Morue 2008 Mer Celtique (Divisions VIIe-k)
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- Flore Chevalier
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1 Morue Mer Celtique (Divisions VIIe-k) Extraits de la fiche CIEM-ACOM, juin Etat du stock/de l exploitation Biomasse féconde par rapport aux limites de Risque par rapport aux limites de Exploitation soutenable par rapport à la production maximale Surpêché par rapport à la valeur cible acceptée Pas de cible définie La biomasse est inférieure à B depuis 2004 ; l estimation la plus récente montre que la quantité de reproducteurs est légèrement supérieure à B lim. La mortalité par pêche a été très élevée à partir du milieu des années 1980 ; elle est en baisse depuis 2002 et est maintenant estimée en dessous de F pa. Les recrutements depuis 2002 sont très inférieurs à la moyenne. Objectifs de gestion : Il n y a pas d objectif de gestion spécifique ni de plan de gestion pour ce stock. En avril, la Commission européenne a adopté une proposition visant à amender le plan de restauration cabillaud (COM() 162 final). Cette proposition de la CE inclut la morue de mer Celtique. Limites d exploitation du stock (considéré isolément) F moyen (2-5) e 1 (millions) Ag Fpa Recrutement Limites d exploitation en relation avec une forte production à long terme et un faible risque de réduction des capacités reproductives : La mortalité par pêche actuelle (F sq =0.67) est très supérieure à la fourchette permettant une forte production à long terme et un faible risque d effondrement du stock. Limites d exploitation en relation avec l approche de : Les limites d exploitation en relation avec l approche de impliquent des débarquements inférieurs à t en 2009, ce qui permettra la restauration de la quantité de reproducteurs à hauteur de B pa (8 800 t) en Recrutement (millions) Diagnostic Stock de géniteurs Stock-Recrutement Géniteurs Fpa 1989 Conclusion sur les limites d exploitation : Le CIEM recommande une réduction de 50% de la mortalité par pêche correspondant à des débarquements de t en 2009 et permettant à la biomasse de reproducteurs d atteindre B pa en La mortalité par pêche correspondante est du niveau de celle permettant une forte production à long terme et un faible risque d effondrement du stock. Géniteurs ('000 t) Sécurité / Faible risque Très fort risque d'effondrement F Historique (2-5) 1990
2 Implications à court terme : [le tableau ci-dessous présente les débarquements et biomasses des reproducteurs (BF) prévus en fonction de diverses mortalités par pêche en 2009 (avec l hypothèse que la mortalité par pêche en est du même ordre que la moyenne , et que les recrutements à venir sont du niveau de la moyenne de la période très récente ( ) [période de très faibles recrutements]. Perspectives pour 2009 Bases: F() = Fsq = F(05-07) = 0.67; R = GM02-06 = millions; BF(2009) = kt; débarquements () = 4.8 kt Scenario Variation Variation % Base F(2009) BF(2010) 2009 %BF 1) effort 2) Capture nulle 0 F= % 0.00 Approche de 4.5 F pa = F sq * % B % 0.51 Production élevée à long terme Par rapport au Status quo 2.8 F (production à long 0.55 terme) % 0.6 F sq * % F sq * % F sq * % 3.6 F sq * % F sq * % F sq % F sq * % Poids en 000 t. Les scénarios en grisé ne sont pas conformes à l approche de. 1) BF 2010 par rapport à BF ) effort 2009 par rapport à effort (sous l hypothèse que l effort est directement proportionnel à la mortalité par pêche). [Le graphe ci-contre illustre les prévisions si, en 2009, la mortalité par pêche actuelle est maintenue au niveau de la moyenne (F status quo) et si la recommandation faite pour ce stock dans le cadre de l approche de est suivie]. Considérations sur la gestion : En 2007 le CIEM recommandait l absence de capture de morue puisque les prévisions indiquaient que seule l absence de capture en permettrait à la quantité de reproducteurs d atteindre B en L avis de cette année recommande une réduction de la mortalité par pêche de 50%, ce qui devrait permettre la restauration du F moyen (2-5) Fpa Stock de géniteurs stock à B pa B en Les résultats de l évaluation du stock effectuée cette année sont globalement cohérents avec ceux obtenus l an dernier en terme de tendance dans l évolution de la mortalité par pêche, de la biomasse féconde et du recrutement. Le principal changement dans la perception du stock est la révision à la hausse de la classe 2006 (+74%) et de la biomasse de géniteurs de 2007 (+14%). De plus, la classe 2006, pour laquelle il avait été fait l an dernier l hypothèse qu elle était du même ordre que la moyenne des recrutements récents, est maintenant estimée plus importante (+67%). Ces nouvelles estimations sont intégrées cette année dans les prévisions de captures pour 2009 et de biomasse pour DF$Captures Prévisions - en violet : maintien de la pression de pêche actuelle (status quo F) - en vert : recommandation sur une base biologique (restaurer la quantité de géniteurs) et sans considération pluri-spécifique 2010 DF$Annee
