Cas clinique # 3. Patient de 46 ans Sans antécédent particulier Tabagisme occasionnel Grippe et réalisation d une tomodensitométrie thoracique
|
|
- Éloïse Breton
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Nodule pulmonaire
2 Cas clinique # 1 Patient de 69 ans Tabac 2 paquets de cigarette par jour de 20 à 60 ans Il y a 7 ans : adénocarcinome pulmonaire (LSD) traité par radiochimiothérapie et guéri Apparition d un nodule dans le lobe supérieur gauche (taille : 12 mm)
3 Cas clinique # 2 Patient de 62 ans Sans antécédent particulier sauf une pancréatite sur calcul biliaire N a jamais fumé Réalisation d une tomodensitométrie thoracique suite à une douleur thoracique dorsale fugace
4 Cas clinique # 3 Patient de 46 ans Sans antécédent particulier Tabagisme occasionnel Grippe et réalisation d une tomodensitométrie thoracique
5 Cas clinique # 1 Patient de 69 ans Tabac 2 paquets de cigarette par jour de 20 à 60 ans Il y a 7 ans : adénocarcinome pulmonaire (LSD) traité par radiochimiothérapie et guéri Apparition d un nodule dans le lobe supérieur gauche (taille : 12 mm)
6 Probabilité de cancer pulmonaire? Rapports de vraisemblance : Taille (1,2 cm) : 0,1 Limites (mal définies TDM) : 5,5 Localisation (lobe supérieur gauche): 1,2 Age (69 ans) : 2,1 Ex-tabagique (7 ans) : 0,5 Antécédent de cancer : 4,95 Probabilité a priori (contexte clinique) : 40 % Cote pré-test : 0,67 RV : 3,42 Cote post-test : 2,29 Probabilité a posteriori : 70 %
7 Si on réalise une TEP : TEP + : RV 4 Probabilité a posteriori : 90 % Biopsie (bronchoscopie) : adénocarcinome
8 Cas clinique # 2 Patient de 62 ans Sans antécédent particulier sauf une pancréatite sur calcul biliaire N a jamais fumé Réalisation d une tomodensitométrie thoracique suite à une douleur thoracique dorsale fugace
9 Probabilité de cancer pulmonaire? Rapports de vraisemblance : Taille (2,3 cm) : 1,7 Limites (mal définies TDM) : 5,5 Localisation (lobe inférieur gauche): 0,66 Age (62 ans) : 2,1 Non fumeur : 0,15 Probabilité a priori (contexte clinique) : 40 % Cote pré-test : 0,67 RV : 1,93 Cote post-test : 1,29 Probabilité a posteriori : 56 %
10 Si on réalise une TEP : TEP + : RV 4 Probabilité a posteriori : 84 % Décision de thoracotomie
11 Cas clinique # 3 Patient de 46 ans Sans antécédent particulier Tabagisme occasionnel Grippe et réalisation d une tomodensitométrie thoracique
12 Probabilité de cancer pulmonaire? Rapports de vraisemblance : Taille (0,9 cm) : 0,1 Limites (régulières TDM) : 0,3 Localisation (lobe supérieur droit) : 0,66 Age (46 ans) : 0,7 Non fumeur : 0,15 Probabilité a priori (contexte clinique) : 40 % Cote pré-test : 0,67 RV : 0,002 Cote post-test : 0,001 Probabilité a posteriori : 0,1 %
13 Si on réalise une TEP : TEP - : RV 0,05 Probabilité a posteriori : % Décision de suivi
14 Définition
15 Définition : variable Nodule pulmonaire: opacité radiologique sphérique qui mesure jusqu à 3 cm de diamètre et est complètement entourée de parenchyme pulmonaire Masse pulmonaire: opacité supérieure à 3 cm
16 S'assurer que l opacité est bien parenchymateuse images pariétales : mamelons, molluscum, lipome, neurofibrome, abcès, tumeur pariétale images paramédiastinales : vasculaires (anévrysme), goître, adénopathies, dysembryome (antérieur), neurinome (postérieur), lymphomes images pleurales : tumeur, épanchements (enkystés)
17 Dépistage taille ¾ à 1,5 mm dénomination opacité punctiforme 1,5 à 3 mm micronodule 3 à 9 mm nodule > 10 mm opacité ronde (macronodulaire) > 3 cm masse
18 Prévalence Probabilité a priori
19 Distinguer Contexte clinique : ~40% Contexte dépistage : ~10%
20 114 nodules < 3 cm
