Gestion des excréta Enquête régionale 2013

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Gestion des excréta Enquête régionale 2013"

Transcription

1 Gestion des excréta Enquête régionale 2013 Résultats pour les établissements de santé de Haute Normandie Rédaction du rapport Mihaela LUPSE (interne) Denis THILLARD (infirmier hygiéniste) Jeanne-Marie GERMAIN (médecin hygiéniste) Antenne Régionale Haute Normandie du C.CLIN Paris-Nord Hôpital Charles Nicolle 1 rue de Germont 6 e étage Dévé ROUEN Cedex

2 Sommaire Contexte 1 Objectif de l'enquête 1 Matériel et méthode 1 Participation 2 Résultats 2 I. Caractéristiques des établissements 2 II. Gestion et entretien des bassins et chaises-pot 2 III. Lave-bassins 4 IV. Equipements de protection individuelle et protection de l'environnement 5 V. Fiche technique du C.CLIN sur la gestion des excréta 6 Synthèse pour les 24 établissements ayant participé 7 Bibliographie 9

3 Contexte Dans le cadre du Programme Régional de Maitrise du Risque Infectieux Associé aux soins (PRIAS), une réflexion régionale a été lancée sur la gestion des excréta dans les établissements de santé et les établissements médico-sociaux. En effet, la maitrise de la transmission croisée de bactéries multirésistantes et de virus (en particuliers en période d épidémies de gastro-entérites) nécessite de limiter le risque de contamination de l environnement et du personnel lors de l entretien du matériel en contact avec les excréta (bassin, chaise pot, urinal, ). Afin de préciser cette problématique et de réaliser un état des lieux régional du risque infectieux lié à la gestion des excréta, un groupe de travail régional a été constitué. Membres du groupe de travail : - Denis THILLARD, infirmier hygiéniste, Arlin Haute Normandie - Tristan PETEL, infirmier hygiéniste, CHU de Rouen - Sandrine ANNEREL, infirmière hygiéniste, EHPAD Nymphéas Bleus (Vernon) - Magali CADOT-HEBERT, infirmière hygiéniste, Résidence Albert Jean (Luneray) - Christine CANDON, infirmière hygiéniste, groupe hospitalier du Havre - Isabelle COLOMBINI, infirmière hygiéniste, centre hospitalier de Verneuil sur Avre - Fanny DECONIHOUT, infirmière coordinatrice, Les Jardins de l Andelle (Perriers sur Andelle) - Cyril DUMONT, infirmier coordonnateur, EHPAD de Forges les Eaux - Catherine LEGEIN, infirmière hygiéniste, probtp - Vanessa PAUCHET, infirmière hygiéniste, hôpital Durécu Lavoisier (Darnétal) Objectif de l'enquête Les objectifs de cette enquête étaient de : Connaître les caractéristiques en matière de gestion des excréta dans les différents établissements de santé et médico-sociaux en Haute Normandie. Proposer des protocoles pour aider à mieux adapter les mesures en terme de gestion des excréta. Matériel et méthode Un questionnaire standardisé a été élaboré par le groupe de travail. Il était composé de plusieurs parties : - caractéristiques de l'établissement (type de structure, nombre de lits et chambres, équipement des WC avec douchettes rince-bassin) - gestion et entretien des bassins et chaises-pot - gestion des lave-bassins - utilisation des équipements de protection individuelle - difficultés de mise en place des mesures de prévention Etat des lieux 2013 gestion des excréta (Etablissements de santé) Page 1 sur 12

4 La méthodologie prévoyait le retour d'un questionnaire par établissement de santé ou établissement médico-social. Pour les établissements de santé disposant de nombreux services, le recueil des données pouvait se faire à l'échelle des services. Le questionnaire a été envoyé aux équipes opérationnelles d'hygiène (EOH) des établissements de santé ou référent en hygiène pour les structures médico-sociales en décembre Une relance des nonrépondeurs a été faite à 1 mois. Les données ont été analysées par l'arlin à l aide du logiciel Epi-Info. Pour les établissements de santé ayant retourné plusieurs fiches, une fiche de synthèse unique a été créée. Les résultats ont fait l'objet d'une synthèse régionale présentée dans 2 rapports régionaux : un pour les établissements de santé et un pour les établissements médico-sociaux. Une présentation des résultats par établissement a également était faite pour 4 établissements de santé ayant retourné un nombre important de fiches. Les résultats ci-après concernent uniquement les établissements médico-sociaux. Participation Un total de 24 établissements de santé ont répondu au questionnaire. Centre de Convalescence les Jonquilles Centre de rééducation de la Hève Centre de Soins de Suite (Néville) CH de Darnétal CH de la Risle (Pont-Audemer) CH de Dieppe CH du Belvédère CH de Gisors Groupe hospitalier du Havre CH de Saint-Romain de-colbosc CH de Saint-Valéry-en-Caux CHI Caux Vallée de Seine CHI Elbeuf Louviers Val de Reuil CHI Eure-Seine (2 sites) CHS du Rouvray (St Etienne du Rouvray) CHU de Rouen Clinique d Yvetot Clinique Pasteur (Evreux) Clinique Mathilde (Rouen) Clinique Mégival (St Aubin sur Scie) CRLCC Henri-Becquerel (Rouen) Hôpital Ecole de la Croix Rouge Bois Guillaume) Hôpital privé de l Estuaire (Le Havre) Hôpital de Gournay Etat des lieux 2013 gestion des excréta (Etablissements de santé) Page 2 sur 12

5 Résultats I. Caractéristiques des établissements Pour les 24 établissements de santé ayant participé, le nombre de lits enquêtés variait de 15 à 1491 avec une médiane de 136 lits 1. Le nombre de chambres variait de 14 à 475 avec une médiane de 87 chambres. Quarante deux pour cent des établissements (n=10) disposaient d'au moins un WC équipé d'une douchette. Présence de douchettes dans les WC n % Oui Non II. Gestion et entretien des bassins et chaises-pot II.1 Bassin et chaise-pot dédiés Bassin et chaise-pot dédiés n % Oui Non 6 25 II.2 Couvercle pour chaque bassin et chaise-pot Couvercle pour chaque bassin et n % chaise-pot Oui 8 33 Non Le nombre total des lits des établissements n était pas nécessairement couvert. Etat des lieux 2013 gestion des excréta (Etablissements de santé) Page 2 sur 12

