Service de radiodiagnostic Unité d'échographie. L échographie du sein. Introduction et systématique
|
|
- Claude Turgeon
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Service de radiodiagnostic Unité d'échographie L échographie du sein Introduction et systématique Pierre Frossard TRM 2003
2 Table des matières INTRODUCTION I RAPPEL ANATOMIQUE... p. 2 II LES INDICATIONS 1. But général... p Motifs à l échographie... p Les risques liés à l échographie... p. 6 III TECHNIQUE D EXAMEN 1. L équipement...p Protocole d exploration... p Conduite à tenir en présence d une image anormale... p Les ponctions et les biopsies... p Le repérage pré-opératoire... p Le contrôle de la pièce opératoire... p Apport du doppler couleur... p Apport des nouvelles techniques échographiques... p. 15 IV IMAGES ECHOGRAPHIQUES DU SEIN ET PATHOLOGIES 1. Les images normales... p Tableau de caractérisation des nodules... p Les images pathologiques...p. 26 BIBLIOGRAPHIE
3 1 INTRODUCTION Le cancer du sein est devenu l un des enjeux prépondérants dans le domaine de la santé publique. L échographie mammaire va donc jouer un rôle de plus en plus important et va intervenir à toutes les étapes de la prise en charge du cancer du sein: dépistage, diagnostic, ponction, biopsie, repérage préopératoire, intervention chirurgicale (contrôle des pièces opératoires) et surveillance. Parallèlement, les techniques échographiques ont beaucoup évolué ces dernières années: sonoct, Xres, sondes multiplanars, harmoniques, etc... Il devient donc de plus en plus intéressant d exploiter cette technique pour ses avantages (faible coût, absence d effets secondaire etc...). Malgré cela, sa généralisation dans le dépistage reste limitée pour diverses raisons: -le résultat reste opérateur-dépendant -difficulté à voir les microcalcifications -la nécessité d investir dans un appareil de dernière génération Il est donc extrêmement important de rester rigoureux et systématique lors d une échographie mammaire afin d en optimiser le résultat et le bénéfice.
4 2 I RAPPEL ANATOMIQUE Les seins sont constitués de tissu graisseux contenant les glandes mammaires. Ils reposent sur une couche musculaire, les muscles pectoraux, recouvrant eux-mêmes la paroi thoracique. Ils sont soutenus par un système constitué par la peau et des fibres pénétrant à l intérieur de la glande et participant ainsi à leur maintien. C est un tissu extrêmement hétérogène où coexistent des structures canalaires, glandulaires, fibro-conjonctives et adipeuses diversement enchevêtrées. L architecture de la glande mammaire comporte une vingtaine de lobes, eux-mêmes constitués de lobules au sein desquels se trouvent entre 10 et 100 acini ou Terminal Ductulo-Lobular Unit (TDLU), base de tout le raisonnement physiopathologique du sein. Tout ce système est organisé autour d un arbre galactophorique (fig.1). fig.1
5 3 Afin de pouvoir facilement situer les lésions, le sein a été divisé en quatre quadrants. De plus, on peut utiliser le système horaire pour affiner la précision de localisation (fig.2). (Sein droit) fig.2
6 4 II LES INDICATIONS 1. But général Le but principal d une écho est de confirmer ou d infirmer un diagnostic clinique ou mammographique et d éviter ou de guider un geste interventionnel (ponction ou biopsie). Il est également intéressant comme premier examen chez les femmes de moins de trente ans et permet de trouver des pathologies non vues sur la mammographie ou non détectées lors de l examen clinique. 2. Motifs à l échographie On va choisir une écho: a) En première intention lorsque l on est en présence d un nodule évocateur d un fibroadénome ou d un kyste chez une jeune femme, surtout si elle est enceinte. b) Le plus souvent en seconde intention devant une anomalie clinique ou mammographique et en cas de seins denses. En effet, tous âges confondus, 39% des femmes ont des seins denses, dont la majeure partie chez les femmes jeunes et les femmes post ménopausées sous traitement hormonal substitutif. Ceci pose des problèmes techniques à la qualité de la mammographie et un problème de perception d une lésion dû à la densité du tissu conjonctif et glandulaire. c) Lors de la présence d une masse ou d un nodule dans une zone difficilement accessible avec des clichés mammographiques (quadrant supéro-interne, paroi thoracique, creux axillaire). d) Lorsque la patiente porte des implants mammaires. e) Comme moyen de repérage lors d une ponction ou d une biopsie. f) Comme moyen de repérage préopératoire en marquant l emplacement du nodule. g) Comme moyen de contrôle d une pièce opératoire
7 5 3. Les risques liés à l échographie Bien que le rapport bénéfices / inconvénients soit en toutes circonstances favorable, il est préférable de connaître les risques liés à la mammographie; ne serait-ce que pour assurer une conservation des critères de qualité en ce qui concerne la dosimétrie, le positionnement et la compression. Aussi, faut-il s intéresser aux risques dus à l échographie mammaire. Statistiquement, bien qu avec les appareils de nouvelle génération il soit possible de découvrir de plus en plus de cancers infra-centimétriques, l échographie ne détecte que très rarement un cancer non vu à la mammographie. Cependant elle va permettre de mettre en évidence un grand nombre de lésions bénignes liquidiennes ou solides qui pourraient déboucher sur une surveillance accrue; ce qui générerait beaucoup d angoisse pour la patiente. III TECHNIQUE D EXAMEN 1. L équipement L équipement échographique s est beaucoup amélioré ces dernières années et on peut facilement apprécier la différence visuelle entre un examen pratiqué en 1990 et un examen pratiqué en 2000.
