue carte de crédit du WWF. Vous faites u geste e faveur de la ature. Sas frais supplémetaires.

Plus en détail

Working Paper RETAIL RÉGIONAL RESPONSABLE

Working Paper RETAIL RÉGIONAL RESPONSABLE «BANQUE DE DÉTAIL DE MASSE» : COMMENT LES CAISSES D ÉPARGNE EN AFRIQUE, ASIE ET AMÉRIQUE LATINE PEUVENT FOURNIR DES SERVICES ADAPTÉS AUX BESOINS DES POPULATIONS DÉFAVORISÉES Travailler avec les caisses

Plus en détail

Lorsque la sécurisation des paiements par carte bancaire sur Internet conduit à une concurrence entre les banques et les opérateurs de réseau

Lorsque la sécurisation des paiements par carte bancaire sur Internet conduit à une concurrence entre les banques et les opérateurs de réseau Lorsque la sécurisatio des paiemets par carte bacaire sur Iteret coduit à ue cocurrece etre les baques et les opérateurs de réseau David Bouie Das cet article, ous ous iterrogeos sur l issue de la cocurrece

Plus en détail

Module 3 : Inversion de matrices

Module 3 : Inversion de matrices Math Stat Module : Iversio de matrices M Module : Iversio de matrices Uité. Défiitio O e défiira l iverse d ue matrice que si est carrée. O appelle iverse de la matrice carrée toute matrice B telle que

Plus en détail

capital en fin d'année 1 C 0 + T C 0 = C 0 (1 + T) = C 0 r en posant r = 1 + T 2 C 0 r + C 0 r T = C 0 r (1 + T) = C 0 r 2 3 C 0 r 3...

capital en fin d'année 1 C 0 + T C 0 = C 0 (1 + T) = C 0 r en posant r = 1 + T 2 C 0 r + C 0 r T = C 0 r (1 + T) = C 0 r 2 3 C 0 r 3... Applicatios des maths Algèbre fiacière 1. Itérêts composés O place u capital C 0 à u taux auel T a pedat aées. Quelle est la valeur fiale C de ce capital? aée capital e fi d'aée 1 C 0 + T C 0 = C 0 (1

Plus en détail

Université de Bordeaux - Master MIMSE - 2ème année. Scoring. Marie Chavent http://www.math.u-bordeaux.fr/ machaven/ 2014-2015

Université de Bordeaux - Master MIMSE - 2ème année. Scoring. Marie Chavent http://www.math.u-bordeaux.fr/ machaven/ 2014-2015 Uiversité de Bordeaux - Master MIMSE - 2ème aée Scorig Marie Chavet http://www.math.u-bordeaux.fr/ machave/ 2014-2015 1 Itroductio L idée géérale est d affecter ue ote (u score) global à u idividu à partir

Plus en détail

LAMPES FLUORESCENTES BASSE CONSOMMATION A CATHODE FROIDE CCFL

LAMPES FLUORESCENTES BASSE CONSOMMATION A CATHODE FROIDE CCFL LAMPES FLUORESCENTES BASSE CONSOMMATION A CATHODE FROIDE CCFL Economisons notre énergie et sauvons la planète Présentation générale 2013 PRESENTATION I. Principes de fonctionnement d une ampoule basse

Plus en détail

Guide des logiciels installés sur votre ordinateur portable Sony PCG-Z600LEK/HEK

Guide des logiciels installés sur votre ordinateur portable Sony PCG-Z600LEK/HEK Guide des logiciels istallés sur votre ordiateur portable Soy PCG-Z600LEK/HEK Commecez par lire ce documet! Guide des logiciels istallés sur votre ordiateur portable Soy Commecez par lire ce documet! Importat

Plus en détail

Initiation à l analyse factorielle des correspondances

Initiation à l analyse factorielle des correspondances Fiche TD avec le logiciel : tdr620b Iitiatio à l aalyse factorielle des correspodaces A.B. Dufour & M. Royer & J.R. Lobry Das cette fiche, o étudie l Aalyse Factorielle des Correspodaces. Cette techique

Plus en détail

Ouverture à la concurrence du transport ferroviaire de voyageurs

Ouverture à la concurrence du transport ferroviaire de voyageurs Ouverture à la cocurrece du trasport ferroviaire de voyageurs COMPLÉMENTS Claude Abraham Présidet Thomas Revial Fraçois Vielliard Rapporteurs Domiique Auverlot Christie Rayard Coordiateurs Octobre 2011

Plus en détail

Copyright 2001 2006 Hewlett-Packard Development Company, L.P.

Copyright 2001 2006 Hewlett-Packard Development Company, L.P. Guide des logiciels Media Ceter Les garaties des produits et services HP sot exclusivemet présetées das les déclaratios expresses de garatie accompagat ces produits et services. Aucu élémet de ce documet

Plus en détail

Protection de votre réseau d entreprise:

Protection de votre réseau d entreprise: Protectio de votre réseau d etreprise: Que savez-vous exactemet de vos postes fixes et mobiles? White Paper LIVRE BLANC LANDESK: Protectio de votre réseau d etreprise: Que savez-vous exactemet de vos postes

Plus en détail

Les études. Recommandations applicables aux appareils de levage "anciens" dans les ports. Guide Technique

Les études. Recommandations applicables aux appareils de levage anciens dans les ports. Guide Technique es Cetre d Etudes Techiques Maritimes et Fluviales Les études Recommadatios applicables aux appareils de levage "acies" das les ports Guide Techique PM 03.01 Cetre d Etudes Techiques Maritimes et Fluviales

Plus en détail

Cours 5 : ESTIMATION PONCTUELLE

Cours 5 : ESTIMATION PONCTUELLE Cours 5 : ESTIMATION PONCTUELLE A- Gééralités B- Précisio d u estimateur C- Exhaustivité D- iformatio E-estimateur sas biais de variace miimale, estimateur efficace F- Quelques méthode s d estimatio A-

Plus en détail

Les algorithmes de tri

Les algorithmes de tri CONSERVATOIRE NATIONAL DES ARTS ET METIERS PARIS MEMOIRE POUR L'EXAMEN PROBATOIRE e INFORMATIQUE par Nicolas HERVE Les algorithmes de tri Souteu le mai JURY PRESIDENTE : Mme COSTA Sommaire Itroductio....

Plus en détail