6 II.3 Modalités de nettoyage des bassins entre chaque utilisation Prés de 79% des établissements disposaient d'au moins un lave-bassins (n=19). Modalités de nettoyage des bassins n % (plusieurs réponses possibles) Lave-bassin Rinçage avec des douchettes Rinçage au lavabo Rinçage avec la douche Non précisé 4 17 A noter que des pratiques à fort risque de contamination de l environnement ou du personnel (rinçage avec une douchette, au lavabo, avec la douche, ) sont déclarées dans 83% (n=20) établissements. Uniquement 25% (n=6) des établissements disposaient d'un protocole écrit pour l'entretien des bassins et des chaises-pot. Protocole écrit d entretien des n % bassins et chaises-pot Oui 6 25 Non Non renseigné 2 8 Produits utilisés pour le nettoyage des n % bassins et chaises-pot Détergent 3 12 Désinfectant 1 4 Détergent-désinfectant Non renseigné 1 5 L'ensemble des établissements déclaraient procéder à la désinfection des bassins et chaises-pot. La fréquence de cette désinfection est précisée dans le tableau ci-dessous. Fréquence de désinfection des bassins n % et chaises-pot (plusieurs réponses possibles) Chaque utilisation Une fois par jour Une fois par semaine 1 4 Uniquement à la sortie En cas d'infection Autre fréquence 7 29 Etat des lieux 2013 gestion des excréta (Etablissements de santé) Page 3 sur 12

7 Stockage on des bassins et chaisespot n % (plusieurs réponses possibles) Dans la chambre du patient 7 29 Dans le local vidoir ou lave-bassins 6 25 Autre 1 4 Dans la chambre et le local vidoir III. Lave-bassins III.1 Présence de lave-bassins Au total, 19 établissements sur 24 (79%) possédaient au moins un lave bassins et tous déclaraient l'utiliser tout les jours ou plusieurs fois par jour. III.2 Installation du lave-bassins Situation du lave-bassins n % Local spécifique 2 11 Local vidoir 6 32 Local spécifique + local vidoir 8 42 Autre 2 11 Non renseigné 1 5 Total III.3 Equipement du local lave-bassins Local lave-bassins équipé de n % douchettes Oui 6 32 Non Total III.4 Utilisation du lave bassins (pour les 19 établissements concernés) Les 19 établissements disposant d'au moins un lave-bassins utilisaient ce dispositif plusieurs fois par jour. Vidange du bassin avant l'utilisation n % du lave-bassins Oui 7 37 Non 5 26 En fonction des équipes 7 37 Total Etat des lieux 2013 gestion des excréta (Etablissements de santé) Page 4 sur 12

8 III.5 Maintenance du lave-bassins Contrat de maintenance n % Oui 6 32 Non Total Procédure écrite d'entretien et de n % maintenance Oui 4 21 Non Total Procédure dégradée en cas de panne n % du lave-bassins Oui 2 11 Non Non renseigné 1 5 Total IV. Equipements de protection individuelle et protection de l'environnement Des équipements de protection individuelle lors de la manipulation des excréta étaient utilisés dans la totalité des établissements. Type d'équipements de protection n % individuelle utilisés lors de la manipulation des excréta Gants Gants + tablier Gants + surblouse 3 4 Utilisation de sachets protecteurs de n % bassins Oui 5 21 Non Non renseigné 1 4 Etat des lieux 2013 gestion des excréta (Etablissements de santé) Page 5 sur 12

9 V. Fiche technique du C.CLIN sur la gestion des excréta Connaissance de la fiche n % Oui Non 7 29 Etat des lieux 2013 gestion des excréta (Etablissements de santé) Page 6 sur 12

10 Synthèse pour les 24 établissements ayant participé Points forts Points à améliorer Equipement 79% des établissements sont équipés avec au moins un lave-bassins 1 42% des établissements = présence de douchettes dans les WC Protocoles Pratiques 71% des établissements déclarent effectuer une désinfection des bassins après chaque utilisation 100% des établissements équipés en lave-bassins les utilisent 100% des établissements utilisent des équipements de protection individuelle pour la manipulation des excréta 2 67% des établissements = absence de couvercle pour chaque bassin ou chaise pot 67% des établissements sans protocole écrit d'entretien des bassins et chaises-pot 68% des établissements disposant d'un lave-bassins n'ont pas de contrat de maintenance 79% des établissements disposant d'un lave-bassins n'ont pas de procédure écrite d'entretien ou de maintenance 84% des établissements disposant d'un lave-bassins n ont pas de procédure dégradée en cas de panne du lave-bassins 83% des établissements déclarent des pratiques à risque de contamination de l'environnement (rinçage des bassins avec une douchette, au lavabo ou avec la douche) 3 74% des établissements disposant d'un lave-bassins vident les bassins avant leur mise en machine 3 1 Le ratio nb de lits / nb de lave-bassins n'a pas été étudié. 2 Ces équipements pouvaient ne pas être utilisés par l'ensemble du personnel. 3 Ces pratiques pouvaient ne pas être réalisées par l'ensemble du personnel. Etat des lieux 2013 gestion des excréta (Etablissements de santé) Page 7 sur 12

11 Au total, parmi les 24 établissements, 20 (83%) ont déclaré des pratiques à risque de contamination de l'environnement : rinçage des bassins avec une douchette, au lavabo ou avec la douche (cf. tableau cidessous). Etablissements ne disposant pas de lavebassins n=5/24 soit 21% Etablissements disposant d'au moins un lavebassins n=19/24 soit 79% Pratiques non précisées n=0/5 soit 0% Pratiques à risque* n=5/5 soit 100% Pratiques à risque* n=15/19 soit 79% Sans pratique à risque déclarée** n=4/19 soit 21% Pratiques non précisées n=0/19 soit 0% Pratiques à risque de contamination de l'environnement * n=20/24 soit 83% * Ont été considéré comme des pratiques à risque de contamination de l'environnement les pratiques suivantes : rinçage des bassins avec une douchette, au lavabo ou avec la douche. ** A noter parmi ces 4 établissements, 1 a déclaré vider (systématiquement ou fréquemment les bassins avant leur mise en machine. Etat des lieux 2013 gestion des excréta (Etablissements de santé) Page 8 sur 12