8 6 Cependant, les exigences en matière de senologie restent les mêmes: il faut des sondes hautes fréquences avec une bonne résolution spatiale (latérale et axiale) et une bonne résolution de contraste. Ces transducteurs seront bien sûr des barrettes droites. Bien qu il soit communément admis qu il est rare de diagnostiquer un cancer du sein sans signe mammographique ou clinique avec un examen échographique, si l on prend un appareil de nouvelle génération et que l on applique une technique d examen rigoureuse, certaines études démontrent que l on peut détecter de manière fiable des cancers infra-centimétriques non vus à la mammographie! 2 Protocole d exploration Il existe différentes façons de pratiquer une échographie mammaire. La plus classique est d installer la patiente en décubitus dorsal, le bras du côté à examiner derrière la tête. Ainsi le sein est étendu sur la cage thoracique et le creux axillaire facilement accessible. Si nécessaire, par exemple si la patiente à de volumineux seins, on peut mettre la patiente en légère oblique afin de mieux étaler le sein à examiner (OPD pour le sein gauche et inversement). Lorsque l on commence le balayage, il faut être systématique afin de ne pas laisser échapper le moindre centimètre de sein à l exploration. Il faut aussi veiller à laisser glisser son doigt en même temps afin de palper d éventuels nodules (fig.3). fig.3
9 7 On peut pratiquer plusieurs types de balayage: a) en ligne b) en zig-zag
10 8 c) convergent ou divergent Méthodologiquement, le plus simple est le balayage en zig-zag. Le point de départ en est le creux axillaire. Il faut être certain de bien sortir du sein à chaque aller-retour. Lors d un examen standard, on prend des images des ganglions axillaires ainsi que des quatre quadrants et du mamelon (fig.4). fig.4 Il est indispensable de réaliser ces prises d images de manière bilatérale afin que les deux seins soient entièrement explorés et imagés.
11 9 3. Conduite à tenir en présence d une image anormale Lors d un examen standard, il est fréquent de trouver des images nodulaires. Afin que l on puisse suivre la patiente dans le temps, il est nécessaire de: a) prendre des images avec des mesures du nodule b) noter son emplacement: -pictogramme -distance du mamelon (grâce aux images panoramiques (fig.5) c) mettre en évidence: -ses contours (flous ou nets, lobulés, spiculés, lisses) -sa forme (ronde, ovale à grand axe horizontal ou ovale à grand axe vertical) d) vérifier sa compressibilité e) éventuellement mettre la couleur (région très irriguée) f) poursuivre l examen jusqu au bout Attention en faisant les mesures, elles peuvent être trompeuses (fig.6) Il est important d exécuter ces opérations de façon assez rapide afin de ne pas inquiéter outre mesure la patiente.
12 10 fig.5 fig.6
13 11 4. Les ponctions et les biopsies On parlera de deux grands types de ponctions assistées par échographie: a) la ponction à l aiguille fine b) la ponction biopsie a) La ponction à l aiguille fine peut avoir deux fonctions: -antalgique lors de kyste(s) douloureux -diagnostique lors de nodule très hypoéchogène témoignant d un contenu liquide épais Elle se pratique simplement avec une aiguille conventionnelle et une rallonge semi-rigide permettant une aspiration avec une pression inverse suffisamment importante pour aspirer un contenu épais. La seringue peut être placée sur un pistolet d aspiration afin de faciliter la manœuvre (fig.7). Le contenu retiré sera, s il s agit d une intervention à but diagnostique, mis dans un liquide de conservation (ex. cytolite) pour une analyse cytologique. fig.7
14 12 b) La biopsie au trocart intervient généralement lorsque la lésion investiguée n est pas liquidienne. Elle se fait au moyen d un trocart (par exemple une biopince de 18 Gauge et de 10 cm). Le praticien devra faire attention à ce que l aiguille ne dépasse pas le sein lors du tir (proximité de la cage thoracique). Pour cela, la patiente sera installée de façon à ce que l accès tangentiel soit aisé. Ainsi on mettra, si nécessaire, la patiente en oblique postérieure droite ou gauche selon la partie du sein à biopsier (fig.8). fig.8 Toute ponction peut entraîner un déplacement cellulaire à distance de la lésion, le long du trajet de l aiguille. Bien qu il soit possible de distinguer certains signes caractérisant ce trajet (nécrose, microtraumatisme, hémorragie) lors de l analyse histologique, ceci pose un problème quand au diagnostic différentiel entre lésion in situ versus infiltrante. Il existe aussi la possibilité d une récidive sur le trajet de la biopsie mais celui-ci est faible (Celia Chao 2001: 3 cas).