3 La zone concernée par la présente évaluation couvre les divisions VIIe-k et l avis du CIEM s applique seulement à ces secteurs ; cependant le TAC est fixé pour les divisions VIIb-k, les sous aires VIII, IX, X et CECAF A l intérieur de cette grande zone, il n existe pas de contrôle sur l origine des captures. Les mesures de gestion applicables à la morue des divisions VIIe-k sont fixées en prenant en compte également l'état du stock de morue de la division VIId [stock de mer du Nord] et des divisions VIIbc. Quelles que soient les mesures de gestion mises en place, elles doivent être cohérentes entre les zones. La morue des divisions VIIe-k est capturée par diverses pêcheries : chalutiers ciblant les gadidés, langoustiniers, chalutiers à perche et fileyeurs. Les autres espèces commerciales capturées par ces pêcheries sont l églefin, le merlan, la langoustine, la plie, la sole, les baudroies, le merlu, la cardine et les élasmobranches. Il a pu exister des sous-déclarations de débarquements pour certaines flottilles. Il est possible que l introduction de la loi sur les vendeurs et acheteurs en Grande-Bretagne et en Irlande ait réduit ces sous-déclarations ; il est également possible que cette loi ait conduit à une augmentation des rejets. Des mesures conduisant à la diminution des rejets et à l amélioration du diagramme d exploitation doivent être encouragées. Cela peut inclure des modifications spatio-temporelles des pratiques de pêche ou des mesures techniques. Ces mesures devront être évaluées en tenant compte des autres espèces capturées dans ces pêcheries mixtes. La composition démographique des débarquements de ce stock montre depuis des années une majorité de jeunes morues (structure tronquée). L historique de la dynamique de la morue de mer Celtique a été dominé par les fluctuations du recrutement : le stock a augmenté dans le passé grâce à quelques bons recrutements et a rapidement diminué suite à de faibles recrutements. Les recrutements récents sont faibles. La mortalité par pêche devrait être réduite durablement pour maximiser la contribution des recrutements à la future biomasse de reproducteurs ainsi qu aux débarquements et réduire les risques pour [pour la durabilité de l exploitation] du stock. Les reports d effort de pêche en provenance de zones soumises à régulation (Division VIIa, zones VI et IV) pourraient contrarier les mesures prises pour réduire la mortalité par pêche de la morue en mer Celtique. Considérations sur les écosystèmes : La morue en mer Celtique est en limite sud de la zone de répartition de l espèce dans le Nord-Est Atlantique. Il est connu qu en limite sud de répartition, le recrutement a tendance à décroître dans les eaux plus chaudes (supérieure à 8.5 C) et que la morue est absente des eaux de température supérieure à 12 C. La morue de mer Celtique a un taux de croissance plus élevé et une maturité sexuelle plus précoce que ceux observés pour d autres stocks de morue. Dans le passé, des études par marquages n ont apporté aucune preuve de sortie de morue hors de la division VIIe, où il semble qu il n y est que des migrations de la côte vers le large, entre les épaves et les récifs profonds en été et les zones de ponte côtière en hiver. Des marquages effectués dans le passé en mer d Irlande suggèrent que seule une faible partie des débarquements de morue de mer Celtique est constituée de poissons s étant reproduits en mer d Irlande. Facteurs influençant les pêcheries et le stock La morue des divisions VIIe-k est capturée par diverses pêcheries chalutières ciblant un mélange d espèces. Les débarquements sont principalement le fait de chalutiers français ciblant les gadidés qui, avant 1980, pêchaient le merlu en mer Celtique. Les débarquements de morue des langoustiniers français ont représenté entre 10 et 20% des débarquements français de morue provenant de cette zone. Depuis 1998, les débarquements irlandais représentaient en moyenne 14% du total ; cette part a atteint environ 28% ces trois dernières années. Le Royaume-Uni et la Belgique contribuent à hauteur de 9% et 4% respectivement. Les débarquements ont lieu toute l année, mais principalement en hiver (novembre-avril), avec un pic de captures en février-mars. Depuis 1999, l effort de pêche français a fortement diminué : de 50% pour l ensemble des chalutiers et de 65% pour la flottille ciblant les gadidés au cours du premier trimestre. Cette diminution est davantage due à une diminution du nombre de navires qu à une réduction du temps de pêche moyen par navire. Les effets de la réglementation : En 2005 et 2006 [et en 2007 aussi!] une partie de la mer Celtique a été fermée temporairement (box de Trevose) au cours du premier trimestre. L impact de cette fermeture a été évalué par le CIEM l an dernier en réponse à une demande de la Commission européenne mais il n est pas possible de séparer l impact direct du box de Trevose sur l état du stock de morue de mer Celtique des autres facteurs. Les reports d activité hors des zones de concentration ont conduit à une diminution de la mortalité par pêche sur les morues matures durant la saison de reproduction. La fermeture a entraîné une réduction de l effort de pêche des navires français ciblant les gadidés. Les mesures techniques qui s appliquent à ce stock consistent en un maillage minimal pour les chaluts de fond et les chaluts à perche, et une taille minimale au débarquement de 35 cm. Il existe une taille minimale de 40 cm pour les chalutiers belges débarquant en Belgique. La taille minimale n empêche pas les captures de petites morues (et leurs rejets), mais doit empêcher le ciblage de ces morues immatures. Des observations effectuées à bord des navires professionnels indiquent que les rejets sont importants et variables. Ils peuvent atteindre 40-60% (en nombre) de la capture de morue. Ces rejets étaient principalement constitués de poissons sous-tailles, jusqu à ce que le sur-tri [high-grading] se généralise très récemment.