12 Bibliographie Fiche technique n 7 "Gestion des excréta dans les établissements de santé et médico-sociaux" du CCLIN Paris Nord (juin 2010) Surveiller et Prévenir les infections associées aux soins. SFHH, Prévention de la transmission croisée : précautions complémentaires contact. SFHH, avril Recommandations pour l'hygiène des mains. SFHH, juin Norme NF EN ISO février 2007 Laveurs désinfecteurs partie 3 : exigence et essais pour laveurs désinfecteurs destinés à la désinfection thermique de récipients à déjections humaines. Malot J, Shum J, Croize J, Lagier A, Mallaret MR. Evaluation de la qualité de la désinfection réalisée par les lave-bassins. Hygienes 2011;11: Alfa MJ, Olson N, Buelow-Smith L. Simulated-use testing of bedpan and urinal washer disinfectors: evaluation of Clostridium difficile spore survival and cleaning efficacy. Am J Infect Control 2008;36:5-11. Alfa MJ, Olson N, Buelow-Smith L, Murray BL. Alkaline detergent combined with a routine ward bedpan washer disinfector cycle eradicates Clostridium difficile spores from the surface of plastic bedpans. Am J Infect Control 2013;41: Bryce E, Lamsdale A, Forrester L, Dempster L, Scharf S, McAuley M, Clearie I, Stapleton S, Browning S. Bedpan washer disinfectors: An in-use evaluation of cleaning and disinfection. Am J Infect control 2011;39: Etat des lieux 2013 gestion des excréta (Etablissements de santé) Page 9 sur 12

PRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE

PRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE PRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE PG SPI SUR 014 v1 2011 1/5 OBJET Conduite à tenir dans le cadre de l'arrivée d'un patient atteint ou suspect de portage de Clostridium

Plus en détail

La gestion des excreta en région Nord-Pas de Calais

La gestion des excreta en région Nord-Pas de Calais 14 besoins fondamentaux selon Virginia Henderson La gestion des excreta en région Nord-Pas de Calais Journée EHPAD Ile de France 03 avril 2014 Nouara Baghdadi pour le groupe de travail Nord Pas de Calais

Plus en détail

BMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents

BMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents BMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents L. Grolier-Bois - Médecin hygiéniste Centre Hospitalier de Bretagne-Sud (56) Centre Hospitalier de Quimperlé (29) ARLIN BRETAGNE Journée Régionale de Formation

Plus en détail

Chapitre VI : Gestion des risques épidémiques

Chapitre VI : Gestion des risques épidémiques Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire

Plus en détail

EVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD

EVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD EVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Dr. Nathalie MAUBOURGUET Lundi 24 novembre 2008 Ministère de la Santé, Salle Laroque Séminaire National sur l Organisation de la Prévention des Infections

Plus en détail

La réglementation quelques incontournables

La réglementation quelques incontournables Unité d Hygiène et d Épidémiologie 2012 La réglementation quelques incontournables Code du Travail - Article L 231-2 du titre 3 Hygiène, sécurité et conditions de travail Paragraphe 2 : «Les établissements

Plus en détail

Lave-bassins à thermo-désinfection pour hôpitaux et cliniques

Lave-bassins à thermo-désinfection pour hôpitaux et cliniques Lave-bassins à thermo-désinfection pour hôpitaux et cliniques For the Environmentally conscious Lave-bassins à thermo-désinfection pour hôpitaux et cliniques Steelco continue à accroître sa réputation

Plus en détail

STOP à la Transmission des microorganismes!

STOP à la Transmission des microorganismes! STOP à la Transmission des microorganismes! M.E Gengler Vendredi 25 Avril 2014 Vous avez ditstandard? Voici les «Précautions Standard» ou PS Les Précautions Standard : la Loi Respectez les «précautions

Plus en détail

ENTRETIEN MENAGER D UNE CHAMBRE D UN PATIENT FAISANT L OBJET DE PRECAUTIONS SPECIFIQUES

ENTRETIEN MENAGER D UNE CHAMBRE D UN PATIENT FAISANT L OBJET DE PRECAUTIONS SPECIFIQUES 1 ENTRETIEN MENAGER D UNE CHAMBRE D UN PATIENT FAISANT L OBJET DE PRECAUTIONS SPECIFIQUES A. NETTOYAGE COURANT Il est effectué: en dernier lieu, Idéalement ½ heure minimum après la réfection du lit. en

Plus en détail

Précautions standard d hygiène au cœur de la prévention du risque infectieux

Précautions standard d hygiène au cœur de la prévention du risque infectieux Précautions standard d hygiène au cœur de la prévention du risque infectieux Ivana Novakova, Arlin IDF ivana.novakova@sap.aphp.fr arlin.idf@sap.aphp.fr La vie en EHPAD: modèle de tous les paradoxes et

Plus en détail

Gamme CLINOX 3A LAVE-BASSINS

Gamme CLINOX 3A LAVE-BASSINS Gamme CLINOX 3A LAVE-BASSINS ARCANIA est la marque dédiée à la santé de la société SOFINOR, entreprise familiale créée en 1959, spécialiste de la fabrication d équipements INOX. Intégrant systématiquement

Plus en détail

Présentation des intervenants et modérateurs

Présentation des intervenants et modérateurs «NOSOPICARD 2015», 20 ème Rencontre d Hygiène Hospitalière, de Prévention et de Lutte contre les Infections Associées aux Soins Présentation des intervenants et modérateurs Roland GORI est : Professeur

Plus en détail

Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen

Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen Gestion d un cas de portage d entérocoque résistant aux glycopeptides (ERG- ERV) Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen IXème Journée régionale de Prévention des infections associées aux

Plus en détail

BIONETTOYAGE EN SOINS DE SUITE 2009

BIONETTOYAGE EN SOINS DE SUITE 2009 PS ENS-ENT 010 V1 BIONETTOYAGE EN SOINS DE SUITE 2009 n page 1/14 OBJET Améliorer la qualité de l'environnement du patient, contribuant ainsi à diminuer le risque d'infection. En cohérence avec le manuel

Plus en détail

Annexes jointes Annexe 1 : Fiches d entretien par zone Annexe 2 : Fiche de traçabilité

Annexes jointes Annexe 1 : Fiches d entretien par zone Annexe 2 : Fiche de traçabilité Référence : PT/HYG/003-C Page :Page 1 sur 15 Objet : - Permettre de dispenser des soins de qualité dans un environnement maîtrisé (garantie de propreté visuelle et bactériologique). - Eviter la propagation

Plus en détail

Mai Thanh LE - Pôle Hygiène

Mai Thanh LE - Pôle Hygiène Sodexo Le Better Tomorrow Plan Nos actions de progrès en bio nettoyage Mai Thanh LE - Pôle Hygiène Présentation de l entreprise Sodexo Depuis la création de l entreprise en 1966, Sodexo est le partenaire

Plus en détail

C. difficile. Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le. à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B.