21 194 opacités < 4 cm
22 Prévalence dans les études de dépistage de cancer pulmonaire Étude (année) n Tabac Examen Prévalence nodule Prévalence cancer chez les patients ayant des nodules Veronesi (2006) % TDM BD 10% 10% Henschke (2004) 2897 TDM BD 21% 13% Gohagan (2004) % TDM BD 8% 3,8% Li (2004) 7847 TDM BD 10,1% Swensen (2003) % TDM BD 51% 1,1% Nawa (2002) % TDM BD 26% 1,7% Henschke (2001) % 23% 12% Diederich (2000) > % TDM BD 20%
23 Contexte clinique
24 Nodule pulmonaire solitaire Fréquemment découverte de hasard au vu de l usage intensif des tomodensitométries dans la mise au point des pathologies respiratoires
25 Examen clinique Aucune plainte le plus souvent
26 Symptômes dyspnée et/ou cyanose? lymphangite carcinomateuse hémoptysie douleur thoracique (envahissement pleural) manifestations extrapulmonaires cancer, tuberculose, aspergillome (intracavitaire) aiguë : infarctus pulmonaire chronique : cancer cancer affection respiratoire récente infection, embolie pulmonaire plaintes ORL (sinusite, rhinite) Wegener
27 Contexte pays d'origine : endémie (kyste hydatique) cancer primitif connu : métastases transplantation, diabète, dénutrition... : tuberculose phlébite, immobilité : embolie pulmonaire tabagisme : cancer amiante : cancer histoire familiale ou environnementale de tuberculose voyages exotiques, Amérique
28 Examen physique hippocratisme digital : cancer bruit continu : fistule A-V adénopathies périphériques : cancer
29 Antécédents radiographiques se procurer d'anciens clichés! stable : tumeur bénigne
30 Données radiologiques Critères en faveur de malignité : taille, morphologie, type d opacité, absence de calcifications, densité, localisation, croissance Recherche d'une clarté au sein de l'opacité ronde : caverne, abcès (niveau), cavité nécrotique Recherche de calcification : tuberculose, histoplasmose, hamartochondrome Recherche de nodules satellites : autour de la lésion principale : tuberculose à distance et/ou contralatéraux : cancer métastatique
31 Prévalence et étiologie
32 Fréquence du cancer varie selon divers facteurs la population étudiée (% de fumeurs) la méthode radiologique utilisée le type de nodule étudié (1 ou plusieurs nodules, taille des nodules ) la variabilité interobservateur
33 Etiologie des nodules pulmonaires Maligne Cancer bronchiques CBNPC (adéno>épi épi) CBPC Tumeurs carcinoïdes Lésions métastatiques Sein ORL Mélanome Colon Rein Sarcome Autres Bénigne Granulomes infectieux Mycobactéries Histoplasmose Coccidioidomycose Cryptococose Blastomycose Autres infections Abcès bactérien Echinocoque Ascaris Pneumocystis Aspergillome Tumeurs bénignes Hamartome Lipome Fibrome Malformation vasculaire Kyste bronchogénique Inflammatoire (Wegener, ) Autres (hématome, )
34 114 nodules < 3 cm
35 194 opacités < 4 cm
36 Approche diagnostique
37 Impératifs identification rapide des nodules malins afin de permettre une intervention chirurgicale éviter la chirurgie pour les nodules bénins
38 Approche probabiliste Estimer la probabilité de malignité à partir d informations cliniques ou radiologiques Seuls les nodules qui restent indéterminés après une évaluation non invasive ou ceux qui ont une forte probabilité de malignité devront faire l objet de méthodes diagnostiques invasives ou de chirurgie
39 Critères radio-cliniques utilisables pour estimer la probabilité de cancer Critères cliniques : Age Tabagisme Exposition aux carcinogènes (amiante ) Antécédents de cancer Présence de symptômes Critères radiologiques : Taille Morphologie Type d opacité, présence de calcifications Densité Localisation Croissance