15 13 5. Le repérage préopératoire Le repérage échographique est réalisé afin de délimiter une lésion que l on veut exciser. Le marquage se fait en général le jour précédent l intervention chirurgicale. Le radiologue fera un marquage au feutre indélébile de la zone où se situe la tumeur. 6. Le contrôle de la pièce opératoire Ce contrôle vise à savoir si la ou les lésions repérées par échographie ont bien été enlevées et donc si on les retrouve dans la pièce opératoire excisée. Lorsque la pièce arrive, il faut l installer dans les plus brefs délais car la patiente attend sur la table d opération. Pour investiguer le tissu, on le placera dans un bassinet réniforme rempli d eau désoxygénée. La sonde sera emballée dans un gant (non stérile) retenu par un élastique. Le radiologue procédera à la reconnaissance de la lésion en fonction des précédents clichés. 7. Apport du doppler couleur Il existe deux façons d approcher le doppler en senologie: a) recherche de modifications hémodynamiques des pédicules artériels b) détection de l angiogenèse tumorale ou des modifications vasculaires accompagnant les phénomènes inflammatoires. La majorité des auteurs privilégie la deuxième approche. Quelques travaux ont montré l apparition précoce autour et à l intérieur des tumeurs mammaires, surtout malignes, de néovaisseaux. L importance de cette néo-angiogenèse serait corrélée au risque métastatique. Ces données sont déjà utilisées dans l imagerie IRM avec l injection de produit de contraste. Cependant, devant une lésion focale du sein, la majorité des auteurs considère l examen doppler comme suspect ou positif lorsque l on voit: a) un flux intra-lésionnel b) au moins deux pédicules péri-lésionnels immédiats.
16 14 L enregistrement vélocimétrique et les courbes ne sont pas retenus comme significatifs. La découverte de ces flux ne signifie pas avec assurance la malignité de la tumeur, mais peut constituer un critère d évolutivité. 8. Apport des nouvelles techniques échographiques Nous assistons ces dernières années à de fulgurants progrès en ce qui concerne les applications informatiques utilisées en échographie. Ainsi, il est possible de réaliser des images multiplanars 3D et des images panoramiques. Ces dernières apportent un petit plus pour l examen des glandes mammaires, puisqu elles permettent de mesurer facilement les distances qui séparent le mamelon du nodule suspect même si cette distance dépasse la longueur de la sonde (fig.5). C est également un bon moyen d apprécier la glande dans son ensemble. Quant aux images tridimensionnelles, elles n apportent qu un intérêt ludique. Par contre, le fait de pouvoir visualiser trois plans de la zone d intérêt simultanément peut s avérer intéressant.
17 Bien que les techniques sonoct et Xres soient un plus quant à la qualité de l image, il faut rester attentif au fait que certaines images traduisant une pathologie (cône d ombre...) peuvent plus ou moins disparaître. Si l on a le moindre doute sur une région, il est bien d essayer de regarder cette région avec et sans ces techniques. 15
18 16 IV IMAGES ECHOGRAPHIQUES DU SEIN ET PATHOLOGIES 1. Les images normales Sur une coupe échographique normale, on distingue, de la superficie à la profondeur, le plan cutané, la graisse sous-cutanée, le tissus fibro-glandulaire, la graisse pré-pectorale, le muscle pectoral et les côtes (fig.9 p.17). 2. Tableau de caractérisation des nodules Malin Présence d au moins une de ces caractéristiques spiculation halo épais échogène microlobulation contours anguleux hyperéchogénicité marquée extension intracanalaire ombre acoustique aspect de branchement plus haut que large Indéterminé Pas d aspect malin Bénin Pas d aspect malin et une de ces trois caractéristiques forme élipsoïde et pseudo capsule fine 2 ou 3 lobulations et pseudo capsule fine échogène hyperéchogénicité homogène
19 17
20 18 3. Les images pathologiques a) Le kyste bénin: Il a une paroi fine, un contenu anéchogène et présente un net renforcement postérieur. Il peut être unique ou multiple. S il est enflammé, sa paroi s épaissit et on a des échos internes. Il y a également la présence plus ou moins visible d un œdème péri-lésionnel. Il est possible que son contenu soit hypoéchogène si le kyste est butyreux ou s il a saigné. b) le fribroadénome: C est un nodule rond ou ovalaire à grand axe parallèle à la peau. Il est hypoéchogène, homogène avec, parfois, des travées fibreuses. Il peut être régulier ou polylobé, unique ou multiple.