C. difficile. Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le. à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B. Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le C. difficile à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B. DAVIS HÔPITAL D ENSEIGNEMENT DE L UNIVERSITÉ MCGILL www.jgh.ca 1. CLOSTRIDIUM

Plus en détail

Construire un plan de nettoyage et de désinfection

Construire un plan de nettoyage et de désinfection Construire un plan de nettoyage et de désinfection Docteur Régine POTIÉ-RIGO Médecin du Travail Mlle Laetitia DAVEZAT IPRP Ingénieur Hygiène/Sécurité Mme Laetitia MARCHE Technicienne des services généraux

Plus en détail

Prévention du risque infectieux en EHPAD, MAS, FAM et IME

Prévention du risque infectieux en EHPAD, MAS, FAM et IME Prévention du risque infectieux en EHPAD, MAS, FAM et IME Équipe: Dr Elise Seringe elise.seringe@sap.aphp.fr Ivana Novakova ivana.novakova@sap.aphp.fr 01 40 27 42 53 arlin.idf@sap.aphp.fr C CLINs de FRANCE

Plus en détail

Paquet hygiène : Le règlement 852/2004 relatif à l hygiène des denrées alimentaires

Paquet hygiène : Le règlement 852/2004 relatif à l hygiène des denrées alimentaires Paquet hygiène : Le règlement 852/2004 relatif à l hygiène des denrées alimentaires Applicable au 1 er janvier 2006 Objectif : Etablit les règles générales en matière d hygiène, est directement applicable

Plus en détail

COMPTE RENDU CONTRÔLE HYGIENOSCOPIE

COMPTE RENDU CONTRÔLE HYGIENOSCOPIE COMPTE RENDU CONTRÔLE HYGIENOSCOPIE Client : JEAN CUISTOT TRAITEUR 31 RUE DE L 'OCEAN 17510 CHIVES jeancuistot.traiteur@club-internet.fr Tél. 05 46 33 64 21 Date de l'examen : 28-oct-2013 Technicien :

Plus en détail

Messagerie Securisee de Sante. Jeudi 23 Avril 2015

Messagerie Securisee de Sante. Jeudi 23 Avril 2015 Messagerie Securisee de Sante Jeudi 23 Avril 2015 Déploiement de la Messagerie sécurisée de santé en Haute-Normandie Actions régionales Actions ville-hôpital Actions d animation 1 Actions Régionales Déploiement

Plus en détail

Entretien des DM Entretien des locaux Gestion du linge Gestion des déchets Gestion de la qualité de l eau EN EHPAD. MISSIONS de l ARLIN Bretagne

Entretien des DM Entretien des locaux Gestion du linge Gestion des déchets Gestion de la qualité de l eau EN EHPAD. MISSIONS de l ARLIN Bretagne Entretien des DM Entretien des locaux Gestion du linge Gestion des déchets Gestion de la qualité de l eau EN EHPAD MISSIONS de l ARLIN Bretagne Conseils et assistance aux ES et aux EHPAD FAM MAS Animation

Plus en détail

Entretien des différents locaux

Entretien des différents locaux Fiche Pratique Entretien des différents locau Il n'eiste pas " la technique", mais plusieurs techniques qui seront élaborées sous forme de mode opératoire en tenant compte des contraintes du contete. Cependant,

Plus en détail

ENTRETIEN DES DIFFERENTS LOCAUX

ENTRETIEN DES DIFFERENTS LOCAUX ENTRETIEN DES DIFFERENTS LOCAUX Bionettoyage REGARD A., LYON Juillet 2010 Il n'eiste pas " la technique", mais plusieurs techniques qui seront élaborées sous forme de mode opératoire en tenant compte des

Plus en détail

COMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE

COMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE COMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE Chemin de la Bretèque 76230 BOIS-GUILLAUME Mois de juin 2001 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE

Plus en détail

PROCÉDURE. Code : PR-DSI-000-31

PROCÉDURE. Code : PR-DSI-000-31 Code : PR-DSI-000-31 PROCÉDURE Instance responsable : Direction des soins infirmiers Approuvée par : Diane Benoit Présentée et adoptée au comité de direction le : 16 janvier 2013 Entrée en vigueur le :

Plus en détail

Programme National de Prévention des infections associées aux soins en ES, 2009-2012

Programme National de Prévention des infections associées aux soins en ES, 2009-2012 Programme National de Prévention des infections associées aux soins en ES, 2009-2012 Pr Coordonnateur Groupe de Pilotage du Programme National de Lutte contre les Infections Nosocomiales Séminaire National

Plus en détail

Apprentissage: métiers ou filières Canton du lieu d'exercice. Diplôme préparé Stand contact

Apprentissage: métiers ou filières Canton du lieu d'exercice. Diplôme préparé Stand contact ACHETEUR (h/f) LE TRAIT (76) BAC+5 accessible BAC+3 CCI AGENT ENT. ESPACES VERTS GISORS AGENT ENT. ESPACES VERTS (x2) DAMVILLE AGENT ENTRETIEN ESPACES VERTS SAINT ANDRE de l'eure AMBULANCIER CORMEILLES

Plus en détail

Les Mesures Additionnelles aux Précautions Standard

Les Mesures Additionnelles aux Précautions Standard Les Mesures Additionnelles aux Précautions Standard Guide Romand pour la prévention des infections liées aux soins 1 Préambule Ce document est destiné à tous les professionnels travaillant dans les structures

Plus en détail

Service d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport

Service d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins

Plus en détail

La communication engageante dans la campagne de vaccination contre la grippe

La communication engageante dans la campagne de vaccination contre la grippe La communication engageante dans la campagne de vaccination contre la grippe L expérience du Centre Hospitalier de DIEPPE Chantal DELESTRE, infirmière de Santé au Travail Dr Stéphanie ROCHON EDOUARD, Praticien

Plus en détail

Hygiène des véhicules de transport sanitaire

Hygiène des véhicules de transport sanitaire 2 0 0 4 Hygiène des véhicules 2 0 0 4 de transport sanitaire Sommaire Les fiches d enregistrement sont insérées dans le rabat en 3 ème de couverture. Préambule... 3 Étude préliminaire, objectifs... 3 Recommandations

Plus en détail

SUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES

SUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES SUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES M. BERLAND Université Claude Bernard Lyon 1 Faculté de Médecine et de Maïeutique Lyon Sud Charles Mérieux 1 METHODES

Plus en détail

Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014

Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Nadège Caillere, Cire Océan Indien Dr Joao Simoes, Cellule de veille, d alerte et de gestion