40 Caractéristiques d un test diagnostique Test de référence Résultat du test évalué Maladie présente Maladie absente VPP = VP/(VP+FP) Positif VP FP VPN = VN/(VN+FN) Négatif FN VN Sensibilité = VP/(VP+FN) Spécificité = VN/(VN+FP)
41 Analyse bayésienne Intègre le résultat d un test diagnostique à l ensemble du tableau clinique Plus explicite et plus exacte que ce qui est fait intuitivement en clinique Utilise les taux de vraisemblance pour estimer la probabilité d un événement Importance de connaître la prévalence des maladies ainsi que la sensibilité et la spécificité des tests
42 Définitions Probabilité : fréquence théorique de la survenue d un événement Rapport des cotes (OR) : la probabilité que l événement se produise divisée par la probabilité que l événement ne se produise pas
43 Probabilité a priori (pré-test) Prévalence: probabilité a priori d une maladie chez un groupe de sujets = (VP + FN) / (VP + FP + VN + FN) Cote (odds) pré-test de la maladie: rapport du nombre de malades au nombre de non malades = (VP + FN )/ (VN + FP) = prévalence / (1-prévalence)
44 Rapports de vraisemblance = RV («likelihood ratio» = LR) RVP (LR+) = VP/FP = proportion des tests positifs chez les malades sur celle des tests positifs chez les non-malades = P(T+/M+)/P(T+/M-) RVN (LR-) = FN/VN = proportion des tests négatifs chez les malades sur celle des tests négatifs chez les non-malades = P(T-/M+)/P(T-/M-)
45 Probabilité a posteriori (post-test) Peut se calculer de deux façons: 1) Par les valeurs prédictives (théorème de Bayes) 2) Par les rapports de vraisemblance A. Cotes post-test B. Probabilité a posteriori : cf nomogramme de Fagan
46 1) Par les valeurs prédictives Théorème de Bayes Probabilité a posteriori : Si le test est positif : P(M+/T+) = P(T+/M+) x P(M+)/P(T+/M+) x P(M+) + P(T+/M-) x P(M-) Si le test est négatif : P(M+/T-) = P(T-/M+) x P(M+)/ P(T+/M+) x P(M+) + P(T-/M-) x P(M-)
47 2) Par les rapports de vraisemblance A. Cotes (odds) post-test Cote post-test, examen positif = cote pré-test x RVP Cote post-test, examen négatif = cote pré-test x RVN
48 2) Par les rapports de vraisemblance (suite) B. Probabilité post-test («a posteriori») = cotes post-tests / (cotes post-tests + 1) Nomogramme de Fagan
49 En pratique pour l estimation de la probabilité de cancer d une opacité 1) Trouver les valeurs appropriées des taux de vraisemblance et la prévalence de malignité et déterminer la cote pré-test 2) Multiplier par les taux de vraisemblance : cote post-test 3) Convertir en probabilité a posteriori de cancer : cote post-test/(cote post-test + 1)
50 Adapté de Cummings. Am Rev Resp Dis.1986
51 Adapté de Gurney. Radiology
52 Un homme de 53 ans, fumant 1 paquet/j depuis l âge de 17 ans se présente avec un nodule pulmonaire arrondi de 11 mm. Quelle est la probabilité que ce nodule soit cancéreux?
53 Quelle est la probabilité que ce nodule soit cancéreux? 1) Trouver les valeurs appropriées des taux de vraisemblance et la prévalence de malignité 2) Multiplier ces taux de vraisemblance 3) Convertir en probabilité a posteriori de cancer : cote post test/(cote post test + 1) 1) Prévalence en milieu clinique 40%: cote prétest=0,67 Homme de 53 ans: RV = 1,5 Tabagisme 1 paquet/j depuis l âge de 17 ans: RV = 1 Nodule de 10 mm: RV = 0,1 2) Cote post-test de cancer = 0,10 3) Convertir en probabilité de cancer: PCA= cote ca/(cote ca +1 ) = 9 %
54 Rôle de la TEP
55 Chez ce même patient, la TEP est négative, quelle est la probabilité que ce nodule soit cancéreux?
56 Apport de la TEP dans la mise au point des nodules pulmonaires Méta-analyse de 40 études évaluant masses et nodules pulmonaires 1474 lésions.
