DIRECTION DE LA PROTECTION MATERNELLE ET INFANTILE ET PROMOTION DE LA SANTE
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- Bérengère Clément
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1 DIRECTION DE LA PROTECTION MATERNELLE ET INFANTILE ET PROMOTION DE LA SANTE 1 enfant sur 2 de moins de 2 ans suivi en centre de PMI. 34 % des nouveaux-nés (0-30 jours) sont rencontrés à domicile par les puéricultrices de PMI dans le cadre des visites à domicile et 29 % des femmes enceintes rencontrées à domicile par une sage femme de PMI. Près de adolescents rencontrés dans le cadre du programme santé adolescents par les professionnels de la Direction aux sein des établissements scolaires lors d actions collectives sur la vie affective et sexuelle, la prévention des violences sexistes, les addictions alcool / tabac, la santé dentaire, la nutrition et les problèmes liés au surpoids et bien-être. 1. Présentation générale 1.1. Contexte Les missions de la direction de la protection maternelle et infantile et promotion de la santé s exercent en cohérence avec les missions des autres directions du, les orientations départementales prises dans le cadre du projet départemental «Mieux vivre en Val-de-Marne» et du projet pour le service public départemental, la charte petite enfance, le programme départemental de prévention bucco-dentaire, le schéma départemental de prévention et de protection de l enfance et de la jeunesse et le projet éducatif départemental. La PMI a été placée par les lois de décentralisation au cœur des politiques sociales du département. C est un service à vocation universelle qui apporte une valeur ajoutée spécifique à toute la population, du fait de sa capacité à articuler de manière très étroite sanitaire et accompagnement social. Sa spécificité tient à la diversité de ses interventions ; la PMI se situe à la charnière de l individuel et du collectif (consultations dans les centres, interventions à domicile, actions collectives des actions éducatives), des actions de prévention et des actions éducatives. Sa particularité tient également à son approche globale de la santé, à son accessibilité au niveau des territoires au plus près de la population, à la pluridisciplinarité de ses équipes et à l expertise de ses professionnels, ainsi qu à sa place privilégiée dans les dispositifs partenariaux développés avec les communes, les acteurs de santé et du secteur social et les partenaires institutionnels Missions La direction de la protection maternelle et infantile et promotion de la santé est une compétence départementale avec des missions réglementées par la loi n du 18 novembre 1989 relative à la protection et à la promotion de la santé de la famille et de l enfance et des missions issues de la volonté politique départementale. La périnatalité et le suivi de la grossesse et du post partum La direction organise des consultations pré et postnatales et des actions de prévention médico-sociale qui ont pour objet d assurer une surveillance régulière du bon déroulement de la grossesse. Elle organise les visites à domicile effectuées par les sages-femmes qui assurent le suivi de la grossesse ainsi qu un accompagnement des femmes enceintes en y intégrant la dimension psychosociale. Ces actions de prévention s exercent dans le cadre d un travail en réseau avec les maternités, les services de néonatologie et de pédiatrie et les services de pédopsychiatrie. 1
2 Les consultations et actions de prévention médico sociale des enfants de moins de 6 ans La direction propose des consultations médicales et des actions de prévention médico-sociale en faveur des enfants de moins de six ans, des actions de soutien et d accompagnement à la fonction parentale dans le cadre des activités de halte-jeux et des groupes de parole parents-enfants ou de préparation à la naissance, des consultations de psychologues. Elle organise les visites à domicile des puéricultrices qui interviennent le plus souvent dès le premier mois de vie de l enfant. Le service participe aux actions de prévention des mauvais traitements et de prise en charge des mineurs en risque de danger «maltraités» en lien avec le service de l aide sociale à l enfance. La planification et l éducation familiale La direction organise des consultations médicales de gynécologie relatives à la maîtrise de la fécondité, le dépistage des cancers gynécologiques (frottis et mammographie), la préparation à la vie de couple et les entretiens de conseil conjugal et familial, les entretiens préalables à l interruption volontaire de grossesse, le dépistage et le traitement des infections transmises par voie sexuelle, la prévention et le dépistage du virus du Sida. Elle organise la diffusion d informations et d actions individuelles et collectives de prévention portant sur la vie affective et sexuelle des jeunes et l éducation à la santé organisée dans les établissements scolaires collèges et lycées en lien avec l Education nationale. Les modes d accueil La direction assure les missions de surveillance et de contrôle des 250 établissements et services petite enfance accueillant des enfants de moins de six ans ainsi que