Plus en détail

STAGE D'INITIATION AUX SOINS INFIRMIERS D'ACCES EN PCEM2 ou en 2ème ANNEE DE CHIRURGIE DENTAIRE

STAGE D'INITIATION AUX SOINS INFIRMIERS D'ACCES EN PCEM2 ou en 2ème ANNEE DE CHIRURGIE DENTAIRE FACULTÉ DE MÉDECINE FACULTÉ DE CHIRURGIE DENTAIRE Université de Strasbourg STAGE D'INITIATION AUX SOINS INFIRMIERS D'ACCES EN PCEM2 ou en 2ème ANNEE DE CHIRURGIE DENTAIRE JUILLET ou AOUT ou SEPTEMBRE 2012

Plus en détail

GESTION DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD 1, MAS 2 et FAM 3. Référentiels des pratiques

GESTION DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD 1, MAS 2 et FAM 3. Référentiels des pratiques GESTION DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD 1, MAS 2 et FAM 3 Référentiels des pratiques Juillet 2009 EHPAD 1 = Etablissement d Hébergement pour Personnes Agées Dépendantes MAS 2 = Maison d accueil spécialisé

Plus en détail

DISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT

DISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,

Plus en détail

Nathalie ARMAND, Praticien en hygiène - CH VALENCE Catherine BLANC, Infirmière hygiéniste - CH MONTELIMAR Philippe BURLAT, Médecin inspecteur de

Nathalie ARMAND, Praticien en hygiène - CH VALENCE Catherine BLANC, Infirmière hygiéniste - CH MONTELIMAR Philippe BURLAT, Médecin inspecteur de GUIDE D ELABORATION DU VOLET INFECTIEUX DU PLAN BLEU GROUPE DE TRAVAIL : Nathalie ARMAND, Praticien en hygiène - CH VALENCE Catherine BLANC, Infirmière hygiéniste - CH MONTELIMAR Philippe BURLAT, Médecin

Plus en détail

Offre de formation. itinéraire Agent polyvalent-e d entretien en charge des activités de nettoyage des locaux. https://inscription.cnfpt.

Offre de formation. itinéraire Agent polyvalent-e d entretien en charge des activités de nettoyage des locaux. https://inscription.cnfpt. 2015 Offre de formation itinéraire Agent polyvalent-e d entretien en charge des activités de nettoyage des locaux Inscription en ligne aux stages https://inscription.cnfpt.fr/ Délégation régionale Basse-Normandie

Plus en détail

JEUNES. Vous pouvez formuler 3 vœux au total, en complétant la fiche de vœux, après avoir consulté la liste des formations cijointe.

JEUNES. Vous pouvez formuler 3 vœux au total, en complétant la fiche de vœux, après avoir consulté la liste des formations cijointe. JEUNES INSCRITS DANS LES PÔLES ACCUEIL ET ACCOMPAGNEMENT DE LA MGI (PAA) OU AYANT UNE ANNÉE D INTERRUPTION DE SCOLARITÉ (récurrents) Vous souhaitez formuler des vœux d orientation en : - CAP 2 ans - BEP

Plus en détail

Liaison Bac Pro ASSP - BTS

Liaison Bac Pro ASSP - BTS Brigitte Rougier IEN SBSSA Sandrine Martinez PLP STMS Sarah Zemmouri PLP STMS L élaboration du plan de formation en Baccalauréat professionnel Liaison Bac Pro ASSP - BTS Baccalauréat professionnel «Accompagnement,

Plus en détail

Gestion des épidémies en FAM et MAS. 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015

Gestion des épidémies en FAM et MAS. 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015 Gestion des épidémies en FAM et MAS 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015 Rappels En EMS, le risque infectieux est présent, avec cumul des différents aspects de ce risque: Infections communautaires:

Plus en détail

L entretien en radiologie conventionnelle. Comment procède t on? Radiologie conventionnelle. Quel mobilier et matériel?

L entretien en radiologie conventionnelle. Comment procède t on? Radiologie conventionnelle. Quel mobilier et matériel? L entretien en radiologie conventionnelle Il existe plusieurs sortes d entretiens à l hôpital Selon le service, le risque infectieux, la zone à entretenir et les actes effectués, l entretien sera différent.

Plus en détail

Résumé des modifications intervenues : simplification et clarification des actions descriptives

Résumé des modifications intervenues : simplification et clarification des actions descriptives Référence : PT/RES/006-B Page :Page 1 sur 5 Objet : Maîtriser les dangers microbiologiques, biologiques, chimiques et physiques lors des opérations d épluchage, lavage et désinfection des légumes terreux,

Plus en détail

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre

Plus en détail

Contexte professionnel n 3 : Éco Clean

Contexte professionnel n 3 : Éco Clean Contexte professionnel n 3 : Éco Clean Table des matières I - Conditions de travail 3 II - Éco Clean : entretien d'immeubles et communs 5 III - Appartement meublé - résidence Calypso 7 IV - Classement

Plus en détail

C.CLIN Ouest. Hygiène des structures d hébergement pour personnes âgées. 2002 2. H 2. HYGIÈNE DES LOCAUX

C.CLIN Ouest. Hygiène des structures d hébergement pour personnes âgées. 2002 2. H 2. HYGIÈNE DES LOCAUX 2. H 2. HYGIÈNE DES LOCAUX 23 C.CLIN Ouest. Hygiène des structures d hébergement pour personnes âgées. 2002 2. HYGIÈNE DES LOCAUX 2.1 Classification des locaux par zone 2.2 Fréquence du nettoyage par local

Plus en détail

Stratégies de dépistage des bactéries multirésistantes. Qui? Pourquoi? Comment? Après? L exemple des MRSA

Stratégies de dépistage des bactéries multirésistantes. Qui? Pourquoi? Comment? Après? L exemple des MRSA Stratégies de dépistage des bactéries multirésistantes à l hôpital et en MRS: Qui? Pourquoi? Comment? Après? L exemple des MRSA Prof. Dr. Youri Glupczynski Unité d Hygiène hospitalière & Laboratoire de

Plus en détail

CENTRE NATIONAL DE LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE. www.cnfpt.fr Extraction du 10 juin 2013 à 09:22

CENTRE NATIONAL DE LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE. www.cnfpt.fr Extraction du 10 juin 2013 à 09:22 CENTRE NATIONAL DE LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE www.cnfpt.fr Extraction du 10 juin 2013 à 09:22 DOMAINE : SÉCURITÉ / Sous-domaine : Sécurité des agents au travail PRÉVENIR LES RISQUES PROFESSIONNELS

Plus en détail

La version électronique fait foi

La version électronique fait foi Page 1/6 Localisation : Classeur VERT Disponible sur Intranet A revoir : 10/2015 Objet : La présente procédure a pour objet de décrire les responsabilités et les principes pour la réalisation des prélèvements.