4 La plus importante modification dans l exploitation du stock a été la généralisation du sur-tri [high-grading] et des rejets en réponse à des quotas plus restrictifs depuis Le sur-tri a eu lieu dans les pêcheries françaises depuis 2003 et britanniques en Suite au dépassement de quota, l ensemble des captures françaises a été rejeté au 4 ème trimestre 2002, et irlandaises au cours des deux derniers trimestres de l année Il est fort probable que cela se reproduise en car, à la mi-mars, environ 80% du quota irlandais avait été capturé. Bases scientifiques : Données et méthodes : L évaluation du stock repose sur les débarquements, les indices d abondance provenant de trois campagnes scientifiques et sur quatre séries de CPUE commerciales. Les rejets ne sont pas inclus dans l évaluation mais une correction a été effectuée pour tenir compte du sur-tri dans les pêcheries françaises en Information provenant des professionnels : Les professionnels de la pêche ont mis en place un certain nombre d initiatives pour tenter d améliorer la qualité des informations de base sur ce stock. Les professionnels français ont débuté un programme d auto-échantillonnage en. Les britanniques, en partenariat avec les scientifiques du CEFAS, ont mis à disposition des informations sur les compositions en âge des captures, montrant que les principaux signaux sur l abondance des classes d âge apparaissent bien dans l évaluation du stock. Les professionnels irlandais participent à deux projets de coopération sur le marquage et la mise au point d une nouvelle campagne dédiée. Les professionnels français, anglais et irlandais rapportent que la morue est abondante et largement distribuée en mer Celtique aux printemps 2007 et. Ils insistent sur le fait que des quotas très restrictifs conduisent à du sur-tri [high-grading]. Ils s interrogent sur l exactitude des estimations des recrutements récents lors de l évaluation réalisée en Le fait que le TAC soit contraignant a conduit certaines flottilles à éviter les zones où les petites morues sont abondantes. Incertitudes dans l évaluation et les prévisions : Les principales incertitudes de cette évaluation résident dans les données de captures compte tenu de l existence de rejets, de sur-tri et de débarquements non déclarés. Les incertitudes sur les prévisions de capture et de biomasse féconde sont celles de la force des recrutements récents et des hypothèses faites sur le recrutement à venir, ainsi que sur l éventuelle poursuite des pratiques de sur-tri. Comparaison avec les évaluations et avis précédents : Les résultats de la présente évaluation sont cohérents avec ceux obtenus l an dernier, en terme de tendance dans l évolution de la mortalité par pêche, de la biomasse féconde et du recrutement. La principale modification réside dans la révision à la hausse de la classe 2005 (+74%) et de la quantité de reproducteurs estimée pour 2007 (+14%). En 2007 le CIEM recommandait l absence de capture de morue puisque les prévisions indiquaient que seule l absence de capture en permettrait à la quantité de reproducteurs d atteindre B pa en L avis de cette année recommande une réduction de la mortalité par pêche de 50%, ce qui devrait permettre la restauration du stock à B pa en Le CIEM a récemment répondu à une demande de la Commission européenne (DG MARE) de reconsidérer l avis pour. La conclusion est que la révision de la classe 2005 pourrait être envisagée et qu une telle révision demanderait une mise à jour complète de l évaluation. La mise à jour a révisé la classe 2005 à la hausse (+74%) et les prévisions de capture pour 2009 et de biomasse féconde pour 2010 présentées ici en tiennent compte
5 Points de référence biologiques de :Les points de référence B lim et B pa ont été modifiés en Type Value Technical basis B t B = B loss.(b76), la plus faible biomasse de géniteurs estimée lors de l évaluation B t B = B lim * 1.4. Une biomasse au-dessus de cette valeur procure une forte probabilité de maintenir la biomasse de géniteur au-dessus de B lim, en Approche de tenant compte de la variabilité dans la dynamique du stock et des incertitudes dans l évaluation. F lim 0.90 la mortalité par pêche estimée conduire à l effondrement du stock. F pa 0.68 F pa = 5 th percentile of F loss. Cette valeur de F est considérée comme procurant une forte probabilité d éviter F lim et de maintenir la biomasse des géniteurs au-dessus de B pa dans le moyen terme en prenant en compte les incertitudes de l évaluation. Cible F y Non défini. Rendement et biomasse féconde par recrue. Points de référence (F) Rendement/R BF/R Ages 2 5 moyenne ( ) F max F F med Des mortalités par pêche comprises entre F 0.1 (=0.23) et F max (=0.33) peuvent être considérées comme des candidats possibles pour une mortalité cible, cohérente avec une forte production à long terme et un faible risque de réduction des capacités reproductives.
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