les fonctions d appui technique et d expertise auprès des promoteurs et des communes dans l élaboration d un projet de création de structure et délivre un avis technique. Elle assure également la mission d agrément des assistants maternels et des assistants familiaux ainsi que leur formation et leur suivi assistants maternels en activité. Elle organise la coordination des admissions dans les crèches collectives à l échelon de chaque ville. La santé des adolescents La direction a, dans le cadre de ces compétences légales, la mission de favoriser et de renforcer les actions de promotion de l éducation à la santé et à la sexualité auprès des adolescents. Le programme «santé des adolescents» contribue à renforcer l efficacité des politiques de prévention engagées autour des questions de la vie affective et sexuelle, le rapport aux corps à l adolescence et la nutrition, les comportements à risque et addictions, les relations garçons/filles. Le programme Nutrition Santé AdolescenceS La direction développe et évalue des programmes de santé publique en faveur des adolescents, notamment le Programme Nutrition Santé AdolescenceS PNSA - qui vise en particulier les collégiens. En 2009, le PNSA s articule autour de trois dispositifs principaux : l éducation critique à la consommation alimentaire, la promotion de la consommation de fruits, le dépistage et la prise en charge des adolescents en surpoids / obèses dans le cadre de groupes d éducation thérapeutique. Depuis 2009, les jeunes en surpoids ou obèses qui s inscrivent dans l un de ces groupes bénéficient également d un suivi médical individualisé. Les interventions sont menées en collaboration étroite avec l Inspection académique (santé scolaire, enseignants et gestionnaires) et les Techniciens et Ouvriers de Service (TOS) du Conseil général travaillant en restauration scolaire, les médecins (Conseil de l Ordre des Médecins, associations de formation médicale continue, services hospitaliers de médecine de l adolescent), la Maison de l Adolescence, le RéPOP (Réseau de Prise en charge de l Obésité Pédiatrique), des villes et des centres sociaux. La conception des dispositifs pédagogiques et la formation des professionnels relais s appuie sur un réseau d expertise : l Institut National d Agronomie, Institut du Goût, Musée des Arts Décoratifs, Mac Val, CDDP. Le service études et évaluation (SEE) conçoit, coordonne et évalue ces interventions. Il conçoit et réalise des études épidémiologiques sur la santé des adolescents en s appuyant sur un réseau d expertise, en particulier l unité INSERM 669 (santé de l adolescent et troubles des comportements alimentaires), le laboratoire de sociologie de l alimentation de l INRA (CORELA), l Unité de Surveillance et d Epidémiologie nutritionnelle (USEN) de l InVS. Les actions de Promotion de la Santé Bucco Dentaire La direction met en œuvre le programme départemental de prévention bucco-dentaire primaire et secondaire, créé en 1991 et élargi aux jeunes de 12 à 18 ans depuis Il intervient dans toutes les 2
3 villes du Département grâce à un partenariat avec les collectivités locales, la CPAM et l Inspection Académique. Il s appuie sur le réseau de soin libéral, de centres de santé et hospitaliers du Département et sur un maillage de santé publique dentaire de la crèche aux collèges en passant par les services santé des villes. La promotion de la santé bucco-dentaire touche aussi au champ du social, avec la gestion médicale de l enveloppe de soins dentaires, en lien avec le service RMI et le soutien apporté au Réseau Social Dentaire sur le territoire d Ivry/Vitry. Toutes ces actions font l objet d une évaluation et d études, points d appui pour des demandes de subventions et des communications. Une journée de santé publique dentaire est organisée annuellement en collaboration avec les acteurs de la santé publique bucco-dentaire. De par ce travail, le service est sollicité par la Haute Autorité de Santé (HAS), le Schéma Régional d Education pour la Santé (SREPS) d Ile-de-France, le comité scientifique d ARCADE de l URCAM. Les actions du bus prévention santé L activité du bus de prévention santé s inscrit dans une démarche globale d éducation à la santé, particulièrement en direction des adolescents. Son action vient soutenir l effort de nombreuses équipes éducatives de l Education Nationale, ou bien associatives, ou municipales dans leur volonté de promouvoir la santé pour tous. Son partenariat avec les acteurs locaux de la santé publique permet aux adolescents une prise de conscience et un meilleur repérage des lieux d écoute et de soins de proximité. La santé publique et l épidémiologie La direction de la PMI et promotion de la santé a une dimension d observatoire de la santé mère enfant et de la famille et organise le recueil d informations en épidémiologie notamment à partir des certificats de santé établis aux âges clefs (8 ème jour, 9 ème mois et 24 ème mois). Elle a également une dimension d observatoire en santé publique. Les études de santé publique menées ont pour objectif d évaluer l impact des actions de prévention conduites par les équipes et d évaluer les nouvelles