57
58
59 En pratique, chez notre patient Probabilité de cancer = 9% Probabilité pré-test = 9 % Cote post-test = 0,09 x 0,05 = 0,0045 Probabilité post-test = cote ca/(cote ca +1 ) = 0,4%
60 Thoracoscopie Hamartome
61 Probabilité de cancer : approche intégrée
62 Analyse rétrospective de 52 nodules non calcifiés < 30mm TDM + TEP Analyse bayésienne sur base des critères standard (âge, histoire de cancer, tabagisme, taille, spiculation, calcifications) Analyse histologique
63 Sensibilité: 95% Spécificité: 87%
64 Rapport de vraisemblance pour néoplasie: 7,11 (IC 95%:6,36-7,96) avec une TEP anormale 0,66 (IC 95%:0,05-0,07) avec une TEP normale Rapport de vraisemblance: plus élevé pour la TEP que les critères cliniques (âge, taille, histoire de néoplasie, tabagisme, spiculation)
65
66
67 Conclusion La TEP doit être intégrée dans le raisonnement Bayesien (voir calculateurs : ) Compte tenu de la grande valeur prédictive, si une lésion est inférieure à 10-15mm et ne fixe pas à la TEP, l abstention chirurgicale peut être proposée
68
69
70 Contexte du dépistage
71 Prévalence dans les études de dépistage de cancer pulmonaire Étude (année) n Tabac Examen Prévalence nodule Prévalence cancer chez les patients ayant des nodules Veronesi (2006) % TDM BD 10% 10% Henschke (2004) 2897 TDM BD 21% 13% Gohagan (2004) % TDM BD 8% 3,8% Li (2004) 7847 TDM BD 10,1% Swensen (2003) % TDM BD 51% 1,1% Nawa (2002) % TDM BD 26% 1,7% Henschke (2001) % 23% 12% NLST (2011) % TDM BD 24,2 % 1%
72 Que faire? Bronchoscopie Ponction/Biopsie transthoracique à l aiguille Thoracoscopie Echographie endobronchique (EBUS) Navigation électromagnétique Intervention chirurgicale
73 Recommandations pour suivi des nodules pulmonaires découverts par hasard
74
75 Recommandations pour suivi des nodules pulmonaires découverts par hasard Taille du nodule (mm) Patient à faible risque Patient à haut risque <4 Pas de suivi Suivi à 12 mois et si stable plus de suivi 4-6 Suivi à 12 mois et si stable plus de suivi 6-8 Suivi à 6-12 mois puis à mois si stable Suivi à 6-12 mois puis à mois si stable Suivi à 3-6 mois puis à 9-12 et 24 mois si stable >8 Suivi à 3, 9 et 24 mois et si stable plus de suivi TDM-C+, TEP et/ou biopsie Suivi à 3, 9 et 24 mois et si stable plus de suivi TDM-C+, TEP et/ou biopsie
76
77
Suivi post-professionnel après exposition à l amiante
AUDITION PUBLIQUE Suivi post-professionnel après exposition à l amiante TEXTE COMPLET Avril 2010 1 Les recommandations et synthèse des recommandations sont téléchargeables sur www.has-sante.fr Haute Autorité
Plus en détailLes grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY
Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique
Plus en détailChapitre 1 Evaluation des caractéristiques d un test diagnostique. José LABARERE
UE4 : Biostatistiques Chapitre 1 Evaluation des caractéristiques d un test diagnostique José LABARERE Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. lan I.
Plus en détailPatho Med Cours 5. Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme
Patho Med Cours 5 Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme BPCO: B: Broncho ( Bronche) P: Pneumopathie C: Chronique O: Obstructive Asthme Maladies avec des spasmes bronchiques Maladies avec des spasmes
Plus en détailActualités s cancérologiques : pneumologie
Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique
Plus en détailMarchés des groupes à affinités
Marchés des groupes à affinités Guide du produit destiné aux conseillers Régime d assurance maladies graves Chèque-vie MD de base La Compagnie d Assurance-Vie Manufacturers Le produit en bref Nul n aime
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détailTUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE
1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailLes différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07
Les différents types de cancers et leurs stades Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 CARCINOGENESE multiple steps, accumulation d altd altérations continuum lésionnel
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailÉpidémiologie des maladies interstitielles diffuses
Épidémiologie des maladies interstitielles diffuses 3 à 5/100 000 habitants Augmente avec l age 175 /100 000 >70 ans Notre file active toutes les maladies interstitielles confondues plus de 120 patients
Plus en détailDocteur José LABARERE
UE7 - Santé Société Humanité Risques sanitaires Chapitre 3 : Epidémiologie étiologique Docteur José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements, soins et innovation OCTOBRE 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein in situ COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailUE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire
UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP
Plus en détailCancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons.
Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Un taux de récidive de 30% dans les dix premières années chez des patientes en rémission complète après un traitement curatif, requiert
Plus en détailQuels sont les facteurs qui font augmenter les risques de cancer du rein?