Plus en détail

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion

Plus en détail

FICHES INFORMATIVES HYGIENE DU PERSONNEL

FICHES INFORMATIVES HYGIENE DU PERSONNEL LE GOUVERNEMENT DU GRAND-DUCHÉ DE LUXEMBOURG Direction de la Santé FICHES INFORMATIVES HYGIENE DU PERSONNEL Un plan d hygiène permet de garantir la propreté du personnel et éviter toutes contaminations

Plus en détail

AMIGO Désinfecteur à chargement par le dessus

AMIGO Désinfecteur à chargement par le dessus AMIGO Désinfecteur à chargement par le dessus with people in mind UN APPAREIL PERFORMANT À DOUBLE FONCTION Amigo est un désinfecteur à chargement par le dessus, extrêmement facile à utiliser avec un évier

Plus en détail

La recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux

La recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux La recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux Marc Beaumont, kinésithérapeute - 5ème journée inter régionale GIRCI - Tours, 3 juin 2015 Qu est ce que la recherche clinique? «une

Plus en détail

Le guide des bonnes pratiques d hygiène et la qualité alimentaire en restauration

Le guide des bonnes pratiques d hygiène et la qualité alimentaire en restauration FORMATION : THEORIQUE C.H.R. / INTRA-ENTREPRISE MODULE Le guide des bonnes pratiques d hygiène et la qualité alimentaire en restauration TYPE DE FORMATION : Hygiène et sécurité, qualité normalisation,

Plus en détail

Construire & Vivre. Appels d offres à venir Planning prévisionnel. habitat 76, premier bailleur social de Seine Maritime

Construire & Vivre. Appels d offres à venir Planning prévisionnel. habitat 76, premier bailleur social de Seine Maritime Construire & Vivre Appels d offres à venir Planning prévisionnel habitat 76, premier bailleur social de Seine Maritime En savoir plus... www.habitat76.fr - Espace Partenaires 0 811 020 076 3 ème trimestre

Plus en détail

Référent et management

Référent et management Référent et management Manager pour une efficacité de prévention Rôle, mission du référent et relais avec l encadrement Comment fédérer tous les acteurs de soins Référent et management Manager pour une

Plus en détail

H A C C P. Hazard Analysis, Critical Control Point. Analyse des dangers, maîtrise des points critiques. Programme de formations.

H A C C P. Hazard Analysis, Critical Control Point. Analyse des dangers, maîtrise des points critiques. Programme de formations. H A C C P Hazard Analysis, Critical Control Point Analyse des dangers, maîtrise des points critiques Objectifs : L'HACCP est une norme de mise en œuvre destinée à évaluer les dangers, et, mettre en place

Plus en détail

RAPPORT D'OBSERVATIONS DÉFINITIVES SUR LA GESTION DU CENTRE HOSPITALIER RÉGIONAL DE ROUEN (LES SERVICES D URGENCE)

RAPPORT D'OBSERVATIONS DÉFINITIVES SUR LA GESTION DU CENTRE HOSPITALIER RÉGIONAL DE ROUEN (LES SERVICES D URGENCE) RAPPORT D'OBSERVATIONS DÉFINITIVES SUR LA GESTION DU CENTRE HOSPITALIER RÉGIONAL DE ROUEN (LES SERVICES D URGENCE) SOMMAIRE pages A L étude du contexte local en matière d urgences 2 I Le CHR dans l équipement

Plus en détail

LABO EXPRESS - 6, avenue Charles de Gaulle - 78150 Le Chesnay 451 372 361 00027 RCS Versailles SARL au capital de 20 000 Tél. 01.39.43.78.78 / Fax.

LABO EXPRESS - 6, avenue Charles de Gaulle - 78150 Le Chesnay 451 372 361 00027 RCS Versailles SARL au capital de 20 000 Tél. 01.39.43.78.78 / Fax. LABO EXPRESS - 6, avenue Charles de Gaulle - 78150 Le Chesnay 451 372 361 00027 RCS Versailles SARL au capital de 20 000 Tél. 01.39.43.78.78 / Fax. 01.39.43.78.79 www.laboexpress.fr SOMMAIRE I. PRESENTATION

Plus en détail

MASTER (M2) MANAGEMENT DU SOCIAL ET DE LA SANTÉ

MASTER (M2) MANAGEMENT DU SOCIAL ET DE LA SANTÉ MASTER (M2) MANAGEMENT DU SOCIAL ET DE LA SANTÉ Résumé de la formation Type de diplôme : MASTER 2 Domaine ministériel : Santé Présentation Les parcours du Master Management du social et de la santé s'efforcent

Plus en détail

Programme régional de Conversion rétrospective

Programme régional de Conversion rétrospective Programme régional de Conversion rétrospective L exemple du Pôle associé régional de Haute-Normandie Par Jeanne-Marie Rendu, Conseillère livre et lecture à la Drac Haute-Normandie et Séverine Garnier,

Plus en détail

Hygiène et prévention du risque infectieux en EHPAD. Maîtrise de la bio contamination et place du bio nettoyage. Jeudi 28 mai 2009

Hygiène et prévention du risque infectieux en EHPAD. Maîtrise de la bio contamination et place du bio nettoyage. Jeudi 28 mai 2009 Hygiène et prévention du risque infectieux en EHPAD Maîtrise de la bio contamination et place du bio nettoyage Jeudi 28 mai 2009 Alain LEFEBVRE - Cadre supérieur de santé Hygiéniste 1 Le bio nettoyage

Plus en détail

Gestion des incidents dans l UCPC

Gestion des incidents dans l UCPC Pharmacie Réseau Oncolor Gestion des incidents dans l UCPC Version 0-7 32.03.01 / Proc_gestion_incidents_v0.7 Réseau Oncolor 2013 1/14 Historique des modifications Date Version Description Auteurs 17/03/2010

Plus en détail

Recommandations des experts de la Société de réanimation de langue française, janvier 2002 Prévention de la transmission croisée en réanimation

Recommandations des experts de la Société de réanimation de langue française, janvier 2002 Prévention de la transmission croisée en réanimation Réanimation 2002 ; 11 : 250-6 2002 Éditions scientifiques et médicales Elsevier SAS. Tous droits réservés S1624069302002414/FLA RECOMMANDATIONS Recommandations des experts de la Société de réanimation

Plus en détail

4 PROTOCOLES DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION A APPLIQUER 1 - PROCEDURE APPROFONDIE DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION DES VEHICULES

4 PROTOCOLES DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION A APPLIQUER 1 - PROCEDURE APPROFONDIE DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION DES VEHICULES PROTOCOLE DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION DES TRANSPORTS SANITAIRES ET DE LEURS MATERIELS Selon les protocoles du CLIN, du SMUR 54 et du Groupe Synapse (69) Pour assurer une efficacité optimale du nettoyage

Plus en détail

Décrire l'ensemble des mesures de maîtrise et des mesures de surveillance dans des procédures ou modes opératoires portés à la connaissance de tous.