problématiques de santé publique. Le SEE conçoit et réalise des études épidémiologiques sur la population générale des adolescents. Elles contribuent à une fonction observatoire de la santé des adolescents et à l évaluation des politiques publiques conduites en leur faveur (santé, éducation, restauration, activité physique). La formation La direction organise le dispositif de formation des professionnels de la petite enfance avec l école d auxiliaire de puériculture (60 élèves formés chaque année pour l obtention du diplôme d Etat d auxiliaire de puériculture), l école de puériculture (25 élèves formés chaque année) et le CPPA centre professionnel et de pédagogie appliquée chargé de la formation continue pour le personnel petite enfance et du champ sanitaire et social. Un effort particulier a été réalisé en direction des formations proposées aux assistantes maternelles dans le cadre d une démarche de professionnalisation du métier Ressources Ressources financières : Dépenses de fonctionnement Dépenses d'investissement Taux de réalisation: 97,9% Taux de réalisation: 54,9% K K K K K K K K 0 K Prévision Prévision budgétaire Exécution budgétaire K K K K K K 800 K 600 K 400 K 200 K 0 K Prévision Prévision budgétaire 853 K Exécution budgétaire 3
4 Les crédits de fonctionnement représentent avec un taux d exécution budgétaire de 97,9 %. Ces crédits sont imputés au versement des subventions de fonctionnement aux structures petite enfance gérées par des tiers, au fonctionnement des 82 centres de PMI et de planification et d éducation familiale départementaux et conventionnés (municipaux, hospitaliers, CPAM et privé) et aux dépenses de fonctionnement des écoles et du centre professionnel et de pédagogie appliquée pour la formation continue des professionnels. Les crédits relatifs à la masse salariale de la direction de la PMI et promotion de la santé se sont élevés à , soit un taux de consommation de 101 %. Les crédits d investissement représentent avec un taux d exécution de 54,9 %. Ces crédits sont affectés au fonds de soutien à l investissement pour la création de nouvelles places en crèches. Les recettes s élèvent à , avec un taux d exécution de 96,3 %. Recettes de fonctionnement Taux de réalisation: 96,3% K K K K K K K 0 K Prévision budgétaire Prévision budgétaire K budgétaire Exécution budgétaire Ressources humaines La Direction de la PMI et Promotion de la Santé compte près de 638 agents, professionnels médicosociaux, de la petite enfance, de la santé et administratif titulaires dont près de 48% des effectifs appartiennent à la catégorie A de la filière médico-sociale. DIRECTION DE LA PROTECTION MATERNELLE ET INFANTILE ET PROTECTION DE LA SANTE (10 postes) Service Administratif et Financier (8 postes) Service Etudes Recherches et Certificats de Santé (10 postes) Centres de PMI / Equipes PMI en EDS / Territoires de PMI (550 postes) Bus Prévention Santé (3 postes) Service Modes d'accueil (8 postes) Service Etudes Evaluations (8 postes) Service de Promotion de la Santé Bucco Dentaire (20 postes) CPPA (9 postes) Ecole de Puériculture (5 postes) Institut de Formation d'auxiliaires de puériculture (7 postes) 4
5 2. Présentation des activités de la direction 2.1. Des actions en cours Les actions sur la santé des enfants 46,94 % des enfants de moins d un an suivis en centre de PMI (45,66 % en 2008) 48,71 % des enfants de 1 à 2 ans suivis en centre de PMI (48,27 % en 2008) 39,48 % des enfants de 2 à 6 ans suivis en centre de PMI (39,76 % en 2008) consultations infantiles annuelles réalisées dans les 82 centres de PMI ( en 2008, soit une diminution de 106 consultations) examens pédiatriques médicaux réalisés ( en 2008) enfants de 0 à 6 ans vus en consultations infantiles ( enfants suivis en 2008). Une moyenne de fréquentation de 9,43 enfants vus lors de chaque consultation visites à domicile réalisées par les puéricultrices de secteur auprès de enfants de 0 à 6 ans. 33,71% des nouveau-nés (0 à 30 jours) rencontrés par les puéricultrices dans le cadre des visites à domicile. Près de dépistages auditifs et visuels réalisés au cours du suivi médical avec une orientation vers une consultation spécialisée pour 6,29 % des dépistages visuels et pour 3,88 % des dépistages auditifs. La prévention vaccinale : Près de vaccins obligatoires et recommandés réalisés. Dépistage de la surdité : enfants ont été testés dans les trois maternités hospitalières conventionnées avec la Direction de la PMI et 2 surdités profondes et 1 surdité moyenne ont été diagnostiquées. Dépistage des maladies de l hémoglobine (drépanocytose et thalassémie) : 22 hémoglobinopathies graves dépistées pour prélèvements effectués sur les nouveau-nés à la maternité. Cette grave pathologie du globule rouge devient la première maladie génétique transmissible en Ile de France et par la même un grave problème de santé publique. Près de 600 personnes sont susceptibles de solliciter un conseil génétique. Dépistage du saturnisme : Le Val-de-Marne est classé Département à risque ; des contrôles de plombémie sont prévus chaque 6 mois pour les enfants présentant 100 mg/l et plus. Près de 183 enfants ont été prélevés