Qu est-ce que le cancer du rein? L adénocarcinome rénal est le type le plus fréquent de cancer du rein 1. Le rôle des reins consiste à filtrer le sang et à évacuer les déchets de l organisme dans l urine.
Plus en détailF JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010
F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010 Une anomalie ACR5 n est pas synonyme de malignité (VPP>95%) Quelle CAT après un
Plus en détailN o de contrat : Je demande par la présente une révision de la surprime concernant le numéro de contrat susmentionné. Signé à ce jour de 20
RÉVISION DE SURPRIME Nom : Prénom : Date de naissance : - - Année Mois Jour N o de contrat : Je demande par la présente une révision de la surprime concernant le numéro de contrat susmentionné. Signé à
Plus en détailLa nouvelle classification TNM en pratique
La nouvelle classification TNM en pratique Thierry Berghmans Département des Soins Intensifs et Oncologie Thoracique Institut Jules Bordet Bruxelles, Belgique Bases historiques 1946 : Denoix invente le
Plus en détailSein inflammatoire. Isabelle Leconte Cliniques universitaires St Luc
Sein inflammatoire Isabelle Leconte Cliniques universitaires St Luc Sein inflammatoire 3 types Mastites infectieuses Mastites non infectieuses Cancer inflammatoire 2 situations cliniques Allaitement Hors
Plus en détailEVALUATION DES TESTS DE DIAGNOSTIC. Vray M Institut Pasteur 1
EVALUATION DES TESTS DE DIAGNOSTIC Vray M Institut Pasteur 1 Plan de la présentation Introduction Définition Dépistage, D Diagnostique Les ¾ phases de développement d d un d test Phases 1, 2, 3 et 4 Les
Plus en détailLes petis signes de T21 : comment ça marche et à quoi ça sert? Christophe Vayssière (Toulouse) DIU d echographie 2011
Les petis signes de T21 : comment ça marche et à quoi ça sert? Christophe Vayssière (Toulouse) DIU d echographie 2011 2 types de «petits signes»? Il a 2 types de petits signes de T21 : 1/ les signes suite
Plus en détailCancer broncho-pulmonaire du sujet âgé. Mathilde Gisselbrecht Capacité de gériatrie- Février 2009
Cancer broncho-pulmonaire du sujet âgé Mathilde Gisselbrecht Capacité de gériatrie- Février 2009 Généralités Cancer bronchique primitif = cancer le plus fréquent en incidence dans le monde Incidence en
Plus en détailÉtudes épidémiologiques analytiques et biais
Master 1 «Conception, évaluation et gestion des essais thérapeutiques» Études épidémiologiques analytiques et biais Roxane Schaub Médecin de santé publique Octobre 2013 1 Objectifs pédagogiques Connaitre
Plus en détailCancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005)
Cancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005) Pré-Requis : Anatomie du larynx Physiologie de la phonation et de la déglutition
Plus en détailASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité
Hôpitaux Universitaires de Genève ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Introduction (1) L IVG chirurgicale est
Plus en détailPrincipe d un test statistique
Biostatistiques Principe d un test statistique Professeur Jean-Luc BOSSON PCEM2 - Année universitaire 2012/2013 Faculté de Médecine de Grenoble (UJF) - Tous droits réservés. Objectifs pédagogiques Comprendre
Plus en détailABREGE D HEPATO-GASTRO-ETROLOGIE- 2ème édition - Partie «Connaissances» - Octobre 2012 par la CDU-HGE - Editions Elsevier-Masson
Chapitre 36 : Item 308 Dysphagie I. Définition II. Deux types de dysphagie III. Démarche diagnostique en cas de dysphagie œsophagienne IV. Dysphagies lésionnelles V. Dysphagies fonctionnelles OBJECTIF
Plus en détailGUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein
GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge du cancer du rein Novembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le cancer du rein, son
Plus en détailAssurance maladie grave
ASSURANCE COLLECTIVE Le complément idéal à votre assurance collective Assurance maladie grave Votre partenaire de confiance. Assurance maladie grave La tranquillité d esprit à votre portée Les progrès
Plus en détailRecommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO
Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge
Plus en détailCoordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA. Doctorant: Camelia MICU (DEMETRIAN)
UNIVERSITÉ DE MÉDECINE ET PHARMACIE DE CRAIOVA FACULTÉ DE MÉDECINE CONTRIBUTIONS A L'ÉTUDE CLINIQUE ET MORPHOLOGIQUE DES CANCERS DU POUMON Coordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA Doctorant:
Plus en détailCancer et dyspnée: comment peut-on soulager? Dr Lise Tremblay 10 mai 2010
Cancer et dyspnée: comment peut-on soulager? Dr Lise Tremblay 10 mai 2010 Objectifs Comprendre la physiopathologie de la dyspnée Connaître les traitements disponibles pour soulager la dyspnée Définir la
Plus en détailMédecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride
Médecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride Benjamin GEISSLER Centre d d Imagerie Nucléaire St-Etienne, Roanne, Le Puy en Velay 1967 2007 Principes Spécialit cialité médicale (1950) Radiologie Radiothérapie
Plus en détailRETOUR AU DOMICILE DES OPERES DU THORAX
Marcelcave, le 10 février 2009 RETOUR AU DOMICILE DES OPERES DU THORA Drs Marie-Claude LELEU et Pierre DUPONT 1 PRE TEST Vrai Faux Les complications chirurgicales après chirurgie thoracique sont fréquentes.