21 19 c) le papillome: Il s agit d un nodule discrètement échogène au sein d un canal galactophore dilaté (ou canal tubulaire) entouré d un manchon échogène. Il peut également se trouver dans un kyste et peut être unique ou multiple. d) la tumeur phyllode: C est une masse ovoïde, hyperéchogène avec, souvent, un contenu hétérogène.
22 20 e) l hamartome ou adénofibrome: C est une masse volumineuse de même aspect que le sein normal (un sein dans le sein). f) le lipome: C est un nodule graisseux peu différentiable du lobule graisseux car leurs échogénicités sont souvent proches.
23 21 g) le ganglion intra-mammaire: C est une lacune hypoéchogène ovalaire à centre hyperéchogène. h) l abcès: C est une formation hypoéchogène hétérogène avec une paroi plus échogène et épaisse.
24 22 i) l hématome: C est une formation hypoéchogène hétérogène. j) la gynécomastie: Visualisation d un tissu glandulaire chez l homme. Cette glande peut développer, dans de rares cas, un cancer généralement de type canalaire infiltrant.
25 23 k) le carcinome: Il existe deux formes typiques de carcinome: - l adénocarcinome canalaire - l adénocarcinome lobulaire Ils peuvent être in situ ou infiltrants. C est une image irrégulière, floue, hypoéchogène, souvent unilatérale et unique. Parfois, l image irrégulière infiltre le tissu graisseux sous-cutané. Elle est également non compressible avec une atténuation postérieure. On peut parfois repérer des calcifications intratumorales. l) les lésions inflammatoires: Elles peuvent être d origine physique, chimique, bactérienne, virale ou cancéreuse. Le processus inflammatoire se traduira par: -l épaississement cutané sous forme d une bande hyperéchogène supérieure à 2 mm d épaisseur -la dilatation des canaux lymphatiques visibles dans le derme sous forme de structure hypoéchogène cheminant plus ou moins parallèlement à la peau. -l éventuelle lésion tumorale responsable.
26 24 Cytostéatonécrose: kyste atypique Cancer inflammatoire à paroi interne pseudovégétante m) les prothèses mammaires: En plus du contrôle normal d un sein posant une difficulté supplémentaire d interprétation au niveau mammographique, on peut rechercher une rupture de la prothèse, un affaissement de celle-ci ou un hématome périprothétique. Si l enveloppe de cette prothèse est régulière et le contenu anéchogène, cela signe l absence de rupture. Si elle est déformée avec des plis accentués, c est un affaissement de la prothèse. aspect normal, anéchogène d une prothèse de silicone rupture d une prothèse de silicone
27 BIBLIOGRAPHIE Principes d anatomie et de physiologie: 2ème édition française; Tortora & Grabowski Le sein radiodiagnostic clinique: Medsi, ed.1986 Echographie du sein: diagnostique et interventionnelle; J. Michelin, L. Lévy; Masson Guide pratique d ultrasonographie mammaire: M Rombaut, E Pluygers; Masson Seins inflammatoires: AF Bertrand, centre Paul Papin, Angers, Pathologies bénignes du sein: Evolution du sein dans le temps: indication de l imagerie; B. De Korvin CHRU- Rennes; Exploration doppler couleur du sein: A.Carsin; Centre Eugène Marquis - Rennes Conduite à tenir en pratique sénologique quotidienne: B. De Korvin, CHRU- Rennes; Les risques de l imagerie en sénologie: Newsletter de sénologie de février 2002, Cancers infracentimétriques du sein: Valeur primordiale de l échographie; P.David, M.-C. Guer, C. Lecoanet, R. Derosene, E. Dissay; Centre d imagerie médicale le bois fleuri, Albertville; Pathologies du sein:
IRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailSein inflammatoire. Isabelle Leconte Cliniques universitaires St Luc
Sein inflammatoire Isabelle Leconte Cliniques universitaires St Luc Sein inflammatoire 3 types Mastites infectieuses Mastites non infectieuses Cancer inflammatoire 2 situations cliniques Allaitement Hors
Plus en détailDIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE. Examen du Tronc Commun sous forme de QCM. Janvier 2012 14 h à 16 h
ANNEE UNIVERSITAIRE 2011-2012 DIPLÔME INTERUNIVERSITAIRE D ECHOGRAPHIE Examen du Tronc Commun sous forme de QCM Janvier 2012 14 h à 16 h Les modalités de contrôle se dérouleront cette année sous forme
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements, soins et innovation OCTOBRE 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein in situ COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome
Plus en détailTUMEURS ET PSEUDO-TUMEURS DES PARTIES MOLLES : QUEL CRÉDIT PEUT-ON ACCORDER À L ÉCHOGRAPHIE?