et 6 enfants ont une intoxication supérieure à 100 mg/l. Les CAMSP - centres d action médico-social précoce : Près de 400 enfants de 0 à 6 ans présentant des déficits sensoriels, moteurs, mentaux ou des troubles psychomoteurs ou du comportement ont été accueillis et suivis en cure ambulatoire dans les 4 CAMSP du Val-de- Marne et les 3 CAMSP parisiens spécialisés dans certaines pathologies (surdité, grands prématurés.). La politique de soutien à la parentalité : accueils en halte-jeux, accueils parents enfants et groupe de parole accueils réalisés dans les 43 haltes jeux implantées dans les centres de PMI. Une moyenne de fréquentation par accueil de 7,61 enfants. Près de séances d accueils collectifs groupes de soutien à l allaitement, préparation à la naissance, groupes parents-enfants ayants accueillis participants. La planification et l éducation familiale, la protection maternelle et le suivi de grossesse femmes enceintes suivies par les sages-femmes de PMI, soit 29,76% des femmes enceintes, visites à domicile réalisées auprès des femmes enceintes et suivis en consultations dans les centres de PMI examens gynécologiques réalisés au cours des consultations dans les centres de planification et d éducation familiale et entretiens de conseil conjugal. A noter que les centres ont bien été fréquentés par les mineures, 10 % des consultations concernent des mineures, ce chiffre étant de 15 % dans les centres départementaux. Une moyenne de fréquentation par consultation de gynécologie de 9,42 patientes. Près de 53 % des consultations en gynécologie ont pour motif la contraception. 84 patientes ont été reçues en consultation de gynécologie pour violences conjugales, abus sexuels et mariages forcés. 5
6 Le dépistage des infections sexuellement transmissibles : recherches chlamydias (235 positives), dépistages d IST et hépatites B et C (32 gonococcies, 416 vaginites aigus, 4 syphilis et 17 hépatites positives), recherches en VIH (5 résultats positifs) et dépistages de cancer du col de l utérus (74 positifs au HPV). 49 grossesses chez les mineures suivies en centre de planification et d éducation familiale. 765 contraceptions d urgence délivrées. Le programme santé adolescents : des actions collectives auprès des collégiens : d éducation à la santé, vie sexuelle et affective et le dispositif «Cet autre que moi» Près de adolescents rencontrés durant les heures d informations collectives sur la vie affective et sexuelle et sur l éducation à la santé. Réalisées par les équipes des centres de planification et d éducation familiale dans les collèges et lycées, adolescents ont participé aux actions d information collective dans les centres de planification et d éducation familiale. Près de collégiens ont participé au programme «Cet autre que moi» autour des violences garçons filles et des problèmes d altérité dans 35 collèges du département et 167 classes. Un tiers des collèges bénéficient chaque année de ce dispositif. Les actions de santé bucco dentaire L enquête épidémiologique sur la santé bucco-dentaire des enfants de Grande Section maternelle (5/6ans) qui s est déroulée en partenariat avec l Inspection académique en mai 2009, a montré une amélioration de la santé bucco-dentaire. Le nombre moyen de caries par enfant est passé de 1,05 en 2000 à 0,69 en 2009, soit une baisse relative de 33%. Cette amélioration s observe quel que soit le niveau socioéconomique des parents. Cependant, les enfants issus des milieux les plus défavorisés restent les plus atteints par la carie. 80 % des centres de PMI réalisent une information sur la santé bucco-dentaire et plus de 1/3 des crèches départementales sont impliquées dans le programme enfants ont été dépistés sur les 2 camions dentaires dans les classes de CE1 des 47 communes du Val de Marne enfants de CP de 767 écoles du Département ont reçu l animation M T dents avec différents outils pédagogiques. Environ collégiens ont participé aux actions de prévention, soit 62 classes de 13 collèges. La 9 ème journée de santé publique dentaire, organisée en partenariat avec la Société Française des Acteurs de Santé Bucco dentaire avait pour thème «La santé bucco dentaire et les situations de handicap». Le service de Promotion de la santé bucco-dentaire a mené des actions dans le champ du social en lien avec le service du RMI départemental et l Association Réseau Social Dentaire 94, subventionnée par le Conseil général. Le programme Nutrition Santé Adolescence 80 classes dans 40 collèges/lycées ont bénéficié d une éducation critique à la consommation alimentaire. Ce dispositif pédagogique vise à donner à l adolescent des outils concrets pour mieux analyser et orienter ses choix en matière de consommation alimentaire élèves dans 74 établissements ont bénéficié des campagnes de promotion de la consommation de fruits (30 tonnes de fruits). La prise en charge des adolescents en surpoids : cette prise en charge se fait sous forme de groupes. En 2009, 242 adolescents âgés de 11 à 20 ans, se sont inscrits pour participer à l un des groupes d éducation thérapeutique destinés aux plus jeunes (11-14 ans) ou aux groupes psycho-éducatifs destinés aux plus âgés (15-20 ans). Au total : 16 groupes ont été organisés dans 15 villes du département. Le développement du partenariat avec ces villes permet l accueil de ces groupes dans des structures locales. Le partenariat avec la Maison de l Adolescent permet un suivi individuel médical de première ligne, psychologique et éducatif. Des formations pour les professionnels relais de ces interventions Les relais pédagogiques au sein des établissements scolaires (enseignants, infirmiers, ) ont bénéficié, «à la demande» du soutien d une diététicienne et de formations sur le goût, les sens, les préférences alimentaires, la créativité culinaire et la publicité des arts culinaires. La conception d outils pédagogiques 6