Décrire l'ensemble des mesures de maîtrise et des mesures de surveillance dans des procédures ou modes opératoires portés à la connaissance de tous. DEMARCHE HACCP EN CUISINE CENTRALE Alimentation GROSJEAN L, Vénissieux Juin 2010 Objectif La démarche HACCP (de l'américain Hazard Analysis Critical Control Point) est une méthode préventive visant à maîtriser

Plus en détail

Comment concevoir son lit biologique

Comment concevoir son lit biologique santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique

Plus en détail

BILLON, C. BURNAT, S.DELLION C. FORTAT, M. PALOMINO O. PATEY

BILLON, C. BURNAT, S.DELLION C. FORTAT, M. PALOMINO O. PATEY Gestion d une épidémie de Klebsiella pneumoniae (Kpn) productrice de carbapénèmase OXA 48 dans un service de Maladies nfectieuses et Tropicales francilien. C. BLLON, C. BURNAT, S.DELLON C. FORTAT, M. PALOMNO

Plus en détail

INTRODUCTION. en améliorant la prise en charge de l'hygiène bucco-dentaire dans ces établissements, en facilitant l'accès aux soins bucco-dentaires.

INTRODUCTION. en améliorant la prise en charge de l'hygiène bucco-dentaire dans ces établissements, en facilitant l'accès aux soins bucco-dentaires. INTRODUCTION I. MOTIFS DE L'ENQUETE L'accès aux soins bucco-dentaires des personnes âgées dépendantes peut être problématique avec pour conséquence un mauvais état de santé bucco-dentaire, d'autant plus

Plus en détail

Nouvel audit du grephh : evaluation des précautions complémentaires

Nouvel audit du grephh : evaluation des précautions complémentaires Actualités du CCLIN EST et de ses 5 antennes régionales Décembre 2013 Nouvel audit du grephh : evaluation des précautions complémentaires Dans le prolongement de l audit précautions standard, le Groupe

Plus en détail

L hygiène alimentaire en EPHAD

L hygiène alimentaire en EPHAD L hygiène alimentaire en EPHAD Isabelle Parmentier 24 mai 2012 L hygiène alimentaire en EPHAD Isabelle Parmentier 24 mai 2012 Introduction (1/2) Le repas est un moment «fort»de la journée des personnes

Plus en détail

ENTRETIEN DES DIFFERENTS LOCAUX 3.08

ENTRETIEN DES DIFFERENTS LOCAUX 3.08 ENTRETIEN DES DIFFERENTS LOCAUX 3.08 Il n'eiste pas " la technique", mais plusieurs techniques qui seront élaborées sous forme de mode opératoire en tenant compte des contraintes du contete. Cependant,

Plus en détail

Protection du personnel

Protection du personnel PROTOCOLE POUR L EVACUATION DES EXCRETAS PAR LES ENTREPRISES DE VIDANGE/NETTOYAGE ET LES ONG s (Version 1.0, 23 décembre 2010) Sommaire I. Objectifs du protocole II. Protection du personnel III. Aspects

Plus en détail

CAMPAGNE AFFICHAGE SEINE MARITIME. DIEPPE 38 faces 2 m² 25/05/2011-31/05/2011 AVENUE DES CANADIENS (X 2) RTE BONNE NOUVELLE/FACE DDE

CAMPAGNE AFFICHAGE SEINE MARITIME. DIEPPE 38 faces 2 m² 25/05/2011-31/05/2011 AVENUE DES CANADIENS (X 2) RTE BONNE NOUVELLE/FACE DDE CAMPAGNE AFFICHAGE SEINE MARITIME Villes Nb de faces Adresses Dates d affichage DIEPPE 38 faces 2 m² 25/05/2011-31/05/2011 AVENUE DES CANADIENS (X 2) RTE BONNE NOUVELLE/FACE DDE 80 AVENUE GAMBETTA AVENUE

Plus en détail

Contenu attendu des guides nationaux de bonnes pratiques d hygiène GBPH

Contenu attendu des guides nationaux de bonnes pratiques d hygiène GBPH Contenu attendu des guides nationaux de bonnes pratiques d hygiène GBPH Note d information à l usage des professionnels En complément de cette note, des informations relatives au contenu des GBPH sont

Plus en détail

Niveau d assurance de stérilité (NAS) Hôpital Neuchâtelois Sylvie Schneider Novembre 2007

Niveau d assurance de stérilité (NAS) Hôpital Neuchâtelois Sylvie Schneider Novembre 2007 Niveau d assurance de stérilité (NAS) Hôpital Neuchâtelois Sylvie Schneider Novembre 2007 Plan Objectif de la stérilisation Rappel théorique Niveau d Assurance Stérilité Conséquence Destruction des micro-organismes

Plus en détail

Hygiène Bucco Dentaire en EHPAD. 1 ère Réunion du groupe de travail régional «Espace Le Bien Vieillir» Angers Le 19 Janvier 2012

Hygiène Bucco Dentaire en EHPAD. 1 ère Réunion du groupe de travail régional «Espace Le Bien Vieillir» Angers Le 19 Janvier 2012 Hygiène Bucco Dentaire en EHPAD 1 ère Réunion du groupe de travail régional «Espace Le Bien Vieillir» Angers Le 19 Janvier 2012 Pourquoi un groupe régional Hygiène Bucco dentaire en EHPAD ARLIN Pays de

Plus en détail

La bourse. Locaux d activités et bureaux disponibles dans l Eure. Offres immobilières de l agence de développement économique du département de l Eure

La bourse. Locaux d activités et bureaux disponibles dans l Eure. Offres immobilières de l agence de développement économique du département de l Eure La bourse 57 Locaux d activités et bureaux disponibles dans l Eure Offres immobilières de l agence de développement économique du département de l Eure Eure Expansion, le partenaire privilégié de votre

Plus en détail

1 Organiser et gérer. son poste de travail

1 Organiser et gérer. son poste de travail 1 Organiser et gérer son poste de travail r é f é r e n t i e l Modes de contamination (contamination initiale) Hygiène du personnel Prévention des risques professionnels Situation Dès son arrivée dans

Plus en détail

Guide pour le choix des produits et des techniques d hygiène des locaux dans le respect du développement durable