TUMEURS ET PSEUDO-TUMEURS DES PARTIES MOLLES : QUEL CRÉDIT PEUT-ON ACCORDER À L ÉCHOGRAPHIE? R.CAMPAGNA, F.THEVENIN, D.RICHARME, H.GUERINI, A.FEYDY, F.LAROUSSERIE, JL.DRAPÉ Service de Radiologie B CHU
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailF JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010
F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010 Une anomalie ACR5 n est pas synonyme de malignité (VPP>95%) Quelle CAT après un
Plus en détailApport de l IRM dans la
Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction
Plus en détailDépistage et prévention du cancer du sein
Actualisation du référentiel de pratiques de l examen périodique de santé Dépistage et prévention du cancer du sein Février 2015 État des connaissances sur le cancer du sein Structure anatomique et aspect
Plus en détailArtéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université
Plus en détailComprendre. le Cancer du sein. Mise à jour. Guide d information et de dialogue à l usage des personnes malades et de leurs proches
Comprendre le Cancer du sein Mise à jour Guide d information et de dialogue à l usage des personnes malades et de leurs proches Ce guide s inscrit dans le cadre d un programme réalisé en partenariat avec
Plus en détailDe la chirurgie du nodule aux ganglions
De la chirurgie du nodule aux ganglions Docteur Xavier CARRAT Institut Bergonié Clinique Saint Augustin Chirurgie des lésions bénignes de la thyroïde problématique opératoire «simple» avec indication portée
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailL ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE. Vincent de PARADES PARIS
L ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE Vincent de PARADES PARIS INTRODUCTION L incontinence anale du post-partum partum relève de deux mécanismes : la déchirure de l
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailTECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING
TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT
Plus en détailUNE INTERVENTION CHIRURGICALE AU NIVEAU DU SEIN
UNE INTERVENTION CHIRURGICALE AU NIVEAU DU SEIN Informations générales Pour vous, pour la vie Cette brochure vise à vous fournir des informations générales concernant l intervention chirurgicale que vous
Plus en détailDéveloppement d'une nouvelle interface utilisateur multi-modalité en scanner interventionnel
Développement d'une nouvelle interface utilisateur multi-modalité en scanner interventionnel E. de Kerviler, C. de Bazelaire, P. Coulon*, S. Gotman**, J Yanof***, C. Bauer***J. Sapir**. Service de Radiologie,
Plus en détailTVP fémorale. Systématisation. La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier. Thrombus mobile
Systématisation VCI Fémorale Superf. 3/4 Iliaque Poplitée La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier Mars 2015 Fémorale Sural Difficultés et Pièges: écho-doppler Veineux
Plus en détailLes grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY
Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique
Plus en détailBIOPSIE PAR ASPIRATION Sous stéréotaxie
Vous avez appris qu une anomalie a été détectée lors de votre mammographie. Afin d investiguer cette anomalie, le radiologue a pris la décision d effectuer une biopsie par aspiration sous stéréotaxie.
Plus en détailÉchographie normale et pathologique du grand pectoral
Échographie normale et pathologique du grand pectoral JL Brasseur, N Gault, B Mendes, D Zeitoun-Eiss, J Renoux, P Grenier G H Pitié-Salpêtrière Introduction La pathologie du grand pectoral est relativement
Plus en détailBIOPSIE de MOELLE OSSEUSE
BIOPSIE de MOELLE OSSEUSE Le prélèvement de moelle osseuse? La moelle osseuse, tissu hématopoïétique situé dans la cavité centrale des os, peut être prélevée de deux façons : -par ponction sternale -par
Plus en détailTUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE
1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailRecherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches. Les cancers du sein
Recherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches Les cancers du sein G R A N D P U B L I C Les cancers du sein Aujourd'hui, en France, comme dans de nombreux pays
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailMoyens d étude de la peau
Moyens d étude de la peau Dr. Yannick Le Corre yalecorre@chu-angers.fr Service de Dermatologie Vénéréologie Pr. L. Martin 2011-2012 CHU Angers UE Revêtement cutané Dermoscopie ou Dermatoscopie Examen de
Plus en détailLe dépistage du cancer du sein. Une information de la Ligue contre le cancer
Le dépistage du cancer du sein Une information de la Ligue contre le cancer Impressum _Editrice Ligue suisse contre le cancer Effingerstrasse 40 case postale 8219 3001 Berne tél. 031 389 91 00 fax 031
Plus en détailQu est-ce que le cancer du sein?