7 Les 5 modules pédagogiques (contenu et supports) qui constituent le dispositif d éducation critique à la consommation alimentaire, ont été constitués par le PNSA et son réseau d experts. En 2009 l actualisation de ces outils a porté en particulier sur la dimension sensorielle de la consommation alimentaire, en collaboration avec l Institut du goût. Des dispositifs évalués En 2009 le Service Etudes Evaluation a poursuivi l étude concernant l évaluation de la qualité de vie des jeunes qui participent à un groupe d éducation thérapeutique. L étude porte sur les adolescents suivis entre 2007 et Cette étude est menée en collaboration avec l unité INSERM 609. Ses résultats seront connus en Le Service a également été partie prenante du groupe d experts initié par la Haute Autorité de santé (HAS) sur la prise en charge de l anorexie. Les actions du bus prévention santé Le bus de prévention santé a répondu à 81 projets, soit 153 interventions dans 30 villes du département. Près de personnes ont participé aux actions de prévention du bus. Ces interventions sont intervenues dans 40 collèges et ont concerné adolescents, 9 lycées, 4 foyers de l aide sociale à l enfance et 28 fois en réponse à des projets de services municipaux, associatifs, de centres de formation ou à l occasion d initiatives départementales. De nombreux thèmes ont été abordés : la prévention des risques liés à la consommation de psychotropes, l alcool, la sexualité, le SIDA, ou l alimentation. Le bien être, l adolescence, les relations entre filles et garçons, la violence et le tabagisme sont aussi des thèmes très demandés. La poursuite du développement des modes d accueil petite enfance Suivi des assistantes maternelles agréées libérales en activité accueillant enfants de moins de trois ans et agrément de 608 nouvelles assistantes maternelles. Suivi des 399 assistantes familiales agréées à titre permanent avec une capacité totale de 661 accueils et agrément de 28 nouvelles assistantes familiales. La commission consultative paritaire départementale a examiné 17 dossiers d assistantes maternelles libres agréées et prononcé 8 retraits d agrément, 2 restrictions 7 maintiens. Une offre d accueil en crèches collectives et familiales de places auxquelles s ajoutent places en accueil occasionnel réparties dans les 303 structures d accueil petite enfance à laquelle s ajoutent 13 crèches hospitalières ayant accueilli près de enfants val-de-marnais. 5 établissements petite enfance comptabilisant 137 nouvelles places qui ont été financés totalement ou partiellement dans le cadre du 1 er Plan Crèche. Ces établissements ont bénéficié d une subvention à l investissement d un montant de par place et 4 crèches d entreprises ou inter entreprises créées sur les villes de Chevilly- Larue, Thiais Ivry et Saint-Maur pour 185 places. Les principaux indicateurs épidémiologiques sont naissances domiciliées chiffres INSEE Taux de prématurité de 6,8 pour 100 naissances (naissances vivantes avant 37 semaines). Taux de natalité : 15,5 pour habitants. Age moyen à la maternité : 30,4 ans en mères de 18 ans et 9,5 % de grossesses chez mères de 38 ans et plus- (49 mères de de 18 ans en 2008). Taux de mortalité infantile décès d enfants la première année de vie - : 3,4 pour naissances (INSEE 2007). Chiffres Ile-de-France : 3,9 pour et France entière : 3,6 pour Les taux de couverture vaccinale à 24 mois augmentent régulièrement, notamment pour les vaccins haémophilus, l hépatite B et le pneumocoque. Pour les vaccins obligatoires les taux de couverture avoisinent les 99 % % pour le DTP, 99,2 % pour la coqueluche -. Pour le vaccin ROR rougeole, oreillons, rubéole le taux de couverture est de 91,4%, pour l haemophilus de 98,8 %. Les augmentations sont plus significatives pour les vaccins contre l hépatite B avec 75,5 % (et le vaccin anti-pneucococcique Prévenar avec un taux de 94,9 % (79,6% en 2008). Pour le vaccin BCG le taux de couverture à 24 mois s est élevé à 89,5%, la vaccination s est poursuivie sur la région Ile de France comme le préconisait les recommandations du Ministère. 7