Plus en détailQuel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?
Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe
Plus en détailApport de l IRM dans la
Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailFactsheet Maladies professionnelles causées par l amiante
Version mars 2013 Factsheet Maladies professionnelles causées par l amiante Dr Marcel Jost, Dr Susanna Stöhr, Dr Claudia Pletscher, Dr Hanspeter Rast 1. Maladies professionnelles causées par l amiante
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détailVille : Province : Code postal : Date de naissance : jour mois année Date de naissance : jour mois année
Assurance médicale Choix du voyageur L assurance est souscrite auprès de la Compagnie d Assurance Générale CUMIS, l une des sociétés du Groupe Co-operators. Proposition d assurance page 1 2015-2016 Bureau
Plus en détailLe cliché thoracique
Le cliché thoracique Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Nomenclature radiologique... 1 2 Le cliché thoracique de face... 2 2. 1 Qualité du cliché... 1 2. 2
Plus en détailLa toux chronique de l adulte, démarche diagnostique
La toux chronique de l adulte, démarche diagnostique LES RECOMMANDATIONS Des recommandations ont été formulées à l instigation de la Société Française Oto-Rhino- Laryngologie et de la Chirurgie de la Face
Plus en détailTVP fémorale. Systématisation. La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier. Thrombus mobile
Systématisation VCI Fémorale Superf. 3/4 Iliaque Poplitée La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier Mars 2015 Fémorale Sural Difficultés et Pièges: écho-doppler Veineux
Plus en détailÉpreuve d effort électrocardiographique
Épreuve d effort électrocardiographique J. Valty Diagnostic des coronaropathies. Pronostic après infarctus du myocarde. Indications particulières. Risques de l épreuve d effort? 1- Épreuve positive : segment
Plus en détailLa Broncho-Pneumopathie chronique obstructive (BPCO)
La Broncho-Pneumopathie chronique obstructive (BPCO) Définition La définition scientifique de la BPCO est la suivante : «maladie chronique et lentement progressive caractérisée par une diminution non complètement
Plus en détailTransplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin
Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Introduction Le prélèvement d une partie du foie chez une personne «vivante» et apparentée
Plus en détailHistoire d une masse pancréatique
Histoire d une masse pancréatique Marie Luce Auriault Michael Levy Frédéric Pigneur Claude Tayar, et Iradj Sobhani CHU Henri Mondor Pour GHIF Samedi 13 Juin 2009, Histoire de la maladie Femme 66 ans consulte
Plus en détailG U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie
G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge du cancer du foie Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer
Plus en détailF-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France
18F-fluorodéoxyglucose en oncologie. Expérience en Ile de France. 18 F-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France H. FOEHRENBACH 1, J. LUMBROSO 2 1 Service Médecine Nucléaire, Hôpital
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailItem 154 : Tumeurs des os primitives et secondaires (Évaluations)
Item 154 : Tumeurs des os primitives et secondaires (Évaluations) Date de création du document 2008-2009 CAS CLINIQUE : CAS CLINIQUE N 1 Scénario : Monsieur A., vingt-cinq ans, étudiant vétérinaire, vient
Plus en détailEvalua&on tests diagnos&ques. Arnaud Fontanet
Evalua&on tests diagnos&ques Arnaud Fontanet Résultats d un test diagnos&que Maladie «Gold standard» Test expérimental + a b a+b - c d c+d a+c b+d Evaluation tests diagnostiques. Arnaud Fontanet 2 Résultats
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailLa santé bucco-dentaire au cabinet OMS. Problèmes majeurs. Santé bucco-dentaire et santé générale. Santé. Déterminants sociaux et santé bucco-dentaire
La santé bucco-dentaire au cabinet Santé OMS Déterminants sociaux et santé bucco-dentaire Colloque MPr 14 septembre 2011 Dr J-P Carrel Division de stomatologie, chirurgie orale et radiologie dento-maxillo-faciale
Plus en détail.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203 .(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3 .( @.*" '!%2"+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!