Cancer du sein Qu est-ce que le cancer du sein? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique de ESMO
Plus en détailDENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR
DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR C Andreux et F L Huillier H Guerini, A Feydy, X Poittevin, F Thevenin, R Campagna, JL Drapé, A Chevrot Hôpital COCHIN, Paris, France OBJECTIF Proposer
Plus en détailLA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat
JFR 2007 LA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat Xavier Heymans Avocat à la Cour de Bordeaux www.heymans-avocat.com INTRODUCTION Rejet de la fatalité Socialisation du risque Responsabilisation
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailLASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.
LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus
Plus en détailAPONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras
APONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras Didier FONTÈS Institut Main, Epaule et Sport Paris Espace Médical Vauban - Paris VII e Séminaire DIU d Arthroscopie 2012 Le
Plus en détailOmnipraticiens INDEX F - PEAU - PHANÈRES - TISSU CELLULAIRE SOUS-CUTANÉ
INDEX INDEX Page F - PEAU - PHANÈRES - TISSU CELLULAIRE SOUS-CUTANÉ Abcès......................................................... F-2 Hématome...................................................... F-2
Plus en détailLe cliché thoracique
Le cliché thoracique Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Nomenclature radiologique... 1 2 Le cliché thoracique de face... 2 2. 1 Qualité du cliché... 1 2. 2
Plus en détailA l Assistance Publique - Hôpitaux de Marseille, Octobre Rose est l occasion de mettre en valeur la filière de soins dédiée au cancer du sein.
OCTOBRE ROSE 2013 La campagne Octobre Rose a pour but d inciter les femmes de 50 à 74 ans à participer au dépistage organisé du cancer du sein. Une femme sur trois ne se fait pas dépister ou pas de manière
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailItem 288 : Troubles des phanères : Onyxis
Item 288 : Troubles des phanères : Onyxis Collège National des Enseignants de Dermatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières OBJECTIFS... 2 I Atteinte matricielle avec modification
Plus en détailCompte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique
Compte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique À partir de la Vème année Médecine Générale et notamment pour les médecins anatomopathologues ANATOMIE PATHOLOGIQUE Hôpital du Bon Secours
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailQuel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?
Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe
Plus en détailSymposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones
Symposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones d Angéiologie 8 Janvier 2010 Historique 1550 Falloppio
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailQuels sont les facteurs qui font augmenter les risques de cancer du rein?
Qu est-ce que le cancer du rein? L adénocarcinome rénal est le type le plus fréquent de cancer du rein 1. Le rôle des reins consiste à filtrer le sang et à évacuer les déchets de l organisme dans l urine.
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailLe Lipocontrol contre les amas graisseux
Extrait du BLOG VOTRE BEAUTE Le Lipocontrol contre les amas graisseux La lipolyse laser, nous vous en avions parlé dans la rubrique "Moi j'ai osé" du Votre Beauté de juin 2007. En une seule séance, sans
Plus en détailMaladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005
Maladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005 1. Définition Les angiomes sont des tumeurs très fréquentes. La définition de TOURAINE rend parfaitement compte de la complexité
Plus en détailAccidents musculaires. Dr Marie-Eve Isner-Horobeti Praticien Hospitalier Service de Médecine Physique et de Réadaptation CHU Strasbourg-Hautepierre
Accidents musculaires Dr Marie-Eve Isner-Horobeti Praticien Hospitalier Service de Médecine Physique et de Réadaptation CHU Strasbourg-Hautepierre I. Lésions musculaires aiguës Classification Clinique
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailLe dépistage des cancers
Le dépistage des cancers G R A N D P U B L I C Octobre 2009 Le dépistage des cancers Détecter tôt certains cancers permet de les traiter mieux, c'est-à-dire de proposer des traitements moins lourds, et
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailDOSSIER DE PRÉSENTATION
DOSSIER DE PRÉSENTATION GUSTAVE ROUSSY ET LE CANCER DU SEIN OCTOBRE 2013 Gustave Roussy et le cancer du sein octobre 2013 page 1 DOSSIER DE PRÉSENTATION Gustave Roussy et le cancer du sein GUSTAVE ROUSSY,
Plus en détailLes sciences de l ingénieur appliquées à la prise en charge du
Les sciences de l ingénieur appliquées à la prise en charge du cancer : enjeux et opportunités Début de cartographie des enjeux cliniques et technologiques gq Jean-François MENUDET, Cluster I-Care Cartographie
Plus en détailASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité
Hôpitaux Universitaires de Genève ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Introduction (1) L IVG chirurgicale est
Plus en détailanswers Issues and Answers est de retour Nouvel expandeur tissulaire mammaire Contour Profile 6200 de Mentor Un expandeur inégalé!