8 2.2. Aux évènements marquants de 2009 La direction de la PMI et promotion de la santé a poursuivi sa démarche d évaluation des actions menées par les équipes de terrain et s est inscrite dans une approche de santé publique fondée sur l observation des états de santé et de ses déterminants sur une population spécifique. Prévenir l obésité infantile en dépistant précocement le surpoids chez le jeune enfant Dans la continuité de l étude «Corpulence et obésité des enfants de 4 ans» menée en 2008 sur le dépistage et la prévalence de l obésité et du surpoids chez le jeune enfant qui fait ressortir une proportion d enfants en surpoids de 11,4% à l âge de 4 ans, la Direction poursuit ses actions de surveillance en proposant dans les centres de PMI une action renforcée pour les enfants repérés en surpoids. Un protocole de suivi de prise en charge précoce des enfants est mis en place avec des actions renforcées pour soutenir et accompagner le jeune enfant et sa famille. L évaluation de l activité de consultation en centre de PMI La Direction a mené une enquête pour mieux connaître les consultants des centres de PMI, notamment leurs caractéristiques socio-familiales, les motifs de la consultation, le contenu de la consultation et les orientations proposées à l issue de celle-ci. Dans 94% des cas, la mère est présente lors de la consultation, le père y participe dans 20% des cas. Le motif de la consultation est dans 83% des cas un examen systématique et pour 48% des consultants une vaccination. 90% des consultants habitent la commune du lieu du centre de PMI. Cette enquête apporte un éclairage sur l évolution de l origine géographique des mères des enfants consultants en PMI, ainsi, la proportion de familles d origine française est passée de 40% en 1984 à 26% en La proportion de familles d origine africaine et asiatique a doublé sur la même période, 24% des mères sont originaires du Maghreb, 22 % d Afrique Noire, 8% d Europe et 7% d Asie. La diversité des cultures nécessite pour les professionnels des centres de PMI d avoir une approche ethnoculturelle des situations de migration. 11% des familles fréquentant le centre de PMI n ont pas de logement personnel. 60 % des enfants suivis en PMI ont moins d un an et l âge moyen lors de la première consultation médicale est de 2,7 mois. Près de 34% des enfants sont vus en consultation médicale au cours du premier mois de vie. Le jour de la consultation, 17% des enfants ont une maladie aïgue (rhinopharyngite, otite, bronchiolite, diarrhée..). Un peu plus d une famille sur deux consulte d autres intervenants dans le centre de PMI en dehors du pédiatre : sage-femme ou puéricultrice dans le cadre d une visite à domicile, gynécologue dans le cadre du centre de planification et d éducation familiale, l activité de halte jeux ou les groupes de soutien à la parentalité mais aussi l accueil assuré par les auxiliaires de puériculture et les puéricultrices pour la pesée et les conseils de puériculture. Cette enquête confirme le fait que la PMI est un lieu de proximité, bien repéré des familles, qu elle remplit bien sa mission de prévention notamment pour les vaccinations, les dépistages sensoriels et le suivi psycho-moteur. La PMI touche bien les enfants en population générale notamment ceux issus de milieux défavorisés. La construction de réseaux périnataux qui contribuent à structurer la mise en place de l entretien du 4 ème mois de grossesse La direction a poursuivi sa démarche de construction de réseaux de soins périnataux locaux en lien avec les partenaires de la prévention en périnatalité notamment les maternités du département. Ces réseaux ont pour objectif de coordonner autour de chaque famille tous les acteurs de la périnatalité, de préserver le lien mère-enfant en prenant en compte la dimension psycho-sociale de la grossesse, d adapter l offre de soins, d améliorer la prise en charge des femmes présentant une grande vulnérabilité et de mettre en œuvre des protocoles de prise en charge des femmes enceintes et des référentiels de bonne pratique notamment sur l entretien individuel du 4 ème mois de grossesse qui doit permettre à la future mère d élaborer un projet de suivi de grossesse et de naissance et au professionnel de dépister toute forme d insécurité pouvant entraîner des complications sur la grossesse et la construction du lien mère-enfant. Le dépistage précoce des troubles de l apprentissage La direction a instauré un plan de prévention primaire des troubles du comportement langagier des jeunes enfants afin de dépister et prévenir des anomalies et d anticiper les prises en charge et orientations vers les spécialistes. Les équipes des centres de PMI ont été dotées d un outil de prévention et de repérage des troubles du langage : l ERTL 4 (Epreuve de repérage des troubles du 8