Guide pour le choix des produits et des techniques d hygiène des locaux dans le respect du développement durable Guide pour le choix des produits et des techniques d hygiène des locaux dans le respect du développement durable GROUPE DE TRAVAIL INTER ETABLISSEMENTS DU RESEAU CoCLINNOR 2011 2012 1 Table des matières

Plus en détail

Mention Sciences de l Éducation Parcours Convention Santé Promotion 2010

Mention Sciences de l Éducation Parcours Convention Santé Promotion 2010 Parmi les 95 diplômés 2010 de la licence Sciences de l Éducation parcours Convention Santé, tous ont quitté Lille 3 en 2010/2011. Les 95 sortants ont été interrogés sur leur devenir au 1 er décembre 2012,

Plus en détail

Objet : Critères microbiologiques applicables aux auto-contrôles sur les carcasses d'animaux de boucherie. Destinataires d'exécution

Objet : Critères microbiologiques applicables aux auto-contrôles sur les carcasses d'animaux de boucherie. Destinataires d'exécution Ordre de méthode Direction générale de l'alimentation Sous-direction de la sécurité sanitaire des aliments Bureau des établissements d'abattage et de découpe 251 rue de Vaugirard 75 732 PARIS CEDEX 15

Plus en détail

L alimentation. du patient. paration et de service? Emilie GARDES - Xavier VERDEIL - Nicole MARTY CHU de Toulouse

L alimentation. du patient. paration et de service? Emilie GARDES - Xavier VERDEIL - Nicole MARTY CHU de Toulouse L alimentation du patient greffé de moelle osseuse Quelle nourriture? Quel contenant? Quel environnement de préparation paration et de service? Emilie GARDES - Xavier VERDEIL - Nicole MARTY CHU de Toulouse

Plus en détail

Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées en réanimation en France?

Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées en réanimation en France? 53 e congrès national d anesthésie et de réanimation. Infirmiers. Infirmier(e)s de réanimation 2011 Sfar. Tous droits réservés. Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées

Plus en détail

Mise en place de référents grippe au sein d un centre hospitalier

Mise en place de référents grippe au sein d un centre hospitalier Mise en place de référents grippe au sein d un centre hospitalier Sophie FOUCAULT, IDE Hygiéniste, FFC Service ECLIN P.MIR, C.JACOB, Praticiens de Santé au Travail R.HUE, Praticien Hygiéniste, Service

Plus en détail

Conditions générales d utilisation

Conditions générales d utilisation Conditions générales d utilisation de l Espace Client TOUTM du site malakoffmederic.com Les présentes conditions générales précisent les modalités d accès aux informations en ligne proposées sur l Espace

Plus en détail

Les précautions «standard» sont décrites dans la circulaire

Les précautions «standard» sont décrites dans la circulaire PRÉVENIR Précautions standard Les précautions «standard» sont décrites dans la circulaire DGS/DH - n 98/249 du 20 avril 1998 relative à la prévention de la transmission d agents infectieux véhiculés par

Plus en détail

Sélection de locaux d entreprise en Seine-Maritime proposée par Seine-Maritime Expansion. n 23

Sélection de locaux d entreprise en Seine-Maritime proposée par Seine-Maritime Expansion. n 23 n Novembre 0 Sélection de locaux d entreprise en Seine-Maritime proposée par Seine-Maritime Expansion Sommaire p. Carte des secteurs p./5 Locaux d activités p. Entrepôts p.7 Bureaux p.8 Centres locatifs

Plus en détail

Formation obligatoire d adaptation à l emploi

Formation obligatoire d adaptation à l emploi Cycle de formation Praxis Conforme à l arrêté du 16 juillet 2009 Formation obligatoire d adaptation à l emploi Agent de service mortuaire Madame, Monsieur, Depuis l arrêté du 16 juillet 2009 relatif à

Plus en détail

Hygiène alimentaire. Introduction

Hygiène alimentaire. Introduction Direction des études Mission Santé-sécurité au travail dans les fonctions publiques (MSSTFP) Hygiène alimentaire Introduction Le temps de travail ne permet pas souvent aux salariés de déjeuner chez eux

Plus en détail

Le 10 ème programme (2013-2018) de l Agence de l eau Seine-Normandie

Le 10 ème programme (2013-2018) de l Agence de l eau Seine-Normandie Le 10 ème programme (2013-2018) de l Agence de l eau Seine-Normandie Les aides aux activités économiques Franck LEROY Responsable du Service Investissements Collectivités et Industrie Direction Seine Aval

Plus en détail

Réseau AES Sud Est Lyon Hôtel Dieu 5/12/2006

Réseau AES Sud Est Lyon Hôtel Dieu 5/12/2006 Réseau AES Sud Est Lyon Hôtel Dieu 5/12/2006 La prévention des AES au Centre Hospitalier Lyon Sud HCL, au travers de 2 expériences de terrain réalisées en 2005 1 Origine de la démarche : Prévention des

Plus en détail

Surveillance des toxi-infections alimentaires collectives

Surveillance des toxi-infections alimentaires collectives Surveillance des toxi-infections alimentaires collectives Données de la déclaration obligatoire, 2012 En 2012, 1 288 foyers de toxi-infections alimentaires collectives (Tiac) ont été déclarés en France,

Plus en détail

Secteur Protégé d Hématologie

Secteur Protégé d Hématologie INFORMATIONS PATIENTS Secteur Protégé d Hématologie Centre accrédité de greffe de moelle osseuse et de cellules souches d hématopoïétiques Le Secteur d Hématologie est destiné à des patients atteints de

Plus en détail

Prévention de la transmission croisée des Bactéries Hautement Résistantes aux antibiotiques émergentes (BHRe)

Prévention de la transmission croisée des Bactéries Hautement Résistantes aux antibiotiques émergentes (BHRe) Prévention de la transmission croisée des Bactéries Hautement Résistantes aux antibiotiques émergentes (BHRe) Collection Documents Prévention de la transmission croisée des Bactéries Hautement Résistantes

Plus en détail

ALIMENTATION DE L IMMUNODEPRIME. I Rappel des risques liés à l alimentation de l immunodéprimé

ALIMENTATION DE L IMMUNODEPRIME. I Rappel des risques liés à l alimentation de l immunodéprimé Alimentation ALIMENTATION DE L IMMUNODEPRIME GARDES E, Toulouse Octobre 2009 Objectifs Fournir aux malades immunodeprimés une alimentation aussi dépourvue que possible de germes, de façon à ce qu'elle

Plus en détail

Les Infections Associées aux Soins

Les Infections Associées aux Soins Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999

Plus en détail