!"#! $ %#&' (!"#$!% & % ' (!%' ) )''! *)+* *! %#"+, ' ( ', -) " *.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203.(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3.( -.* %)!(2"+ %#(30! &' 4!!%.+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!%(%' 0.(89.*
Plus en détailInfiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé. Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009
Infiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009 Complications pulmonaires en onco-hématologie (Mokart et al Chest 2003) ~ 20 % des patients ~
Plus en détailOrientation diagnostique devant une éosinophilie 1
Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Introduction L hyperéosinophilie est définie par la présence de polynucléaires éosinophiles circulants à plus de 0,5 G/l (500/µl) (quel que soit leur
Plus en détailARTICLE IN PRESS. G. Cadelis a,, S. Kaddah a, B. Bhakkan b, M. Quellery b, J. Deloumeaux b ARTICLE ORIGINAL
Revue des Maladies Respiratoires (2013) xxx, xxx xxx Disponible en ligne sur www.sciencedirect.com ARTICLE ORIGINAL Épidémiologie et incidence du cancer bronchique primitif dans une région à faible consommation
Plus en détailTout sur la toux! La toux est une des principales causes de. La classification de la toux. Les caractéristiques de la toux selon son étiologie
Tout sur la toux! Mise àj our Louis-Philippe Boulet, MD, FRCPC, FCCP La classification de la toux La toux est une des principales causes de morbidité et un des plus fréquents motifs de consultation médicale.
Plus en détailLe dépistage des cancers
Le dépistage des cancers G R A N D P U B L I C Octobre 2009 Le dépistage des cancers Détecter tôt certains cancers permet de les traiter mieux, c'est-à-dire de proposer des traitements moins lourds, et
Plus en détailDéfinitions. MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe. PROTECTION MULTIPLE pour enfant
Définitions MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe PROTECTION MULTIPLE pour enfant Voici les définitions des maladies graves et non critiques que vous pouvez retrouver dans les garanties
Plus en détailCompte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique
Compte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique À partir de la Vème année Médecine Générale et notamment pour les médecins anatomopathologues ANATOMIE PATHOLOGIQUE Hôpital du Bon Secours
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailINFORMATION & PRÉVENTION. Les dangers de l amiante
INFORMATION & PRÉVENTION Les dangers de l amiante G R A N D P U B L I C Les dangers de l amiante Le caractère cancérogène de l amiante est connu depuis les années 50. Des cancers du poumon ou de la plèvre
Plus en détailEssai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR
CLIMAT - PRODIGE 30 Etude de phase III randomisée évaluant l Intérêt de la colectomie première chez les patients porteurs d un cancer colique asymptomatique avec métastases hépatiques synchrones non résécables
Plus en détailMoyens d étude de la peau
Moyens d étude de la peau Dr. Yannick Le Corre yalecorre@chu-angers.fr Service de Dermatologie Vénéréologie Pr. L. Martin 2011-2012 CHU Angers UE Revêtement cutané Dermoscopie ou Dermatoscopie Examen de
Plus en détailDe la chirurgie du nodule aux ganglions
De la chirurgie du nodule aux ganglions Docteur Xavier CARRAT Institut Bergonié Clinique Saint Augustin Chirurgie des lésions bénignes de la thyroïde problématique opératoire «simple» avec indication portée
Plus en détailLymphome non hodgkinien
Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque
Plus en détailIMR PEC-5.51 IM V2 19/05/2015. Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES
DOSSIER D ADMISSION 1/6 Date d'admission souhaitée : Date de la demande : Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES Renseignements administratifs
Plus en détailL'œsophage L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Causes
L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Chez l'adulte moyen, il fait 25 cm à 30 cm (10 po à 14 po) de long et environ 2 cm (moins d'un pouce) de large. L'œsophage est constitué
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailRecherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches. Les dangers de l amiante
Recherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches Les dangers de l amiante G R A N D P U B L I C Les dangers de l amiante Le caractère cancérogène de l amiante est
Plus en détailMétastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési
Métastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési Deux grandes questions Cette modalité de présentation, requiert elle une prise en charge
Plus en détailLe cancer du poumon 2/18/2015. Radio-oncologue CSSS Gatineau. Stéphanie Ferland B.pharm, MD, MSc, FRCPC
Objectifs Le cancer du poumon Stéphanie Ferland B.pharm, MD, MSc, FRCPC Radio-oncologue CSSS Gatineau Décrire le rôle de la thérapie générale en ce qui concerne les traitements néoadjuvants, adjuvants
Plus en détailRadiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires. J. Palussière, X. Buy Département imagerie
Radiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires J. Palussière, X. Buy Département imagerie Radiofréquence Interac*on courant électro- magné*que ma*ère agita*on ionique chaleur Coagula*on Nécrose
Plus en détailStatistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon
Statistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon Bernard Fortin Mars 2014 Source: Comité consultatif de la Société canadienne du cancer : Statistiques canadiennes sur le cancer 2013. Toronto
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailDéfinitions. PrioritéVie MC. Votre assurance contre le risque de maladie grave
Définitions PrioritéVie MC Votre assurance contre le risque de maladie grave Le présent document ne constitue qu un exemple de libellé et n a aucune force exécutoire. En cas de divergence entre les renseignements
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailDÉFINITION OBJECTIFS. Information délivrée le : Cachet du Médecin : Au bénéfice de : Nom : Prénom :
Version 2 mise à jour nov 2011 Information délivrée le : Cachet du Médecin : Au bénéfice de : Nom : Prénom : Cette fiche d information a été conçue sous l égide de la Société Française de Chirurgie Plastique
Plus en détailGUIDE DE LECTURE CRITIQUE D'UN ARTICLE MEDICAL ORIGINAL (LCA)
GUIDE DE LECTURE CRITIQUE D'UN ARTICLE MEDICAL ORIGINAL (LCA) Coordinateurs : B. GOICHOT et N. MEYER Faculté de Médecine de Strasbourg Septembre 2011 PLAN L épreuve de lecture critique d article original
Plus en détailDéfinitions. PrioritéVie Enfant MC. Assurance contre le risque de maladie grave
Définitions PrioritéVie Enfant MC Assurance contre le risque de maladie grave Le présent document ne constitue qu un exemple de libellé et n a aucune force exécutoire. En cas de divergence entre les renseignements
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailLE SYNDROME PARIÉTAL THORACIQUE
LE SYNDROME PARIÉTAL THORACIQUE Sémiologie, étiologies et diagnostics différentiels J Giron, N Sans, ML Despeyroux, O Loustau, H Gandois, D Galy, JJ Railhac Service central d imagerie CHU Purpan - Toulouse
Plus en détailCas clinique Enquête autour d un cas IDR vs IGRA Pr Emmanuel Bergot
Cas clinique Enquête autour d un cas IDR vs IGRA Pr Emmanuel Bergot Service de Pneumologie, CHU Côte de Nacre Centre de compétence régionale de l HTAP UMR INSERM 1086 «Cancers et Préventions», Université
Plus en détailALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse
ALK et cancers broncho-pulmonaires Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse Toulouse, le 19 Février 2013 Adénocarcinomes : Lung Cancer Mutation Consortium Identification
Plus en détailFORMULAIRE DE DECLARATION DU RISQUE PERTE DE PROFESSION INSTRUMENTISTE ARTISTE LYRIQUE LUTHIER
FORMULAIRE DE DECLARATION DU RISQUE PERTE DE PROFESSION INSTRUMENTISTE ARTISTE LYRIQUE LUTHIER Date d'effet : Échéance Annuelle : Périodicité : Annuelle Semestrielle Durée : 1. LE PROPOSANT (sera le preneur
Plus en détailSYNDROME DU TUNNEL CARPIEN, EPICONDYLITE ET TRAVAIL : POINT DE VUE DU RHUMATOLOGUE
SYNDROME DU TUNNEL CARPIEN, EPICONDYLITE ET TRAVAIL : POINT DE VUE DU RHUMATOLOGUE D. VAN LINTHOUDT La Chaux-de-Fonds Lausanne, le 19.11.2004 SYNDROMES DOULOUREUX PAR SURCHARGE DU MEMBRE SUPERIEUR épaule
Plus en détail