9 langage à 4 ans) réalisée auprès des enfants de 3-4 ans. Des formations animées par une orthophoniste enseignante ont permis à l ensemble des professionnels médico-sociaux des centres de PMI d utiliser l outil. Près de enfants soit 33 % des enfants de 4 ans suivis en PMI ont bénéficié d un dépistage qui a donné lieu pour 171 d entres eux (6,9%) à une orientation vers une consultation spécialisée. La construction d un programme de prévention santé des adolescents La direction de la PMI s est engagée dans la mise en œuvre d un programme santé en direction des adolescents et notamment des collégiens, en lien avec les différents acteurs, notamment des représentants de l Education Nationale, la Maison de l Adolescent et les Points Ecoute Jeunes, la direction de l éducation et des collèges. Ce programme a fait l objet d une large concertation et permis de clarifier les interventions des équipes de la direction qui interviennent auprès des collégiens pour leur délivrer des messages de prévention en matière de santé : l éducation sexuelle et affective par les professionnels des Centre de Planification et d Education Familiale, la prévention des violences entre filles et garçons par le dispositif «Cet autre que moi», les actions de promotion de la santé par l équipe du Bus Prévention Santé en partenariat avec des acteurs associatifs, la promotion de la santé bucco dentaire autour du programme «M Tes dents», la promotion de la santé nutritionnelle chez l adolescent avec la mise en œuvre d ateliers thérapeutiques pour adolescents en surpoids et la sensibilisation aux messages alimentaires. Ce programme est de nature à faciliter le développement des réseaux et les échanges de pratiques entre professionnels. La prise en charge des adolescents en surpoids ou obèses : un axe fort de la politique de santé de l adolescent dans le Val de Marne En 2009, la prise en charge des adolescents en surpoids ou obèses dans le Val de Marne s est renforcée pour offrir une prise en charge globale articulant : une prise en charge collective dans le cadre de groupes d éducation thérapeutique déjà en place depuis 2001 pour les ans et étendus aux ans depuis 2008, une prise en charge individuelle dans le cadre de consultations médicales spécifiques. Pour les collégiens (11-14 ans) la prise en charge collective se fait dans le cadre des groupes «Manger mieux bouger plus, des plaisirs qui s apprennent» encadrés par un animateur, une diététicienne et un professeur d EPS. Ces groupes proposent un programme éducatif pratique concernant à la fois l alimentation et l activité physique. Ils peuvent être suivis, au choix, dans 15 villes du département, selon une formule de séances hebdomadaires ou une formule de stages pendant les «petites» vacances scolaires. Les parents sont associés afin qu ils puissent soutenir leur enfant dans sa démarche de changement. Pour les lycéens (15-20 ans) la prise en charge collective se fait dans le cadre des groupes «Surpoids ; choisir de mieux vivre», encadrés par une infirmière ou un médecin, un psychologue, une diététicienne et un chorégraphe. Ces groupes proposent un programme visant à informer, à restaurer la confiance en soi et à mieux appréhender ses sensations et ses émotions. Il se déroule dans deux villes du département selon une formule de stages durant les vacances de février et de Pâques. Au cours de l année 2009, la prise en charge individuelle s est faite par le biais de consultations médicales, proposées de façon systématique aux ans et de façon facultative aux ans. Un travail étroit entre la Maison de l Adolescent, le réseau de prévention et de prise en charge de l obésité pédiatrique (RéPOP) et le programme national de sécurité alimentaire a permis de définir le cadre d un suivi individuel de proximité, confié conjointement aux infirmiers de la MDA et du programme national de sécurité alimentaire. Il deviendra effectif dès janvier Ces entretiens permettent d évaluer avec le jeune et sa famille sa situation au regard de son surpoids et sa santé, de présenter les différentes aides mobilisables pour lui venir en aide (notamment les groupes d éducation thérapeutique) et de définir ensemble un protocole de prise en charge pour les mois à venir. Ce dispositif constitue ainsi l un des axes forts de la politique santé de l adolescent menée par la DPMI-PS. Elle s appuie et renforce un réseau de santé de l adolescent en étroite collaboration avec la Maison de l Adolescence et le RéPOP. L augmentation des effectifs à 29 apprentis au sein de l UFA Unité de Formation des Apprentis de l Institut de Formation d Auxiliaire de puériculture (IFAP) de Vitry Sur Seine Le CFA /CNFPT a proposé d étendre, pour sa deuxième promotion, la capacité de l UFA à 29 élèves en apprentissage sur 18 mois pour la préparation au diplôme d Etat d auxiliaire de puériculture. Cette 9
10 proposition permet à l IFAP de Vitry d organiser la formation des professionnels en répartissant de façon plus équitable ses effectifs entre les élèves en formation initiale (40) et les apprentis (30). Pour cette promotion, 11 apprentis ont signé un contrat avec le Conseil général, les 18 autres apprentis avec des villes. Le choix de diversifier la formation en une section initiale et une section en apprentissage repose ainsi sur la volonté d élargir le public visé par ces formations. De plus, l apprentissage, de culture récente dans ces métiers, semble aujourd hui un mode de formation particulièrement pertinent pour le métier d auxiliaire de puériculture en raison de l ancrage très fort de la pratique professionnelle dans la construction des compétences. Pour la rentrée 2009, un concours «2 ème voie» réservé aux agents du Conseil Général du Val-de- Marne, en poste depuis trois ans auprès d enfants, a été mis en place, 20 places leur étant réservées. Le