& INTERNATIONAL AUTOMNE 2002 answers Issues and Answers est de retour Afin de vous fournir les dernières actualités et informations de l industrie relatives à nos produits et services, Mentor est heureuse
Plus en détailneurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004
11/02/10 Structures sensibles du crâne neurogénétique Cheveux Cuir chevelu Tissu sous cutané Périoste Os Dure mère Méninges molles Cerveau vaisseaux MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE
Plus en détailTout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Docteur Antoine MONET Centre d Imagerie Fonctionnelle Clinique Saint Augustin Jeudi 25 Septembre 2008 Un peu d histoire
Plus en détailModule digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :
Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne
Plus en détailQUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?
QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailUNIVERSITE TOULOUSE III PAUL SABATIER FACULTES DE MEDECINE THESE
UNIVERSITE TOULOUSE III PAUL SABATIER FACULTES DE MEDECINE ANNEE 2013 2013 TOU3 1577 THESE POUR LE DIPLOME D ETAT DE DOCTEUR EN MEDECINE MEDECINE SPECIALISEE CLINIQUE Présentée et soutenue publiquement
Plus en détailVeraviewepocs 3De Le Panoramique dentaire qui répond à tous vos besoins en imagerie tridimensionnelle (3D)
Veraviewepocs 3De Le Panoramique dentaire qui répond à tous vos besoins en imagerie tridimensionnelle (3D) Thinking ahead. Focused on life. Veraviewepocs 3De Le générateur à Rayons X pour tous vos besoins
Plus en détailTous droits de traduction, d'adaptation et de reproduction par tous procédés, réservés pour tous pays.
LE CANCER DU SEIN Conduite à tenir diagnostique devant une image mammographique infraclinique anormale Conduite thérapeutique devant un cancer du sein infraclinique Suivi des patientes traitées pour un
Plus en détailLymphome non hodgkinien
Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque
Plus en détailLa lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.
Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium
Plus en détailDÉFINITION OBJECTIFS. Information délivrée le : Cachet du Médecin : Au bénéfice de : Nom : Prénom :
Version 2 mise à jour nov 2011 Information délivrée le : Cachet du Médecin : Au bénéfice de : Nom : Prénom : Cette fiche d information a été conçue sous l égide de la Société Française de Chirurgie Plastique
Plus en détailConduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005)
Conduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005) Pré-Requis : Anatomie faciale Principes de traitement des plaies Principes d'antibiothérapie
Plus en détailPositionnement de l implant
HORS SÉRIE Hors série - 2009 Positionnement de l implant Déterminants biologiques et précision NobelActive NobelGuide Chirurgie à minima et esthétique ESTHÉTIQUE ET CHIRURGIE GUIDÉE AVEC NOBELACTIVE PAR
Plus en détailRésultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants.
Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants. P. Fajadet, L. Carfagna, O. Loustau, J. Vial, J. Moscovici, J.J. Railhac, N. Sans. Radiologie Interventionnelle
Plus en détailImagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque
Imagerie TDM et IRM des obstacles du bas cholédoque O Bruot, V Laurent, P.A Ganne, C Barbary, S Corby, E Kermarrec, S Béot, D Régent Service de Radiologie Brabois Adultes JFR Octobre 2006 CHU NANCY Préface
Plus en détailChambres à cathéter implantables
Chambres à cathéter implantables Pas de conflits d intérêt avec le sujet traité APHAL Formation PPH Jeudi 19 mars 2015 Sébastien GEORGET Pharmacie Centre Psychothérapique de Nancy Définition (1) Définition
Plus en détailHEL-01298-de-0513-0001-21494. Des maladies dépistées grâce aux examens préventifs
HEL-01298-de-0513-0001-21494 Des maladies dépistées grâce aux examens préventifs Sommaire 1. Pourquoi des examens préventifs? 3 2. Examens préventifs pour le dépistage des facteurs de risque/maladies du
Plus en détailINJECTION INTRAMUSCULAIRE
Prestations de services / Dienstleistungen INJECTION INTRAMUSCULAIRE Fig. 1 1. GENERALITES 1.1. Définition L'injection intramusculaire consiste à introduire une substance médicamenteuse dans le tissu musculaire.