système «2 ème voie» a montré pour partie son efficacité avec un taux de réussite de 33 %, alors qu il est de 9 % pour la 1 ère voie. Le chantier de l informatisation des dossiers médicaux patients dans les centres de PMI et de planification et d éducation familiale La direction s est engagée dans le chantier de l informatisation des dossiers patients suivis en centre de PMI et de planification et d éducation familiale. La démarche, en lien avec la DSI, a débuté par une étude préalable d urbanisation qui a permis de recenser les différents processus organisationnels. Le comité de pilotage a travaillé sur l élaboration d un programme fonctionnel recensant les principales fonctionnalités souhaitées, les processus de suivis médicaux et transverses, les contraintes techniques, réglementaires, organisationnelles, l analyse des habilitations. Une phase opérationnelle sera expérimentée sur 3 ou 4 sites en La fermeture du centre prénatal Jean Rostand à Ivry-Sur-Seine Dans le cadre du transfert de la maternité Jean Rostand d Ivry-sur-Seine vers la nouvelle maternité du Kremlin Bicêtre, l AP HP a résilié la convention entre le Département du Val de Marne et l AP HP pour la gestion du centre prénatal situé dans l enceinte du groupe hospitalier Charles Foix / Jean Rostand à Ivry. Ce centre prénatal, qui a fermé en avril 2009, avait permis de renforcer la qualité du réseau périnatal sur cette partie du territoire et de favoriser l accès aux soins des femmes en situation de précarité durant leur grossesse. L articulation avec les équipes de la maternité Jean Rostand avait favorisé un meilleur accompagnement et suivi de ces femmes tout en réduisant les risques de prématurité ainsi que les handicaps prénataux. La poursuite de l activité du centre prénatal constituait une nécessité sur un territoire où l offre et la demande de soins prénataux sont déficitaires. Une promotion adaptée de la santé bucco-dentaire auprès de publics cibles : l étude sur l état de santé dentaire des enfants âgés de 6 et 12 ans Une étude a été engagée par le service de promotion de la santé publique bucco-dentaire pour mieux appréhender les représentations, pratiques et croyances sur la santé bucco dentaire de l enfant et de l adolescent auprès des parents, pour évaluer le programme de prévention bucco dentaire et apporter des préconisations afin de renforcer l'adéquation du programme de protection bucco-dentaire aux attentes du public concerné. Cette étude montre que les parents interrogés évoquent trois registres pour définir l hygiène bucco-dentaire : la santé, la beauté et le social. Ainsi, trois profils de parents vont conditionner une éducation et des comportements différents : les rigoureux pour qui le brossage est une étape obligatoire et nécessaire, il fait partie de l'éducation dès l apparition des premières dents et constitue un véritable rituel ; les passifs pour qui le brossage débute vers 2-3 ans est perçu comme un moment fortement contraignant et les non-initiés qui ne pratiquaient pas régulièrement le brossage avant de venir vivre en France, ils ne connaissent pas cette "convention". Ils la jugent facultative, son utilité étant plus liée à l'esthétique (avoir de belles dents) et à la facilitation de l'intégration puisqu'ils estiment avoir une bonne "résistance dentaire". Cette étude confirme que les actions de prévention bucco-dentaire sont jugées positives par tous les parents mais aussi que des actions identiques pour ces trois profils de population n ont pas le même impact, qu il est faible sur le comportement des parents "passifs" et "non-initiés" et que les actions les plus appréciées sont les actions les plus concrètes qui sont réalisées régulièrement auprès des enfants. L activité des psychologues dans les centres de PMI et structures petite enfance Les psychologues interviennent dans les crèches et les centres de PMI (4 structures) et participent à la formation des assistantes maternelles. Dans les établissements, leurs activités se répartissent en un temps institutionnel et un temps clinique. Au niveau institutionnel, ils facilitent la mise en place des réunions entre les professionnels, avec les partenaires extérieurs, avec les familles. Dans les crèches, 10
11 sur le plan clinique : ils participent aux réunions de sections, ils réalisent les entretiens d accueil avec les familles des enfants qui entrent en crèches, ils reçoivent les familles à leur demande spontanée ou orientée par le personnel de la crèche, pour une difficulté de l enfant ou de l adulte / parent. Plus rarement, la difficulté réside entre les parents et la crèche. Dans les centres de PMI, la clinique recouvre les nombreux entretiens réalisés (120 à 150 par centre), seulement quelques familles bénéficient d un suivi, famille, femme, en quête d un soutien que celui-ci soit de nature éducative ou qu il les concerne elles-mêmes plus précisément. Il s agit d un travail de prévention, d accompagnement à la fonction parentale, notamment lors de la séparation de couple. Quelques familles sont orientées vers le psychiatre de secteur (enfant ou adulte). 11
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