Plus en détailUE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire
UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP
Plus en détailOSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE
OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE Jurgita Bruzaite,, Monique Boukobza,, Guillaume Lot* Services de Neuroradiologie et de Neurochirurgie
Plus en détailGROUPE CLINIQUE DU MAIL
DOSSIER DE PRESSE GROUPE CLINIQUE DU MAIL Le centre d imagerie médicale conforte son implantation sur le site du Mail avenue Marie-Reynoard à Grenoble & présente son nouveau scanner spiralé, issu de la
Plus en détailIRM hépatique: ce que le manipulateur doit savoir
CHU Henri Mondor IRM hépatique: ce que le manipulateur doit savoir P.Zerbib, A.Luciani, F.Pigneur, R.Raymond, A.Rahmouni CHU Henri Mondor Créteil Service Imagerie Médicale Pr.A.RAHMOUNI Objectifs Comprendre
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailDocteur, j ai une masse au sein. Est-ce un cancer? UN DIAGNOSTIC DE CANCER est posé chez 11 % des
Le sein Docteur, j ai une masse au sein. Est-ce un cancer? Réjean Duplain, Marie-Michèle Livernoche et Judy Deschesnes 4 M me Massé,45 ans,entre en pleurs dans votre cabinet.elle a trouvé une bosse sur
Plus en détailG U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie
G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge du cancer du foie Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer
Plus en détailDr FOUGERAIS Guillaume, formateur Génération Implant, Nantes.
La photographie intra buccale : méthode de réalisation. Dr FOUGERAIS Guillaume, formateur Génération Implant, Nantes. La photographie numérique est un formidable outil de communication pour nos patients
Plus en détailCollection Soins infirmiers
Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic
Plus en détailDEFINITION OBJECTIFS PRINCIPES
Cette fiche d'information est un document remis aux patients avant une intervention chirurgicale. Les chirurgiens sont aujourd'hui tenus à fournir une information objective et compréhensible sur les risques
Plus en détailTumeurs cutanées épithéliales et mélaniques
Examen National Classant Module transdisciplinaire 10 : Cancérologie, onco-hématologie Tumeurs cutanées épithéliales et mélaniques Mélanomes NOUVEAU P. SAIAG (Ambroise Paré, Boulogne Billancourt), J.-J.
Plus en détailInformations sur le cancer de l intestin
Informations sur le cancer de l intestin Le cancer de l intestin fait partie des affections malignes les plus fréquentes et représente la deuxième cause de mortalité par cancer en Suisse. Cette maladie
Plus en détailCancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons.
Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Un taux de récidive de 30% dans les dix premières années chez des patientes en rémission complète après un traitement curatif, requiert
Plus en détailse reconstruire avec ou sans intervention chirurgicale
Des questions que vous vous posez et que vous pouvez poser aux soignants Comment se reconstruire avec ou sans intervention chirurgicale Vous allez avoir ou vous avez eu une ablation du sein (mastectomie),
Plus en détailImages en «franc» hypersignal T2 du pelvis féminin Atlas iconographique
Images en «franc» hypersignal du pelvis féminin Atlas iconographique Cavet M, Soyer P, Malzy P, Bendavid S, Merlin A, Martin-Grivaud S, Rymer R RADIOLOGIE VISCERALE ET VASCULAIRE, HOPITAL LARIBOISIERE
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailLes traitements du cancer invasif du col de l utérus
JUIN 2011 Les traitements du cancer invasif du col de l utérus Nom du chapitre COLLECTION GUIDES PATIENTS LE COL DE L UTÉRUS LE CHOIX DES TRAITEMENTS LA CHIRURGIE LA RADIOTHÉRAPIE LA CHIMIOTHÉRAPIE LES
Plus en détailLES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES. Le 2 décembre 2008
LES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES Le 2 décembre 2008 DEROULEMENT DE LA RENCONTRE 1ère partie : les localisations des TMS, les facteurs d'apparition, la prise en charge thérapeutique 2ème partie : les chiffres
Plus en détail1 of 5 02/11/2012 14:03
1 of 5 02/11/2012 14:03 Le cancer du chat par Sandrine Cayet, docteur-vétérinaire Le cancer chez le chat n est pas une fatalité. Un cancer chez le chat, c est comme chez l homme, ça se diagnostique, ça
Plus en détailLES ORTHESES DE COMPRESSION CONTENTION
LES ORTHESES DE COMPRESSION CONTENTION Parfois sous estimées, les orthèses de compression contention augmentent le niveau de vigilance par leur mécanisme de «rappel à l ordre», préviennent les récidives
Plus en détail